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just like a circus (wenjun)
Chi Ji Ni
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : son hye joo (hyeju, loossemble)
Crédits : jae. (ava)
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Âge : 25
just like a circus (wenjun) | Sam 18 Aoû - 0:30
✻✻✻ c'était encore une de ses soirées où tu n'aimais pas être traînée. tu n'avais rien contre le fait de faire plaisir à ta mère, loin de là tu pourrais soulever des montagnes pour elle si elle te le demandait. mais entre faire des photos parce qu'elle avait besoin de toi, et accepter de venir à un énième repas organisé par l'entreprise de ton beau-père, il y avait un grand fossé. tu n'aimais pas ces repas mondains, là où les gens de la haute, ceux qui pouvaient tout se permettre et qui venait cirer les chaussures de ta famille histoire de se faire bien voir, c'était pas ton délire. non tu aurais préféré être chez toi, avec tes livres ou bien dans les dortoirs avec les autres panthères roses, tes camarades de la fraternité. avec tes amis tout simplement, ceux avec qui tu te sentais à l'aise, contrairement aux personnes que tu allais voir et fréquenter ce soir. mais c'était le monde dont tu faisais parti, depuis le mariage de ta mère avec ton beau-père. il fallait que tu t’accommodes, bien que parfois tu avais du mal, tu n'étais pas très à l'aise. tu étais heureuse pour ta mère, tu ne voulais que son bonheur, et si ton beau-père pouvait lui offrir ce bonheur qu'elle méritait plus que tout, tu ne pouvais rien dire. tu t'ajustais, tu inscrivais un sourire et une expression douce sur le visage, et tu faisais bonne figure. tu laisses échapper un soupir, prenant une gorgée de la coupe de champagne que tu tenais en main, grimaçant à cause du goût, tu n'étais pas une grande fan de champagne, mais tu voulais bien faire un effort ce soir. il y avait parmi les personnes présentes de très importants clients de ton beau-père, et surtout leurs femmes. de quoi agrandir le carnet de relation de l'homme de la maison, et pour ta mère de décrocher de nouveaux contrats. et toi dans tout ça ? tu ne savais pas quoi faire, tu t'étais mise dans un coin de la salle, attendant que les heures passent, que tu puisses rentrer te reposer. tu aurais voulu que ton frère soit là, avec dae won tu te serais sentie à l'aise. même la présence de eui geon aurait été bien accueillie, il aurait mis l'ambiance au moins, bien que d'ordinaire tu n'aimais pas comment les choses se déroulaient quand il était présent. ça semblait néanmoins mieux à tes yeux que l'ennui profond que tu ressentais actuellement. sortant ton téléphone, tu pianotes sur l'écran, ouvrant une de tes applications de jeux, l'espoir de remplacer cet ennui avec quelque chose d'autres.
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✻✻✻ c'était encore une de ses soirées où tu n'aimais pas être traînée. tu n'avais rien contre le fait de faire plaisir à ta mère, loin de là tu pourrais soulever des montagnes pour elle si elle te le demandait. mais entre faire des photos parce qu'elle avait besoin de toi, et accepter de venir à un énième repas organisé par l'entreprise de ton beau-père, il y avait un grand fossé. tu n'aimais pas ces repas mondains, là où les gens de la haute, ceux qui pouvaient tout se permettre et qui venait cirer les chaussures de ta famille histoire de se faire bien voir, c'était pas ton délire. non tu aurais préféré être chez toi, avec tes livres ou bien dans les dortoirs avec les autres panthères roses, tes camarades de la fraternité. avec tes amis tout simplement, ceux avec qui tu te sentais à l'aise, contrairement aux personnes que tu allais voir et fréquenter ce soir. mais c'était le monde dont tu faisais parti, depuis le mariage de ta mère avec ton beau-père. il fallait que tu t’accommodes, bien que parfois tu avais du mal, tu n'étais pas très à l'aise. tu étais heureuse pour ta mère, tu ne voulais que son bonheur, et si ton beau-père pouvait lui offrir ce bonheur qu'elle méritait plus que tout, tu ne pouvais rien dire. tu t'ajustais, tu inscrivais un sourire et une expression douce sur le visage, et tu faisais bonne figure. tu laisses échapper un soupir, prenant une gorgée de la coupe de champagne que tu tenais en main, grimaçant à cause du goût, tu n'étais pas une grande fan de champagne, mais tu voulais bien faire un effort ce soir. il y avait parmi les personnes présentes de très importants clients de ton beau-père, et surtout leurs femmes. de quoi agrandir le carnet de relation de l'homme de la maison, et pour ta mère de décrocher de nouveaux contrats. et toi dans tout ça ? tu ne savais pas quoi faire, tu t'étais mise dans un coin de la salle, attendant que les heures passent, que tu puisses rentrer te reposer. tu aurais voulu que ton frère soit là, avec dae won tu te serais sentie à l'aise. même la présence de eui geon aurait été bien accueillie, il aurait mis l'ambiance au moins, bien que d'ordinaire tu n'aimais pas comment les choses se déroulaient quand il était présent. ça semblait néanmoins mieux à tes yeux que l'ennui profond que tu ressentais actuellement. sortant ton téléphone, tu pianotes sur l'écran, ouvrant une de tes applications de jeux, l'espoir de remplacer cet ennui avec quelque chose d'autres.© LOYALS.
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Re: just like a circus (wenjun) | Jeu 13 Sep - 12:10
✻✻✻ ça fait des mois que tu n’as pas vu tes parents et tu as sauté de joie quand tu as appris qu’ils venaient en corée. ta joie s’est vite trouvé remplacée par de la déception. ce n’était même pas pour toi qu’ils se déplaçaient. enfin, tu étais quand même une des causes, mais la principale était ce repas fait par un ceo d’une entreprise de cosmétique qui était assez connu, même en chine. sauf que toi, tu ne voulais pas être là avec tes parents. tu aurais voulu rester avec eux toute la soirée, rien qu’avec eux. sauf que ce n’était pas possible et si avec quelqu’un d’autre, tu aurais fait un caprice pour avoir de l’attention, avec tes parents tu ne le fais pas. la raison est très simple, tu es leur seul enfant, la prunelle de leurs yeux parce qu’ils ont eu du mal à t’avoir. alors tu fais ce qu’ils te demandent sans jamais rien dire. c’est pour ça que tu te retrouves en corée, parce que tu ne peux rien leur refuser. mais ce soir, tu aurais aimé être capable de leur dire non, de leur faire comprendre que tes parents te manquaient et que tu voulais passer du temps avec eux, rien qu’eux. cependant, c’était impossible et tu te retrouvais affublé de ce costume qui te donnait une allure bizarre à un repas où tu ne connaissais personne. tes parents eux évoluaient au milieu des gens, ta mère collant ton père et hochant la tête à tout va parce qu’elle ne comprenait pas ce qui se racontait. c’était ton père le pro du coréen, pas elle. toi tu te retrouvais projeter dans cet univers sans l’avoir réellement voulu. tu pousses un soupir. t’aurais aimé resté au dortoir, parce que tu aurais pu avoir l’occasion de passer du temps avec taeyi, même si tu n’avais pas encore eu le cran de lui parler. mais le simple fait d’être dans la même pièce que lui te faisait plaisir. mais non à la place, tu étais dans ce restaurant entouré de vieux. tu avises dans un coin de la salle, une jeune femme. tu crois que tu l’as déjà vu chez les pyobeom, mais t’es pas sûr. cependant, c’est l’une des seules qui semble avoir ton âge. les autres personnes ont toutes plus de vingt-cinq ans. tu hausses les épaules en te dirigeant vers elle. si ça peut t’aider à passer le temps. tu t’avances doucement vers elle pour ne pas lui faire peur parce qu’elle semble totalement perdue dans son téléphone et tu regardes l’écran pour voir un jeu que tu adores. « il est trop bien ce jeu. regarde j’y joue aussi. » tu sors ton téléphone un peu trop précipitamment et il vient s’écraser au sol. tu le récupères rapidement vérifiant qu’il n’a rien et quand tu te rends compte que tout va bien, tu te retournes à nouveau vers la jeune femme. « plus de peur que de mal. il a survécu. » tu te demandes comment il a pu survivre aussi longtemps avec ta maladresse légendaire.
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✻✻✻ ça fait des mois que tu n’as pas vu tes parents et tu as sauté de joie quand tu as appris qu’ils venaient en corée. ta joie s’est vite trouvé remplacée par de la déception. ce n’était même pas pour toi qu’ils se déplaçaient. enfin, tu étais quand même une des causes, mais la principale était ce repas fait par un ceo d’une entreprise de cosmétique qui était assez connu, même en chine. sauf que toi, tu ne voulais pas être là avec tes parents. tu aurais voulu rester avec eux toute la soirée, rien qu’avec eux. sauf que ce n’était pas possible et si avec quelqu’un d’autre, tu aurais fait un caprice pour avoir de l’attention, avec tes parents tu ne le fais pas. la raison est très simple, tu es leur seul enfant, la prunelle de leurs yeux parce qu’ils ont eu du mal à t’avoir. alors tu fais ce qu’ils te demandent sans jamais rien dire. c’est pour ça que tu te retrouves en corée, parce que tu ne peux rien leur refuser. mais ce soir, tu aurais aimé être capable de leur dire non, de leur faire comprendre que tes parents te manquaient et que tu voulais passer du temps avec eux, rien qu’eux. cependant, c’était impossible et tu te retrouvais affublé de ce costume qui te donnait une allure bizarre à un repas où tu ne connaissais personne. tes parents eux évoluaient au milieu des gens, ta mère collant ton père et hochant la tête à tout va parce qu’elle ne comprenait pas ce qui se racontait. c’était ton père le pro du coréen, pas elle. toi tu te retrouvais projeter dans cet univers sans l’avoir réellement voulu. tu pousses un soupir. t’aurais aimé resté au dortoir, parce que tu aurais pu avoir l’occasion de passer du temps avec taeyi, même si tu n’avais pas encore eu le cran de lui parler. mais le simple fait d’être dans la même pièce que lui te faisait plaisir. mais non à la place, tu étais dans ce restaurant entouré de vieux. tu avises dans un coin de la salle, une jeune femme. tu crois que tu l’as déjà vu chez les pyobeom, mais t’es pas sûr. cependant, c’est l’une des seules qui semble avoir ton âge. les autres personnes ont toutes plus de vingt-cinq ans. tu hausses les épaules en te dirigeant vers elle. si ça peut t’aider à passer le temps. tu t’avances doucement vers elle pour ne pas lui faire peur parce qu’elle semble totalement perdue dans son téléphone et tu regardes l’écran pour voir un jeu que tu adores. « il est trop bien ce jeu. regarde j’y joue aussi. » tu sors ton téléphone un peu trop précipitamment et il vient s’écraser au sol. tu le récupères rapidement vérifiant qu’il n’a rien et quand tu te rends compte que tout va bien, tu te retournes à nouveau vers la jeune femme. « plus de peur que de mal. il a survécu. » tu te demandes comment il a pu survivre aussi longtemps avec ta maladresse légendaire.© LOYALS.
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Re: just like a circus (wenjun) | Mar 2 Oct - 22:47
✻✻✻ tu faisais des efforts parce que tu savais que c'était important pour ta mère, tu le faisais pour elle avant tout. elle qui avait sacrifié tant de choses pour toi, pour dae won, elle méritait d'être heureuse avec la vie que vous aviez à présent. qu'importait ce que eui geon pouvait dire ou penser, ta mère méritait ce bonheur que son père lui apportait. penser à lui fait naître une vague de rancoeur dans ton corps, tu la chasses rapidement d'un geste de la tête, l'ironie de la chose c'est que même la présence de ce dernier te servirait de distraction ce soir. tu le faisais pour ta mère, mais ça n'empêchait pas que tu t'ennuyais plus qu'autre chose. ce n'était pas vraiment ton monde ça, malgré ce qu'on pouvait penser, toi tu étais plus à l'aise avec ta vie à toi, tes bouquins sur les mythologies, tu aimais traverser l'histoire avec eux. toutes ces mondanités, tu ne t'y retrouvais pas vraiment, trop de choses dont il fallait se rappeler, des noms dont tu te moquais quand on y pensait bien, ils étaient là pour grossir le carnet d'adresses et de relations de ton beau-père. tu lâches un soupir avant de plonger ton attention sur ton téléphone, ta seule distraction potable de la soirée pour l'instant, tu en venais même à prier que quelque chose se passe, n'importe quoi pour qu'il y ait un tant soit peu d'action. tu ne comprenais pas toujours pourquoi ta mère aimait une telle ambiance, mais bon tant que ça lui faisait plaisir. tu es sortie de tes pensées par une voix masculine, tu lèves tes yeux bruns de ton écran, haussant un sourcil parfaitement dessiné vers la personne qui venait de te parler, enfin c'était bien à toi non ? tu devais être la seule à avoir le nez planté ailleurs que dans les petits fours ou en pleine conversation avec les différents invités. tu clignes des yeux quand le jeune homme fait tomber son téléphone en le sortant de sa poche, celui-ci qui vient s'écraser au sol mais le pire semble avoir été évité quand il le ramasse le tournant dans tous les sens pour vérifier. tu te retiens de sourire, ne sachant pas si tu devais en rire ou pas. tu préfères ne pas commenter pour ne pas le gêner plus qu'il ne devait l'être déjà. « c'est vrai que c'est bien pour passer le temps. » tu réponds à la place, avant de l'étudier de la tête aux pieds. son visage te disait quelque chose sans que tu puisses vraiment mettre le doigt dessus. tu l'avais vu quelque part avant ce soir ? « on se connaît ? » demandes-tu finalement, penchant la tête légèrement sur le côté, curieuse. probablement sur le campus ? mais en même temps il y avait tellement d'étudiants, tu ne penses pas que tu aurais retenu son visage aussi facilement, ailleurs dans ces cas-là ? tes pensées tourbillonnaient dans ta tête à la recherche d'une réponse, n'importe quoi pour comprendre pourquoi tu pensais l'avoir déjà vu avant.
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✻✻✻ tu faisais des efforts parce que tu savais que c'était important pour ta mère, tu le faisais pour elle avant tout. elle qui avait sacrifié tant de choses pour toi, pour dae won, elle méritait d'être heureuse avec la vie que vous aviez à présent. qu'importait ce que eui geon pouvait dire ou penser, ta mère méritait ce bonheur que son père lui apportait. penser à lui fait naître une vague de rancoeur dans ton corps, tu la chasses rapidement d'un geste de la tête, l'ironie de la chose c'est que même la présence de ce dernier te servirait de distraction ce soir. tu le faisais pour ta mère, mais ça n'empêchait pas que tu t'ennuyais plus qu'autre chose. ce n'était pas vraiment ton monde ça, malgré ce qu'on pouvait penser, toi tu étais plus à l'aise avec ta vie à toi, tes bouquins sur les mythologies, tu aimais traverser l'histoire avec eux. toutes ces mondanités, tu ne t'y retrouvais pas vraiment, trop de choses dont il fallait se rappeler, des noms dont tu te moquais quand on y pensait bien, ils étaient là pour grossir le carnet d'adresses et de relations de ton beau-père. tu lâches un soupir avant de plonger ton attention sur ton téléphone, ta seule distraction potable de la soirée pour l'instant, tu en venais même à prier que quelque chose se passe, n'importe quoi pour qu'il y ait un tant soit peu d'action. tu ne comprenais pas toujours pourquoi ta mère aimait une telle ambiance, mais bon tant que ça lui faisait plaisir. tu es sortie de tes pensées par une voix masculine, tu lèves tes yeux bruns de ton écran, haussant un sourcil parfaitement dessiné vers la personne qui venait de te parler, enfin c'était bien à toi non ? tu devais être la seule à avoir le nez planté ailleurs que dans les petits fours ou en pleine conversation avec les différents invités. tu clignes des yeux quand le jeune homme fait tomber son téléphone en le sortant de sa poche, celui-ci qui vient s'écraser au sol mais le pire semble avoir été évité quand il le ramasse le tournant dans tous les sens pour vérifier. tu te retiens de sourire, ne sachant pas si tu devais en rire ou pas. tu préfères ne pas commenter pour ne pas le gêner plus qu'il ne devait l'être déjà. « c'est vrai que c'est bien pour passer le temps. » tu réponds à la place, avant de l'étudier de la tête aux pieds. son visage te disait quelque chose sans que tu puisses vraiment mettre le doigt dessus. tu l'avais vu quelque part avant ce soir ? « on se connaît ? » demandes-tu finalement, penchant la tête légèrement sur le côté, curieuse. probablement sur le campus ? mais en même temps il y avait tellement d'étudiants, tu ne penses pas que tu aurais retenu son visage aussi facilement, ailleurs dans ces cas-là ? tes pensées tourbillonnaient dans ta tête à la recherche d'une réponse, n'importe quoi pour comprendre pourquoi tu pensais l'avoir déjà vu avant.© LOYALS.
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Re: just like a circus (wenjun) | Mar 30 Oct - 17:42
✻✻✻ cette soirée était vraiment ennuyante, mais le simple fait de revoir tes parents suffisait à te donner le sourire. tu aimes vraiment qu’ils soient venus en corée du sud, même si c’était pour cette soirée avec d’autres personnes riches. tu avais sauté dans les bras de ta mère, lui faisant un câlin comme tu ne lui avais jamais fait jusqu’à maintenant. son contact t’avait manqué et tu avais même pleuré toutes les larmes de ton corps alors que tu l’avais serré un peu plus contre toi. même ton père avait été ému par cette scène et t’avait pris dans ses bras. sauf que maintenant, tu t’ennuyais parce qu’ils ne pouvaient pas te donner de l’attention, trop occupés à parler avec d’autres personnes et à essayer de se faire de nouvelles relations. c’était ton père qui faisait toutes les discussions parce qu’il parlait coréen alors que ta mère non pas du tout. tu finis donc par te promener tout seul parmi la foule. les gens ne te posent pas de questions et ne te parlent même pas, parce que tu ressens à un gamin et on ne parle pas aux enfants. heureusement, ça t’arrange parce que tu n’as pas un très bon coréen et que tu es souvent intimidé de parler à des gens plus vieux que toi. du coup, tu te faufiles pour aller dans un coin et tu la vois tout aussi seule que toi. alors tu t’approches d’elle et tu remarques qu’elle joue à un des jeux que tu as sur ton téléphone. tu le sors donc de ta poche pour lui montrer sauf que ta maladresse légendaire frappe encore et tu le fais tomber au sol. ouf ! il n’a rien et tu souris en lui disant que tout va bien, plus de peur que de mal. tu gardes le regard fixé sur ton téléphone et tu ne remarques pas qu’elle se retient de sourire. tu ne relèves la tête que lorsqu’elle prend la parole. tu hoches la tête vigoureusement. « je le aime ce jeu. » un nouveau sourire s’affiche sur tes lèvres tandis que la jeune femme parle à nouveau. tu penches la tête sur le côté examinant son visage avec plus d’attention. « je crois pas. » tu réfléchis un peu plus, fronçant les sourcils pour te rappeler si tu l’as déjà vu ou non. « tu être à l’école ? peut-être yonsei ? » parce qu’il n’y a que là que vous auriez pu vous rencontrer vu que tu ne sors pas, déjà parce que tu n’as pas l’âge légal, mais également parce que ça ne t’intéresse pas. « ou peut-être chez les pyos ? » tu ne sais pas si elle va te comprendre parce que tu as un accent affreux. tu ne t’es pas réellement améliorer avec le temps parce que tu n’arrives pas à t’y faire à cette langue. tu as un meilleur parlé qu’écrit et c’est mieux que rien. par contre, le lire tu as vraiment du mal à prononcer les mots et tu lis comme un gamin qui apprend juste à lire. ça te saoule parce que tu as l’impression de passer pour un débile. ce n’est pas totalement faux, tu le sais. mais quand même ça t’énerve de ne pas être capable de communiquer correctement.
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✻✻✻ cette soirée était vraiment ennuyante, mais le simple fait de revoir tes parents suffisait à te donner le sourire. tu aimes vraiment qu’ils soient venus en corée du sud, même si c’était pour cette soirée avec d’autres personnes riches. tu avais sauté dans les bras de ta mère, lui faisant un câlin comme tu ne lui avais jamais fait jusqu’à maintenant. son contact t’avait manqué et tu avais même pleuré toutes les larmes de ton corps alors que tu l’avais serré un peu plus contre toi. même ton père avait été ému par cette scène et t’avait pris dans ses bras. sauf que maintenant, tu t’ennuyais parce qu’ils ne pouvaient pas te donner de l’attention, trop occupés à parler avec d’autres personnes et à essayer de se faire de nouvelles relations. c’était ton père qui faisait toutes les discussions parce qu’il parlait coréen alors que ta mère non pas du tout. tu finis donc par te promener tout seul parmi la foule. les gens ne te posent pas de questions et ne te parlent même pas, parce que tu ressens à un gamin et on ne parle pas aux enfants. heureusement, ça t’arrange parce que tu n’as pas un très bon coréen et que tu es souvent intimidé de parler à des gens plus vieux que toi. du coup, tu te faufiles pour aller dans un coin et tu la vois tout aussi seule que toi. alors tu t’approches d’elle et tu remarques qu’elle joue à un des jeux que tu as sur ton téléphone. tu le sors donc de ta poche pour lui montrer sauf que ta maladresse légendaire frappe encore et tu le fais tomber au sol. ouf ! il n’a rien et tu souris en lui disant que tout va bien, plus de peur que de mal. tu gardes le regard fixé sur ton téléphone et tu ne remarques pas qu’elle se retient de sourire. tu ne relèves la tête que lorsqu’elle prend la parole. tu hoches la tête vigoureusement. « je le aime ce jeu. » un nouveau sourire s’affiche sur tes lèvres tandis que la jeune femme parle à nouveau. tu penches la tête sur le côté examinant son visage avec plus d’attention. « je crois pas. » tu réfléchis un peu plus, fronçant les sourcils pour te rappeler si tu l’as déjà vu ou non. « tu être à l’école ? peut-être yonsei ? » parce qu’il n’y a que là que vous auriez pu vous rencontrer vu que tu ne sors pas, déjà parce que tu n’as pas l’âge légal, mais également parce que ça ne t’intéresse pas. « ou peut-être chez les pyos ? » tu ne sais pas si elle va te comprendre parce que tu as un accent affreux. tu ne t’es pas réellement améliorer avec le temps parce que tu n’arrives pas à t’y faire à cette langue. tu as un meilleur parlé qu’écrit et c’est mieux que rien. par contre, le lire tu as vraiment du mal à prononcer les mots et tu lis comme un gamin qui apprend juste à lire. ça te saoule parce que tu as l’impression de passer pour un débile. ce n’est pas totalement faux, tu le sais. mais quand même ça t’énerve de ne pas être capable de communiquer correctement.© LOYALS.
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Re: just like a circus (wenjun) | Mer 19 Déc - 20:50
✻✻✻ les minutes se font longues, très longues au bout d'un moment. tout ça c'était pas ton univers, t'avais beau faire plaisir à ta mère, c'était pas toi tout ça. si ta mère elle aimait ce qu'elle avait à présent, qu'elle avait pu faire carrière grâce à ça en devenant de visage d'une marque de luxe, toi t'étais pas très à l'aise avec tous ces faux-semblants. tu ne disais pas que tout le monde ici présents étaient des hypocrites – mais il existaient bien, ça il fallait être vraiment aveugle pour ne pas s'en rendre compte. tu t'ennuyais ferme, le nez plongé sur ton téléphone à la recherche de ce qui allait te sauver de ton ennui, ce qui allait t'occuper le temps de passer à autre chose, ce n'était pas comme si le repas allait bientôt être servi. les petits fours, les apéritifs étaient suffisamment nombreux pour passer l'envie de se mettre à table après. un énième soupir qui quitte tes lèvres, pour un peu tu aurais aimé que eui geon soit là ce soir, il avait beau montré de l'hostilité à votre égard, au moins il aurait servi de divertissement. tu es sortie de tes pensées, de ton jeu par un jeune homme qui fait irruption dans ton espace vitale, une entrée en fanfare alors que son téléphone vient s'écraser par terre quand il lui glisse entre les mots, la bonne humeur du garçon qui semble le rendre un peu fébrile apparemment. tu te retiens de rire, parce que ça ne serait pas très gentil de ta part, le pauvre il allait penser que tu te moquais de lui. tu fronces légèrement les sourcils quand il reprend la parole, t'as l'impression qu'il possède un accent même si tu ne reconnais pas d'où ça pourrait venir. était-il d'une autre nationalité ? après tout ton beau-père avait invité tellement de monde, cela ne t'étonnerait pas que certains d'entre eux viennent d'un pays voisin dans l'espoir de trouver des contacts et des contrats ici. son visage est familier, tu penses l'avoir vu quelque part avec ce soir, le campus peut-être ? ta question doit le surprendre, peut-être qu'il te prend pour une folle, qu'il ne se fasse pas d'idées tu n'avais rien derrière la tête en lui posant la question, tu étais sincèrement curieuse. tu n'aimais pas ne pas savoir où tu avais vu ce visage avant. quand il te parle de ton université, puis de ta propre fraternité tu sens un léger sourire étirer tes lèvres, tu l'avais donc bien aperçu avant la soirée, tu étais contente de voir que ta mémoire ne te jouait pas des tours. « tu es dans cette fraternité ? » tu lui demandes bien que sa question t'as déjà donné une réponse. tu lui proposes la place à tes côtés, te tournant pour pouvoir lui parler convenablement. « j'en fais partie, c'est sûrement pour ça que ton visage me dit quelque chose. on a dû se croiser dans le dortoir. » tu ajoutes avec un grand sourire, remettant une mèche de cheveux en place derrière ton oreille. « tu es ici avec tes parents ? » tu ne voulais pas qu'il croit que tu le prennes pour un gamin, mais bon tu l'imaginais mal venir ici seul.
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✻✻✻ les minutes se font longues, très longues au bout d'un moment. tout ça c'était pas ton univers, t'avais beau faire plaisir à ta mère, c'était pas toi tout ça. si ta mère elle aimait ce qu'elle avait à présent, qu'elle avait pu faire carrière grâce à ça en devenant de visage d'une marque de luxe, toi t'étais pas très à l'aise avec tous ces faux-semblants. tu ne disais pas que tout le monde ici présents étaient des hypocrites – mais il existaient bien, ça il fallait être vraiment aveugle pour ne pas s'en rendre compte. tu t'ennuyais ferme, le nez plongé sur ton téléphone à la recherche de ce qui allait te sauver de ton ennui, ce qui allait t'occuper le temps de passer à autre chose, ce n'était pas comme si le repas allait bientôt être servi. les petits fours, les apéritifs étaient suffisamment nombreux pour passer l'envie de se mettre à table après. un énième soupir qui quitte tes lèvres, pour un peu tu aurais aimé que eui geon soit là ce soir, il avait beau montré de l'hostilité à votre égard, au moins il aurait servi de divertissement. tu es sortie de tes pensées, de ton jeu par un jeune homme qui fait irruption dans ton espace vitale, une entrée en fanfare alors que son téléphone vient s'écraser par terre quand il lui glisse entre les mots, la bonne humeur du garçon qui semble le rendre un peu fébrile apparemment. tu te retiens de rire, parce que ça ne serait pas très gentil de ta part, le pauvre il allait penser que tu te moquais de lui. tu fronces légèrement les sourcils quand il reprend la parole, t'as l'impression qu'il possède un accent même si tu ne reconnais pas d'où ça pourrait venir. était-il d'une autre nationalité ? après tout ton beau-père avait invité tellement de monde, cela ne t'étonnerait pas que certains d'entre eux viennent d'un pays voisin dans l'espoir de trouver des contacts et des contrats ici. son visage est familier, tu penses l'avoir vu quelque part avec ce soir, le campus peut-être ? ta question doit le surprendre, peut-être qu'il te prend pour une folle, qu'il ne se fasse pas d'idées tu n'avais rien derrière la tête en lui posant la question, tu étais sincèrement curieuse. tu n'aimais pas ne pas savoir où tu avais vu ce visage avant. quand il te parle de ton université, puis de ta propre fraternité tu sens un léger sourire étirer tes lèvres, tu l'avais donc bien aperçu avant la soirée, tu étais contente de voir que ta mémoire ne te jouait pas des tours. « tu es dans cette fraternité ? » tu lui demandes bien que sa question t'as déjà donné une réponse. tu lui proposes la place à tes côtés, te tournant pour pouvoir lui parler convenablement. « j'en fais partie, c'est sûrement pour ça que ton visage me dit quelque chose. on a dû se croiser dans le dortoir. » tu ajoutes avec un grand sourire, remettant une mèche de cheveux en place derrière ton oreille. « tu es ici avec tes parents ? » tu ne voulais pas qu'il croit que tu le prennes pour un gamin, mais bon tu l'imaginais mal venir ici seul.© LOYALS.
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Re: just like a circus (wenjun) | Sam 23 Fév - 20:32
✻✻✻ cette soirée te semble tellement longue parce que tu ne connais personne, mais aussi parce que ce n’est pas ta place ici. tu es trop jeune dans ta tête pour apprécier ce genre de soirée trop longue, et beaucoup trop hypocrite. mais tu as accepté de venir parce que tu as pu voir tes parents, que tu n’avais pas vu depuis des semaines. cependant, comme à chaque fois que des soirées comme ça s’organise, ils partent à la recherche de contacts et d’amis qu’ils n’ont pas vu depuis quelques temps et comme à chaque fois, tu te retrouves tout seul. enfin, ça c’était avant de voir dans un coin une fille qui joue avec son téléphone. elle est plus âgée que toi, mais tu t’avances vers elle et est surpris de voir qu’elle joue au même jeu que toi. d’ailleurs pour lui prouver, tu sors ton téléphone et il t’échappe des mains, ta maladresse te rattrapant. tu gardes un sourire sur les lèvres alors que vous entamez une conversation et tu es surpris qu’elle te demande si vous vous connaissez. t’es pas sûr de l’avoir déjà vu, mais bon, vu que tu n’es pas à l’aise avec la gente féminine tu ne l’as sûrement pas vu. pourtant en la regardant un peu mieux, tu ne la reconnais toujours pas. c’est pour cette raison que tu lances l’idée de la yonsei et des pyobeoms. parce que tu ne sais pas où elle aurait pu te voir sinon. elle te demande si tu étais dans cette fraternité et tu hoches la tête affirmativement. tu ne lui demandes pas si c’est son cas à elle aussi, parce qu’elle reprend presque aussitôt pour te dire qu’elle aussi, elle fait partie de cette même fraternité. « j’être désolé. je pas savoir reconnaitre toi. » parce que tu ne prends pas le temps de regarder les femmes qui peuplent le dortoir, passant à côté d’elle avec la tête baissée. c’est pour ça que tu ne les vois pas ou très peu. la jeune femme finit par te demander si t’es venu avec tes parents et encore une fois tu hoches la tête avant de tourner ton corps vers la foule à leur recherche. tu les vois, bras dessus bras dessous et tu souris avant de les pointer du doigt. « ma maman avoir la robe bleue avec le long traîne. » tu as dit le mot en chinois parce que tu ne le connais pas en coréen sans même t’en rendre compte. tu continues en parlant de ton père. « il être près de maman. » puis tu tournes ton visage vers elle, souriant comme un enfant parce que tu as vu tes parents. en même temps depuis que tu as été envoyé en corée, tu ne les avais pas vu et ça te fait plaisir que ce soit le cas ce soir. « et les tiens, ils être où ? » tu continues de sourire avant de prendre une chaise et de t’asseoir en face d’elle, toujours ce sourire débile collé aux lèvres. tu es un enfant et tu ne le caches même pas.
just like a circus
feat eunsan
✻✻✻ cette soirée te semble tellement longue parce que tu ne connais personne, mais aussi parce que ce n’est pas ta place ici. tu es trop jeune dans ta tête pour apprécier ce genre de soirée trop longue, et beaucoup trop hypocrite. mais tu as accepté de venir parce que tu as pu voir tes parents, que tu n’avais pas vu depuis des semaines. cependant, comme à chaque fois que des soirées comme ça s’organise, ils partent à la recherche de contacts et d’amis qu’ils n’ont pas vu depuis quelques temps et comme à chaque fois, tu te retrouves tout seul. enfin, ça c’était avant de voir dans un coin une fille qui joue avec son téléphone. elle est plus âgée que toi, mais tu t’avances vers elle et est surpris de voir qu’elle joue au même jeu que toi. d’ailleurs pour lui prouver, tu sors ton téléphone et il t’échappe des mains, ta maladresse te rattrapant. tu gardes un sourire sur les lèvres alors que vous entamez une conversation et tu es surpris qu’elle te demande si vous vous connaissez. t’es pas sûr de l’avoir déjà vu, mais bon, vu que tu n’es pas à l’aise avec la gente féminine tu ne l’as sûrement pas vu. pourtant en la regardant un peu mieux, tu ne la reconnais toujours pas. c’est pour cette raison que tu lances l’idée de la yonsei et des pyobeoms. parce que tu ne sais pas où elle aurait pu te voir sinon. elle te demande si tu étais dans cette fraternité et tu hoches la tête affirmativement. tu ne lui demandes pas si c’est son cas à elle aussi, parce qu’elle reprend presque aussitôt pour te dire qu’elle aussi, elle fait partie de cette même fraternité. « j’être désolé. je pas savoir reconnaitre toi. » parce que tu ne prends pas le temps de regarder les femmes qui peuplent le dortoir, passant à côté d’elle avec la tête baissée. c’est pour ça que tu ne les vois pas ou très peu. la jeune femme finit par te demander si t’es venu avec tes parents et encore une fois tu hoches la tête avant de tourner ton corps vers la foule à leur recherche. tu les vois, bras dessus bras dessous et tu souris avant de les pointer du doigt. « ma maman avoir la robe bleue avec le long traîne. » tu as dit le mot en chinois parce que tu ne le connais pas en coréen sans même t’en rendre compte. tu continues en parlant de ton père. « il être près de maman. » puis tu tournes ton visage vers elle, souriant comme un enfant parce que tu as vu tes parents. en même temps depuis que tu as été envoyé en corée, tu ne les avais pas vu et ça te fait plaisir que ce soit le cas ce soir. « et les tiens, ils être où ? » tu continues de sourire avant de prendre une chaise et de t’asseoir en face d’elle, toujours ce sourire débile collé aux lèvres. tu es un enfant et tu ne le caches même pas.© LOYALS.
Chi Ji Ni
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Re: just like a circus (wenjun) | Mer 29 Mai - 0:39
✻✻✻ tu pensais pas tomber sur quelqu'un du campus, et encore moins un membre de ta propre fraternité, bon il fallait dire que tu traînais pas non plus tant que ça dans les dortoirs alors ce serait pas étonnant qu'il ne se souvienne pas de toi. vu que toi-même tu n'étais pas certaine de ce que tu avançais avant qu'il ne te réponde, tu aurais tout aussi bien pu te tromper et le prendre pour quelqu'un d'autre. mais au moins, peu importait en vrai qu'il soit un pyobeom ou pas, il était une nouvelle compagnie que tu n'avais pas envie d'envoyer bouler, parce que tu t'ennuyais ferme et c'était une distraction qui était toujours appréciée. et puis, il avait l'air gentil, il ne donnait pas l'impression d'être à sa place, il était comme toi en fait. pas dans son monde, vous étiez là pour faire bonne figure, mais vous auriez aimé être ailleurs. tu n'es pas blessée par ses paroles, comme tu le pensais plus tôt, cela n'était guère étonnant puisque le plus souvent tu étais dehors ou bien dans ta chambre pour réviser. et en plus depuis que soo hwan était dans ta vie, tu passais certainement plus de temps avec lui et chez les requins verts du campus que chez tes propres camarades. ce n'était pas contre eux, la guerre entre les différentes fraternités toi ça te passait au dessus de la tête, tu avais des amis un peu partout sur le campus, simplement la personne à laquelle tu tenais le plus faisait partie d'une autre communauté, et tu n'allais pas jouer les gamines et refuser d'aller le voir sous prétexte que vous étiez dans différents « camps ». « c'est pas grave, t'en fais pas. » tu réponds avec gentillesse, notant encore une fois la manière dont il s'exprimait, son coréen n'était pas mauvais mais cela se voyait qu'il devait être pratiquer. cela confirma tes pensées sur le fait qu'il était étranger, mais tu n'allais pas jouer les intrusives et lui donner de déballer sa vie devant toi. quand il reprend la parole suite à ta question, tu hoches la tête lentement avant de noter dans un coin de ta tête le mot en chinois qu'il venait de prononcer. c'était une partie de ton éducation que tu étais contente d'avoir eu, ta mère avait beaucoup insisté quand vous aviez rejoint la famille de ton beau-père que tu ais une éducation plus poussée, et la maîtrises de langues étrangères en faisait parti bien que toi tu comprenais plus le japonais que le chinois, mais tu en avais des notions. suffisamment pour te permettre de tenir une courte conversation. tu ne peux retenir ton sourire d'éclairer un peu plus ton visage en voyant l’innocence sur le visage du jeune homme. un rire léger qui t'échappe quand il te demande où sont tes parents, tu cherches des yeux ta mère sachant très bien que ton beau-père ne sera pas très loin. « mon beau-père organise cette soirée. » tu dis, les trouvant finalement. « ils sont là-bas avec ma mère. » tu dis en montrant d'un signe de la main le duo. « mais je dois avouer que je m'ennuie ferme, je suis pas vraiment à l'aise avec tout ça. » un court silence qui s'installe malgré le brouhaha autour de vous. « je m'appelle eun san, et toi ? »
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feat wenjun
✻✻✻ tu pensais pas tomber sur quelqu'un du campus, et encore moins un membre de ta propre fraternité, bon il fallait dire que tu traînais pas non plus tant que ça dans les dortoirs alors ce serait pas étonnant qu'il ne se souvienne pas de toi. vu que toi-même tu n'étais pas certaine de ce que tu avançais avant qu'il ne te réponde, tu aurais tout aussi bien pu te tromper et le prendre pour quelqu'un d'autre. mais au moins, peu importait en vrai qu'il soit un pyobeom ou pas, il était une nouvelle compagnie que tu n'avais pas envie d'envoyer bouler, parce que tu t'ennuyais ferme et c'était une distraction qui était toujours appréciée. et puis, il avait l'air gentil, il ne donnait pas l'impression d'être à sa place, il était comme toi en fait. pas dans son monde, vous étiez là pour faire bonne figure, mais vous auriez aimé être ailleurs. tu n'es pas blessée par ses paroles, comme tu le pensais plus tôt, cela n'était guère étonnant puisque le plus souvent tu étais dehors ou bien dans ta chambre pour réviser. et en plus depuis que soo hwan était dans ta vie, tu passais certainement plus de temps avec lui et chez les requins verts du campus que chez tes propres camarades. ce n'était pas contre eux, la guerre entre les différentes fraternités toi ça te passait au dessus de la tête, tu avais des amis un peu partout sur le campus, simplement la personne à laquelle tu tenais le plus faisait partie d'une autre communauté, et tu n'allais pas jouer les gamines et refuser d'aller le voir sous prétexte que vous étiez dans différents « camps ». « c'est pas grave, t'en fais pas. » tu réponds avec gentillesse, notant encore une fois la manière dont il s'exprimait, son coréen n'était pas mauvais mais cela se voyait qu'il devait être pratiquer. cela confirma tes pensées sur le fait qu'il était étranger, mais tu n'allais pas jouer les intrusives et lui donner de déballer sa vie devant toi. quand il reprend la parole suite à ta question, tu hoches la tête lentement avant de noter dans un coin de ta tête le mot en chinois qu'il venait de prononcer. c'était une partie de ton éducation que tu étais contente d'avoir eu, ta mère avait beaucoup insisté quand vous aviez rejoint la famille de ton beau-père que tu ais une éducation plus poussée, et la maîtrises de langues étrangères en faisait parti bien que toi tu comprenais plus le japonais que le chinois, mais tu en avais des notions. suffisamment pour te permettre de tenir une courte conversation. tu ne peux retenir ton sourire d'éclairer un peu plus ton visage en voyant l’innocence sur le visage du jeune homme. un rire léger qui t'échappe quand il te demande où sont tes parents, tu cherches des yeux ta mère sachant très bien que ton beau-père ne sera pas très loin. « mon beau-père organise cette soirée. » tu dis, les trouvant finalement. « ils sont là-bas avec ma mère. » tu dis en montrant d'un signe de la main le duo. « mais je dois avouer que je m'ennuie ferme, je suis pas vraiment à l'aise avec tout ça. » un court silence qui s'installe malgré le brouhaha autour de vous. « je m'appelle eun san, et toi ? » © LOYALS.
| and then my soul saw you and it kind of went, “oh, there you are. i've been looking for you.” ☾ i love you so much more than just to the moon and back. ♡ |
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