Sweety I need you (Yuan)
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Sweety I need you (Yuan) | Sam 17 Jan - 4:22 Citer EditerSupprimer
“My sweety I need you”
Yuan & Mei Li
Tenue
J’avais eu une semaine d’enfer. Une bande de fille, encore la même qui me critiquais sans cesse dans le cours de design, avait failli déchirer les plans de ma belle robe de mariage que j’avais dessiné avec détail. J’étais persuadé qu’Alexis était dans le coup puisqu’elle connaissait ces filles. Et puis, on se détestait. Pourquoi déjà ? Ah oui ! Parce que j’aurais soit disant voler quelque chose qui lui appartenait. Voler ? Moi ? Non mais pour qui se prenait-elle celle là ? En plus, elle m’avait accusé devant toute la classe. Comment voulez-vous que je dois avec elle à présent ? Me laisser faire et jouer les victimes ? Non. Je lui disais ma façon de penser et elle n’aimait vraiment pas ça. J’étais certaine qu’elle me le faisait payer par intermédiaire de ses collègues en design. Oh ma tête… Il fallait que je me change les idées et je pensais à Yuan, mon beau petit bout d’chou.
Je me préparais tôt ce matin, sachant que mon petit Yuan’chou travaillait aujourd’hui en ce samedi plus ou moins ensoleillé. Je m’habillais tout en fredonnant la chanson de Frozen, Let it go. Enfin bon, ce n’était pas super comme chant, mais bon. J’étais la seule avec Mr.Cat à entendre ma voix craquée. Allant dans la salle de bain, j’humais le parfum à la fraise que j’avais utilisé pour me parfumé il y avait 5 minutes de cela. Qu’elle senteur alléchante mesdames et messieurs ! Une dernière retouche sur mon image parfaite et j’étais prête à partir pour mon café du matin.
Une quinzaine de minutes de marche plus tard, je me retrouvais au café. Je regardais autour avec ma bouille de gamine, les joues légèrement gonflé et repéra ma cible. Je marchais en douce vers ma proie, faisant bien certaine qu’il ne tenait pas du café chaud pour m’ébouillanter. Tranquillement, j’avançais vers lui… Puis, lorsque je fus prêt, je pris une bouffée d’air et…
« Bon matin mon bout d’chou. »
Quoi ? Vous croyez que je lui aurais sauté dessus ? En plein publique ? À son travail ? Nah. Je n’ai pas envie de lui faire perdre son travail et de me le mettre à dos. Je ne survivrais pas sans lui.
« Tes tables sont où que je te matte de loin ? »
J’avais eu une semaine d’enfer. Une bande de fille, encore la même qui me critiquais sans cesse dans le cours de design, avait failli déchirer les plans de ma belle robe de mariage que j’avais dessiné avec détail. J’étais persuadé qu’Alexis était dans le coup puisqu’elle connaissait ces filles. Et puis, on se détestait. Pourquoi déjà ? Ah oui ! Parce que j’aurais soit disant voler quelque chose qui lui appartenait. Voler ? Moi ? Non mais pour qui se prenait-elle celle là ? En plus, elle m’avait accusé devant toute la classe. Comment voulez-vous que je dois avec elle à présent ? Me laisser faire et jouer les victimes ? Non. Je lui disais ma façon de penser et elle n’aimait vraiment pas ça. J’étais certaine qu’elle me le faisait payer par intermédiaire de ses collègues en design. Oh ma tête… Il fallait que je me change les idées et je pensais à Yuan, mon beau petit bout d’chou.
Je me préparais tôt ce matin, sachant que mon petit Yuan’chou travaillait aujourd’hui en ce samedi plus ou moins ensoleillé. Je m’habillais tout en fredonnant la chanson de Frozen, Let it go. Enfin bon, ce n’était pas super comme chant, mais bon. J’étais la seule avec Mr.Cat à entendre ma voix craquée. Allant dans la salle de bain, j’humais le parfum à la fraise que j’avais utilisé pour me parfumé il y avait 5 minutes de cela. Qu’elle senteur alléchante mesdames et messieurs ! Une dernière retouche sur mon image parfaite et j’étais prête à partir pour mon café du matin.
Une quinzaine de minutes de marche plus tard, je me retrouvais au café. Je regardais autour avec ma bouille de gamine, les joues légèrement gonflé et repéra ma cible. Je marchais en douce vers ma proie, faisant bien certaine qu’il ne tenait pas du café chaud pour m’ébouillanter. Tranquillement, j’avançais vers lui… Puis, lorsque je fus prêt, je pris une bouffée d’air et…
« Bon matin mon bout d’chou. »
Quoi ? Vous croyez que je lui aurais sauté dessus ? En plein publique ? À son travail ? Nah. Je n’ai pas envie de lui faire perdre son travail et de me le mettre à dos. Je ne survivrais pas sans lui.
« Tes tables sont où que je te matte de loin ? »
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Dim 18 Jan - 6:18 Citer EditerSupprimer
C’était une journée parfaitement ordinaire, d’une semaine parfaitement ordinaire, et pour être honnête, il y avait quelque chose de dérangeant là-dedans. J’aurais appellé ça de l’ennuie, ou bien de la morosité, mais on m’aurait dit que je suis pessimiste et qu’être ordinaire n’est pas nécessairement une mauvaise chose. Ce n’est pas faux, quand on y pense bien, mais il faut bien que quelque chose se passe, au bout d’un moment à ne rien avoir de spécial dans sa vie. Non, j’ai toujours autant de soirées agréables avec mes amis, de pitreries faites à l’école, et de devoirs chiants sur lesquels bosser, mais il y a quand même une répétition désagréable de ma vie, et parfois, ça devient nettement lourd. Je ne suis pas quelqu’un qui cherche le trouble, ou qui se dirige nettement vers des choses inhabituelles, mais j’admet que parfois, j’aimerais bien qu’un truc me tombe dessus juste pour illuminé un peu la grisaille de mon quotidien. Et bien sûr, c’est quand on s’y attend le moins que ça nous tombe justement dessus.
« Bon matin mon bout d’chou.»
Le sursaut que j’ai est à peine camouflé alors que je me retourne, le coeur battant, lâchant un soupir en me retournant et en croisant le regard amusé de Mei Li. Bien entendu... elle ne peut pas faire comme n’importe qui et arriver simplement en me saluant, ça serait beaucoup trop... ordainaire. Mon reniflement amusé reste discret alors que je jette un oeil autours pour m’assurer que les clients ne nous observe pas trop d’un oeil suspicieux, et arque un sourcil à son égard alors qu’elle me questionne sur ma postion de la journée. Je secoue la tête d’un air presque désolé, et fait un vague signe vers le comptoir. « Je suis malheureusement coincé derrière le comptoir aujourd’hui, beauté. » Pas que ça soit rare, mais il arrive quand même souvent que je sois sur le plancher pour prendre les commandes, lorsqu’aucune serveuse n’est dispo, ou bien simplement par envie. Mais aujourd’hui, je retournais au café, pour faire ma spécialité, et je n’allais donc pas beaucoup être présent dans la salle. « Prend une table près de la machine à expresso, je devrais pouvoir passer souvent. » Et avec un clin d’oeil joueur, je retourne derrière le comptoir pour reprendre ma place favorite, même si pour le moment j’ai plutôt une petite envie d’être assit à une table avec une certaine jeune femme de ma connaissance. Heureusement que la journée était calme, c’est plus facile pour papoter discrètement par-dessus le petit muret du comptoir. « Alors que se passe-t-il dans la vie de cette si charmante demoiselle ? » Je demande d’un air amusé, m’accoudant sur le comptoir en guettant tout de même l’arrivée des clients et les aller et venu de la nouvelle serveuse engagée très récemment.
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Mar 20 Jan - 19:35 Citer EditerSupprimer
“My sweety I need you”
Yuan & Mei Li
Tenue
Son sursaut me fit sourire. Mon premier véritable sourire de la journée. Alors ma mission de le surprendre avait été accomplie. Je ne pus cacher mon sentiment de victoire, laissant mon sourire pendu à mes lèvres tout en écoutant sa réponse concernant le poste qu’il avait aujourd’hui. Coincé derrière le comptoir ? Mon expression laissait voir ma déception. Elle n’était pas très grande ni très forte, mais elle était présente. À quoi m’attendais-je après tout ? Qu’il soit disponible pour écouter mes états d’âme ? Je commençais lentement à réaliser mon immaturité à venir l’embêter à son travail. J’aurais bien pu attendre à ce soir, après son quart de travail, mais par instinct, je ne pouvais attendre de le voir, de lui parler. Résultat, me voilà, devant lui à regarder l’endroit qu’il me désignait pour que l’on puisse causer les deux. Je pris quelques secondes de réflexion, me demandant si je devais lui dire qu’on allait se voir plus tard, mais j’avais trop sur le cœur.
« Je prendrais n'importe qu'elle place qui serait près de toi. »
Ah ce sourire. Un jour, la fille qu’il mérite en sera bénéficié. Je lui retournais son sourire en souriant en quoi d'un sourire dragueur, mais surtout joueur. Machinalement, je marchais vers l’une des tables et m’y assieds. Je croisais mes jambes en regardant le menu. Avais-je faim ? Non, pas vraiment. Un café me ferait du bien. Peut-être que la chaleur ferait descendre ce trop-plein d’émotion et me permettrait d’avaler quelque chose. Pour le moment, je jouais avec mon téléphone cellulaire pour me distraire en attendant que Yuan soit libre. Je n’attendis pas longtemps puisqu’il s’adressa à moi quelques minutes plus tard avec son air dragueur que j’aimais temps. Il avait la classe mon bout d’chou. Le regardant dans les yeux, je lui avouai mon pépin sur mon cœur.
« Elles ne me lâchent plus, Yuan. Non de dieu, elles ont failli déchirer l’une de mes créations parce qu’on sait prit la tête. »
Je soupirais bruyamment en passant ma main sur mon visage.
« Tu me connais, je n’ai pas pu m’empêcher de répliquer, surtout quand la plus pimbêche des trois touchait à ma création en la critiquant d’un air dégoûté. Et la guerre est partie de plus belle… »
Haussant un sourcil, je remarquais qu’il zieutait une serveuse en particulier. Une nouvelle. Je ne la voyais que de dos pour le moment. Nullement besoin de me faire un dessin. J’avais compris son regard attiré sur cette personne.
« Coup donc toi, as-tu quelqu’un en vue par hasard, Casanova ? Tu m’écoutes plus ou moins. »
Son sursaut me fit sourire. Mon premier véritable sourire de la journée. Alors ma mission de le surprendre avait été accomplie. Je ne pus cacher mon sentiment de victoire, laissant mon sourire pendu à mes lèvres tout en écoutant sa réponse concernant le poste qu’il avait aujourd’hui. Coincé derrière le comptoir ? Mon expression laissait voir ma déception. Elle n’était pas très grande ni très forte, mais elle était présente. À quoi m’attendais-je après tout ? Qu’il soit disponible pour écouter mes états d’âme ? Je commençais lentement à réaliser mon immaturité à venir l’embêter à son travail. J’aurais bien pu attendre à ce soir, après son quart de travail, mais par instinct, je ne pouvais attendre de le voir, de lui parler. Résultat, me voilà, devant lui à regarder l’endroit qu’il me désignait pour que l’on puisse causer les deux. Je pris quelques secondes de réflexion, me demandant si je devais lui dire qu’on allait se voir plus tard, mais j’avais trop sur le cœur.
« Je prendrais n'importe qu'elle place qui serait près de toi. »
Ah ce sourire. Un jour, la fille qu’il mérite en sera bénéficié. Je lui retournais son sourire en souriant en quoi d'un sourire dragueur, mais surtout joueur. Machinalement, je marchais vers l’une des tables et m’y assieds. Je croisais mes jambes en regardant le menu. Avais-je faim ? Non, pas vraiment. Un café me ferait du bien. Peut-être que la chaleur ferait descendre ce trop-plein d’émotion et me permettrait d’avaler quelque chose. Pour le moment, je jouais avec mon téléphone cellulaire pour me distraire en attendant que Yuan soit libre. Je n’attendis pas longtemps puisqu’il s’adressa à moi quelques minutes plus tard avec son air dragueur que j’aimais temps. Il avait la classe mon bout d’chou. Le regardant dans les yeux, je lui avouai mon pépin sur mon cœur.
« Elles ne me lâchent plus, Yuan. Non de dieu, elles ont failli déchirer l’une de mes créations parce qu’on sait prit la tête. »
Je soupirais bruyamment en passant ma main sur mon visage.
« Tu me connais, je n’ai pas pu m’empêcher de répliquer, surtout quand la plus pimbêche des trois touchait à ma création en la critiquant d’un air dégoûté. Et la guerre est partie de plus belle… »
Haussant un sourcil, je remarquais qu’il zieutait une serveuse en particulier. Une nouvelle. Je ne la voyais que de dos pour le moment. Nullement besoin de me faire un dessin. J’avais compris son regard attiré sur cette personne.
« Coup donc toi, as-tu quelqu’un en vue par hasard, Casanova ? Tu m’écoutes plus ou moins. »
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Jeu 22 Jan - 4:17 Citer EditerSupprimer
C’est pas très surprenant, venant de sa part. Ces histoires se répétaient souvent pour elle, et bien que ce soit plutôt malheureux, jusqu’à présent, aucun de nous n’avons trouvé de solution à ce problème. Je ne sais pas pourquoi, elle a tendance a devenir l’ennemie #1, parfois, et je ne comprend toujours pas pourquoi. Enfin, je ne la vois pas souvent avec les autres, mais je ne l’ai vu qu’adorable et amicale. C’est toujours difficile d’admettre que quelqu’un qu’on aime se fasse ainsi insulter, mais je sais bien que je ne peux rien faire, pas tant que je ne vois pas directement ce qui se passe. Des plans pour qu’elle se fasse encore plus d’ennemis par ma faute, et qu’on lui trouve d’autres choses sur quoi l’embêter. Je ne veux pas être une plaie pour elle, ça serait bien le bout si je devenais un ennui plutôt qu’un aide. Je secoue la tête avec une moue d’empathie, jetant un regard autour de la salle à nouveau en faisant un vague mouvement de la main. « Ne t’en fait pas avec elles, il y a toujours de ces filles qui ne savent pas reconnaître leur place. » Je renifle d’un air moqueur, me redressant un peu pour m’appuyer un peu plus près d’elle, un sourire charmeur aux lèvres alors que je cligne des yeux d’un air un peu trop amadoueur pour que ce ne soit autre chose que du jeu. « Tu sais bien qu’aucune d’elle ne t’arrive à la cheville. »
Mon regard est de nouveau attiré ailleurs alors que la nouvelle prend une commande, retroussant le nez alors qu’elle s’incline en ayant l’air de s’excuser, ramenant mes yeux vers Meili quand elle retourne à la cuisine, prenant son absence de demande pour une confirmation que je n’ai toujours pas besoin de bouger de mon emplacement, ce qui est positif. Je plisse les yeux vers elle alors qu’elle insinue quelque chose, et je ricane légèrement, faisant un mouvement de tête vers les cuisines, comme si je ne pouvais pas croire ce qu’elle pouvait croire. Ce qui est vrai, dans un sens... comme si cette petite pouvait vraiment attirer mon attention. « Tu rigoles ? Ce n’est pas une gamine comme ça qui pourrait gagner contre toi, beauté. » Je secoue la tête avec un petit sourire, haussant une épaule. « Je dois juste la surveiller pour ne pas qu’elle gaffe, parce que ça ne serait pas la première fois. » Je roule des yeux et tapote mon doigts contre le comptoir, relevant un sourcil. « Tu as peur que je donne mon coeur à quelqu’un d’autre que toi ? Ne craint rien, tu restes toujours ma seule et unique. » J’accompagne mes paroles d’un rire et penche la tête, mes yeux brillant d’un certain éclat. « Il y a bien quelqu’un qui attire mon regard, par contre... mais je ne te dirai pas qui c’est. » Je lui envoie un baiser du bout des doigts, avant de reprendre d’un souffle pour ne pas avoir à m’étendre sur le sujet. « Et toi, tu as quelqu’un dans ta mire ? »
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Mer 28 Jan - 21:35 Citer EditerSupprimer
“My sweety I need you”
Yuan & Mei Li
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Ne pas m’en faire c’était comme dire de les ignorer alors qu’elles prenaient un malin plaisir à briser mes créations si je ne leur portais pas attention. Et puis, il me connaissait que trop bien, j’étais orgueilleuse et je ne pouvais pas m’empêcher de répliquer à ces petites princesses. Mais bon, Yuan avait peut-être raison. Je me devais de les ignorer, de piler sur mon orgueil et de mettre mes émotions de côtés.
Le scrutant d’un œil aguicheur, je me mis à lui sourire en coin. Il s’était rapproché tout en affichant son air amadoueur qui pourrait faire craquer n’importe qu’elle fille. J’adorais ça, mais ce jeu n’allait jamais aboutir quelque part. C’était mon meilleur ami de toujours, je ne me verrais pas sortir avec lui. Je veux son bonheur et il veut le mien, mais ce ne sera pas en sortant ensemble. Notre amitié était beaucoup plus importante qu’une relation amoureuse.
« Tu sais comment t’y prendre avec moi. »
Je lui jetais un regard complice. Mon sourire séduisant attira quelques regards des clients. Ils nous croyaient un couple, probablement, ce qui nous amusait toujours. Les gens parfois pouvaient juger trop vite. On jugeait trop vite. Quoiqu’on n’aidait pas la situation en jouant à ce jeu de séduction.
Je remarquais son regard attentif sur la nouvelle employée. Je ne pouvais m’empêcher de lui partager mes observations. Alors comme ça, c’était lui qui était en charge d’elle. Intéressant. Je lui fis un petit signe coquin en me léchant les lèvres en entendant sa réponse plus qu’agréable à mes oreilles. Quel flatteur. J’espérais aussi que j’étais son unique et que j’allais le rester. J’étais quand même jalouse et un peu possessive. Je ne partage pas mon Yuan avec n’importe qui.
Un air surpris et un peu défensif apparu sur mon visage. Je serais légèrement les poings. Quelqu’un serait donc dans sa ligne de mire, mais il ne voulait pas en parler ? Je détestais quand il faisait ça, et il me le fit rappeler en m’envoyant un baiser du bout de ses doigts. Il retourna la question en me demandant si j’avais quelqu’un de mon côté. Je ne pus m’empêcher de siffler entre mes dents en le coupant presque lorsqu’il me posa sa question.
« Ne change pas de sujets, Min Yuan ! »
Je le regardais droit dans les yeux en haussant un sourcil, m’avançant plus près de lui qu’il ne l’avait fait avec moi, il y avait à peine quelques minutes.
« Qui c’est ? Et n’essaie pas de me faire chanter ! Je n’ai personne en vue. »
Ne pas m’en faire c’était comme dire de les ignorer alors qu’elles prenaient un malin plaisir à briser mes créations si je ne leur portais pas attention. Et puis, il me connaissait que trop bien, j’étais orgueilleuse et je ne pouvais pas m’empêcher de répliquer à ces petites princesses. Mais bon, Yuan avait peut-être raison. Je me devais de les ignorer, de piler sur mon orgueil et de mettre mes émotions de côtés.
Le scrutant d’un œil aguicheur, je me mis à lui sourire en coin. Il s’était rapproché tout en affichant son air amadoueur qui pourrait faire craquer n’importe qu’elle fille. J’adorais ça, mais ce jeu n’allait jamais aboutir quelque part. C’était mon meilleur ami de toujours, je ne me verrais pas sortir avec lui. Je veux son bonheur et il veut le mien, mais ce ne sera pas en sortant ensemble. Notre amitié était beaucoup plus importante qu’une relation amoureuse.
« Tu sais comment t’y prendre avec moi. »
Je lui jetais un regard complice. Mon sourire séduisant attira quelques regards des clients. Ils nous croyaient un couple, probablement, ce qui nous amusait toujours. Les gens parfois pouvaient juger trop vite. On jugeait trop vite. Quoiqu’on n’aidait pas la situation en jouant à ce jeu de séduction.
Je remarquais son regard attentif sur la nouvelle employée. Je ne pouvais m’empêcher de lui partager mes observations. Alors comme ça, c’était lui qui était en charge d’elle. Intéressant. Je lui fis un petit signe coquin en me léchant les lèvres en entendant sa réponse plus qu’agréable à mes oreilles. Quel flatteur. J’espérais aussi que j’étais son unique et que j’allais le rester. J’étais quand même jalouse et un peu possessive. Je ne partage pas mon Yuan avec n’importe qui.
Un air surpris et un peu défensif apparu sur mon visage. Je serais légèrement les poings. Quelqu’un serait donc dans sa ligne de mire, mais il ne voulait pas en parler ? Je détestais quand il faisait ça, et il me le fit rappeler en m’envoyant un baiser du bout de ses doigts. Il retourna la question en me demandant si j’avais quelqu’un de mon côté. Je ne pus m’empêcher de siffler entre mes dents en le coupant presque lorsqu’il me posa sa question.
« Ne change pas de sujets, Min Yuan ! »
Je le regardais droit dans les yeux en haussant un sourcil, m’avançant plus près de lui qu’il ne l’avait fait avec moi, il y avait à peine quelques minutes.
« Qui c’est ? Et n’essaie pas de me faire chanter ! Je n’ai personne en vue. »
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Lun 2 Fév - 5:20 Citer EditerSupprimer Je sais bien qu’il n’est pas très prudent de ma part de m’avancer sur ce genre de sujet avec elle, surtout qu’elle avait cette tendance à ne supporter aucun secret entre nous. Mais ce n’était pas un secret, je ne voyais juste pas l’intérêt d’en parler avant que quelque chose de concret ne se passe. Pas nécessairement que je sois finalement casé, mais plutôt un avancement, un espoir, mais pour le moment, c’était plutôt plat à ce niveau. Enfin bon, plat... il y avait quand même un certain avancement, si je peux me permettre de dire ça comme ça, mais encore là, ce n’était pas vraiment du concret, puisque la nature de la discussion a été comment dire... dicté par un état d’ébriété certain. Et puis quoi, cela ne voulait rien dire de précis, et même si l’espoir était rallumé à un certain niveau, je n’avais rien à dire à ce propos. Que pouvais-je bien raconter de toute ? “Oh elle était saoûle, je l’ai ramené, on s’est embrassé et elle s’est endormie.” c’était totalement ringard et complètement insensé. Pourquoi diable irais-je m’humilier de cette manière en papotant à ce sujet comme une vieille tante un peu trop fouineuse. Je secoue la tête avec un petit regard malicieux et lui tapote le nez du bout du doigt, le regard brillant d’amusement. Je me payais un peu sa tête, à vrai dire, puisque même sous les tortures les plus atroces, je ne parlerai pas de ça avec elle. Ou du moins pas en détail. Et surtout, pas, jamais, de nom. Jamais. Elle ne va pas laisser cette fille tranquille sinon, je la connais bien. « Pas de chantage avec moi beauté, on sait tous les deux que tu ne gagneras pas. » Je la nargue, un peu, sachant très bien qu’à ce jeu on était plutôt 50/50 malgré mes fausses vantardises. Je fais mine de nettoyer la machine même si je sais que personne ne va me réprimander, pour la simple et bonne raison que le gestionnaire devant s’assurer de superviser les autres employés, et bien, c’est moi.
« Tu auras des informations lorsque je jugerai que c’est assez important pour que je t’en parle. » Je lui fais un clin d’oeil, mon air charmeur reprenant le dessus alors que je fais mine de poser ma main sur mon coeur, jouant les courtisans pour continuer cette petite partie très plaisante entre nous qui, je le sens, va de bon train aujourd’hui. « Je ne vais quand même pas alourdir ton coeur de toutes les demoiselles sur qui mon regard se pose l’espace d’un bref instant. » J’aurais dû être poête, c’est clair, mais je crois qu’en réalité tout ça n’a qu’à voir avec cette habitude que l’on a de se parler ainsi, d’une manière que je considère plutôt... lourde. Beaucoup trop brodé de dentelle et de perle pour venir sincèrement du coeur. Des mots qui ne sonnent pas amoureux pour moi, même si je ne suis pas assez stupide pour croire que pour les autres, c’est clairement ça. Mais quelqu’un me connaissant saurait déjà que c’est du gros blabla sans fond, seulement des blagues et de l’exagéré à un point incroyable.
« Tu auras des informations lorsque je jugerai que c’est assez important pour que je t’en parle. » Je lui fais un clin d’oeil, mon air charmeur reprenant le dessus alors que je fais mine de poser ma main sur mon coeur, jouant les courtisans pour continuer cette petite partie très plaisante entre nous qui, je le sens, va de bon train aujourd’hui. « Je ne vais quand même pas alourdir ton coeur de toutes les demoiselles sur qui mon regard se pose l’espace d’un bref instant. » J’aurais dû être poête, c’est clair, mais je crois qu’en réalité tout ça n’a qu’à voir avec cette habitude que l’on a de se parler ainsi, d’une manière que je considère plutôt... lourde. Beaucoup trop brodé de dentelle et de perle pour venir sincèrement du coeur. Des mots qui ne sonnent pas amoureux pour moi, même si je ne suis pas assez stupide pour croire que pour les autres, c’est clairement ça. Mais quelqu’un me connaissant saurait déjà que c’est du gros blabla sans fond, seulement des blagues et de l’exagéré à un point incroyable.
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Re: Sweety I need you (Yuan) | Mer 4 Fév - 20:13 Citer EditerSupprimer
“My sweety I need you”
Yuan & Mei Li
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Pas de chantage, hein ? Ce qu'il était mignon mon Yuan. Certes, aucun des deux ne gagnerait et il avait raison. Bon, s'il n'avait pas envie d'en parler tant pis, hein. Je le regardais faire comme si il nettoyait la machine sur lequel il était appuyé. Je ne pus m'empêcher d'échapper un rire coquin. Yuan était mon mec préféré. Ce n'était pas pour rien qu'il était mon meilleur ami. On se comprenait quoi. Heureusement que je l'avais dans ma vie cette petite boule d'énergie. Que ferais-je sans lui ?
Je ne savais pas pourquoi, mais le fais qu’il ne me fasse pas confiance me faisais un pincement au cœur. Pourquoi ne voulait-il pas en parler, de sa conquête ? Il semblait dans les vapes quand il y pensait. Y avait-il quelque chose de profond ou semblait-il confus, cherchant lui-même comment décrire sa relation ? Peu importe. J’allais respecté son choix, même si j’avais envie de lui dire que me cacher ce détail me faisais mal, comme si je me sentais éloigné de lui. J’avais peur de le perdre. Peur de perdre contrôle sur notre relation d’amitié qui allait jusqu’ici très bien. La jalousie, elle venait de là, de cette peur.
« Très bien, très bien ! Garde le ton secret Yuan. Tu m’en parleras le moment venu. »
J’avais parlé sur un ton neutre sans agressivité. J’avais même entendu quelques intonations vibrer sous la tristesse que je tentais de dissimuler. Faisant comme si de rien n’était, je me replaçais sur ma chaise, faisant mine d’être soudainement inconfortable. À quoi bon parler de ce que je ressentais. J’allais garder au fond de moi cette peine qui me semblait stupide. Elle aurait probablement été plus stupide aux yeux de Yuan, alors je préférais garder ça pour moi. Combattre ma possessivité était un défi. Depuis que mes parents m’avaient caché la vérité sur un frère vendu, j’avais développé une espèce de dépendance affective après avoir « renié » ma famille. J’avais besoin d’attention. Je le savais que je cherchais de l’attention. C’était un problème également. C’est pourquoi je ne voulais pas en faire un cas, sachant qu’il détestait ça.
Je repris contact avec la réalité en entendant le son de la voix de Yuan. Il me sortait encore l’une de ses phrases digne d’un poète qui gagnerait un oscar pour les belles paroles. Il savait s’y prendre le petit. Il connaissait bien la langue des poètes, voir même des charmeurs de bar qui voulait avoir un one night rapide avec une fille qui était de leurs goût. Je ne put m’empêcher d’afficher un sourire soulager en étouffant un rire mélodieux.
« Yuan… Même si une fille te tape à l’oeil, je serais contente pour toi. »
Je me raclais la gorge. Un sourire en coin se dessina sur mes lèvres pulpeuses. Je passais délicatement mon pouce sur mes lèvres en terminant sur mon coin de la bouche, regardant Yuan dans les yeux.
« Sauf qu’elle va devoir passer par Bibi. »
Je me pointais dans une attitude de Girlicious. Je n’avais pas le pouvoir de décider pour lui, mais je le voulais savoir heureux. Je passais le bonheur des autres avant le mien. C’était comme ça.
« Après ton boulot… On rentre au dortoir ? Ou on va boire ? Ouais parve que je ne veux pas passer ma soirée toute seule… Même si je co-habite avec 3 mecs.»
Pas de chantage, hein ? Ce qu'il était mignon mon Yuan. Certes, aucun des deux ne gagnerait et il avait raison. Bon, s'il n'avait pas envie d'en parler tant pis, hein. Je le regardais faire comme si il nettoyait la machine sur lequel il était appuyé. Je ne pus m'empêcher d'échapper un rire coquin. Yuan était mon mec préféré. Ce n'était pas pour rien qu'il était mon meilleur ami. On se comprenait quoi. Heureusement que je l'avais dans ma vie cette petite boule d'énergie. Que ferais-je sans lui ?
Je ne savais pas pourquoi, mais le fais qu’il ne me fasse pas confiance me faisais un pincement au cœur. Pourquoi ne voulait-il pas en parler, de sa conquête ? Il semblait dans les vapes quand il y pensait. Y avait-il quelque chose de profond ou semblait-il confus, cherchant lui-même comment décrire sa relation ? Peu importe. J’allais respecté son choix, même si j’avais envie de lui dire que me cacher ce détail me faisais mal, comme si je me sentais éloigné de lui. J’avais peur de le perdre. Peur de perdre contrôle sur notre relation d’amitié qui allait jusqu’ici très bien. La jalousie, elle venait de là, de cette peur.
« Très bien, très bien ! Garde le ton secret Yuan. Tu m’en parleras le moment venu. »
J’avais parlé sur un ton neutre sans agressivité. J’avais même entendu quelques intonations vibrer sous la tristesse que je tentais de dissimuler. Faisant comme si de rien n’était, je me replaçais sur ma chaise, faisant mine d’être soudainement inconfortable. À quoi bon parler de ce que je ressentais. J’allais garder au fond de moi cette peine qui me semblait stupide. Elle aurait probablement été plus stupide aux yeux de Yuan, alors je préférais garder ça pour moi. Combattre ma possessivité était un défi. Depuis que mes parents m’avaient caché la vérité sur un frère vendu, j’avais développé une espèce de dépendance affective après avoir « renié » ma famille. J’avais besoin d’attention. Je le savais que je cherchais de l’attention. C’était un problème également. C’est pourquoi je ne voulais pas en faire un cas, sachant qu’il détestait ça.
Je repris contact avec la réalité en entendant le son de la voix de Yuan. Il me sortait encore l’une de ses phrases digne d’un poète qui gagnerait un oscar pour les belles paroles. Il savait s’y prendre le petit. Il connaissait bien la langue des poètes, voir même des charmeurs de bar qui voulait avoir un one night rapide avec une fille qui était de leurs goût. Je ne put m’empêcher d’afficher un sourire soulager en étouffant un rire mélodieux.
« Yuan… Même si une fille te tape à l’oeil, je serais contente pour toi. »
Je me raclais la gorge. Un sourire en coin se dessina sur mes lèvres pulpeuses. Je passais délicatement mon pouce sur mes lèvres en terminant sur mon coin de la bouche, regardant Yuan dans les yeux.
« Sauf qu’elle va devoir passer par Bibi. »
Je me pointais dans une attitude de Girlicious. Je n’avais pas le pouvoir de décider pour lui, mais je le voulais savoir heureux. Je passais le bonheur des autres avant le mien. C’était comme ça.
« Après ton boulot… On rentre au dortoir ? Ou on va boire ? Ouais parve que je ne veux pas passer ma soirée toute seule… Même si je co-habite avec 3 mecs.»
luckyred.