Je veux de l'artistique [Minjee]
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Je veux de l'artistique [Minjee] | Mer 4 Fév - 3:35 Citer EditerSupprimer
I'm the one "for a good time call". Phone's blowin' up, ringin' my doorbell. I feel the love, feel the love. Sun is up, I'm a mess. Gotta get out now, gotta run from this. Here comes the shame, here comes the shame we are Minjee & Jordan
Je veux de l'artistique.
Il y a quelques jours de cela, peut-être même une à deux semaines, Jordan avait un devoir à rendre. Et comme un bon élève, il avait voulu s'y impliquer, mais, hélas, sûrement n'avait-il pas bien appris à demander les choses de façon un peu moins clairs ou, peut-être, un peu moins direct. Il lui manquait le tact, ce n'était donc pas étonnant qu'à sa demande, la jeune fille détale en courant. « Tu ne voudrais pas te déshabiller pour moi ? » C'était nul comme demande, c'était même clairement mal formulé. Il aurait dû lui expliquer que c'était pour un simple dessin, qu'il se fichait de son corps ou de quoi que ce soit d'autres, mais rien à faire, elle l'avait mal pris et, en plus, l'avait pris pour un malade mental. À la bonne heure, la prochaine fois, il fera attention à ses propos.
Sauf que, depuis un certain temps, depuis sa petite erreur, il s'était mis en tête de la suivre. Il avait appris d'elle qu'elle était une vendeuse de fruits et légumes. Il savait même où elle l'habitait, rien qu'en l'ayant suivi à de nombreuses reprises. Un vrai stalker qui ne l'aiderait sûrement pas à lui ôter l'étiquette de malade mental. C'est donc ce soir qu'il avait décidé de lui mettre la main dessus pour lui expliquer les choses telles qu'elles auraient dû être dites. Sans erreur et sans arrières pensés. Chose plus facile à dire qu'à faire selon lui. La nuit venait de tomber et la petite boutique de la jeune femme, fermait ses portes. Il attendit qu'elle sorte en fermant à clé son étale pour venir l'alpaguer en lui mettant littéralement la main sur la bouche et en la coinçant contre lui pour ne plus qu'elle bouge. Franchement, avait-il vraiment trouvé la meilleure solution pour l'approcher ? Non. Bien sûr que non. Mais s'il l'avait approché gentiment, elle l'aurait encore envoyé baladé et j'en passe. Là, au moins, elle n'avait eu le temps de rien. Rapidement, pour ne pas être vu, il la tira dans la petite ruelle adjacente – ouais, c'est encore moins le lieu pour parloter – ceci, en la maintenant fermement parce que, mine de rien, c'est qu'elle avait de la force. Il la relâcha, mais lui bloqua la sortie, la contenant alors dans cette impasse. « Je veux juste te parler ! Je te jure, juste te parler. » Pour quelqu'un qui veut uniquement parler, il n'avait sûrement pas employé la bonne méthode. Il s'approcha d'elle la main tendue, comme on essaierait de caresser un chaton enragé.
Sauf que, depuis un certain temps, depuis sa petite erreur, il s'était mis en tête de la suivre. Il avait appris d'elle qu'elle était une vendeuse de fruits et légumes. Il savait même où elle l'habitait, rien qu'en l'ayant suivi à de nombreuses reprises. Un vrai stalker qui ne l'aiderait sûrement pas à lui ôter l'étiquette de malade mental. C'est donc ce soir qu'il avait décidé de lui mettre la main dessus pour lui expliquer les choses telles qu'elles auraient dû être dites. Sans erreur et sans arrières pensés. Chose plus facile à dire qu'à faire selon lui. La nuit venait de tomber et la petite boutique de la jeune femme, fermait ses portes. Il attendit qu'elle sorte en fermant à clé son étale pour venir l'alpaguer en lui mettant littéralement la main sur la bouche et en la coinçant contre lui pour ne plus qu'elle bouge. Franchement, avait-il vraiment trouvé la meilleure solution pour l'approcher ? Non. Bien sûr que non. Mais s'il l'avait approché gentiment, elle l'aurait encore envoyé baladé et j'en passe. Là, au moins, elle n'avait eu le temps de rien. Rapidement, pour ne pas être vu, il la tira dans la petite ruelle adjacente – ouais, c'est encore moins le lieu pour parloter – ceci, en la maintenant fermement parce que, mine de rien, c'est qu'elle avait de la force. Il la relâcha, mais lui bloqua la sortie, la contenant alors dans cette impasse. « Je veux juste te parler ! Je te jure, juste te parler. » Pour quelqu'un qui veut uniquement parler, il n'avait sûrement pas employé la bonne méthode. Il s'approcha d'elle la main tendue, comme on essaierait de caresser un chaton enragé.
(c) crackle bones
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Re: Je veux de l'artistique [Minjee] | Mer 4 Fév - 13:11 Citer EditerSupprimer
방저던 & 양민지
je veux de l'artistique
Si tu repenses à ça, c'est parce que ce mec n'arrête pas de te suivre depuis quelques temps. Tu as tenté d'en parler à ton voisin Hyeondong mais vous ne pouvez rien faire tant qu'il n'y a pas de preuve qu'il est en train de te suivre. Mais ça te fait peur et le côté sécuritaire de ce pays s'est envolé depuis le moment même où il t'a abordé. Ce mec doit être un psychopathe et peut-être qu'il te veut du mal. Mais tu ne veux pas lui parler de peur d'entrer dans son jeu.
Ce jour là était assez particulier. Tu ne travaillais pas au Youth Lagoon mais tu allais devoir vendre tes fruits et légumes à deux emplacements différents et durant toute la journée. Tu avais pris l'habitude de gagner une certaine somme quotidienne, il te fallait donc compenser ton jour de congé au Youth. Tu sais que Seoji considère que tu devrais réellement te reposer quand il te met en congé mais tu as vraiment besoin de cet argent. Donc le fait d'avoir été occupée par ton petit boulot toute la journée t'avait presque fait oublier l'existence de ce psycho.
La fin de la journée arriva enfin, tu pouvais à présent fermer ta camionnette pour finalement rentrer chez toi et te reposer. C'est tellement fatiguant. Tu n'espères qu'une chose c'est d'avoir de l'eau chaude pour faire un bon bain de pied. Tu n'as pas énormément marché mais le fait de piétiner et de conduire, c'est tellement éreintant. Sauf qu'à peine tu as fermé ta camionnette, alors que tu allais rentrer dans la cabine du conducteur quelqu'un vint mettre une de ses mains sur ta bouche et de l'autre bras te serra contre lui. Tu ne voyais pas qui c'était. Tu essayais de crier à l'aide mais sa main t'en empêchait. Tu fus emmenée dans une petite ruelle sans issue, tu imaginais déjà le pire scénario, que la personne allait te tuer ou te violer. Tu ne sais pas vraiment quel est le pire. Puis arrivés au fond de la ruelle, la personne te relâcha. Tu pus alors visualiser un peu mieux le visage de ton agresseur. C'était lui. Celui qui t'avait abordée quelques jours avant et qui te stalkait depuis. Tu avais envie de pleurer, tu ne savais pas ce que tu avais fait au bon dieu pour mériter ça. Il te bloquait le passage. Puis il jura ne vouloir que tu parler. Tu manquas de laisser échapper un rire nerveux. Mais la seule chose que tu réussis à faire fut de lui foutre une claque sur sa joue. « ME PARLER ? Mais putain vous pensez que c'est une manière de parler aux gens ? En leur demandant de se mettre nu ? En les suivant jusqu'à chez eux ? Puis en les coinçant dans une ruelle sombre ? Vous êtes malade ou quoi ? LAISSEZ MOI PASSER ! » Tu n'osais même pas forcer le chemin, de peur qu'il t'attrape à nouveau, qu'il pose ses sales mains une fois de plus sur toi.WILDBIRD
방저던 & 양민지
je veux de l'artistique
L
a Corée du Sud. Tu y découvres des choses chaque jour. Tu y découvres des facettes qui ne sont pas si roses, pas si différentes de ta Californie natale. Ça te surprend et ça ne te rassure pas forcément. Tu pensais venir trouver au moins la sécurité ici. Mais tu te fais aborder par des hommes étranges régulièrement. Même à Huntington on te laissait tranquille quand tu bossais ou simplement quand tu marchais. Se faire aborder lors de soirées, tu veux bien comprendre, mais autrement ça n'a pas lieu d'être d'après toi. La dernière fois c'était vraiment le summum du what the fuck. Le mec avait déboulé de nulle part pour venir te demander si tu ne voulais pas te déshabiller pour lui. Mais sincèrement, il s'est passé quoi dans son esprit ? Tu as tellement eu peur que t'as poussé un cri et tu es partie en courant. Par chance tu ne faisais que marcher dans la rue, tu n'étais pas occupée à bosser ou quoique ce soit.Si tu repenses à ça, c'est parce que ce mec n'arrête pas de te suivre depuis quelques temps. Tu as tenté d'en parler à ton voisin Hyeondong mais vous ne pouvez rien faire tant qu'il n'y a pas de preuve qu'il est en train de te suivre. Mais ça te fait peur et le côté sécuritaire de ce pays s'est envolé depuis le moment même où il t'a abordé. Ce mec doit être un psychopathe et peut-être qu'il te veut du mal. Mais tu ne veux pas lui parler de peur d'entrer dans son jeu.
Ce jour là était assez particulier. Tu ne travaillais pas au Youth Lagoon mais tu allais devoir vendre tes fruits et légumes à deux emplacements différents et durant toute la journée. Tu avais pris l'habitude de gagner une certaine somme quotidienne, il te fallait donc compenser ton jour de congé au Youth. Tu sais que Seoji considère que tu devrais réellement te reposer quand il te met en congé mais tu as vraiment besoin de cet argent. Donc le fait d'avoir été occupée par ton petit boulot toute la journée t'avait presque fait oublier l'existence de ce psycho.
La fin de la journée arriva enfin, tu pouvais à présent fermer ta camionnette pour finalement rentrer chez toi et te reposer. C'est tellement fatiguant. Tu n'espères qu'une chose c'est d'avoir de l'eau chaude pour faire un bon bain de pied. Tu n'as pas énormément marché mais le fait de piétiner et de conduire, c'est tellement éreintant. Sauf qu'à peine tu as fermé ta camionnette, alors que tu allais rentrer dans la cabine du conducteur quelqu'un vint mettre une de ses mains sur ta bouche et de l'autre bras te serra contre lui. Tu ne voyais pas qui c'était. Tu essayais de crier à l'aide mais sa main t'en empêchait. Tu fus emmenée dans une petite ruelle sans issue, tu imaginais déjà le pire scénario, que la personne allait te tuer ou te violer. Tu ne sais pas vraiment quel est le pire. Puis arrivés au fond de la ruelle, la personne te relâcha. Tu pus alors visualiser un peu mieux le visage de ton agresseur. C'était lui. Celui qui t'avait abordée quelques jours avant et qui te stalkait depuis. Tu avais envie de pleurer, tu ne savais pas ce que tu avais fait au bon dieu pour mériter ça. Il te bloquait le passage. Puis il jura ne vouloir que tu parler. Tu manquas de laisser échapper un rire nerveux. Mais la seule chose que tu réussis à faire fut de lui foutre une claque sur sa joue. « ME PARLER ? Mais putain vous pensez que c'est une manière de parler aux gens ? En leur demandant de se mettre nu ? En les suivant jusqu'à chez eux ? Puis en les coinçant dans une ruelle sombre ? Vous êtes malade ou quoi ? LAISSEZ MOI PASSER ! » Tu n'osais même pas forcer le chemin, de peur qu'il t'attrape à nouveau, qu'il pose ses sales mains une fois de plus sur toi.
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Re: Je veux de l'artistique [Minjee] | Mer 4 Fév - 13:43 Citer EditerSupprimer
I'm the one "for a good time call". Phone's blowin' up, ringin' my doorbell. I feel the love, feel the love. Sun is up, I'm a mess. Gotta get out now, gotta run from this. Here comes the shame, here comes the shame we are Minjee & Jordan
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A peine l'avait-il relâché qu'il se reçu une gifle. Accusant le coup, la joue picotante, il la dévisagea l'air choqué de son attitude. C'était toutefois à elle d'être le plus choqué, je le conçois mais quand même, elle n'avait pas à le gifler comme ça alors qu'il n'avait pas été vraiment menaçant à son égard. Il prit une profonde inspiration et hocha la tête. Il ne la laissera passer qu'une fois qu'elle l'aura entendu. Sa main se referma sur le tissu que composait sa veste et la tira un peu plus loin. Sa voix portante pourrait alerter les derniers passants et se faire passer pour plus malade qu'il ne l'était ou avoir des ennuis ne faisaient pas partis de son programme de ce soir. « Ouais j'suis malade. Et alors ? P'tain mais t'es conne ou tu le fais exprès ? J'en ai marre de te courir après juste pour me justifier. » Parce que d'habitude, il aurait laissé couler et basta mais là, elle l'avait pris pour un fou et il n'était pas fou. Peut-être un peu mais, selon lui, ce n'était pas de la folie pure et dure. Il la poussa contre le mur en brique, plantant son regard dans le sien et la tenant emprisonnée entre ses bras qu'il avait de chaque côté de sa tête, ses mains posées à plat contre le mur.
Il inclina la tête, plantant ses perles noires dans les siennes. « L'autre fois, quand t'as refusé, c'est parce que t'étais occupée ou parce que t'es coincée ? » Encore une fois, il oubliait de préciser que c'était uniquement à cause d'un dessin. C'était si évident pour lui. Tout le monde savait qu'il était gay, ça se lisait sur sa gueule quoi. Enfin, pas vraiment mais selon-lui, ça pouvait se savoir à dix mille kilomètres à la ronde. Irrité par l'attitude de la demoiselle, il serra les dents. On le prenait souvent pour un fou à cause de sa bipolarité, et il était très facilement susceptible. Autant dire que, dans ce cas-là, il valait mieux éviter d'empirer les choses. Un soupire passa la barrière de ses lèvres et sa main glissa du mur pour se poser sur l'épaule de la demoiselle, la tenant contre le mur de sorte à ce qu'il ne la laisse pas filer. Le pire c'est qu'il n'allait pas la laisser filer jusqu'à la fin de sa justification. Non parce que vu le temps qu'il avait mis pour l'attraper, il n'allait pas se remettre à la sherlock holmes pour la retrouver. « Ecoute, j'ai vraiment besoin que tu te mettes nu. Au pire, je prends une photo rapide et c'est bon, je ferais le travail tout seul dans mon coin. Mais s'il te plaît, j'veux au moins réussir ça. » Quoi ? Une photo pour pouvoir la redessiner et avoir une bonne note, ça se valait quand même, si elle ne voulait pas lui servir de modèle pendant trois heures. Il attrapa son portable et prit en photo le visage de la demoiselle. Sa main agrippa sa veste qu'il baissa sur ses épaules. Quoi, bien sûr qu'il tentait de la dévêtir lui-même. Ce n'était pas vraiment une agression – bien que le mot allait à l'action – mais il ne réfléchissait pas beaucoup. C'était sûrement dû à ses cachets. Son traitement qu'il prenait contre sa bipolarité et qui, parfois, le déconnectait du monde réel. Comme si ce qu'il faisait était normal et que les réactions de la jeune femme, eux, n'étaient pas normales. De plus, il n'avait pas réussi à trouver une autre modèle et son dessin était à rendre pour dans deux jours. Le temps ne lui permettait plus d'attendre. Il lui fallait ça, là, maintenant, dans cette ruelle.
Il inclina la tête, plantant ses perles noires dans les siennes. « L'autre fois, quand t'as refusé, c'est parce que t'étais occupée ou parce que t'es coincée ? » Encore une fois, il oubliait de préciser que c'était uniquement à cause d'un dessin. C'était si évident pour lui. Tout le monde savait qu'il était gay, ça se lisait sur sa gueule quoi. Enfin, pas vraiment mais selon-lui, ça pouvait se savoir à dix mille kilomètres à la ronde. Irrité par l'attitude de la demoiselle, il serra les dents. On le prenait souvent pour un fou à cause de sa bipolarité, et il était très facilement susceptible. Autant dire que, dans ce cas-là, il valait mieux éviter d'empirer les choses. Un soupire passa la barrière de ses lèvres et sa main glissa du mur pour se poser sur l'épaule de la demoiselle, la tenant contre le mur de sorte à ce qu'il ne la laisse pas filer. Le pire c'est qu'il n'allait pas la laisser filer jusqu'à la fin de sa justification. Non parce que vu le temps qu'il avait mis pour l'attraper, il n'allait pas se remettre à la sherlock holmes pour la retrouver. « Ecoute, j'ai vraiment besoin que tu te mettes nu. Au pire, je prends une photo rapide et c'est bon, je ferais le travail tout seul dans mon coin. Mais s'il te plaît, j'veux au moins réussir ça. » Quoi ? Une photo pour pouvoir la redessiner et avoir une bonne note, ça se valait quand même, si elle ne voulait pas lui servir de modèle pendant trois heures. Il attrapa son portable et prit en photo le visage de la demoiselle. Sa main agrippa sa veste qu'il baissa sur ses épaules. Quoi, bien sûr qu'il tentait de la dévêtir lui-même. Ce n'était pas vraiment une agression – bien que le mot allait à l'action – mais il ne réfléchissait pas beaucoup. C'était sûrement dû à ses cachets. Son traitement qu'il prenait contre sa bipolarité et qui, parfois, le déconnectait du monde réel. Comme si ce qu'il faisait était normal et que les réactions de la jeune femme, eux, n'étaient pas normales. De plus, il n'avait pas réussi à trouver une autre modèle et son dessin était à rendre pour dans deux jours. Le temps ne lui permettait plus d'attendre. Il lui fallait ça, là, maintenant, dans cette ruelle.
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Re: Je veux de l'artistique [Minjee] | Mer 4 Fév - 18:32 Citer EditerSupprimer
방저던 & 양민지
je veux de l'artistique
Il te parle alors de la dernière fois. Bien sûr qu'il n'a pas oublié et il cherche à savoir pourquoi tu as refusé. Occupée ou coincée, alors pour lui ce ne sont que ces options qui sont probables. Il doit vraiment avoir un problème. Juste parler ? Se justifier ? Tu as du mal à le suivre. Tu ne veux pas répondre. Tu as dit non par principe, tu ne te mets pas nue comme ça, surtout pas pour un inconnu. Maintenant que tu sais qu'il est complètement dingue tu en as encore moins envie. Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez lui ? Est-ce qu'il est conscient qu'on ne demande pas ça à une femme qu'on ne connaît pas ? Excepté si c'est une prostituée et encore.
Il descend sa main sur ton épaule pour te maintenir encore plus fermement. Tu as envie de gerber rien qu'à l'idée qu'il te touche. Il continue ensuite en te disant qu'il a vraiment besoin que tu te mettes nue. Mais pourquoi putain. Pourquoi est-ce qu'il insiste. Il pense vraiment qu'en agissant de la sorte tu vas finalement dire oui ? Il précise qu'il peut même juste prendre une photo et qu'il s'occuperait de faire son travail tout seul. « Pardon ? Tu crois vraiment que non seulement je vais accepter de me mettre nue pour toi et en plus te laisser me photographier ? Si tu veux te branler mon gars y a des sites faits pour. Je ne veux pas que ma photo soit en possession d'un détraqué sexuel comme toi et encore moins qu'elle fasse le tour des réseaux sociaux, non mais vraiment t'es pas bien ! » Tu es vraiment tombée sur le mec taré par excellence. Dans des moments comme ça tu aimerais que Jin Oh soit à tes côtés pour te protéger. C'est une chose qu'il ne t'a pas apprise : te protéger. Et il est parti avant même que tu aies réellement besoin de lui. Mais pourquoi tu penses à ce con dans une situation pareille... Le fou sortit son téléphone et te pris en photo. Putain qu'est-ce que tu allais pouvoir faire. Incapable de faire le moindre mouvement, il te bloquait trop violemment. Et puis la claque tu lui avais mise l'avait visiblement mis dans un sale état. Il n'y avait rien que tu puisses faire à part crier. « A L'AIDE ! S'IL VOUS PLAÎT ! AIDEZ-MOI ! » Tu espérais vainement que quelqu'un t'entende. Les mains de l'homme commencèrent à te dévêtir. Il enleva première ta veste mais tu savais qu'il allait aller plus loin. Tu tentas de lui écraser le pied pour le faire lâcher prise. Tu espérais pouvoir te sortir de là. « PUTAIN MAIS AIDEZ-MOI !!! » Visiblement personne n'allait venir à ton aide. Des larmes commencent à s'échapper et à couler sur ton visage. « Laisse-moi partir... je t'en prie... »WILDBIRD
방저던 & 양민지
je veux de l'artistique
T
u flippes, réellement. Tu ne sais pas pourquoi ce fou furieux en a après toi. Il s'est peut-être dit que vu ton allure tu étais une fille désespérée alors tu dirais oui et que frustré par ta réponse négative il devient insistant. Mais tu as vraiment peur, tu ne sais pas de quoi il est capable et tu es incapable de demander de l'aide. Qui pourrais-tu appeler après tout ? Il ose prétendre vouloir simplement te parler mais tu as du mal à y croire. Ce ne sont vraiment pas des façons d'aborder quelqu'un pour juste lui parler. Il te tira dans un endroit encore plus reculé, visiblement il avait peur d'être pris en flagrant délit. C'était donc ta seule arme face à lui. Il assumait le fait d'être malade. Mais qui est ce mec bon sang. Puis il te traite de conne, il dit en avoir marre de te courir après pour se justifier. « Pardon ? Mais je me fiche de tes justifications, laisse moi tranquille, je ne t'ai pas demandé de me courir après. » Il te plaque contre le mur le plus proche, il ne veut vraiment pas te laisser partir. Tu ignores comment vont se passer les choses, tu ignores même si tu vas sortir indemne de cette situation. Et ta tante qui t'attend. Enfin, ta tante qui attend sagement ses fruits et légumes pour faire les comptes. Elle va encore penser que tu es partie t'amuser et va te retirer encore un peu d'arranger comme elle aime si bien le faire. Où est ta mère quand tu as besoin d'elle ? Mais si tu lui parles de ça, elle serait capable de te forcer à rentrer en Californie.Il te parle alors de la dernière fois. Bien sûr qu'il n'a pas oublié et il cherche à savoir pourquoi tu as refusé. Occupée ou coincée, alors pour lui ce ne sont que ces options qui sont probables. Il doit vraiment avoir un problème. Juste parler ? Se justifier ? Tu as du mal à le suivre. Tu ne veux pas répondre. Tu as dit non par principe, tu ne te mets pas nue comme ça, surtout pas pour un inconnu. Maintenant que tu sais qu'il est complètement dingue tu en as encore moins envie. Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez lui ? Est-ce qu'il est conscient qu'on ne demande pas ça à une femme qu'on ne connaît pas ? Excepté si c'est une prostituée et encore.
Il descend sa main sur ton épaule pour te maintenir encore plus fermement. Tu as envie de gerber rien qu'à l'idée qu'il te touche. Il continue ensuite en te disant qu'il a vraiment besoin que tu te mettes nue. Mais pourquoi putain. Pourquoi est-ce qu'il insiste. Il pense vraiment qu'en agissant de la sorte tu vas finalement dire oui ? Il précise qu'il peut même juste prendre une photo et qu'il s'occuperait de faire son travail tout seul. « Pardon ? Tu crois vraiment que non seulement je vais accepter de me mettre nue pour toi et en plus te laisser me photographier ? Si tu veux te branler mon gars y a des sites faits pour. Je ne veux pas que ma photo soit en possession d'un détraqué sexuel comme toi et encore moins qu'elle fasse le tour des réseaux sociaux, non mais vraiment t'es pas bien ! » Tu es vraiment tombée sur le mec taré par excellence. Dans des moments comme ça tu aimerais que Jin Oh soit à tes côtés pour te protéger. C'est une chose qu'il ne t'a pas apprise : te protéger. Et il est parti avant même que tu aies réellement besoin de lui. Mais pourquoi tu penses à ce con dans une situation pareille... Le fou sortit son téléphone et te pris en photo. Putain qu'est-ce que tu allais pouvoir faire. Incapable de faire le moindre mouvement, il te bloquait trop violemment. Et puis la claque tu lui avais mise l'avait visiblement mis dans un sale état. Il n'y avait rien que tu puisses faire à part crier. « A L'AIDE ! S'IL VOUS PLAÎT ! AIDEZ-MOI ! » Tu espérais vainement que quelqu'un t'entende. Les mains de l'homme commencèrent à te dévêtir. Il enleva première ta veste mais tu savais qu'il allait aller plus loin. Tu tentas de lui écraser le pied pour le faire lâcher prise. Tu espérais pouvoir te sortir de là. « PUTAIN MAIS AIDEZ-MOI !!! » Visiblement personne n'allait venir à ton aide. Des larmes commencent à s'échapper et à couler sur ton visage. « Laisse-moi partir... je t'en prie... »
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Re: Je veux de l'artistique [Minjee] | Ven 6 Fév - 17:11 Citer EditerSupprimer
I'm the one "for a good time call". Phone's blowin' up, ringin' my doorbell. I feel the love, feel the love. Sun is up, I'm a mess. Gotta get out now, gotta run from this. Here comes the shame, here comes the shame we are Minjee & Jordan
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Décidément, ce mec n'avait aucune morale. Il ne pensait même pas que tout ce qu'il faisait pouvait être mal. L'instinct primaire, celui de se dire que quand on a besoin de quelque chose, on fait tout pour l'avoir en sautant les étapes de la politesse. Il n'avait pas pris le temps de lui demander les choses comme il se devait, comme tout être normal aurait pu le faire. Lui, il pensait que c'était totalement normal d'agir comme il le faisait. Il était juste persuadé qu'elle jouait avec lui, qu'elle cherchait à ne pas lui donner ce qu'il voulait juste pour le rendre fou. Se branler ? Elle pétait littéralement les plombs. Elle devenait hystérique. Se branler sur elle ? Sur sa photo ? Elle avait perdu la raison ? Jamais il ne se branlerait pour qui que ce soit – ou peut-être pour Percy – mais là, il n'était pas question de ça. Il ne comptait pas se branler ou quoi que ce soit de si dégueulasse. Il n'avait pas du tout envie de faire ce genre de chose et surtout pas pour une femme. Les seins ne l'excitaient pas du tout. La vision qu'il avait des femmes, n'était pas forcément très appréciable et s'il lui disait tout ce qu'il pensait du sexe féminin, elle aurait de quoi péter les plombs deux fois plus. Lui, il était gay. Tout ce qui l'excitait, c'était les hommes et encore, pas tous.
Quand il aperçut les larmes de la jeune femme, il s'arrêta immédiatement. Il était peut-être fou mais pas jusqu'à ce point-là. Il recula même d'un pas, surpris par le pied de la demoiselle qui venait de piétiner le sien. Non il n'avait pas eu mal, le talon n'avait pas réussi à atteindre son orteil. L'air surpris, il la dévisagea, le portable encore en suspens dans sa main face à elle. Il lui avait fait mal ou … ? « Pourquoi tu hurles comme ça ? J'vais pas te violer, hein. » Bon, en même temps, il n'avait pas donné de raison de ne pas le faire, d'où le fait qu'elle ait pu avoir peur. Elle en faisait tout un plat pour si peu, selon lui et il ne méritait pas ce genre de scène. « Et puis me branler sur ta photo ? T'es jolie, mais tu m'excites pas, franchement. » Il se pinça les lèvres, réalisant seulement maintenant qu'il avait été trop loin. Il rangea son portable en stoppant l'application, dans la poche de sa veste et croisa les bras sur son torse. Il faudrait peut-être qu'il lui donne une explication, n'est-ce pas ? Et il faudrait aussi qu'il arrête ses médocs un peu, parce que là, ce n'était pas le bon traitement qu'il semblait prendre. « Ecoute, j'crois qu'on s'est mal compris. J'ai un devoir à rendre dans mon université. Je dois peindre une personne nu. Le seul hic, c'est que j'ai pas trouvé de modèle en dehors de ma classe. Je trouvais que ton apparence était assez représentatif de plein de chose, tu m'inspires. Et je suis gay ! »[b] Bon, là, c'était dit. Au moins, elle n'aurait plus peur d'une attaque sexuelle de sa part. Il soupira et se pencha, pour ramasser la veste de la jeune femme et la lui tendre comme s'il capitulait. Tout du moins pour l'instant. Parce qu'elle l'inspirait vraiment et, borné, il ne passerait pas là-dessus. Elle l'inspirait, il fallait qu'il assouvisse sa passion, point. [b] « Reprenons depuis le début. Je suis juste un étudiant et je veux juste te dessiner. Tu es vraiment très inspirante, et ton visage est vraiment expressif. » Il la détaillait, de façon vraiment sérieuse. Elle avait tout pour être son modèle. Mais de là à insinuer qu'il était un violeur ou un détraqué sexuel, c'était un peu excessif. Changement d'attitude, il se rembrunit et glissa sa main autour du poignet fin de la demoiselle. « Viens, on va en parler calmement autour d'un chocolat chaud. » Il la tira avec lui en dehors de la ruelle, ne s'arrêtant qu'une fois devant une petite boutique encore ouverte, un café.
Quand il aperçut les larmes de la jeune femme, il s'arrêta immédiatement. Il était peut-être fou mais pas jusqu'à ce point-là. Il recula même d'un pas, surpris par le pied de la demoiselle qui venait de piétiner le sien. Non il n'avait pas eu mal, le talon n'avait pas réussi à atteindre son orteil. L'air surpris, il la dévisagea, le portable encore en suspens dans sa main face à elle. Il lui avait fait mal ou … ? « Pourquoi tu hurles comme ça ? J'vais pas te violer, hein. » Bon, en même temps, il n'avait pas donné de raison de ne pas le faire, d'où le fait qu'elle ait pu avoir peur. Elle en faisait tout un plat pour si peu, selon lui et il ne méritait pas ce genre de scène. « Et puis me branler sur ta photo ? T'es jolie, mais tu m'excites pas, franchement. » Il se pinça les lèvres, réalisant seulement maintenant qu'il avait été trop loin. Il rangea son portable en stoppant l'application, dans la poche de sa veste et croisa les bras sur son torse. Il faudrait peut-être qu'il lui donne une explication, n'est-ce pas ? Et il faudrait aussi qu'il arrête ses médocs un peu, parce que là, ce n'était pas le bon traitement qu'il semblait prendre. « Ecoute, j'crois qu'on s'est mal compris. J'ai un devoir à rendre dans mon université. Je dois peindre une personne nu. Le seul hic, c'est que j'ai pas trouvé de modèle en dehors de ma classe. Je trouvais que ton apparence était assez représentatif de plein de chose, tu m'inspires. Et je suis gay ! »[b] Bon, là, c'était dit. Au moins, elle n'aurait plus peur d'une attaque sexuelle de sa part. Il soupira et se pencha, pour ramasser la veste de la jeune femme et la lui tendre comme s'il capitulait. Tout du moins pour l'instant. Parce qu'elle l'inspirait vraiment et, borné, il ne passerait pas là-dessus. Elle l'inspirait, il fallait qu'il assouvisse sa passion, point. [b] « Reprenons depuis le début. Je suis juste un étudiant et je veux juste te dessiner. Tu es vraiment très inspirante, et ton visage est vraiment expressif. » Il la détaillait, de façon vraiment sérieuse. Elle avait tout pour être son modèle. Mais de là à insinuer qu'il était un violeur ou un détraqué sexuel, c'était un peu excessif. Changement d'attitude, il se rembrunit et glissa sa main autour du poignet fin de la demoiselle. « Viens, on va en parler calmement autour d'un chocolat chaud. » Il la tira avec lui en dehors de la ruelle, ne s'arrêtant qu'une fois devant une petite boutique encore ouverte, un café.
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