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[EVENT] « where are you now ? »
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Mer 21 Jan - 10:17 Citer EditerSupprimer
Le sol qui vibre, l'apocalypse dans la rue, les cris dans le bâtiment et moi, planqué sous le bureau. Quel lâche, ce président jaune songeais-je. J'étais tellement habitué à ces exercices tokyoïtes que j'avais agi par instinct, si bien que l'instinct même m'avait débecté quelques instants plus tard. Ce n'était pas une simple secousse et malgré le fait que nous étions sponsorisé par un géant Japonais, cela ne signifiait pas que nous étions en sécurité dans ces locaux. Fuji ne fait pas dans la construction d'infrastructure à ma connaissance et ce n'est probablement pas eux qui ont construit notre dortoir avec la technologie anti-sismique... Enfin, en fonction de la gravitude du séisme.
J'ai obéit à un ordre, une habitude, un mécanisme. C'était carrément égoïste, alors j'ai pris mon courage à deux mains et je suis sorti de sous le bureau alors que le sol tremblait toujours. Mon téléphone en main, je parcours ma liste de contact. Shion en premier. Puis la liste des Wonsungi. Le conseil. Moeko. Samy. Seong Hee doit être paniquée... Bon sang, j'ai trop de gens à appeler. Kazuya... Hae Yeol... Les trucs se casse la gueule les uns après les autres. "Je dois sortir d'ici", c'est ce que je me suis dit, parce qu'il fallait que je les aide tous,... Comment je n'en avait aucune idée.
Seulement voilà, mère nature a décidé de me mettre des batons dans les roues en faisant en sorte qu'une des bibliothèque d'écroule devant la porte lorsque mon regard s'est posé dessus. Alors, c'est probablement la panique qui m'a fait courir vers la porte pour essayer de bouger ce putain de truc rustique super lourd, ce truc donc les livres s'empilaient un à un devant mes pieds. Le plafond s'effrite, je sens le plâtre qui n'apprécie pas les secousse par la poussière qui tombe doucement sur le haut de mon crâne. Je n'ai même pas le réflexe d'hurler, trop concentré à bouger malgré moi cette bibliothèque.
Et puis, c'est un bruit sourd qui me surprend lorsque j'ai reculé pour prendre de l'élan. Un crac, un nom, une ombre qui s'abat sur moi. Une autre bibliothèque qui commence à glisser vers moi, et connard comme je suis ne suis incapable de réagir autrement qu'en contemplant le meuble s'effondrer sur moi avec les livres qui me tombent sur le coin de la gueule un à un. J'ai l'impression que tout s'est passé au ralenti, et pourtant non, elle s'est écroulé d'un coup avec un bout du plafond pour faire poids dessus.
Ma jambe a craqué sous le choc et j'ai eu le simple réflexe d'utiliser mes bras pour retenir tant bien que mal la bête. Le plafond continue de m'inonder de poussière et bloqué comme je suis actuellement, j'ai bien peur qu'il s'effondre sur moi sans que je puisse faire quoi que ce soit. Après de multiples tentatives à essayer de me glisser en dehors — chaque tentatives m'arrachant un cri de douleur à cause de ma jambe broyée par le poids et probablement cassée — c'est mon téléphone que j'attrape, composant automatiquement le numéro de Shion incessamment, les yeux rivés vers le lustre qui grince au dessus de moi. Le réseau est pourtant HS, et je continue d'appeler encore et encore tandis que je me laisse hypnotiser par ce bout de métal qui menace de tomber à chaque secousse.
J'ai l'impression que c'est une éternité et pourtant, ça ne fait que quelques minutes. Quelques minutes de nuit en plein jour malgré le beau temps, quelques minutes ou l'espoir laisse place à la peur chaque seconde... Et le lustre se décroche, mon bras libre fatigué protégeant au mieux mon visage et celui tenant le téléphone près de mon oreille s'interdisant de bouger au cas ou j'entendrais sa voix... Et puis plus rien. J'ai froid, le sang coule et moi je ne suis plus rien pour l'instant. Inerte et incapable, voilà ce qu'est réellement le président des Wonsungi. Putain, pour une fois que j'avais mis le "panneau ne pas déranger" sur la porte du bureau histoire de faire toute la paperasse et faciliter l'avancement du dortoir. Ca m'apprendra à être bête et discipliné que lorsque ça m'arrange.
HRP : voilà amusez vous avec mon cadavre vivant
J'ai obéit à un ordre, une habitude, un mécanisme. C'était carrément égoïste, alors j'ai pris mon courage à deux mains et je suis sorti de sous le bureau alors que le sol tremblait toujours. Mon téléphone en main, je parcours ma liste de contact. Shion en premier. Puis la liste des Wonsungi. Le conseil. Moeko. Samy. Seong Hee doit être paniquée... Bon sang, j'ai trop de gens à appeler. Kazuya... Hae Yeol... Les trucs se casse la gueule les uns après les autres. "Je dois sortir d'ici", c'est ce que je me suis dit, parce qu'il fallait que je les aide tous,... Comment je n'en avait aucune idée.
Seulement voilà, mère nature a décidé de me mettre des batons dans les roues en faisant en sorte qu'une des bibliothèque d'écroule devant la porte lorsque mon regard s'est posé dessus. Alors, c'est probablement la panique qui m'a fait courir vers la porte pour essayer de bouger ce putain de truc rustique super lourd, ce truc donc les livres s'empilaient un à un devant mes pieds. Le plafond s'effrite, je sens le plâtre qui n'apprécie pas les secousse par la poussière qui tombe doucement sur le haut de mon crâne. Je n'ai même pas le réflexe d'hurler, trop concentré à bouger malgré moi cette bibliothèque.
Et puis, c'est un bruit sourd qui me surprend lorsque j'ai reculé pour prendre de l'élan. Un crac, un nom, une ombre qui s'abat sur moi. Une autre bibliothèque qui commence à glisser vers moi, et connard comme je suis ne suis incapable de réagir autrement qu'en contemplant le meuble s'effondrer sur moi avec les livres qui me tombent sur le coin de la gueule un à un. J'ai l'impression que tout s'est passé au ralenti, et pourtant non, elle s'est écroulé d'un coup avec un bout du plafond pour faire poids dessus.
Ma jambe a craqué sous le choc et j'ai eu le simple réflexe d'utiliser mes bras pour retenir tant bien que mal la bête. Le plafond continue de m'inonder de poussière et bloqué comme je suis actuellement, j'ai bien peur qu'il s'effondre sur moi sans que je puisse faire quoi que ce soit. Après de multiples tentatives à essayer de me glisser en dehors — chaque tentatives m'arrachant un cri de douleur à cause de ma jambe broyée par le poids et probablement cassée — c'est mon téléphone que j'attrape, composant automatiquement le numéro de Shion incessamment, les yeux rivés vers le lustre qui grince au dessus de moi. Le réseau est pourtant HS, et je continue d'appeler encore et encore tandis que je me laisse hypnotiser par ce bout de métal qui menace de tomber à chaque secousse.
J'ai l'impression que c'est une éternité et pourtant, ça ne fait que quelques minutes. Quelques minutes de nuit en plein jour malgré le beau temps, quelques minutes ou l'espoir laisse place à la peur chaque seconde... Et le lustre se décroche, mon bras libre fatigué protégeant au mieux mon visage et celui tenant le téléphone près de mon oreille s'interdisant de bouger au cas ou j'entendrais sa voix... Et puis plus rien. J'ai froid, le sang coule et moi je ne suis plus rien pour l'instant. Inerte et incapable, voilà ce qu'est réellement le président des Wonsungi. Putain, pour une fois que j'avais mis le "panneau ne pas déranger" sur la porte du bureau histoire de faire toute la paperasse et faciliter l'avancement du dortoir. Ca m'apprendra à être bête et discipliné que lorsque ça m'arrange.
HRP : voilà amusez vous avec mon cadavre vivant
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Mer 21 Jan - 13:17 Citer EditerSupprimer TAG: #wonsungis ; #earthquake coded by RESCUE RANGER ! of ATF
i'm calling out your name
Laissant Moeko aux bons soins de Sam, Malee était déjà passée à autre chose, l’esprit concentré sur toutes ces autres personnes qui pouvaient potentiellement se retrouver bloquées. Pour l’instant elle était préoccupée vis-à-vis du dortoir. Mais les autres ? Tous ces amis qui étaient sortis, perdus dans la nature ? Elle secoua la tête, refusant d’y penser, tandis qu’elle ressortait de la chambre. Il y en avait d’autres à faire. Elle concentra son esprit sur toutes les tâches qu’elle avait à accomplir, pour s’empêcher de penser à autre chose, pour s’empêcher de paniquer. L’action, il n’y avait que ça pour l’aider à garder son calme. Elle inspira et expira lentement, pendant un instant, puis elle se tourna vers ses deux camarades. « Je sais pas pour Sam, mais j’ai pas encore eu le temps d’aller voir toutes les chambres… » dit-elle, tout en réfléchissant à celles qu’elle devait encore fouiner, pour vérifier s’il n’y avait personne. Elle imaginait des wonsungis, bloqués sous des gravats, coincés dans des lieux improbables, et secoua une nouvelle fois la tête, repoussant les images apocalyptiques qui lui traversait l’esprit. « Peut-être qu’il faudrait qu’on se sépare pour être plus rapide. Ou je sais pas trop. Je pars par là en tout cas, » dit-elle finalement. Agir, il fallait qu’elle agisse, pour ne pas se perdre. Alors elle avança, tant bien que mal, en ouvrant les portes sur son passage et jetant un coup d’œil dans chaque pièce, même celles qu’elle avait déjà fouiné. Elle en perdait presque la mémoire. Et elle avait peur d’oublier ne serait-ce qu’un seul endroit. Alors elle entrait dans toutes les pièces, sans cesser de crier. « Y a quelqu’un ? » Elle ne se rendait pas compte qu’à parler comme ça, elle allait peut-être ne pas entendre les réponses. Mais elle continuait sa route, attendant, espérant. C’est finalement devant la chambre 1 qu’elle s’arrêta un instant, pour calmer son cœur qui battait la chamade. La porte était déjà légèrement entrouverte, probablement à cause des secousses, ce qui n’avait rien d’étonnant. Elle la poussa doucement, précautionneusement. « Y a quelqu’un par ici ? »
- HRP:
- Sauvons princesse Min.
Et meurs pas tout de suite Takuya stp.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Mer 21 Jan - 17:21 Citer EditerSupprimer #Earthquake ; #Wonsungi ; #Paranoïa coded by RESCUE RANGER ! of ATF
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Une voix retentissait en écho vers mes oreilles à moitiés endormies. Je percevais alors des birbes d'une voix familière qui semblait s’exclamer. Puis soudainement, j'entendis la porte de la pièce s'ouvrir lentement dans un grincement sinistre. -Y a quelqu’un par ici ? Entendais-je. J’ouvrais les yeux, dans un était semi comateux me permettant juste de percevoir une tâche colorée devant mon champ de vision. Je ne pouvais pas exactement distinguer les formes alors il m'était difficile d'identifier la personne. Instinctivement, je pensais que c'était Moeko ou Malee, les deux Wonsungis du dortoir avec qui j'arrivais plus ou moins à entretenir une discussion constructive. Ma tête résonnait, me faisait mal et ma poitrine me brûlait à cause du martèlement de mon rythme cardiaque. Je tentais alors de me relever lentement, mais je restais bloqué par la peur, mes muscles s'étaient crispés et, mon souffle devenait incontrôlable. -Moeko ? Ma..Malee....? Disais-je en bégayant. J'étais perdu sans mes lunettes et sans mes médicaments. A la fois désorienté et paniqué, je n'arrivais qu'a lui dire brièvement pendant la cadence insoutenable de mon souffle des mots déstructurés quasiment incompréhensibles – Il...me f...faut des....sé....datifs. Réclamais-je tout en respirant douloureusement. J'aurai préféré réussir à me les chercher moi même, ou tout simplement ne pas être dans cet état. Car à me voir, et surtout à demander des sédatifs, ça en disait bien trop sur mon secret que j'avais si bien caché. Mais je ne cherchais plus a lutter, avec ce qui venait de se dérouler. Tant pis, si on allait désormais savoir que j'étais bipolaire ou paranoïaque, je n'avais plus rien a perdre, mon monde venait de s'écrouler. Je n'avais plus la volonté de cacher quoi que se soit, ou de jouer l'introverti à tue-tête pour le moment. Je m'inquiétais pour les autres ; les Wonsungis et je venait à me demander si ma famille elle-même allait bien. -Les autres ? Disais-je à la silhouette. Je laissais paraître un visage inquiet tout en essayant tant bien que mal à discerner le visage de la jeune femme.
- Spoiler:
- Owi viens toi, mon prince charmant
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Mer 21 Jan - 17:23 Citer EditerSupprimer
Je sors derrière la japonaise et la thaïlandaise. Il y a sûrement des autres wonsungi qui devaient être coincé ou bloqué quelque part. Le couloir n'est pas à voir, je pense qu'on va devoir dormir dans un hôtel. Je me mets à côté de Moeko qui demande à moi et Malee si on avait fait les autres chambres. « Non, je suis venu directement dans ta chambre pour voir si tu n'étais pas blessée. » dis-je. Je commence à partir en fouillant un peu partout s'il y avait quelqu'un. Je ne veux pas gueuler. Ce n'est pas en criant que j'allais trouver quelqu'un puis si ça se trouve ce quelqu'un n'a pas trop de voix donc il faut être très prudent et regarder partout. J'attrape la japonaise par la main et je marche avec elle en essayant de trouver des jaunes, mais visiblement, il n'y avait rien. « Tu gueules si t'as besoin d'aide Malee. » criai-je de loin. Il faut que je vérifie si Takuya est dans la salle du président. Si ça se trouve, il est coincé là-bas ou je ne sais quoi. Il faut qu'on évacue les gens qu'on trouve. Il faut qu'on garde notre sang-froid pour qu'on arrive à faire quelque chose de bon. « Tu viens avec moi dans la salle du président voir s'il y a quelqu'un Moeko ? » demandai-je en lui tenant la main.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Jeu 29 Jan - 18:37 Citer EditerSupprimer
je regarde malee avancer dans le couloirs, m'agrippant à samyong. Je le regardait quelques secondes yeux dans les yeux, comme pour puiser du courage. Glissant ma main dans la sienne, je le suis donc dans le couloir, faisant attention ou je met les pieds et en retenant mes grimaces dû à la douleur. Je hoche la tête lorsqu'il me demande si je viens avec lui, et après avoir regardé malee continuer, non sang avoir un peu peur pour elle, j'essais de mettre toute ma concentration à disposition pour pouvoir aider les autres. en m'approchant de la porte du bureau ou je passais quand même un temps assez considérable, je tente de l'ouvrir mais elle bloque, alors je regarde sam yong histoire de lui demander d'un regard si il pouvait pas m'aider. Je recule alors instinctivement pour le laisser ouvrir la porte et une fois ceci-fait, je ne peut pas m'empêcher de tousser du à la poussière accumuler dans la pièce. taku? dit-je avec une toux rauque. Ouvrant les yeux pour contempler la chose, je panique littéralement oh putain...taku? puis finalement, e me tais, retenant même ma respiration pour entendre quelque chose, mes yeux scrutant la pièce, le bureau et le sol comblé, le lustre... A cet instant précis, j'ai maudit le doyen d'avoir autant aménager cette pièce, puis finalement en plissant les yeux, je remarque d'abord le sang, puis les cheveux brun du président. takuya ! il est la, sam.. dit-je en m'approchant de l'amas que formais le faux plafond sur l'armoire, sur takuya, sur les livres... après m'être accroupie pour passer mes mains sur ses joues, je glisse deux doigts à sa gorge en retenant ma respiration pétrifiée... pour me calmer un peu en sentant son poux putain c'que j'ai eu peur... murmurais-je pour moi-même, en japonais. caressant sa tête avec douceur, ne pouvant pas retenir mes larmes dû à la peur et la panique plus longtemps, je tentais de parler en coréen mais les mots sortaient en japonais de mes lèvres. Taku tu m'entend ? ça va aller, on va te sortir de la... dit-je en tremblant. Je me penche un peu plus et embrasse son front, avant de regarder mes mains pleine de sang avec horreur. Comme un choc électrique, je me relève pour aider samyong à enlever le faux plafond et les bouts de lustres on fait quoi ? il a peut-être un truc de cassé...
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Dim 1 Fév - 23:46 Citer EditerSupprimer TAG: #wonsungis ; #earthquake coded by RESCUE RANGER ! of ATF
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Quand elle avait poussé la porte, une voix lui avait immédiatement répondu. Une voix faible, mal assurée. Mais une voix tout de même. Fouillant la pièce du regard, elle tenta de trouver l’origine de ce son, tandis que de nouvelles paroles raisonnaient dans la chambre. « Des quoi ? Tu veux des quoi ? » demanda-t-elle, n’étant pas sûre de ce qu’il avait demandé, bien que le mot « datif » avait fini par se frayer un passage jusqu’à son cerveau. Et il n’y avait pas énormément de terme se terminant de cette manière. S’avançant d’un pas incertain dans la pièce, elle finit par apercevoir une silhouette contre un mur. « Minhyun c’est toi ? Les autres vont bien mais… » Petite pause. Elle ne savait pas quoi faire. Pourquoi y était-elle allée seule, au juste ? Elle secoua la tête, serra les poings et tenta de retrouver la maîtrise de la situation. « Je reviens ne bouge pas. » De l’action. Elle devait rester en mouvement. Alors elle sortit de la pièce aussi rapidement que possible et courut presque le long du couloir. Des sédatifs. C’était ce qu’il avait demandé non ? Elle retourna dans la salle de bain, frissonna en regardant l’état des lieux, mais se dirigea vers le meuble qui abritait la trousse de premiers secours et tous les autres médicaments. Il s’était décroché du mur et était tombé au sol, mais Malee n’eut pas beaucoup de difficultés à le relever, pour fouiller de temps. Elle écarta précautionneusement, mais rapidement les bouts de bois, et fouilla un instant, retirant les boîtes inutiles avant de finalement trouver ce qu’elle cherchait. Un petit pot de sédatif, perdu au fond du meuble. Et presque vide. Elle hocha la tête, se releva et fit un saut à la cuisine pour récupérer une bouteille d’eau miraculée, avant de retourner dans la chambre s’occuper de Minhyun. La porte étant restée ouverte, elle entra sans difficultés. « J’ai les sédatifs, » dit-elle simplement, avant de s’avancer lentement vers le jeune homme. Etant donné l’état dans lequel il se trouvait, elle espérait ne pas lui faire peur en s’approchant trop brusquement. A vrai dire, elle ne savait absolument pas ce qui lui arrivait. Au fond, elle le connaissait si peu… Alors elle voulait à tout prix éviter les ennuis.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Lun 2 Fév - 21:50 Citer EditerSupprimer
J'ouvre la porte du bureau et je tousse en même temps que Moeko puisqu'il y a énormément de poussière dans la pièce. Je rentre avec la demoiselle et je regarde partout. Lorsque mon regard croise le bureau, je vois une bibliothèque qui est sur notre président. Je vois la japonaise qui part vers lui en me disant qu'il était là-bas puis elle prend le pouls de Takuya. Je ne panique pas même si ça pouvait être inquiétant, il ne fallait surtout pas céder à la panique. Je m'approche et j'enlève le faux plafond avec Moeko. « Il faut faire attention, s'il a un truc de casser. » dis-je avant de reprendre. « Il faudra partir en douceur et éviter qu'on lui pète autre chose. » Je ne suis pas secouriste, mais je sais qu'il faut être prudent avec les personnes qui se sont cassés quelque chose. Nous arrivons à tout enlever et même la bibliothèque. Je regarde alors sa jambe et elle avait l'air amochée. « Je crois que sa jambe est foutue. » lançai-je en regardant la japonaise d'un drôle d'air. J'espère qu'elle va m'aider à le porter parce que c'est lourd lorsqu'une personne est inconsciente. « Aide-moi. » dis-je en attrapant Takuya. Il a pas mal morflé le président et j'espère que les autres ne sont pas comme lui parce qu'on est pas dans la merde.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Lun 2 Fév - 23:22 Citer EditerSupprimer #Earthquake ; #Wonsungi ; #Paranoïa coded by RESCUE RANGER ! of ATF
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Des échos. Des échos résonnaient dans ma tête. La voix qui portait jusqu'à mes oreilles devint confuse et hésitante. Il semblait que mon interlocuteur n'avait malheureusement pas compris ce que je lui avais dit. Ma respiration continuait de reprendre dans sa cadence folle, j'étais perdu, noyé dans un état de panique totale. J'avais peur de ce que m'entourait, mais aussi de moi même ; et si je n'arrivais pas à me contrôler ? La seule solution qui m'était venue à l'esprit était de prendre des sédatifs du moins, demander à mon interlocuteur de m'en chercher. En effet, il était hors de question de demander à quelqu'un de chercher quelque chose de plus... comment dire.... Spécifique ? Par exemple demander un neuroleptique peut être bien plus troublant voir effrayant surtout venant de la part de l'introverti de Min Hyun. L'idéal était alors de demander de simples pseudo-somnifères, quelque chose de bien plus vague et moins caractéristique d'un quelconque trouble psychologique. Bien sûr, cette demande allait avoir des conséquences, j'allais devoir m'expliquer plus tard, ou bien trouver une excuse mais pour l'instant le plus important était que je me calme afin de ne pas aggraver mon état.
Plus facile à dire qu'à faire tsss. Alors que mon anxiété était à son apogée, la silhouette resta stoïque quelques instants, réalisant probablement l'impact de mes mots avant de sortir de la pièce en courant. Il fallut moins d'une minute pour l'entendre accourir auprès de moi. Je l'entendis me murmurer quelques chose, mais mon souffle était tellement bruyant que je n'entendais rien. Néanmoins, je la vis s'approcher de moi, lentement tout en me tendant quelque chose. Je tendis ma main fébrile et tremblante avant d'entrer en contact avec le-dit objet. Un pot ? Je le saisissais avant de le secouer lentement. J'entendis alors quelque chose de cogner à l'intérieur. Relativement léger, j'arrivais un peu trop hâtivement à la conclusion qu'il s'agissait d'une boite de sédatifs. Je la retournais, avant de palper les cachets afin de les compter et j'étais sur le point probablement de les ingurgiter. Mais... Ma vue me jouait des tours... Oui, je ne pouvais pas savoir si ce qu'elle m'avait donné était vraiment des sédatifs. Et si.... C'était le moment idéal pour réaliser son plan ? Du genre c'est une espionne qui veut ma mort ?! D'ailleurs ce n'était même pas sur que je connaissais la personne devant moi, c'était le brouillard, le flou complet. Comment, avec ce genre de pensées les plus tordues j'allais réussir à avaler ces foutus cachets ? Devais-je tenter le diable alors qu'on essaie peut-être de se débarrasser de moi ? Mais.... Y avait-il un plan B ? Si je ne prenais pas ce que l'on m'avait ramené, la bombe émotionnelle en moi allait probablement exploser et j'allais probablement le regretter énormément. Je levais les yeux au ciel ou plutôt au plafond avant d'avaler ce qui reposait dans ma main. Comme un pro et sans eau, avec l'habitude ça passe tout seul. Je déglutissais lentement, en attendant que le somnifère fasse effet. Et soudain, ma tête devint lourde, ma respiration ralentissait peu à peu. « Merci... Euh... Qui est-tu ? Mes lunettes se....sont cassés..... je ne vois rien.... » Plus le temps s'écoulait, plus les secondes défilaient plus le poids sur la tête s’alourdissait, mon anxiété se dissipait, ma conscience se dissolvait. Il faisait noir.
Plus facile à dire qu'à faire tsss. Alors que mon anxiété était à son apogée, la silhouette resta stoïque quelques instants, réalisant probablement l'impact de mes mots avant de sortir de la pièce en courant. Il fallut moins d'une minute pour l'entendre accourir auprès de moi. Je l'entendis me murmurer quelques chose, mais mon souffle était tellement bruyant que je n'entendais rien. Néanmoins, je la vis s'approcher de moi, lentement tout en me tendant quelque chose. Je tendis ma main fébrile et tremblante avant d'entrer en contact avec le-dit objet. Un pot ? Je le saisissais avant de le secouer lentement. J'entendis alors quelque chose de cogner à l'intérieur. Relativement léger, j'arrivais un peu trop hâtivement à la conclusion qu'il s'agissait d'une boite de sédatifs. Je la retournais, avant de palper les cachets afin de les compter et j'étais sur le point probablement de les ingurgiter. Mais... Ma vue me jouait des tours... Oui, je ne pouvais pas savoir si ce qu'elle m'avait donné était vraiment des sédatifs. Et si.... C'était le moment idéal pour réaliser son plan ? Du genre c'est une espionne qui veut ma mort ?! D'ailleurs ce n'était même pas sur que je connaissais la personne devant moi, c'était le brouillard, le flou complet. Comment, avec ce genre de pensées les plus tordues j'allais réussir à avaler ces foutus cachets ? Devais-je tenter le diable alors qu'on essaie peut-être de se débarrasser de moi ? Mais.... Y avait-il un plan B ? Si je ne prenais pas ce que l'on m'avait ramené, la bombe émotionnelle en moi allait probablement exploser et j'allais probablement le regretter énormément. Je levais les yeux au ciel ou plutôt au plafond avant d'avaler ce qui reposait dans ma main. Comme un pro et sans eau, avec l'habitude ça passe tout seul. Je déglutissais lentement, en attendant que le somnifère fasse effet. Et soudain, ma tête devint lourde, ma respiration ralentissait peu à peu. « Merci... Euh... Qui est-tu ? Mes lunettes se....sont cassés..... je ne vois rien.... » Plus le temps s'écoulait, plus les secondes défilaient plus le poids sur la tête s’alourdissait, mon anxiété se dissipait, ma conscience se dissolvait. Il faisait noir.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Jeu 5 Fév - 12:37 Citer EditerSupprimer
J'avais eu du mal à me détacher de takuya pour le sortir de a, mais poussée par l’adrénaline et la peur, je m'étais relevé pour aider samyong à enlever l'armoire. J'avais vraiment très peur que takuya ai mal, et en entendant samyong parler, mes craintes ne s'estompait pas, au contraire. non! criais-je, sans vraiment me rendre compte de la force que j'ai mis dans ma voix pour l'empêcher de bouger takuya. non... soufflait-je à nouveau, en m'accroupissant près de notre président. Il faut... faut pas le bouger brusquement, faut immobiliser sa jambe, on peut pas le bouger sinon il va avoir trop mal ! dit-je en fermant les yeux, essayant de reprendre le contrôle sur mes émotions, je passe ms deux mains sur mes joues pour chasser les larmes et regarde alors la jambe du japonais, puis relève la tête vers samyong. mh... casse l'armoire. Il faut immobiliser au moins sa jambe. Faudrait réussir à trouver des secours... Je passe une main sur la joue du japonais, le couvant du regard, la gorge si serré que ça en devenait insupportable pour respirer. mh. Je vais chercher de l'aide ? Ou alors on le sors au moins juste devant le dortoir, mai son peut pas le porter jusque l'hôpital, c'est beaucoup trop loin ! J'inspire un grand coup et me relève, enlève le gilet que j'avait sur les épaules et entreprend d'arracher les manches pour faire tenir la futur planche autour de sa jambe.
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Re: [EVENT] « where are you now ? » | Jeu 5 Fév - 15:51 Citer EditerSupprimer TAG: #wonsungis ; #earthquake coded by RESCUE RANGER ! of ATF
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Quand il prit le pot, Malee se pencha vers Minhyun, s’accroupissant à quelques centimètres de lui. Elle tendit la main, alors que son regard déviait vers celle du jeune homme, où reposaient les comprimés. Elle cligna des yeux. Ouvrit la bouche. « Ne prends pas… » Trop tard, il avait tout avalé. Elle se mordilla la lèvre. Quelles étaient les conséquences d’une surconsommation de sédatifs ? Elle n’en savait absolument rien, n’ayant pas pour habitude d’en prendre. Même quand elle avait du mal à dormir, elle préférait attendre que le sommeil vienne, ayant trop peur de devenir accroc à ces petits comprimés au point de ne plus pouvoir s’en passer. Elle le regarda fixement, les yeux plissés, analysant ses réactions afin de voir s’il avait des soucis, si de graves effets secondaires commençaient à arriver. Mais non, il semblait juste fatigué. La thaïlandaise posa une main sur l’épaule de son camarade. « C’est Malee. Ça va ? T’as mal quelque part ? » Petite pause, tandis qu’elle en profitait pour inspirer et expirer calmement. Elle n’avait pas prévu qu’il prendrait tous les médicaments. Elle avait peur qu’il tombe dans le sommeil là, comme ça, dans cette position. Elle avait espéré qu’il attende un peu, au moins de se trouver dans un endroit plus agréable. « Tu crois que tu vas pouvoir te déplacer ? Ou il faut que j’aille chercher quelqu’un ? Tu ne peux pas dormir ici. » Et elle n’était certainement pas assez musclée pour le porter toute seule. Même si elle aurait bien aimer. Elle retira sa main de l’épaule de Minhyun et commença à triturer ses autres doigts, perdue dans ses pensées. Comment faire ? Elle n’avait même pas le temps de réfléchir, les secondes étaient comptées avant que le jeune homme ne tombe dans les vapes. Mais qu’est-ce qui lui avait pris de vider le flacon au juste ? Elle se releva lentement et le fixa, de haut, n’apercevant que le haut de son crâne. Elle se demandait bien ce qui s’y passait à l’instant présent. Elle se rendait compte, à ce moment précis plus que n’importe quand, à quel point elle ne le connaissait pas réellement, à quel point elle était incapable de comprendre véritablement les raisons de ses actes. Et ça l’inquiétait plus que tout.
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