Je devais finir ma chemise et ce le plus vite possible. Je n’ai donc pas le choix de venir à la salle de couture dès que je le peux. Je dois dire que je suis fière de moi comme j’avance bien. Par contre, tout ce passa pas comme prévue. Lorsque que j’étais rendu à faire les retouche à la machine, je commence à sentir le sol tremblé de plus en plus fort. J’ai tout de suite éteint la machine à coudre comme cela pouvais être dangereux pour mes doigts. Je commence à vite prendre mes choses, mais cela se fut plus compliqué quand les lumières se sont fermé. Super, au moins le soleil était là. Je voyais bien que cela devenais plus long comme tremblements de terre et je fini donc de tout ramasser et j’ai commencer à mettre mes choses sous la table pour pouvoir me protégé là. C’est là que le tremblement sembla s’arrêter au moment ou j’allais me mettre sous la table. Cela me fit hésité un moment. Il est vrai que la salle de couture était dans un était pas possible. Tout les matériaux étaient sur le sol.

Ce moment d’hésitation me fut fatal. Je n’avais pas vu que le rangement pour les bobines de fil était instable. Je ne m’en suis rendu compte quand elle tomba dans ma direction. Il était trop tard. Je n’ai pas pu m’empêché de crié quand deux des barres de métal ou était accroché les bobines de fils se sont enfoncé dans ma jambes. C’étais vraiment pénible comme douleur et elle semblait devenir de plus en plus grande. Une chance, une de mes jambes avait été sous moi et était donc intact. Je me suis couché pour pouvoir avoir accès à mon téléphone portable, mais il a pas de réseau. J’ai donc essayer de soulever le meuble avec mon autre jambe, mais c’était simplement trop lourd et le peu que je pouvais le bouger, cela me faisais un mal atroce. J’avais l’impression que j’allais pleuré à n’importe quel moment.

Je regardais la porte pour voir si quelqu’un ne passerais pas. Je devrais voir, mais je ne sais pas si quelqu’un passerait ou penserait qu’il aurait quelqu’un ici. J’ai vu de l’espoir quand quelqu’un fini par arrivé et je me suis mire a crier que j’étais là pour avoir son attention. Cela fonctionna. Par contre en voyant mon étant, il ne savait aucunement comment me sortir de là. Il me dit qu’il allait cherché de l’aide d’une personne pouvant contrôlé la situation. Je n’eu d’autre choix que d’accepté.

Il partit et je pria que cela ne soit pas trop long. J’essayais de pensé à autre chose, mais la douleur était simplement trop grande pour cela. J’avais l’impression que le temps était plus lent. Je commençais à essayer de luter pour ne pas perdre conscience.

«S’il-vous plais… arrivez…»

J'aidais, depuis peu la gestion des blessés au gymnase. Étant donné que j'étais un étudiant de médecine, on avait demandé mon soutien pour faire les premiers soins. Cependant avec mon état physique actuel, j'expliquais aux volontaires le protocole, les diagnostiques basiques ou bien pour ceux voulant se rendre utile, je leur demandais de faire des rondes afin de voir si l'on avait oublié personne. En effet bien trop de lycéens manquaient à l'appel. Cela faisait moins de deux heures que moi-même j'étais sorti des gravas. Alors que mon épaule me tiraillait de douleur, ma tête ainsi que ma main droite avaient été examinées de façon superficielle. Elles n'ont eu que comme traitement de simples bandages pour stopper le saignement. En effet je n'avais ni fracture ou commotion alors autant ne pas perdre de temps. J'adhérais à l'idée, autant ne pas se préoccuper avec des blessures aussi minimes que les miennes et aller soigner ceux qui étaient vraiment dans le besoin. Il y avait bien plus grave, vraiment.

Les minutes passèrent et, ma vue commençait à fatiguer. En effet mes lunettes avaient été cassées lors du tremblement et je fus dans l'incapacité de récupérer celles de rechange ou mes lentilles. Alors on me donna des lunettes d'un grossissement plus ou moins imprécis. Du fait de leur incompatibilités avec mes troubles visuels, cela avait pour conséquence de rapidement me fatiguer les yeux. Mais c'était mieux que rien ; je voyais plus ou moins correctement, j'étais uniquement dans l'incapacité de reconnaître les visages, mais je n'en avais pas besoin pas vrai ? Alors que j'examinais un nouveau blessé, un jeune homme, vu il y avait quelque minutes semblait totalement paniqué. Il criait mon nom, et me demandait de me rendre d'urgence à la salle de couture. Je me levais alors, paniqué et demanda à quelqu'un d'autre de me remplacer.

Je courrais alors en direction de la salle. Je vis des débris longer le couloir. J’atteignais la porte, je l'ouvrit lentement avec l'angoisse de savoir ce qui était arrivé à la personne à l'intérieur. Quoi ? Un étudiant de médecine qui a peur du sang ? J'avais surtout peur de ne rien pouvoir faire si son état était trop grave. La porte grinça et, je vis une jeune femme allongée au sol, j’accourus vers elle avant de me mettre à genoux devant celle-ci. J'examinais sa respiration et tenait ton poignet afin de mesurer son pouls. Je soupirais, rassuré qu'elle était toujours en vie et, visiblement consciente. En effet, bien que je ne pouvais pas distinguer son visage, je voyais le battement de ses cils. Il me restait une dernière vérification avant toute chose, je passais ma main le long de sa tête afin de voir si elle s'était cognée à cause du choc. Ok. Elle n'avait rien, aucune bosse ou plaie donc elle n'était pas susceptible d'avoir un quelconque traumatisme. « Ça va aller, je vais te sortir de là » Pas plus cliché que cette phrase. Mais c'était le seul moyen que j'avais à ma disposition pour la rassurer. J'examinais alors la situation. Le rangement de couture était tombée sur la jambe de la demoiselle, et les barres de fer se sont enfoncées dans son mollet. Vraisemblablement, ça n'allait pas être facile de la dégager. J'examinais alors le meuble ; la seule solution était de le soulever. Le problème c'est que celui-ci était enfoncé et que, si je le retirais, ça allait aggraver le saignement de son mollet... Et surtout bien lui faire mal. « ahhh... ça ne va pas être facile. Mais rassure toi, tout va bien se passer » Oui, je l’espérais. J'ai une connaissance suffisante en chirurgie et j'ai les notions de premier secours, mais mon état actuel me faisait encore douter. « Tu t'appelles comment ? » Disais-je en ouvrant la mallette qui se trouvait à coté de moi remplie de bandages et compresses. Autant la rassurer et la mettre en confiance avant de lui avouer que la suite allait s'avérer bien moins plaisante.

Je ne pensais que le meuble pouvait tomber et je ne m’en étais simplement pas méfier alors que j’aurais dû. La douleur que j’ai ressentie en sentant les bouts de métal enfoncé était simplement insupportable. Je n’ai pas pu m’empêcher de crié vu la douleur. Celle-ci allait d’ailleurs en augmentant et la peur s’est installée en moi. J’avais peur que personne ne me retrouve comme j’étais seule et que les corridors semblait simplement désert. Je sais que je devrais garder mon calme dans ses circonstance c’était impossible. Je savais que je devais perdre mon sang en ce moment et je ne voulais pas perdre conscience et ne pas voir que quelqu’un passe par là. J’avais essayé de me sortir de là moi-même, mais la douleur quand le faisait bouger un tout petit peu le meuble était horrible que j’ai laissé tomber très vite.

La seule chose que je pouvais faire dans le moment était d’attiré l’attention de quelqu’un si il passait proche de la porte du local où je suis. Cela fini par arrivé et j’ai crié le plus fort que j’ai pu pour avoir l’attention de la personne. Malheureusement pour moi, celle-ci disait qu’elle n’avait pas les compétences pour m’aider et allait donc aller chercher quelqu’un d’autre. Je n’avais qu’autre choix que d’attendre, mais au moins, je savais que je ne saurais pas oublié. Il semblait également partie en courant. Je commençais un peu a lutté à ne pas perdre conscience. Je perdais un peu à voir quelqu’un venir. Il faut dire que le temps passait très longtemps dans ce moment. Par contre, la personne ne m’avait pas menti et je vis quelqu’un arrivé. Je n’ai pas pu m’empêcher de soupirer en voyant et de murmurer à moi-même.

«Enfin…»

Il est venu et a surement fait des vérifications de base et cela se passa dans le silence. Il fut le premier à prendre la parole. C’était cliché, mais dans le moment, c’était simplement ce que j’avais besoin d’entendre. Je souris doucement un peu rassuré.

«Merci»

Il me dit que cela ne serait pas facile, mais qu’il allait me sortir de là. C’est la seule chose que je voulais, quitter ce lieu.  Je fini par décider de prendre la parole pour lui poser une question.
«Je vais m’en sortir n’est-ce pas?»
Oui, ma plus grande crainte dans le moment est de savoir que ma blessure allait m’être fatale. J’avais peut-être peur pour rien, mais cette peur ne m’avait jamais quitté depuis que l’accident est arrivé. Il me demanda mon nom. Je dois dire que le fait qu’il me parlait m’aider à rester consciente.

«Han Sun Gyu et toi?»

Je voulais savoir le nom de la personne qui allait me sauver pour pouvoir le remercier comme il se doit. J’avais un peu peur de ce qui va se passer par la suite.

hrp:

J'ouvrais la boite à médicament à vive allure, préparais tout ce qui allait me servir ; désinfectant, bandages, compresses, antiseptiques.... Je faisais le vide dans mon esprit, je me préparais calmement afin que tout sa passe bien, en effet vu l'état de sa jambe je m'inquiétais pour elle.

«Je vais m’en sortir n’est-ce pas?»

Cette phrase prononcé fébrilement avait retenti dans mon esprit ; je ne savais pas vraiment quoi lui répondre. D'une part, je me devais de la rassurer, d'une autre je ne savais pas depuis combien de temps elle était ici et à quel point la blessure était grave. Dans un regard compatissant, je ne lui donnais que comme simple réponse un sourire de ma part. Etait-il mieux de la rassurer, de lui mentir ou de peut être d'exagérer ? Face à ce genre de dilemme, je préférais nettement le silence. -Moi c'est Min Hyun ; Lee Min Hyun.  Lui répondais-je tout en ignorant son interrogation précédente. Puis m'agenouillais devant sa jambe afin d'examiner attentivement son état. Deux bobines de métal s'étaient enfoncées dans sa jambe, l'une s'était légèrement enfoncée, l'autre avait presque traversée sa jambe. Je me mis à grimacer devant l'état de sa jambe. Néanmoins, l'autre qui avait traversé sa jambe était enfoncée bien plus profondément. Avec ce que j'avais, mis à part ralentir le saignement je ne pouvais pas faire grand chose. J'étais un peu perdu, et prenais conscience que je ne pouvais rien faire pour elle dans l'immédiat. Si je retirais la bobine, ça allait faire empirer le saignement. -Ça ne va pas le faire. Disais-je dépité. Ces paroles, prononcés sèchement n'étaient que vérité pour moi, il fallait se rendre à l'évidence. Je n'allais pas la rassurer, j'avais mes limites à la moquerie, à la bonne volonté ; là c'était quand même compliqué. Je n'avais nullement le matériel pour soigner ça sur place. -Écoute, je vais stopper le saignement, mais je ne vais pouvoir que retirer une seule bobine dans l'immédiat. Tiens bon. Je m'empressais alors de cautériser ses blessures comme je le pouvais.

Après quelque minutes de concentration et de stress intense, une fois l'une des bobines retiré, je m'adossais avant de relâcher un large soupir; la jeune fille était désormais hors de danger. Je respirais lentement, tentant d'évacuer la pression que j'avais accumulé avant de grimacer péniblement à cause de mes maux de tête. Désormais, je devais aller l'emmener se faire soigner pour qu'elle se fasse retirer l'autre bobine et moi que je prenne quelque chose contre mes migraines. Ma blessure ainsi que l'usage de lunette qui ne sont pas adaptées à ma vue ne font qu'aggraver la douleur. -Je vais te porter jusqu’à l’hôpital compris ? Jusqu’à là reste consciente. Disais-je tout en passant ma main derrière son dos, tout en rabattant ses jambes. -Juste évite de t'appuyer sur mon épaule gauche si tu y arrives, j'ai pas encore été soigné c'est un peu douloureux.. Cependant, bien que j'avais utilisé toute la force de mon bras droit lorsque je la soulevais, une grimace traversa mon visage. Une horrible sensation de brûlure tiraillait mes muscles.

Spoiler: