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1, 2, 3, 4When you just need your bestfriend Δ Malee
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Re: When you just need your bestfriend Δ Malee | Lun 23 Fév - 17:59 Citer EditerSupprimer
When you just need your bestfriend
| We are all the pieces of what we remember. We hold in ourselves the hopes and fears of those who love us. As long as there is love and memory, there is no true loss. Δ Cassandra Clare |
| Le choc. Pur et dur. Elle n'arrivait pas a s'empêcher de le dire, de le répéter. Elle n'y pouvait rien. C'était sa seule idée. Elle était juste sous le choc. A bout. Mais certainement plus la Jina un peu excédée mais confiante de ce matin. Loin de là. Elle tourna la tête vers Malee quand elle lâchait qu'elle n'aurait rien pu faire. Elle se retint de commenter, quelque chose ne tournait pas rond. Avec Malee. Avec elle. Avec le monde en général. Oui, elle aurait pu dévier le volant. Ou du moins s'assurer que ses proches allaient bien au lieu d'être ici, coupée du monde, a regarder une chaîne débile a l'eau de rose. Elle voulait être dehors. Elle aurait probablement préféré se prendre un mur sur la figure que percuter quelque chose. C'était du tout vu. Mais Malee n'en avait pas fini. Elle commençait a lâcher que le monde ne tournait pas autour d'elle. Son air perdu, se transforma en un air blessé qui lui même se mua en un regard triste et bien sombre. Pourquoi ? Pourquoi Malee lui parlait comme ça ? C'était quoi son problème au final ? Mais la grande brune n'en avait pas fini. C'était blessant de la voir agir comme ça. Trop c'était trop. Elle détourna la tête. Préférant regarder dehors, ne pas regarder la silhouette qui lui était familière et pourtant si étrangère partir. Elle avait envie de pleurer. Comme si on lui rajoutait une couche vis a vis de ce qu'elle avait appris. Elle avait envie de se rendormir et d'oublier ce qui venait de se dire. D'avoir vu Malee totalement étrangère. Elle ne tourna même pas en l'entendant dire de vite guérir. Elle fixait un point imaginaire au loin, comme s'il pouvait l'aspirer. C'était trop. Elle ferma les yeux pour essayer de ravaler le trop plein d'émotions qui s'était engouffré en elle. Elle n'entendit pas le médecin revenir dans la chambre, Pas plus ce qu'il racontait quand il montrait sa minerve laissée dans un coin du lit. C'était trop. Elle commençait a pleurer silencieusement. Délaissant toute idée d'amour propre ou de dignité. Elle posa sa tête sur l'oreiller, et ne bougeait plus. Laissant libre court a ses larmes. C'était moche, mais il le fallait. Elle ne bougeait pas plus quand un infirmier remit sa minerve en place et vérifia son attelle. Elle était blessée, et tout ce qui venait de se passer avait du mal a rentrer. |
| © GASMASK |
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