Page 2 sur 2 • 1, 2
the new kid in town with park kwang ho.
Invité
Invité
Re: the new kid in town with park kwang ho. | Ven 16 Jan - 16:18 Citer EditerSupprimer
park kwang ho & bang nuri
" the new kid in town "
" the new kid in town "
j'avais l'habitude. les gens ne me croyaient jamais quand je leur parlais pour la première fois de mon don. dans les réactions les plus méchantes, j'avais eu droit à des rires hystériques suivit de « mais t'es complètement tombée sur la tête. ta mère t'a échappé quand t'étais petite? » et à des gens qui faisaient semblant de me croire simplement pour se foutre de ma gueule dans mon dos, ou encore pire, m'humilier en public. au début, ça avait été dur d'être moi-même, ouvertement, sans me cacher. mais j'avais rencontrer des gens pour qui ça ne changeait rien et c'était grâce à eux que la réaction des autres ne me blessait plus. lorsqu'il me regarda avec ahurissement, je ne fis que lui sourire. ça ne me surprenait pas qu'il ne comprenne pas. il n'avait pas l'air du mec à comprendre les choses trop abstraite. « dressé? comme un chien? » oui, c'est tout ce que j'avais retenu de son discours sur sa famille. mais je le comprenais un peu. toute ma vie mes parents avaient tenter de me rendre "normale", de m'enlever ces idées de la tête, mais au final, ça m'avait rendue malheureuse... je me demandais s'il avait le même genre de relation avec ses parents. je passe devant, et entre dans le salon du dortoir. je tourne rapidement sur moi-même pour regarder les lieux. et alors que j'observe le peu de gens présents, je réponds à ses questions. « il ne me disait rien du tout. je lui ai demandé le chemin pour les dortoirs et il s'est contenter de faire preuve de mutisme. » ayant fini de visiter les lieux du regard, je me retourne vers lui, réfléchissant un peu à sa deuxième question avant de lui répondre. « rien ne me rassure là dedans, je ne fais pas ça pour me rassurer de quoi que ce soit. ils sont simplement là, quand j'ai besoin d'aide, je leur demande s'il n'y a personne d'autres. s'ils ont besoin de parler, je les écoute. si j'ai besoin de parler, ils m'écoutent. ce ne sont que d'autres êtres humains pour moi. » c'est difficile à expliquer. ils ont toujours été là. quand j'étais jeune, j'avais du mal à faire la différence entre les êtres vivants et les fantômes... les gens avaient laisser faire, croyant que c'était seulement mon esprit d'enfant, jusqu'à ce que je sois un peu plus vieille...
Invité
Invité
Re: the new kid in town with park kwang ho. | Ven 23 Jan - 0:41 Citer EditerSupprimer
Wassup Schyzo ? Le HP, c'est pas dans c'bled
Son intervention me cloua le bec, un court instant. Comme un chien. Que pourrais-je bien rétorquer de malsain et cruel, mise à part me taire et baisser la tête sous l’évidence même de la vérité. Difficile d’admettre que ça ne m’laisse pas de marbre alors, pour reprendre contenance, je ne fais que tirer une taffe « Ouai, comme un chien. Pourquoi tu dis ça ? Tu veux me foutre une laisse autour du coup ? Haya t’es une cochonne ! » M’enfin, il est clair comme de l’eau de roche que je ne resterais pas celui qui se doit d’être gêné, bien longtemps
Cependant, malgré mon manque cruel de gêne et de manière, c’est avec une attention presqu’écolière que j’écoute son mal, buvant ses paroles, sans pour autant comprendre le fond de la chose « Mnh. J’ai quand même du mal à te croire ». Grand bien lui fasse de croire à toutes ses conneries, tant qu’elle ne vient pas m’faire de sales blagues pour se venger de notre rencontre quelques minutes plutôt et du fait, que j’ai bien failli l’étrangler « Donc, admettons que tu dises vrai et que tu ais vraiment vu……quelque chose… » Ne pouvant décidément pas appeler ça : fantôme, c’est à voix basse pour que l’on ne nous entende plus que je continu « T’es en train de m’dire que l’école est…Hantée ? » Secouant la tête afin de chasser l’idée, en vain, je ne peux cependant pas, m’en détacher « Pourquoi tu me raconte ça ? J’te préviens de-suite, si j’entends des bruits bizarres ou que j’flippe ce soir, je viens toquer à ta porte histoire de t’faire chier. Tu l’auras bien mérité. Tch »
Posant son sac sans souplesse près de la table du salon, j’écrase ma clope dans un des cendriers avant de farfouiller à l’intérieur de ses bagages « Je n’aime vraiment pas les menteurs mais passons. Abordons un tout autre sujet. T’as mis quoi dans tons sac ? Tu mets quoi comme types de sous-vêtements ? »
Cependant, malgré mon manque cruel de gêne et de manière, c’est avec une attention presqu’écolière que j’écoute son mal, buvant ses paroles, sans pour autant comprendre le fond de la chose « Mnh. J’ai quand même du mal à te croire ». Grand bien lui fasse de croire à toutes ses conneries, tant qu’elle ne vient pas m’faire de sales blagues pour se venger de notre rencontre quelques minutes plutôt et du fait, que j’ai bien failli l’étrangler « Donc, admettons que tu dises vrai et que tu ais vraiment vu……quelque chose… » Ne pouvant décidément pas appeler ça : fantôme, c’est à voix basse pour que l’on ne nous entende plus que je continu « T’es en train de m’dire que l’école est…Hantée ? » Secouant la tête afin de chasser l’idée, en vain, je ne peux cependant pas, m’en détacher « Pourquoi tu me raconte ça ? J’te préviens de-suite, si j’entends des bruits bizarres ou que j’flippe ce soir, je viens toquer à ta porte histoire de t’faire chier. Tu l’auras bien mérité. Tch »
Posant son sac sans souplesse près de la table du salon, j’écrase ma clope dans un des cendriers avant de farfouiller à l’intérieur de ses bagages « Je n’aime vraiment pas les menteurs mais passons. Abordons un tout autre sujet. T’as mis quoi dans tons sac ? Tu mets quoi comme types de sous-vêtements ? »
codage par Junnie sur apple-spring
Invité
Invité
Re: the new kid in town with park kwang ho. | Sam 7 Fév - 2:48 Citer EditerSupprimer
park kwang ho & bang nuri
" the new kid in town "
" the new kid in town "
je n'avais pas dit ça dans le but de lui faire de la peine ou quoi que ce soit. c'était seulement la première chose qui m'était venue à la tête. ça m'avait intriguée qu'il décide à employer ce verbe en particulier alors qu'il y en avait tellement d'autres. sa rétorque me fit sourire. sans me gêner, je me rapprochai de lui et en sautant, je lui passai la main dans les cheveux. « aigo. good boy!! » fis-je avec un sourire taquin. s'il avait été plus petit, l'effet aurait été encore mieux. mais je faisais ce que je pouvais avec ce que j'avais! « et... est-ce que c'est une proposition? tu me laisserait te foutre une laisse autour du cou? parce que j'ai toujours rêver d'avoir un chien. t'es juste beaucoup plus grand que le chien que je m'étais imaginée avoir! » le but ici était que j'aie vraiment l'air honnête et intéressée par la chose. depuis tout à l'heure qu'il semblait surpris par ma répartie et j'avais bien l'intention de continuer à le faire tourner en bourrique.
nous voila de retour sur cette histoire de fantôme. sa question me fais rire à haute voix. c'était bizarre d'entendre ce que je voyais être qualifié de hanté. pour moi, qui avait toujours vu les fantômes, je n'avais jamais vraiment pensé au pourquoi ou au comment. ils étaient là, partout. mais à bien y penser, hanté était peut-être le bon mot. « quand on dit hanté, je pense immédiatement à quelque chose qui fait peur. mais j'imagine qu'on peut dire ça. mais tu sais, les fantômes n'essaient pas de vous faire du mal. certains s'amusent à vous faire peur, mais la plupart ne font qu'être. et puis, hanté, ça implique qu'ils sont toujours au même endroit. honnêtement, les fantômes se déplacent, ils peuvent aller où ils veulent. la plupart choisissent de rester à un endroit important pour eux par contre. » c'est peut-être la première fois que je mets des mots sur ce que je vois. on me pose rarement autant de questions sur le sujet. « HÉ OH! je te signale que c'est toi qui arrête pas de poser des questions! moi je fais que te répondre. »
le voila qui se met à fouiller dans mes trucs sans la moindre gêne. heureusement que mes sous-vêtements sont cachés dans le fond, dans une autre pochette plus difficile à accéder. mais bon, je n'ai rien à cacher. je n'ai pas de vibrateur ou autre sex toy de cacher dans mes trucs. je les ai laissé à la maison. je suis à Séoul, j'aurai bien assez de chances d'en acheter de nouveaux. « tu sais, j'ai mis que des trucs normaux. jupes, robes, pantalons, t-shirt, menotte, fouet... » oui, c'était voulu. là encore je m'amusais à ses dépend. d'ailleurs, j'avais une autre petite blague à faire et je me hisse sur la pointe des pieds pour lui murmurer à l'oreille. « je ne mets jamais de sous-vêtements. » et la cerise sur la sundae, je lui fais un sourire angélique alors que je me trouve oh combien drôle à l'intérieur.
nous voila de retour sur cette histoire de fantôme. sa question me fais rire à haute voix. c'était bizarre d'entendre ce que je voyais être qualifié de hanté. pour moi, qui avait toujours vu les fantômes, je n'avais jamais vraiment pensé au pourquoi ou au comment. ils étaient là, partout. mais à bien y penser, hanté était peut-être le bon mot. « quand on dit hanté, je pense immédiatement à quelque chose qui fait peur. mais j'imagine qu'on peut dire ça. mais tu sais, les fantômes n'essaient pas de vous faire du mal. certains s'amusent à vous faire peur, mais la plupart ne font qu'être. et puis, hanté, ça implique qu'ils sont toujours au même endroit. honnêtement, les fantômes se déplacent, ils peuvent aller où ils veulent. la plupart choisissent de rester à un endroit important pour eux par contre. » c'est peut-être la première fois que je mets des mots sur ce que je vois. on me pose rarement autant de questions sur le sujet. « HÉ OH! je te signale que c'est toi qui arrête pas de poser des questions! moi je fais que te répondre. »
le voila qui se met à fouiller dans mes trucs sans la moindre gêne. heureusement que mes sous-vêtements sont cachés dans le fond, dans une autre pochette plus difficile à accéder. mais bon, je n'ai rien à cacher. je n'ai pas de vibrateur ou autre sex toy de cacher dans mes trucs. je les ai laissé à la maison. je suis à Séoul, j'aurai bien assez de chances d'en acheter de nouveaux. « tu sais, j'ai mis que des trucs normaux. jupes, robes, pantalons, t-shirt, menotte, fouet... » oui, c'était voulu. là encore je m'amusais à ses dépend. d'ailleurs, j'avais une autre petite blague à faire et je me hisse sur la pointe des pieds pour lui murmurer à l'oreille. « je ne mets jamais de sous-vêtements. » et la cerise sur la sundae, je lui fais un sourire angélique alors que je me trouve oh combien drôle à l'intérieur.
Invité
Invité
Re: the new kid in town with park kwang ho. | Jeu 19 Mar - 1:25 Citer EditerSupprimer
Wassup Schyzo ? Le HP, c'est pas dans c'bled
J’arque un sourcil à son geste bien trop familier à mon humble goût, tout en grognant, écartant ma tête de son assaut infantile « Oie ! Fille de chèvre ! Me touche pas la crinière » Qu’est-ce que ! Tch. Désireux de touchés humains, il est clair, et ce depuis de nombreuses années que ce genre de manières, envers ma royale personne, ne pouvaient être tolérées. Replaçant une mèche qui ne cessé de chatouiller mon front, je laissais un ricanement passer la commissure de mes lèvres « Non de dius, t’es naïve au point de penser que j’te laisserais me trainer, une laisse posée au cou ? Tu connais les bonobos ? C’est une race de singes cochons et con, un peu comme toi ». Alors que mes paroles en restaient d’un ton bien trop nonchalant pour paraître mesquins et grossiers, je me délectais du plaisir de la faire enrager. Doucereuse et acidulée vengeance pour avoir cru bon de me tapoter le crâne.
Quelques minutes suffirent à revenir sur cette histoire, dû ou provoqué par son sombre et légère folie, alors que je tendais l’oreille à ses explications, semblant, pourtant, bien plus que censées. Cependant, ne trouvant que trop peu d’intérêt à tout ceci, c’est avec un ardent plaisir que je vins fouiller dans son sac afin d’y dénicher quelques rareté de son intimité et voir, de ce fait, s’il s’agissait d’une jeune femme un tantinet normal, comme j’aime à les nommer. « Menottes ? Fouet ?.... Jamais de sous-vêtement ?» Mnh. Mon bonobo serrait-t-il tenté par le fait de m’offrir une perspective d’entente sur le point charnelle ? Et, tout comme elle l’avait fait précédemment, c’est à mon tour de me montrer à elle, quelque peu, moqueur. « Good Bonobo » un sourire sardonique ne quittant pas mes lèvres, passant l’une de mes mains sur sa tête pour la décoiffer et par là, foutre en l’air son brushing « Serait-ce une forme de proposition ? Tu me laisserais te foutre un coup d’fouet ? Genre, à la cinquante nuances de Grey ? J’espère que t’as les tripes bien accrochées parce que j’suis bien loin d’être aussi doux que Christian lorsqu’il s’agit de frapper »
Une fois de plus, succédant à ses paroles, je m’allume une énième clope. Tirant une taffe comme d’accoutumée, je coincé la Winston entre mes molaires d’une blancheur nacré alors que je fouillais à présent, plus en profondeur sa valise, piqué au vif par ma curiosité et éparpillant sur la table, sans gêne, celle-là même qu’elle pourrait ressentir, ses nombreuses affaires.
Quelques minutes suffirent à revenir sur cette histoire, dû ou provoqué par son sombre et légère folie, alors que je tendais l’oreille à ses explications, semblant, pourtant, bien plus que censées. Cependant, ne trouvant que trop peu d’intérêt à tout ceci, c’est avec un ardent plaisir que je vins fouiller dans son sac afin d’y dénicher quelques rareté de son intimité et voir, de ce fait, s’il s’agissait d’une jeune femme un tantinet normal, comme j’aime à les nommer. « Menottes ? Fouet ?.... Jamais de sous-vêtement ?» Mnh. Mon bonobo serrait-t-il tenté par le fait de m’offrir une perspective d’entente sur le point charnelle ? Et, tout comme elle l’avait fait précédemment, c’est à mon tour de me montrer à elle, quelque peu, moqueur. « Good Bonobo » un sourire sardonique ne quittant pas mes lèvres, passant l’une de mes mains sur sa tête pour la décoiffer et par là, foutre en l’air son brushing « Serait-ce une forme de proposition ? Tu me laisserais te foutre un coup d’fouet ? Genre, à la cinquante nuances de Grey ? J’espère que t’as les tripes bien accrochées parce que j’suis bien loin d’être aussi doux que Christian lorsqu’il s’agit de frapper »
Une fois de plus, succédant à ses paroles, je m’allume une énième clope. Tirant une taffe comme d’accoutumée, je coincé la Winston entre mes molaires d’une blancheur nacré alors que je fouillais à présent, plus en profondeur sa valise, piqué au vif par ma curiosité et éparpillant sur la table, sans gêne, celle-là même qu’elle pourrait ressentir, ses nombreuses affaires.
codage par Junnie sur apple-spring
Contenu sponsorisé
Page 2 sur 2 • 1, 2