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yolo. » hoseok
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yolo. » hoseok | Dim 18 Jan - 0:43
Je ne sais pas qu'elle idée foireuse j'ai eu lorsque j'ai accepté. Lorsque j'ai dis oui, que je me suis enrôlé tout seul dans cette histoire qui, peut-être à l'instant me dépasse quelque peu. Toujours est-il que je n'ai pas fait machine arrière, que j'y vais la tête haute, sans aucun regret. Un cambriolage. Fallait quand même être sacrément taré pour faire ce genre de chose. Lorsque j'étais plus jeune, c'était chose courante, voir même assez banale à ma vie. J'avais pour habitude de faire ça, parfois pour passer le temps, pour l'adrénaline ou même le goût du risque. A l'époque j'étais jeune et con, 17 ans tout au plus, paumé comme jamais, un caïd des bacs à sables pensant que le monde était à ses pieds. Un mec pas très fréquentable et qui le revendiquait sans gêne. Je faisais clairement pitié. Mais aujourd'hui .. Fraîchement 21 ans, j'ai pourtant arrêté mes conneries il y a un moment maintenant, alors pourquoi replonger après tant d'années ? C'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas facilement. L'argent facile et j'en passe, beaucoup de points était en faveur à ma débauche et beaucoup d'autre au contraire m'en empêchaient. Pourtant j'étais bien là à me diriger vers la boutique de Hyojin, la clope au bec et la capuche vissée sur ma tête. Su&Jin.. Nouvellement mis à neuf en plus de ça. Le pire dans cette histoire était que je m’apprêtais à cambrioler ma meilleure amie et .. Son foutu copain. Quel mec étais-je, quel genre d'ami pouvait bien faire ça entre nous ? A croire qu'un connard en reste un jusqu'à la fin de sa vie. Cela dit, si j'avais pu emmètre mon veto quant à l'endroit à mettre à sac, j'aurais de toute évidence choisi autre part. Mais soit, c'était ainsi. Je n'avais plus qu'à espérer maintenant qu'aucun des deux ne saurait un jour que j'avais participé à cet grosse connerie.
Je soupire fortement, tirant une dernière fois sur ma cigarette, avant de l'envoyer voler un peu plus loin. La nuit était bien avancée désormais et peu de monde circulait dans les rues. Habillé tout en noir, le peu de pélos que je croisais me détaillait de haut en bas, songeant peut-être que j'allais être l'auteur d'une emmerde ce soir. S'ils savaient les pauvres. Je ne suis pas de ces gens sympa avec qui l'on aime discuter du beau temps. J'ai peut-être mûri et changé avec le temps, le salop en moi a toujours été présent au fond certainement. Il sommeillait juste, et aujourd'hui, englobé de cette nuit calme, il se réveillait et ce n'était pas une bonne chose. Loin de là.
Je n'avais aucune idée de qui j'allais retrouver la bas, on m'avait parlé de ce cambriolage, mais certainement pas de la personne qui allait m'accompagner. Je n'aimais pas les surprises seulement actuellement, je me contre fichais de l'identité de l'autre. Ce qui m’importait le plus était l'argent à la clé juste l'argent, rien que l'argent. La rue familière me frappa, ayant l'habitude de venir rendre visite à Sunah parfois. Ma pauvre Sunah si elle savait.. Secouant la tête de gauche à droite je tente de chasser son image de mon esprit. Il ne fallait pas que je pense à elle, elle serait l'unique cause qui me ferait faire demi tour et inconsciemment, je ne voulait pas. M'approchant de la boutique, je distingue une silhouette et accélère le pas. Un garçon se m’apparaît finalement et j'échappe un rire sarcastique en le reconnaissant. « Hoseok bah voyons ~ »
Je ne sais pas qu'elle idée foireuse j'ai eu lorsque j'ai accepté. Lorsque j'ai dis oui, que je me suis enrôlé tout seul dans cette histoire qui, peut-être à l'instant me dépasse quelque peu. Toujours est-il que je n'ai pas fait machine arrière, que j'y vais la tête haute, sans aucun regret. Un cambriolage. Fallait quand même être sacrément taré pour faire ce genre de chose. Lorsque j'étais plus jeune, c'était chose courante, voir même assez banale à ma vie. J'avais pour habitude de faire ça, parfois pour passer le temps, pour l'adrénaline ou même le goût du risque. A l'époque j'étais jeune et con, 17 ans tout au plus, paumé comme jamais, un caïd des bacs à sables pensant que le monde était à ses pieds. Un mec pas très fréquentable et qui le revendiquait sans gêne. Je faisais clairement pitié. Mais aujourd'hui .. Fraîchement 21 ans, j'ai pourtant arrêté mes conneries il y a un moment maintenant, alors pourquoi replonger après tant d'années ? C'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas facilement. L'argent facile et j'en passe, beaucoup de points était en faveur à ma débauche et beaucoup d'autre au contraire m'en empêchaient. Pourtant j'étais bien là à me diriger vers la boutique de Hyojin, la clope au bec et la capuche vissée sur ma tête. Su&Jin.. Nouvellement mis à neuf en plus de ça. Le pire dans cette histoire était que je m’apprêtais à cambrioler ma meilleure amie et .. Son foutu copain. Quel mec étais-je, quel genre d'ami pouvait bien faire ça entre nous ? A croire qu'un connard en reste un jusqu'à la fin de sa vie. Cela dit, si j'avais pu emmètre mon veto quant à l'endroit à mettre à sac, j'aurais de toute évidence choisi autre part. Mais soit, c'était ainsi. Je n'avais plus qu'à espérer maintenant qu'aucun des deux ne saurait un jour que j'avais participé à cet grosse connerie.Je soupire fortement, tirant une dernière fois sur ma cigarette, avant de l'envoyer voler un peu plus loin. La nuit était bien avancée désormais et peu de monde circulait dans les rues. Habillé tout en noir, le peu de pélos que je croisais me détaillait de haut en bas, songeant peut-être que j'allais être l'auteur d'une emmerde ce soir. S'ils savaient les pauvres. Je ne suis pas de ces gens sympa avec qui l'on aime discuter du beau temps. J'ai peut-être mûri et changé avec le temps, le salop en moi a toujours été présent au fond certainement. Il sommeillait juste, et aujourd'hui, englobé de cette nuit calme, il se réveillait et ce n'était pas une bonne chose. Loin de là.
Je n'avais aucune idée de qui j'allais retrouver la bas, on m'avait parlé de ce cambriolage, mais certainement pas de la personne qui allait m'accompagner. Je n'aimais pas les surprises seulement actuellement, je me contre fichais de l'identité de l'autre. Ce qui m’importait le plus était l'argent à la clé juste l'argent, rien que l'argent. La rue familière me frappa, ayant l'habitude de venir rendre visite à Sunah parfois. Ma pauvre Sunah si elle savait.. Secouant la tête de gauche à droite je tente de chasser son image de mon esprit. Il ne fallait pas que je pense à elle, elle serait l'unique cause qui me ferait faire demi tour et inconsciemment, je ne voulait pas. M'approchant de la boutique, je distingue une silhouette et accélère le pas. Un garçon se m’apparaît finalement et j'échappe un rire sarcastique en le reconnaissant. « Hoseok bah voyons ~ »
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Re: yolo. » hoseok | Dim 18 Jan - 2:10 
yolo.
La veille, sous le coup de la colère, j'ai pris une décision que j'aurais pu regretter. Mais avec le temps, en y réfléchissant bien, ce n'était peut-être pas si stupide. Quitter ce groupe. Après tout, je pense qu'ils peuvent s'en sortir sans moi. Et si c'est pour avoir à faire à Moeko à chaque fois qu'il s'agit du crew, non merci. La seule chose qui me retient de concrétiser ma décision c'est Samy. Et Mikan. Et Seonghee. Et tous les autres en fait. Mais ça me travaille, véritablement. Je n'ai pas dormi en rentrant chez moi et je sens que ça va être comme ça jusqu'à ce que mon problème soit réglé.
Je reçois un sms d'un mec qui ne m'avait pas contacté depuis des mois. Même des années, je ne sais plus trop. Il me demande de lui filer un coup de main pour un cambriolage. Il y a quelques années j'aurais dit oui sans hésiter, mais grâce à Samy j'ai appris à ne plus fréquenter de telles personnes et à ne pas faire de conneries. Du moins pas des conneries à grave conséquences. Mais là, mon esprit est ailleurs et je me surprends à envisager la possibilité de lui filer un coup de main. Je n'ai pas beaucoup d'argent en ce moment, les parents ne veulent pas en lâcher simplement pour me punir d'avoir trop dépensé à Noël. Sauf que j'ai pas mal de choses à financer, malgré le super cadeau de Sujin, j'ai encore plein de matos à me procurer surtout si je veux faire mes preuves dans l'agence qui m'a rappelé cet après-midi. Bref, j'ai fini par accepter comme un abruti. Si Samy l'apprend, je suis cuit. En fait, pire que ça. Ce n'est pas n'importe quel endroit que je m'apprête à cambrioler, genre pas la maison de la halmeoni du coin, non, c'est une bijouterie. La bijouterie de Sunah. Ma petite Sunah et son con de copain. J'ai toujours été jaloux de ce gars merde, lui au moins il avait pas la barrière du frère. Soit, ça m'avait quand même mis un stop mais bon, quand c'est pour le fric, on le fait. C'est pas ça qui va m'arrêter, j'ai fait bien pire par le passé.
Je m'habille tout en noir et je mets ma cagoule dans la poche arrière de mon jean. Je ne tiens pas à me faire reconnaître par les CCTV, si je peux éviter que Sunah apprenne que je suis impliqué dans cet histoire ce serait cool. Ce qui me plaît encore moins dans l'histoire, c'est de ne pas agir seul. Généralement ça me déplaît parce que ça a tendance à me ralentir ou au contraire, me faire aller trop vite. Mais bon, au moins si on se fait choper je pourrai toujours dénoncer mon coéquipier.
Je me rends dans le centre ville, le pas lent. Je ne suis jamais tellement pressé d'accomplir ce genre de chose. Je le fais, mais je ne suis pas fier pour autant. Mais c'est une façon de me venger de tout ce qui me prend la tête en ce moment. J'arrive aux abords de la bijouterie et je me pose. J'attends mon coéquipier. Je sens une présence à mes côtés après cinq minutes à attendre. Je me retourne, ce n'est pas un visage inconnu, malheureusement. J'aurais préféré pouvoir rester anonyme ou pouvoir le balancer sans que ça ait de conséquences, mais on a trop de relations en commun. « Dewei, tiens. Pourquoi ça ne m'étonne pas de te voir ici. Une rechute je présume ? » Mais l'heure n'est pas au sarcasme et à l'éveil des vieux démons. On a un truc à faire, plus vite ce sera fait, plus vite on pourra se quitter.
Je lui fais signe de me suivre dans la petite ruelle adjacente et je sors mon téléphone. « Bon, t'as été mis au courant du plan ou pas ? On va utiliser la porte au bout là-bas, apparemment elle ne ferme pas bien et donne accès au local poubelle de la bijouterie. Après ça, on verra quelles possibilités s'offrent à nous. Ça marche comme ça ? »
Je reçois un sms d'un mec qui ne m'avait pas contacté depuis des mois. Même des années, je ne sais plus trop. Il me demande de lui filer un coup de main pour un cambriolage. Il y a quelques années j'aurais dit oui sans hésiter, mais grâce à Samy j'ai appris à ne plus fréquenter de telles personnes et à ne pas faire de conneries. Du moins pas des conneries à grave conséquences. Mais là, mon esprit est ailleurs et je me surprends à envisager la possibilité de lui filer un coup de main. Je n'ai pas beaucoup d'argent en ce moment, les parents ne veulent pas en lâcher simplement pour me punir d'avoir trop dépensé à Noël. Sauf que j'ai pas mal de choses à financer, malgré le super cadeau de Sujin, j'ai encore plein de matos à me procurer surtout si je veux faire mes preuves dans l'agence qui m'a rappelé cet après-midi. Bref, j'ai fini par accepter comme un abruti. Si Samy l'apprend, je suis cuit. En fait, pire que ça. Ce n'est pas n'importe quel endroit que je m'apprête à cambrioler, genre pas la maison de la halmeoni du coin, non, c'est une bijouterie. La bijouterie de Sunah. Ma petite Sunah et son con de copain. J'ai toujours été jaloux de ce gars merde, lui au moins il avait pas la barrière du frère. Soit, ça m'avait quand même mis un stop mais bon, quand c'est pour le fric, on le fait. C'est pas ça qui va m'arrêter, j'ai fait bien pire par le passé.
Je m'habille tout en noir et je mets ma cagoule dans la poche arrière de mon jean. Je ne tiens pas à me faire reconnaître par les CCTV, si je peux éviter que Sunah apprenne que je suis impliqué dans cet histoire ce serait cool. Ce qui me plaît encore moins dans l'histoire, c'est de ne pas agir seul. Généralement ça me déplaît parce que ça a tendance à me ralentir ou au contraire, me faire aller trop vite. Mais bon, au moins si on se fait choper je pourrai toujours dénoncer mon coéquipier.
Je me rends dans le centre ville, le pas lent. Je ne suis jamais tellement pressé d'accomplir ce genre de chose. Je le fais, mais je ne suis pas fier pour autant. Mais c'est une façon de me venger de tout ce qui me prend la tête en ce moment. J'arrive aux abords de la bijouterie et je me pose. J'attends mon coéquipier. Je sens une présence à mes côtés après cinq minutes à attendre. Je me retourne, ce n'est pas un visage inconnu, malheureusement. J'aurais préféré pouvoir rester anonyme ou pouvoir le balancer sans que ça ait de conséquences, mais on a trop de relations en commun. « Dewei, tiens. Pourquoi ça ne m'étonne pas de te voir ici. Une rechute je présume ? » Mais l'heure n'est pas au sarcasme et à l'éveil des vieux démons. On a un truc à faire, plus vite ce sera fait, plus vite on pourra se quitter.
Je lui fais signe de me suivre dans la petite ruelle adjacente et je sors mon téléphone. « Bon, t'as été mis au courant du plan ou pas ? On va utiliser la porte au bout là-bas, apparemment elle ne ferme pas bien et donne accès au local poubelle de la bijouterie. Après ça, on verra quelles possibilités s'offrent à nous. Ça marche comme ça ? »
© charney
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Re: yolo. » hoseok | Jeu 22 Jan - 17:38
Me plaçant devant lui, un sourire narquois pendu à mes lèvres. De tous les coéquipiers possibles et inimaginables il avait fallut que je tombe sur ce blaireau. C'était bien ma vaine tien. Du plus loin que je me souvienne Ho Seok et moi n'avons jamais entretenu de bons rapports. Probablement à cause de nos caractères de feu. Une fois je crois, on c'est foutu sur la tronche et depuis plus rien. Je ne le porte pas dans mon cœur et je suppose que c'est réciproque, mais voilà ça s'arrêtait là. Il faut dire qu'en même temps c'est pas tous les jours que je croise sa route et je ne m'en porte pas plus mal. Moins je le vois, mieux je me porte. Ce soir par contre, j'allais devoir remballer ma fierté et accepter de bosser avec lui. Loin d'être heureux, je ricane à sa question et hausse simplement les sourcils, souriant toujours et ne prenant pas la peine de lui répondre. Une rechute.. Je ne sais pas vraiment si l'on peut appeler ça ainsi, quoi que. Ca fait des lustres que je n'ai pas étais mêlé à ce genre de combine alors autant appeler un chat, un chat. Une rechute, ouais c'était de toute évidence ça, mais cela ne le concernait pas du tout. Enfin bon.
Je le suis dans une petite ruelle et l'écoute à moitié lorsqu'il commence à déballer sa science. J'aurais très bien pu le couper et lui dire qu'effectivement j'étais au courant, mais ce serait trop bête de le couper dans son élan. J'inspecte les alentours brièvement, m’imprégnant du lieu. Sunah est malheureusement très vite occultée de ma tête et je ne pense plus qu'à tout l'argent que je vais bien pouvoir amasser avec ce petit cambriolage. « Ouais merci pour le topo, mais j'étais déjà mis au parfum. » Lui indiquant de me suivre, je me rapproche de la dite porte du locale à poubelle. Plaçant ma main sur la poignet, je tire faiblement vers moi et effectivement, cette dernière ne tien pas franchement. Hyo Jin devrait faire plus attention tant pis pour lui. « Bon, je connais bien la boutique pour y être venu plus d'une fois. » Pas très fière, mais au moins ça va nous servir. « Le local à poubelle donne accès à la réserve normalement, il n'y a pas de porte c'est un petit couloir et à l’intérieur rien n'est fermé à clés vu que les travaux sont fini. Dans cette fameuse réserve, c'est juste le gros pactole, en gros pierre précieuse à gogo si tu vois ce que je veux dire. » Je ris presque d'avance et lentement je peux commencer à la sentir, cette adrénaline s'infiltrer dans mes veines et m'animer. Cette sensation m'avait manquait. « Bon y'a des caméras un peu partout, j'ai rien pour les couvrir donc si toi par contre t'as quelque chose ce serait franchement bien. Au pire on est bien camouflés mais bon .. J'ai pas vraiment envie d'être reconnue je t'avouerais. » Hyo Jin j'en avais rien à faire, mais dans le fond, je n'avais pas envie de décevoir Sunah, elle avait tout fait pour me tirer vers le haut, y était parvenue même, ce n'était pas pour replonger, si longtemps après surtout.
Ajustant mon sac sur mon dos, je lève à nouveau mes yeux vers lui, ces derniers brillant d'une lueur qui les avait quitté il y'a au moins 2 ans de ça. « Bon alors c'est parti ou t'as encore envie de m'étaler ton savoir ? » Un pique pour la route, mes jambes tremblaient presque sous le trop pleins de sentiments, j'avais l'impression de rajeunir et de retomber lors de mes années folles. Bordel ce que c'était bon.
Me plaçant devant lui, un sourire narquois pendu à mes lèvres. De tous les coéquipiers possibles et inimaginables il avait fallut que je tombe sur ce blaireau. C'était bien ma vaine tien. Du plus loin que je me souvienne Ho Seok et moi n'avons jamais entretenu de bons rapports. Probablement à cause de nos caractères de feu. Une fois je crois, on c'est foutu sur la tronche et depuis plus rien. Je ne le porte pas dans mon cœur et je suppose que c'est réciproque, mais voilà ça s'arrêtait là. Il faut dire qu'en même temps c'est pas tous les jours que je croise sa route et je ne m'en porte pas plus mal. Moins je le vois, mieux je me porte. Ce soir par contre, j'allais devoir remballer ma fierté et accepter de bosser avec lui. Loin d'être heureux, je ricane à sa question et hausse simplement les sourcils, souriant toujours et ne prenant pas la peine de lui répondre. Une rechute.. Je ne sais pas vraiment si l'on peut appeler ça ainsi, quoi que. Ca fait des lustres que je n'ai pas étais mêlé à ce genre de combine alors autant appeler un chat, un chat. Une rechute, ouais c'était de toute évidence ça, mais cela ne le concernait pas du tout. Enfin bon.Je le suis dans une petite ruelle et l'écoute à moitié lorsqu'il commence à déballer sa science. J'aurais très bien pu le couper et lui dire qu'effectivement j'étais au courant, mais ce serait trop bête de le couper dans son élan. J'inspecte les alentours brièvement, m’imprégnant du lieu. Sunah est malheureusement très vite occultée de ma tête et je ne pense plus qu'à tout l'argent que je vais bien pouvoir amasser avec ce petit cambriolage. « Ouais merci pour le topo, mais j'étais déjà mis au parfum. » Lui indiquant de me suivre, je me rapproche de la dite porte du locale à poubelle. Plaçant ma main sur la poignet, je tire faiblement vers moi et effectivement, cette dernière ne tien pas franchement. Hyo Jin devrait faire plus attention tant pis pour lui. « Bon, je connais bien la boutique pour y être venu plus d'une fois. » Pas très fière, mais au moins ça va nous servir. « Le local à poubelle donne accès à la réserve normalement, il n'y a pas de porte c'est un petit couloir et à l’intérieur rien n'est fermé à clés vu que les travaux sont fini. Dans cette fameuse réserve, c'est juste le gros pactole, en gros pierre précieuse à gogo si tu vois ce que je veux dire. » Je ris presque d'avance et lentement je peux commencer à la sentir, cette adrénaline s'infiltrer dans mes veines et m'animer. Cette sensation m'avait manquait. « Bon y'a des caméras un peu partout, j'ai rien pour les couvrir donc si toi par contre t'as quelque chose ce serait franchement bien. Au pire on est bien camouflés mais bon .. J'ai pas vraiment envie d'être reconnue je t'avouerais. » Hyo Jin j'en avais rien à faire, mais dans le fond, je n'avais pas envie de décevoir Sunah, elle avait tout fait pour me tirer vers le haut, y était parvenue même, ce n'était pas pour replonger, si longtemps après surtout.
Ajustant mon sac sur mon dos, je lève à nouveau mes yeux vers lui, ces derniers brillant d'une lueur qui les avait quitté il y'a au moins 2 ans de ça. « Bon alors c'est parti ou t'as encore envie de m'étaler ton savoir ? » Un pique pour la route, mes jambes tremblaient presque sous le trop pleins de sentiments, j'avais l'impression de rajeunir et de retomber lors de mes années folles. Bordel ce que c'était bon.
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Re: yolo. » hoseok | Ven 23 Jan - 0:33
yolo.
Je sais que ce que je fais risque de déplaire à Samy. Mais je le fais parce qu'au fond de moi j'ai envie de le faire, j'ai besoin de cet argent, j'ai besoin de financer pas mal de choses et mon job de DJ rapporte que dalle. Puis, demander à mes parents, ce n'est même pas la peine, ils ont déjà été beaucoup trop sympa avec moi pour que j'ose leur demander quoique ce soit. Mais je ne peux pas me faire avoir, je ne peux pas permettre à la police de connaître mon identité et j'espère bien que ce con de Dewei va fermer sa gueule sur ma présence ici. D'ailleurs Dewei, parlons-en. Je ne m'attendais tellement pas à le voir ici. Je sais que c'est un con, mais je sais pas, je m'imaginais être avec quelqu'un dont je ne connais pas l'identité et les choses auraient été plus simples. Mais non. Enfin, je dois laisser ma rancoeur pour ce mec de côté afin de ne pas faire foirer le cambriolage.
Je fais un bref résumé du plan qui a été mis en place, même si je me doute qu'il a été mis au courant, je préfère le rappeler, on ne sait jamais. Concrètement, je ne connais pas ce gars. Tout ce qu'il y a eu entre nous, c'est de la baston, un point c'est tout. Je sais pas, j'aime pas sa gueule alors bon, puis je pense que de toute manière c'est assez réciproque.
En tout cas, je ne pouvais pas nier qu'il était un point fort pour ce cambriolage. Je ne pensais pas être amené à penser ça de lui à un moment de ma vie, mais le fait qu'il connaisse bien les lieux allait clairement nous faciliter la tâche. « Ah bah ça va, ils auront au moins bien choisi mon coéquipier. Pour une fois qu'ils font bien les choses. » Non parce que je me souviens d'être tombé sur des cons de première, honnêtement. Ça m'avait plus embêté qu'autre chose, être seul aurait été bien plus efficace.
J'écoutais donc attentivement ce qu'il disait, un couloir donc. Ils étaient un peu con quand même, fin je sais pas j'aurais une bijouterie - donc un endroit avec plein de choses de valeur - je prendrais un minimum de précautions quoi, je ne laisserais pas les choses au hasard. Une alarme sur la porte avant ça ne suffit pas, d'ailleurs si ça se trouve, je vais ouvrir la porte avant et il se passera rien. Après, y a les caméras mais honnêtement le temps qu'il y ait une réaction, je pense qu'on aura déjà ce qu'on veut.
Il évoqua la présence de caméras, évidemment, j'aurais vraiment pensé que l'autre Hyo Jin était un abruti fini. Il me demanda si j'avais un truc pour cacher. « Ben alors, on ne pense pas aux bases ? Ouais j'ai pris ma bombe de peinture noire, je vais m'occuper de les bomber histoire de nous laisser le passage libre. »
Il me regarda, visiblement impatient d'y aller. Mon discours ne semblait pas lui avoir plu étant donné sa remarque. J'haussais les épaules avant de lui passer devant. Je remonte le foulard qui était autour de mon cou pour le mettre devant mon visage et je descend mon bonnet de façon à ce qu'on ne puisse voir mes yeux. « Ouais t'inquiètes on y va. » J'entre dans la pièce et me dirige discrètement vers la première caméra, je longe le mur afin de ne pas être vu et j'appuie sur le spray de la bombe à peinture. Première caméra neutralisée. J'observe autour, évidemment, il y a une autre caméra en face. Je me dépêche d'aller la neutraliser également. Evidemment, si quelqu'un regardait la vidéo à ce moment là, je suis cramé mais bon, tout le monde sait que les surveillants sont toujours endormis devant leurs écrans. Une fois la caméra bombée, je fais signe à Dewei de venir. « C'est bon, ici c'est tranquille maintenant. Ils auraient pu nous filer un plan avec l'emplacement des caméras quand même. »
Je fais un bref résumé du plan qui a été mis en place, même si je me doute qu'il a été mis au courant, je préfère le rappeler, on ne sait jamais. Concrètement, je ne connais pas ce gars. Tout ce qu'il y a eu entre nous, c'est de la baston, un point c'est tout. Je sais pas, j'aime pas sa gueule alors bon, puis je pense que de toute manière c'est assez réciproque.
En tout cas, je ne pouvais pas nier qu'il était un point fort pour ce cambriolage. Je ne pensais pas être amené à penser ça de lui à un moment de ma vie, mais le fait qu'il connaisse bien les lieux allait clairement nous faciliter la tâche. « Ah bah ça va, ils auront au moins bien choisi mon coéquipier. Pour une fois qu'ils font bien les choses. » Non parce que je me souviens d'être tombé sur des cons de première, honnêtement. Ça m'avait plus embêté qu'autre chose, être seul aurait été bien plus efficace.
J'écoutais donc attentivement ce qu'il disait, un couloir donc. Ils étaient un peu con quand même, fin je sais pas j'aurais une bijouterie - donc un endroit avec plein de choses de valeur - je prendrais un minimum de précautions quoi, je ne laisserais pas les choses au hasard. Une alarme sur la porte avant ça ne suffit pas, d'ailleurs si ça se trouve, je vais ouvrir la porte avant et il se passera rien. Après, y a les caméras mais honnêtement le temps qu'il y ait une réaction, je pense qu'on aura déjà ce qu'on veut.
Il évoqua la présence de caméras, évidemment, j'aurais vraiment pensé que l'autre Hyo Jin était un abruti fini. Il me demanda si j'avais un truc pour cacher. « Ben alors, on ne pense pas aux bases ? Ouais j'ai pris ma bombe de peinture noire, je vais m'occuper de les bomber histoire de nous laisser le passage libre. »
Il me regarda, visiblement impatient d'y aller. Mon discours ne semblait pas lui avoir plu étant donné sa remarque. J'haussais les épaules avant de lui passer devant. Je remonte le foulard qui était autour de mon cou pour le mettre devant mon visage et je descend mon bonnet de façon à ce qu'on ne puisse voir mes yeux. « Ouais t'inquiètes on y va. » J'entre dans la pièce et me dirige discrètement vers la première caméra, je longe le mur afin de ne pas être vu et j'appuie sur le spray de la bombe à peinture. Première caméra neutralisée. J'observe autour, évidemment, il y a une autre caméra en face. Je me dépêche d'aller la neutraliser également. Evidemment, si quelqu'un regardait la vidéo à ce moment là, je suis cramé mais bon, tout le monde sait que les surveillants sont toujours endormis devant leurs écrans. Une fois la caméra bombée, je fais signe à Dewei de venir. « C'est bon, ici c'est tranquille maintenant. Ils auraient pu nous filer un plan avec l'emplacement des caméras quand même. »
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Re: yolo. » hoseok | Mer 4 Fév - 1:45
Je ricane sarcastique et lance un bref « ok » lorsque Hoseok annonce avoir des bombes de peinture. Au fond de moi j'en suis clairement soulagé, la dernière chose que je souhaite présentement c'est de me faire chopper. Encore pire, que Sunah comprenne que je suis à l'origine de ce cambriolage. Je n'ose même pas imaginer à quel point elle pourrait être dessus et surtout quel saut dans le temps elle ferait. Un court instant je repense à notre rencontre à la pyobeom et moi et à comment on était devenu des meilleurs amis. Dire que tout avait commencé parce que, con comme je l'étais à l'époque, j'avais cambriolé sa maison.. Je soupire faiblement en comprenant que je recommençais à être la personne que je m'étais efforcé de faire disparaître toutes ses années, puis arrête de penser à cela. Je sens les pulsations de mon cœur s'accéléraient doucement tandis que l'adrénaline me gagnait. La concentration me frappe lorsqu'on y va finalement.
Inspiration, expiration, la porte est ouverte, on entre et je le laisse aller bomber la caméra dans le couloir. Je fixe un peu mieux ma capuche sur ma tête et oriente mon visage vers le sol et le rejoins. L'endroit est sombre, froid et une odeur de neuf et de fraîchement repeint me pique les narines. Un sourire moqueur étire mes lèvres devant sa remarque, c'est qu'il est marrant quand il s'y met. « Tu aurais voulu qu'ils nous filent la clé des vitrines aussi ? Et pourquoi pas celle de l'entrée principal tant qu'on y est ? » Je roule des yeux et me retiens de rire fortement. Hoseok est loin d'être stupide, je le sais, je le connais. J'avoue que je suis un peu rassuré aussi de faire équipe avec lui pour le coup, bien que sa présence si proche de moi ne me pompe l'air quand même. Jetant un coup d’œil à droite à gauche, pour assurer nos arrières bien que je sache qu'il n'y ait personne, mes yeux clignotent comme si j'avais trouvé des lingots d'or lorsque je tombe sur la porte de la réserve. La porte qui cache un gros butin. L'euphorie de l'instant se fait sentir, je stresse autant que j'ai hâte. Je sais que c'est interdit pourtant je veux y toucher et cette sensation quelque part m'avait manqué. « Tu vois cette porte la bas. » Je pointe celle en face à nous. « C'est celle qui donne sur la salle principal avec vitrine et tout le tralala. celle d’à côté c'est la réserve, la caverne d'Ali baba mon pote. » Je murmure, excité comme une puce quant à ce qui va suivre. Je passe devant lui et du bout des doigts effleure l'une des deux poignées. « J'ai peur que, si on accède à la boutique il y ait une alarme qui nous foute dans la merde. » Et de toute évidence il y en avait une. « Le risque est qu'il y en ait une aussi pour cette porte la vu qu'il ne ferme pas à double tour. HyoJin est vraiment nul. » Je pivote et pointe l'autre porte, celle que je ne vais pas tarder à ouvrir. Mon regard doit briller dans le noir, mon rythme cardiaque est à son maximum lorsque je pose ma main sur le saint graal et que je l'abaisse faiblement. « Au pire si alarme il y a .. on aura 5 minutes même pas pour tout prendre et se barrer en vitesse. J'espère que tu n'as pas peur, que ta bombe est prête parce que caméra il y a je le sais. » Mon visage est tourné dans la direction de Hoseok, l'un de mes sourcils est relevé et sans attendre je pousse la porte, me foutant directement contre le mur à l’extérieur de la pièce pour ne pas être pris en video.
Je ricane sarcastique et lance un bref « ok » lorsque Hoseok annonce avoir des bombes de peinture. Au fond de moi j'en suis clairement soulagé, la dernière chose que je souhaite présentement c'est de me faire chopper. Encore pire, que Sunah comprenne que je suis à l'origine de ce cambriolage. Je n'ose même pas imaginer à quel point elle pourrait être dessus et surtout quel saut dans le temps elle ferait. Un court instant je repense à notre rencontre à la pyobeom et moi et à comment on était devenu des meilleurs amis. Dire que tout avait commencé parce que, con comme je l'étais à l'époque, j'avais cambriolé sa maison.. Je soupire faiblement en comprenant que je recommençais à être la personne que je m'étais efforcé de faire disparaître toutes ses années, puis arrête de penser à cela. Je sens les pulsations de mon cœur s'accéléraient doucement tandis que l'adrénaline me gagnait. La concentration me frappe lorsqu'on y va finalement. Inspiration, expiration, la porte est ouverte, on entre et je le laisse aller bomber la caméra dans le couloir. Je fixe un peu mieux ma capuche sur ma tête et oriente mon visage vers le sol et le rejoins. L'endroit est sombre, froid et une odeur de neuf et de fraîchement repeint me pique les narines. Un sourire moqueur étire mes lèvres devant sa remarque, c'est qu'il est marrant quand il s'y met. « Tu aurais voulu qu'ils nous filent la clé des vitrines aussi ? Et pourquoi pas celle de l'entrée principal tant qu'on y est ? » Je roule des yeux et me retiens de rire fortement. Hoseok est loin d'être stupide, je le sais, je le connais. J'avoue que je suis un peu rassuré aussi de faire équipe avec lui pour le coup, bien que sa présence si proche de moi ne me pompe l'air quand même. Jetant un coup d’œil à droite à gauche, pour assurer nos arrières bien que je sache qu'il n'y ait personne, mes yeux clignotent comme si j'avais trouvé des lingots d'or lorsque je tombe sur la porte de la réserve. La porte qui cache un gros butin. L'euphorie de l'instant se fait sentir, je stresse autant que j'ai hâte. Je sais que c'est interdit pourtant je veux y toucher et cette sensation quelque part m'avait manqué. « Tu vois cette porte la bas. » Je pointe celle en face à nous. « C'est celle qui donne sur la salle principal avec vitrine et tout le tralala. celle d’à côté c'est la réserve, la caverne d'Ali baba mon pote. » Je murmure, excité comme une puce quant à ce qui va suivre. Je passe devant lui et du bout des doigts effleure l'une des deux poignées. « J'ai peur que, si on accède à la boutique il y ait une alarme qui nous foute dans la merde. » Et de toute évidence il y en avait une. « Le risque est qu'il y en ait une aussi pour cette porte la vu qu'il ne ferme pas à double tour. HyoJin est vraiment nul. » Je pivote et pointe l'autre porte, celle que je ne vais pas tarder à ouvrir. Mon regard doit briller dans le noir, mon rythme cardiaque est à son maximum lorsque je pose ma main sur le saint graal et que je l'abaisse faiblement. « Au pire si alarme il y a .. on aura 5 minutes même pas pour tout prendre et se barrer en vitesse. J'espère que tu n'as pas peur, que ta bombe est prête parce que caméra il y a je le sais. » Mon visage est tourné dans la direction de Hoseok, l'un de mes sourcils est relevé et sans attendre je pousse la porte, me foutant directement contre le mur à l’extérieur de la pièce pour ne pas être pris en video.
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Re: yolo. » hoseok | Mer 4 Fév - 17:18
yolo.
Quel con je fais tout de même. Aller cambrioler une bijouterie et pas n'importe la quelle. Si Samy vient à l'apprendre je n'ose même pas imaginer à quel point il serait en colère, lui qui a tellement fait pour moi. J'ai hésité un moment sur le chemin à faire demi-tour, il aurait été plus sage effectivement que je ne me rende pas jusqu'ici. Mais une fois sur place il était trop tard. Et avoir Dewei pour partenaire a renforcé ma volonté de cambrioler cette bijouterie. Je ne veux pas me débiner devant lui, il serait bien trop fier et bien trop heureux. Et puis il pourrait être capable de me balancer à tout le monde. Je pense également à la réaction de Su Jin s'il apprenait que j'étais venu cambrioler sa soeur. Genre pas n'importe quel endroit mais sa soeur. Il ne pourrait plus me faire confiance, j'ai déjà faillit à sa confiance à l'époque où Su Nah et moi on se tournait autour. Je ne veux pas encore empirer les choses, mais je suis là. Si je ne me fais pas prendre, tout devrait bien se passer, n'est-ce pas ?
On est donc arrivé jusqu'à l'intérieur du local poubelle. Bien entendu il y a des caméras, ce serait bien trop facile autrement. Dewei me fait savoir qu'il n'a rien pour s'en occuper et fort heureusement pour lui, j'ai penser à prendre un peu de matériel avant de venir. Sa façon de me remercier est tellement exécrable. J'hésite de plus en plus à le laisser tout seul dans sa merde. Le pire c'est quand j'ose dire qu'on aurait pu nous filer des plans de l'emplacement des caméras. Sa remarque désobligeante me titille vraiment, j'ai comme une envie de lui en mettre une mais je me retiens. En quoi ma remarque est stupide. Dans de vrais cambriolages organisés, on prépare au préalable un plan avec l'emplacement de tout ce qu'on doit éviter et tout ce qui peut nous aider. On n'y va pas comme ça, au hasard. Mais je ne réagis pas. Il suffit qu'un policier analyse les enregistrement vidéo et on est fichus, un peu de réglage et les voix sont facilement reconnaissables. Alors je me tais.
Le problème c'est que lui, il ne la ferme pas, sa gueule. Certes c'est une bonne chose qu'il m'explique ce qu'il sait mais le fait qu'il évoque le nom du propriétaire fait que si effectivement ils retrouvent les enregistrements ils pourront facilement déduire que c'est quelqu'un qui le connaît bien. Mais je le laisse, il a décidé de me prendre pour un con, je le laisse dans sa merde. Il y a donc deux portes. Celle qui nous intéresse, c'est celle de l'arrière boutique en gros. Je remets bien mon foulard qui cache mon visage et je prépare ma bombe comme il le dit. Il est prêt à ouvrir cette fameuse porte et il me regarde comme pour atteindre un signe d'approbation. Je hoche la tête et il ouvre rapidement la porte tout en retournant se cacher à l'extérieur de la pièce. Je m'empresse d'entrer dans cette pièce, je fais attention à ne pas trop regarder ce qui la compose pour me concentrer sur les caméras. Il y en a trois. Je saute sur la première pour la bomber, je m'occupe ensuite de la deuxième puis de la dernière. Je fais signe alors à Dewei de venir et je lui fais signe de ne pas parler.
Je ne vois pas trop ce qu'il y a, il fait trop sombre et mes yeux ont du mal à s'adapter. Du regard, je lui demande ce qu'on fait à présent. Visiblement tout n'est pas comme dans Aladdin et ne jonche pas le sol, il y a seulement tout un tas de coffres. Personnellement je ne connais aucun code. Mais comme lui semble bien connaître les lieux, je m'en remets à lui. J'écris sur mon téléphone : « C'est quoi la suite du plan ? Je ne pense pas que Sésame ouvre-toi soit la bonne formule. »
On est donc arrivé jusqu'à l'intérieur du local poubelle. Bien entendu il y a des caméras, ce serait bien trop facile autrement. Dewei me fait savoir qu'il n'a rien pour s'en occuper et fort heureusement pour lui, j'ai penser à prendre un peu de matériel avant de venir. Sa façon de me remercier est tellement exécrable. J'hésite de plus en plus à le laisser tout seul dans sa merde. Le pire c'est quand j'ose dire qu'on aurait pu nous filer des plans de l'emplacement des caméras. Sa remarque désobligeante me titille vraiment, j'ai comme une envie de lui en mettre une mais je me retiens. En quoi ma remarque est stupide. Dans de vrais cambriolages organisés, on prépare au préalable un plan avec l'emplacement de tout ce qu'on doit éviter et tout ce qui peut nous aider. On n'y va pas comme ça, au hasard. Mais je ne réagis pas. Il suffit qu'un policier analyse les enregistrement vidéo et on est fichus, un peu de réglage et les voix sont facilement reconnaissables. Alors je me tais.
Le problème c'est que lui, il ne la ferme pas, sa gueule. Certes c'est une bonne chose qu'il m'explique ce qu'il sait mais le fait qu'il évoque le nom du propriétaire fait que si effectivement ils retrouvent les enregistrements ils pourront facilement déduire que c'est quelqu'un qui le connaît bien. Mais je le laisse, il a décidé de me prendre pour un con, je le laisse dans sa merde. Il y a donc deux portes. Celle qui nous intéresse, c'est celle de l'arrière boutique en gros. Je remets bien mon foulard qui cache mon visage et je prépare ma bombe comme il le dit. Il est prêt à ouvrir cette fameuse porte et il me regarde comme pour atteindre un signe d'approbation. Je hoche la tête et il ouvre rapidement la porte tout en retournant se cacher à l'extérieur de la pièce. Je m'empresse d'entrer dans cette pièce, je fais attention à ne pas trop regarder ce qui la compose pour me concentrer sur les caméras. Il y en a trois. Je saute sur la première pour la bomber, je m'occupe ensuite de la deuxième puis de la dernière. Je fais signe alors à Dewei de venir et je lui fais signe de ne pas parler.
Je ne vois pas trop ce qu'il y a, il fait trop sombre et mes yeux ont du mal à s'adapter. Du regard, je lui demande ce qu'on fait à présent. Visiblement tout n'est pas comme dans Aladdin et ne jonche pas le sol, il y a seulement tout un tas de coffres. Personnellement je ne connais aucun code. Mais comme lui semble bien connaître les lieux, je m'en remets à lui. J'écris sur mon téléphone : « C'est quoi la suite du plan ? Je ne pense pas que Sésame ouvre-toi soit la bonne formule. »
© charney
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