+18 I can't control anything when i'm drunk
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+18 I can't control anything when i'm drunk | Sam 3 Jan - 8:27 Citer EditerSupprimer
musique à flot, éclat de rire, alcool, petite tenue sexy, filles qui se trémoussaient. il ne réfléchissait plus concrètement, il ne cherchait d'ailleurs même pas à essayer, il se sentait bien, là. ne se prenait plus la tête sur comment il devait agir ou non. les pyobeoms une sacrée famille lorsqu'il y pensait, une famille déjantée. il n'y en avait pas un de sobre, pas un capable de stopper les choses avant qu'elle ne dérape. combien de whisky s'était-il enfilé ? cinq, six peut-être sept ? Peut-être aurait-il du s'arrêtait bien avant, avant que tout cela n'aille trop loin et qu'il ne regrette le lendemain mais voyez vous, il n'en avait pas envie, il s'amusait tellement, il avait même l'occasion de se rincer l’œil sans passer pour un gros pervers de première. cette pool party avait décidément était un très bonne idée, trop bonne idée, parfaite idée ! il lui prenait même des envies de philosopher, et à partir de ce moment là autant dire qu'il était complètement barré. il ne savait pas bien ce qu'il faisait , voici déjà dix bonnes minutes qu'il matait sunah; sa charmante babysitter. elle lui avait fait du rentre dedans au moment même ou ils avaient mis les pieds à la piscine et il ne l'avait guère ignorer. elle était bien foutue, rien à dire sur ce point là. de longues jambes selves, un cul bien galbé ; une poitrine aux allures fermes et de taille parfaite pour se loger dans la paume de ses mains. ouep, là maintenant il n'avait envie que d'une chose et il serait bien déplacé de le prononcer à haute voix; quand il y repenserait demain il s'en voudrait probablement mais au fond il s'agissait d'un désir refoulé ou comment expliqueriez vous qu'il éprouve soudainement cette envie de s'immiscer entre les douces cuisses de sa camarade.
Depuis combien de temps n'avait-il pas touché à une femme ? à vrai dire pas si longtemps que cela, mais il y avait toujours eu une grande différence entre les femmes faciles ; les femmes qui le challengeaient et les femmes qui n'avaient jamais montrés quoique ce soit à son égard et lui montraient à présent une petite possibilité de conclure. encore une fois il n'avait pas tout son esprit, il n'aurait jamais pensé ainsi, jamais de manière aussi perverse mais surtout vulgaire, car oui il ne pensait pas à l'action romantique que tout couple se voulait de pratiquer; il avait plutôt en tête l'action bestiale pratiqué par ses ancêtres durant l'ère paléolithique; au moins à cette époque personne ne se souciait de savoir si untel était en couple avec untel et si cela était morale ou non de coucher avec; hop je te prends et basta. il ne pensait pas aux conséquences, les conséquences que cela aurait sur son boulot, sur sa vie au sein de l'université et des ragots qui allaient rapidement se propager, il était dans une phase je veux donc j'aurais et il semblait que ses pensées s'arrêtaient là. faisant un signe de tête à sunah lui désignant le salle des fournitures où s'entassait brassards, bouée et autres accessoires de piscine, le jeune blond partit s'y installer, sans même vérifier que personne ne le voit. il s'en moquait, n'étaient-ils pas tous adulte; suffisamment expérimentés pour savoir ce que deux personnes pouvaient faire dans une pièce aussi isolée ? il n'eût guère longtemps à attendre, à croire que la belle sunah était aussi chaude que lui. visiblement je ne me trompais guère sur tes intentions sunah. il lui adressa un sourire avant de lui faire signe de fermer la porte derrière elle. je sais pas pour toi mais moi j'ai chaud. et je me sens à l'étroit. il ne portait qu'un short de bain; un short de bain suffisamment étroit pour ne pas avoir à être plus explicite sur l'effet que lui faisait la jeune femme. en tant normal il se serait sentis honteux ou aurait du moins essayé de rendre la chose plus romantique, mais là maintenant il ne pensait guère à prendre des tournants pour faire comprendre à sa camarade ce qu'il attendait d'elle. elle s'en doutait très bien avant même de pénétrer dans la pièce. n'est-ce pas sunah ?
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Re: +18 I can't control anything when i'm drunk | Sam 3 Jan - 16:44 Citer EditerSupprimer
Je ne sais pas ce que je fais, clairement, je n’arrive plus à réfléchir comme si la seule chose que je voulais ce soir c’était m’amuser. Je ne pensais à rien d’autres, ni aux conséquences, ni à ce qui viendrait après. J’étais à l’eau avec Su Ah et je nageais en me prenant pour une sirène. Sérieusement, ça tenait du miracle que je ne me sois pas encore noyée. Et mon jean me collait à la peau de façon si désagréable que je voulais le retirer mais chaque idée que j’avais disparaissait pour une idée encore plus folle. je comprenais maintenant pourquoi je devais éviter de boire. Je suis sûrement al Pyo qui a le moins bu de toute l’histoire des Pyobeom party, mais je suis pourtant celle qui a été le plus rapidement bourré. Enfin bourré, joyeuse dirons nous. J’avais encore un minimum de conscience. Assez pour me dire que ce soir je faisais n’importe quoi. Ou peut-être que je faisais simplement ce que je voulais vraiment ? Jun Wei semblait toujours terminer dans mon champ de vision et j’avais finalement osé aller flirter avec lui. Je lui lançais des regards qui en disaient long, mordillant mes lèvres, mes cheveux mouillés collé au visage. Je ne sais pas si j’avais l’air sexy ou sauvage mais dans ma tête j’étais une vraie bombe. Les avantages de l’alcool, et j’espérais que Jun soit assez fait aussi pour me trouver à son goût. Mon t-shirt collait à ma peau et si d’ordinaire j’étais plus réservé ce soir j’avais envie de l’allumer. Est-ce que ça faisait de moi une trainée ? Je voyais bien le regard appréciateur de Jun Wei sur moi. Je voyais bien qu’il se sentait attiré par moi et j’avais envie de plus. Je voulais qu’il me désire, qu’il voit la femme en moi. Je voulais séduire. Est-ce que je cherchais à me prouver quelque chose ? Sûrement, et je cherchais surtout à prendre mon pied. Je ne sais pas jusqu’où on ira ce soir mais ce qui est sûre c’est que l’attirance qu’on éprouve l’un pour l’autre ne passera pas inaperçu. Je lance de la musique, une qui bouge, une qui me permet de faire onduler mes hanches l’air de rien. je m’approche de lui, il le sait pas vrai ? Il le sait que ce soir il est ma proie. Je me demande ce que va penser Su Ah ; si seulement elle pouvait être avec Jin Hyun … Je n’ai pas qu’on me fasse de remarque demain … Je veux juste m’amuser avec Jun Wei. Danser et boire. Danser contre lui comme je le fais à cet instant. Mes bras enroulé autour de son cou et une de mes mains se perdant sur son torse nu et musclé. Merde, il est carrément sexy. Qui pourrait le deviner sous ses chemises qu’il a un corps aussi … bien foutu. Plus je danse et plus je me rapproche de lui, le laissant me caresser les hanches comme bon lui semble. J’en viens même à me mettre dos à lui et colle mes fesses à son bassin. Je fais semblant de ne rien remarquer, que notre position est normal et que n’importe qui pourrait danser comme ça … Mais la façon que j’ai de bouger contre lui frôle l’indécence. Quand je tourne mon visage vers lui je lorgne sur ses lèvres pour ne rien cacher de ce que j’ai en tête, mais parce que j’aime me faire désirer je finis par m’éloigner et saute dans la piscine pour rafraichir mes idées. Et la soirée se passe ainsi. Passant de proche à éloigné. Passant d’indécent à frustrant. Mais c’était grisant, tellement grisant mon dieu. Puis je le vois me faire signe, un signe discret, rapide que mon cerveau embrumé aurait pu ne pas remarquer. Je mets quelques secondes avant de réaliser et finit par m’engouffrer à mon tour dans la pièce où s’entrepose le matériel pour la piscine. Une odeur de chlore nous entoure et ça m’aurait dérangeait en temps normal mais je ne voyais que son corps luisant en face de moi. Je m’adosse à la porte avec un sourire enjôleur et fait tourner le loquet de l’intérieure pour nous enfermer. Je ne dis rien, je me contente juste de le fixer avec une envie primaire de le bouffer. Ca me vient des trippes. C’est juste envie qu’il me fasse prendre mon pied. Je n’ai pas envie de faire l’amour, j’ai envie de sexe, de plaisir et d’envie … J’ai envie de faire perdre la tête à Jun Wei, qu’il soit dingue. Dingue de mon corps et esclave de son désir. J’ai envie de le dominer ce macho sexy et canon. Autant que j’ai envie d’être à sa merci … Je m’avance vers lui en lorgnant sur son corps et je pousse un léger soupir trahissant mon envie de lui. Je colle mon bassin au sien sans rougir et griffe son bas ventre en remontant doucement jusqu’à son torse « Dommage. » murmurais-je en plantant mon regard dans le sien. « Que je ne puisse rien faire pour toi. »
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Re: +18 I can't control anything when i'm drunk | Sam 3 Jan - 19:28 Citer EditerSupprimer
il en avait connus des femmes, bien plus que ce que l'ont pouvait imaginer. des femmes dociles, d'autres soumises, certaines beaucoup plus dominantes parfois même sauvage, il y avait aussi eu les vierges inexpérimentées et les planches à repasser, les femmes un peu trop violente à son goût et celle très attentionnée. oh oui, il avait eu la chance de goûté la chair féminine à maintes reprises et il ne s'en lassait guère, chaque femmes étaient différentes, chacune se comportait différemment, réagissait différemment, gémissaient différemment et se mouvaient différemment, c'est ce qui faisait leurs charmes, ce qu'il aimait chez elle et ce pourquoi il n'aurait guère pu s'arrêter. à moins, à moins de ne rencontrer la bonne, celle qui lui donnerait envie de lui faire l'amour tous les jours, qui ne lui donnerait pas envie de regarder ailleurs, celle qui cultiverait le désir , celle qu'il aimerait tout bonnement. mais elle était loin d'arriver. il y avait cru pendant un moment, un court moment. il avait fait des plans, avait même pensé mariage, il était jeune, et con et bowon n'avait que vite fait de lui briser le coeur chose qu'il n'avouerait jamais.c'est pourquoi il ne prenait plus la peine de se poser sérieusement avec une femme, qu'il ne se permettait plus de faire confiance à qui que ce soit, parce qu'il savait, il savait qu'elles étaient toout aussi faibles, à la première complication elles se barraient, au premier beau mec elles vous trompaient et ça, junwei ne pouvait guère l'envisager.
la femme qu'il avait à présent en face de lui ne lui réclamait rien de tout cela, elle ne voulait pas qu'il prenne soin d'elle, qu'il l'entretienne, qu'il la protège, qu'il ne voit qu'elle, qu'il ne pense qu'à elle, qu'il ai à se balader à ses côtés h24. non elle ne lui demandait rien, si ce n'est de passer du bon temps avec lui, sans réfléchir, sans penser, juste se laisser aller, ici dans ce petit espace, enfermé, loin des regards d'autrui. si l'alcool le rendait plus confiant cela n'avait pas suffisamment embué son esprit pour qu'il ne sache pas avec qui il s'apprêtait à commettre l'imparable, sa nourrice, l'ex de son meilleur ami et malgré tout cela il n'arrivait pas à se freiner. il aurait du, se dire stop, se dire que cela était mal, qu'il allait en blessait plus d'un par sa connerie. parce qu'il ne pensait qu'avec sa bite et rien d'autre. mais c'était justement ça le problème, là maintenant il avait mis son cerveau en mode off, laissant le contrôle de son corps à la partie inférieure de son corps, la partie de son corps toute fraîchement gorgée de sang qui criait pour qu'on la libère de la prison que représentait actuellement ce fin boxer. la voici qui lui disait ne rien pouvoir faire pour lui comme si le simple fait d'avoir verrouiller la porte derrière elle ne démontrait pas le contraire. il n'avais jamais perçu ce côté là chez sunah mais il le décelait à présent. elle semblait soumise, le genre de fille à qui l'on donnait des ordres, le genre de filles qui si elle le voulait ouvrirait ses cuisses au premier ordre, le genre de fille pas agaçante, qui ne vous gonflait pas pour que vous ayez à vous taper une heure de préliminaires avant de la sauter, le genre de fille dont il avait bien besoin là maintenant.
il s'empara de la main de sunah, un doux sourire dessiné sur ses lèvres. elle avait de belles mains, fines et douces. c'est donc tout naturellement qu'il la posa sur son entrejambe, permettant à la jeune femme de sentir son membre gonflé par l'excitation qu'elle lui procurait. si tu ne peux rien faire pour moi, peut-être pourras-tu faire quelque chose pour lui ? il lapa sa lèvre inférieure d'un léger coup de langue, ce doux sourire à présent pervers toujours dessiné sur ses douces lèvres. puis il relâcha la main de la jeune femme , son regard toujours posé sur elle, sur ses douces formes malheureusement que trop caché par la couche de vêtements mouillée qu'elle portait. et si tu enlevais tout ça ? pas que j'ai peur que tu prennes froid, mais je ne vois pas grand chose avec cette couche de vêtements. pour l'instant il n'agissait pas plus qu'il ne le fallait, il voulait qu'elle lui obéisse , il voulait qu'elle lui dévoile son doux et jeune corps. cependant si elle ne se décidait pas à le faire soi-même alors oui, il lui viendrait en aide, après tout ils avaient beaux avoir bu; ils restaient tout de même dans un lieu publique entouré de leurs camarades , camarades qui ne tarderaient guère à les chercher. ils n'avaient donc pas beaucoup de temps, ce qui tombait bien. junwei avait toujours raffolé du quick sexe.
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Re: +18 I can't control anything when i'm drunk | Dim 4 Jan - 1:35 Citer EditerSupprimer
Pourquoi je fais ça ? Je n’en sais rien. Enfin si je sais, mais ce soir je n’ai pas envie d’y penser. Je n’ai pas envie de sentir mon ventre se tordre et mes pensées fulminer vers lui. Je n’ai pas envie de faire tourner on ivresse en un fardeau déprimant. Je veux garder mon euphorie. Bon sang j’aurais du apporter un verre avec moi. Histoire de me donner du courage. Aussi surprenant soit-il j’ai jamais couché avec un mec pour le simple plaisir de m’envoyer en l’air. Mais ce soir je voulais être ce genre de fille. Je voulais être celle qu’on trouver irrésistible et qu’on séduit juste pour un coup. Dès l’instant où Jun Wei sera venu il ne pensera pas à se montrer attentionné. Il peut être adorable quand il veut et il sait ce qu’il veut c’est ce qui fera de lui le mec qui se barre quand il a fini. On aura toutes les excuses du monde pour ne pas rester plus longtemps ensemble. Je ne lui demande même pas de m’embrasser à la fin comme un gentleman. Je veux juste … putain je veux juste qu’on baise. Jamais je n’ai été comme ça. Jamais. Mais ces derniers jours m’ont rendu dingue et si j’ai choisis Jun Wei ce n’est pas pour rien. J’en ai marre d’être la gentille Su Nah. D’être la fille qu’on prend pour une conne et qu’on met de côté parce que de toute façon ca ne marchera pas. Pourquoi pleurer quelqu’un qui se moque de moi ? Suis-je aussi pathétique que ça ? L’alcool m’a fait tomber toutes mes inhibitions. Et ce soir je veux juste pour voir … prendre mon pied. Et je suis persuadée que Jun Wei saura comment me faire grimper. J’ai envie de l’allumer, et je vais l’allumer. S’il voulait me sauter comme une vulgaire pétasse qu’il ramasse au coin des rues il se fourre le doigt dans l’œil. Je vais lui montrer que je ne suis pas le genre de fille facile qu’il a surement l’habitude de croiser. Il veut jouer au dom juan mais me fait déjà toucher son érection. Monsieur est-il confortablement installé ? Monsieur s’attend-t-il à ce que je lui fasse une gâterie ? J’ai un sourire narquois sur les lèvres quand je le sens me faire frôler son érection. Au moins je sais que je ne vais pas être déçu quand il aura son maillot de bain sur les chevilles. C’est de la triche cette façon qu’il a de laper sa lèvre inférieure. Je le regarde en plissant des yeux, comme jaugeant son attitude. On a droit au coup bas alors ? Dieu que ça devient intéressant. Je baisse mon regard à nouveau sur son torse. Est-il obligé de tout le temps contracté ses abdos ou alors c’est naturel ? Mon dieu si c’est naturel j’ai envie d’y goûter. Je passe une main dans ses cheveux mouillés avant de finalement tiré en arrière pour lever son visage vers moi. « Ah vraiment. Je te trouve bien curieux … » Mais ce soir je suis clémente je frôle ses lèvres et le repousse brusquement en reculant. Je fais rapidement tomber le haut, pas besoin de faire durer le plaisir. Mon jean sera plus dur à retirer vu comme il colle à ma peau. Je fais signe au jeune homme d’approcher et lui ordonne presque de m’aider. Je me saisie de ses mains pour le faire aller plus vite et lui fait m’arracher mon pantalon que j’entends craquer. Merde. Je l’attrape par la nuque pour le rapprocher de moi et mêle mon souffle alcoolisé au sien avant de le plaquer contre l’une des étagères. Je me mets dos à lui et colle mes fesses contre son bassin et commence à me frotter outrageusement à lui … Je devrais flipper qu’on nous surprenne que les autres pyo nous cherche ou nous entende … Mais bordel c’était tellement plus excitant de cette façon. Le local et si petit que je peux prendre appuie sur le mur en face de moi pour mieux approfondir mes caresses. Au vu de son excitation ca va bientôt ne pas suffire. Mais je ne doute pas de l’envie du jeune homme pour m’arracher mes pauvres bouts de tissu superflu. Je ne suis pas une fille facile mais je ne dis pas non facilement non plus. Je souris en soupirant quelques peu pour le rendre encore plus dingue. Je soulève a peine mon soutient gorge pour y plaquer sa main « Je t’imaginais plus entreprenant que ça Jun Wei » le provoquais je pour faire sortir le mec plein de fierté en lui. c’est toujours de cette façon que le quick sexe est meilleur.
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Re: +18 I can't control anything when i'm drunk | Mar 6 Jan - 19:44 Citer EditerSupprimer
Il le regretterait sans aucun doute, mais à ce moment là, lorsqu'il réaliserait son erreur, celle-ci aurait déjà été commise et il n'aurait alors aucun moyen de revenir en arrière. pourtant là maintenant la simple idée de le regretter ne lui effleurait même pas l'esprit, il était bien trop occupé à retirer le pantalon de sa douce. au vue de son impatience, arracher aurait été plus juste.il voulait la délestait de tout bout de tissus, savourer la moindre bribe de sa peau nue contre la sienne. elle se frotte si sensuellement contre lui qu'il en perd la tête, littéralement. au fond de lui, il se retient, se retient de ne pas aller trop vite, de ne pas être une brusque, de ne pas la blesser car au fond de lui, il n'a pas oublié qu'elle n'était pas une inconnue que l'on baisait et qu'on oublierait. non, elle était Su Nah. les frottements de son petit cul contre son sexe encore et bien malheureusement prisonnier de son boxer lui sont insupportables mais encore une fois il se refuse à la sauter violemment. étrange, ce ne serait pourtant pas la première fois qu'il le ferait. il ne lui faut qu'une petite seconde pour défaire le joli petit soutien gorge de sa jeune camarade; soutien gorge qu'il lui soustrait, la faisant tourner sur elle même de manière à ce qu'elle soit face à lui. Sa poitrine est nue, arrogante et d’un blanc ivoire hypnotisant. Ses tétons durcis par l’excitation arboraient une belle couleur rousse qui formait un charmant contraste avec la peau laiteuse de ses seins. Il y pose délicatement une main, sur le sein gauche légèrement plus gros. son pouce venant délicatement malaxer son téton. puis en bon impatient, le voici qu'il posait ses lèvres sur le sein droit de la jeune pyobeom, ses dents venant mordiller son autre téton. comment aurait-il pu le délaisser ? elle disait ne pas le trouver entreprenant et il espérait sincèrement qu'elle puisse changer d'avis, à moins qu'elle ne désire réellement que du sexe bestial dénué de respect. Combien de temps s'était écoulé depuis qu'ils avaient pénétrés dans la pièce ? il n'en savait rien et c'est bien ce qui aurait du l'effrayer ou du moins l'alarmer. Se persuadant finalement de laisser la poitrine de la jeune femme tranquille, le voici qu'il descendait, déposant de doux baisers humides sur son ventre tout en prenant ses fesses dans ses mains; les pétrissant un peu plus sauvagement qu'il ne l'avait été jusque là. lorsqu'il atteignait enfin le pubis de la jeune femme, il ne put empêcher un sourire de se dessiner sur ses lèvres alors qu'il embrassait le dessus du string de sa compagne. de son index, il caressa ses lèvres par dessus le tissus satisfait de voir qu'elle avait déjà mouillé celui-ci. Puis il se redressa soudainement, plongeant son regard dans celui de la belle; portant son index à ses lèvres , lapant celui-ci. tu as bon goût sunah, dommage que nous n'ayons guère plus de temps. puis sans ajouter un mot de plus il la retournait de nouveau de manière à savourer la douce cambrure de son dos, s'emparant du seul petit bout de tissus qu'elle portait, le faisant glisser sur ses longues jambes élancées et dorées. elle était belle, et même ivre il arrivait à se demander comment elle pouvait encore être célibataire. Appuyant délicatement sur son dos, il la faisait se pencher légèrement, la pénétrant sans ménage de son index. Junwei sentait monter une sourde excitation en lui alors que son index se mouvait en la jeune femme. il voulait la pénétrer non pas de ses doigts, il voulait la prendre. aussi égoiste cela aurait-il pu passer, junwei ne voulait plus perdre de temps aux préliminaires, elle était déjà suffisamment mouillé pour qu'il s'insinue en elle. cependant quelque chose lui disait qu'il était préférable d'attendre son accord. ne disait-on pas que les femmes ne savaient jamais ce qu'elles voulaient. de sa main libre, il libérait toutefois son sexe qu'il vint coller au petit cul de sunah. il voulait lui montrer à quel point elle l'excitait, plus encore il voulait le lui faire sentir. Je t’imaginais plus entreprenante que ça sunah. s'amusa t'il à lui susurrer à l'oreille avant de venir mordiller le lobe de celle-ci tandis qu'il introduisait un deuxième doigt venant sadiquement titiller du bout de son pouce le clitoris de la jeune femme.
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Re: +18 I can't control anything when i'm drunk | Jeu 8 Jan - 23:16 Citer EditerSupprimer
Les gens me prennent pour une fille sage, une fille un peu coincée, une fille qui se contente du minimum. J’ai longtemps été ce genre de fille qui préfère les culottes en coton aux culottes en dentelle. Je suis le genre de fille qui ne se maquille pas tous les jours et qui a longtemps eu en horreur les talons. Le genre de fille qui n’a mit sa première jupe qu’à sa deuxième année de fac. Je suis le genre de fille qui s’est féminisé au fur et à mesure, en apprenant par cœur, comme si chez moi, cette dose de féminité n’était pas innée. J’ai longtemps caché mon corps. J’ai longtemps caché la femme que j’étais car c’était dur pour ma famille, exclusivement masculine, de me voir grandir, de voir que j’avais une poitrine, de jolie forme. Un petit cul. Alors je n’assumais pas, je n’assumais pas tout, sauf avec Hee Jae, j’aimais être la jolie fille sexy qui lui faisait des surprises, qui se ramenait en robe moulante, un peu maladroite, perchée sur ses talons pour lui plaire. Il a toujours eu ce regard brillant et un peu lubrique sur moi. J’aimais lui plaire. Alors ouais, je pense que les gens ont une image faussé de moi. Une image trop calme, trop sage, trop posé. Et j’aimais cette surprise que je pouvais voir dans leurs yeux quand ils se rendaient compte de leur erreur. Je suis beaucoup plus qu’une fille amoureuse du cambouis et accroc à la musique. Plus qu’une fille sur une moto qui préfère les soirées jeux vidéo à des soirées boîtes de nuits. Alors est-ce que Jun Wei est surpris ? Lui, est-ce qu’il me voyait comme une femme tranquille, cultivée avec des centres d’intérêt ? Une jeune femme en qui il pouvait avoir confiance pour s’occuper de son petit frère ? Et maintenant je me montre … sensuelle, cruelle, allumeuse … Me voit il comme une garce ? Me voit-il comme une fille facile ? A-t-il conscience que si ça n’avait pas été lui, ça n’aurait été personne d’autre ? Il veut me sauter dans un débarras, rapidement, sans perdre son temps, c’est une chose, une chose que je finis par accepter avec l’alcool. Parce qu’au fond de moi je n’ai pas envie d’être ici, je n’ai pas envie de rester dans ce foutu placard plus grand que ma chambre. Je n’ai pas envie de prendre appuie contre ce mur qui sent le chlore entre un bac de frite de plongés et des palmes. Je frissonne quand je le sens se perdre sur ma poitrine. Est-ce que je devrais me demander s’il me trouve jolie ou pas ? Si mon corps lui plait ? Mais je crois que je serais déçu de sa réponse, parce que Jun Wei veut du sexe, il ne veut pas de sexe avec moi. Moi ou une autre, quelle différence ça fait ? Je serais même le pire choix possible qu’il ait pu faire, tout comme le mien. Et on le sait, pas vrai ? On le sait qu’on fait une connerie à cet instant, on le sait qu’on devrait arrêter mais pourquoi hein ? On en meurt d’envie. Je soupire de plaisir en passant une main dans ses cheveux, l’incitant à y aller plus fort … Et cruellement il m’éloigne de lui, titille mon intimité avec un plaisir malsain. Son érection frotte contre mes fesses et je perds tout bon sens. L’ambiance est si chaude entre nous. Mon corps brûle entre ses bras et j’ai envie de faire monter la température entre nous. Si seulement l’alcool n’altérait pas mon jugement, j’aurais au moins pu penser à une protection … Mais une protection pour quoi ? Pour gâcher mon plaisir, les sensations ?! Avec un mélange de colère et d’impatience je le repousse contre l’étagère de cet espace clos. Des bidons tombent au sol, des balles, des chaînes. Un boucan que je ne perçois même pas. Mes lèvres se perdent sur les siennes pour la première fois avec une réelle franchise et je goûte à sa langue comme un pêché défendu. C’est grisant de frôler, de toucher, de se perdre dans l’interdit. Ma langue se lie à la sienne et si j’avais envie de lui quelques secondes auparavant, désormais j’ai surtout envie de le bouffer. Tout entier. Et ce plaisir que l’on fait durer devient presque douloureux. Mon entrejambe palpite et je meurs d’impatience. J’espère que tu auras aussi mal que tu m’en a fait … Pensais-je rien qu’une seconde en regardant Jun Wei, le souffle court, les lèvres rougies et tout le corps tendu d’impatience. Les prochaines minutes seront pleines de plaisir et de tension apaisée. Est-il prêt à jouer le jeu ? Je me saisie de son excitation pour la masser en retournant l’embrasser. Je suis beaucoup plus petit que lui et son mètre 80 mais je suis aussi beaucoup légère. Je le redresse et accroche mes cuisses sur ses hanches. Nos visages sont à la même hauteur, si proche, si désireux … D’une main maladroite je l’aide à entrer doucement en moi. je retiens un gémissement de surprise. Je dois avouer que pour un asiat … il n’a rien à envier à personne. Je ferme les yeux en collant mon front au sien et crispe mon visage dans une expression de plaisir et de soulagement. Mes bras enroulée autour de son cou, je m’accroche à lui pour commencer mes va et vient en ondulant de haut en bas, m’arrachant un cri que j’étouffe contre ses lèvres.
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