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perdue entre toi, moi et la musique » seoko
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Re: perdue entre toi, moi et la musique » seoko | Sam 18 Avr - 12:00 Citer EditerSupprimer
Parfois le cœur à ses raisons que le cerveau n'explique pas. Hoseok est une douleur si cruelle, si vive, si terrifiante que moeko n'as d'autre choix que de s'y accrocher, encore et encore. La vie ne tiens qu'à un fil, elle est si faible et en même temps si sauvage, si violente. Sa voix, c'est comme, j'sais pas moi, un pieu dans mon cœur, quand il parle comme ça. C'est tellement différent que d'habitude, il à tellement peur... on a tellement mal. C'est comme si on avait arraché à chacun un bout du cœur de l'autre, et qu'on le bousillait en se regardant droit dans les yeux. Comme un défi, comme une insulte, on ne peux pas faire autrement que de s'aimer violemment. Mais ça aurait pu rester si simple, si doux, si tendre entre eux.
Il était si faible mais déjà il se redresse, hoseok est fort, hoseok y arrivera. Les yeux de la japonaise suivent chacun de ses pas et elle se glisse avec plaisir dans ses bras. Elle s'y glisse et elle s'y accroche en fermant les yeux, les mots de son partenaire coulent sur elle, s'infiltrent dans chaque parcelle de son corps pour venir caresser son cœur. Les larmes repartent de plus belle sur les joues de la brune, et elle s'accroche à lui, posant sa tête sur son épaule, dos à lui. Le souffle d'hoseok lui chatouillerait presque la peau, et ses bras l'enferment dans ce qu'elle veux comme un cocon magique d’harmonie. Il en est tout autre, mais un jour, sûrement ils y arriveront à nouveau. Ses mots font repartir les larmes, ils serrent son cœur à la japonaise. Que répondre à ça ? Ils se torturent depuis si longtemps maintenant. Mais Moeko est incapable de mentir, incapable de cacher ses sentiments. « J'aimerais... J'aimerais vraiment que tu acceptes. Tu sais je.. » Sa voix est si basse qu'elle n'est pas sur qu'il l'entende, mais c'est si dur de parler quand les corps s'arrachent depuis tant de temps. « J'espère que tu vas y arriver. » Elle souffla ces quelques mots avant de tourne un peu la tête, fermant si fort les yeux qu'elle en aurait mal. Elle veut juste son parfum, sa peau, ses bras encore un peu. « s'il-te-plait... ne m'oblige pas à t'oublier dans ma vie... j'veux qu'on reste ensemble. » Elle se tourna encore un peu la belle, se dégagea de ses bras pour mieux pouvoir l'enlacer, elle s'assit avec maladresse à cause de leur pleurs sur ses cuisses, enroula ses jambes autour de lui et ses bras autour de son cou. Ce n'étais pas de la provocation, c'est juste... fallait recoller les morceaux. « Sans toi j'arriverais jamais à tenir, j'ai besoin de toi... on est partenaires non ? J'aimerais qu'on y arrive à nouveau... hoseok... » Elle réussit à relever la tête de son cou, un léger rire nerveux la secoua lorsqu'elle essuya ses larmes avec ses mains, la tête un peu penchée sur le côté « regarde dans quel état on est.. on est cons. » Son sourire était sincère, son cœur voulait vraiment pouvoir l'aimer à nouveau. L'aimer simplement.
perdue entre toi, moi et la musique
Parfois le cœur à ses raisons que le cerveau n'explique pas. Hoseok est une douleur si cruelle, si vive, si terrifiante que moeko n'as d'autre choix que de s'y accrocher, encore et encore. La vie ne tiens qu'à un fil, elle est si faible et en même temps si sauvage, si violente. Sa voix, c'est comme, j'sais pas moi, un pieu dans mon cœur, quand il parle comme ça. C'est tellement différent que d'habitude, il à tellement peur... on a tellement mal. C'est comme si on avait arraché à chacun un bout du cœur de l'autre, et qu'on le bousillait en se regardant droit dans les yeux. Comme un défi, comme une insulte, on ne peux pas faire autrement que de s'aimer violemment. Mais ça aurait pu rester si simple, si doux, si tendre entre eux.
Il était si faible mais déjà il se redresse, hoseok est fort, hoseok y arrivera. Les yeux de la japonaise suivent chacun de ses pas et elle se glisse avec plaisir dans ses bras. Elle s'y glisse et elle s'y accroche en fermant les yeux, les mots de son partenaire coulent sur elle, s'infiltrent dans chaque parcelle de son corps pour venir caresser son cœur. Les larmes repartent de plus belle sur les joues de la brune, et elle s'accroche à lui, posant sa tête sur son épaule, dos à lui. Le souffle d'hoseok lui chatouillerait presque la peau, et ses bras l'enferment dans ce qu'elle veux comme un cocon magique d’harmonie. Il en est tout autre, mais un jour, sûrement ils y arriveront à nouveau. Ses mots font repartir les larmes, ils serrent son cœur à la japonaise. Que répondre à ça ? Ils se torturent depuis si longtemps maintenant. Mais Moeko est incapable de mentir, incapable de cacher ses sentiments. « J'aimerais... J'aimerais vraiment que tu acceptes. Tu sais je.. » Sa voix est si basse qu'elle n'est pas sur qu'il l'entende, mais c'est si dur de parler quand les corps s'arrachent depuis tant de temps. « J'espère que tu vas y arriver. » Elle souffla ces quelques mots avant de tourne un peu la tête, fermant si fort les yeux qu'elle en aurait mal. Elle veut juste son parfum, sa peau, ses bras encore un peu. « s'il-te-plait... ne m'oblige pas à t'oublier dans ma vie... j'veux qu'on reste ensemble. » Elle se tourna encore un peu la belle, se dégagea de ses bras pour mieux pouvoir l'enlacer, elle s'assit avec maladresse à cause de leur pleurs sur ses cuisses, enroula ses jambes autour de lui et ses bras autour de son cou. Ce n'étais pas de la provocation, c'est juste... fallait recoller les morceaux. « Sans toi j'arriverais jamais à tenir, j'ai besoin de toi... on est partenaires non ? J'aimerais qu'on y arrive à nouveau... hoseok... » Elle réussit à relever la tête de son cou, un léger rire nerveux la secoua lorsqu'elle essuya ses larmes avec ses mains, la tête un peu penchée sur le côté « regarde dans quel état on est.. on est cons. » Son sourire était sincère, son cœur voulait vraiment pouvoir l'aimer à nouveau. L'aimer simplement.
© charney
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Re: perdue entre toi, moi et la musique » seoko | Mer 22 Avr - 22:41 Citer EditerSupprimer
perdu entre toi, moi et la musique
Je suis perdu. C'est à un moment comme ça que je me dis que j'aurais mieux fait de ne jamais parler à Moeko, j'aurais simplement dû la mettre dans la case lesbienne qui me dégoûte et que je ne préfère pas fréquenter. Mais comme un con, j'ai préféré réagir autrement. Enfin, préféré, est-ce que j'ai réellement choisi de me prendre d'affection pour elle ? Qui ne le ferait pas ? Elle est tellement parfaite, elle est tellement belle, elle danse si bien et sa voix est si douce. Et puis ce caractère, cette façon qu'elle a de me résister. Tout ça rassemblé m'ont rendu aussi con, tout ça a fait que je tente depuis tout ce temps de l'avoir pour moi. Parce que je suis égoïste.
Il aura fallu du temps et une dispute qui dépasse les limites pour que je réalise. Il aura fallu tout ça pour que je me rende compte de mes réels sentiments et que je me rende compte à quel point je peux être stupide. J'ai envie de changer. Envie de changer pour ne plus souffrir comme à l'heure actuelle et pour ne plus faire souffrir. Ni elle, ni qui que ce soit d'autre. Je ne peux pas être aussi mauvais et égoïste. A ce stade, garder notre histoire secrète est difficile et si notre histoire prend un trop mauvais tournant, on risque de perdre beaucoup de monde autour de nous.
Je lui ai donc fait part de mes sentiments, je lui fais part de mes craintes, je me demande pourquoi on en est arrivés là. Que doit-on faire ? Je ne veux plus mentir, elle sait ce que je ressens pour elle et elle sait surtout que je ne le fais pas savoir de la bonne manière. Avoir usé de la manière forte, l'avoir obligée à assouvir mes désirs alors qu'elle ne le voulait pas. Qu'est-ce que ça m'a apporté au final ? Rien du tout. Il y a ce manque. Je crois que je préférerais ne jamais avoir tenté de le combler plutôt que de l'avoir comblé avec du vide. Je l'ai fait me détester. Pourquoi suis-je aussi con ? Elle me dit qu'elle espère que j'arriverai enfin à accepter. Pourquoi est-ce si dur ? Il suffirait que je me dise : et bien, c'est comme ça. Mais il faudrait que je prenne mes distances pour ne pas avoir envie de rechuter, pour que la vérité soit moins douloureuse. Mais aussi, pourquoi me dit-elle ça ? Pourquoi est-ce qu'elle dit qu'elle a besoin de moi ? Si seulement elle pouvait me détester réellement et me demander de me casser. Tout serait beaucoup plus simple. Compliqué, toujours, mais moins. Elle me demande l'impossible.
« On est pire que cons, Moeko... Je ne sais pas quoi faire. Je crois que la solution, la seule, c'est que je sois loin de toi. De toute manière, comme je compte arrêter mes études, je vais quitter la fac et surement ne plus trop venir m'occuper du groupe. Tu vas devoir prendre la relève, Moeko. C'est pour notre bien. Il faut que je commence à me consacrer à mon futur boulot, et je pense que c'est une bonne excuse pour ne plus te voir et pour qu'enfin on puisse repartir à zéro...» C'est dur, trop dur. Je ne voulais pas tout lâcher comme ça, je ne voulais pas lui faire part de la solution qui me paraissait la plus logique. Je voulais continuer à être con et faire comme s'il n'y avait pas de solutions pour alors rester à ses côtés. Mais je lui ai dit. Je la prends dans mes bras et je la serre fort contre moi, je ne veux pas la laisser partir tout de suite, en attendant je la veux pour moi, contre moi, histoire de supporter notre éloignement le plus longtemps possible. « Je ne veux pas... Je ne veux pas non plus que tu sois loin de moi... Mais Moeko, je crois qu'on n'a pas d'autres choix... »
Il aura fallu du temps et une dispute qui dépasse les limites pour que je réalise. Il aura fallu tout ça pour que je me rende compte de mes réels sentiments et que je me rende compte à quel point je peux être stupide. J'ai envie de changer. Envie de changer pour ne plus souffrir comme à l'heure actuelle et pour ne plus faire souffrir. Ni elle, ni qui que ce soit d'autre. Je ne peux pas être aussi mauvais et égoïste. A ce stade, garder notre histoire secrète est difficile et si notre histoire prend un trop mauvais tournant, on risque de perdre beaucoup de monde autour de nous.
Je lui ai donc fait part de mes sentiments, je lui fais part de mes craintes, je me demande pourquoi on en est arrivés là. Que doit-on faire ? Je ne veux plus mentir, elle sait ce que je ressens pour elle et elle sait surtout que je ne le fais pas savoir de la bonne manière. Avoir usé de la manière forte, l'avoir obligée à assouvir mes désirs alors qu'elle ne le voulait pas. Qu'est-ce que ça m'a apporté au final ? Rien du tout. Il y a ce manque. Je crois que je préférerais ne jamais avoir tenté de le combler plutôt que de l'avoir comblé avec du vide. Je l'ai fait me détester. Pourquoi suis-je aussi con ? Elle me dit qu'elle espère que j'arriverai enfin à accepter. Pourquoi est-ce si dur ? Il suffirait que je me dise : et bien, c'est comme ça. Mais il faudrait que je prenne mes distances pour ne pas avoir envie de rechuter, pour que la vérité soit moins douloureuse. Mais aussi, pourquoi me dit-elle ça ? Pourquoi est-ce qu'elle dit qu'elle a besoin de moi ? Si seulement elle pouvait me détester réellement et me demander de me casser. Tout serait beaucoup plus simple. Compliqué, toujours, mais moins. Elle me demande l'impossible.
« On est pire que cons, Moeko... Je ne sais pas quoi faire. Je crois que la solution, la seule, c'est que je sois loin de toi. De toute manière, comme je compte arrêter mes études, je vais quitter la fac et surement ne plus trop venir m'occuper du groupe. Tu vas devoir prendre la relève, Moeko. C'est pour notre bien. Il faut que je commence à me consacrer à mon futur boulot, et je pense que c'est une bonne excuse pour ne plus te voir et pour qu'enfin on puisse repartir à zéro...» C'est dur, trop dur. Je ne voulais pas tout lâcher comme ça, je ne voulais pas lui faire part de la solution qui me paraissait la plus logique. Je voulais continuer à être con et faire comme s'il n'y avait pas de solutions pour alors rester à ses côtés. Mais je lui ai dit. Je la prends dans mes bras et je la serre fort contre moi, je ne veux pas la laisser partir tout de suite, en attendant je la veux pour moi, contre moi, histoire de supporter notre éloignement le plus longtemps possible. « Je ne veux pas... Je ne veux pas non plus que tu sois loin de moi... Mais Moeko, je crois qu'on n'a pas d'autres choix... »
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