[EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Sam 17 Mar - 7:11 Citer EditerSupprimer
A peine eus-tu prononcé la demande que je stoppe ce, très probable, massacre que je m’exécutais. Etais-tu de meilleure humeur à présent ? Avais-je réussi ? Précédemment, pendant que j’ignorais totalement si cette réinterprétation de Cheer Up aurait l’effet escompté, j’avais bien vu ce sourire orné tes lèvres. Ce rire également, je l’avais entendu pour mon plus grand plaisir. Pourtant je n’avais arrêté, au cas où, l’instant suivant, tu ne t’effondre de nouveau, que la dose d’idiotie ne soit suffisante pour te permettre de recouvrer entièrement cette joie qui semblait t’habiter depuis la première attraction. Mais à présent, n’étais-tu pas seulement gênée. Tout le monde nous regardait… Autour de nous, un œil je jetais alors, n’ayant payé attention à tous ces gens lors de mes « performances » qui t’étaient toutes destinées mais c’était avec le même constat que je venais finalement. Tout le monde avait les yeux rivés vers nous. Malgré la gêne, le malaise, j’esquissais un sourire en leur direction, ponctué de quelques mots qui t’étaient destinés tout bas. « Partons.. » Oui partons, le plus vite possible, le plus fièrement possible avant de se mettre à courir de toutes nos forces pour échapper à ce malaise. C’était en tout cas la réaction que j’aurais eu si seul j’eus été dans cette situation, mais je devrais attendre ton accord… qui ne venait à croire comme tu me poussais dans la fontaine. Allais-tu véritablement les écouter ? Allais-tu… m’embrasser une nouvelle fois ? Sans raison ? Car précédemment, tu en avais bien eu une : la crise de jalousie, mais maintenant ? Tes mains se glissaient de part et d’autres de mon visage que je ne parvenais ni à reculer ni avancer pour te faciliter la tâche.
Ma main prisonnière se déposait sur la tienne avant, qu’enfin, tes lèvres ne rentrent en contact avec… avec le coin des miennes. Avais-tu loupé consciemment ? Ou la position rendait-elle tes gestes imprécis ? Je ne savais, je ne comprenais, la seule à laquelle mon esprit accordait de l’importance était de se souvenir de la sensation de ce baiser. Ces lèvres si douces sur la commissure des miennes, un touché à la fois si doux et électrisant. D’une innocence tentatrice dans toute sa splendeur, frustrante et déroutante. De la signification de ce geste à son aboutissement final, tout m’échappait et me désarçonnait. La seule chose qui était sûre : tu avais ravie notre public qui se mettait à présent à applaudir en poussant des cris et des sifflements nous étant destinés. « T’as aimé ? Mon spectacle pour toi. » Une voix restée basse, un simple souffle que toi seule pouvait entendre. Je ne parlais du baiser bien évidemment même si l’origine de celui-ci m’intéressait bien plus en réalité. Tu n’étais du genre à te laisser pousser par la foule n’est-ce pas ? Alors pourquoi ? Devrais-je véritablement me pencher sur une question qui n’aurait, une fois de plus, aucune réponse ? « Je pense qu’on peut dire que le défi est réussi… » Chant, danse, aegyo, improvisation… Mon cadeau n’était-il pas mieux encore que celui initialement demandé ? Bien plus personnel et sincère également.
Ma main prisonnière se déposait sur la tienne avant, qu’enfin, tes lèvres ne rentrent en contact avec… avec le coin des miennes. Avais-tu loupé consciemment ? Ou la position rendait-elle tes gestes imprécis ? Je ne savais, je ne comprenais, la seule à laquelle mon esprit accordait de l’importance était de se souvenir de la sensation de ce baiser. Ces lèvres si douces sur la commissure des miennes, un touché à la fois si doux et électrisant. D’une innocence tentatrice dans toute sa splendeur, frustrante et déroutante. De la signification de ce geste à son aboutissement final, tout m’échappait et me désarçonnait. La seule chose qui était sûre : tu avais ravie notre public qui se mettait à présent à applaudir en poussant des cris et des sifflements nous étant destinés. « T’as aimé ? Mon spectacle pour toi. » Une voix restée basse, un simple souffle que toi seule pouvait entendre. Je ne parlais du baiser bien évidemment même si l’origine de celui-ci m’intéressait bien plus en réalité. Tu n’étais du genre à te laisser pousser par la foule n’est-ce pas ? Alors pourquoi ? Devrais-je véritablement me pencher sur une question qui n’aurait, une fois de plus, aucune réponse ? « Je pense qu’on peut dire que le défi est réussi… » Chant, danse, aegyo, improvisation… Mon cadeau n’était-il pas mieux encore que celui initialement demandé ? Bien plus personnel et sincère également.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Sam 17 Mar - 13:35 Citer EditerSupprimer
Si tu semblas préféré te défiler, quitte à être affiché, j’optais plutôt pour jouer le jeu jusqu’au bout. Lorsque mes mains je plaçais autour de ton visage ce fut décemment pour nous cacher. Je ne comptais véritablement t’embrasser. Je n’envisageais même certainement pas de déposer un seul instant, une fois encore, mes lèvres sur toi. Et pourtant, je le fis. Ne méritais-tu pas cette forme de remerciement. Si de ta bouche je ne m’emparais, plus que ta joue, ce fut l’entre deux sur lequel se jeta mon dévolu. Choix de l’instinct qui me guida sans que je ne réfléchisse. Un baiser à la commissure de tes lèvres, un petit courant électrique aux miennes, je ne me laissais troublée pour autant. Pas trop tout du moins. Nous avions foule de spectateurs et mon expérience d’égérie m’avait appris à gérer pour partie mes émotions en public. Ce dernier nous encensait tandis que je te libérais lentement. Petit sourire mutin, tu me désemparais néanmoins lorsque tu me demandais si j’avais aimé. Une fraction de seconde, mes joues se pâmaient de rose. Faisais-tu référence à ce demi baiser ? Mi-vrai, mi-faux. L’instant suivant, tu ajoutais une précision offrant soulagement à mon suspendu. Tu ne me taquinais à ce sujet. Alors, je me reculais et descendais un pied de mon perchoir sur la terre ferme afin de te permettre d’extraire les tiens de l’eau dans laquelle je t’avais jeté. « Ce fut… Original ! » Après avoir feint la réflexion septique, je t’accordais un discret clin d’oeil. Nos mains liées par les bracelets, je pris la tienne pour t’aider à franchir le bord de la fontaine et reconnais ta performance. « Je pense aussi. Défi réussi et récompense déjà accordée ! » ajoutais-je de mon index levé. Je palliais ainsi à toute quelconque demande potentielle. Bien que tu n’en eus émis le souhait, je décidais que ce « baiser » représentait ta récompense. Il l’avait été en quelque sorte, autant pour complaire à nos spectateurs que pour te témoigner d’une reconnaissance que mes mots ne parviendraient peut-être pas à te formuler. Cette blessure, tu me l’avais infligé malgré toi et de ta personne tu avais donné pour la réparer. Je t’en remerciais profondément.
Le spectacle fini, les curieux s’en retournaient à leurs occupations à travers le parc. À nous d’en faire de même. « Allons déjeuner ! » Je te pris spontanément par la main. Endossant le rôle du guide, je dus me pincer les lèvres pour ne pas rire à entendre tes pas témoigner de tes chaussures et bas de pantalons mouillés. Après quelques mètres, je m’arrêtais et balayais du regard les alentours. Je t’emmenais ensuite longer quelques établissements de restaurant, consultant les menus au préalable bien que ceux-ci ne variaient guère. Je finis par me décider sur un. « Ici, ça me semble pas mal ! » D’un regard je demandais ton consentement avant de nous engouffrer dans l’attente, au bout de laquelle, je péchais de gourmandise, une nouvelle fois, m’autorisant à commander un cornet de frites. Nos plateaux fins prêts, je me dirigeais spontanément vers l’extérieur, désireuse de profiter du soleil pour déjeuner. Cependant, je me rappelais vite l’importance de réguler nos cadences si nos plateaux nous ne souhaitions pas renverser.
Le spectacle fini, les curieux s’en retournaient à leurs occupations à travers le parc. À nous d’en faire de même. « Allons déjeuner ! » Je te pris spontanément par la main. Endossant le rôle du guide, je dus me pincer les lèvres pour ne pas rire à entendre tes pas témoigner de tes chaussures et bas de pantalons mouillés. Après quelques mètres, je m’arrêtais et balayais du regard les alentours. Je t’emmenais ensuite longer quelques établissements de restaurant, consultant les menus au préalable bien que ceux-ci ne variaient guère. Je finis par me décider sur un. « Ici, ça me semble pas mal ! » D’un regard je demandais ton consentement avant de nous engouffrer dans l’attente, au bout de laquelle, je péchais de gourmandise, une nouvelle fois, m’autorisant à commander un cornet de frites. Nos plateaux fins prêts, je me dirigeais spontanément vers l’extérieur, désireuse de profiter du soleil pour déjeuner. Cependant, je me rappelais vite l’importance de réguler nos cadences si nos plateaux nous ne souhaitions pas renverser.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Sam 17 Mar - 19:36 Citer EditerSupprimer
Quelle idée avais-tu eu de me jeter dans l’eau exactement ? Fort heureusement, la chute n’avait pas été violente, pas assez pour que je t’y entraine involontairement. Mais la tentation, à présent, était belle et bien là. Devrais-je te tirer à moi pour que tu m’y rejoignes ? S’amuser dans l’eau comme deux grands enfants que nous pourrions être, à l’instar de ces scènes de couple dans bon nombres de films à l’eau de rose. Pourtant, comme si tu l’eus pressenti, de ton perchoir tu descendais prestement, m’invitant à faire de même. Alors un premier pied je sortais du liquide translucide, constatant combien vêtements et chaussures s’en étaient imprégnés pour le peu de temps que je pus y avoir passé. « Récompense accordée ? » répétais-je en descendant enfin du rebord de la structure, non sans tenter vainement de retirer l’eau incrusté dans ma chaussure dernièrement sortie. Considérais-tu ce baiser comme une récompense ? Espérais-tu qu’en récompensant ma commissure de lèvre, celle-ci trouvera envie et courage de réitérer l’expérience pour tes beaux yeux ? C’était possible… Une bonne façon de penser, bien que pour ma part, je ne savais si cela puisse être considérer comme une récompense ou une punition.
Suivant tes pas des miens maladroits, sensation étrange que de marcher avec les pieds trempés sans s’y être préparé à l’avance ; ce fut plusieurs adresses de restaurants que nous faisions. Tel le compagnon parfait que j’étais, j’attendais qu’enfin, l’un d’entre eux touche ton cœur d’une façon ou d’une autre. Que ce soit par gourmandise, aujourd’hui semblant être une journée de péché pour toi, ou par conviction, si jamais l’un d’eux proposait des plats qui correspondaient à tes exigences culinaires. Contre toute attente, c’était vers ce qui semblait n’était un restaurant que tu me guidais finalement mais plutôt… Un vendeur de snack ? Ce qui s’apparentait à de la mal nutrition ? Bien qu’étonné je confirmais ton choix sans réfléchir, je n’étais difficile en nourriture quand bien même je devais l’avouer : moins c’était calorifique, mieux je me portais depuis quelques temps. Le sport, ma hantise, j’avais fait l’effort d’en faire, ce n’était pour avoir à fournir double dose pour une gourmandise que j’aurais pu m’éviter. Bien que mon plateau ne semblait confirmer cette pensée : poulet frit au miel et frites accompagné d’une petite bouteille de soda non pétillant, c’était bien là mes péchés mignons du jour.
A tes côtés j’avançais, plateau difficilement stable en main jusqu’à une table située en extérieur. Nos plateaux posés, c’était face à toi que je m’installais finalement. Je n’avais vu la matinée passée, le temps semblait s’être accéléré le temps d’une journée, dommage qu’il eut choisi celle-ci… Ma main gauche spontanément se mouvait avant de se reposer sur la table en constatant que, non, je ne pourrais l’utiliser pour me nourrir. C’était alors de la droite que j’attrapais une première frite pour la porter à mes lèvres, histoire de m’habituer aux mouvements les plus simples dans un premier temps. « Tu passes une bonne journée ? » Celle-ci que tu aurais dû partager avec ton fiancé, était-elle agréable malgré tout ? Regrettais-tu ton choix de partenaire ? Cette interrogation, je ne pouvais te la poser sous peine de te rappeler avec qui tu aurais dû initialement la passé, mais inévitablement, je me la posais. Arrivais-je à te rendre heureuse ? « Je te propose quelque chose, avant de grimper dans la prochaine attraction, passons dans un magasin. Pas un truc sérieux comme on a pu en voir, un endroit où on pourra acheter des accessoires sympa pour continuer. » Des serre tête à motif d’animaux, ou tout simplement à oreilles de chat pour toi, des stickers mignons à se coller au visage. Ne rêverais-tu pas d’avoir une patte d’ours sur la pommette ? Une petite étoile peut-être ? J’étais certain que cela t’irait à merveille !
Suivant tes pas des miens maladroits, sensation étrange que de marcher avec les pieds trempés sans s’y être préparé à l’avance ; ce fut plusieurs adresses de restaurants que nous faisions. Tel le compagnon parfait que j’étais, j’attendais qu’enfin, l’un d’entre eux touche ton cœur d’une façon ou d’une autre. Que ce soit par gourmandise, aujourd’hui semblant être une journée de péché pour toi, ou par conviction, si jamais l’un d’eux proposait des plats qui correspondaient à tes exigences culinaires. Contre toute attente, c’était vers ce qui semblait n’était un restaurant que tu me guidais finalement mais plutôt… Un vendeur de snack ? Ce qui s’apparentait à de la mal nutrition ? Bien qu’étonné je confirmais ton choix sans réfléchir, je n’étais difficile en nourriture quand bien même je devais l’avouer : moins c’était calorifique, mieux je me portais depuis quelques temps. Le sport, ma hantise, j’avais fait l’effort d’en faire, ce n’était pour avoir à fournir double dose pour une gourmandise que j’aurais pu m’éviter. Bien que mon plateau ne semblait confirmer cette pensée : poulet frit au miel et frites accompagné d’une petite bouteille de soda non pétillant, c’était bien là mes péchés mignons du jour.
A tes côtés j’avançais, plateau difficilement stable en main jusqu’à une table située en extérieur. Nos plateaux posés, c’était face à toi que je m’installais finalement. Je n’avais vu la matinée passée, le temps semblait s’être accéléré le temps d’une journée, dommage qu’il eut choisi celle-ci… Ma main gauche spontanément se mouvait avant de se reposer sur la table en constatant que, non, je ne pourrais l’utiliser pour me nourrir. C’était alors de la droite que j’attrapais une première frite pour la porter à mes lèvres, histoire de m’habituer aux mouvements les plus simples dans un premier temps. « Tu passes une bonne journée ? » Celle-ci que tu aurais dû partager avec ton fiancé, était-elle agréable malgré tout ? Regrettais-tu ton choix de partenaire ? Cette interrogation, je ne pouvais te la poser sous peine de te rappeler avec qui tu aurais dû initialement la passé, mais inévitablement, je me la posais. Arrivais-je à te rendre heureuse ? « Je te propose quelque chose, avant de grimper dans la prochaine attraction, passons dans un magasin. Pas un truc sérieux comme on a pu en voir, un endroit où on pourra acheter des accessoires sympa pour continuer. » Des serre tête à motif d’animaux, ou tout simplement à oreilles de chat pour toi, des stickers mignons à se coller au visage. Ne rêverais-tu pas d’avoir une patte d’ours sur la pommette ? Une petite étoile peut-être ? J’étais certain que cela t’irait à merveille !
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Dim 18 Mar - 1:31 Citer EditerSupprimer
L’épreuve des plateaux ne s’avérait pas être la seule à nous attendre pour la simple aventurer de déjeuner. Après avoir coordonné nos pas pour atteindre la table sans renverser, c’était au tour de nos gestes une fois assis. Ou plutôt, nous abandonnions tous deux d’une même pensée l’idée d’utiliser notre main de prédilection. Tu devrais porter les aliments à ta bouche avec ta main droite et moi la gauche. A moins que de temps en temps, nous agissions l’un après l’autre, à condition que chacun se prête au jeu pour accompagner les mouvements de l’autre. Oui, cette pause déjeuner s’annoncer une véritable épreuve, une lutte contre nos réflexes d’user de notre main principale. Sans plus attendre, tu piochais dans tes frites alors que je te volais ta main menottée pour que je puisse nettoyer les deux miennes à la lotion. Mon regard se dressa sur toi quand tu lanças la conversation. Je me sentis un soupçon peinée pour toi. Mes larmes de tout à l’heure avait dû te désemparer alors que tu n’avais à te sentir coupable. Malgré l’indéniable bonheur qui accompagnait cette journée, il semblerait que je fus doter de trop de fierté pour l’avouer. Je fis mine de réfléchir à ma réponse. « Je crois que je n’ai pas à m’en plaindre… » émis-je sur le ton de l’hésitation avant de renchérir, plus enjouée et espiègle : « Enfin si, mais ça aurait pu être pire ! » Discrètement, je te tirais la langue et avançais ma main libre en direction de ton plateau. Mon vol de frites intempestif fut néanmoins avorté par une nouvelle intervention de ta part. « Des accessoires sympas ? » Cette fois, mon interrogation s’avérait authentique. Du regard je mis à balayer la place de Magic Land sur laquelle nous avions vu depuis notre terrasse. « Tu veux dire… Ce genre d’accessoires ? » supposais-je en désignant du menton des enfants qui passaient coiffés de serre-tête, couvre-chef ou des bibelots entre les mains. Des enfants mais aussi des grands. Alors, j’haussais les épaules et j’acceptais. « Pourquoi pas. » Nous étions venus pour nous amuser. Je te devais déjà beaucoup malgré tous les reproches dont je pouvais t’asséner. Sans dire que moi aussi, en vérité, je me révélais parfois amatrice de ces objets inutiles mais mignons voire symboliques.
Mon accord donné, mon attention put enfin se reporter sur le contenu de nos plateaux. Ma main revenue à sa place sans le fruit de son larcin, mes yeux s’aventurèrent sur ton menu, fort appétant, je le reconnaissais. « Hmmm, ça semble si délicieux et gras, j’en regretterais presque d’être végétarienne pour une fois… » D’ordinaire, je détestais autant la viande que le gras, mais aujourd’hui, j’envoyais tout voler. Ou presque. Et je ne pousserais le vice jusqu’à transgresser mes convictions alimentaires. D’autant plus que j’avais conscience des risques d’une digestion difficile tant mon organisme avait perdu l’attitude d’assimiler de la viande. « Bon appétit ! » m’exclamais-je finalement, bien que tu n’avais attendu pour entamer ton cornet. A mon tour d’attaquer le mien. Une fois en bouche, je l’avalais avec plaisir. « Je n’avais pas mangé de frites depuis des années, il me semble ! » Tu pouvais entendre dans ma voix comme il mettait agréable de me lâcher pour une fois, quasiment en tout point. Et pourtant, pour une femme de mon milieu, je n’acceptais de subir bien peu de règles. En contrepartie, je m’en imposais d’autres. « Je te préviens qu’on va avoir intérêt à se dépenser pour éliminer tout ça au cours de la journée ! » Sur ces mots, je croquais avec gourmandise dans une seconde frite.
Au bout de quelques minutes de répit, la légèreté qui m’enveloppait s’atténua. Le fantôme de mon chagrin précédent se fit latent quand bien même, je ne lui cédais. Soudainement peut-être, je t’interpellais : « Oppa. » Je fis bien exprès t’employer ce terme avec une touche d’innocence mais détermination. « Je peux te poser une question ? » Aussitôt, mon assurance s’était faite en demi-teinte, prévenant pour partie du sérieux et de la profondeur de ma demande. « Tu as déjà rompu avec quelqu’un ? » La réponse me paraissait évidente, à tel point que je n’y soupçonnais de tabou. Que je pensais pouvoir trouver interlocuteur avec lequel partagé les ressentis et les raisons peut-être, d’une telle expérience. Non pas d’être celui qui est quitté mais celui qui en prend la décision, sans forcément en tirer de satisfaction, au contraire. Néanmoins, je ne nierais malgré le poids de son absence aujourd’hui à mes côtés, le soulagement d’une relation dégradée au point de me ronger.
Mon accord donné, mon attention put enfin se reporter sur le contenu de nos plateaux. Ma main revenue à sa place sans le fruit de son larcin, mes yeux s’aventurèrent sur ton menu, fort appétant, je le reconnaissais. « Hmmm, ça semble si délicieux et gras, j’en regretterais presque d’être végétarienne pour une fois… » D’ordinaire, je détestais autant la viande que le gras, mais aujourd’hui, j’envoyais tout voler. Ou presque. Et je ne pousserais le vice jusqu’à transgresser mes convictions alimentaires. D’autant plus que j’avais conscience des risques d’une digestion difficile tant mon organisme avait perdu l’attitude d’assimiler de la viande. « Bon appétit ! » m’exclamais-je finalement, bien que tu n’avais attendu pour entamer ton cornet. A mon tour d’attaquer le mien. Une fois en bouche, je l’avalais avec plaisir. « Je n’avais pas mangé de frites depuis des années, il me semble ! » Tu pouvais entendre dans ma voix comme il mettait agréable de me lâcher pour une fois, quasiment en tout point. Et pourtant, pour une femme de mon milieu, je n’acceptais de subir bien peu de règles. En contrepartie, je m’en imposais d’autres. « Je te préviens qu’on va avoir intérêt à se dépenser pour éliminer tout ça au cours de la journée ! » Sur ces mots, je croquais avec gourmandise dans une seconde frite.
Au bout de quelques minutes de répit, la légèreté qui m’enveloppait s’atténua. Le fantôme de mon chagrin précédent se fit latent quand bien même, je ne lui cédais. Soudainement peut-être, je t’interpellais : « Oppa. » Je fis bien exprès t’employer ce terme avec une touche d’innocence mais détermination. « Je peux te poser une question ? » Aussitôt, mon assurance s’était faite en demi-teinte, prévenant pour partie du sérieux et de la profondeur de ma demande. « Tu as déjà rompu avec quelqu’un ? » La réponse me paraissait évidente, à tel point que je n’y soupçonnais de tabou. Que je pensais pouvoir trouver interlocuteur avec lequel partagé les ressentis et les raisons peut-être, d’une telle expérience. Non pas d’être celui qui est quitté mais celui qui en prend la décision, sans forcément en tirer de satisfaction, au contraire. Néanmoins, je ne nierais malgré le poids de son absence aujourd’hui à mes côtés, le soulagement d’une relation dégradée au point de me ronger.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Dim 18 Mar - 7:32 Citer EditerSupprimer
Sur tes doigts vagabonds mon regard se posait, ces derniers m’arrachant un sourire attendri. Ce qui est à moi est à toi, mais ce qui est à toi est à toi. Etait-ce ton proverbe ? Il te sciait à la perfection tout autant que je préférais l’appliquer également, non que ton plateau ne m’intéressait mais le mien semblait chanter une mélodieuse symphonie d’amour à mes papilles en guise de parade nuptiale. Autant dire que je ne comptais les empêcher de se rencontrer dans les instants à venir. Néanmoins, avant cela, vers ce que tu me montrais je portais mon attention. Ce genre d’accessoire… A la vue de ceux-ci, j’hochais la tête en guise de confirmation. « Exactement. » Ta question me semblait souffler un vent de refus en guise de réponse et pourtant… ce fut un semi-accord que j’obtenais pour celle-ci. Preuve qu’encore une fois, tu semblais décidée à me montrer ta capacité à prendre cette journée à la légère mais aussi ta volonté, car pour te balader ainsi démaquillée, m’embrasser comme récompense, vouloir voler mes frites et accepter des accessoires aussi idiots, tu devais certainement en avoir envie. Mais probablement pas autant que pour mon plateau qui, de toute évidence, devait d’offrir regard doux et clins d’œil pour qu’ainsi tu louche dessus. « Je t’en aurais bien donné si c’était pas poulet… » Je n’étais pas un homme égoïste, si dans mon plateau tu désirais picorer alors tu le pouvais autant que tu le désirais. De toute façon, même si tu venais à tout avaler, je n’aurais qu’à racheter autre chose. Ce n’était une affaire d’état. « Est-ce qu’une journée sera suffisante pour tout éliminer ? » Pour toi sans doute, mais moi… Je soupirais de tristesse, l’idée me faisant culpabiliser envers mes pauvres muscles… Mais tant pis pour eux ! Ma gourmandise était plus forte pour cette fois, faire attention sera pour le prochain repas.
Au cours de notre repas, discrètement, ton cornet je venais à remplir d’une frite ou deux des miennes. A voir comme tu semblais en être amoureuse, c’était naturellement que le geste s’effectuait, comme un père offrant à sa fille son péché mignon. Quant au poulet… Autant dire qu’il était une misère à manger seulement de la main droite, m’obligeant à croquer dedans directement pour mon plus grand désespoir. Alors lorsque tu m’interpellais, me faisant comprendre bien rapidement que tu désirais me demander quelque chose, je fus une serviette que j’attrapais puis mon soda. Une gorgée puis deux, tant destinée à hydrater ma gorge qu’à faire fuir tout bout de poulet susceptible de rester dans ma bouche, je ne connaissais que trop bien la douleur d’un bout de nourriture coincé entre deux molaires… Car indéniablement, celles de devant n’auraient la place d’accueillir quelque chose entre elles. Ton interrogation j’attendais avant que celle-ci ne tombe, telle la lame d’une guillotine, dans mes oreilles. Avais-je déjà rompu avec quelqu’un… Un sujet loin d’être le plus joyeux que je connaissais. Loin d’être le plus accepté aussi. Mais si cette question tu me posais, d’autres devraient suivre n’est-ce pas ? Le début d’une longue série qui m’était encore inconnue…
Bien que celle-ci faisait vibrer un cœur jusqu’alors léger, que des souvenirs me revenaient avec puissance ; c’était avec légèreté que je décidais de l’aborder. Tu n’avais besoin d’un type déprimé ou froid sur les bras. Alors ma main à présent propre se levait vers mon visage, de mon pouce et mon index, un V je formais pour le placer tout juste sous mon menton. « Un homme aussi beau que moi, tu crois que j’ai été célibataire toute ma vie ? » Bien que je n’avais en réalité eut tant de petites-amies... Néanmoins, mon sérieux je retrouvais pour que tu ne te sentes mal ou gênée par un sujet difficile. Tu n’étais seulement sorti avec ce type après tout, vous vous étiez fiancés… « Après je sais pas si tu parles du fait de vivre une rupture ou de la provoquer… » D’une frite je me saisissais pour la porter à mes lèvres alors que les pensées assaillaient mon esprit pendant de longues secondes. « Mais je ferais de mon mieux pour te répondre. » Pour sûr, si à des questions je pouvais répondre, si mon avis tu nécessitais, alors je ferais mon possible pour t’aider à te remettre de cette dure situation.
Au cours de notre repas, discrètement, ton cornet je venais à remplir d’une frite ou deux des miennes. A voir comme tu semblais en être amoureuse, c’était naturellement que le geste s’effectuait, comme un père offrant à sa fille son péché mignon. Quant au poulet… Autant dire qu’il était une misère à manger seulement de la main droite, m’obligeant à croquer dedans directement pour mon plus grand désespoir. Alors lorsque tu m’interpellais, me faisant comprendre bien rapidement que tu désirais me demander quelque chose, je fus une serviette que j’attrapais puis mon soda. Une gorgée puis deux, tant destinée à hydrater ma gorge qu’à faire fuir tout bout de poulet susceptible de rester dans ma bouche, je ne connaissais que trop bien la douleur d’un bout de nourriture coincé entre deux molaires… Car indéniablement, celles de devant n’auraient la place d’accueillir quelque chose entre elles. Ton interrogation j’attendais avant que celle-ci ne tombe, telle la lame d’une guillotine, dans mes oreilles. Avais-je déjà rompu avec quelqu’un… Un sujet loin d’être le plus joyeux que je connaissais. Loin d’être le plus accepté aussi. Mais si cette question tu me posais, d’autres devraient suivre n’est-ce pas ? Le début d’une longue série qui m’était encore inconnue…
Bien que celle-ci faisait vibrer un cœur jusqu’alors léger, que des souvenirs me revenaient avec puissance ; c’était avec légèreté que je décidais de l’aborder. Tu n’avais besoin d’un type déprimé ou froid sur les bras. Alors ma main à présent propre se levait vers mon visage, de mon pouce et mon index, un V je formais pour le placer tout juste sous mon menton. « Un homme aussi beau que moi, tu crois que j’ai été célibataire toute ma vie ? » Bien que je n’avais en réalité eut tant de petites-amies... Néanmoins, mon sérieux je retrouvais pour que tu ne te sentes mal ou gênée par un sujet difficile. Tu n’étais seulement sorti avec ce type après tout, vous vous étiez fiancés… « Après je sais pas si tu parles du fait de vivre une rupture ou de la provoquer… » D’une frite je me saisissais pour la porter à mes lèvres alors que les pensées assaillaient mon esprit pendant de longues secondes. « Mais je ferais de mon mieux pour te répondre. » Pour sûr, si à des questions je pouvais répondre, si mon avis tu nécessitais, alors je ferais mon possible pour t’aider à te remettre de cette dure situation.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 23 Mar - 0:15 Citer EditerSupprimer
C'était avec un sérieux un peu soudain, mais aussi hésitant que sincère que je te posais cette question. Exceptionnellement, il semblerait que je cherchais en ta personne la figure d'un ainé. Une personne plus aguerrie auprès de laquelle je pourrais trouver réconfort et conseils. Après tout, ne m'avais tu pas prouver que tu pouvais aussi être sur qui compter, sur lequel se reposer, à l'instar de l'incident du vestiaire ? Mais tu étais aussi inéluctablement cet : 《Idiot...》 Tel fut le premier mot qui me vint en réaction à tes propos. Tu me rappelais à quel point tu pouvais avant tout être dénué de sérieux et parfois de considération. 《 Pour l'instant, tu ne m'as surtout pas répondu. 》 Oser prétendre que tu ferais de ton mieux alors que tu venais tout juste de détourner le sens de ma question pour te vanter, n'avais-tu pas de respect ? Avec toi, mon ressenti à ton égard oscillait plus fort qu'un océan agité par la tempête. Sans doute devais-tu t'évertuer à balayer tous tes gestes touchants par le souffle de tes inepties. Était-ce une muraille que tu érigeais ou ton insupportable tempérament naturel ? 《 Mais bon, je suppose que la suite est qu'un homme aussi beau que toi n'as jamais pu se faire larguer ? 》 Évidemment, les filles ne s'arrêtaient qu'à ça. Toutes tes petites amies ont dues être folles de toi au gŕé de tes sourires, tes baisers, tes jeux et tes fausses intentions. Les effectuaient à des fins de séduire ou ça aussi, tu le faisais en toute insouciance sans te soucier des conséquences sur la personne ? Un léger frisson me parcourut. Un frisson de dégoût. Je me maudissais pour mettre permis tant de proximité avec toi aujourd'hui. Te t'avoir laisser atteindre mon coeur en peine.《 Donc ce fut toi, le "méchant"... 》 soufflais-je néanmoins, plus à moi même que voué à t'être destiné. 《 Toi aussi... 》
Peut-être aurais-tu pu me comprendre et m'aider un peu, mais tu m'avais prouver par tes mots précédents que ton mieux ne serait que bien superficiel. 《 Oublie. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris de vouloir en parler avec toi. 》 Tu n'étais même pas un ami et dire que nous nous entendions semblerait même étrange. Pourtant, mon instinct me poussait toujours me tourner vers toi quand j'avais besoin de quelqu'un. Cette faiblesse que habituellement je refusais d'exposer, face à toi, elle ne m'avait déjà que trop échapper. Comme le sentiment de ne plus rien avoir à perdre. 《 Est ce que parce que j'ai pris cette décision je ne devrais pas être peinée ?》 finis-je pourtant malgré tout par te demander. Cette question qui me brûlait les lèvres, toutes ces interrogations qui hantaient mon esprit, j'avais besoin d'un interlocuteur avec lequel les partager. Au moins les exprimer afin de peut-être pouvoir m'alléger un peu du poids de ce fardeau pesant sur mon coeur blessé. Mes yeux se baissèrent et un aveu de plus je prononçais. 《 N'ai-je plus le droit de m'inquiéter pour lui ?》 Que faisait-il aujourd'hui ? À quoi pensait-il ? Souffrait-il ? Son esprit se rappelait-il que cette journée nous aurions dû la passer tout les deux ? Était-il malheureux ? Et soudain, loin de le soulager, au contraire, je culpabilisais d'avoir déjà pu tant m'amuser depuis le début de la journée. Avais-je le droit de rire si lui pleurait ?
Mais dès lors qu'avec toi je me laissais entrainer, je tendais à l'oublier...
C'était avec un sérieux un peu soudain, mais aussi hésitant que sincère que je te posais cette question. Exceptionnellement, il semblerait que je cherchais en ta personne la figure d'un ainé. Une personne plus aguerrie auprès de laquelle je pourrais trouver réconfort et conseils. Après tout, ne m'avais tu pas prouver que tu pouvais aussi être sur qui compter, sur lequel se reposer, à l'instar de l'incident du vestiaire ? Mais tu étais aussi inéluctablement cet : 《Idiot...》 Tel fut le premier mot qui me vint en réaction à tes propos. Tu me rappelais à quel point tu pouvais avant tout être dénué de sérieux et parfois de considération. 《 Pour l'instant, tu ne m'as surtout pas répondu. 》 Oser prétendre que tu ferais de ton mieux alors que tu venais tout juste de détourner le sens de ma question pour te vanter, n'avais-tu pas de respect ? Avec toi, mon ressenti à ton égard oscillait plus fort qu'un océan agité par la tempête. Sans doute devais-tu t'évertuer à balayer tous tes gestes touchants par le souffle de tes inepties. Était-ce une muraille que tu érigeais ou ton insupportable tempérament naturel ? 《 Mais bon, je suppose que la suite est qu'un homme aussi beau que toi n'as jamais pu se faire larguer ? 》 Évidemment, les filles ne s'arrêtaient qu'à ça. Toutes tes petites amies ont dues être folles de toi au gŕé de tes sourires, tes baisers, tes jeux et tes fausses intentions. Les effectuaient à des fins de séduire ou ça aussi, tu le faisais en toute insouciance sans te soucier des conséquences sur la personne ? Un léger frisson me parcourut. Un frisson de dégoût. Je me maudissais pour mettre permis tant de proximité avec toi aujourd'hui. Te t'avoir laisser atteindre mon coeur en peine.《 Donc ce fut toi, le "méchant"... 》 soufflais-je néanmoins, plus à moi même que voué à t'être destiné. 《 Toi aussi... 》
Peut-être aurais-tu pu me comprendre et m'aider un peu, mais tu m'avais prouver par tes mots précédents que ton mieux ne serait que bien superficiel. 《 Oublie. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris de vouloir en parler avec toi. 》 Tu n'étais même pas un ami et dire que nous nous entendions semblerait même étrange. Pourtant, mon instinct me poussait toujours me tourner vers toi quand j'avais besoin de quelqu'un. Cette faiblesse que habituellement je refusais d'exposer, face à toi, elle ne m'avait déjà que trop échapper. Comme le sentiment de ne plus rien avoir à perdre. 《 Est ce que parce que j'ai pris cette décision je ne devrais pas être peinée ?》 finis-je pourtant malgré tout par te demander. Cette question qui me brûlait les lèvres, toutes ces interrogations qui hantaient mon esprit, j'avais besoin d'un interlocuteur avec lequel les partager. Au moins les exprimer afin de peut-être pouvoir m'alléger un peu du poids de ce fardeau pesant sur mon coeur blessé. Mes yeux se baissèrent et un aveu de plus je prononçais. 《 N'ai-je plus le droit de m'inquiéter pour lui ?》 Que faisait-il aujourd'hui ? À quoi pensait-il ? Souffrait-il ? Son esprit se rappelait-il que cette journée nous aurions dû la passer tout les deux ? Était-il malheureux ? Et soudain, loin de le soulager, au contraire, je culpabilisais d'avoir déjà pu tant m'amuser depuis le début de la journée. Avais-je le droit de rire si lui pleurait ?
Mais dès lors qu'avec toi je me laissais entrainer, je tendais à l'oublier...
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 23 Mar - 2:32 Citer EditerSupprimer
Le « méchant »… Je mis plusieurs secondes à comprendre le sens de cette appellation mais lorsque j’y parvenais, je ne savais que te répondre. Être celui qui rompait tout lien avec l’autre, qui l’abandonnait, le faisait souffrir plus ou moins violemment ou être celui à qui on lâchait la main, qu’on préférait laisser de côté pour être plus heureux ou qui, involontairement, eut blessé l’autre. Quel rôle était le mieux exactement ? Devais-je me complaire dans celui que tu m’attribuais ou t’annoncer une vérité que tu ne semblais pouvoir imaginer ? Car de cette unique véritable relation que j’eue auparavant, jamais je n’avais été celui qui fit le premier pas afin d’y mettre un terme. Paille entre mes lèvres, c’était vers la table que mes pupilles restaient fixées, immobiles et très certainement ternes en comparaison à d’habitude. Je ne regrettais cette relation, je ne désirais retourner en arrière et je n’avais de la peine pour ce qu’il s’était passé. Tout fut bien trop rapide et brusque pour que je ne parvienne à l’assimiler sur le coup alors ce moment, je le revoyais sans parvenir à ressentir de véritable tristesse. Seulement l’incompréhension qui m’avait habité, ce sentiment d’être perdu et de ne savoir comment tout était arrivé. Un désert de compréhension le plus total qui, si aujourd’hui fut combler en apparence, fondamentalement, il n’en restait pas moins vide qu’avant. Telle une tempête de sable, c’était sur lui que tu soufflais.
Avait-elle fini par être peinée ? S’était-elle inquiétée un jour pour moi ?
Alors que je ne pouvais être certain, que jamais je n’aurais de réponse, celle-ci je trouvais seul et sans peine : non. Jamais ni pour l’un, ni pour l‘autre. Une triste réalité qui me ramenait à celle que je partageais avec toi sur cette terrasse, autour d’un repas sur un sujet que je n’aurais cru aborder avec toi un jour. Sans doute, ne le voulais-je également ? « Tu as le droit. » Une première phrase que je formulais entre deux gorgées de ma boisson avant de la reposer sur mon plateau. Mon regard, pas un instant ne s’était encore redresser vers toi mais rapidement, celui venait à chercher le tien en quête de te prouver ma sincérité. « Tu l’as aimé, tu as voulu partager ta vie avec lui, vous aviez certainement des habitudes et des expressions bien à vous… Tu ne peux pas l’oublier aussi facilement et faire comme si de rien n’était. Surtout… Si tu n’as pas rompu parce que tu ne l’aimais plus. » Si à son sujet tu t’inquiétais encore, alors très certainement, tu n’avais rompu par désamour. Si cette décision te peinait autant, c’est que tu n’avais dû la prendre qu’après mure réflexion. « Même si c’est dur pour lui, qu’il doit se poser des questions probablement, il s’en remettra d’une façon ou d’une autre. On trouve toujours un moyen de rebondir dans ce genre de situation. Mais je serais du côté des gens qui te diront de ne pas lui montrer que tu t’inquiètes de trop… Je suis certain qu’il t’a aimé, qu’il tenait à toi, le montrer ne ferait que le faire souffrir davantage et peut-être même espérer. « Et si c’était juste une phase creuse ? », « Et si elle revenait après avoir réfléchi à nouveau sur nous ? » Beaucoup de questions parfois totalement incohérentes et stupides peuvent survenir dans ce genre de situation, le mieux est de l’en préserver… Au moins celles-ci. » Bien que celles l’amenant à penser que tu ne l’avais aimé n’étaient les mieux, au moins, ainsi… Il ne souffrirait plus de son attachement pour toi. Sans doute, à choisir, c’était celle-ci la plus rapide et efficace ? Je ne savais, de question je n’avais eu à me poser sur ce sujet car la réponse m’avait été apportée dans la foulée ; l’évidence avait pris place dans mes pensées avant même que je n’aie pu en avoir conscience.
Avait-elle fini par être peinée ? S’était-elle inquiétée un jour pour moi ?
Alors que je ne pouvais être certain, que jamais je n’aurais de réponse, celle-ci je trouvais seul et sans peine : non. Jamais ni pour l’un, ni pour l‘autre. Une triste réalité qui me ramenait à celle que je partageais avec toi sur cette terrasse, autour d’un repas sur un sujet que je n’aurais cru aborder avec toi un jour. Sans doute, ne le voulais-je également ? « Tu as le droit. » Une première phrase que je formulais entre deux gorgées de ma boisson avant de la reposer sur mon plateau. Mon regard, pas un instant ne s’était encore redresser vers toi mais rapidement, celui venait à chercher le tien en quête de te prouver ma sincérité. « Tu l’as aimé, tu as voulu partager ta vie avec lui, vous aviez certainement des habitudes et des expressions bien à vous… Tu ne peux pas l’oublier aussi facilement et faire comme si de rien n’était. Surtout… Si tu n’as pas rompu parce que tu ne l’aimais plus. » Si à son sujet tu t’inquiétais encore, alors très certainement, tu n’avais rompu par désamour. Si cette décision te peinait autant, c’est que tu n’avais dû la prendre qu’après mure réflexion. « Même si c’est dur pour lui, qu’il doit se poser des questions probablement, il s’en remettra d’une façon ou d’une autre. On trouve toujours un moyen de rebondir dans ce genre de situation. Mais je serais du côté des gens qui te diront de ne pas lui montrer que tu t’inquiètes de trop… Je suis certain qu’il t’a aimé, qu’il tenait à toi, le montrer ne ferait que le faire souffrir davantage et peut-être même espérer. « Et si c’était juste une phase creuse ? », « Et si elle revenait après avoir réfléchi à nouveau sur nous ? » Beaucoup de questions parfois totalement incohérentes et stupides peuvent survenir dans ce genre de situation, le mieux est de l’en préserver… Au moins celles-ci. » Bien que celles l’amenant à penser que tu ne l’avais aimé n’étaient les mieux, au moins, ainsi… Il ne souffrirait plus de son attachement pour toi. Sans doute, à choisir, c’était celle-ci la plus rapide et efficace ? Je ne savais, de question je n’avais eu à me poser sur ce sujet car la réponse m’avait été apportée dans la foulée ; l’évidence avait pris place dans mes pensées avant même que je n’aie pu en avoir conscience.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 23 Mar - 13:22 Citer EditerSupprimer
Ton sérieux soudain me surprit. J’avais abandonné tout espoir d’une conversation de ce genre avec toi. Tu préférais de loin blaguer sur tes atouts et pourtant, le bref silence tu tranchas. Je t’écoutais. Je réfléchissais si tu avais tort ou raison. Avions-nous véritablement des habitudes ? Des expressions bien à nous ? Cette complicité l’avions-nous ? Probablement pas. Mais aussi incompréhensible que cela puisse paraitre, Hyeon n’était pas encore prêt pour ce genre de chose. Il fallait lui laisser le temps. Et je ne lui en voulais pas. J’étais prête à attendre, si je n’avais pas eu le sentiment que tout ceci, que cette volonté d’aller de l’avant et de se dévouer l’un pour l’autre n’allait pas que dans un sens. « Je n’en suis plus si sûre… Qu’il m’ait sincèrement aimé. » J’avais perdu foi en l’ampleur de sa sincérité et c’était ces doutes qui avaient creusé le fossé. Qui nous avait séparé au point que j’eus préféré tirer un trait sur l’avenir dans lequel nous nous projetions. Unis jusqu’au bout. Belle illusion dont le voile s’était estompé. « Sans doute se préoccupe-t-il seulement de son avenir tout tracé qui vient de s’effondrer… » Entre le rire nerveux et le soupir peiné, je soufflais entre mes dents serrées. C’était douloureux d’y repenser. Mon esprit demeurait dans un tel brouillard. Je ne savais plus ce qui de nous deux avait été vrai. À l’exception de la sincérité et de la force de mes sentiments désormais fanés. Si je l’aimais encore ? Malheureusement, il semblerait que oui. Mais plus d’un amour que nous pouvions partager. Pas dans ces conditions. « Je ne suis pas comme lui, je ne suis pas une donnée linéaire qui ne sort pas de la ligne de conduite qui lui a été dictée. » Je ne pouvais plus continuer comme cela. Je n’avais cette docilité à nous confiner dans une relation que je n’étais même plus certaine de sa part de volonté. À travers tes mots, tu soulevais la possibilité d’un retour. Je ne parvenais à interroger mon coeur à ce sujet. Sans doute parce que je n’y croyais. « Il n’a pas cherché à insister, tu sais. » Pas au-delà de notre conversation ce soir là. Certes j’avais su être tranchante et ferme, mais une fois encore, il me prouvait comme je n’aurais jamais pu compter sur lui. Qu’à la moindre difficulté, il était prêt à abandonner. Que je n’avais donc pas tant de valeur à ses yeux. Le joli trophée lui avait été repris et plus que de se battre, il le laissait partir. De toute façon, je n’étais plus assez parfaite pour lui.
Ma gorge s’était serrée et les saignements de mon coeur reprenait. Ravivé tous les motifs de ma rupture, tous mes doutes et mes désillusions, l’impression d’un amour mensonger, j’en suffoquais. La douleur renaissante me paraissait insoutenable. Je voulais m’en délester. « Ne parlons plus de cela, si nous ne voulons pas avoir toute l’année prochaine sous une aura négative, nous devons vivre pleinement cette journée ! » La tête redressée, je me forçais à sourire. De ma main libre, j’avais pioché une frite que je tendais dans ta direction. Un geste spontané sans doute un peu trop familier pour nous deux que je ne saurais expliqué. Néanmoins, j’attendais que tu viennes la croquer ou au moins t’en saisir avant de reprendre ma main et porter une frite à ma bouche. Nous avions encore beaucoup à faire pour ne pas nous éterniser à table non plus. « Que veux-tu faire ensuite ? Les auto-tamponneuses ? Ou la grande roue ? » J’observais les alentours pour tenter de situer les attractions en question. « Est-ce que tu veux prendre une glace tout de suite en dessert ou bien… plus tard ? » Par glace, je pensais évidemment au défi correspondant mais en l’évoquant, je sentis une once de gêne un peu soudaine. Si je ne me projetais dans l’exécution de celui-ci, ce fut son nom enregistré dans ma mémoire qui me fit hésiter. Sans doute rougis-je un peu aussi. Ice Cream Kiss . Je ne parvenais à oublier ce baiser que je t’avais précédemment imposé. Avant que mes yeux ne s’attardent sur tes lèvres, je les détournais prestement pour les renvoyer à leur errance vagabonde sur les alentours. « Il y aura aussi la parade dans pas longtemps, je ne pense pas que nous ayons le temps de faire la grande roue avant… » Afin de contrôler aussi mes pensées, je les focalisais sur la suite du programme. « Glace, puis parade, puis grande roue pour faire le selfie ? » t’adressais-je tout de même finalement un nouveau regard, fixé à hauteur de tes yeux. Ce qui n’était pas forcément moins dangereux. « Et nous aviserons ensuite ? La Grande roue pourra nous donner une vue en hauteur globale sur le parc. » Peut-être y trouverais-tu l’inspiration toi aussi, car sinon, j’étais bien partie pour garder les rênes toute la journée.
Ton sérieux soudain me surprit. J’avais abandonné tout espoir d’une conversation de ce genre avec toi. Tu préférais de loin blaguer sur tes atouts et pourtant, le bref silence tu tranchas. Je t’écoutais. Je réfléchissais si tu avais tort ou raison. Avions-nous véritablement des habitudes ? Des expressions bien à nous ? Cette complicité l’avions-nous ? Probablement pas. Mais aussi incompréhensible que cela puisse paraitre, Hyeon n’était pas encore prêt pour ce genre de chose. Il fallait lui laisser le temps. Et je ne lui en voulais pas. J’étais prête à attendre, si je n’avais pas eu le sentiment que tout ceci, que cette volonté d’aller de l’avant et de se dévouer l’un pour l’autre n’allait pas que dans un sens. « Je n’en suis plus si sûre… Qu’il m’ait sincèrement aimé. » J’avais perdu foi en l’ampleur de sa sincérité et c’était ces doutes qui avaient creusé le fossé. Qui nous avait séparé au point que j’eus préféré tirer un trait sur l’avenir dans lequel nous nous projetions. Unis jusqu’au bout. Belle illusion dont le voile s’était estompé. « Sans doute se préoccupe-t-il seulement de son avenir tout tracé qui vient de s’effondrer… » Entre le rire nerveux et le soupir peiné, je soufflais entre mes dents serrées. C’était douloureux d’y repenser. Mon esprit demeurait dans un tel brouillard. Je ne savais plus ce qui de nous deux avait été vrai. À l’exception de la sincérité et de la force de mes sentiments désormais fanés. Si je l’aimais encore ? Malheureusement, il semblerait que oui. Mais plus d’un amour que nous pouvions partager. Pas dans ces conditions. « Je ne suis pas comme lui, je ne suis pas une donnée linéaire qui ne sort pas de la ligne de conduite qui lui a été dictée. » Je ne pouvais plus continuer comme cela. Je n’avais cette docilité à nous confiner dans une relation que je n’étais même plus certaine de sa part de volonté. À travers tes mots, tu soulevais la possibilité d’un retour. Je ne parvenais à interroger mon coeur à ce sujet. Sans doute parce que je n’y croyais. « Il n’a pas cherché à insister, tu sais. » Pas au-delà de notre conversation ce soir là. Certes j’avais su être tranchante et ferme, mais une fois encore, il me prouvait comme je n’aurais jamais pu compter sur lui. Qu’à la moindre difficulté, il était prêt à abandonner. Que je n’avais donc pas tant de valeur à ses yeux. Le joli trophée lui avait été repris et plus que de se battre, il le laissait partir. De toute façon, je n’étais plus assez parfaite pour lui.
Ma gorge s’était serrée et les saignements de mon coeur reprenait. Ravivé tous les motifs de ma rupture, tous mes doutes et mes désillusions, l’impression d’un amour mensonger, j’en suffoquais. La douleur renaissante me paraissait insoutenable. Je voulais m’en délester. « Ne parlons plus de cela, si nous ne voulons pas avoir toute l’année prochaine sous une aura négative, nous devons vivre pleinement cette journée ! » La tête redressée, je me forçais à sourire. De ma main libre, j’avais pioché une frite que je tendais dans ta direction. Un geste spontané sans doute un peu trop familier pour nous deux que je ne saurais expliqué. Néanmoins, j’attendais que tu viennes la croquer ou au moins t’en saisir avant de reprendre ma main et porter une frite à ma bouche. Nous avions encore beaucoup à faire pour ne pas nous éterniser à table non plus. « Que veux-tu faire ensuite ? Les auto-tamponneuses ? Ou la grande roue ? » J’observais les alentours pour tenter de situer les attractions en question. « Est-ce que tu veux prendre une glace tout de suite en dessert ou bien… plus tard ? » Par glace, je pensais évidemment au défi correspondant mais en l’évoquant, je sentis une once de gêne un peu soudaine. Si je ne me projetais dans l’exécution de celui-ci, ce fut son nom enregistré dans ma mémoire qui me fit hésiter. Sans doute rougis-je un peu aussi. Ice Cream Kiss . Je ne parvenais à oublier ce baiser que je t’avais précédemment imposé. Avant que mes yeux ne s’attardent sur tes lèvres, je les détournais prestement pour les renvoyer à leur errance vagabonde sur les alentours. « Il y aura aussi la parade dans pas longtemps, je ne pense pas que nous ayons le temps de faire la grande roue avant… » Afin de contrôler aussi mes pensées, je les focalisais sur la suite du programme. « Glace, puis parade, puis grande roue pour faire le selfie ? » t’adressais-je tout de même finalement un nouveau regard, fixé à hauteur de tes yeux. Ce qui n’était pas forcément moins dangereux. « Et nous aviserons ensuite ? La Grande roue pourra nous donner une vue en hauteur globale sur le parc. » Peut-être y trouverais-tu l’inspiration toi aussi, car sinon, j’étais bien partie pour garder les rênes toute la journée.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Sam 24 Mar - 5:19 Citer EditerSupprimer
A t’entendre ainsi douter de votre relation, je ne pus que m’interroger sur celle-ci. Après tout, ne t’avait-il pas demandé en mariage ? N’était-ce le signe de son amour et sa dévotion pour toi ? Quand bien même… il me fallut quelques instants de plus pour me souvenir du monde dans lequel tu avais grandi, un monde différent du mine indubitablement. Alors… Je ne saurais le comprendre, je ne le pouvais. De son simple prénom à sa famille, je ne connaissais rien ; te bercer de mots doux pour te voir blessée davantage à l’avenir n’était mon but alors je me faisais silencieux. Bien plus encore lorsque tu m’apprenais qu’il n’avait cherché à insister, à te retenir. Il t’avait laissé partir, retrouver ta liberté pour une raison qui m’échappait. Moi pour qui mariage était synonyme d’amour, de confiance, d’envie de se lier à l’autre pour des dizaines et des dizaines d’années. Si véritablement, cela il avait voulu, n’aurait-il cherché à te retenir ? A moins de savoir que tu ne serais que plus heureuse sans lui, je ne comprenais cette situation que tes mots me décrivaient superficiellement. Ma main libre se levait, à défaut de ma voix, pour se poser dans tes cheveux, les caresser à l’instar d’un chaton fragile et délicat. Car de tes larmes et cette discussion je comprenais que tu savais te montrer forte tout en conservant un cœur fragile et inquiet. Je ne voulais remuer le couteau dans une plaie déjà ouverte, alors ta proposition de changer de sujet j’acceptais silencieusement une fois encore. De la frite que tu me tendais je me saisissais du bout des dents avant de pencher la tête furtivement en arrière pour la faire tomber dans ma bouche. Si ce genre de geste n’était naturel entre nous, ne devait l’être, ils ne me gênaient pour autant.
A peine avait-on changé de sujet que déjà tu revenais sur notre planning de l’après-midi. Que voulais-je faire ? Une question à laquelle je n’avais véritablement réfléchi. Tout ? Vu la taille du parc, un jour ne serait suffisant alors je t’écoutais tout en réfléchissant tant à tes propositions qu’à celle que l’on m’avait conseillé la veille, je venais avec trois idées à te proposer « La parade commence à quelle heure ? » J’attrapais mon portable, avec peine et difficulté puisque situé dans ma poche gauche et l’allumais rapidement pour voir l’heure actuelle. « Hier, quand j’ai dit que je venais à Everland pendant le live. Les gens m’ont conseillés trois attractions, la première, celle qui est sortie le plus, c’était le T-express, la deuxième le … C’est quoi le nom… Double spin… double rock… un truc avec double, rock et spin dedans et la dernière c’est l’Amazon express. J’ai surtout envie de faire la première, apparemment elle est vraiment bien… » Le grand huit le plus grand d’Asie apparemment ? Si j’avais bien compris ce qui était passé dans les commentaires fou furieux de ma communauté la veille. « Ce que je te propose. On finit rapidement, on mange la glace pour le défi, il fait assez chaud pour ça et après il fera sans doute trop froid. Si on a le temps, on file dans une boutique acheté quelques accessoires, sur le chemin pour aller à la parade on fait le défi Jump ! Jump ! Pendant la parade, on trouve le moyen de faire Join the Party . S’il n’est pas trop tard, on fait l’Amazon express pour Cotton Candy , puis on file à la grande roue , je pense qu’on pourra voir le couché de soleil d’ailleurs… S’il y a de la queue, on pourrait faire un autre défi… Il nous restera quoi ? Love your booty, i love you, stick game, touch me qu’on pourra faire. Je pense qu’on pourra garder stick game pour le T-express , ça doit être celui où il y aura le plus de monde pour attendre… Dans le t-express on fait rollercoaster , dans la grande roue, chocolate smile …. Et avant touch me ? Et on pourra finir à Garden Flower où je volerais une nouvelle et plus jolie fleur à t’offrir. En espérant que ça soit bien éclairé s’il fait nuit… » Du plan je relevais le nez vers toi, incertain quant à cette proposition. Après tout… N’y avait-il pas beaucoup à faire brusquement ? « Je suis incapable de départagé… J’ai envie de tout faire… » Soufflais-je doucement et avec embarras. Je n’étais qu’un enfant surexcité et avide d’amusement lâché au bout milieu d’un parc d’attraction, comment pouvais-tu espérer après un plan réalisable au juste ?
A peine avait-on changé de sujet que déjà tu revenais sur notre planning de l’après-midi. Que voulais-je faire ? Une question à laquelle je n’avais véritablement réfléchi. Tout ? Vu la taille du parc, un jour ne serait suffisant alors je t’écoutais tout en réfléchissant tant à tes propositions qu’à celle que l’on m’avait conseillé la veille, je venais avec trois idées à te proposer « La parade commence à quelle heure ? » J’attrapais mon portable, avec peine et difficulté puisque situé dans ma poche gauche et l’allumais rapidement pour voir l’heure actuelle. « Hier, quand j’ai dit que je venais à Everland pendant le live. Les gens m’ont conseillés trois attractions, la première, celle qui est sortie le plus, c’était le T-express, la deuxième le … C’est quoi le nom… Double spin… double rock… un truc avec double, rock et spin dedans et la dernière c’est l’Amazon express. J’ai surtout envie de faire la première, apparemment elle est vraiment bien… » Le grand huit le plus grand d’Asie apparemment ? Si j’avais bien compris ce qui était passé dans les commentaires fou furieux de ma communauté la veille. « Ce que je te propose. On finit rapidement, on mange
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Sam 24 Mar - 10:54 Citer EditerSupprimer
Sur ma diversion tu sautais allègrement sans résistance. Après tout, je devais t’ennuyer avec ma peine de coeur et les allusions à mon histoire d’amour caduque. Je t’écoutais attentivement tout en dégustant tranquillement mon déjeuner, je n’approuvais toutes tes suggestions. Mes sourcils se froncèrent quelque peu bien que j’attendis que tu eus fini. « Attends ! Reprenons une chose après l’autre. » Laborieusement, je sortis le plan de ton sac, quitte à embarquer ta main menottée à la tienne, pour ensuite l’étaler sur une partie de la table. « Dès que nous avons fini, allons acheter une glace pour le dessert et nous… » Je déglutis légèrement en essayant de garder l’air assurée. « Nous ferons le défi correspondant. » Je m’avisais bien de ne pas en prononcer l’intitulé. « Puis, Jump ! Jump ! en chemin pour la parade, d’accord. » Au fil de mes mots, je traçais le parcours du bout de mon index sur le plan, utilisant la main liée par les menottes tandis que de l’autre, je piochais de temps en temps une frite, interrompant brièvement ma prise de parole avant de reprendre. « Ensuite la parade et le défi, donc de fait, nous ne sommes pas obligés de la regarder en entière, à moins que tu ne le veuilles, mais celle du soir me semble bien plus intéressante à regarder. » Je relevais soudainement les yeux jusqu’aux tiens afin de m’assurer que tu suivais toujours. Un instant à leur croisée, je m’y perdis, puis me ressaisis, replongeant le nez sur le plan. « Amazon Express est à l’autre bout du parc alors que Thunder Falls est juste là et me parait plus adapté pour Cotton Candy, plus difficile. Non, en fait, là, je ne te laisse pas le choix, je veux faire cette attraction. » À nouveau, je relevais la tête pour t’adresser un petit sourire taquin qui malgré sa douceur t’informait que je ne transigerais pas sur ce point. « Nous pourrons ensuite aller à l’Amazon Express si tu veux. De toute façon, nous serons mouillés alors il faudra mieux bouger. Autant oublier la Grande Roue juste après, d’autant que nous avons le temps avant le coucher de soleil. Même si j’aurais voulu profiter de cette atmosphère pour le T-Express. » Je m’arrêtais pour réfléchir. « Non, la Grande Roue serait plus avisée tant que nous sommes à Magic Land et pour nous donner de potentielles idées. Donc je propose : défi Jump, Parade et défi, Grande Roue et Chocolate Smile, puis Thunder Falls et Cotton Candy. Ensuite, direction European Adventure, là nous ferons ce que tu as envie. » J’optais finalement plus pour ma version du programme que la tienne, mais la mienne me paraissait plus logique et efficace. « Nous pourrons essayer d’y relever Love your Booty dès que nous croisons un agent de sécurité. Éventuellement avant Join the party, il y en a toujours pleins pour encadrer les parades et après… Nous aurons sans doute plus intérêt à faire un peu profil bas, donc… » De mémoire, je tachais de me rappeler les différents défis. « Touche me pourrait nous occuper dans la file d’attente du T-Express qui risque d’être longue. Et pour le Stick Game, nous pourrions le faire ensuite dans une attraction nocturne comme le Double Rock Spin en revenant sur American Adventure ? » suggérais-je. Ce fut délibérément que j’avais esquivé la mention de Rollercoaster, non pas que je comptais me défiler, mais… je préférais éviter de le prôner de moi-même. Certes, nous nous étions déjà embrassés une fois. Ces baisers n’avaient aucun sens et pour toi, ils étaient aussi faciles que naturels mais en ce qui me concernait… Je secouais légèrement la tête pour ne pas y penser. « Et enfin oui, avant le rendez-vous pour la parade de nuit, rendons-nous à Garden Flower, ça a l’air magnifique de nuit, je veux le voir ! » Avions-nous tous dits ? Je n’en étais certaine mais si déjà nous arrivions à tenir un tel programme avec les embuches qui très certainement nous attendaient en cours de route, nous nous en sortirions honorablement. De plus, l’essentiel était de s’amuser, non ? Quand bien même je devais ravaler ma fierté de compétitrice pour prendre la journée avec légèreté, néanmoins jusqu’à présent je ne m’en sortais pas si mal. À l’exception de mes moments de vague l’âme…
« Tu as fini ? » te demandais-je soudainement quelques instants plus tard alors que tu semblais avoir tout juste piocher ton ultime frite et qu’il ne restait plus trace de poulet sur ton plateau. « Allons-y ! » Sans plus attendre, je me levais. Enfin si, je dus t’attendre finalement puisque nous étions toujours attachés. À croire que je ne parviendrais jamais à m’y faire. Calquant nos rythmes, nous nous dirigions vers un stand de marchand de glace. Si ta main je ne prenais de la mienne, celle-ci ne savait si elle souhaitait que tu viennes l’étreindre ou si son indépendance valait mieux. Je m’efforçais de ne pas trop y penser.
Arrivés au stand, rituel imparable d’une journée au parc d’attraction, nous dûmes nous aligner à une énième queue. Par chance d’assez courte durée. De mes yeux je parcourais l’affichage des différents parfums. « Tu veux une glace à quoi ? » te demandais-je spontanément avant de réfléchir. « Prenons une double parfum, et on en choisit chacun un ? » te proposais-je en reportant mon attention sur ta personne. « Je pense prendre citron, et toi ? » Peut-être devrions-nous accorder tout de même un minimum nos parfums. Si tu choisissais expresso par exemple, je n’étais pas certaine du résultat du mélange.
Sur ma diversion tu sautais allègrement sans résistance. Après tout, je devais t’ennuyer avec ma peine de coeur et les allusions à mon histoire d’amour caduque. Je t’écoutais attentivement tout en dégustant tranquillement mon déjeuner, je n’approuvais toutes tes suggestions. Mes sourcils se froncèrent quelque peu bien que j’attendis que tu eus fini. « Attends ! Reprenons une chose après l’autre. » Laborieusement, je sortis le plan de ton sac, quitte à embarquer ta main menottée à la tienne, pour ensuite l’étaler sur une partie de la table. « Dès que nous avons fini, allons acheter une glace pour le dessert et nous… » Je déglutis légèrement en essayant de garder l’air assurée. « Nous ferons le défi correspondant. » Je m’avisais bien de ne pas en prononcer l’intitulé. « Puis, Jump ! Jump ! en chemin pour la parade, d’accord. » Au fil de mes mots, je traçais le parcours du bout de mon index sur le plan, utilisant la main liée par les menottes tandis que de l’autre, je piochais de temps en temps une frite, interrompant brièvement ma prise de parole avant de reprendre. « Ensuite la parade et le défi, donc de fait, nous ne sommes pas obligés de la regarder en entière, à moins que tu ne le veuilles, mais celle du soir me semble bien plus intéressante à regarder. » Je relevais soudainement les yeux jusqu’aux tiens afin de m’assurer que tu suivais toujours. Un instant à leur croisée, je m’y perdis, puis me ressaisis, replongeant le nez sur le plan. « Amazon Express est à l’autre bout du parc alors que Thunder Falls est juste là et me parait plus adapté pour Cotton Candy, plus difficile. Non, en fait, là, je ne te laisse pas le choix, je veux faire cette attraction. » À nouveau, je relevais la tête pour t’adresser un petit sourire taquin qui malgré sa douceur t’informait que je ne transigerais pas sur ce point. « Nous pourrons ensuite aller à l’Amazon Express si tu veux. De toute façon, nous serons mouillés alors il faudra mieux bouger. Autant oublier la Grande Roue juste après, d’autant que nous avons le temps avant le coucher de soleil. Même si j’aurais voulu profiter de cette atmosphère pour le T-Express. » Je m’arrêtais pour réfléchir. « Non, la Grande Roue serait plus avisée tant que nous sommes à Magic Land et pour nous donner de potentielles idées. Donc je propose : défi Jump, Parade et défi, Grande Roue et Chocolate Smile, puis Thunder Falls et Cotton Candy. Ensuite, direction European Adventure, là nous ferons ce que tu as envie. » J’optais finalement plus pour ma version du programme que la tienne, mais la mienne me paraissait plus logique et efficace. « Nous pourrons essayer d’y relever Love your Booty dès que nous croisons un agent de sécurité. Éventuellement avant Join the party, il y en a toujours pleins pour encadrer les parades et après… Nous aurons sans doute plus intérêt à faire un peu profil bas, donc… » De mémoire, je tachais de me rappeler les différents défis. « Touche me pourrait nous occuper dans la file d’attente du T-Express qui risque d’être longue. Et pour le Stick Game, nous pourrions le faire ensuite dans une attraction nocturne comme le Double Rock Spin en revenant sur American Adventure ? » suggérais-je. Ce fut délibérément que j’avais esquivé la mention de Rollercoaster, non pas que je comptais me défiler, mais… je préférais éviter de le prôner de moi-même. Certes, nous nous étions déjà embrassés une fois. Ces baisers n’avaient aucun sens et pour toi, ils étaient aussi faciles que naturels mais en ce qui me concernait… Je secouais légèrement la tête pour ne pas y penser. « Et enfin oui, avant le rendez-vous pour la parade de nuit, rendons-nous à Garden Flower, ça a l’air magnifique de nuit, je veux le voir ! » Avions-nous tous dits ? Je n’en étais certaine mais si déjà nous arrivions à tenir un tel programme avec les embuches qui très certainement nous attendaient en cours de route, nous nous en sortirions honorablement. De plus, l’essentiel était de s’amuser, non ? Quand bien même je devais ravaler ma fierté de compétitrice pour prendre la journée avec légèreté, néanmoins jusqu’à présent je ne m’en sortais pas si mal. À l’exception de mes moments de vague l’âme…
« Tu as fini ? » te demandais-je soudainement quelques instants plus tard alors que tu semblais avoir tout juste piocher ton ultime frite et qu’il ne restait plus trace de poulet sur ton plateau. « Allons-y ! » Sans plus attendre, je me levais. Enfin si, je dus t’attendre finalement puisque nous étions toujours attachés. À croire que je ne parviendrais jamais à m’y faire. Calquant nos rythmes, nous nous dirigions vers un stand de marchand de glace. Si ta main je ne prenais de la mienne, celle-ci ne savait si elle souhaitait que tu viennes l’étreindre ou si son indépendance valait mieux. Je m’efforçais de ne pas trop y penser.
Arrivés au stand, rituel imparable d’une journée au parc d’attraction, nous dûmes nous aligner à une énième queue. Par chance d’assez courte durée. De mes yeux je parcourais l’affichage des différents parfums. « Tu veux une glace à quoi ? » te demandais-je spontanément avant de réfléchir. « Prenons une double parfum, et on en choisit chacun un ? » te proposais-je en reportant mon attention sur ta personne. « Je pense prendre citron, et toi ? » Peut-être devrions-nous accorder tout de même un minimum nos parfums. Si tu choisissais expresso par exemple, je n’étais pas certaine du résultat du mélange.
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