(jinzo) take a gun and count to three
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(jinzo) take a gun and count to three | Mar 23 Déc - 20:57 Citer EditerSupprimer
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La dernière fournée de meth n’était vraiment pas terrible ; il avait carrément l’impression d’avoir gâché la méthylamine inutilement, tellement la came était dégueulasse. Enfin, il ne l’avait pas goûté mais la couleur était beaucoup trop claire, on aurait dit surtout une pâle copie de son produit. En grognant, il prit la décision de retenter plus tard – pour le moment, il n’était pas en mesure de se concentrer davantage là-dessus. Après tout, il bossait dans son laboratoire depuis cette nuit, il ressemblait à un cachet d’aspirine. Il enleva la combinaison, les gangs et les lunettes pour enfiler ses fringues de civil. En sortant dehors, les légers rayons du soleil l’aveuglèrent : il ressemblait à un véritable vampire échappé d’un film pour adolescentes en chaleur – il manquerait plus que son torse se mette à briller, et ça serait le bouquet. Mais rien ne se produisit, l’aveuglement cessa lorsqu’il finit par s’habituer à la lumière du jour et il quitta le terrain. Habitué à sauter le grillage d’habitude, aujourd’hui il décida de le contourner ; une flemmingite aigue de faire trop d’efforts l’avait attaqué. Ren regarda sa montre et se rendit compte qu’il était en avance… au lieu de s’ennuyer ici, il eut envie de s’ennuyer là-bas un petit peu, ça ne lui ferait pas de mal. Il s’installa sur sa moto et roula doucement dans le centre-ville, profitant du temps libre. Au bout d’une vingtaine de minutes, il arriva finalement devant le bâtiment du centre de tir ; il se gara devant mais resta sur sa moto. Apparemment, il avait un quart d’heure d’avance encore. Pour s’occuper, il sortit son téléphone et lança un jeu en attendant l’arrivée de Hyo Jin. Avec son ami d’enfance, ils s’étaient donnés rendez-vous ici, pour commémorer un souhait commun quand ils étaient mômes : faire du tir ensemble, un jour. En recevant un texto d’Hyojin, il leva la tête et le vit à quelques mètres de lui. Ren se leva de sa moto et marcha jusqu’à lui. « T’es un peu lent, sale môme. » Le charria-t-il en se rappelant de vieux souvenirs d’enfance. |
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Ven 26 Déc - 0:05 Citer EditerSupprimer
Les fetes de Noel approchaient à grands pas. C’était une période qui était bonne pour mes affaires. Les ventes étaient les plus hautes de l’année et ne cessaient d’augmenter. Evidemment, cela voulait dire qu’il y avait une augmentation des commandes, et que je devais donc travailler deux fois voire trois fois plus. Heureusement, cette année, Sunah était là pour m’aider dans la création des bijoux et la touche féminine qu’elle y apportait avait l’air de plaire aux clients. Cette semaine était passé à toute vitesse, comme en accélérer. Je passais mes journées, mes soirées et mes nuits à l’atelier à travailler. Il m’arrivait de faire des nuits blanches pour finir des commandes. Aujourd’hui, j’avais décidé de m’offrir une après-midi de congé. Alors quand Renzo m’avait proposé de sortir tirer quelques balles, je n’avais pas dit non. Cette sortie était la bienvenue. Quoi de mieux que de se détendre en compagnie d’un ami. Que dis-je ? En compagnie du frère que je n’avais jamais eu. Notre passion commune : le tir. Ca faisait des années qu’on ne s’était pas vu, mais maintenant que l’on faisait partie de la même fraternité, je comptais bien rattraper le temps perdu. Je regardais ma montre. Je n’étais pas à l’avance. Prenant ma veste en cuir et mes clefs, je laissais la bijouterie entre les mains de Sunah et je montais sur ma moto, prenant la route en direction du centre de tir. Je vis le gumihos de loin, appuyé sur sa moto. Je garais ma bécane sur la dernière place de parking qu’il restait, et éteins le moteur. J’enlevais mon casque et marchais vers Ren. Le jeune homme n’avait pas l’air de m’avoir vu arriver, la tête baissée sur son téléphone. Je décidais de lui envoyer un texto pour lui signaler ma présence. C’était ca, où je hurlais sur le parking. Niveau discrétion, il y avait mieux. Le sms avait suffi à le faire réagir et il venait à ma rencontre. Je lui souris « Lent ? Sale môme ? T’oublie qui est l’ainé ici, gamin. » Je lui fis une accolade bien virile. Bon ok, j’exagérais un peu la chose pour montrer que c’était moi le grand frère et non le contraire. A qui je pouvais le faire croire ? Ren était mon aîné d'un an, mais j'aimais dire que c'était moi l'ainé des deux. Je le regardais un instant, un peu inquiet. « T’as l’air bien pâle, ca va Huyng ? »
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Les fetes de Noel approchaient à grands pas. C’était une période qui était bonne pour mes affaires. Les ventes étaient les plus hautes de l’année et ne cessaient d’augmenter. Evidemment, cela voulait dire qu’il y avait une augmentation des commandes, et que je devais donc travailler deux fois voire trois fois plus. Heureusement, cette année, Sunah était là pour m’aider dans la création des bijoux et la touche féminine qu’elle y apportait avait l’air de plaire aux clients. Cette semaine était passé à toute vitesse, comme en accélérer. Je passais mes journées, mes soirées et mes nuits à l’atelier à travailler. Il m’arrivait de faire des nuits blanches pour finir des commandes. Aujourd’hui, j’avais décidé de m’offrir une après-midi de congé. Alors quand Renzo m’avait proposé de sortir tirer quelques balles, je n’avais pas dit non. Cette sortie était la bienvenue. Quoi de mieux que de se détendre en compagnie d’un ami. Que dis-je ? En compagnie du frère que je n’avais jamais eu. Notre passion commune : le tir. Ca faisait des années qu’on ne s’était pas vu, mais maintenant que l’on faisait partie de la même fraternité, je comptais bien rattraper le temps perdu. Je regardais ma montre. Je n’étais pas à l’avance. Prenant ma veste en cuir et mes clefs, je laissais la bijouterie entre les mains de Sunah et je montais sur ma moto, prenant la route en direction du centre de tir. Je vis le gumihos de loin, appuyé sur sa moto. Je garais ma bécane sur la dernière place de parking qu’il restait, et éteins le moteur. J’enlevais mon casque et marchais vers Ren. Le jeune homme n’avait pas l’air de m’avoir vu arriver, la tête baissée sur son téléphone. Je décidais de lui envoyer un texto pour lui signaler ma présence. C’était ca, où je hurlais sur le parking. Niveau discrétion, il y avait mieux. Le sms avait suffi à le faire réagir et il venait à ma rencontre. Je lui souris « Lent ? Sale môme ? T’oublie qui est l’ainé ici, gamin. » Je lui fis une accolade bien virile. Bon ok, j’exagérais un peu la chose pour montrer que c’était moi le grand frère et non le contraire. A qui je pouvais le faire croire ? Ren était mon aîné d'un an, mais j'aimais dire que c'était moi l'ainé des deux. Je le regardais un instant, un peu inquiet. « T’as l’air bien pâle, ca va Huyng ? »
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Sam 3 Jan - 17:32 Citer EditerSupprimer
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« Lent ? Sale môme ? T’oublie qui est l’ainé ici, gamin. » Ça a le don de dérider le glacial Renzo – enfin, en partie, il fait une habituelle grimace. Ou une tête d’enterrement, au choix, faut dire que Renzo n’a pas un panel d’expressions très large. Tirer la tronche, c’est sa marque de fabrique. « T’as l’air bien pâle, ça va Hyung ? » Cette question-là le fait légèrement tiquer et pour l’esquiver en beauté, il attrape Hyojin et coince sa tête sous son bras. « Yah, jugullae ? Aîné de mon cul, oui, faut que t’arrêtes de fumer l’herbe du dortoir. Je vais montrer moi, qui c’est l’aîné ici ! » Et rapidement, il lui ébouriffe les cheveux en le charriant et sans s’en rendre compte, son accent nord-coréen tellement distinctif surgit. « Sale môme de mes deux, je vais t’apprendre le respect, t’as cru quoi ! » Quand Renzo se lance sur les insultes, c’est généralement difficile de le calmer, tellement son langage de charretier est fleuri – ou pas, d’ailleurs, c’est cru et pas très recherché comme langage. Mais mine de rien, il ne peut s’empêcher de sourire. Même si c’est un micro-sourire, son frère de cœur lui a redonné la pêche avec ses remarques irrespectueuses envers ses aînés. Surtout que Renzo tient énormément à son droit d’aînesse ; d’ailleurs, ça avait été difficile pour lui d’accepter que ce rôle revienne à Reira dans la famille, il s’était senti tellement trahi et insulté quand il avait appris l’âge de Reira… Heureusement qu’entre temps, il a fini par s’y faire. « Pâle, pâle… Mon cul, oui, j’ai toujours été un cachet d’aspirine. Tu sors du taf, au fait ? Y’a beaucoup de clients ? » Le questionne-t-il en le relâchant finalement mais prêt à riposter en cas d’attaque. Faut dire que ces deux-là, depuis qu’ils se sont retrouvés, ils ont vite repris leurs vieilles habitudes – leurs querelles puériles, en fait. Mais c’est toujours bon de pouvoir éteindre son cerveau, de se battre comme des gamins. Renzo prend les devants et s’engouffre dans la bâtisse mais il a un peu de mal à s’y repérer. « Euh, l’accueil est où ? » Il a beau tourner dans tous les sens, pas moyen de le trouver ; ça ressemble à la maison qui rend fou, dans les douze travaux d’Astérix. « Je te laisse régler la paperasse, je sais que t’adores ça.» |
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Lun 12 Jan - 19:24 Citer EditerSupprimer
« Justement… on se demande qui a vraiment la mentalité d’un gamin ici ! » Grimace sur grimace. Si je ne le connaissais pas depuis l’enfance, je vous dirais qui passe ses journées à tirer la gueule. Mais, quand on le connait un minimum, on sait plus ou moins faire la différence entre toutes ces grimaces identiques. Je pris celle-ci pour un petit sourire en coin. Je souris à mon tour, voyant que je savais encore comment lui arracher une de ces mimiques. Il esquiva ma question avec une telle aisance et rapidité que ma tête se retrouva gentiment à sentir ses dessous de bras. Je me débattis en riant tellement fort qu’on avait du m’entendre jusqu’à Paris. « Je savais même pas qu’il y avait de l’herbe dans le dortoir … mais étonnement, ça m’étonne pas. Ca explique même certaines choses. » Je secouais la tête pour remettre mes cheveux en place. Je n’aimais déjà pas quand il me les ébouriffait petit, alors maintenant… c’était pire. J’avais les cheveux qui rebiquaient facilement et ca avait l’art de m’énerver. Puis, je levais un sourcil amusé en sa direction. « Toi ? M’apprendre le respect ? Avec ton vocabulaire de bourrin-là ? » Je le charriais évidemment, mais qui aime bien, châtie bien, non ? Je savais qu’il tenait précieusement à sa place d’ainé et j’aimais le faire démarrer au quart de tour. Je le comprenais bien sur ce point d’ailleurs. J’avais été enfant unique avant que ma cousine ne débarque et ne joue le rôle d’ainé. Par la suite, j’avais hérité d’une demi-sœur, où j’ai enfin pu jouer les grands frères comme il se doit. « Pire qu’un vampire… manquerait plus que tu vives dans une cave et réclame ton sang de la journée… Yep, j’ai fermé pour l’après-midi. Avec les fêtes, on ne fait que courir dans tous les sens. » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que Ren se dirige déjà vers l’entrée. La réception ? « Ta vue baisse, vieux papy ! Il est temps de penser aux lunettes ! » Ne peux-je m’empêcher de lancer en le rattrapant, posant une main sur sa tête pour l’obliger à se plier en deux vers l’avant. Je ne m’attarde pas trop et continue à grande enjambé. Ce n’était pas le moment de se recevoir une deuxième attaque de ses dessous de bras. Je me dirigeais vers l’administration pour régler les papiers. De longs papiers pour pas grand-chose finalement. Je détestais ca enfait, faire la paperasse. Je l’ai toujours fais parce que j’étais obligé de le faire, notamment pour faire tourner la boutique. Pas le choix. Maintenant c’était Sunah qui s’occupait de cela. Je ne faisais que vérifier les documents importants et d’assigner ma signature. Ce qui était beaucoup mieux. Je pouvais pleinement me concentrer sur mes créations. Je criais après mon frère de cœur qui était parti je ne sais où. « Ren ! Ramènes ton cul, j’ai besoin de tes documents personnelles et de ta signature ! » Je pouvais bien passer pour un irrespectueux des ainés avec lui. De toute façon, si je lui parlais mal, c’était sa faute. Il m’avait montré le droit chemin des insultes.
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« Justement… on se demande qui a vraiment la mentalité d’un gamin ici ! » Grimace sur grimace. Si je ne le connaissais pas depuis l’enfance, je vous dirais qui passe ses journées à tirer la gueule. Mais, quand on le connait un minimum, on sait plus ou moins faire la différence entre toutes ces grimaces identiques. Je pris celle-ci pour un petit sourire en coin. Je souris à mon tour, voyant que je savais encore comment lui arracher une de ces mimiques. Il esquiva ma question avec une telle aisance et rapidité que ma tête se retrouva gentiment à sentir ses dessous de bras. Je me débattis en riant tellement fort qu’on avait du m’entendre jusqu’à Paris. « Je savais même pas qu’il y avait de l’herbe dans le dortoir … mais étonnement, ça m’étonne pas. Ca explique même certaines choses. » Je secouais la tête pour remettre mes cheveux en place. Je n’aimais déjà pas quand il me les ébouriffait petit, alors maintenant… c’était pire. J’avais les cheveux qui rebiquaient facilement et ca avait l’art de m’énerver. Puis, je levais un sourcil amusé en sa direction. « Toi ? M’apprendre le respect ? Avec ton vocabulaire de bourrin-là ? » Je le charriais évidemment, mais qui aime bien, châtie bien, non ? Je savais qu’il tenait précieusement à sa place d’ainé et j’aimais le faire démarrer au quart de tour. Je le comprenais bien sur ce point d’ailleurs. J’avais été enfant unique avant que ma cousine ne débarque et ne joue le rôle d’ainé. Par la suite, j’avais hérité d’une demi-sœur, où j’ai enfin pu jouer les grands frères comme il se doit. « Pire qu’un vampire… manquerait plus que tu vives dans une cave et réclame ton sang de la journée… Yep, j’ai fermé pour l’après-midi. Avec les fêtes, on ne fait que courir dans tous les sens. » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que Ren se dirige déjà vers l’entrée. La réception ? « Ta vue baisse, vieux papy ! Il est temps de penser aux lunettes ! » Ne peux-je m’empêcher de lancer en le rattrapant, posant une main sur sa tête pour l’obliger à se plier en deux vers l’avant. Je ne m’attarde pas trop et continue à grande enjambé. Ce n’était pas le moment de se recevoir une deuxième attaque de ses dessous de bras. Je me dirigeais vers l’administration pour régler les papiers. De longs papiers pour pas grand-chose finalement. Je détestais ca enfait, faire la paperasse. Je l’ai toujours fais parce que j’étais obligé de le faire, notamment pour faire tourner la boutique. Pas le choix. Maintenant c’était Sunah qui s’occupait de cela. Je ne faisais que vérifier les documents importants et d’assigner ma signature. Ce qui était beaucoup mieux. Je pouvais pleinement me concentrer sur mes créations. Je criais après mon frère de cœur qui était parti je ne sais où. « Ren ! Ramènes ton cul, j’ai besoin de tes documents personnelles et de ta signature ! » Je pouvais bien passer pour un irrespectueux des ainés avec lui. De toute façon, si je lui parlais mal, c’était sa faute. Il m’avait montré le droit chemin des insultes.
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Sam 17 Jan - 0:31 Citer EditerSupprimer
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« Ta vue baisse, vieux papy ! Il est temps de penser aux lunettes ! » L'entend-il gueuler, après avoir été rattrapé ; il se prend même une belle riposte sur la tête. « Yah ! » Beugle-t-il plus pour la forme qu'autre chose. À maintes reprises, des occasions de riposte s'étaient présentées à lui : quand son acolyte avait relevé son vocabulaire fleuri devant la bâtisse, l'avait traité de vampire et de vieux papy. Mais Renzo ne riposte pas… Il garde ses envies de revanche pour plus tard, quand ils commenceront enfin les choses sérieuses. Avec une arme dans les mains bien sûr. Après tout, ils sont là pour la compétition : pour savoir celui qui a la plus grosse. Et pour passer du temps ensemble, aussi, un peu, ajoute-il à ses réflexions. Renzo laisse son acolyte s'occuper des papiers et fait un peu le tour des lieux, impatient de pouvoir tenir légalement une arme. C'est sur ces pensées de revanche et de nouveauté qu'il trace sa route, croise plusieurs portes, certaines fermées, et d'autres qui mènent à il ne sait où… Pourtant, il ne s'est pas trop éloigné puisqu'il arrive à entendre la voix d'Hyo Jin. « Ren ! Ramènes ton cul, j'ai besoin de tes documents personnels et de ta signature ! » Ah, en effet, sans ces documents, ça risque d'être problématique… Renzo tente de revenir sur ses pas mais c'est plus difficile à dire qu'à faire. Au bout d'une dizaine de minutes, le glacial Renzo – devenu un boulet – arrive près d'Hyo Jin. « C'est quoi ce labyrinthe ? Je me suis paumé comme un con. » Lâche-t-il sans délicatesse, avec son accent bien singulier, devant la réceptionniste qui lui fait de gros yeux. Méfiant, Renzo sort pourtant son porte-feuilles et se penche vers Hyo Jin. « Tu penses qu'on peut lui faire confiance pour ces trucs-là ? » Après tout, c'est la première fois qu'il met les pieds dans un lieu « officiel » : ses entraînements en Italie s'étaient déroulés dans les ruines. La mafia n'a pas tout à fait une réglementation correcte : on n'apprend pas aux recrues à se défendre mais à tuer. Mine de rien, il a confiance en Hyojin alors il décide de prendre le risque et de lui tendre ses documents… Sa méfiance semblerait exagérée, il n'était pas non plus un personnage important. « Je dois signer sur toutes ces feuilles ? » Demande-t-il, sceptique, face à la tonne de papiers devant Hyojin. Les coréens ne rigolent pas sur la sécurité, apparemment… « C'est bien plus simple en Italie. » Il manquerait plus qu'il ait le mal du pays à présent. |
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Mer 28 Jan - 20:35 Citer EditerSupprimer
Je commençais à m’impatienter, et la jeune femme derrière le guichet aussi. J’avais déjà régler les papiers qui me concernaient. Et cela faisait dix minutes que j’avais appelé apres Ren. J’avais décidé de partir à sa recherche, mais la secrétaire n’avait pas voulu me libérer sous prétexte que si mon ami faisait une connerie, il fallait que quelqu’un se porte garant. Et il voulait que je le considère comme le plus âgé de nous deux, après ca ? J’avais essayé de faire la conversation, j’avais même sorti mes charmes, mais elle n’en avait foutrement rien à faire. Renzo se décida enfin à montrer le bout de son nez. « Comme un con, c’est le cas de le dire… » Comment avait-il bien pu se perdre en si peu de temps ? Ok. L’orientation n’avait jamais été son fort, mais tout de même… Je lui arrachais les papiers, qu’il me tendait, de sa main. « Crois-moi, on peut lui faire plus confiance qu’en toi et ton orientation. » Je vérifiais que tous les papiers dont j’avais besoin étaient bien là. « Ton droit de port d’armes, il est où ?" Je savais que mon acolyte baignait dans des affaires plus que louche avec sa nouvelle famille. C’était la même chose avec mon père, bien que la différence se trouve dans le fait que je n’avais jamais voulu être mêlé à ca. J’espérais juste que mon bro possédait ce papier et qu’il ne pensait pas pouvoir passer comme si c’était normal de tenir une arme. Tout le monde ne pouvait pas en tenir une, mais il était parfois facile de l’oublier dans ce milieu. « Ouai, question de sécurité… » Je lui fis un clin d’œil qui voulait tout dire. On avait appris à manier les armes depuis tout gosse. C’était pas à nous qu’on allait apprendre comment faire attention. Mais il était préférable de faire profil bas. Aucun besoin d’attirer l’attention sur nous. Bien que, Ren s’en était déjà bien chargé en se perdant au bout de dix minutes à peine. « Il faudra que tu me fasses visiter l’Italie, un jour … mais en attendant, signe vite toute cette paperasserie qu’on puisse aller en salle de tire. » Mes doigts me démangeaient. Cela faisait un petit moment qu’ils n’avaient pas toucher une gâchette.
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Je commençais à m’impatienter, et la jeune femme derrière le guichet aussi. J’avais déjà régler les papiers qui me concernaient. Et cela faisait dix minutes que j’avais appelé apres Ren. J’avais décidé de partir à sa recherche, mais la secrétaire n’avait pas voulu me libérer sous prétexte que si mon ami faisait une connerie, il fallait que quelqu’un se porte garant. Et il voulait que je le considère comme le plus âgé de nous deux, après ca ? J’avais essayé de faire la conversation, j’avais même sorti mes charmes, mais elle n’en avait foutrement rien à faire. Renzo se décida enfin à montrer le bout de son nez. « Comme un con, c’est le cas de le dire… » Comment avait-il bien pu se perdre en si peu de temps ? Ok. L’orientation n’avait jamais été son fort, mais tout de même… Je lui arrachais les papiers, qu’il me tendait, de sa main. « Crois-moi, on peut lui faire plus confiance qu’en toi et ton orientation. » Je vérifiais que tous les papiers dont j’avais besoin étaient bien là. « Ton droit de port d’armes, il est où ?" Je savais que mon acolyte baignait dans des affaires plus que louche avec sa nouvelle famille. C’était la même chose avec mon père, bien que la différence se trouve dans le fait que je n’avais jamais voulu être mêlé à ca. J’espérais juste que mon bro possédait ce papier et qu’il ne pensait pas pouvoir passer comme si c’était normal de tenir une arme. Tout le monde ne pouvait pas en tenir une, mais il était parfois facile de l’oublier dans ce milieu. « Ouai, question de sécurité… » Je lui fis un clin d’œil qui voulait tout dire. On avait appris à manier les armes depuis tout gosse. C’était pas à nous qu’on allait apprendre comment faire attention. Mais il était préférable de faire profil bas. Aucun besoin d’attirer l’attention sur nous. Bien que, Ren s’en était déjà bien chargé en se perdant au bout de dix minutes à peine. « Il faudra que tu me fasses visiter l’Italie, un jour … mais en attendant, signe vite toute cette paperasserie qu’on puisse aller en salle de tire. » Mes doigts me démangeaient. Cela faisait un petit moment qu’ils n’avaient pas toucher une gâchette.
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Mar 3 Fév - 22:03 Citer EditerSupprimer
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« Crois-moi, on peut lui faire plus confiance qu’en toi et ton orientation. » Renzo grogne, comme à son habitude – mais c'est un grognement pour signifier qu'il laisse couler l'insulte pour une fois. Il se fait une note mentale : penser à écrire un bouquin sur ses différents grognements, à coup sûr il en vendrait des millions. « Ton droit de port d’armes, il est où ? » Contre toute attente, il possède bien évidemment ce document – et légal qui plus est. Mais pour son plaisir personnel, il fait durer le suspense et décide de le sortir lentement, très lentement. D'abord il regarde dans ses poches, toujours avec la même lenteur. Quand il lorgne sur Hyojin et qu'il voit son regard impatient, un sourire machiavélique fleurit sur le visage du nord-coréen. Il décide de mettre fin au suspense et sort le document de l'intérieur de sa veste. « Il faudra que tu me fasses visiter l’Italie, un jour … mais en attendant, signe vite toute cette paperasserie qu’on puisse aller en salle de tire. » En attrapant le stylo et les documents, il appose sa signature là où Hyojin lui a montré et lui fait un clin d’œil en même temps qu'il prononce ces quelques phrases : « T'es sûr que tu veux vraiment voir l'Italie ? Tu risques de te faire dépuceler quelques secondes après avoir posé les pieds dans le pays. » Le pénible passage vers la réception est finalement terminé. « Bon, on tire un coup ? » Des balles, évidemment. Certains tirent autre chose, eux, ils tirent des balles ; chacun son trip. La réceptionniste appelle un autre homme qui vient pour les guider dans le vaste labyrinthe qui sert de centre de tir. « Au fait, la fille qui bosse avec toi est célibataire ? » Pas qu'il est intéressé – enfin, aussi intéressé que Renzo puisse l'être… Mais il veut surtout savoir si son ami tire la jolie Su Nah, plutôt que des balles. L'homme les fait entrer dans un vestiaire où ils déposent leurs affaires, pour mettre les divers équipements de protection. |
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Re: (jinzo) take a gun and count to three | Sam 7 Fév - 1:44 Citer EditerSupprimer
C’était fou comme Ren aimait prendre un malin plaisir de me faire tourner en bourrique. Et, à tous les niveaux. Il arrivait même à me faire perdre patience sur un document de port d’arme. Et croyez-moi, il était bien le seul à arriver à un tel résultat. Je soupirais bruyamment pour faire entendre mon mécontentement, mais ne répondit pas plus à sa provocation. Je ne savais pas si je devais pouffer de rire ou l’étrangler sur place. « Et c’est à moi que tu dis cela ? Comment t’as réussi à rester pure de ton petit corps dans un pays pareil ? » Je donnais les documents signés de Renzo à la réceptionniste avant de le pousser d’un coup de genou dans son petit culcul pour le faire avancer vers l’endroit où on allait enfin pouvoir tirer. La question du jeune homme me fit un peu tiquer, mais je ne laissais rien paraitre, attendant juste quelques secondes avant de répondre. « Pourquoi ca t’intéresse ? Tu as des vues sur elle ? » je ne savais jamais comment interpréter ce que disait mon bro de cœur dans les moments comme celui-ci. Était-il intéressé ou simplement curieux ? Ren était rarement curieux sans raison. Était-ce si visible que cela que j’en pinçais pour Sunah ? L’air de rien, je préférais changer de sujet avant de marcher sur une piste glaçante. « Dis-moi ! Cette Reeva avec qui tu es revenue d’Italie ! Elle est célibataire, elle ? » Bim ! Retour à l’envoyeur. Il disait que c’était sa demi-sœur, qu’elle faisait partie de la famille qui l’avait adopté. Pourtant, je décelais parfois autre chose dans les yeux de Ren quand il lui jetait des regards fugitifs. Il allait pas me faire croire qu’il ne se passait rien d’autre entre eux, pas à moi. A moins qu’il ne se rendait pas compte de ce qu’il ressentait, tout comme moi, au début ? Je pénétrais dans le vestiaire, déposant ma veste dans un casier, ainsi que portefeuille et portable. Je me saisis d’une paire de lunette en plastique renforcé et d’un casque pour protéger mes oreilles des détonations. On ne se rendait pas compte les dégâts que pouvaient ces conneries avant de l’avoir subi. Tirer sans protection sur ou dans les oreilles était une histoire pour vous rendre sourd, pour sûr. J’attrapais une cible, et suivit le guide jusqu’à la salle même de tire. « Prêt à te faire dégommer, bro ? » Il ne restait plus qu’à choisir nos armes et la compétition allait pourvoir commencer.
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C’était fou comme Ren aimait prendre un malin plaisir de me faire tourner en bourrique. Et, à tous les niveaux. Il arrivait même à me faire perdre patience sur un document de port d’arme. Et croyez-moi, il était bien le seul à arriver à un tel résultat. Je soupirais bruyamment pour faire entendre mon mécontentement, mais ne répondit pas plus à sa provocation. Je ne savais pas si je devais pouffer de rire ou l’étrangler sur place. « Et c’est à moi que tu dis cela ? Comment t’as réussi à rester pure de ton petit corps dans un pays pareil ? » Je donnais les documents signés de Renzo à la réceptionniste avant de le pousser d’un coup de genou dans son petit culcul pour le faire avancer vers l’endroit où on allait enfin pouvoir tirer. La question du jeune homme me fit un peu tiquer, mais je ne laissais rien paraitre, attendant juste quelques secondes avant de répondre. « Pourquoi ca t’intéresse ? Tu as des vues sur elle ? » je ne savais jamais comment interpréter ce que disait mon bro de cœur dans les moments comme celui-ci. Était-il intéressé ou simplement curieux ? Ren était rarement curieux sans raison. Était-ce si visible que cela que j’en pinçais pour Sunah ? L’air de rien, je préférais changer de sujet avant de marcher sur une piste glaçante. « Dis-moi ! Cette Reeva avec qui tu es revenue d’Italie ! Elle est célibataire, elle ? » Bim ! Retour à l’envoyeur. Il disait que c’était sa demi-sœur, qu’elle faisait partie de la famille qui l’avait adopté. Pourtant, je décelais parfois autre chose dans les yeux de Ren quand il lui jetait des regards fugitifs. Il allait pas me faire croire qu’il ne se passait rien d’autre entre eux, pas à moi. A moins qu’il ne se rendait pas compte de ce qu’il ressentait, tout comme moi, au début ? Je pénétrais dans le vestiaire, déposant ma veste dans un casier, ainsi que portefeuille et portable. Je me saisis d’une paire de lunette en plastique renforcé et d’un casque pour protéger mes oreilles des détonations. On ne se rendait pas compte les dégâts que pouvaient ces conneries avant de l’avoir subi. Tirer sans protection sur ou dans les oreilles était une histoire pour vous rendre sourd, pour sûr. J’attrapais une cible, et suivit le guide jusqu’à la salle même de tire. « Prêt à te faire dégommer, bro ? » Il ne restait plus qu’à choisir nos armes et la compétition allait pourvoir commencer.
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