Accueil
i wanna punch you ~ eui geon
Chi Ji Ni
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : son hyeju (loossemble)
Crédits : self (ava)
Messages : 1460
Âge : 25
i wanna punch you ~ eui geon | Mer 29 Nov - 23:46
✻✻✻ tu comptes tes respirations. une, deux, trois... tu tentes de te couper du monde extérieur, juste l'espace d'un instant pour retrouver ton calme. tu aimais te dire que tu étais quelqu'un de patient, d'ordinaire on pouvait même dire que tu l'étais. mais là alors que le personnel de tes parents s'affairaient autour de toi, tu te sentais bien seule, incapable de faire quoi que ce soit de bien, et ouais peut-être que tu étais fatiguée aussi, et que tu avais besoin de repos. ta mère t'avait demandé si tu voulais bien t'occuper de décorer la maison familiale, et sur le coup tu avais dit oui, parce que tu voulais lui faire plaisir, et aussi que tu adorais la période de noël, alors quoi de mieux ? sauf que tu ne t'imaginais pas tout le travail que ça allait te demander, et tu ne savais pas si tu allais y arriver. ta mère profitait toujours de cette période pour en mettre plein la vue, pour organiser des repas, de grandes soirées. alors chaque année, il fallait que tout soit parfait. et là... c'était loin d'être le cas. tu te rendais compte qu'une telle organisation, ce n'était pas de tout repos. et encore moins quand tu vais l'impression que rien n'allait comme il fallait. tu te laisses tomber sur le canapé derrière toi, cachant ton visage dans tes bras alors tu te plongeais dans tes pensées à la recherche d'une solution. tu entends un des majordomes te parler et tu te contentes d'une réponse évasive, ne sachant même pas de quoi il parlait. tu voulais juste quelques minutes de tranquillité, toute seule. vous étiez occupés à installer les décorations dans le salon, et après ce serait le hall d'entrée, deux pièces importantes de votre maison, celles qui devaient taper dans l'oeil des invités dès qu'ils mettront les pieds ici. en soit, tu pouvais la comprendre, vous n'aviez pas toujours vécu dans le luxe, alors ta mère voulait en profiter pour vivre la vie qu'elle voulait, surtout depuis qu'elle était devenue le visage d'une grande marque, elle voulait montrer qu'elle avait réussi. tu pouvais le comprendre, mais ce n'était pas pour autant que tu le partageais. tu étais bien toi, dans ta vie d'étudiante parmi tes livres. parfois tu avais du mal avec toutes ses mondanéités. tu ne sais pas trop combien de temps tu restes là, avant qu'une sorte de loupiote s'allume dans ton esprit, tu te redresses soudainement, surprenant une des femmes de chambre au passage qui passait par là avant de se diriger vers l'étage. tu attrapes ton téléphone en composant un numéro que tu ne connaissais que trop bien, même si tu aurais aimé que ce soit le contraire. mais avec toutes les fois que tu avais composé ses chiffres, espérant qu'il décroche, avant de voir tes espoirs réduits à néant, tu te disais que tu avais l'air bien pathétique à t'accrocher. et pourtant tu étais là, à l'appeler une fois de plus, avec une forte probabilité de te retrouver face à un mur. tu entends la tonalité pendant plusieurs secondes, t'étais même sûre qu'il allait jamais décrocher quand sa voix te parvient finalement à l'oreille, toujours aussi aimable comme à son habitude. tu pinces les lèvres alors que tu lèves les yeux au ciel. « si je te dis que j'ai besoin de ton aide, tu vas me répondre que j'ai qu'à aller voir ailleurs je suppose ? » tu lui dis en guise de bonjour, parce que si lui se montrait toujours comme ça avec toi, pourquoi tu ne pouvais pas faire de même ? tu en avais assez d'être le réceptacle de sa mauvaise humeur. « je suis à la maison, en train de décorer pour noël... » tu continues pourtant, jouant avec une des décorations que tu avais sur la table basse en face de toi. « tu sais bien te servir de tes mains si je me souviens, » tu ajoutes, légère pique à son intention.
________________________________
i wanna punch you
eui geon & eun san
✻✻✻ tu comptes tes respirations. une, deux, trois... tu tentes de te couper du monde extérieur, juste l'espace d'un instant pour retrouver ton calme. tu aimais te dire que tu étais quelqu'un de patient, d'ordinaire on pouvait même dire que tu l'étais. mais là alors que le personnel de tes parents s'affairaient autour de toi, tu te sentais bien seule, incapable de faire quoi que ce soit de bien, et ouais peut-être que tu étais fatiguée aussi, et que tu avais besoin de repos. ta mère t'avait demandé si tu voulais bien t'occuper de décorer la maison familiale, et sur le coup tu avais dit oui, parce que tu voulais lui faire plaisir, et aussi que tu adorais la période de noël, alors quoi de mieux ? sauf que tu ne t'imaginais pas tout le travail que ça allait te demander, et tu ne savais pas si tu allais y arriver. ta mère profitait toujours de cette période pour en mettre plein la vue, pour organiser des repas, de grandes soirées. alors chaque année, il fallait que tout soit parfait. et là... c'était loin d'être le cas. tu te rendais compte qu'une telle organisation, ce n'était pas de tout repos. et encore moins quand tu vais l'impression que rien n'allait comme il fallait. tu te laisses tomber sur le canapé derrière toi, cachant ton visage dans tes bras alors tu te plongeais dans tes pensées à la recherche d'une solution. tu entends un des majordomes te parler et tu te contentes d'une réponse évasive, ne sachant même pas de quoi il parlait. tu voulais juste quelques minutes de tranquillité, toute seule. vous étiez occupés à installer les décorations dans le salon, et après ce serait le hall d'entrée, deux pièces importantes de votre maison, celles qui devaient taper dans l'oeil des invités dès qu'ils mettront les pieds ici. en soit, tu pouvais la comprendre, vous n'aviez pas toujours vécu dans le luxe, alors ta mère voulait en profiter pour vivre la vie qu'elle voulait, surtout depuis qu'elle était devenue le visage d'une grande marque, elle voulait montrer qu'elle avait réussi. tu pouvais le comprendre, mais ce n'était pas pour autant que tu le partageais. tu étais bien toi, dans ta vie d'étudiante parmi tes livres. parfois tu avais du mal avec toutes ses mondanéités. tu ne sais pas trop combien de temps tu restes là, avant qu'une sorte de loupiote s'allume dans ton esprit, tu te redresses soudainement, surprenant une des femmes de chambre au passage qui passait par là avant de se diriger vers l'étage. tu attrapes ton téléphone en composant un numéro que tu ne connaissais que trop bien, même si tu aurais aimé que ce soit le contraire. mais avec toutes les fois que tu avais composé ses chiffres, espérant qu'il décroche, avant de voir tes espoirs réduits à néant, tu te disais que tu avais l'air bien pathétique à t'accrocher. et pourtant tu étais là, à l'appeler une fois de plus, avec une forte probabilité de te retrouver face à un mur. tu entends la tonalité pendant plusieurs secondes, t'étais même sûre qu'il allait jamais décrocher quand sa voix te parvient finalement à l'oreille, toujours aussi aimable comme à son habitude. tu pinces les lèvres alors que tu lèves les yeux au ciel. « si je te dis que j'ai besoin de ton aide, tu vas me répondre que j'ai qu'à aller voir ailleurs je suppose ? » tu lui dis en guise de bonjour, parce que si lui se montrait toujours comme ça avec toi, pourquoi tu ne pouvais pas faire de même ? tu en avais assez d'être le réceptacle de sa mauvaise humeur. « je suis à la maison, en train de décorer pour noël... » tu continues pourtant, jouant avec une des décorations que tu avais sur la table basse en face de toi. « tu sais bien te servir de tes mains si je me souviens, » tu ajoutes, légère pique à son intention.© LOYALS.
 | and then my soul saw you and it kind of went, “oh, there you are. i've been looking for you.” ☾ i love you so much more than just to the moon and back. ♡ |
Invité
Invité
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Sam 10 Fév - 21:16
✻✻✻ les feuilles de cours s’enchaînent devant tes yeux alors que tu les remets au propre et surlignes ce qui te semble important. c’est pas vraiment compliqué à faire mais c’est long, très long. parce que tu ne le fais pas vraiment tous les jours. t’attends souvent le dernier moment ou alors une semaine pour tout faire d’un coup. tu sais que c’est pas forcément la bonne solution, mais c’est comme ça que tu fonctionnes malheureusement. tu pousses un soupir alors que tu vois les feuilles continuer de s’entasser sans que tu ne puisses rien faire. t’as l’impression que plus tu avances et moins la pile diminue. alors, après une bonne vingtaine de minutes, tu décides de prendre une pause bien méritée. tu attrapes ton portable, tes écouteurs et tu te couches sur ton lit, des bruits d’oiseaux dans les oreilles. tu fermes les yeux et tu te laisses immerger dans ce monde que tu connais bien. tu énumères mentalement les oiseaux qui passent et tu souris à chaque fois qu’un piaf que tu aimes se fait entendre. maintenant tu arrives à reconnaitre tous les types de cris et à qui ils appartiennent. sûrement parce que tu passes énormément de temps à les étudier. tu entends vaguement la porte s’ouvrir et tu lèves une paupière pour croiser le regard de loïs. il vient chercher ses affaires pour son prochain cours. tu hoches la tête en souriant avant de refermer tes yeux. la dernière chose dont tu te souviens c’est de ce toucan qui sifflait une douce mélodie à tes oreilles. et c’est la sonnerie de ton téléphone qui te sort de ta sieste. tu pousses un soupir et ouvres péniblement les yeux avant de lire le nom de la personne qui t’appelle. eun san. nouveau soupir que tu pousses avant de décrocher. « quoi ? » toujours aussi aimable avec ta petite sœur, c’est bien, tu gagneras pas l’award du meilleur frère de la terre cette année non plus. elle prend alors la parole pour te dire qu’elle a besoin de toi. aussitôt, tu te redresses quelque peu dans ton lit. t’as beau ne pas lui montrer, eun est ta petite sœur malgré tout et si elle a un soucis, tu l’aideras même si tu feras comme si ça te faisait chier. mais est-ce qu’elle te parlerait de ses soucis ? non tu penses plutôt qu’elle irait voir dae won. à juste titre d’ailleurs. votre grand frère est plus enclin à l’écouter que toi. toi, tu l’envoies chier à la moindre occasion. alors t’es prêt à l’entendre et quand elle te parle de noël, tu crois que tu l’aurais tué si elle avait été en face de toi. « tu te fous de ma gueule eun ? » tu gueules presque dans ton téléphone alors que tu sens la colère pointer le bout de son nez. t’arrives pas à croire qu’elle t’appelle pour cette pseudo fête de famille où t’es obligé d’aller tous les ans. « demande à dae won, j’ai pas que ça à foutre. ou alors, y a bien les employés à la maison. » tu craches, sachant très bien qu’elle veut bien faire. mais à trop le vouloir, elle en fait beaucoup trop et ça t’énerve. surtout que tu vois ça comme si elle voulait être la sœur et la fille parfaite. ça a le don de t’horripiler. « t’as pas autre chose à foutre de ta vie que d’essayer de faire en sorte qu’on ressemble à une famille et a décoré les pièces de la maison des parents alors que tout le monde s’en fout complet. » et encore une fois, tu es affreux avec elle, alors qu’elle ne t’a rien fait et qu’elle attend juste que tu agisses comme le grand frère que tu es censé être.
i wanna punch you
eunsan & euigeon
✻✻✻ les feuilles de cours s’enchaînent devant tes yeux alors que tu les remets au propre et surlignes ce qui te semble important. c’est pas vraiment compliqué à faire mais c’est long, très long. parce que tu ne le fais pas vraiment tous les jours. t’attends souvent le dernier moment ou alors une semaine pour tout faire d’un coup. tu sais que c’est pas forcément la bonne solution, mais c’est comme ça que tu fonctionnes malheureusement. tu pousses un soupir alors que tu vois les feuilles continuer de s’entasser sans que tu ne puisses rien faire. t’as l’impression que plus tu avances et moins la pile diminue. alors, après une bonne vingtaine de minutes, tu décides de prendre une pause bien méritée. tu attrapes ton portable, tes écouteurs et tu te couches sur ton lit, des bruits d’oiseaux dans les oreilles. tu fermes les yeux et tu te laisses immerger dans ce monde que tu connais bien. tu énumères mentalement les oiseaux qui passent et tu souris à chaque fois qu’un piaf que tu aimes se fait entendre. maintenant tu arrives à reconnaitre tous les types de cris et à qui ils appartiennent. sûrement parce que tu passes énormément de temps à les étudier. tu entends vaguement la porte s’ouvrir et tu lèves une paupière pour croiser le regard de loïs. il vient chercher ses affaires pour son prochain cours. tu hoches la tête en souriant avant de refermer tes yeux. la dernière chose dont tu te souviens c’est de ce toucan qui sifflait une douce mélodie à tes oreilles. et c’est la sonnerie de ton téléphone qui te sort de ta sieste. tu pousses un soupir et ouvres péniblement les yeux avant de lire le nom de la personne qui t’appelle. eun san. nouveau soupir que tu pousses avant de décrocher. « quoi ? » toujours aussi aimable avec ta petite sœur, c’est bien, tu gagneras pas l’award du meilleur frère de la terre cette année non plus. elle prend alors la parole pour te dire qu’elle a besoin de toi. aussitôt, tu te redresses quelque peu dans ton lit. t’as beau ne pas lui montrer, eun est ta petite sœur malgré tout et si elle a un soucis, tu l’aideras même si tu feras comme si ça te faisait chier. mais est-ce qu’elle te parlerait de ses soucis ? non tu penses plutôt qu’elle irait voir dae won. à juste titre d’ailleurs. votre grand frère est plus enclin à l’écouter que toi. toi, tu l’envoies chier à la moindre occasion. alors t’es prêt à l’entendre et quand elle te parle de noël, tu crois que tu l’aurais tué si elle avait été en face de toi. « tu te fous de ma gueule eun ? » tu gueules presque dans ton téléphone alors que tu sens la colère pointer le bout de son nez. t’arrives pas à croire qu’elle t’appelle pour cette pseudo fête de famille où t’es obligé d’aller tous les ans. « demande à dae won, j’ai pas que ça à foutre. ou alors, y a bien les employés à la maison. » tu craches, sachant très bien qu’elle veut bien faire. mais à trop le vouloir, elle en fait beaucoup trop et ça t’énerve. surtout que tu vois ça comme si elle voulait être la sœur et la fille parfaite. ça a le don de t’horripiler. « t’as pas autre chose à foutre de ta vie que d’essayer de faire en sorte qu’on ressemble à une famille et a décoré les pièces de la maison des parents alors que tout le monde s’en fout complet. » et encore une fois, tu es affreux avec elle, alors qu’elle ne t’a rien fait et qu’elle attend juste que tu agisses comme le grand frère que tu es censé être.© LOYALS.
Chi Ji Ni
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : son hyeju (loossemble)
Crédits : self (ava)
Messages : 1460
Âge : 25
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Mer 7 Mar - 20:24
✻✻✻ pourquoi t'avais décidé de l'appeler lui au lieu de quelqu'un d'autre ? alors que tu savais pertinemment que ça n'allait pas bien se passer, que comme d'habitude il allait t'envoyer bouler sans essayer de faire le moindre effort. pourquoi tu essayais toujours après toutes ces années de vouloir recoller les morceaux d'une famille qu'il ne voulait pas qu'elle fasse parti de sa vie. tu sens ton coeur s'enfoncer dans ta poitrine alors que les tonalités continuent de résonner dans ton oreille. est-ce que c'était un rêve si dérisoire ? de vouloir qu'enfin il t'accepte dans son coeur, qu'il soit le grand frère que tu voulais. tu avais dae won pourtant, et lui au moins, te montrait l'affection que tu voulais tellement trouver en eui geon, lui il était là depuis le tout début, avant même ta naissance. il t'aimait inconditionnellement, et même si parfois c'était un amour que tu trouvais trop protecteur, au moins tu savais que tu étais aimée. alors pourquoi, tout en sachant bien comment ça allait se finir, tu étais toujours à courir après quelqu'un qui ne voulait pas de toi ? pourquoi tu avais tant besoin de l'approbation d'eui geon, alors qu'il faisait toujours comprendre que vous étiez des intrus dans sa vie, et que jamais il ne vous laisserait une place dans son coeur. tu retiens un soupir las quand il finit par décrocher, ne faisant même plus attention au ton qu'il employait, t'en avais tellement l'habitude après tout ce temps. et pourtant malgré le fait que tu essayais de rester calme, tu ne peux retenir cette colère qui monte un peu plus alors qu'il te rejette une fois de plus. la fois de trop ? tu fermes les yeux, comme pour retenir des larmes invisibles, prenant une respiration pour ne pas éclater de ton côté du fil. « dae won n'est pas là de la journée, sinon crois bien que c'est pas ton caractère de merdre que je serais venue chercher, sherlock. » tu réponds finalement, les dents serrées. tu ne voulais pas tomber aussi bas que lui, à l'attaquer comme eui geon savait si bien le faire. mais parfois c'était la seule défense que tu trouvais pour te protéger toi-même, pour ne pas à avoir à souffrir un peu plus. tu hausses un sourcil que tu sais qu'il ne peut pas voir, laissant un rictus amer t'échapper alors que tes doigts se resserrent sur ton téléphone. à l'expression de ton visage, les employés semblent sentir que ça ne va pas, et bientôt tu es laissée seule dans la pièce, ne souhaitant pas être si jamais l'idée te venait de te venger sur eux à cause de l'idiot qui te servait de frère. « et toi, t'as pas autre chose à faire que de t'en prendre à ceux qui ne t'ont rien fait parce que ton ego refuse d'accepter que la vie ne s'arrête pas avec la mort de ta mère ? » d'ordinaire, tu ne t'attaques jamais à la défunte mère de eui geon, c'était de mauvais goût, mais aujourd'hui plus que d'habitude tu n'arrivais pas à retenir ta rancoeur contre lui. « quand j'y pense, je vois bien pourquoi na rae t'a laissé tomber à l'autel, qui voudrais de quelqu'un comme toi... t'imagines devoir partager ta vie avec un connard à l'ego surdimensionné, j'aurais eu de la peine pour elle. » tu siffles, n'osant pas élevée la voix plus que cela, sachant très bien que tu allais te donner en spectacle si tu le faisais, tu ne voulais pas lui en donner la satisfaction.
________________________________
i wanna punch you
eui geon & eun san
✻✻✻ pourquoi t'avais décidé de l'appeler lui au lieu de quelqu'un d'autre ? alors que tu savais pertinemment que ça n'allait pas bien se passer, que comme d'habitude il allait t'envoyer bouler sans essayer de faire le moindre effort. pourquoi tu essayais toujours après toutes ces années de vouloir recoller les morceaux d'une famille qu'il ne voulait pas qu'elle fasse parti de sa vie. tu sens ton coeur s'enfoncer dans ta poitrine alors que les tonalités continuent de résonner dans ton oreille. est-ce que c'était un rêve si dérisoire ? de vouloir qu'enfin il t'accepte dans son coeur, qu'il soit le grand frère que tu voulais. tu avais dae won pourtant, et lui au moins, te montrait l'affection que tu voulais tellement trouver en eui geon, lui il était là depuis le tout début, avant même ta naissance. il t'aimait inconditionnellement, et même si parfois c'était un amour que tu trouvais trop protecteur, au moins tu savais que tu étais aimée. alors pourquoi, tout en sachant bien comment ça allait se finir, tu étais toujours à courir après quelqu'un qui ne voulait pas de toi ? pourquoi tu avais tant besoin de l'approbation d'eui geon, alors qu'il faisait toujours comprendre que vous étiez des intrus dans sa vie, et que jamais il ne vous laisserait une place dans son coeur. tu retiens un soupir las quand il finit par décrocher, ne faisant même plus attention au ton qu'il employait, t'en avais tellement l'habitude après tout ce temps. et pourtant malgré le fait que tu essayais de rester calme, tu ne peux retenir cette colère qui monte un peu plus alors qu'il te rejette une fois de plus. la fois de trop ? tu fermes les yeux, comme pour retenir des larmes invisibles, prenant une respiration pour ne pas éclater de ton côté du fil. « dae won n'est pas là de la journée, sinon crois bien que c'est pas ton caractère de merdre que je serais venue chercher, sherlock. » tu réponds finalement, les dents serrées. tu ne voulais pas tomber aussi bas que lui, à l'attaquer comme eui geon savait si bien le faire. mais parfois c'était la seule défense que tu trouvais pour te protéger toi-même, pour ne pas à avoir à souffrir un peu plus. tu hausses un sourcil que tu sais qu'il ne peut pas voir, laissant un rictus amer t'échapper alors que tes doigts se resserrent sur ton téléphone. à l'expression de ton visage, les employés semblent sentir que ça ne va pas, et bientôt tu es laissée seule dans la pièce, ne souhaitant pas être si jamais l'idée te venait de te venger sur eux à cause de l'idiot qui te servait de frère. « et toi, t'as pas autre chose à faire que de t'en prendre à ceux qui ne t'ont rien fait parce que ton ego refuse d'accepter que la vie ne s'arrête pas avec la mort de ta mère ? » d'ordinaire, tu ne t'attaques jamais à la défunte mère de eui geon, c'était de mauvais goût, mais aujourd'hui plus que d'habitude tu n'arrivais pas à retenir ta rancoeur contre lui. « quand j'y pense, je vois bien pourquoi na rae t'a laissé tomber à l'autel, qui voudrais de quelqu'un comme toi... t'imagines devoir partager ta vie avec un connard à l'ego surdimensionné, j'aurais eu de la peine pour elle. » tu siffles, n'osant pas élevée la voix plus que cela, sachant très bien que tu allais te donner en spectacle si tu le faisais, tu ne voulais pas lui en donner la satisfaction.© LOYALS.
| and then my soul saw you and it kind of went, “oh, there you are. i've been looking for you.” ☾ i love you so much more than just to the moon and back. ♡ |
Invité
Invité
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Mer 18 Avr - 11:38
✻✻✻ ta sieste est rythmée par les sons des oiseaux qui passent dans tes oreilles. tu les reconnais tous, connais leur habitat naturel et toutes leurs caractérisations. en même temps si tu n’étais pas un passionné, tu n’aurais pas fait des études par rapport à ça, pire, tu n’aurais même pas continué de les aimer. et pourtant, c’est le cas. les oiseaux sont ta vie et tu comptes bien la leur dédier. du coup, ça t’apaise de les écouter et tu finis par t’endormir. ce n’est que quelques minutes ou quelques heures, tu sais pas vraiment que tu es réveillé par ton téléphone qui sonne. c’est ta petite sœur eunsan qui appelle. t’es déjà saoulé avant même de décrocher et de savoir pourquoi elle t’appelle. mais tu réponds, parce qu’elle pourrait avoir besoin de toi et que malgré que tu joues le grand frère complètement con et qui ne l’aime pas, tu ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose. alors, quand elle te dit que c’est pour noël et pour décorer la maison familiale tu prends la mouche. qu’est-ce que t’en as à foutre de cette pseudo fête de famille. vous n’avez rien d’une famille, ce sont juste des piques sous là pour pomper l’argent que ton paternel a mis des années à gagner. du coup, tu lui dis de se débrouiller avec daewon votre plus grand frère, lui aussi une pièce rapportée dans cette famille qui n’est plus la tienne. « et tu peux pas te débrouiller toute seule ? t’as besoin de mon aide pour un truc aussi futile et qui ne sert à rien ? » parce que c’est clair que ça ne sert à rien. vous n’êtes pas une famille, ou plutôt, tu fais tout pour que vous n’en soyez pas une. pourtant, tu le sais que si tu mettais un peu d’eau dans ton vin, que tu faisais quelques efforts, tu pourrais vivre heureux avec eux. mais t’as pas envie de le faire, tu ne veux pas le faire. t’aurais l’impression de trahir ta mère comme ton père l’a fait et ça, c’est hors de question. tu dis donc ce qui te passe par la tête, laissant les mots être aussi tranchants que tu peux pour lui dire ce que tu penses. mais c’est sans compter sur la répartie de eunsan. tu te crispes sur le téléphone, tes dents grinçant quand elle mentionne le fait que tu n’as pas accepter la mort de ta mère. et c’est pas faux. tu n’as jamais réussi à passer au-dessus du fait que tu as perdu la personne qui comptait le plus au monde, que tu n’auras plus jamais cette présence réconfortante près de toi. tu ouvres la bouche pour te défendre et elle enchaine sur narae et le fait que personne ne voudra jamais de quelqu’un comme toi et qu’elle a bien fait de partir. tu serres un peu plus les dents, un peu plus les poings. elle a réveillé le connard qui sommeille en toi et tu ne comptes pas la laisser gagner comme ça. pourtant, tu n’as rien à lui dire et l’envie de lui raccrocher au nez se fait ressentir. tu prends une grande inspiration pour ne pas t’énerver plus que d’ordinaire. « c’est bon t’as fini ? » que tu lui demandes parce que t’en as plus qu’assez d’entendre sa voix et encore plus de l’imaginer jubiler à ses mots. « si t’as fini tes enfantillages, va jouer à la famille parfaite sans moi. j’ai autre chose à foutre que de combler les désirs futiles et puérils d’une gamine en manque de reconnaissance et d’amour. » tu souris satisfait de ce que tu viens de lui lancer avant de reprendre. « t’as qu’à appeler ta mère pour qu’elle t’aide au lieu qu’elle se pavane comme une truie à tous les défilés qui veulent bien d’elle parce qu’elle est refaite de partout grâce à l’argent de MON père. » tu es sûrement trop méchant, sûrement que tu vas trop loin. mais en parlant de ta mère et de narae, elle a touché la corde sensible. tu ne peux pas ne pas répliquer. et après c’est qui le réel gamin dans l’histoire ?
i wanna punch you
eunsan & euigeon
✻✻✻ ta sieste est rythmée par les sons des oiseaux qui passent dans tes oreilles. tu les reconnais tous, connais leur habitat naturel et toutes leurs caractérisations. en même temps si tu n’étais pas un passionné, tu n’aurais pas fait des études par rapport à ça, pire, tu n’aurais même pas continué de les aimer. et pourtant, c’est le cas. les oiseaux sont ta vie et tu comptes bien la leur dédier. du coup, ça t’apaise de les écouter et tu finis par t’endormir. ce n’est que quelques minutes ou quelques heures, tu sais pas vraiment que tu es réveillé par ton téléphone qui sonne. c’est ta petite sœur eunsan qui appelle. t’es déjà saoulé avant même de décrocher et de savoir pourquoi elle t’appelle. mais tu réponds, parce qu’elle pourrait avoir besoin de toi et que malgré que tu joues le grand frère complètement con et qui ne l’aime pas, tu ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose. alors, quand elle te dit que c’est pour noël et pour décorer la maison familiale tu prends la mouche. qu’est-ce que t’en as à foutre de cette pseudo fête de famille. vous n’avez rien d’une famille, ce sont juste des piques sous là pour pomper l’argent que ton paternel a mis des années à gagner. du coup, tu lui dis de se débrouiller avec daewon votre plus grand frère, lui aussi une pièce rapportée dans cette famille qui n’est plus la tienne. « et tu peux pas te débrouiller toute seule ? t’as besoin de mon aide pour un truc aussi futile et qui ne sert à rien ? » parce que c’est clair que ça ne sert à rien. vous n’êtes pas une famille, ou plutôt, tu fais tout pour que vous n’en soyez pas une. pourtant, tu le sais que si tu mettais un peu d’eau dans ton vin, que tu faisais quelques efforts, tu pourrais vivre heureux avec eux. mais t’as pas envie de le faire, tu ne veux pas le faire. t’aurais l’impression de trahir ta mère comme ton père l’a fait et ça, c’est hors de question. tu dis donc ce qui te passe par la tête, laissant les mots être aussi tranchants que tu peux pour lui dire ce que tu penses. mais c’est sans compter sur la répartie de eunsan. tu te crispes sur le téléphone, tes dents grinçant quand elle mentionne le fait que tu n’as pas accepter la mort de ta mère. et c’est pas faux. tu n’as jamais réussi à passer au-dessus du fait que tu as perdu la personne qui comptait le plus au monde, que tu n’auras plus jamais cette présence réconfortante près de toi. tu ouvres la bouche pour te défendre et elle enchaine sur narae et le fait que personne ne voudra jamais de quelqu’un comme toi et qu’elle a bien fait de partir. tu serres un peu plus les dents, un peu plus les poings. elle a réveillé le connard qui sommeille en toi et tu ne comptes pas la laisser gagner comme ça. pourtant, tu n’as rien à lui dire et l’envie de lui raccrocher au nez se fait ressentir. tu prends une grande inspiration pour ne pas t’énerver plus que d’ordinaire. « c’est bon t’as fini ? » que tu lui demandes parce que t’en as plus qu’assez d’entendre sa voix et encore plus de l’imaginer jubiler à ses mots. « si t’as fini tes enfantillages, va jouer à la famille parfaite sans moi. j’ai autre chose à foutre que de combler les désirs futiles et puérils d’une gamine en manque de reconnaissance et d’amour. » tu souris satisfait de ce que tu viens de lui lancer avant de reprendre. « t’as qu’à appeler ta mère pour qu’elle t’aide au lieu qu’elle se pavane comme une truie à tous les défilés qui veulent bien d’elle parce qu’elle est refaite de partout grâce à l’argent de MON père. » tu es sûrement trop méchant, sûrement que tu vas trop loin. mais en parlant de ta mère et de narae, elle a touché la corde sensible. tu ne peux pas ne pas répliquer. et après c’est qui le réel gamin dans l’histoire ?© LOYALS.
Chi Ji Ni
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : son hyeju (loossemble)
Crédits : self (ava)
Messages : 1460
Âge : 25
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Dim 17 Juin - 23:13
✻✻✻ tu aurais dû lâcher l'affaire depuis longtemps, tu ne sais même pas pourquoi tu continues d'espérer encore et encore alors que tu ne cesses de te planter face contre le mur. il ne voulait pas de vous dans sa vie, il vous le faisait comprendre tous les jours, à chaque parole, alors pourquoi t'accrocher ? tu ne supportais plus de sentir ton cœur être piétiné par ce frère qui ne t'accepterait jamais, mais pourtant comme une enfant tu revenais toujours. tu devais être maso au fond, parce que sinon tu aurais arrêté quand tu l'avais dit. c'était plus facile à dire qu'à faire, tu supposais, comment taire cet infime espoir que tu avais, ce souhait de gamine d'avoir une famille unie. tu le savais au fond, tu avais une peur profonde de l'abandon, depuis que ton père était parti sans un regard derrière lui, sans se soucier de savoir comment tu allais. la peine de ton cœur n'était pas encore fermée, quand tu étais assez grande pour comprendre qu'il ne t'aimait pas assez pour chercher à garder contact, qu'en réalité, tu n'étais pas suffisamment importante. que c'était comme si tu n'existais pas à ses yeux, tu n'étais rien. clignant des yeux pour chasser les larmes invisibles qui viennent perler en eux, le son de la voix de ton aîné qui te ramène à la réalité, l'irritation qui ne tarde pas à suivre. il n'avait pas tord, tu le savais, c'était idiot d'avoir espérer une fois de plus. tu devrais raccrocher, pourquoi tu ne le fais pas ? « je pourrais mais ça serait trop facile, alors pourquoi pas te demander malgré tes bras de fillettes, ou bien t'as peur de pas réussir à soulever une boule de noël ? » tu lèves les yeux au ciel, lâchant un soupir exaspéré. zen, c'était ça la clé lorsque tu parlais avec lui. « ça te dirait pas de faire un effort pour une fois, eui geon. » tu finis par murmurer, la déception qui transparaît l'espace d'un instant avant que tu te reprennes. « je demande pas la lune non plus, tu peux pas te libérer juste quelques heures, » tu ajoutes, abandonnant la partie bien trop facilement à ton goût. mais t'en avais assez de te battre, et puis si il continuait de faire sa tête de mule et bien c'était tant pis. il ne voulait pas de vous alors pourquoi tu voudrais de lui ? la conversation qui continue sur sa lancée, tu fermes les yeux quand tu prononces des mots que tu regrettes aussi tôt, tu n'aimais pas mentionner sa mère, surtout pas dans une dispute. tu avais quand même un minimum de respect, surtout pour l'ancienne épouse de ton beau-père. tu ne connaissais pas toute l'histoire, mais tu l'avais déjà rencontré quand ta mère s'occupait d'elle, la mère d'eui geon avait toujours été gentille avec toi. tu la respectais. tu avais été trop loin en la mentionnant de même que na rae, mais ta patience avait des limites. te mordant la lèvre, imaginant bien que le jeune homme ne le prendrait pas bien, et qu'il allait probablement penser que tu étais fière de ça. ses paroles qui te touchent plus que tu ne veuilles l'avouer, tu ne caches même pas tes réactions cette fois-ci, levant les yeux pour retenir tes larmes. était-ce si mal de souhaiter une vraie famille ? au moins lui, il savait que sa mère l'aimait, chose que toi ton père t'avait prouvé le contraire. « t'as raison, je sais même pas pourquoi je me suis accrochée toutes ses années. ça doit être jouissant de savoir que tu as ce pouvoir de rendre les autres malheureux n'est-ce pas, pense à moi quand tu feras ton discours en recevant ton prix nobel de la paix. » tu lâches sans grande conviction, blessée par ses propos envers ta mère et toi, tu n'oses même pas soulever ce qu'il ajoute par la suite, tu n'en a pas la force. « laisse tomber, eui geon. continue ta vie et oublie que j'existe, t'en fais pas j'y suis habituée, je te rassure t'es pas le premier à le faire. » tu te retiens difficilement de buter sur tes mots, tu n'avais pas envie de lui donner le plaisir de lui montrer qu'il avait réussi.
________________________________
i wanna punch you
eui geon & eun san
✻✻✻ tu aurais dû lâcher l'affaire depuis longtemps, tu ne sais même pas pourquoi tu continues d'espérer encore et encore alors que tu ne cesses de te planter face contre le mur. il ne voulait pas de vous dans sa vie, il vous le faisait comprendre tous les jours, à chaque parole, alors pourquoi t'accrocher ? tu ne supportais plus de sentir ton cœur être piétiné par ce frère qui ne t'accepterait jamais, mais pourtant comme une enfant tu revenais toujours. tu devais être maso au fond, parce que sinon tu aurais arrêté quand tu l'avais dit. c'était plus facile à dire qu'à faire, tu supposais, comment taire cet infime espoir que tu avais, ce souhait de gamine d'avoir une famille unie. tu le savais au fond, tu avais une peur profonde de l'abandon, depuis que ton père était parti sans un regard derrière lui, sans se soucier de savoir comment tu allais. la peine de ton cœur n'était pas encore fermée, quand tu étais assez grande pour comprendre qu'il ne t'aimait pas assez pour chercher à garder contact, qu'en réalité, tu n'étais pas suffisamment importante. que c'était comme si tu n'existais pas à ses yeux, tu n'étais rien. clignant des yeux pour chasser les larmes invisibles qui viennent perler en eux, le son de la voix de ton aîné qui te ramène à la réalité, l'irritation qui ne tarde pas à suivre. il n'avait pas tord, tu le savais, c'était idiot d'avoir espérer une fois de plus. tu devrais raccrocher, pourquoi tu ne le fais pas ? « je pourrais mais ça serait trop facile, alors pourquoi pas te demander malgré tes bras de fillettes, ou bien t'as peur de pas réussir à soulever une boule de noël ? » tu lèves les yeux au ciel, lâchant un soupir exaspéré. zen, c'était ça la clé lorsque tu parlais avec lui. « ça te dirait pas de faire un effort pour une fois, eui geon. » tu finis par murmurer, la déception qui transparaît l'espace d'un instant avant que tu te reprennes. « je demande pas la lune non plus, tu peux pas te libérer juste quelques heures, » tu ajoutes, abandonnant la partie bien trop facilement à ton goût. mais t'en avais assez de te battre, et puis si il continuait de faire sa tête de mule et bien c'était tant pis. il ne voulait pas de vous alors pourquoi tu voudrais de lui ? la conversation qui continue sur sa lancée, tu fermes les yeux quand tu prononces des mots que tu regrettes aussi tôt, tu n'aimais pas mentionner sa mère, surtout pas dans une dispute. tu avais quand même un minimum de respect, surtout pour l'ancienne épouse de ton beau-père. tu ne connaissais pas toute l'histoire, mais tu l'avais déjà rencontré quand ta mère s'occupait d'elle, la mère d'eui geon avait toujours été gentille avec toi. tu la respectais. tu avais été trop loin en la mentionnant de même que na rae, mais ta patience avait des limites. te mordant la lèvre, imaginant bien que le jeune homme ne le prendrait pas bien, et qu'il allait probablement penser que tu étais fière de ça. ses paroles qui te touchent plus que tu ne veuilles l'avouer, tu ne caches même pas tes réactions cette fois-ci, levant les yeux pour retenir tes larmes. était-ce si mal de souhaiter une vraie famille ? au moins lui, il savait que sa mère l'aimait, chose que toi ton père t'avait prouvé le contraire. « t'as raison, je sais même pas pourquoi je me suis accrochée toutes ses années. ça doit être jouissant de savoir que tu as ce pouvoir de rendre les autres malheureux n'est-ce pas, pense à moi quand tu feras ton discours en recevant ton prix nobel de la paix. » tu lâches sans grande conviction, blessée par ses propos envers ta mère et toi, tu n'oses même pas soulever ce qu'il ajoute par la suite, tu n'en a pas la force. « laisse tomber, eui geon. continue ta vie et oublie que j'existe, t'en fais pas j'y suis habituée, je te rassure t'es pas le premier à le faire. » tu te retiens difficilement de buter sur tes mots, tu n'avais pas envie de lui donner le plaisir de lui montrer qu'il avait réussi.© LOYALS.
| and then my soul saw you and it kind of went, “oh, there you are. i've been looking for you.” ☾ i love you so much more than just to the moon and back. ♡ |
Invité
Invité
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Dim 1 Juil - 17:01
✻✻✻ tu ne comprends pas très bien pourquoi eunsan s’acharne à vous faire passer pour une famille. tu n’as rien à voir avec eux et tu ne le veux surtout pas. tu sais que ta belle-famille n’est pas la cause de ton malheur, que la mort de ta mère n’est pas de leur ressort, mais tu ne peux pas t’empêcher de le voir comme ça. tu ne les aimes pas et tu ne les aimeras jamais. alors, tu ne comprends pas son acharnement à vouloir décorer la maison pour noël, comme si vous alliez passer les fêtes tous les cinq dans la joie et la bonne humeur. comme chaque année, tu ne te pointeras pas aux fêtes de fin d’années et comme tous les ans tu auras la morale par ton père et quelques fois daewon. mais est-ce que ça changera quelque chose ? non pas réellement. tu ne veux rien faire avec eux et ça te saoule quand quelque chose est organisé entre vous. vous n’êtes pas une famille et vous ne le serez jamais. tu ricanes une nouvelles fois à ses mots. elle croit quoi la petite ? que tu vas céder parce qu’elle se moque de ton physique ? que tu vas venir parce qu’elle te supplie. tu lèves les yeux au ciel alors que tu prépares déjà ta réponse qui ne lui plaira sûrement pas. « honnêtement, j’ai très peu envie de libérer quelques heures pour quelque chose vide de sens. et puis je risque de fouler ou pire casser mes bras de fillette, ce serait pas de chance hein. » est-ce qu’elle entend le sarcasme qui transperce chacun de tes mots. tu en as marre de cet appel et tu voudrais qu’il finisse le plus vite possible. t’as autre chose à foutre que perdre du temps avec ta petite sœur. alors, tu deviens encore plus détestable encore plus méchant et mesquin avec elle. c’est gratuit et elle n’a rien fait pour mériter ça, mais c’est pas grave, les mots sortent de ta bouche et tu fais mouche. tu l’entends à ses mots et à la façon dont sa respiration s’est changée. est-ce que tu t’en veux d’être un connard fini avec elle ? hmm difficile à dire. dans le fond sûrement un peu mais ça ne se voit ni ne s’entend pas réellement. tu pousses un soupir quand elle finit de parler. « c’est bon t’as fini ton petit numéro de fille abandonnée ? » la compassion ? tu connais pas ça toi. pourtant, tu le devrais, eunsan et toi avez plus de points communs que tu ne le voudrais. elle aussi, elle a perdu un membre de sa famille, mais tu t’en moques parce que son père n’est pas mort comme ta mère, non il s’est juste enfui. « t’as cru que si tu versais quelques larmes et me rappelais que toi aussi t’as un parent en moins, ça m’adoucirait. » et tu ris encore un peu, te flagellant mentalement pour ton comportement. mais tu ne fais qu’exploiter sa faiblesse comme elle a exploité la tienne plus tôt en parlant de ta mère. « tu devrais peut-être te poser des questions si tout le monde finit par oublier ton existence. » un sourire mauvais s’affiche sur tes lèvres. c’est affreux ce que tu lui fais subir et ce que tu lui dis, mais au moins peut-être que de cette façon elle arrêtera de vouloir faire de votre famille brisée, une famille unie et aimante. jamais tu ne pourras être avec eux comme tu l’étais avec tes parents. jamais, tu ne pourrais faire le gentil fils du milieu qui aime son grand frère et sa petite sœur. « maintenant, c’est bon ? je peux raccrocher sans que tu me rappelles pour jouer à la famille parfaite ? regarde des dramas ça t’aidera à combler le manque. » et t’en rajoutes une couche. t’es détestable, affreux et complètement abruti et tu l’assumes. sauf que tu le sais au fond que eunsan n’a rien fait, qu’elle n’est pas responsable de tout ça. mais tu ne peux pas t’empêcher de lui rejeter tous les maux de la terre parce que c’est elle que t’as au téléphone et pas quelqu’un d’autre.
i wanna punch you
eunsan & euigeon
✻✻✻ tu ne comprends pas très bien pourquoi eunsan s’acharne à vous faire passer pour une famille. tu n’as rien à voir avec eux et tu ne le veux surtout pas. tu sais que ta belle-famille n’est pas la cause de ton malheur, que la mort de ta mère n’est pas de leur ressort, mais tu ne peux pas t’empêcher de le voir comme ça. tu ne les aimes pas et tu ne les aimeras jamais. alors, tu ne comprends pas son acharnement à vouloir décorer la maison pour noël, comme si vous alliez passer les fêtes tous les cinq dans la joie et la bonne humeur. comme chaque année, tu ne te pointeras pas aux fêtes de fin d’années et comme tous les ans tu auras la morale par ton père et quelques fois daewon. mais est-ce que ça changera quelque chose ? non pas réellement. tu ne veux rien faire avec eux et ça te saoule quand quelque chose est organisé entre vous. vous n’êtes pas une famille et vous ne le serez jamais. tu ricanes une nouvelles fois à ses mots. elle croit quoi la petite ? que tu vas céder parce qu’elle se moque de ton physique ? que tu vas venir parce qu’elle te supplie. tu lèves les yeux au ciel alors que tu prépares déjà ta réponse qui ne lui plaira sûrement pas. « honnêtement, j’ai très peu envie de libérer quelques heures pour quelque chose vide de sens. et puis je risque de fouler ou pire casser mes bras de fillette, ce serait pas de chance hein. » est-ce qu’elle entend le sarcasme qui transperce chacun de tes mots. tu en as marre de cet appel et tu voudrais qu’il finisse le plus vite possible. t’as autre chose à foutre que perdre du temps avec ta petite sœur. alors, tu deviens encore plus détestable encore plus méchant et mesquin avec elle. c’est gratuit et elle n’a rien fait pour mériter ça, mais c’est pas grave, les mots sortent de ta bouche et tu fais mouche. tu l’entends à ses mots et à la façon dont sa respiration s’est changée. est-ce que tu t’en veux d’être un connard fini avec elle ? hmm difficile à dire. dans le fond sûrement un peu mais ça ne se voit ni ne s’entend pas réellement. tu pousses un soupir quand elle finit de parler. « c’est bon t’as fini ton petit numéro de fille abandonnée ? » la compassion ? tu connais pas ça toi. pourtant, tu le devrais, eunsan et toi avez plus de points communs que tu ne le voudrais. elle aussi, elle a perdu un membre de sa famille, mais tu t’en moques parce que son père n’est pas mort comme ta mère, non il s’est juste enfui. « t’as cru que si tu versais quelques larmes et me rappelais que toi aussi t’as un parent en moins, ça m’adoucirait. » et tu ris encore un peu, te flagellant mentalement pour ton comportement. mais tu ne fais qu’exploiter sa faiblesse comme elle a exploité la tienne plus tôt en parlant de ta mère. « tu devrais peut-être te poser des questions si tout le monde finit par oublier ton existence. » un sourire mauvais s’affiche sur tes lèvres. c’est affreux ce que tu lui fais subir et ce que tu lui dis, mais au moins peut-être que de cette façon elle arrêtera de vouloir faire de votre famille brisée, une famille unie et aimante. jamais tu ne pourras être avec eux comme tu l’étais avec tes parents. jamais, tu ne pourrais faire le gentil fils du milieu qui aime son grand frère et sa petite sœur. « maintenant, c’est bon ? je peux raccrocher sans que tu me rappelles pour jouer à la famille parfaite ? regarde des dramas ça t’aidera à combler le manque. » et t’en rajoutes une couche. t’es détestable, affreux et complètement abruti et tu l’assumes. sauf que tu le sais au fond que eunsan n’a rien fait, qu’elle n’est pas responsable de tout ça. mais tu ne peux pas t’empêcher de lui rejeter tous les maux de la terre parce que c’est elle que t’as au téléphone et pas quelqu’un d’autre.© LOYALS.
Chi Ji Ni
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : son hyeju (loossemble)
Crédits : self (ava)
Messages : 1460
Âge : 25
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Mar 24 Juil - 22:37
✻✻✻ tu devais être masochiste, c'était la seule explication que tu avais pour revenir encore et encore malgré la façon dont eui geon te traitait. comme si durant toutes ses années, tu n'avais rien appris de son rejet incessant. oui c'était bien ça, en fait tu devais avoir un soucis, ce n'était pas possible autrement. ta mère avait lâchée l'affaire il y a bien longtemps, elle au moins avait compris que vous ne pourriez pas le raisonner alors pourquoi continuer à t'accrocher alors que tout ce qui t'attend c'est juste une porte qu'on te claque au nez et la peine qui l'accompagne ? il vous tenait responsable pour ce qui était arrivé à sa famille, il n'avait pas cherché à comprendre, à vous connaître. tu n'avais vu sa mère qu'à quelques reprises, et elle avait toujours été gentille avec toi, elle avait vu que ta mère se démenait pour vous faire vivre, pour tenir votre famille la tête hors de l'eau. toi aussi au début, tu n'avais pas aimé voir ta mère fréquenter le père de eui geon, tu étais heureuse pour elle mais l'enfant que tu étais ne voulait pas passer au second plan dans son cœur. cette peur de l'abandon omniprésente depuis le départ de ton père. c'était peut-être ça le soucis au fond, tu ne supportais pas l'abandon, tu en avais une peur bleue, c'était un poison qui s'était insinué en toi pour s'installer dans ton cœur, le rendant plus fragile. tu lâches un soupir à son énième réflexion, toute façon quoi que tu dises il aurait toujours les bonnes excuses pour esquiver, pour vous montrer encore une fois qu'il ne voulait pas de vous dans sa vie, que vous n'étiez rien. tu ne cherchais même plus à répondre pour le coup, tu n'y voyais plus l'intérêt car ça te servirait à quoi ? tu aurais les mêmes réponses, ça n'avancerait pas et tu savais comment la conversation allait se terminer, une blessure de plus, ton cœur qui se fragilise encore. « laisse tomber, c'est trop te demander de faire un effort. » tu réponds, aucune intonation dans la voix, aucune expression sur ton visage pas qu'il puisse le voir ça d'ailleurs. s'il voulait tant que ça que tu le laisses en paix, et bien tu allais exaucer son souhait, ce n'était pas la première fois. tu voudrais couper court à la conversation, pour éviter de l'entendre enfoncer le couteau dans une plaie déjà béante, une qui ne se soignera jamais. et c'est qu'il l'enfonce toujours plus ce couteau, tu sers les dents, pinçant les lèvres alors que les larmes coulent sur ton visage. tu ne comprenais pas comment il pouvait se montrer si cruel, lui qui disait ne pas vouloir oublier sa mère, comment pouvait-il se regarder dans le miroir et penser qu'elle aimerait ce qu'il était devenu ? un être aigri et rempli de rancune. mais il avait peut-être raison au fond, si ton père avait pu oublier que tu existais c'est que tu n'avais que peu d'intérêt, que tu n'étais pas digne de mériter son attention, que tu n'étais pas suffisamment importante. que tu ne le méritais pas. tes doigts tremblants qui retiennent avec difficulté ton téléphone, tu fais de ton mieux pour ne pas laisser tes sanglots s'entendre. ce ne serait qu'un avantage de plus pour lui. « pardon d'avoir gâché ton si précieux temps, » tu réponds finalement avec sarcasme, te cachant derrière pour ne pas craquer. il entendrait sûrement ta voix trembler, tu t'en fichais, ça pouvait être autant de la colère que de la peine. « va crever eui geon, t'es bon qu'à ça. » tu siffles entre tes dents avant de raccrocher, tu n'avais pas envie d'entendre ce qu'il pourrait te dire d'autres. il voulait que tu l'oublies et bien il avait gagné. s'il pouvait vivre en faisant comme si vous n'existiez pas, tu allais faire pareil.
________________________________
i wanna punch you
eui geon & eun san
✻✻✻ tu devais être masochiste, c'était la seule explication que tu avais pour revenir encore et encore malgré la façon dont eui geon te traitait. comme si durant toutes ses années, tu n'avais rien appris de son rejet incessant. oui c'était bien ça, en fait tu devais avoir un soucis, ce n'était pas possible autrement. ta mère avait lâchée l'affaire il y a bien longtemps, elle au moins avait compris que vous ne pourriez pas le raisonner alors pourquoi continuer à t'accrocher alors que tout ce qui t'attend c'est juste une porte qu'on te claque au nez et la peine qui l'accompagne ? il vous tenait responsable pour ce qui était arrivé à sa famille, il n'avait pas cherché à comprendre, à vous connaître. tu n'avais vu sa mère qu'à quelques reprises, et elle avait toujours été gentille avec toi, elle avait vu que ta mère se démenait pour vous faire vivre, pour tenir votre famille la tête hors de l'eau. toi aussi au début, tu n'avais pas aimé voir ta mère fréquenter le père de eui geon, tu étais heureuse pour elle mais l'enfant que tu étais ne voulait pas passer au second plan dans son cœur. cette peur de l'abandon omniprésente depuis le départ de ton père. c'était peut-être ça le soucis au fond, tu ne supportais pas l'abandon, tu en avais une peur bleue, c'était un poison qui s'était insinué en toi pour s'installer dans ton cœur, le rendant plus fragile. tu lâches un soupir à son énième réflexion, toute façon quoi que tu dises il aurait toujours les bonnes excuses pour esquiver, pour vous montrer encore une fois qu'il ne voulait pas de vous dans sa vie, que vous n'étiez rien. tu ne cherchais même plus à répondre pour le coup, tu n'y voyais plus l'intérêt car ça te servirait à quoi ? tu aurais les mêmes réponses, ça n'avancerait pas et tu savais comment la conversation allait se terminer, une blessure de plus, ton cœur qui se fragilise encore. « laisse tomber, c'est trop te demander de faire un effort. » tu réponds, aucune intonation dans la voix, aucune expression sur ton visage pas qu'il puisse le voir ça d'ailleurs. s'il voulait tant que ça que tu le laisses en paix, et bien tu allais exaucer son souhait, ce n'était pas la première fois. tu voudrais couper court à la conversation, pour éviter de l'entendre enfoncer le couteau dans une plaie déjà béante, une qui ne se soignera jamais. et c'est qu'il l'enfonce toujours plus ce couteau, tu sers les dents, pinçant les lèvres alors que les larmes coulent sur ton visage. tu ne comprenais pas comment il pouvait se montrer si cruel, lui qui disait ne pas vouloir oublier sa mère, comment pouvait-il se regarder dans le miroir et penser qu'elle aimerait ce qu'il était devenu ? un être aigri et rempli de rancune. mais il avait peut-être raison au fond, si ton père avait pu oublier que tu existais c'est que tu n'avais que peu d'intérêt, que tu n'étais pas digne de mériter son attention, que tu n'étais pas suffisamment importante. que tu ne le méritais pas. tes doigts tremblants qui retiennent avec difficulté ton téléphone, tu fais de ton mieux pour ne pas laisser tes sanglots s'entendre. ce ne serait qu'un avantage de plus pour lui. « pardon d'avoir gâché ton si précieux temps, » tu réponds finalement avec sarcasme, te cachant derrière pour ne pas craquer. il entendrait sûrement ta voix trembler, tu t'en fichais, ça pouvait être autant de la colère que de la peine. « va crever eui geon, t'es bon qu'à ça. » tu siffles entre tes dents avant de raccrocher, tu n'avais pas envie d'entendre ce qu'il pourrait te dire d'autres. il voulait que tu l'oublies et bien il avait gagné. s'il pouvait vivre en faisant comme si vous n'existiez pas, tu allais faire pareil.© LOYALS.
| and then my soul saw you and it kind of went, “oh, there you are. i've been looking for you.” ☾ i love you so much more than just to the moon and back. ♡ |
Invité
Invité
Re: i wanna punch you ~ eui geon | Dim 19 Aoû - 12:05
✻✻✻ tu sais que la façon dont tu traites ta sœur n’est pas la meilleure façon de faire. mais tu ne peux pas t’en empêcher. tu as tellement de haine, tellement de ressentiment en toi à cause de la mort de ta mère et du divorce de ton père avec elle pour se remarier de suite après avec son infirmière qu’il a fait devenir égérie d’une grande marque. c’est quelque chose que tu n’as pas accepté il y a dix ans quand ta mère est morte, pas plus que tu ne l’acceptes maintenant. tu es cruel avec eunsan, abjecte et surtout tu appuies là où ça fait mal pour la faire souffrir comme tu souffres toi. tu sais que ce n’est pas une bonne solution, que ça ne fera qu’attiser la haine que tu conserves en toi depuis des années, mais tu ne peux pas faire autrement. c’est ancré en toi et t’as besoin de cracher ton venin pour te sentir mieux. enfin, tu ne te sens pas réellement mieux, mais ça te fait quand même du bien. pourtant, quelque fois, tu penses à ce que ta mère aurait pensé de ton comportement. elle aurait été déçu de voir l’être cruel et affreux que tu étais devenu. elle t’aurait même fait la morale parce qu’elle était pacifiste ta mère. cependant, elle n’était pas là pour le voir et tu faisais tout ce qu’elle détestait à ta famille. tu sais qu’elle aurait voulu que tu les acceptes, que tu sois un bon grand frère pour eunsan et un bon petit frère pour daewon. mais tu n’y arrivais pas. dès que tu étais en leur compagnie, tu te rappelais que ta mère n’était plus de ce monde, que tu étais tout seul et qu’ils n’étaient pas ta vraie famille. tu pousses un soupir quand eunsan reprend la parole. « ouais laisse tomber. » des efforts, tu pourrais en faire. tu serais même presque prêt à en faire. mais tu ne le désirais pas. tout ce que tu voulais, c’était qu’ils te foutent la paix tous autant qu’ils étaient. alors, tu fais en sorte que ce soit le cas. tu es encore plus cruel avec eunsan, lui parlant de son père et des possibles raisons de son départ, mentionnant que ce serait probablement sa faute à elle. tu entends sa respiration changer. elle doit sûrement pleurer. tu serres les dents te maudissant d’être si affreux avec elle. ce n’est pas contre elle que ta colère devrait être dirigée mais c’est quand même elle qui prend tout. tu l’écoutes de parler et sa voix est tremblante. elle a beau faire la forte, tu peux clairement percevoir les pleurs qu’elle essaie de te cacher. tu pousses un soupir à ses mots et tu ne réponds pas alors qu’elle raccroche. tu gardes ton téléphone quelques secondes contre ton oreille avant de l’enlever… nouveau soupir qui s’échappe de tes lèvres. « t’es un abruti euigeon. » que tu t’entends te dire alors que tu refermes les yeux, reposant ta tête contre l’oreiller. pourquoi faut-il toujours que tu sois comme ça avec eux ? tu devrais apprendre à les aimer, à essayer d’être leur frère plutôt que de les rejeter aussi fermement. « désolé eunsan. » murmures-tu sachant pertinemment qu’elle ne t’entendrait pas. de toute façon, tu ne lui diras probablement jamais en face. t’essaies une nouvelle fois de t’endormir mais tu n’y arrives pas. alors, tu prends ton téléphone, les clés de la chambre, ton portefeuilles et ton paquet de clopes. tu vas aller te promener quelques instants. ça va te faire du bien et peut-être te faire oublier à quel point tu es stupide, con et arrogant.
i wanna punch you
eunsan & euigeon
✻✻✻ tu sais que la façon dont tu traites ta sœur n’est pas la meilleure façon de faire. mais tu ne peux pas t’en empêcher. tu as tellement de haine, tellement de ressentiment en toi à cause de la mort de ta mère et du divorce de ton père avec elle pour se remarier de suite après avec son infirmière qu’il a fait devenir égérie d’une grande marque. c’est quelque chose que tu n’as pas accepté il y a dix ans quand ta mère est morte, pas plus que tu ne l’acceptes maintenant. tu es cruel avec eunsan, abjecte et surtout tu appuies là où ça fait mal pour la faire souffrir comme tu souffres toi. tu sais que ce n’est pas une bonne solution, que ça ne fera qu’attiser la haine que tu conserves en toi depuis des années, mais tu ne peux pas faire autrement. c’est ancré en toi et t’as besoin de cracher ton venin pour te sentir mieux. enfin, tu ne te sens pas réellement mieux, mais ça te fait quand même du bien. pourtant, quelque fois, tu penses à ce que ta mère aurait pensé de ton comportement. elle aurait été déçu de voir l’être cruel et affreux que tu étais devenu. elle t’aurait même fait la morale parce qu’elle était pacifiste ta mère. cependant, elle n’était pas là pour le voir et tu faisais tout ce qu’elle détestait à ta famille. tu sais qu’elle aurait voulu que tu les acceptes, que tu sois un bon grand frère pour eunsan et un bon petit frère pour daewon. mais tu n’y arrivais pas. dès que tu étais en leur compagnie, tu te rappelais que ta mère n’était plus de ce monde, que tu étais tout seul et qu’ils n’étaient pas ta vraie famille. tu pousses un soupir quand eunsan reprend la parole. « ouais laisse tomber. » des efforts, tu pourrais en faire. tu serais même presque prêt à en faire. mais tu ne le désirais pas. tout ce que tu voulais, c’était qu’ils te foutent la paix tous autant qu’ils étaient. alors, tu fais en sorte que ce soit le cas. tu es encore plus cruel avec eunsan, lui parlant de son père et des possibles raisons de son départ, mentionnant que ce serait probablement sa faute à elle. tu entends sa respiration changer. elle doit sûrement pleurer. tu serres les dents te maudissant d’être si affreux avec elle. ce n’est pas contre elle que ta colère devrait être dirigée mais c’est quand même elle qui prend tout. tu l’écoutes de parler et sa voix est tremblante. elle a beau faire la forte, tu peux clairement percevoir les pleurs qu’elle essaie de te cacher. tu pousses un soupir à ses mots et tu ne réponds pas alors qu’elle raccroche. tu gardes ton téléphone quelques secondes contre ton oreille avant de l’enlever… nouveau soupir qui s’échappe de tes lèvres. « t’es un abruti euigeon. » que tu t’entends te dire alors que tu refermes les yeux, reposant ta tête contre l’oreiller. pourquoi faut-il toujours que tu sois comme ça avec eux ? tu devrais apprendre à les aimer, à essayer d’être leur frère plutôt que de les rejeter aussi fermement. « désolé eunsan. » murmures-tu sachant pertinemment qu’elle ne t’entendrait pas. de toute façon, tu ne lui diras probablement jamais en face. t’essaies une nouvelle fois de t’endormir mais tu n’y arrives pas. alors, tu prends ton téléphone, les clés de la chambre, ton portefeuilles et ton paquet de clopes. tu vas aller te promener quelques instants. ça va te faire du bien et peut-être te faire oublier à quel point tu es stupide, con et arrogant.© LOYALS.
Contenu sponsorisé