Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥]
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Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Sam 10 Jan - 1:46 Citer EditerSupprimer
Parce que je n'avais pas prévu d'être ta proie.
La pluie, fortes et brutales gouttelettes glaciales tombant du ciel, atterrissant vivement sur le sol de béton dur. Elle devient plus forte et puissante à mesure que les minutes s‘écoulent, néanmoins, son tintement reste doux à mon tympan. Elle est souvent le signe de longues heures cloîtrées chez soi, car il est vrai que ce faire mouiller par plaisir n’est pas un passe-temps de la population. Excepté les cons ainsi que les petits esprits, mais ça, on s’en branle la citronnelle. Population normale cela va de soi. Les quelques personnes bravent leurs désirent de se retrouver au chaud, marchent d’un pas rapide, capuches mises, parapluies ouverts, serrant leurs manteaux pour se protéger du froid. Et moi dans tout ça ? Tch. Quelle idée saugrenue que de sortir de ce Love Hotel, prétextant chercher des croissants pour ma douce moitié de gymnastique lubrique alors qu’il ne s’agissait là que d’une échappatoire afin de filer à l’Anglaise. Et par ce temps, cette pluie qui menacée de briser mes os, il fallait que je m’aère l’esprit. Par sa faute. Sa faute à elle. Rey Luz, la femme de mes pensées, les torturants, les obnubilant sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour obtenir l’effet que je désirais : La tête froide et les idées claire, non pas, la tête en bas et les jambes en l’air. Confusément, je suis déboussolé face à elle, ne pouvant prétexter qu’il ne s’est rien passé entre nous, pourtant, jamais je ne pourrais admettre qu’elle était plus homme que moi dans cette relation qui nous unissait. Et dans mon tourment, je me sens stupide. Désespérément, ardemment, stupide. Idiot de vouloir me perdre en elle. Idiot de vouloir n’être rien d’autre que la femelle qu’elle voit en moi. De vouloir n’appartenir qu’à elle. D’être, tout simplement et purement, siens.
Feignant l’intérêt, je pose le regard sur les passants, un masque de lassitude sur le visage tirant mes traits, déjà bien tendus par la fatigue des derniers jours. Un soupire m’échappe tandis que mes doigts s’entortillent autour de mon paquet d’clope, boudeur à la simple idée que je ne puisse m’en pas m’en griller une. Saloperie de pluie. Les mains dans les poches de mon manteau, c’est presque curieusement que je me stoppe devant une boutique : Soleil sucré. Mnh. Lingerie féminine. Dans un sourire et un geste précis, je tire mon Iphone de ma poche, hésitant quelques secondes avant d’envoyer un message à cette jeune femme qui sait faire battre mon cœur qu’elle dit si féminin.
Un mensonge à demi-teinte, mais elle n’est pas dans l’obligation de l’apprendre. Luz est une vraie tigresse, et pour sûr qu’elle punirait l’arrogance que j’ai eu en lui mentant délibérément, mais une partie de moi, la plus noirâtre et fière, implore mon côté le plus abjecte et sournois afin qu’il lui fasse comprendre que je lui ne dois rien, contraire de ce qu’elle pourrait penser.
Quelques pas avant que mon téléphone ne se mette à vibrer, et qu’une voix de l’autre côté du combiné, faible et implorante, ne se mette à quémander mon aide. Enfin, de l’action et un lieu de rendez-vous. Alors que je bifurque dans une ruelle étroite, un sourire vint fleurir à mes lèvres tandis que je déplace mes pas parmi les ruelles désertes, sachant qu’un de mes plus gros clients m’attendaient. Ce pauvre toxico doit être en manque, et c’est avec un cri de joie qu’il m’indique sa présence entre deux containers puants.
« Park-sama ! Park-sama ! » Comment une telle appellation si normale peut en être si, orgasmique ? « Comme je suis content de vous voire, vous pouvez pas savoir. J’avais peur que vous ne puissiez pas venir. »
« Alors, je suppose que tu es près à y mettre un bon prix, n’est-ce-pas mon mignon ? »
Il hoche vivement la tête comme pour me faire comprendre qu’il sortirait l’oseille sans broncher.
Sans que je ne le remarque vraiment, l’assaut de la pluie c’est adoucie, ne laissant dans l’air que de fines gouttelettes glissants sur ma peau, mourant dans ma nuque. Et dans l’espoir que je n’chope pas un putain de rhume, un son me tire de ma transaction. Des bruits de talons claquants contre le sol de béton dur avec une élégance presque féline, inébranlable. Une odeur, un parfum que je ne peux décemment pas oublier. M’écartant de ma proie, j’en deviens une à mon tour, me délectant de ce sentiment de guerre qui éclatera en milles étincelles de sang « Oh, oh, oh ! Ce ne serait pas ma prédatrice préférée ? » Oubliant le Junki qui fila dans la s’conde, c’est à présent face à elle que je me tiens le plus dignement possible « Savais-tu que c’est très impoli de déranger deux hommes en train de faire affaire ? Et, tu m’as fait perdre de l’argent, contente ?! » Cependant, et bien plus important, une question me taraude l’esprit « Etant donné que tu es loin d’être un ange gardien, tu n’as pas pu apparaître dans un POUF. Comment as-tu su que j’étais ici ? »
Feignant l’intérêt, je pose le regard sur les passants, un masque de lassitude sur le visage tirant mes traits, déjà bien tendus par la fatigue des derniers jours. Un soupire m’échappe tandis que mes doigts s’entortillent autour de mon paquet d’clope, boudeur à la simple idée que je ne puisse m’en pas m’en griller une. Saloperie de pluie. Les mains dans les poches de mon manteau, c’est presque curieusement que je me stoppe devant une boutique : Soleil sucré. Mnh. Lingerie féminine. Dans un sourire et un geste précis, je tire mon Iphone de ma poche, hésitant quelques secondes avant d’envoyer un message à cette jeune femme qui sait faire battre mon cœur qu’elle dit si féminin.
« Hey ! J’ai fait les boutiques cette aprèm et j’ai vu, tout à l’heure, un magasin qui pourrait t’plaire. Je suis chez moi, j’vais bosser mais si tu veux, on peut s’voir ce soir.»
Un mensonge à demi-teinte, mais elle n’est pas dans l’obligation de l’apprendre. Luz est une vraie tigresse, et pour sûr qu’elle punirait l’arrogance que j’ai eu en lui mentant délibérément, mais une partie de moi, la plus noirâtre et fière, implore mon côté le plus abjecte et sournois afin qu’il lui fasse comprendre que je lui ne dois rien, contraire de ce qu’elle pourrait penser.
Quelques pas avant que mon téléphone ne se mette à vibrer, et qu’une voix de l’autre côté du combiné, faible et implorante, ne se mette à quémander mon aide. Enfin, de l’action et un lieu de rendez-vous. Alors que je bifurque dans une ruelle étroite, un sourire vint fleurir à mes lèvres tandis que je déplace mes pas parmi les ruelles désertes, sachant qu’un de mes plus gros clients m’attendaient. Ce pauvre toxico doit être en manque, et c’est avec un cri de joie qu’il m’indique sa présence entre deux containers puants.
« Park-sama ! Park-sama ! » Comment une telle appellation si normale peut en être si, orgasmique ? « Comme je suis content de vous voire, vous pouvez pas savoir. J’avais peur que vous ne puissiez pas venir. »
« Alors, je suppose que tu es près à y mettre un bon prix, n’est-ce-pas mon mignon ? »
Il hoche vivement la tête comme pour me faire comprendre qu’il sortirait l’oseille sans broncher.
Sans que je ne le remarque vraiment, l’assaut de la pluie c’est adoucie, ne laissant dans l’air que de fines gouttelettes glissants sur ma peau, mourant dans ma nuque. Et dans l’espoir que je n’chope pas un putain de rhume, un son me tire de ma transaction. Des bruits de talons claquants contre le sol de béton dur avec une élégance presque féline, inébranlable. Une odeur, un parfum que je ne peux décemment pas oublier. M’écartant de ma proie, j’en deviens une à mon tour, me délectant de ce sentiment de guerre qui éclatera en milles étincelles de sang « Oh, oh, oh ! Ce ne serait pas ma prédatrice préférée ? » Oubliant le Junki qui fila dans la s’conde, c’est à présent face à elle que je me tiens le plus dignement possible « Savais-tu que c’est très impoli de déranger deux hommes en train de faire affaire ? Et, tu m’as fait perdre de l’argent, contente ?! » Cependant, et bien plus important, une question me taraude l’esprit « Etant donné que tu es loin d’être un ange gardien, tu n’as pas pu apparaître dans un POUF. Comment as-tu su que j’étais ici ? »
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Re: Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Sam 10 Jan - 16:53 Citer EditerSupprimer
Il est l’heure, l’heure de s’amuser, de s’éclater. La pluie dehors ? C’pas un obstacle, c’pas un ennemi, c’l’ami, la seule, celle qui t’fais comprendre que t’es bien envie, qui t’laisse chialer dans la discrétion, celle qui t’rend vraiment malade. Réveillée dans une euphorie grisante, Luz est prête ! A quoi ? On sait pas, à tout ! Elle veut braver les obstacles, veut mitrailler la vie, emmerder son monde, se sentir vibrer, rire et pas penser à des choses sombres, briller comme son prénom et fondre trop prêt du soleil. Elle prend pas de drogue, c’juste qu’elle est bien réveillée. Ranger la chambre, faire chier les membres du dortoir, gribouiller quelques trucs dans son cahier, s’intéresser d’un peu plus près à ses cours, apprendre quelques vocabulaires de coréen, changer de tenue une fois toutes les demies heures, manger comme un porc, faire du sport, s’amuser à kicker quelqu’un au passage, récurer le sol puis s’enthousiasmer au sms de son ami, le meilleur, sa femme : Kwang Ho. Parfois, elle avait honte de trainer à ses côtés, parce qu’elle se sentait pas trop féminine. Et même si elle le trouve plus féminin qu’elle, y a pas photo quant à la maîtrise qu’il a sur elle, même s’il ne s’en rend pas compte. Il peut presque faire tout ce qu’il veut d’elle, c’est juste qu’elle aime le tourmenter jusqu’à le voir limite pitoyable pour obtenir ce qu’il souhaite. Monsieur je dors avec un doudou. Mais lui, c’le doudou à Luz. Elle peut pas s’en passer et elle est bien heureuse de l’avoir retrouver en Corée du Sud, elle est pas certaine qu’elle aurait survécu sans son aide. Il demande de rappliquer le soir. Pourquoi l’soir quand on peut maintenant ? C’tant pis pour lui, elle va se bouger l’cul maintenant, elle va le castrer mentalement encore et encore.
Bottines à talon, minishort militaire, pull en laine à larges trous gris, parka vert kaki, grosse écharpe en laine, la voilà parée à traverser la pluie. Qu’elle soit trempée n’est pas sa préoccupation. Limite elle en deviendra d’autant plus sexy. Seulement, c’est sans compter sur son tempérament de sang chaud et ses cheveux qui trainent sur sa gueule l’agacent. Elle les attache. Voilà qu’elle nous fait un remake de Lara Croft, il manque plus que l’histoire qui va avec, et autant dire que ça ne dérangerait pas du tout l’espagnole de vivre ce genre d’aventures. Elle veut savoir quel magasin pourrait lui plaire et si bien évidement, il lui a offert quelque chose ? Est-ce mal de se demander ce genre de chose ?
C’est qu’avec cette pluie elle n’y voit pas grand-chose. Elle avance dans le flou, elle sait pas vers où elle avance mais tant pis, on fait avec. Elle tourne ici, continue par-là, s’éloigne de cet endroit, recule vers celui-ci. A cette allure, elle sera vraiment chez Kwangette ce soir. Elle commence à s’impatienter, à frissonner, à tousser, à râler, à soupirer. Mais fort heureusement, cinq minutes plus tard, elle entend quelqu’un crier le nom de Kwang Ho. Signe du destin ? Est-ce réellement lui ? Si c’est le cas, c’qu’elle a le cul bordé d’nouilles. Elle avance comme elle peut, la pluie brouille le dialogue. Mais comme un autre signe, celle-ci s’atténue et Luz parvient à apercevoir deux silhouettes, dont l’une, imposante, forte et élancée, étant avec sûreté, celle de son ami. Un sourire narquois aux lèvres, elle rend ses pas plus lourds. Regard carnassier, elle se donne des allures de félines. Elle va dévorer son Kwang Ho et avec délice. Elle s’approche de lui lentement, tel une femme fatale prête à le faire succomber, se moquant complètement de la disparition subite du client. Elle empoigne la veste du jeune homme et le plaque au mur, toujours ce sourire fier aux lèvres. « Elle a faim ta joli prédatrice… » Elle lui offre un baiser délicat sur la joue et vient lui susurrer à l’oreille d’un ton suave : « J’irai le récupérer ton fric si t’y tiens tant. Mais pour l’moment tu t’occupes de moi ! » Puis soudainement plus espiègle, elle lui offre une belle frappe sur l’épaule virile, comme un bon pote bourrin. Elle montre son nez, répondant d’un air moquer à sa dernière question : « L’odorat. T’pues tellement t’sais ! » Comme si elle allait admettre qu’elle l’a trouvé par hasard et qu’elle allait se laisser mourir de faim contre un mur autrement. Tss, n’importe quoi. « Bon, on va s’sécher femme ?» Elle se met à rire d’un air guilleret et le tire par la main avant de s’arrêter, étant décidément perdue. Elle se racle la gorge, n’osant toujours pas avouer qu’elle ne sait pas où ils se trouvent tous deux. « C’est à l’homme de guider normalement ! »
- HS:
- Comme tu m'as fait écrire purée :bang:
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Re: Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Ven 23 Jan - 0:08 Citer EditerSupprimer
Comme une réponse à mes prières, comme un ange prêt à m’aider pour rester tel que je dois être, elle s’est montrée. Féline, exécrable, fière, charmeuse et diablement sexy. Toi et moi, on se ressemble tant, mon cœur, c’est sans doute pour cela que je ne peux me détacher de toi. Tellement attachante et intelligente, contre ma volonté, tu réussis à faire de moi ce que tu désires, finalement comme à cet instant ou, tu me plaque contre ce mur, durement. Une poigne si fine que je laisse me contrôler, me dominer. Sais-tu à quel point j’aime ta dominance, mon homme ? Tu es une vipère. Une vipère cherchant à me garder auprès d’elle, m’enchaînant ou est ma véritable place. Dans l’enfer des plaisirs. Luxure et avidité sont nos mots maîtres, ma belle, seulement ma vision des choses commence à changer, lentement mais sûrement. Je veux obtenir la place qui me revient de droit. Celle-là même que tu t’obstine à me refuser : le rôle de l’homme dans notre duo. Pourtant, et pour autant que je le sache, tu seras toujours celle qui garderas mes couilles dans ton sac à main. Ça t’fais jouir ? Mnh.
A mesure que ma main effleurait son bras emmailloté dans sa Parka alors que je me délectais de sa proximité, ne pouvant réprimer un sourire, les joues tintées d’un léger rouge lorsqu’elle y dépose un tendre baiser « Faim, dis-tu ? » Une claque sur ses fesses, un sourire narquois sur mes lèvres alors que j’entreprends de la coller à mon corps « Faim de moi, j’espère, ma jolie prédatrice. Huhuhu » Mon souffle près de ses lèvres. Si intime avec elle dans le froid des restes d’une pluie glacée avant qu’elle ne préfère briser cet instant, frappant mon épaule de ces petites mains. Bien qu’il s’agisse d’un geste futile qui me surprit plus qu’il ne me fit de mal, elle n’y est pas allez de mains mortes, chose que je ne lui avouerais sous aucuns prétextes. J’arque un sourcil, frottant mon épaule « Fais-gaffe, tu pourras te faire mal, pas futée comme t’es ! Ou, pire, te casser un ongle. Et, j’espère bien que tu le récupèreras mon fric. Sinon, comment je vais faire pour t’offrir ce beau porte-jarretelles que j’ai vu tout à l’heure ? Hein ma cochonne ? » La glace se brise, alors que la distance se brise. Et, avec ceci, mes couilles ainsi que le peu de virilité que je porte, qu’elle va m’arracher.
Oh oui, car il en est ainsi. Ce qui fait de moi un homme entre ses mains, de par sa moquerie, ses jeux douteux lors desquels, les règles lui appartiennent. Rabaissé au vulgaire rang de femelle, celui-là même que j’attribue à celles dont je suis le maître, je ne peux que renifler avec un dédain faussement marqué « Tch. Et, c’est toi qui dis ça ? Voyons, très chère, nous savons de toi à moi, que tu pus bien plus que moi » Un ricanement m’échappe alors que je tente, tant bien que mal, de parvenir à la vexer un tant soit peu « Puis, vu l’odeur de transpiration que tu dégage, t’as pas dû t’laver depuis un sacré bon d’temps » Œil pour œil, dents pour dents, baby, tu n’aurais certainement pas le dernier mot et, je saurais y veiller personnellement « Et, ne m’appelle pas : femme, dans la rue. On pourrait t’entendre. Tu tiens tant que ça, à m’ridiculiser ? »
Tch. Prétentieuse, et d’une audace sans pareille. Sans doute, se croit-elle essentielle à mes yeux, chose qu’elle est devenue, en fin de compte. Pourtant, j’espère qu’elle n’en a pas conscience. ô oui, l’espérais-je. Sans doute trop alors que je la laisse tirer mon bras sans émettre une opposition, un geste afin de la décourager, me montrer grossier. Certes virile mais pas dégourdie pour autant, lorsqu’elle s’arrête, la chance tourne « A l’homme de guider ? Il me semblait que c’était toi justement, l’homme. Ou alors » Pinçant ses fesses avant de continuer, d’un d’air presqu’ravie « Abdiquerais-tu enfin, sous mon pouvoir ? En vérité, c’est toi la femme, de nous deux, darling, tu ne peux plus le nier »
Approchant de quelques pas, je mordille son menton d’un coup subtil de canine « Il a faim, ton joli prédateur » Tout en la traînant par la main, c’est haut et fort que j’hausse le ton sous l’ivresse de ma victoire « Bon, on va s’sécher, femme ? C’est à l’homme de guider normalement. Et tu sais quoi ? Si t’es sage, je t’offrirais même de la nouvelle lingerie, et tu vas me fabriquer une couronne aussi, en carton. J’espère que tu es douée de tes dix doigts. Ou pas. Tu sais, j’ai toujours su que tu n’étais pas très utile alors soit belle et tais-toi, mon doudou » Un ton ironique, suivant une nouvelle pique. Prends garde à toi Kwang Ho, la belle va te démonter la gueule. Cependant, j’en ronronnais de plaisir dans l’espoir qu’elle fulmine.
Parce que je n'avais pas prévu d'être ta proie.
Comme une réponse à mes prières, comme un ange prêt à m’aider pour rester tel que je dois être, elle s’est montrée. Féline, exécrable, fière, charmeuse et diablement sexy. Toi et moi, on se ressemble tant, mon cœur, c’est sans doute pour cela que je ne peux me détacher de toi. Tellement attachante et intelligente, contre ma volonté, tu réussis à faire de moi ce que tu désires, finalement comme à cet instant ou, tu me plaque contre ce mur, durement. Une poigne si fine que je laisse me contrôler, me dominer. Sais-tu à quel point j’aime ta dominance, mon homme ? Tu es une vipère. Une vipère cherchant à me garder auprès d’elle, m’enchaînant ou est ma véritable place. Dans l’enfer des plaisirs. Luxure et avidité sont nos mots maîtres, ma belle, seulement ma vision des choses commence à changer, lentement mais sûrement. Je veux obtenir la place qui me revient de droit. Celle-là même que tu t’obstine à me refuser : le rôle de l’homme dans notre duo. Pourtant, et pour autant que je le sache, tu seras toujours celle qui garderas mes couilles dans ton sac à main. Ça t’fais jouir ? Mnh.
A mesure que ma main effleurait son bras emmailloté dans sa Parka alors que je me délectais de sa proximité, ne pouvant réprimer un sourire, les joues tintées d’un léger rouge lorsqu’elle y dépose un tendre baiser « Faim, dis-tu ? » Une claque sur ses fesses, un sourire narquois sur mes lèvres alors que j’entreprends de la coller à mon corps « Faim de moi, j’espère, ma jolie prédatrice. Huhuhu » Mon souffle près de ses lèvres. Si intime avec elle dans le froid des restes d’une pluie glacée avant qu’elle ne préfère briser cet instant, frappant mon épaule de ces petites mains. Bien qu’il s’agisse d’un geste futile qui me surprit plus qu’il ne me fit de mal, elle n’y est pas allez de mains mortes, chose que je ne lui avouerais sous aucuns prétextes. J’arque un sourcil, frottant mon épaule « Fais-gaffe, tu pourras te faire mal, pas futée comme t’es ! Ou, pire, te casser un ongle. Et, j’espère bien que tu le récupèreras mon fric. Sinon, comment je vais faire pour t’offrir ce beau porte-jarretelles que j’ai vu tout à l’heure ? Hein ma cochonne ? » La glace se brise, alors que la distance se brise. Et, avec ceci, mes couilles ainsi que le peu de virilité que je porte, qu’elle va m’arracher.
Oh oui, car il en est ainsi. Ce qui fait de moi un homme entre ses mains, de par sa moquerie, ses jeux douteux lors desquels, les règles lui appartiennent. Rabaissé au vulgaire rang de femelle, celui-là même que j’attribue à celles dont je suis le maître, je ne peux que renifler avec un dédain faussement marqué « Tch. Et, c’est toi qui dis ça ? Voyons, très chère, nous savons de toi à moi, que tu pus bien plus que moi » Un ricanement m’échappe alors que je tente, tant bien que mal, de parvenir à la vexer un tant soit peu « Puis, vu l’odeur de transpiration que tu dégage, t’as pas dû t’laver depuis un sacré bon d’temps » Œil pour œil, dents pour dents, baby, tu n’aurais certainement pas le dernier mot et, je saurais y veiller personnellement « Et, ne m’appelle pas : femme, dans la rue. On pourrait t’entendre. Tu tiens tant que ça, à m’ridiculiser ? »
Tch. Prétentieuse, et d’une audace sans pareille. Sans doute, se croit-elle essentielle à mes yeux, chose qu’elle est devenue, en fin de compte. Pourtant, j’espère qu’elle n’en a pas conscience. ô oui, l’espérais-je. Sans doute trop alors que je la laisse tirer mon bras sans émettre une opposition, un geste afin de la décourager, me montrer grossier. Certes virile mais pas dégourdie pour autant, lorsqu’elle s’arrête, la chance tourne « A l’homme de guider ? Il me semblait que c’était toi justement, l’homme. Ou alors » Pinçant ses fesses avant de continuer, d’un d’air presqu’ravie « Abdiquerais-tu enfin, sous mon pouvoir ? En vérité, c’est toi la femme, de nous deux, darling, tu ne peux plus le nier »
Approchant de quelques pas, je mordille son menton d’un coup subtil de canine « Il a faim, ton joli prédateur » Tout en la traînant par la main, c’est haut et fort que j’hausse le ton sous l’ivresse de ma victoire « Bon, on va s’sécher, femme ? C’est à l’homme de guider normalement. Et tu sais quoi ? Si t’es sage, je t’offrirais même de la nouvelle lingerie, et tu vas me fabriquer une couronne aussi, en carton. J’espère que tu es douée de tes dix doigts. Ou pas. Tu sais, j’ai toujours su que tu n’étais pas très utile alors soit belle et tais-toi, mon doudou » Un ton ironique, suivant une nouvelle pique. Prends garde à toi Kwang Ho, la belle va te démonter la gueule. Cependant, j’en ronronnais de plaisir dans l’espoir qu’elle fulmine.
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Re: Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Sam 31 Jan - 17:12 Citer EditerSupprimer
Sa peau frissonne, physiquement dû au froid, psychologiquement dû au regard perçant de Kwang Ho. Luz est heureuse en ce moment même. La présence du jeune homme la rassure, malgré le fait qu’ils se taquinent à longueur de journée. C’en est devenu naturel pour les deux zigotos, et d’autant plus excitant, surtout quand le coréen arrive à prendre le dessus. C’est ainsi que Luz se sent fondre et qu’elle ressent ses pétillements dans son bas ventre et autour de son cœur, qu’elle a chaud et froid en même temps. Kwang Ho est magique. L’espagnole se sent bien quand elle voit la domination qu’elle exerce sur le brun. Mais elle se sent très bien aussi lorsque celui-ci se révolte. Kwang Ho devrait se rendre compte de la chance qu’il a : Luz accepte à peu de gens le loisir de se révolter contre elle. C’est un privilégié, c’est son privilégié. Elle sursaute alors qu’une main claque son fessier et émet un petit rire suite à ce geste. Désireuse, son regard ne se décroche pas du jeune homme, elle se mord la lèvre inférieure et répond d’un ton suave : « Je sais pas, tu mérites d’être mangé par moi ?~ » Puis vient la frappe à l’épaule. Elle hausse un sourcil étonné suite à la remarque de sa femme et regarde intensément ses ongles, courts, jolis mais courts. Elle se bat bien trop de fois pour se permettre de les laisser grandir, sinon elle se les casserait vraiment toutes les trois secondes. « Hey mon cochon, si j’ai peur de me casser les ongles c’est que je ne suis plus la Luz que tu connais ! Et j’ai dit t’inquiète pour ton fric mais je suis sûre que le porte jarretelles t’irait mieux qu’à moi ! »
La demoiselle fronce les sourcils. La répartie du jeune homme est bonne et elle ne sait pas quoi répondre, ça la déstabilise, elle ne veut pas perdre. Elle lève les bras d’un air résigné. « J’viens d’prendre une douche, ça s’voit pas ! Et c’pas l’propre des hommes de puer? trop d’féminité en toi ! ~ » Elle roule des yeux, se tapant mentalement avant de sourire face à la perche que sa femme lui tend. « Y a qu’la vérité qui blesse non ? T’es ma femme, c’est véridique ». Et de son côté, elle est l’homme et l’assume pas entièrement, mais ça faut pas le dire. Finalement on s’en va, elle tire sa femme virile par le bras avant de se rendre compte qu’elle ne connait pas le chemin et bien évidement, l’autre couillon s’en rend compte et en joue. C’est qu’il est fier, c’est qu’elle est frustrée et qu’elle compte bien le démonter même si elle apprécie quand il s’occupe de son fessier. Néanmoins, cette soudaine emprise qu’il a sur elle l’excite, et le défi de remonter dans la hiérarchie est d’autant plus excitant. Elle laisse son menton s’offrir aux dents du soudain prédateur. Un nouveau sourire carnassier aux lèvres, elle s’approche sensuellement du vieux pour le pousser une deuxième fois contre un mur. Ses mains parcourent le corps de l’homme et s’arrêtent sur son entre-jambes sur laquelle l’un de ses doigts dessine de fines arabesques invisibles avant de se stopper. « Tu sais, y a qu’ça qui fait de toi un homme, si j’la mange, t’es totalement une femme alors me cherche pas trop. » Puis elle prend la main de Kwang Ho qu’elle fait serrer son propre poignet, comme pour reprendre leur marche qu’il avait entamé en la trainant par le poignet. « Mais pour te faire plaisir, pour te faire croire que t’es vraiment un homme dominant, j’vais m’taire, ouvrir mes jambes pour toi et t’faire une couronne en carton. Et vu que j’deviens ton doudou, j’vais pouvoir jeter et brûler celui qui prend ma place dans ton lit tous les soirs ! » Elle lui offre un sourire moqueur et se montre prête à rentrer. « Bon on va se sécher, HOMME ? ~ »
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Re: Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Jeu 26 Fév - 18:08 Citer EditerSupprimer
A mesure que ma main l’effleurait, claquait son fessier, je ne pouvais réprimer un sourire face à la vue de sa peau légère, frissonner sous mes doigts aguerris, sachant de quelle façon lui procurer ce qu’elle méritait. Fier d’avoir un tel effet sur elle, j’en ronronnerais presque de satisfaction. Elle se soumet, peu à peu ; elle deviendra mienne, peu à peu. Et parce qu’elle tente de m’apprivoiser, je lui rends la tâche ardue, montrant les crocs lorsqu’elle ne s’y attend le moins, utilisant mon charme naturel pour contrer sa fascinante capacité à me contrôler. Jouons carte sur table ce soir ma belle, tu verras que depuis le commencement, je suis celui qui règne en maître en jeu. Et pourtant, je ne saurais dire ce qui m’excitais le plus en cet instant : sa dominance sur ma personne, ou la mienne. Son sourire sauvage ou cette envie irrésistible de la posséder comme un animal. Un sourire charmeur effleure mes lèvres alors que mon regard ne peut se détourner d’elle. Luz, ma belle Luz, si tu savais combien ta façon de te mordiller les lèvres ainsi, autant que de poser cet air carnassier sur moi, attisé mon désir, l’envie de t’avoir pour moi seul. L’ardent plaisir de me soumettre sous ta main « Bien sûr que j’le mérite, amor, je suis un ange. Un ange, ou un rosbif si tu préfères » Ma main vint effleurer son bras avec douceur avant de continuer dans un murmure suave, un sourire en coin « Vois-moi comme une sorte de steak saignant prêt à être bouffé entre des crocs. Et, si tu veux tout savoir, je ne refuserais pour rien au monde de me retrouver entre les tiens, ma belle lionne » Darling, je peux l’sentir. Humer ton désir. Sentir ton envie de faire de moi, qu’une bouchée sait rendre cet entretien, à mes yeux, bien plus croustillant que tu ne pourrais le penser.
Malgré l’atmosphère, je tique à l’insulte, fronçant les sourcils tout en laissant échapper un grognement intimidant, mes canines à vues, prêtes à claquer sur la chaire tendre de sa peau. « Je ne porte PAS de porte-jarretelles. Tu es peut-être plus homme que moi, entre nous, mais jamais je ne me lancerais dans le travestissement » Quelle répartie ô combien pathétique, et il serait pire dans mon presque malheur qu’elle ait la sombre idée de tenter de m’en faire porter. Ma main se porte à mon crâne pour y masser mes tempes, espérant, priant afin de faire dégager quelques images s’étant installées là « Oh non de dius….je viens de m’imaginer en train de porter des porte-jarretelles. Eurk. »
Ô oui, dans toute sa splendeur, la belle avait raison. Et dans toute ma royauté, je n’étais pas prêt à le lui accorder, pas par la parole, encore moins les gestes, d’autant plus qu’elle prenait un plaisir sadique à m’apparenter à ce sexe dont elle fait partie. J’arque un sourcil à sa question qui semble bien assez rhétorique « Non, ça s’vois pas. » Avant de poursuivre sur un ton moins narquois « Humpf. Vérité, vérité, certes m’enfin, que veux-tu que j’te dise, ma belle, j’suis une princesse. Et, perso, je préfère sentir la féminité que de ressembler à un chacal. Puis, c’est pas comme si j’me shampooiné avec de la fraise et d’la vanille, hein, alors sans commentaires » Sans m’y attendre, alors qu’elle s’offrait définitivement à mes crocs acérés, c’est d’un geste aussi assuré que brusque qu’elle me colle au mur alors qu’un gémissement aigu passe la barrière de mes lèvres lorsqu’elle vient caresser d’un doigté trop léger (à mon humble goût) mon entre-jambe « T’as pas les couilles pour vraiment le faire, puis… » J’attrape sa main pour l’appuyer plus fortement sur mes parties intimes, couinant de plaisir à ce touché non-désiré de sa part «…Je serais vraiment triste de perdre ce genre de sensation que tu me procures et avoue que ça ne te déplait pas, au contraire même, de me toucher de cette manière. Hum. Un vraie cochonne cette Luzinette. » C’est ainsi et après quelques minutes a une proximité très rapproché qu’elle s’écarte pour enfin, et rarement, faire de moi, son homme pour un court instant, jusqu’à l’entendre proférer des semblants de menaces « Brûler mon doudou ? Tu n’oserais pas le brûler, hein ? » Déglutissant avec difficulté, je l’emmène tout de même au sortir de cette ruelle, agrippant plus fortement sa main « Bon, on va dans un magasin, on pique des fringues et après on s’casse. Ok ? » A présent, un sourire aussi enjôleur que carnassier, je soulève son pull sans gênes, ni vergogne « Et, on va te trouver de nouveaux sous-vêtements. Il faut bien que mon doudou soit bien vêtu, qu’est-ce-que t’en pense ? »
Parce que je n'avais pas prévu d'être ta proie.
A mesure que ma main l’effleurait, claquait son fessier, je ne pouvais réprimer un sourire face à la vue de sa peau légère, frissonner sous mes doigts aguerris, sachant de quelle façon lui procurer ce qu’elle méritait. Fier d’avoir un tel effet sur elle, j’en ronronnerais presque de satisfaction. Elle se soumet, peu à peu ; elle deviendra mienne, peu à peu. Et parce qu’elle tente de m’apprivoiser, je lui rends la tâche ardue, montrant les crocs lorsqu’elle ne s’y attend le moins, utilisant mon charme naturel pour contrer sa fascinante capacité à me contrôler. Jouons carte sur table ce soir ma belle, tu verras que depuis le commencement, je suis celui qui règne en maître en jeu. Et pourtant, je ne saurais dire ce qui m’excitais le plus en cet instant : sa dominance sur ma personne, ou la mienne. Son sourire sauvage ou cette envie irrésistible de la posséder comme un animal. Un sourire charmeur effleure mes lèvres alors que mon regard ne peut se détourner d’elle. Luz, ma belle Luz, si tu savais combien ta façon de te mordiller les lèvres ainsi, autant que de poser cet air carnassier sur moi, attisé mon désir, l’envie de t’avoir pour moi seul. L’ardent plaisir de me soumettre sous ta main « Bien sûr que j’le mérite, amor, je suis un ange. Un ange, ou un rosbif si tu préfères » Ma main vint effleurer son bras avec douceur avant de continuer dans un murmure suave, un sourire en coin « Vois-moi comme une sorte de steak saignant prêt à être bouffé entre des crocs. Et, si tu veux tout savoir, je ne refuserais pour rien au monde de me retrouver entre les tiens, ma belle lionne » Darling, je peux l’sentir. Humer ton désir. Sentir ton envie de faire de moi, qu’une bouchée sait rendre cet entretien, à mes yeux, bien plus croustillant que tu ne pourrais le penser.
Malgré l’atmosphère, je tique à l’insulte, fronçant les sourcils tout en laissant échapper un grognement intimidant, mes canines à vues, prêtes à claquer sur la chaire tendre de sa peau. « Je ne porte PAS de porte-jarretelles. Tu es peut-être plus homme que moi, entre nous, mais jamais je ne me lancerais dans le travestissement » Quelle répartie ô combien pathétique, et il serait pire dans mon presque malheur qu’elle ait la sombre idée de tenter de m’en faire porter. Ma main se porte à mon crâne pour y masser mes tempes, espérant, priant afin de faire dégager quelques images s’étant installées là « Oh non de dius….je viens de m’imaginer en train de porter des porte-jarretelles. Eurk. »
Ô oui, dans toute sa splendeur, la belle avait raison. Et dans toute ma royauté, je n’étais pas prêt à le lui accorder, pas par la parole, encore moins les gestes, d’autant plus qu’elle prenait un plaisir sadique à m’apparenter à ce sexe dont elle fait partie. J’arque un sourcil à sa question qui semble bien assez rhétorique « Non, ça s’vois pas. » Avant de poursuivre sur un ton moins narquois « Humpf. Vérité, vérité, certes m’enfin, que veux-tu que j’te dise, ma belle, j’suis une princesse. Et, perso, je préfère sentir la féminité que de ressembler à un chacal. Puis, c’est pas comme si j’me shampooiné avec de la fraise et d’la vanille, hein, alors sans commentaires » Sans m’y attendre, alors qu’elle s’offrait définitivement à mes crocs acérés, c’est d’un geste aussi assuré que brusque qu’elle me colle au mur alors qu’un gémissement aigu passe la barrière de mes lèvres lorsqu’elle vient caresser d’un doigté trop léger (à mon humble goût) mon entre-jambe « T’as pas les couilles pour vraiment le faire, puis… » J’attrape sa main pour l’appuyer plus fortement sur mes parties intimes, couinant de plaisir à ce touché non-désiré de sa part «…Je serais vraiment triste de perdre ce genre de sensation que tu me procures et avoue que ça ne te déplait pas, au contraire même, de me toucher de cette manière. Hum. Un vraie cochonne cette Luzinette. » C’est ainsi et après quelques minutes a une proximité très rapproché qu’elle s’écarte pour enfin, et rarement, faire de moi, son homme pour un court instant, jusqu’à l’entendre proférer des semblants de menaces « Brûler mon doudou ? Tu n’oserais pas le brûler, hein ? » Déglutissant avec difficulté, je l’emmène tout de même au sortir de cette ruelle, agrippant plus fortement sa main « Bon, on va dans un magasin, on pique des fringues et après on s’casse. Ok ? » A présent, un sourire aussi enjôleur que carnassier, je soulève son pull sans gênes, ni vergogne « Et, on va te trouver de nouveaux sous-vêtements. Il faut bien que mon doudou soit bien vêtu, qu’est-ce-que t’en pense ? »
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Re: Le Lion et la Gazelle [feat. Luzinette ♥] | Jeu 7 Mai - 15:46 Citer EditerSupprimer
Observer Kwang Ho lui répondre est amusant aux yeux de Luz. Elle ne peut s'imaginer à quel point sa vie aurait pu être nulle sans lui, puisqu'elle n'arrive à pas à l'imaginer autrement qu'avec lui. Kwang Ho c'est sa femme, son chéri, son doudou à elle, qu'importe ce qu'il fait et avec qui il traine - même si elle aurait préféré le garder rien que pour lui. L'Espagnole aime quand le travail est difficile, plus tâche est ardue, plus la récompense est bonne et sa récompense à elle, c'est la soumission totale de cet homme qui la rend dingue dans tous les sens du terme. Elle n'est pas amoureuse de lui, il n'est pas amoureux d'elle mais cette amitié est bien plus qu'une amitié normale et Luz ne saurait s'en passer. Voilà désormais que Kwang Ho se compare lui-même à de la nourriture prête à être machée et ça n'est pas pour déplaire à la brune. « J'en suis toute flattée! Sois certain que je te mâcherai lentement et que je savourerai ton goût avec tendresse et plaisir.»
Elle ne peut s'empêcher de rire suite à l'indignation qu'exprime son ami. Pourquoi ne devrait-il pas mettre de portes-jarettelles? C'est décidé, Luz lui en fera porter un jour. La vision de le voir si ridicule et amusant n'est pas du tout déplaisante et l'Espagnole se tarde de pouvoir contempler cela un jour. Surtout quand Kwang Ho s'imagine lui même en porter, ça ne fait qu'attiser sa curiosité. « Je t'en offrirai une fois, c'est décidé! Et on ne refuse pas un cadeau mon cher ami!» La suite de leur conversation est toujours aussi amusante. Les réactions de Kwang Ho sont un cadeau aux yeux de la brune qui ne peut que se réjouir du fait qu'il soit vexé. Elle se sent gagner et elle adore ça. « Monsieur est vexé et braille comme une fille? Mais qu'il est mignon tout chou!» Ajoute-t-elle en lui tirant les joues afin de se moquer de lui. En effet, il ne sentait ni la fraise ni la vanille et fort heureusement, et ce même d'après Luz, il sentait malgré tout cela très bon.
Luz passe à l'action. Elle se doit de démontrer qu'elle ait la lionne qui chassera cette gazelle qu'est son Kwang Ho, et pour cela, elle n'aura pas besoin de ses consoeurs et ne le partagera certainement pas avec un lion. Kwang Ho est sa proie, rien qu'à elle et comme dit plutôt, elle le savourera pleinement, jusqu'à la fin de sa vie. Ses doigts s'amusent délicatement sur l'entre-jambes de l'homme avant de le menacer d'un ton suave et plein de charme. Sa proie ose lui répondre alors qu'elle n'est pas en situation de le faire. Luz s'apprête donc à répliquer quand Kwang Ho la surprend en prenant emprise sur sa main, la forçant à appuyer sur son entre-jambes. Surprise, Luz se retrouve désarmée, déstabilisée pendant quelques secondes. C'est qu'elle n'a pas l'habitude de faire ce genre de chose, même si l'on pourrait tout à fait penser le contraire aux vues de son comportement avec Kwang Ho. Néanmoins, elle ne compte pas se laisser déstabiliser et appuie de son propre chef une nouvelle fois sur cet endroit sensible, tout en approchant son visage de celui de Kwang Ho en se mettant sur la pointe des pieds. « Je devrais faire ça plus souvent on dirait, t'es totalement à ma merci là... Faible que tu es. »
Puis finalement la brune le libère de cette emprise qu'elle avait adoré avoir sur lui, et se laisse guider par celui qu'elle définit soudainement et faussement comme un homme afin de se moquer une nouvelle fois de lui. Il est cependant clair dans sa tête que Kwang Ho est bel et bien un homme, qu'il en a pour son prix - elle a pu en juger elle-même quelques fois - et qu'elle adore lever la tête pour le contempler lui qui est plus grand qu'elle, de toucher un relief intéressant lorsqu'elle passe ses mains sur son torse et d'entendre sa voix rauque et basse qui la domaine en quelques mots. Par la suite, Luz menace donc de brûler son cher doudou tout en souriant et quand son ami lui demande si elle est sérieuse, elle hausse les épaules et répond d'un air innocent et naturel « Tu l'aimes plus que moi, ça me rend triste!» Ils sortent enfin de la ruelle et Luz est plus qu'excitée par l'idée que lui propose le géant son ami. Elle lui offre un grans sourire avant d'accepter d'un air guilleret mais ce sourire disparaît de suite, laissant place à une figure totalement étonnée par l'action que mène Kwang Ho sur son pull. Le soulever comme si de rien n'était. Luz ne devrait plus être choquée, cependant parfois c'est plus fort qu'elle, Kwang Ho peut être imprévisible, et ça, elle adore. Un léger rire transperce la barrière de ses lèvres tandis qu'elle frisonne légèrement alors que son ventre est à l'air. « Je suis ton doudou, je fais selon ta convenance mon beau! »
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