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[warning] We're bad bitches » D E S Y R
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Mar 23 Déc - 23:46 Citer EditerSupprimer
that's my fuckin' problem
On s'était juré, craché et sans croiser les doigts, que personne ne le saura. C'était quelque chose dont personne ne devait être au courant, un contrat passé sous silence qui ne leur appartenait qu'à eux seuls. Les closes apparaissaient au fur et à mesure qu'ils le lisaient, le découvraient, et sans doute regrettaient-ils alors de s'être engagés sans réfléchir davantage. Il avait fallu d'un homologue, d'une ressemblance et d'un miroir tendu pour qu'ils ne foncent tels les Narcisses en quête de vengeance envers eux-mêmes, pour qu'ils ne cèdent au poids d'un désir qui différait selon les jours. Et les closes se faisaient plus nombreuses, resserrant les liens qui les unissaient à tords et à travers, contre leur volonté. Quelque chose dont Tasyr avait particulièrement honte, pour tout dire, ne supportant pas l'idée d'échapper au peu de raison qu'il lui restait. Lui qui refusait chaque main tendue vers les profondeurs avait saisit la plus malvenue qui soit, enlacé des doigts malhonnêtes, sombré avec un plaisir tumultueux. Il avait si honte, et pourtant il était fier de chaque pas effectué en sa direction, en leur direction commune. Fier du chemin qu'il dégageait avec courage pour tracer son sentier désiré. Et personne ne le saura.
C'est dommage, moi qui aurait bien aimé. Mais comme d'usage, dans la nuit noire tu t'éloignais. Le souffle du gamin se saccada au passage brûlant de la main du hongkongais le long du tissus couvrant sa peau. Il devint erratique par la crainte qu'il ne l'étrangle lorsqu'elle se posa sur sa nuque, mais un soupire profond de soulagement lui échappa quand il comprit que son geste premier n'était étonnamment pas de lui nuire. Tasyr humecta rapidement ses lèvres sous la surprise : si Dewei avait ressenti les mêmes picotements qui dévoraient sa peau à l'instant présent lorsqu'il l'avait touché, alors il regrettait presque de lui avoir fait subir une brûlure si vive quoique agréable. Plus rien n'avait de sens depuis longtemps, quoi qu'ils en eussent voulu. Et leur bulle qu'ils venaient de former les englobait du plus surprenant déroulement lorsqu'il se sentit détaillé de cette façon. « Mais tais-toi bon sang.. » La parole qu'il avait initié lui semblait, si non futile, pas moins désagréable ; la tension entre eux n'avait pas besoin d'être exprimée davantage. Et enfin la bombe explose, la main sur sa cuisse l'enserre et ce corps qu'il penche outrageusement trop près trouve sa réponse. Ah je reste là, là reste là la bouche B.
Pris de rage, tu ne m'entendais pas crier : oh reste là, là reste, la bouche BB. Ses doigts fins longèrent d'une rapidité certaine la mâchoire de son martyr pour se poser l'un après l'autre sur sa nuque, tandis que d'un élan désespéré, Tasyr fourragea de sa deuxième main les cheveux de l'homme pour s'y agripper. Qu'importe le mal qu'il pouvait occasionner, il n'avait plus la tête à ces futilités. Ses sourcils froncés et tressautant sous l'incertitude de son acte, le syrien réduisit à néant l'espace autrefois vital entre leurs lèvres avides. Ça n'était pas ce à quoi il avait déjà goûté avec d'autres, ça n'était pas cette tendresse et cette douceur fruitée qu'il avait honteusement osé imaginer. C'était la hargne qu'il mettait à s'extirper de cet enfer, c'était le mépris dont il était réceptacle, c'était eux dans leur ensemble. Eux dont le baiser qu'il lui soutirait, dont le baiser qu'il agrémentait de morsures volontaires, déclenchait un brasier des plus conséquents dans son organisme chétif. Bien dommage, tu ne m'entendais pas crier. Oh reste là, là reste : la bouche BB.
C'est dommage, moi qui aurait bien aimé. Mais comme d'usage, dans la nuit noire tu t'éloignais. Le souffle du gamin se saccada au passage brûlant de la main du hongkongais le long du tissus couvrant sa peau. Il devint erratique par la crainte qu'il ne l'étrangle lorsqu'elle se posa sur sa nuque, mais un soupire profond de soulagement lui échappa quand il comprit que son geste premier n'était étonnamment pas de lui nuire. Tasyr humecta rapidement ses lèvres sous la surprise : si Dewei avait ressenti les mêmes picotements qui dévoraient sa peau à l'instant présent lorsqu'il l'avait touché, alors il regrettait presque de lui avoir fait subir une brûlure si vive quoique agréable. Plus rien n'avait de sens depuis longtemps, quoi qu'ils en eussent voulu. Et leur bulle qu'ils venaient de former les englobait du plus surprenant déroulement lorsqu'il se sentit détaillé de cette façon. « Mais tais-toi bon sang.. » La parole qu'il avait initié lui semblait, si non futile, pas moins désagréable ; la tension entre eux n'avait pas besoin d'être exprimée davantage. Et enfin la bombe explose, la main sur sa cuisse l'enserre et ce corps qu'il penche outrageusement trop près trouve sa réponse. Ah je reste là, là reste là la bouche B.
Pris de rage, tu ne m'entendais pas crier : oh reste là, là reste, la bouche BB. Ses doigts fins longèrent d'une rapidité certaine la mâchoire de son martyr pour se poser l'un après l'autre sur sa nuque, tandis que d'un élan désespéré, Tasyr fourragea de sa deuxième main les cheveux de l'homme pour s'y agripper. Qu'importe le mal qu'il pouvait occasionner, il n'avait plus la tête à ces futilités. Ses sourcils froncés et tressautant sous l'incertitude de son acte, le syrien réduisit à néant l'espace autrefois vital entre leurs lèvres avides. Ça n'était pas ce à quoi il avait déjà goûté avec d'autres, ça n'était pas cette tendresse et cette douceur fruitée qu'il avait honteusement osé imaginer. C'était la hargne qu'il mettait à s'extirper de cet enfer, c'était le mépris dont il était réceptacle, c'était eux dans leur ensemble. Eux dont le baiser qu'il lui soutirait, dont le baiser qu'il agrémentait de morsures volontaires, déclenchait un brasier des plus conséquents dans son organisme chétif. Bien dommage, tu ne m'entendais pas crier. Oh reste là, là reste : la bouche BB.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Dim 28 Déc - 23:18 Citer EditerSupprimer
i could stay awake just to hear you breathing, watch you smile while you are sleeping. Et ce souffle chaud et régulier qui butait agréablement contre l'extrémité sud de son visage le rendait doucement fou. Fou de quoi ? Il ne saurait l'expliquer, mais il allait devenir taré, il le savait et c'était très certainement l'unique chose dont il avait pleinement conscience. La rage feintée, enfin passée, il avait même jusqu'à oublié pourquoi sa main c'était refermée sur le cou de l'autre. Il avait tout occulté, tout. Jusqu'à son propre prénom. Son regard bloqué dans celui de son homonyme, Dewei ne pouvait décrocher, presque aliéné par un lien invisible le rapprochant toujours un peu plus de l'être détestable se trouvant à peu de centimètres de lui désormais. Au moment où le chinois c'était retrouvé par terre à genoux, où ses yeux avaient trouvaient leurs autres, il avait cessé de penser. Toutes questions fugaces, toutes réflexions inimaginable, c'était évanouie en un claquement de doigt le laissant dans une léthargie totale. Il ne répondait plus de rien, se laissant pousser par ce je ne sais quoi qui grossissait à mesure du temps au plus profond de son ventre. Ce truc qui lui tordait les entrailles douloureusement. Douloureusement certes, mais avant tout de façon plaisante et encore une fois, ça non plus il ne se l'expliquait pas. La voix de Tasyr s'éleva et pourtant il n'en perçu rien, beaucoup trop concentré à jongler entre les lèvres et les pupilles sombres de ce dernier. Absorbé, Hypnotisé, qu'importante, il était déconnecté. On aurait pu croire que l'instant c'était figé, que le temps avait arrêté de s'écouler, leur laissant cette chance à saisir et Dewei en pris conscience lorsqu'il senti ces doigts étrangement fins retracer le contour de sa mâchoire, laissant sur leur passage des picotement synonyme de feu. Ces doigts qu'il aurait dû dégager de là si la moral s'en était mêlée, mais même elle lui faisait faux bon actuellement. Il n'y avait que lui et peut-être l'autre aussi, mais avant tout ses envies, uniquement ça.
Une brûlure sur sa nuque, sa masse de cheveux que l'on tire, il n'eut pas le temps de dire ouf, ni même d'esquisser un quelconque mouvement que l'espace entre leur deux bouches disparu lui aussi. Ca l’électrisa, le retourna, le submergea à tel point qu'il en bloqua sa respiration. Aucune douceur ne transperce, ses dents s'y mêlent et malmènent les lèvres offertes du plus jeune, du connard qui lui retournait l'estomac à mesure que leur bouches s'entrechoquaient. Mordant et tirant toute trace de peau accessible. Le chinois ne connaît pas la tendresse pour ne jamais l'avoir expérimenté, mais en veut-il seulement ? Sa main libre se pose fébrilement sur le ventre du Syrien, froissant le t-shirt sous ses doigts crispés. Même dans une chose, à l'origine, affreusement passionnelle et sentimentale, ils trouvaient le moyen de s'infliger une guerre sans merci. Un coup de canine plus appuyé que les autres et Dewei se recule brusquement, tiré de sa torpeur. Comme un ahurie, il devait regarder Tasyr, peut-être un peu sonné par ce qui venait de se produire. Alors voilà, on y était ? Sans vraiment réfléchir, le plus âgé poussa fortement son vis à vis, le faisant tomber sur le dos. Un moment il resta à genoux devant lui sans rien dire, à calmer sa respiration affolée puis porta son index sur ses lèvres agressée. « putain » il murmura, conscient qu'il déconnait, mais s'en fichant presque royalement et c'était ça le pire. Il ne perdit pas une seconde, se glissant au dessus de l'autre en appuis sur ses mains qui elles, encadraient le visage juvénile du démon en dessus. L'idée le frappa et là maintenant, allongé, les cheveux en bataille presque vulnérable, il le trouvait beau et ça lui fit mal de songer ça. Ne se privant plus, Dewei plongea à nouveau sur cette bouche rougie qui lui faisait envie, fermant les yeux fortement pour oublier une nouvelle fois. Pour ne pas comprendre qu'il était entrain de l'embrasser, lui, un homme, et qu'il aimait de toute évidence un peu trop ça. i feel your heart so close to mine, and just stay here in this moment, for all of the rest of time.
i love bad bitches
Et cette main sur cette cuisse qu'il broyait littéralement démontrait à quel point il pouvait être ignorant, combien il devait se raccrocher à quelque chose, à quelqu'un, à lui, pour ne pas défaillir.
i could stay awake just to hear you breathing, watch you smile while you are sleeping. Et ce souffle chaud et régulier qui butait agréablement contre l'extrémité sud de son visage le rendait doucement fou. Fou de quoi ? Il ne saurait l'expliquer, mais il allait devenir taré, il le savait et c'était très certainement l'unique chose dont il avait pleinement conscience. La rage feintée, enfin passée, il avait même jusqu'à oublié pourquoi sa main c'était refermée sur le cou de l'autre. Il avait tout occulté, tout. Jusqu'à son propre prénom. Son regard bloqué dans celui de son homonyme, Dewei ne pouvait décrocher, presque aliéné par un lien invisible le rapprochant toujours un peu plus de l'être détestable se trouvant à peu de centimètres de lui désormais. Au moment où le chinois c'était retrouvé par terre à genoux, où ses yeux avaient trouvaient leurs autres, il avait cessé de penser. Toutes questions fugaces, toutes réflexions inimaginable, c'était évanouie en un claquement de doigt le laissant dans une léthargie totale. Il ne répondait plus de rien, se laissant pousser par ce je ne sais quoi qui grossissait à mesure du temps au plus profond de son ventre. Ce truc qui lui tordait les entrailles douloureusement. Douloureusement certes, mais avant tout de façon plaisante et encore une fois, ça non plus il ne se l'expliquait pas. La voix de Tasyr s'éleva et pourtant il n'en perçu rien, beaucoup trop concentré à jongler entre les lèvres et les pupilles sombres de ce dernier. Absorbé, Hypnotisé, qu'importante, il était déconnecté. On aurait pu croire que l'instant c'était figé, que le temps avait arrêté de s'écouler, leur laissant cette chance à saisir et Dewei en pris conscience lorsqu'il senti ces doigts étrangement fins retracer le contour de sa mâchoire, laissant sur leur passage des picotement synonyme de feu. Ces doigts qu'il aurait dû dégager de là si la moral s'en était mêlée, mais même elle lui faisait faux bon actuellement. Il n'y avait que lui et peut-être l'autre aussi, mais avant tout ses envies, uniquement ça.
Une brûlure sur sa nuque, sa masse de cheveux que l'on tire, il n'eut pas le temps de dire ouf, ni même d'esquisser un quelconque mouvement que l'espace entre leur deux bouches disparu lui aussi. Ca l’électrisa, le retourna, le submergea à tel point qu'il en bloqua sa respiration. Aucune douceur ne transperce, ses dents s'y mêlent et malmènent les lèvres offertes du plus jeune, du connard qui lui retournait l'estomac à mesure que leur bouches s'entrechoquaient. Mordant et tirant toute trace de peau accessible. Le chinois ne connaît pas la tendresse pour ne jamais l'avoir expérimenté, mais en veut-il seulement ? Sa main libre se pose fébrilement sur le ventre du Syrien, froissant le t-shirt sous ses doigts crispés. Même dans une chose, à l'origine, affreusement passionnelle et sentimentale, ils trouvaient le moyen de s'infliger une guerre sans merci. Un coup de canine plus appuyé que les autres et Dewei se recule brusquement, tiré de sa torpeur. Comme un ahurie, il devait regarder Tasyr, peut-être un peu sonné par ce qui venait de se produire. Alors voilà, on y était ? Sans vraiment réfléchir, le plus âgé poussa fortement son vis à vis, le faisant tomber sur le dos. Un moment il resta à genoux devant lui sans rien dire, à calmer sa respiration affolée puis porta son index sur ses lèvres agressée. « putain » il murmura, conscient qu'il déconnait, mais s'en fichant presque royalement et c'était ça le pire. Il ne perdit pas une seconde, se glissant au dessus de l'autre en appuis sur ses mains qui elles, encadraient le visage juvénile du démon en dessus. L'idée le frappa et là maintenant, allongé, les cheveux en bataille presque vulnérable, il le trouvait beau et ça lui fit mal de songer ça. Ne se privant plus, Dewei plongea à nouveau sur cette bouche rougie qui lui faisait envie, fermant les yeux fortement pour oublier une nouvelle fois. Pour ne pas comprendre qu'il était entrain de l'embrasser, lui, un homme, et qu'il aimait de toute évidence un peu trop ça. i feel your heart so close to mine, and just stay here in this moment, for all of the rest of time.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Lun 29 Déc - 1:05 Citer EditerSupprimer
that's my fuckin' problem
I know you're dangerous, magnetic hazardous. Bien qu'il en mourait d'envie, Tasyr ne s'était pas attendu à un revirement de situation tel, ou même : à avoir eu l'autorisation d'agir. Il avait perdu ses moyens comme il était souvent le cas face à lui et ne ressemblait en rien à ce qui avait pu les unir plus tôt. Le gamin hargneux et téméraire, un peu trop spontané et irréfléchi, s'était estompé pour quelqu'un de plus torturé encore, mais poussé par quelques sentiments agréablement détestables. Et, s'il n'en disait rien malgré qu'il l'eut remarqué, il n'était pas le seul à avoir changé. Quand bien même la chute fut plus longue et difficile pour son homologue. Il le savait dans ses yeux, dans la façon chaude et indécise dont il le regardait parfois, dans ses gestes plus calculés et minutieux qu'autrefois, et dans chacun des actes qu'il avait côtoyés et qui s'étaient modifiés à son contact. Bien que son cœur battait peut-être trop rapidement à son touché, le syrien se refusait à lui céder davantage de terrain dans sa tête, à habiter son esprit plus qu'il ne le faisait déjà, et bannissait toute forme de douceur quelle qu'elle soit. Ses dents mordaient ce qui lui était abandonné, parfois même en butant contre celles de l'aîné en preuve d'improvisation désordonnée de l'instant. Ses doigts pétrissaient sa peau dont il jalousait la dorure plus prononcée que la sienne, tiraient sur ces mèches sombres à la recherche d'une occupation qui aurait fait déserter sa soif de lui. En vain.
Un instant il avait songé que tout s'en tiendrait là et qu'après cet écart fugace, les choses reviendraient à une réalité dérisoire et déroutante. Tasyr s'était même préparé à fermer les yeux et tendre son corps pour encaisser les poings capables de s'abattre sur son organisme fin. Non pas qu'il les détestait, eux qui satisfaisaient son désir d'être châtié, eux dont il savait décrypter seul la saveur particulière et la douceur orageuse, mais sur le moment, il lui sembla alors que c'aurait été la chose la plus haïssable. En heurtant le sol dur, le sango poussa un couinement à demi étouffé, sans doute trop aiguë pour le crédibiliser, mais ne chercha pas à s'échapper malgré tout. Le souffle épuisé par le manque d'endurance, le diablotin qui ne l'était pas tant ferma les yeux pour esquiver la déception qui pointait sans doute dans le regard du chinois. Après tout, il était un homme. Les craintes volubiles découlant du fait d'avoir été repoussé quant à son genre, son physique potentiellement déplaisant, son âge et le rôle qu'il jouait auprès de lui s'évincèrent en une seconde, un regard, sa présence. Malgré sa vue abandonnée au profit de ses autres sens décuplés, le noiraud étira ses lèvres en un sourire à peine perceptible, remontant ses mains dans le dos du hongkongais revendiquant son rôle de conquérant.
Il devait tout de même avoir une saveur particulière. Celle d'un garçon qui avait appris le mode d'emploi par cœur, qui s'était entraîné mille fois ailleurs pour savoir comment faire le moment venu, et qui pourtant s'en retrouvait les bras ballants d'incompétence. Timidement, Tasyr partageait chacun de ses baisers, rougissait sa bouche pulpeuse de ses morsures maladroites. Sa main gauche longea son dos jusqu'à sa nuque, dériva sur son épaule, et traça le chemin en sens inverse jusqu'à son ventre dont il agrippa le tissus. En le tirant plus près de lui, il espérait anéantir la crainte de le voir se relever, et disparaître. Pas après avoir attendu et envoyé les signaux si longtemps. Ses ongles raclèrent la surface de son dos large, se moquant d'abîmer ce qui le couvrait ; ses lèvres quittèrent les siennes pour apposer leur sceau sur la ligne de sa mâchoire et se retrouver dans son cou. Le maknae appréciait, c'était peu dire, de le découvrir d'une manière plus intime, d'apprendre de son corps les courbes et la douceur, la saveur, pour encrer dans sa mémoire les détails qu'il lui manquaient pour parfaite son image actuelle. « T'es encore plus musclé que je pensais.. » La glace avait fondu pour l'innocence qu'il cachait sous ses grands airs, et il avait hoqueté de découvrir que, sous le haut dont il avait bravé la frontière, sous ses doigts curieux, se dessinaient des traits plus puissants que dans sa mémoire. You should be treated with a warning. Can't you see ? It's slowly killing me.
Un instant il avait songé que tout s'en tiendrait là et qu'après cet écart fugace, les choses reviendraient à une réalité dérisoire et déroutante. Tasyr s'était même préparé à fermer les yeux et tendre son corps pour encaisser les poings capables de s'abattre sur son organisme fin. Non pas qu'il les détestait, eux qui satisfaisaient son désir d'être châtié, eux dont il savait décrypter seul la saveur particulière et la douceur orageuse, mais sur le moment, il lui sembla alors que c'aurait été la chose la plus haïssable. En heurtant le sol dur, le sango poussa un couinement à demi étouffé, sans doute trop aiguë pour le crédibiliser, mais ne chercha pas à s'échapper malgré tout. Le souffle épuisé par le manque d'endurance, le diablotin qui ne l'était pas tant ferma les yeux pour esquiver la déception qui pointait sans doute dans le regard du chinois. Après tout, il était un homme. Les craintes volubiles découlant du fait d'avoir été repoussé quant à son genre, son physique potentiellement déplaisant, son âge et le rôle qu'il jouait auprès de lui s'évincèrent en une seconde, un regard, sa présence. Malgré sa vue abandonnée au profit de ses autres sens décuplés, le noiraud étira ses lèvres en un sourire à peine perceptible, remontant ses mains dans le dos du hongkongais revendiquant son rôle de conquérant.
Il devait tout de même avoir une saveur particulière. Celle d'un garçon qui avait appris le mode d'emploi par cœur, qui s'était entraîné mille fois ailleurs pour savoir comment faire le moment venu, et qui pourtant s'en retrouvait les bras ballants d'incompétence. Timidement, Tasyr partageait chacun de ses baisers, rougissait sa bouche pulpeuse de ses morsures maladroites. Sa main gauche longea son dos jusqu'à sa nuque, dériva sur son épaule, et traça le chemin en sens inverse jusqu'à son ventre dont il agrippa le tissus. En le tirant plus près de lui, il espérait anéantir la crainte de le voir se relever, et disparaître. Pas après avoir attendu et envoyé les signaux si longtemps. Ses ongles raclèrent la surface de son dos large, se moquant d'abîmer ce qui le couvrait ; ses lèvres quittèrent les siennes pour apposer leur sceau sur la ligne de sa mâchoire et se retrouver dans son cou. Le maknae appréciait, c'était peu dire, de le découvrir d'une manière plus intime, d'apprendre de son corps les courbes et la douceur, la saveur, pour encrer dans sa mémoire les détails qu'il lui manquaient pour parfaite son image actuelle. « T'es encore plus musclé que je pensais.. » La glace avait fondu pour l'innocence qu'il cachait sous ses grands airs, et il avait hoqueté de découvrir que, sous le haut dont il avait bravé la frontière, sous ses doigts curieux, se dessinaient des traits plus puissants que dans sa mémoire. You should be treated with a warning. Can't you see ? It's slowly killing me.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Mar 6 Jan - 18:06 Citer EditerSupprimer
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i feel stupid and contagious, here we are now, entertain us. Jamais Dewei n'aurait pensé que les choses tourneraient un jour ainsi. Destiné à ce faire la guerre, s'en était une bien étrange qu'ils se livraient à présent, allongés à même le sol, l'un surplombant l'autre et s'embrassant, oui s'embrassant avec une certaine sauvagerie que le chinois connaissait peu. C'était presque désespéré tant il était tiraillé par deux émotions totalement opposées. Continuer ou le repousser. Et pourtant il restait à sa place, poussait par une force invisible l’empêchant de ses relever. Il jouait de ses lèvres la bataille imaginaire qu'il se croyait livrer. Quel était le but ? Aucune idée, mais il s'acharnait parce qu'au final c'était beaucoup trop bon pour y mettre un terme si tôt. Ses mains sur le planché étaient crispé, le froissaient. Ses ongles courts raclant le par terre durement, significatif du tourment qui l'habitait, ses jointures devenant doucement violette sous la pression qu'il exerçait. C'était mal, du moins, c'est ce qu'il croyait. Son esprit beaucoup trop fermé, ne pouvait se résoudre à comprendre qu'il s'agissait bien d'un homme qui laissait des traces rougeâtre et délicieusement douloureuses sur son dos à mesure qu'il le griffait. Qu'il s'agissait de Tasyr par dessus le marché. Les picotements au creux de son ventre démontraient bien des choses, des choses qu'une fille pouvait lui faire ressentir à l'origine et ça l'effrayait, parce que c'était nouveau et la nouveauté Dewei n'aimait pas, sauf celle là il faut croire. Perdu complètement, il ne songeait à rien, hormis les doigts froids du syrien contre sa peau brûlante à lui, il étouffait. Le corps du plus âgé réagissait seul, son cerveau étant passé en mode off au moment même ou leurs bouches c'étaient entrechoquées pour la première fois. Et bordel, c'était bon.
Sa bouche délaissée pour sa mâchoire, Le chinois pouvait enfin respirer à grand goulée l'air qui lui manquait les secondes d'avant. Il en avait même oublié de respirer tant c'était enivrant et déconcertant pour lui. Les yeux à demi clos il tentait de calmer sa respiration affolée, en vain. Et Tasyr ne l'aida en rien lorsqu'il se glissa contre ses abdos. Le temps se figea à cet instant et Dewei osa enfin regarder à nouveau son vis à vis. Une réflexion qui aurait pu passer inaperçu, le stoppa et il se raidi de tout son long, comme si la réalité des choses venait de le frapper à l'instant. Une grande inspiration passée, les bras flageolant sous le poids de son corps qui commençait à peser, il dû lancer au plus jeune un regard perturbé, désorienté. Il ne savait plus. « Qu'est ce qu'on est entrain de foutre. » Il avait murmuré ça, tout en pliant les bras, prenant désormais appuie sur ses coudes, rapprochant sans le vouloir leur deux corps malmenés. « Ça rime à quoi, c'est quoi ? » son souffle brûlant butait contre la bouche gonflée du syrien, un rire lui échappa, tandis qu'il avait dégagé l'un de ses bras de l'encadrement qu'il faisait autour du visage de l'autre. Sa main enfin libre avait glissé le long du buste du plus jeune, se faufilant ensuite sous son t-shirt ou il laissa ses doigts effleurer fébrilement cette peau qu'il n'aurait jamais pensé toucher ainsi. Comme un enfant, il l'embrassa simplement, avant de reculer sa tête à nouveau, le visage déformé par le trop pleins de sentiments. Il ferma les yeux à nouveau, se persuadant que tout ça n'était pas réel et au moment ou il les rouvrit, il comprit que si. Sans vraiment réfléchir, sentant qu'il allait de toute évidence tout arrêter encore une fois, son bassin se colla violemment contre celui de Tasyr. Choque électrique. Et son visage plongea dans cette nuque attirante qui semblait l'appeler. Un coup de langue, puis un coup de croc un asséné fortement. C'était beaucoup trop pour lui, mais il en voulait encore plus, parce que ça lui plaisait, parce que ça l'enivrait, parce qu'il aimait ça, plus que de raison.i'm worse at what i do best, and for that gift i feel blessed.
Sa bouche délaissée pour sa mâchoire, Le chinois pouvait enfin respirer à grand goulée l'air qui lui manquait les secondes d'avant. Il en avait même oublié de respirer tant c'était enivrant et déconcertant pour lui. Les yeux à demi clos il tentait de calmer sa respiration affolée, en vain. Et Tasyr ne l'aida en rien lorsqu'il se glissa contre ses abdos. Le temps se figea à cet instant et Dewei osa enfin regarder à nouveau son vis à vis. Une réflexion qui aurait pu passer inaperçu, le stoppa et il se raidi de tout son long, comme si la réalité des choses venait de le frapper à l'instant. Une grande inspiration passée, les bras flageolant sous le poids de son corps qui commençait à peser, il dû lancer au plus jeune un regard perturbé, désorienté. Il ne savait plus. « Qu'est ce qu'on est entrain de foutre. » Il avait murmuré ça, tout en pliant les bras, prenant désormais appuie sur ses coudes, rapprochant sans le vouloir leur deux corps malmenés. « Ça rime à quoi, c'est quoi ? » son souffle brûlant butait contre la bouche gonflée du syrien, un rire lui échappa, tandis qu'il avait dégagé l'un de ses bras de l'encadrement qu'il faisait autour du visage de l'autre. Sa main enfin libre avait glissé le long du buste du plus jeune, se faufilant ensuite sous son t-shirt ou il laissa ses doigts effleurer fébrilement cette peau qu'il n'aurait jamais pensé toucher ainsi. Comme un enfant, il l'embrassa simplement, avant de reculer sa tête à nouveau, le visage déformé par le trop pleins de sentiments. Il ferma les yeux à nouveau, se persuadant que tout ça n'était pas réel et au moment ou il les rouvrit, il comprit que si. Sans vraiment réfléchir, sentant qu'il allait de toute évidence tout arrêter encore une fois, son bassin se colla violemment contre celui de Tasyr. Choque électrique. Et son visage plongea dans cette nuque attirante qui semblait l'appeler. Un coup de langue, puis un coup de croc un asséné fortement. C'était beaucoup trop pour lui, mais il en voulait encore plus, parce que ça lui plaisait, parce que ça l'enivrait, parce qu'il aimait ça, plus que de raison.i'm worse at what i do best, and for that gift i feel blessed.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Mer 7 Jan - 17:19 Citer EditerSupprimer
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My body's aching, aching for your touch. Il le sentait désorienté, peut-être même indécis ou blessé. Tasyr non plus ne cautionnait aucunement ce qu'il se passait, laissant son esprit se soumettre à la volonté et l'ardeur qu'il mettait à découvrir le corps de son homologue, autorisant ses lèvres à se perdre contre les siennes. Le mal était fait et qu'importe jusqu'où ils allaient désormais ; penser ainsi était sa façon de rassurer ses muscles qui se tendaient à certains instants. Il n'imaginait même pas le futur proche et les répercussions de leur acte, ses sourcils froncés témoignant de la concentration dont il usait pour profiter de chaque seconde afin de ne rien perdre. Ses doigts blancs longeant la ligne de ses abdominaux sculptés, sa bouche suivant la courbe discrète de sa jugulaire, le syrien tentait vainement de taire ses soupires contre sa peau en alimentant lui même du fait son souffle saccadé. Au fil des secondes, ce dernier le sentait néanmoins se tendre, se stopper parfois. Lorsqu'il cherchait à s'éloigner, le sango le rattrapait en saisissant l'intérieur de son haut, le tirant sans douceur contre lui. « Je sais pas et je veux pas savoir d'ailleurs. » Ses pensées étaient à son image à l'instant : incohérentes, épuisées de tenter de se raisonner, et c'était bien mieux. De même, par crainte de le voir se reprendre, il refusait à ce que Dewei retrouve cette raison qu'il s'était évertué à perdre lui-même.
Tasyr se sentait en une étrange position de force pour la première fois. Un goût âcre qu'il redécouvrait, et qui ne lui plaisait guère lorsque c'était avec le hongkongais. De ce qu'il faisait, des gestes qu'il lui accordait émanait une forme de doute qui ne lui ressemblait pas, ne lui sciait pas. Il détacha ses lèvres de son cou pour reposer sa tête sur le sol, le regard rivé inconsciemment vers cette bouche qu'il avait rougie de ses baisers et morsures multiples ; son souffle contre le sien. « Arrête de réfléchir je t'ai dis, hm.. » son murmure échoué au creux de son oreille, le diablotin ferma les yeux en creusant le ventre au passage de sa main en quête de découverte. Il ignorait s'il avait déjà porté un quelconque regard sur son corps et craignait de devoir subir les assauts de sa curiosité face aux marques multiples qui striaient sa peau. Taz ne porta pas d'intérêt à son baiser bref, occupé à profiter de ses caresses sur son corps chaud, les yeux entrouverts et voilés par le désir. Il hoqueta de surprise mais non pas de mécontentement alors que leurs bassins se rapprochaient violemment, tournant la tête sur le côté, s'arquant même brièvement au passage de ses dents s'enfonçant un peu trop dans sa chair convoitée. Il préférait bien mieux le voir prendre les rennes, dissiper cette incertitude, être brutal et déraisonné.
Il était maladroit, trop insistant ou trop peu téméraire selon les moments et les gestes à esquisser, mais ne déméritait pas d'essayer. Une once d'espoir lui fit songer que, quoiqu'il arrive, ça n'était qu'une habitude à prendre, mais le plus jeune fut rattrapé par la réalité trop dure à ses yeux. Il aimait un homme, et s'il n'avait pas pensé que ce serait aussi plaisant, il savait qu'il fallait profiter avant que tout ne touche à son terme. Tasyr remonta sa jambe pliée à l'arrière des genoux de Dewei pour lui rendre difficile une potentielle escapade couarde, reprenant ses gestes sur son ventre en remontant peu à peu de façon précisée sur son torse. Le presque-homme traça une courbe à l'aide de ses ongles pour remonter jusqu'à son épaule et terminer sa course sur ses côtes, passant brièvement son pouce sur son téton durant. Finalement, par sécurité, il ancra ses deux mains sur sa taille et réclama un baiser, ses hanches collées aux siennes se mouvant dans un geste difficile et lent obligé par la position dans laquelle il se trouvait. Il avait ce sentiment de brûler de l'intérieur, d'étouffer, d'être oppressé par son pantalon comme s'il se resserrait peu à peu.Like fire in my veins.. Sweet veins. I know you're dangerous.
Tasyr se sentait en une étrange position de force pour la première fois. Un goût âcre qu'il redécouvrait, et qui ne lui plaisait guère lorsque c'était avec le hongkongais. De ce qu'il faisait, des gestes qu'il lui accordait émanait une forme de doute qui ne lui ressemblait pas, ne lui sciait pas. Il détacha ses lèvres de son cou pour reposer sa tête sur le sol, le regard rivé inconsciemment vers cette bouche qu'il avait rougie de ses baisers et morsures multiples ; son souffle contre le sien. « Arrête de réfléchir je t'ai dis, hm.. » son murmure échoué au creux de son oreille, le diablotin ferma les yeux en creusant le ventre au passage de sa main en quête de découverte. Il ignorait s'il avait déjà porté un quelconque regard sur son corps et craignait de devoir subir les assauts de sa curiosité face aux marques multiples qui striaient sa peau. Taz ne porta pas d'intérêt à son baiser bref, occupé à profiter de ses caresses sur son corps chaud, les yeux entrouverts et voilés par le désir. Il hoqueta de surprise mais non pas de mécontentement alors que leurs bassins se rapprochaient violemment, tournant la tête sur le côté, s'arquant même brièvement au passage de ses dents s'enfonçant un peu trop dans sa chair convoitée. Il préférait bien mieux le voir prendre les rennes, dissiper cette incertitude, être brutal et déraisonné.
Il était maladroit, trop insistant ou trop peu téméraire selon les moments et les gestes à esquisser, mais ne déméritait pas d'essayer. Une once d'espoir lui fit songer que, quoiqu'il arrive, ça n'était qu'une habitude à prendre, mais le plus jeune fut rattrapé par la réalité trop dure à ses yeux. Il aimait un homme, et s'il n'avait pas pensé que ce serait aussi plaisant, il savait qu'il fallait profiter avant que tout ne touche à son terme. Tasyr remonta sa jambe pliée à l'arrière des genoux de Dewei pour lui rendre difficile une potentielle escapade couarde, reprenant ses gestes sur son ventre en remontant peu à peu de façon précisée sur son torse. Le presque-homme traça une courbe à l'aide de ses ongles pour remonter jusqu'à son épaule et terminer sa course sur ses côtes, passant brièvement son pouce sur son téton durant. Finalement, par sécurité, il ancra ses deux mains sur sa taille et réclama un baiser, ses hanches collées aux siennes se mouvant dans un geste difficile et lent obligé par la position dans laquelle il se trouvait. Il avait ce sentiment de brûler de l'intérieur, d'étouffer, d'être oppressé par son pantalon comme s'il se resserrait peu à peu.Like fire in my veins.. Sweet veins. I know you're dangerous.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Mar 13 Jan - 18:40 Citer EditerSupprimer
Il fuyait son regard désespérément, tentant de ne pas flancher sans pour le moins arrêter ses actions contre lui. C'était beaucoup pour Dewei, beaucoup trop à supporter à assumer et à assimiler en si peu de temps. Il aimait ça, il prenait son pied quant à ce qui était entrain de se passer et le problème était bien là. Comment était-il possible qu'un homme ou du moins, un garçon lui fasse cet effet là. Il y'a ces personnes que l'on croise et que nous retourne, Tasyr avait déclenché un torrent dans son être. Il avait tout balayé, tout foutu en l'air. Il lui avait fait cet effet là et inconsciemment, le chinois était persuadé qu'il ne ressentirait ce genre de chose qu'avec lui et personne d'autre.
Son corps, tantôt raidi, tantôt non, se mouvait, guidé par un instinct venu d'ailleurs. Il ne savait pas quoi faire et n'avait de toute façon pas la possibilité de faire grand chose, vu la posture dans laquelle il était. Arrêter de réfléchir. Son regard greffé dans celui de l'autre, leur souffle buttant l'un contre l'autre de façon enivrante, il soupira faiblement. « Ok. » et comme si, sa seule voix avait suffit à faire partir ses craintes, Dewei les chassa aussitôt, peut-être un peu trop désireux pour tout faire foirer à nouveau. Ne doutant plus de rien, il se laissa aller, sans réfléchir à quoi faire, laissant son corps assouvir ses envies tout seul. Son bassin commençait doucement à bouillonner, son cœur dans sa cage thoracique battait à tout rompre à tel point qu'il pensait un instant que ce dernier allait lâcher et sortir de sa poitrine. Sa bouche dans le cou de l'autre, exerçait de faible pressions mouillées entrecoupées de morsure plus ou moins poussées. Il grogna faiblement lorsqu'il se senti emprisonné, mais n'en s'en formalisa pas très longtemps, se contentant d'attaquer avec une certaine hargne la nuque du plus jeune, remontant jusqu'à sa mâchoire, puis une nouvelle fois il apposa ses lèvres contre les autres, comme ci ce geste, alors qu'il ne l'avait goutté que depuis peu, était devenu vitale pour lui.
Ne tenant plus vraiment sur ses bras, le chinois se dégagea de l'emprise exercée sur lui, repliant ses jambes et s'installant à cheval sur le bassin en dessous de lui. Le regard qu'il posait sur son homologue était tinté d'une fougue qu'il n'aurait pensé avoir vis à vis du syrien un jour, cette flamme qui l'animait, dansait lascivement dans ses orbites. Ses lèvres pincées, rougit par les assauts, il avait chaud, beaucoup trop chaud. Emprunt d'une folie, ou simplement ressentant le besoin de se débarrasser d'un vêtement tant son être bouillonnait, il se délesta de son t-shirt qu'il envoya valser derrière lui à l'aveuglette, découvrant son buste sculpté. Un sourire en coin étira ses lèvres, le même que d'habitude. Celui qui voulait dire beaucoup tout en restant énigmatique, un peu sa marque de fabrique même. Installé sur ses hanches, consciemment ou non, il influé une vague pression, ondulant faiblement son bassin, augmentant la chaleur dans son aine. Simplement, il plongea à nouveau sur sa bouche et dans un élan, échangea les positions. Lui aussi voulait pouvoir le toucher à sa guise. Son dos heurta le sol, et la différence de température lui fit échapper un soupire étouffé. L'une de ses mains agrippa le haut de Tasyr pour qu'il n'ose pas s'échapper tandis que la seconde se nicha dans le haut de son dos. Du bout des doigts, il retraça la ligne de sa colonne vertébrale et s'arrêta à la hauteur du pantalon. Il bref instant il se senti hésiter à encore, mais se résigna. Doucement, il glissa sa main curieuse sous le jeans, par dessus le boxer et fébrilement il flatta ses fesses attirantes avant de la poser sur l'une d'entre elles et de la presser fortement.« Ok. »
i love bad bitches
Il fuyait son regard désespérément, tentant de ne pas flancher sans pour le moins arrêter ses actions contre lui. C'était beaucoup pour Dewei, beaucoup trop à supporter à assumer et à assimiler en si peu de temps. Il aimait ça, il prenait son pied quant à ce qui était entrain de se passer et le problème était bien là. Comment était-il possible qu'un homme ou du moins, un garçon lui fasse cet effet là. Il y'a ces personnes que l'on croise et que nous retourne, Tasyr avait déclenché un torrent dans son être. Il avait tout balayé, tout foutu en l'air. Il lui avait fait cet effet là et inconsciemment, le chinois était persuadé qu'il ne ressentirait ce genre de chose qu'avec lui et personne d'autre.
Son corps, tantôt raidi, tantôt non, se mouvait, guidé par un instinct venu d'ailleurs. Il ne savait pas quoi faire et n'avait de toute façon pas la possibilité de faire grand chose, vu la posture dans laquelle il était. Arrêter de réfléchir. Son regard greffé dans celui de l'autre, leur souffle buttant l'un contre l'autre de façon enivrante, il soupira faiblement. « Ok. » et comme si, sa seule voix avait suffit à faire partir ses craintes, Dewei les chassa aussitôt, peut-être un peu trop désireux pour tout faire foirer à nouveau. Ne doutant plus de rien, il se laissa aller, sans réfléchir à quoi faire, laissant son corps assouvir ses envies tout seul. Son bassin commençait doucement à bouillonner, son cœur dans sa cage thoracique battait à tout rompre à tel point qu'il pensait un instant que ce dernier allait lâcher et sortir de sa poitrine. Sa bouche dans le cou de l'autre, exerçait de faible pressions mouillées entrecoupées de morsure plus ou moins poussées. Il grogna faiblement lorsqu'il se senti emprisonné, mais n'en s'en formalisa pas très longtemps, se contentant d'attaquer avec une certaine hargne la nuque du plus jeune, remontant jusqu'à sa mâchoire, puis une nouvelle fois il apposa ses lèvres contre les autres, comme ci ce geste, alors qu'il ne l'avait goutté que depuis peu, était devenu vitale pour lui.
Ne tenant plus vraiment sur ses bras, le chinois se dégagea de l'emprise exercée sur lui, repliant ses jambes et s'installant à cheval sur le bassin en dessous de lui. Le regard qu'il posait sur son homologue était tinté d'une fougue qu'il n'aurait pensé avoir vis à vis du syrien un jour, cette flamme qui l'animait, dansait lascivement dans ses orbites. Ses lèvres pincées, rougit par les assauts, il avait chaud, beaucoup trop chaud. Emprunt d'une folie, ou simplement ressentant le besoin de se débarrasser d'un vêtement tant son être bouillonnait, il se délesta de son t-shirt qu'il envoya valser derrière lui à l'aveuglette, découvrant son buste sculpté. Un sourire en coin étira ses lèvres, le même que d'habitude. Celui qui voulait dire beaucoup tout en restant énigmatique, un peu sa marque de fabrique même. Installé sur ses hanches, consciemment ou non, il influé une vague pression, ondulant faiblement son bassin, augmentant la chaleur dans son aine. Simplement, il plongea à nouveau sur sa bouche et dans un élan, échangea les positions. Lui aussi voulait pouvoir le toucher à sa guise. Son dos heurta le sol, et la différence de température lui fit échapper un soupire étouffé. L'une de ses mains agrippa le haut de Tasyr pour qu'il n'ose pas s'échapper tandis que la seconde se nicha dans le haut de son dos. Du bout des doigts, il retraça la ligne de sa colonne vertébrale et s'arrêta à la hauteur du pantalon. Il bref instant il se senti hésiter à encore, mais se résigna. Doucement, il glissa sa main curieuse sous le jeans, par dessus le boxer et fébrilement il flatta ses fesses attirantes avant de la poser sur l'une d'entre elles et de la presser fortement.« Ok. »
L'amour s'effraye ou s'égaye de tout; pour lui tout a un sens; tout lui est présage heureux ou funeste.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Mar 13 Jan - 21:33 Citer EditerSupprimer
that's my fuckin' problem
This was never the way I planned, not my intention. Le garçon était désemparé. Son souffle saccadé se perdait déjà, échappé de ses lèvres entrouvertes, tandis qu'il ne savait naïvement que faire. Clore les yeux ou non, activer ses mains sur son corps à nouveau au risque de paraître en faire trop, s'en tenir là et l'effrayer d'un trop peu. Finalement, résigné au compromis et manquant de dextérité, Tasyr détourna la tête sur le côté encore une fois, se laissant aller à ses morsures passionnelles en geignant parfois d'un excitant inconfort. Ses paupières fermées de moitié dévoilaient ses iris voilées par la luxure dont la teinte avait viré au quasi-noir, ses iris rivées sur le mur humide du lieu. Ses mains ne cessaient d'aller et venir timidement sur ce torse dessiné d'une plume experte, en douceur comme craignant de briser ce roc pourtant solide. Il l'avait désiré, il l'avait voulu, et pourtant maintenant que les choses se déroulaient tel qu'il l'avait mille fois honteusement imaginé, il ne savait plus que faire. Ça n'était pas étonnant : face à ce que son âme souhaitait à l'unisson avec son cœur, son corps faisait barrière et refusait de se mouvoir pour assouvir ses envies. Pas avec un homme. Sa lucidité semblait faire quelques apparitions par sursauts, comme présentement, mais il suffit une fois encore que ses lèvres ne retrouvent les siennes pour annihiler ce soubresaut raisonnable. Son hésitation rendue légitime par la crainte de le voir s'en aller au premier faux pas.
A ce geste devenu nécessaire dont il se savait désormais incapable de se passer, le diablotin retrouva sa mobilité et joignit ses mains sur sa nuque. Lascivement, dans un geste à but purement provocant, il planta ses dents dans la chair déjà malmenée de son aîné en s'autorisant même à passer le bout de sa langue sur chacune des plaies superficielles qu'il laissait. Tasyr fronça les sourcils en le sentant se redresser, retroussa son nez en une moue déçue, prit appuie sur ses coudes. Ses yeux sombres parcouraient son corps, l'enveloppant de la brûlure vive du désir dont il laissait la trace à chacun de ses regards. « Tu fais quoi.. » Péniblement face à la vision soudaine qu'il lui offrait, il se sentit à la fois pâlir de honte et rougir d'embarras. Sa tête se renversa en arrière, la pression qu'il exerçait sur le bas de son ventre à la fois douloureuse et délectable. Il n'était pas aussi bien bâti que lui, le contraire était même une évidence. Il craignait avant tout, à l'image d'une première fois, ne pas lui plaire, le rebuter, manquant de confiance en lui. L'un après l'autre, ses doigts effleurèrent jusqu'à s'y poser cette peau dorée, la massant de la pression qu'il déchargeait de ses pouces. Et une fois encore par la suite, il ne saisit pas bien comment ou pourquoi il se retrouva ainsi, mais n'en dit rien. Il était habitué à ce que tout change si brusquement sous sa décision souveraine. Face à Dewei, il n'était qu'un pantin.
Le surplombant désormais, le syrien posa le plat de ses deux mains sur son ventre, la tête baissée, le visage caché par ses mèches noires retombées. Sa respiration haletante masquait ses râles légers sous ses propres déhanchés grâce auxquels il maintenait l'excitation de son corps présente. Il flirtait avec son bassin à l'aide du sien déjà réactif, éveillé. Cette main sur ses fesses semblait brûlante, son corps s'embrasait, son souffle était feu, son regard brasier étincelant. Tout n'était qu'un enfers envoûtant qui le consumait de parts et d'autres. « Je.. Je crois que je sais même plus de quoi tu parles. » Le sango haussa les épaules en signes d'indifférence et les voûta en se penchant en avant, reculant pour s'asseoir sur ses cuisses. Ses lèvres qu'il posa sur les siennes chastement comme un accord dérivèrent sur son menton et sur sa gorge peu de temps, furtivement. Lorsqu'il se retrouva confronté à ses clavicules, il marqua un bref temps d'arrêt soldé par un soupire résigné. A son plus grand damne, contre sa volonté, de cette soirée avec Hak Cha persistaient quelques souvenirs qu'il aurait préféré oublier. Un écart conséquent qu'il regrettait, mais à qui il devait au moins le minimum de connaissances du corps humain qu'il tenait. Son souffle traînant s'écrasa sur sa peau jusqu'à sa poitrine avant qu'il ne se décide à capturer entre ses dents la bille de chair plus à l'ouest tout en délicatesse. Sa main posée sur son ventre migra elle aussi ailleurs, raclant de ses ongles courts l'intérieur de sa cuisse sans jamais oser se perdre à des endroits plus dangereux, ne faisant qu'effleurer cet accès encore interdit du dos de ses doigts. Just wanna try you on. I'm curious for you, caught my attention.
A ce geste devenu nécessaire dont il se savait désormais incapable de se passer, le diablotin retrouva sa mobilité et joignit ses mains sur sa nuque. Lascivement, dans un geste à but purement provocant, il planta ses dents dans la chair déjà malmenée de son aîné en s'autorisant même à passer le bout de sa langue sur chacune des plaies superficielles qu'il laissait. Tasyr fronça les sourcils en le sentant se redresser, retroussa son nez en une moue déçue, prit appuie sur ses coudes. Ses yeux sombres parcouraient son corps, l'enveloppant de la brûlure vive du désir dont il laissait la trace à chacun de ses regards. « Tu fais quoi.. » Péniblement face à la vision soudaine qu'il lui offrait, il se sentit à la fois pâlir de honte et rougir d'embarras. Sa tête se renversa en arrière, la pression qu'il exerçait sur le bas de son ventre à la fois douloureuse et délectable. Il n'était pas aussi bien bâti que lui, le contraire était même une évidence. Il craignait avant tout, à l'image d'une première fois, ne pas lui plaire, le rebuter, manquant de confiance en lui. L'un après l'autre, ses doigts effleurèrent jusqu'à s'y poser cette peau dorée, la massant de la pression qu'il déchargeait de ses pouces. Et une fois encore par la suite, il ne saisit pas bien comment ou pourquoi il se retrouva ainsi, mais n'en dit rien. Il était habitué à ce que tout change si brusquement sous sa décision souveraine. Face à Dewei, il n'était qu'un pantin.
Le surplombant désormais, le syrien posa le plat de ses deux mains sur son ventre, la tête baissée, le visage caché par ses mèches noires retombées. Sa respiration haletante masquait ses râles légers sous ses propres déhanchés grâce auxquels il maintenait l'excitation de son corps présente. Il flirtait avec son bassin à l'aide du sien déjà réactif, éveillé. Cette main sur ses fesses semblait brûlante, son corps s'embrasait, son souffle était feu, son regard brasier étincelant. Tout n'était qu'un enfers envoûtant qui le consumait de parts et d'autres. « Je.. Je crois que je sais même plus de quoi tu parles. » Le sango haussa les épaules en signes d'indifférence et les voûta en se penchant en avant, reculant pour s'asseoir sur ses cuisses. Ses lèvres qu'il posa sur les siennes chastement comme un accord dérivèrent sur son menton et sur sa gorge peu de temps, furtivement. Lorsqu'il se retrouva confronté à ses clavicules, il marqua un bref temps d'arrêt soldé par un soupire résigné. A son plus grand damne, contre sa volonté, de cette soirée avec Hak Cha persistaient quelques souvenirs qu'il aurait préféré oublier. Un écart conséquent qu'il regrettait, mais à qui il devait au moins le minimum de connaissances du corps humain qu'il tenait. Son souffle traînant s'écrasa sur sa peau jusqu'à sa poitrine avant qu'il ne se décide à capturer entre ses dents la bille de chair plus à l'ouest tout en délicatesse. Sa main posée sur son ventre migra elle aussi ailleurs, raclant de ses ongles courts l'intérieur de sa cuisse sans jamais oser se perdre à des endroits plus dangereux, ne faisant qu'effleurer cet accès encore interdit du dos de ses doigts. Just wanna try you on. I'm curious for you, caught my attention.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Jeu 15 Jan - 3:55 Citer EditerSupprimer
i love bad bitches
Une voix au fond de lui, quelque part enfouie bien profondément lui hurlait de s'en aller, d'arrêter ça sous peine de le regretter par la suite. De temps à autre, il avait des sursauts de prise de conscience, ses paupières alors se fermaient fortement et c'est ainsi qu'il oubliait tout ou du moins se conditionnait et faisait abstraction. Il aurait pu s'en aller dés le début, prendre ses jambes à son coup et partir comme il savait si bien le faire désormais. Mais pourtant il restait. Parce le touché de Tasyr l’électrisait à l'en rendre malade. Parce que ses lèvres étaient devenue une addiction, parce que son corps bouillonnait de toute part et qu'il était entrain de virer barge. Il ne voulait pas avoir conscience de ce qui se déroulait, préférant vivre l'instant sur le moment, profiter, quitte à s'en mordre les doigts après, tant pis, il en avait envie. Un instant Dewei avait songé que ce n'était pas possible autrement, que ça ne pouvait pas être tombé du ciel et que peut-être, il espérait ça depuis un moment déjà. Tout était beaucoup trop flou, ses sens brouillés, et sa raison envolée. Seul le bruit que provoquait son souffle affolé mêlé à celui du syrien résonnait à ses oreilles en une litanie enivrante. Il voulait plus, toujours plus, encore plus. Il devenait fou, fou de leurs action, fou de lui et à cet instant, dans cette cabane humide, ça lui allait.
Le froid du sol lui faisait du bien, il ne comprenait plus rien et n'essayait même plus de saisir quoi que ce soit, se laissant guider par son envie qui, à mesure que les secondes passaient, grandissait toujours un peu plus. Sa main aventureuse se contentait d'infliger des caresses plus ou moins poussées sur le fessier offert. L'autre le long dans son dos le griffait partiellement tandis qu'il subissait avec ferveur les baisers qu'on lui prodiguait. « Fermes la.. » Son murmure fut coupé par un soupire qu'il aurait voulu dissimuler, mais il ne pouvait pas, il ne pouvait plus. Sa tête légèrement penchée en arrière, la bouche ouverte pour rechercher l'air qui lui manquait, ses yeux étaient à demi clos. Soumis pour une fois il n'osait bouger, beaucoup trop attentif et désireux d'un plus qu'il souhaitait connaître. Son ventre se levait et s'abaissait de manière régulière et pourtant désordonné à la fois. Dewei avait comme par magie oublié comment respirer convenablement. Sa main dans le dos de l'autre remonta en traînant jusque dans ses cheveux qu'il agrippa fortement. C'était plus court que ceux à quoi il était habitué, mais encore une fois, ça lui allait. Brusquement, son corps s'arqua sans prévention lorsqu'il se senti mordillé. La main qui fourrageait la crinière de l'autre alla s'abattre dans la sienne avant de passer sur son visage puis de regagner le sol et il se redressa difficilement. La vision qui lui apparu le fit partir un peu plus et inconsciemment son sourire en coin se greffa à sa bouche délaissée. Ses doigts taquins quittèrent leur place, glissant sous le t-shirt du syrien, passant sur son dos finement dessiné d'abord puis sur trouvant sur ses hanches dans lesquels il planta ses ongles sans douceur. Bien qu'il ait retiré son haut, il avait toujours aussi chaud. Dans son dos il pouvait sentir des petites gouttes dégringoler agréablement. Sa bouche toujours entrouverte laissait échapper des sons rauques et des soupires incontrôlés. Son bassin roulait toujours contre son autre et le chinois commençait à se sentir à l’étroit au niveau du bas.« plus.. » La folie le gagnait désormais.
A cet instant, à cet vison, Tasyr jouant de ses lèvres contre lui, il se fît la réflexion qu'il avait envie de l'embrasser encore et toujours, mais il n'y fit rien. La sensation que l'autre lui prodiguait étant beaucoup trop forte pour qu'il n'y mette un terme. Il se sentait devenir fou, et il s'en contenta.
Le froid du sol lui faisait du bien, il ne comprenait plus rien et n'essayait même plus de saisir quoi que ce soit, se laissant guider par son envie qui, à mesure que les secondes passaient, grandissait toujours un peu plus. Sa main aventureuse se contentait d'infliger des caresses plus ou moins poussées sur le fessier offert. L'autre le long dans son dos le griffait partiellement tandis qu'il subissait avec ferveur les baisers qu'on lui prodiguait. « Fermes la.. » Son murmure fut coupé par un soupire qu'il aurait voulu dissimuler, mais il ne pouvait pas, il ne pouvait plus. Sa tête légèrement penchée en arrière, la bouche ouverte pour rechercher l'air qui lui manquait, ses yeux étaient à demi clos. Soumis pour une fois il n'osait bouger, beaucoup trop attentif et désireux d'un plus qu'il souhaitait connaître. Son ventre se levait et s'abaissait de manière régulière et pourtant désordonné à la fois. Dewei avait comme par magie oublié comment respirer convenablement. Sa main dans le dos de l'autre remonta en traînant jusque dans ses cheveux qu'il agrippa fortement. C'était plus court que ceux à quoi il était habitué, mais encore une fois, ça lui allait. Brusquement, son corps s'arqua sans prévention lorsqu'il se senti mordillé. La main qui fourrageait la crinière de l'autre alla s'abattre dans la sienne avant de passer sur son visage puis de regagner le sol et il se redressa difficilement. La vision qui lui apparu le fit partir un peu plus et inconsciemment son sourire en coin se greffa à sa bouche délaissée. Ses doigts taquins quittèrent leur place, glissant sous le t-shirt du syrien, passant sur son dos finement dessiné d'abord puis sur trouvant sur ses hanches dans lesquels il planta ses ongles sans douceur. Bien qu'il ait retiré son haut, il avait toujours aussi chaud. Dans son dos il pouvait sentir des petites gouttes dégringoler agréablement. Sa bouche toujours entrouverte laissait échapper des sons rauques et des soupires incontrôlés. Son bassin roulait toujours contre son autre et le chinois commençait à se sentir à l’étroit au niveau du bas.« plus.. » La folie le gagnait désormais.
A cet instant, à cet vison, Tasyr jouant de ses lèvres contre lui, il se fît la réflexion qu'il avait envie de l'embrasser encore et toujours, mais il n'y fit rien. La sensation que l'autre lui prodiguait étant beaucoup trop forte pour qu'il n'y mette un terme. Il se sentait devenir fou, et il s'en contenta.
Il devenait dingue de lui, il avait envie de lui.
Lui, un homme, Tasyr. Mais c'était ok.
Lui, un homme, Tasyr. Mais c'était ok.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Jeu 15 Jan - 14:33 Citer EditerSupprimer
that's my fuckin' problem
I kissed a boy and I liked it. The taste of his wild chapstick. Le corps brûlant qu'il surplombait lui donnait une position de force aussi satisfaisante que déroutante. Ses mains s'évertuaient à le découvrir, ancrer une image de lui plus intime dans un coin personnel de son cerveau, une image qu'il refusait et d'oublier et de partager. Son souffle saccadé en accord au sien, ses lèvres rougies d'assauts furieux. Sa lucidité flouée par la situation, il perdait inexorablement pied, sombrait dans des abysses inconnues. Quoiqu'il puisse arriver, le cœur palpitant de furieux à-coups qui soulevait son poitrail lui certifiait que c'était la bonne solution. Cette situation qui lui plaisait, cette ardeur à le marquer qui l'enveloppait, le garçon l'avait attendue depuis longtemps, ça n'était pas anodin. Il s'était oublié il y a longtemps face à lui, préférant s'écraser pour lui plaire, encaisser pour ne pas le brusquer, et ne le couver du regard que lorsqu'il lui montrait son dos. Du moins jusqu'à peu, jusqu'à ce qu'il comprenne ce qui lui tordait les tripes, jusqu'à ce qu'il sache à quel point cette dépendance et cette addiction lui étaient nécessaires et douces, pourtant vénéneuses. Il le désirait lui dans son entièreté, dans cette façon violence qu'il avait de le marquer au fer rouge de ses phalanges en poing, de son regard assuré à ses jambes musclées, de son bassin enflammé à ces discrètes billes jumelles qu'il mordillait avec passion. L'amour. Sous toutes ses formes et tous les actes qu'il se plaisait à quémander. Lui appartenir, et se rendre indispensable.
Tasyr ne l'avait jamais vu si essoufflé pour si peu, et pourtant si prompt à donner davantage ou du moins le percevait-il ainsi. Sa fierté mise de côté pour rendre le hongkongais fou, les joues rougies de sa propre audace, il fermait les yeux pour oublier un tant soit peu ce qu'il était en train de faire. Mais non pas ce qu'il, ce Némésis, était en train de faire de lui. Son corps perlant sous la suffocation, il entrouvrit les lèvres en geignant désagréablement, délaissant son téton sous la pression de ses doigts, de ses ongles. Ça n'était pourtant qu'une infime douleur dont il se savait récepteur avec plaisir, étirant le coin de ses lèvres contre sa peau en un sourire satisfait. Cet inconfort de dominer s'était transformé en véritable contentement, le syrien manipulait son corps de ses mains, de sa bouche, de ses dents, les réactions de son homologue se faisant sentir contre le bas de son corps. « Si tu veux. » Malgré tout, le diablotin était encore incapable d'apposer sa propre volonté et ses désirs et concédait tout à Dewei. Mais n'avait-ce pas toujours été ainsi ? Il remonta lentement, son corps plaqué au sien pour s'assurer d'un contact étroit de leurs bassins à ce geste, capturant une fois encore ses lèvres en de chauds baisers brefs ponctués de son besoin d'air.
Pour satisfaire sa requête, instrument passionné de son plaisir, il se hâta de défaire les attaches de sa ceinture et abaissa son pantalon jusqu'à mi-cuisses, parsemant son cou et sa gorge de baisers mouillés, parfois dentus. Du plat de la main après une longue hésitation, le regard porté sur ses gestes, il effectua une légère pression sur son boxer. Gagnant en assurance au fil des secondes, le plus jeune transforma sa caresse timide en insidieux mouvements appuyés de bas en haut, la respiration plus erratique encore à ce touché si seulement ce fut possible. Sans cesser son jeu plaisant, il se redressa et passa outre les frontières morales qu'il s'était fixé, retirant son propre haut. « Touche moi aussi.. » Quand bien même son manège lui plaisait plus que de raison, le fait de sentir son corps brûler et se tendre sous le sien d'un état similaire, Tasyr se lassait progressivement du fait d'être laissé sur la touche, simplement survolé de frivoles caresses peu audacieuses. I know it's wrong, but it felt so right. That's mean I'm in love tonight.
Tasyr ne l'avait jamais vu si essoufflé pour si peu, et pourtant si prompt à donner davantage ou du moins le percevait-il ainsi. Sa fierté mise de côté pour rendre le hongkongais fou, les joues rougies de sa propre audace, il fermait les yeux pour oublier un tant soit peu ce qu'il était en train de faire. Mais non pas ce qu'il, ce Némésis, était en train de faire de lui. Son corps perlant sous la suffocation, il entrouvrit les lèvres en geignant désagréablement, délaissant son téton sous la pression de ses doigts, de ses ongles. Ça n'était pourtant qu'une infime douleur dont il se savait récepteur avec plaisir, étirant le coin de ses lèvres contre sa peau en un sourire satisfait. Cet inconfort de dominer s'était transformé en véritable contentement, le syrien manipulait son corps de ses mains, de sa bouche, de ses dents, les réactions de son homologue se faisant sentir contre le bas de son corps. « Si tu veux. » Malgré tout, le diablotin était encore incapable d'apposer sa propre volonté et ses désirs et concédait tout à Dewei. Mais n'avait-ce pas toujours été ainsi ? Il remonta lentement, son corps plaqué au sien pour s'assurer d'un contact étroit de leurs bassins à ce geste, capturant une fois encore ses lèvres en de chauds baisers brefs ponctués de son besoin d'air.
Pour satisfaire sa requête, instrument passionné de son plaisir, il se hâta de défaire les attaches de sa ceinture et abaissa son pantalon jusqu'à mi-cuisses, parsemant son cou et sa gorge de baisers mouillés, parfois dentus. Du plat de la main après une longue hésitation, le regard porté sur ses gestes, il effectua une légère pression sur son boxer. Gagnant en assurance au fil des secondes, le plus jeune transforma sa caresse timide en insidieux mouvements appuyés de bas en haut, la respiration plus erratique encore à ce touché si seulement ce fut possible. Sans cesser son jeu plaisant, il se redressa et passa outre les frontières morales qu'il s'était fixé, retirant son propre haut. « Touche moi aussi.. » Quand bien même son manège lui plaisait plus que de raison, le fait de sentir son corps brûler et se tendre sous le sien d'un état similaire, Tasyr se lassait progressivement du fait d'être laissé sur la touche, simplement survolé de frivoles caresses peu audacieuses. I know it's wrong, but it felt so right. That's mean I'm in love tonight.
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Re: [warning] We're bad bitches » D E S Y R | Dim 18 Jan - 2:10 Citer EditerSupprimer
i love bad bitches
La frénésie doucement s'infiltrait dans ses veines à mesure qu'il se détendait et se laissait aller sous ses doigts hésitant par moment, connaisseurs dans d'autres. Ses yeux perdu sur le garçon en face de lui, Dewei le détaillait comme jamais il ne l'avait fait, prenant un malin plaisir à distinguer chaque partie de lui, gravant tout détails utiles ou non dans sa mémoire. Étrangement, il ne voulait pas oublier ce moment qu'ils partageaient. C'était peut-être à cause de l'euphorie, il n'en savait rien, mais là maintenant, dans cette cabane, Tasyr avait pris une toute autre dimension à ses yeux. Il n'était plus le garçon agaçant et vomitif, il était l'homme qui lui retournait la tête comme personne n'avait su le faire auparavant. Et pourtant il était du même sexe que lui et pourtant tout aurait pu les séparer seulement non. Il ne voulait bouger, beaucoup trop bien sur le sol à sa merci. Il l'avait toujours songé, le Syrien serait un jour celui qui pourrait le tuer de ses mains, l'achever pour toujours et présentement il en avait l'opportunité. Le chinois était vulnérable, presque soumis au plus jeune, et cette position ne le rebutait pas un instant. Il n'aspirait qu'à profiter, qu'à le sentir aller plus loin encore et toujours et repousser les limites du résorbable. Il avait envie d'être touché, d'être mordu, d'être malmené et ouais, ça aussi c'était une première fois. La première fois qu'il baissait les armes, qu'il ne bronchait pas une seule seconde alors qu'il était en dessous, celui qui subissait et ça avec Tasyr, il ne connaissait pas, comme beaucoup de choses aujourd'hui.
Il perdait la tête, rien n'était plus que plaisir et débauche, il ne voyait plus rien, il n'y avait qu'eux deux. Juste eux et leur voix qui au fur et à mesure se révélaient faiblement. Son sang pulsait fortement, son corps frissonnait à la moindre caresse, il paraissait presque novice dans sa folie, ne sachant que toucher, ni même ou poser ses yeux curieux une bonne fois pour toute. Il l'embrassa, comme si ça vie en dépendait, tout était presque trop démesuré, c'était passionnel et excitant, l'interdit le faisait vibrer et il pensait que peut-être, c'est ce qui manquait à son existence les années passées. Ses mains toujours posées comme appuie sur le sol, il joua de sa langue tantôt, puis planta ses dents ensuite sur ses lèvres déjà bien abîmées. Plus encore plus, il en avait besoin, il voulait savoir jusqu’où son autre serait capable d'aller. Jusqu'où lui même serait capable d'avancer sans être bloqué. Lorsqu'il senti son pantalon voler en éclat, Dewei inspira profondément, baissant son regard vers son bas ventre pour admirer la scène qui se passait. Il remonta se dernier et planta ses orbites dans celui de son homologue, la bouche à demi ouverte, il était chaud et transpirait la luxure à plein nez. Ses inspirations était poussées et sous ces phalange il se sentait gonfler progressivement. Il suivit son mouvement lorsque le plus jeune ôta son t-shirt à son tour et c'est là qu'il comprit beaucoup de choses. De nombreuses cicatrices dispersées sur son torse, de façon incompréhensible, il senti son organe vital se tordre douloureusement et leva une nouvelle fois ses yeux pour les détourner. Il n'était pas dégoutté, ni même horrifié loin de là et il n'avait pas envie que Tasyr pense ainsi. Il n'écouta même pas sa requête qu'il se redressa, ses mains se posant sur son ventre qu'il griffa fortement. D'autre avaient laissés leurs marques, il en ferait de même. Sa bouche se posa sur son menton qu'il mordit faiblement, puis du bout de sa langue il retraça un trait imaginaire jusqu'à l'une de ses clavicules. Ses doigts se perdirent sur ses cuisses, déviant timidement vers l’intérieure de celles-ci. Son souffle erratique butait contre son torse et il remonta son visage face à l'autre, posant son front contre le sien. Les yeux clos, il lui lécha les lèvres brièvement, avant de les suçoter puis de les capturer à nouveau, resserrant en même temps son emprises sur son jeans.
« J'ai envie de toi.. » ses mots l'avaient quitté suavement, comme révélateur de quelque chose qu'il s’efforçait à nier. Ses yeux s'ouvrirent et sans vraiment comprendre comment ni pourquoi il se recula, comme giflé par une force inconnue. Il l'avait touché, l'avait embrassé, refoulant tout et ne pensant à rien seulement là, la réalité venait de le frappait en pleine face. Il avait envie de lui, son corps réagissait sous ses mains à lui. Son regard se voila d'une stupeur palpable et il attrapa ses mains, les retirant de leur emprise autre fois agréable. Sa respiration s'affola un peu plus encore, il ouvrit la bouche pour parler, mais seul un rire brisé en sortie. Prenant conscience de tout, Dewei eut envie de partir à nouveau alors qu'il c'était forcé à dégager cette idée de sa tête au début. Ses propres mots l'avaient atteint, lui avait fait du mal et lui avait surtout remit les pieds sur terre. La moral reprend toujours le dessus sur tout malheureusement. Non sans mal il détourna les yeux, il ne pouvait plus le voir. Il n'y arrivait pas. « Je peux pas faire ça. » Sa voix était dénuée d'émotion, comme éteinte. Simplement il le poussa, sans violence. Se levant, il remonta son pantalon par la même occasion et se dirigea vers la sortie. Il se sentait honteux de ce qu'il était entrain de faire, quelque part au fond de lui, on lui hurlait de rester, de ne pas faire le con, qu'il en avait envie après tout. Soupirant, il attrapa son haut qu'il ne prit même pas la peine de mettre et s'approcha de la sortie, ouvrant la porte lorsqu'il l'avait atteinte. Encore une fois il s'en allait. Encore une fois il était lâche. « Je suis désolé. » Mais cette fois-ci, il s'en voulait tellement.
Dis moi que tu me comprends et que tu me pardonneras.
Dis moi que tes lèvres chercheront toujours les miennes parce que je sais que.. Ce sera mon cas.
Tu es toi, je suis moi.
Peut-être que l'amour et la haine sont deux sentiments proches finalement..
Quelque chose a changé aujourd'hui, on en est conscient, mais c'est beaucoup trop tôt pour moi pour l'instant.
Il perdait la tête, rien n'était plus que plaisir et débauche, il ne voyait plus rien, il n'y avait qu'eux deux. Juste eux et leur voix qui au fur et à mesure se révélaient faiblement. Son sang pulsait fortement, son corps frissonnait à la moindre caresse, il paraissait presque novice dans sa folie, ne sachant que toucher, ni même ou poser ses yeux curieux une bonne fois pour toute. Il l'embrassa, comme si ça vie en dépendait, tout était presque trop démesuré, c'était passionnel et excitant, l'interdit le faisait vibrer et il pensait que peut-être, c'est ce qui manquait à son existence les années passées. Ses mains toujours posées comme appuie sur le sol, il joua de sa langue tantôt, puis planta ses dents ensuite sur ses lèvres déjà bien abîmées. Plus encore plus, il en avait besoin, il voulait savoir jusqu’où son autre serait capable d'aller. Jusqu'où lui même serait capable d'avancer sans être bloqué. Lorsqu'il senti son pantalon voler en éclat, Dewei inspira profondément, baissant son regard vers son bas ventre pour admirer la scène qui se passait. Il remonta se dernier et planta ses orbites dans celui de son homologue, la bouche à demi ouverte, il était chaud et transpirait la luxure à plein nez. Ses inspirations était poussées et sous ces phalange il se sentait gonfler progressivement. Il suivit son mouvement lorsque le plus jeune ôta son t-shirt à son tour et c'est là qu'il comprit beaucoup de choses. De nombreuses cicatrices dispersées sur son torse, de façon incompréhensible, il senti son organe vital se tordre douloureusement et leva une nouvelle fois ses yeux pour les détourner. Il n'était pas dégoutté, ni même horrifié loin de là et il n'avait pas envie que Tasyr pense ainsi. Il n'écouta même pas sa requête qu'il se redressa, ses mains se posant sur son ventre qu'il griffa fortement. D'autre avaient laissés leurs marques, il en ferait de même. Sa bouche se posa sur son menton qu'il mordit faiblement, puis du bout de sa langue il retraça un trait imaginaire jusqu'à l'une de ses clavicules. Ses doigts se perdirent sur ses cuisses, déviant timidement vers l’intérieure de celles-ci. Son souffle erratique butait contre son torse et il remonta son visage face à l'autre, posant son front contre le sien. Les yeux clos, il lui lécha les lèvres brièvement, avant de les suçoter puis de les capturer à nouveau, resserrant en même temps son emprises sur son jeans.
« J'ai envie de toi.. » ses mots l'avaient quitté suavement, comme révélateur de quelque chose qu'il s’efforçait à nier. Ses yeux s'ouvrirent et sans vraiment comprendre comment ni pourquoi il se recula, comme giflé par une force inconnue. Il l'avait touché, l'avait embrassé, refoulant tout et ne pensant à rien seulement là, la réalité venait de le frappait en pleine face. Il avait envie de lui, son corps réagissait sous ses mains à lui. Son regard se voila d'une stupeur palpable et il attrapa ses mains, les retirant de leur emprise autre fois agréable. Sa respiration s'affola un peu plus encore, il ouvrit la bouche pour parler, mais seul un rire brisé en sortie. Prenant conscience de tout, Dewei eut envie de partir à nouveau alors qu'il c'était forcé à dégager cette idée de sa tête au début. Ses propres mots l'avaient atteint, lui avait fait du mal et lui avait surtout remit les pieds sur terre. La moral reprend toujours le dessus sur tout malheureusement. Non sans mal il détourna les yeux, il ne pouvait plus le voir. Il n'y arrivait pas. « Je peux pas faire ça. » Sa voix était dénuée d'émotion, comme éteinte. Simplement il le poussa, sans violence. Se levant, il remonta son pantalon par la même occasion et se dirigea vers la sortie. Il se sentait honteux de ce qu'il était entrain de faire, quelque part au fond de lui, on lui hurlait de rester, de ne pas faire le con, qu'il en avait envie après tout. Soupirant, il attrapa son haut qu'il ne prit même pas la peine de mettre et s'approcha de la sortie, ouvrant la porte lorsqu'il l'avait atteinte. Encore une fois il s'en allait. Encore une fois il était lâche. « Je suis désolé. » Mais cette fois-ci, il s'en voulait tellement.
Dis moi que tu me comprends et que tu me pardonneras.
Dis moi que tes lèvres chercheront toujours les miennes parce que je sais que.. Ce sera mon cas.
Tu es toi, je suis moi.
Peut-être que l'amour et la haine sont deux sentiments proches finalement..
Quelque chose a changé aujourd'hui, on en est conscient, mais c'est beaucoup trop tôt pour moi pour l'instant.
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