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si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina
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si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Dim 15 Fév - 20:53 Citer EditerSupprimer
Serein, apaisé, je retrouvais la chaleur de mes draps qui m’enveloppaient pour me porter jusqu’au supplice de Morphée. J’étais exténué après cette longue journée suivie de ces habituels dîners à passer sous la tension et les interrogations indiscrètes des parents. Ce soir-là, j’avais mangé dans le silence, Nina assise à mon côté qui ne cessait de jouer l’enfant à me chercher discrètement lorsque le père Armani avait les yeux rivés sur son assiette. Je soupirais doucement à cette pensée, reposant mon téléphone sur ma table de chevet après avoir envoyé un message à Renzo. Je me faisais impatient qu’il revienne à la maison, ainsi que Reeva et Rivael. Ce n’était pas de tout repos de vivre avec Nina qui se faisait un malin plaisir à me faire regretter de toujours vivre chez mes parents et ma mère qui se demandait souvent pourquoi je ne passais pas plus de temps à la maison. La réponse était bien rapide, j’espérais vivement économiser assez d’argent avec les boulots que j’enchaînais pour partir de la maison familiale, échapper à cette atmosphère tendue et oppressante. Non pas que je n’aimais pas vivre ici mais je me sentais dépendant, en plus d’être le plus jeune, je n’aimais pas me sentir autant sous la coupe de la famille, comme si j’étais le petit agneau qu’il fallait protéger et façonner pour que je sois enfin à la hauteur. C’était un sentiment frustrant de devoir toujours montrer que l’on est capable, de devoir prouver que l’on a sa place. Et les tensions entre Dahlia et moi, entre Nina et moi. C’était presque invivable et pourtant, je vivais avec depuis six longues années.
Je fis soudain sorti de mes songes alors que la porte de ma chambre s’ouvrit. Relevant la tête, je n’arrivais pas à distinguer la silhouette qui se faufilait dans l’obscurité de la pièce mais bien vite, la réponse à ma question silencieuse fut révéler par la lumière qui s’alluma au-dessus de moi. « Mais qu’est-ce que tu fous là ? »
Serein, apaisé, je retrouvais la chaleur de mes draps qui m’enveloppaient pour me porter jusqu’au supplice de Morphée. J’étais exténué après cette longue journée suivie de ces habituels dîners à passer sous la tension et les interrogations indiscrètes des parents. Ce soir-là, j’avais mangé dans le silence, Nina assise à mon côté qui ne cessait de jouer l’enfant à me chercher discrètement lorsque le père Armani avait les yeux rivés sur son assiette. Je soupirais doucement à cette pensée, reposant mon téléphone sur ma table de chevet après avoir envoyé un message à Renzo. Je me faisais impatient qu’il revienne à la maison, ainsi que Reeva et Rivael. Ce n’était pas de tout repos de vivre avec Nina qui se faisait un malin plaisir à me faire regretter de toujours vivre chez mes parents et ma mère qui se demandait souvent pourquoi je ne passais pas plus de temps à la maison. La réponse était bien rapide, j’espérais vivement économiser assez d’argent avec les boulots que j’enchaînais pour partir de la maison familiale, échapper à cette atmosphère tendue et oppressante. Non pas que je n’aimais pas vivre ici mais je me sentais dépendant, en plus d’être le plus jeune, je n’aimais pas me sentir autant sous la coupe de la famille, comme si j’étais le petit agneau qu’il fallait protéger et façonner pour que je sois enfin à la hauteur. C’était un sentiment frustrant de devoir toujours montrer que l’on est capable, de devoir prouver que l’on a sa place. Et les tensions entre Dahlia et moi, entre Nina et moi. C’était presque invivable et pourtant, je vivais avec depuis six longues années.
Je fis soudain sorti de mes songes alors que la porte de ma chambre s’ouvrit. Relevant la tête, je n’arrivais pas à distinguer la silhouette qui se faufilait dans l’obscurité de la pièce mais bien vite, la réponse à ma question silencieuse fut révéler par la lumière qui s’alluma au-dessus de moi. « Mais qu’est-ce que tu fous là ? »
© charney
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Lun 16 Fév - 17:09 Citer EditerSupprimer
La vie ne s'arrête jamais. Quoi qu'il arrive, quoi qu'il se dise, ta vie ne s'arrête jamais, et un dîner est la preuve la plus formelle que l'activité est toujours d'actualité. La vie ne t'accordes pas de temps pour souffler, la vie te plonge dans e déni quand tu refuse ce qu'il s'y passe, mais jamais elle ne s'arrête. Nina avait sourit durant le repas, avait rigolé à la blague de son oncle et avait discuter avec sa tante de la nouvelle dentelle à la mode en ce moment. Nina savait se tenir quand il fallait, mais ça ne l'empêchait pas d'être assise en tailleur sur sa chaise plutôt que les jambes croisées, ça ne l'empêchait pas de se teindre les cheveux très souvent, et de couleurs différentes, ça ne l'empêchait pas non plus d'afficher un minois angélique tout en ne manquant pas d'embêter son cher frère. Comme à leur habitudes. De grand enfants, des chamailleries, une habitude surtout entre eux, de se chercher. Est-ce qu'un jour, ils allaient se fatiguer ? Nina en doutait encore aujourd'hui. Le repas était passée et après avoir débarrassée la table, nina était montée dans sa chambre, avait allumée la chaîne hi-fi parce qu'elle ne pouvait pas vivre sans musique bien longtemps, et s'était assise par terre, devant son miroir, pour se démaquiller. Sa chambre n'avait rien d'une chambre de fille, et bien qu'elle l'ai quittée le temps ou elle était au dortoir, le temps de son bachelor, la jeune californienne s'était appropriée les quatre murs de sa chambre à son image. Des photos partout, des posters, des magazines découpés, des fringues, le matelas au sol avec plusieurs couvertures et oreillers. A son image. Cosy et désordonnée. Une fois démaquillée, elle s'était glissée sous la douche, puis avait enfilée un large t-shirt et une culotte, ainsi que des grosses chaussettes. La californienne fredonnait en se démêlant les cheveux, les séchant, et les attachant en une queue de cheval, mais elle n'avait pas envie d'être seule. Seule.
Seule. Elle ne 'était pas souvent, détestant la solitude, elle se releva, coupa le son et sortis de sa chambre sur la pointe des pieds. La villa était encore éclairées dans certaines pièces, mais les parents s'étaient retirés de leur côté de la maison. Se glissant dans le couloir comme une ombre, elle atteignit assez vite la chambre qui était l'objet de ses désirs. Elle ouvrit la porte et alluma la lampe, refermant la porte d'un petit coup de pieds, elle sautilla jusqu'au lit de son cousin avec un petit sourire malicieux. « Ben quoi ? C'est pas l'heure du câlin? » dit-elle ironiquement avant de se jeter sur lui, ébouriffant ses cheveux de ses deux mains. « tu faisais quoi ? T’allait dormir ? T'es fatigué ? » Elle ne doutait pas que le coréen allait la jeter de son lit, c'est pourquoi elle resserra ses cuisse autour du corps du brun pour se cramponner et ne pas tomber.
La vie ne s'arrête jamais. Quoi qu'il arrive, quoi qu'il se dise, ta vie ne s'arrête jamais, et un dîner est la preuve la plus formelle que l'activité est toujours d'actualité. La vie ne t'accordes pas de temps pour souffler, la vie te plonge dans e déni quand tu refuse ce qu'il s'y passe, mais jamais elle ne s'arrête. Nina avait sourit durant le repas, avait rigolé à la blague de son oncle et avait discuter avec sa tante de la nouvelle dentelle à la mode en ce moment. Nina savait se tenir quand il fallait, mais ça ne l'empêchait pas d'être assise en tailleur sur sa chaise plutôt que les jambes croisées, ça ne l'empêchait pas de se teindre les cheveux très souvent, et de couleurs différentes, ça ne l'empêchait pas non plus d'afficher un minois angélique tout en ne manquant pas d'embêter son cher frère. Comme à leur habitudes. De grand enfants, des chamailleries, une habitude surtout entre eux, de se chercher. Est-ce qu'un jour, ils allaient se fatiguer ? Nina en doutait encore aujourd'hui. Le repas était passée et après avoir débarrassée la table, nina était montée dans sa chambre, avait allumée la chaîne hi-fi parce qu'elle ne pouvait pas vivre sans musique bien longtemps, et s'était assise par terre, devant son miroir, pour se démaquiller. Sa chambre n'avait rien d'une chambre de fille, et bien qu'elle l'ai quittée le temps ou elle était au dortoir, le temps de son bachelor, la jeune californienne s'était appropriée les quatre murs de sa chambre à son image. Des photos partout, des posters, des magazines découpés, des fringues, le matelas au sol avec plusieurs couvertures et oreillers. A son image. Cosy et désordonnée. Une fois démaquillée, elle s'était glissée sous la douche, puis avait enfilée un large t-shirt et une culotte, ainsi que des grosses chaussettes. La californienne fredonnait en se démêlant les cheveux, les séchant, et les attachant en une queue de cheval, mais elle n'avait pas envie d'être seule. Seule.
Seule. Elle ne 'était pas souvent, détestant la solitude, elle se releva, coupa le son et sortis de sa chambre sur la pointe des pieds. La villa était encore éclairées dans certaines pièces, mais les parents s'étaient retirés de leur côté de la maison. Se glissant dans le couloir comme une ombre, elle atteignit assez vite la chambre qui était l'objet de ses désirs. Elle ouvrit la porte et alluma la lampe, refermant la porte d'un petit coup de pieds, elle sautilla jusqu'au lit de son cousin avec un petit sourire malicieux. « Ben quoi ? C'est pas l'heure du câlin? » dit-elle ironiquement avant de se jeter sur lui, ébouriffant ses cheveux de ses deux mains. « tu faisais quoi ? T’allait dormir ? T'es fatigué ? » Elle ne doutait pas que le coréen allait la jeter de son lit, c'est pourquoi elle resserra ses cuisse autour du corps du brun pour se cramponner et ne pas tomber.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Mer 18 Fév - 0:56 Citer EditerSupprimer
Une journée passée sous le silence, à faire des recherches, à prendre des notes, à essayer de s’imprégner de tout ce qu’il avait à savoir pour remplir les fonctions qu’on lui demandait. Dans un sens, Raï ne pensait pas être à la hauteur de ce qu’on lui demandait et pourtant, il était persuadé qu’il pouvait y arriver avec un peu d’efforts. Il passait énormément de temps à la théorie, devant son ordinateur ou bien à lire des livres. Raï apprenait, il étudiait sans arrêt car il voulait parfaire sa réflexion, il voulait connaître le domaine dans lequel il était baigné sur le bout des doigts. Ce n’était que lorsque Renzo ou Reeva lui donnaient des choses à faire afin de le tester, de pratiquer, qu’il se permettait de tâter le terrain mais dès lors que ses frères et sœurs retournaient aux dortoirs de l’université, il n’était pas rare de voir Raï, enfermé dans sa chambre ou à la bibliothèque s’il n’était pas au magasin de skate. Et ce soir-là, il avait l’impression que son cerveau fulminait, qu’il pouvait sortir de son crâne à tout moment tant il s’était plongé dans ses bouquins de psychologie ou de sciences sur le cerveau humain. Raï enfouissait sous son silence de nombreuses connaissances, une grande curiosité qui ne cessait d’accroître de jour en jour. Raï était friand de connaître l’homme. De comprendre comment il pense et comment le manipuler. C’était probablement l’une des raisons pour lesquelles il servait au trafic des enfants Armani, sa capacité à comprendre et à éponger. Parce qu’il savait comment l’homme fonctionnait, le japonais arrivait à ne faire paraître aucune de ses émotions, à rester de marbre en toute situation et à faire preuve d’une patience inébranlable.
Cette même patience que sa cousine californienne arrivait à mettre à rudes épreuves chaque jour. En ce moment-même, coincé entre les jambes de la jeune femme, la couverture cachant son torse dénudé, les cheveux en bataille, il aurait été étonnant qu’elle ne débarque pas dans sa chambre. Raï avait beau avoir certaines capacités, il s’était mis un point d’honneur à ne pas les utiliser sur sa famille. Et bien qu’il soit parfois tentant de le faire avec Nina, il redoublait simplement d’un sang-froid sans égal lorsque la demoiselle était dans les parages. Il la regardait alors, dans sa tenue légère, sans quelconque gêne, assise sur lui. Il soupira non sans se faire discret tout en restant impassible « Tu me fais perdre mon temps, Nina. Va te coucher. » d’un ton autoritaire et agacé. Evidemment, il se doutait qu’elle ne bougerait pas de lui aussi facilement et sans réfléchir, il attrapa l’oreiller se trouvant à côté de lui pour l’écraser sur le visage de sa cousine. « En plus, t’es même pas foutue d’enfiler une tenue correcte. » Il était dépassé par l’attitude de Nina avec qui il vivait pourtant depuis six ans. Il s’était fait à son mode de vie mais ne manquait jamais une occasion de la taquiner sur son laisser-aller constant, s’opposant aux comportements habituels et traditionnels des coréennes qui auraient pu le mettre mal à l'aise.
Une journée passée sous le silence, à faire des recherches, à prendre des notes, à essayer de s’imprégner de tout ce qu’il avait à savoir pour remplir les fonctions qu’on lui demandait. Dans un sens, Raï ne pensait pas être à la hauteur de ce qu’on lui demandait et pourtant, il était persuadé qu’il pouvait y arriver avec un peu d’efforts. Il passait énormément de temps à la théorie, devant son ordinateur ou bien à lire des livres. Raï apprenait, il étudiait sans arrêt car il voulait parfaire sa réflexion, il voulait connaître le domaine dans lequel il était baigné sur le bout des doigts. Ce n’était que lorsque Renzo ou Reeva lui donnaient des choses à faire afin de le tester, de pratiquer, qu’il se permettait de tâter le terrain mais dès lors que ses frères et sœurs retournaient aux dortoirs de l’université, il n’était pas rare de voir Raï, enfermé dans sa chambre ou à la bibliothèque s’il n’était pas au magasin de skate. Et ce soir-là, il avait l’impression que son cerveau fulminait, qu’il pouvait sortir de son crâne à tout moment tant il s’était plongé dans ses bouquins de psychologie ou de sciences sur le cerveau humain. Raï enfouissait sous son silence de nombreuses connaissances, une grande curiosité qui ne cessait d’accroître de jour en jour. Raï était friand de connaître l’homme. De comprendre comment il pense et comment le manipuler. C’était probablement l’une des raisons pour lesquelles il servait au trafic des enfants Armani, sa capacité à comprendre et à éponger. Parce qu’il savait comment l’homme fonctionnait, le japonais arrivait à ne faire paraître aucune de ses émotions, à rester de marbre en toute situation et à faire preuve d’une patience inébranlable.
Cette même patience que sa cousine californienne arrivait à mettre à rudes épreuves chaque jour. En ce moment-même, coincé entre les jambes de la jeune femme, la couverture cachant son torse dénudé, les cheveux en bataille, il aurait été étonnant qu’elle ne débarque pas dans sa chambre. Raï avait beau avoir certaines capacités, il s’était mis un point d’honneur à ne pas les utiliser sur sa famille. Et bien qu’il soit parfois tentant de le faire avec Nina, il redoublait simplement d’un sang-froid sans égal lorsque la demoiselle était dans les parages. Il la regardait alors, dans sa tenue légère, sans quelconque gêne, assise sur lui. Il soupira non sans se faire discret tout en restant impassible « Tu me fais perdre mon temps, Nina. Va te coucher. » d’un ton autoritaire et agacé. Evidemment, il se doutait qu’elle ne bougerait pas de lui aussi facilement et sans réfléchir, il attrapa l’oreiller se trouvant à côté de lui pour l’écraser sur le visage de sa cousine. « En plus, t’es même pas foutue d’enfiler une tenue correcte. » Il était dépassé par l’attitude de Nina avec qui il vivait pourtant depuis six ans. Il s’était fait à son mode de vie mais ne manquait jamais une occasion de la taquiner sur son laisser-aller constant, s’opposant aux comportements habituels et traditionnels des coréennes qui auraient pu le mettre mal à l'aise.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Mer 18 Fév - 22:51 Citer EditerSupprimer
On aura beau dire qu'ils se détestent, qu'ils se chamaillent, qu'ils sont enfant rois, qu'ils sont désordonnés, rougissant, ou blessant, raï et nina s'aiment. Quelque part sous toute les habitudes de la haine, sous les remarques désobligeantes et l'amour vache, ils s'aiment comme un frère et une sœur. Nina regardait son cousin avec le même air espiègle que d'habitude, et ne se gênait pas pour l'emmerder. Sans vraiment s'en rendre compte, Nina était un très bon exercice pour les compétences de son cousin, qui évoluait chaque jour un peu plus vers le caméléon qu'il aimerait devenir. La voix grave son cousin la fit rire ohhh, pardon. C'est vrai t'avais l'air super occupé. Oh allez tu peux bien m'acc- hééé! Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle se prenait un coussin dans la gueule. Elle l'attrapa d'un geste vif et le poussa de sa tête, essayant de le récupérer des griffes de Raï Je suis habillée, de quoi tu te plains ! Je suis quand même pas venue à poil, c'est déjà sympa non? dit-elle en le regardant avec un air offusqué. Elle finit par sourire en coin et d'un geste, piquer l'oreiller de son cousin et le lui écraser sur le torse, se laissant tomber sur lui, elle atterrie la tête sur le même oreiller et appuya de tout son corps sur celui du brun, dépliant les jambes pour faire le poids mort. Je m'ennuie dans c'te barraque lâcha t-elle avant de soupirer, forçant sur le soupire pour bien faire comprendre à son cousin qu'elle n'avait pas l'intention de bouger. Elle remonta une main pour virer le bras de raï enlève ton bras il me gêne pour me câler! lâcha t-elle en bougonnant. sinon t'as fais quoi aujourd'hui ? Encore dans tes bouquins? Non pas que le travail n'intéressait pas la belle, mais elle préférait la pratique à la théorie, et ce dans tout les domaines.
On aura beau dire qu'ils se détestent, qu'ils se chamaillent, qu'ils sont enfant rois, qu'ils sont désordonnés, rougissant, ou blessant, raï et nina s'aiment. Quelque part sous toute les habitudes de la haine, sous les remarques désobligeantes et l'amour vache, ils s'aiment comme un frère et une sœur. Nina regardait son cousin avec le même air espiègle que d'habitude, et ne se gênait pas pour l'emmerder. Sans vraiment s'en rendre compte, Nina était un très bon exercice pour les compétences de son cousin, qui évoluait chaque jour un peu plus vers le caméléon qu'il aimerait devenir. La voix grave son cousin la fit rire ohhh, pardon. C'est vrai t'avais l'air super occupé. Oh allez tu peux bien m'acc- hééé! Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle se prenait un coussin dans la gueule. Elle l'attrapa d'un geste vif et le poussa de sa tête, essayant de le récupérer des griffes de Raï Je suis habillée, de quoi tu te plains ! Je suis quand même pas venue à poil, c'est déjà sympa non? dit-elle en le regardant avec un air offusqué. Elle finit par sourire en coin et d'un geste, piquer l'oreiller de son cousin et le lui écraser sur le torse, se laissant tomber sur lui, elle atterrie la tête sur le même oreiller et appuya de tout son corps sur celui du brun, dépliant les jambes pour faire le poids mort. Je m'ennuie dans c'te barraque lâcha t-elle avant de soupirer, forçant sur le soupire pour bien faire comprendre à son cousin qu'elle n'avait pas l'intention de bouger. Elle remonta une main pour virer le bras de raï enlève ton bras il me gêne pour me câler! lâcha t-elle en bougonnant. sinon t'as fais quoi aujourd'hui ? Encore dans tes bouquins? Non pas que le travail n'intéressait pas la belle, mais elle préférait la pratique à la théorie, et ce dans tout les domaines.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Mer 18 Fév - 23:31 Citer EditerSupprimer
Nina était une boule de défauts qui débordait et pourtant, féline, sauvage, adorable, elle était tout ce qu’il aurait pu aimer, tout ce qui aurait pu le faire changer. Arrivés à quelques mois de différence dans la famille Armani, Raï, du haut de ses quatorze ans meurtris, n’avait pas compris pourquoi Dahlia appréciait cette fille qu’elle ne connaissait pas, qu’elle l’adoptait dans sa famille, et pas lui. Peut-être que tout partait de là. Tout c’était fait si naturellement qu’il ne parvenait souvent pas à savoir pourquoi c’était comme ça entre eux. Au fond, il aurait tout fait pour elle sans même se l’avouer à lui-même et bien qu’ils ne cessassent de se détester avec grande conviction, elle faisait plus partie de la famille Armani que lui-même en partageant le même sang que Reeva et Rivael. Il était alors bien naturel pour lui d’avoir ce sentiment de devoir la protéger quoi qu’il pouvait arriver. Cependant, pour le moment, il aurait surtout voulu qu’elle dégage de son lit et de sa chambre aussi. « Encore heureux. » ajouta-t-il simplement aux paroles de la blonde décolorée, ne la lâchant pas du regard. Il la regarda faire, la laissant s’allonger sur lui avant de lever les yeux au ciel, soupirant discrètement. « C’est pour ça que, quand il prêt d’une heure du matin, on dort, généralement. » rétorqua-t-il nonchalamment. Et bien que ses dires trahissent son envie qu’elle le laisse tranquille, il la laissa faire, prenant ses marques et se mettant à ses aises tout contre lui. Il la laissa poser ses questions et passa sa main sur son visage, fatigué. « Ouais. Encore. » finit-il par répondre, appuyant sur le dernier mot que la jeune femme avait employé. Encore. Encore et toujours. Il n’en était pas enchanté de passer ses journées à étudier mais s’il devait réussir, il se devait de le faire. Encore et toujours. « Tu retournes dans ta chambre maintenant? » Il glissa ses mains sur les hanches de sa cousine à cette question, se doutant qu’elle ne bougerait pas, et d’un geste, il la repoussa de son corps pour tenter de la faire tomber par terre mais le réflexe de la blonde l’entraîna avec elle. Ils se retrouvèrent tous les deux au sol, Raï sur son aînée, les bras encadrant son visage, et il soupira une énième fois. « T’es pas possible. »
Nina était une boule de défauts qui débordait et pourtant, féline, sauvage, adorable, elle était tout ce qu’il aurait pu aimer, tout ce qui aurait pu le faire changer. Arrivés à quelques mois de différence dans la famille Armani, Raï, du haut de ses quatorze ans meurtris, n’avait pas compris pourquoi Dahlia appréciait cette fille qu’elle ne connaissait pas, qu’elle l’adoptait dans sa famille, et pas lui. Peut-être que tout partait de là. Tout c’était fait si naturellement qu’il ne parvenait souvent pas à savoir pourquoi c’était comme ça entre eux. Au fond, il aurait tout fait pour elle sans même se l’avouer à lui-même et bien qu’ils ne cessassent de se détester avec grande conviction, elle faisait plus partie de la famille Armani que lui-même en partageant le même sang que Reeva et Rivael. Il était alors bien naturel pour lui d’avoir ce sentiment de devoir la protéger quoi qu’il pouvait arriver. Cependant, pour le moment, il aurait surtout voulu qu’elle dégage de son lit et de sa chambre aussi. « Encore heureux. » ajouta-t-il simplement aux paroles de la blonde décolorée, ne la lâchant pas du regard. Il la regarda faire, la laissant s’allonger sur lui avant de lever les yeux au ciel, soupirant discrètement. « C’est pour ça que, quand il prêt d’une heure du matin, on dort, généralement. » rétorqua-t-il nonchalamment. Et bien que ses dires trahissent son envie qu’elle le laisse tranquille, il la laissa faire, prenant ses marques et se mettant à ses aises tout contre lui. Il la laissa poser ses questions et passa sa main sur son visage, fatigué. « Ouais. Encore. » finit-il par répondre, appuyant sur le dernier mot que la jeune femme avait employé. Encore. Encore et toujours. Il n’en était pas enchanté de passer ses journées à étudier mais s’il devait réussir, il se devait de le faire. Encore et toujours. « Tu retournes dans ta chambre maintenant? » Il glissa ses mains sur les hanches de sa cousine à cette question, se doutant qu’elle ne bougerait pas, et d’un geste, il la repoussa de son corps pour tenter de la faire tomber par terre mais le réflexe de la blonde l’entraîna avec elle. Ils se retrouvèrent tous les deux au sol, Raï sur son aînée, les bras encadrant son visage, et il soupira une énième fois. « T’es pas possible. »
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Jeu 19 Fév - 0:36 Citer EditerSupprimer
La blonde ne se formalisait plus des paroles de son cousin, et, avachie contre lui, elle fit mine de soupirer fortement. ohhh, petit joueur. Tu dors à une heure ? Moi je vis la nuit. lâcha t-elle en relevant doucement la tête, ressemblant à une espèce de tortue sans carapace. Tu travailles trop mon chou, ça va te tuer dit-elle en pinçant les lèvres avant de sourire en coin, approchant une main de la joue de son cousin pour pincer cette dernière, mais c'est à ce moment que choisit Raï pour tenter de la virer. D'une main, elle s'accrocha à l'épaule dénudé du brun, et ses jambes firent tout leur possible pour s'accrocher à lui, ce qui eu pour résultat qu'ils se retrouvent tout les deux sur le sol, empêtré dans la couette entre et au dessus d'eux, un Raï fatigué au dessus d'elle. Nina, de sa volonté d'acier, le provoqua du regard, leur visage beaucoup trop près pour la convention coréenne. je te fatigue? Elle ne bougea pas pendant quelques secondes, mais finalement, s'autorisa à le pousser, flanquant ses deux mains sur le torse de Rai pour le faire se relever, se redressant dans le même mouvement Mais j'ai envie de sortiiiir, ou de faire quelque chose... je m'ennuie ! En plus vous êtes tout le temps occupés, vous êtes chiant... lâcha t-elle alors que nina était de celle qui étaient quasiment toujours dehors ou occupée. Nina plissa les yeux en s'approchant du visage de raï, beaucoup, beaucoup trop près. Puis finalement elle lui sauta dessus, attrapant sa tête entre ses mains t'as un bouton ! Laisse moi l’exploser. Elle commençait déjà à se concentrer pour triturer la peau de son cousin, grimpant sur ses genoux pour mieux s'installer. ah, en plus t'es mal rasé, tu te laisses aller raï ou quoi? Quoi que, peut-être la barbe de trois jours ça pourrait t'aller..
La blonde ne se formalisait plus des paroles de son cousin, et, avachie contre lui, elle fit mine de soupirer fortement. ohhh, petit joueur. Tu dors à une heure ? Moi je vis la nuit. lâcha t-elle en relevant doucement la tête, ressemblant à une espèce de tortue sans carapace. Tu travailles trop mon chou, ça va te tuer dit-elle en pinçant les lèvres avant de sourire en coin, approchant une main de la joue de son cousin pour pincer cette dernière, mais c'est à ce moment que choisit Raï pour tenter de la virer. D'une main, elle s'accrocha à l'épaule dénudé du brun, et ses jambes firent tout leur possible pour s'accrocher à lui, ce qui eu pour résultat qu'ils se retrouvent tout les deux sur le sol, empêtré dans la couette entre et au dessus d'eux, un Raï fatigué au dessus d'elle. Nina, de sa volonté d'acier, le provoqua du regard, leur visage beaucoup trop près pour la convention coréenne. je te fatigue? Elle ne bougea pas pendant quelques secondes, mais finalement, s'autorisa à le pousser, flanquant ses deux mains sur le torse de Rai pour le faire se relever, se redressant dans le même mouvement Mais j'ai envie de sortiiiir, ou de faire quelque chose... je m'ennuie ! En plus vous êtes tout le temps occupés, vous êtes chiant... lâcha t-elle alors que nina était de celle qui étaient quasiment toujours dehors ou occupée. Nina plissa les yeux en s'approchant du visage de raï, beaucoup, beaucoup trop près. Puis finalement elle lui sauta dessus, attrapant sa tête entre ses mains t'as un bouton ! Laisse moi l’exploser. Elle commençait déjà à se concentrer pour triturer la peau de son cousin, grimpant sur ses genoux pour mieux s'installer. ah, en plus t'es mal rasé, tu te laisses aller raï ou quoi? Quoi que, peut-être la barbe de trois jours ça pourrait t'aller..
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Jeu 19 Fév - 16:38 Citer EditerSupprimer
Il ne prenait même pas la peine de répondre aux remarques de Nina et ils étaient déjà affalés au sol. Le brun la regardait de son air fatigué et blasé alors qu’il se demandait bien ce qu’il avait pu faire pour mériter ce qui lui arrivait. Il soutenait le regard de la blonde et un discret sourire se fendit au coin de ses lèvres et, avant qu’il ne puisse répondre, il se fit pousser en arrière, se redressant alors, assis à même le parquet de sa chambre, la couverture ne recouvrant maintenant que le jogging qu’il avait l’habitude de porter pour dormir. Raï avait été élevé dans la culture coréenne bien que son père biologique ait été japonais, il n’y avait mis les pieds que quelques fois lorsqu’il était encore tout jeune. Cependant, ses habitudes ont bien rapidement été chamboulées dès qu’il dû vivre dans la même maison que les italiens jusqu’à ce que ce genre de situations entre sa cousine et lui ne deviennent plus source de malaise. Lui torse nu et elle en petite culotte, ce n’était pas ce qui pouvait être jugé de ‘normal’ au pays du matin calme. Mais à quoi bon, plus rien n’était vraiment normal dans cette famille. « Oui, tu me fatigues. » avait-il fini par lâcher plus sèchement qu’il ne l’aurait voulu et il écoutait maintenant les caprices et reproches de sa cousine, levant les yeux au ciel à ses paroles mais il n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il la vit lui sauter dessus, se retenant au lit pour ne pas tomber à la renverse. « Ahh mais dégage de là! » lança-t-il à l’égard de la jeune femme alors qu’il la repoussa de lui, ne supportant pas qu’on le touche et encore moins au visage. Raï ne s’énervait que très peu mais l’agacement le poussa à lever la voix dans l’espoir que Nina comprenne. Il la regarda alors, soupirant bruyamment. « Si tu veux sortir, je t’en empêche pas, ça m’arrangerait même. » Et il se releva, repoussant ses cheveux de son visage avant de reprendre sa couverture pour la poser sur le lit. Il n’avait même plus envie de dormir.
Il ne prenait même pas la peine de répondre aux remarques de Nina et ils étaient déjà affalés au sol. Le brun la regardait de son air fatigué et blasé alors qu’il se demandait bien ce qu’il avait pu faire pour mériter ce qui lui arrivait. Il soutenait le regard de la blonde et un discret sourire se fendit au coin de ses lèvres et, avant qu’il ne puisse répondre, il se fit pousser en arrière, se redressant alors, assis à même le parquet de sa chambre, la couverture ne recouvrant maintenant que le jogging qu’il avait l’habitude de porter pour dormir. Raï avait été élevé dans la culture coréenne bien que son père biologique ait été japonais, il n’y avait mis les pieds que quelques fois lorsqu’il était encore tout jeune. Cependant, ses habitudes ont bien rapidement été chamboulées dès qu’il dû vivre dans la même maison que les italiens jusqu’à ce que ce genre de situations entre sa cousine et lui ne deviennent plus source de malaise. Lui torse nu et elle en petite culotte, ce n’était pas ce qui pouvait être jugé de ‘normal’ au pays du matin calme. Mais à quoi bon, plus rien n’était vraiment normal dans cette famille. « Oui, tu me fatigues. » avait-il fini par lâcher plus sèchement qu’il ne l’aurait voulu et il écoutait maintenant les caprices et reproches de sa cousine, levant les yeux au ciel à ses paroles mais il n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il la vit lui sauter dessus, se retenant au lit pour ne pas tomber à la renverse. « Ahh mais dégage de là! » lança-t-il à l’égard de la jeune femme alors qu’il la repoussa de lui, ne supportant pas qu’on le touche et encore moins au visage. Raï ne s’énervait que très peu mais l’agacement le poussa à lever la voix dans l’espoir que Nina comprenne. Il la regarda alors, soupirant bruyamment. « Si tu veux sortir, je t’en empêche pas, ça m’arrangerait même. » Et il se releva, repoussant ses cheveux de son visage avant de reprendre sa couverture pour la poser sur le lit. Il n’avait même plus envie de dormir.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Ven 20 Fév - 0:49 Citer EditerSupprimer
Nina, tout comme son cousin, ne se formalisait plus du tout du manque de tenu qu'ils avaient l'un avec l'autre. La californienne ayant grandis avec une mère portée sur le mouvement hippie et un père assez sympathique, ses amis étant tout aussi pacifistes qu'elle, la nudité était pour elle tout à fait normal, la gêne lui étant assez étrangère. Elle le fixa en haussant un sourcil avant de pouffer de rire. Et voilà qu'elle le fatiguait. Nina n'en resta pas moins nina et lui sauta dessus pour lui éclater un bouton, ce qu'elle n'arriva pas à faire, tombant en arrière, elle se laissa d'abord aller sur le sol en pouffant de rire. « mais j'ai pas envie de sortir seule ! Oh Raï aller, accompagne ta cousine préférée boire un verre! » lâcha t-elle avec ironie. Quand il se leva, nina l'imita, et au moment ou son cousin posa sa couverture, la blonde s'en empara et se jeta sur le lit du coréen, en faisant le burrito dans sa couette, s'enroulant dedans. « mhhh, quoi que, dormir la c'pas mal en fait ! » Elle fit mine de dormir, se tournant vers le mur, la jeune femme ferma les yeux et laissa échapper plusieurs onomatopée dans le but de montrer à quel point elle était bien dans ce lit. « sinon, elle rentre quand reeva ? » Nina savait très bien que son cousin avait une sorte d'admiration bizarre envers les deux italiennes, et elle ne manquait pas de le charrier pour ça. Elle qui n'était ni purement italienne, ni un tant soit peu japonaise, et encore moins coréenne, était l'espèce de mouton noir. Bien que tout les armani avaient fait de leur mieux pour l'accueillir, et ce chacun à leur façon, nina ressentait toujours un léger manque de la côte ouest des états-unis. « t'as perdu ta langue ? » dit-elle en tournant la tête vers lui affichant un grand sourire niais.
Nina, tout comme son cousin, ne se formalisait plus du tout du manque de tenu qu'ils avaient l'un avec l'autre. La californienne ayant grandis avec une mère portée sur le mouvement hippie et un père assez sympathique, ses amis étant tout aussi pacifistes qu'elle, la nudité était pour elle tout à fait normal, la gêne lui étant assez étrangère. Elle le fixa en haussant un sourcil avant de pouffer de rire. Et voilà qu'elle le fatiguait. Nina n'en resta pas moins nina et lui sauta dessus pour lui éclater un bouton, ce qu'elle n'arriva pas à faire, tombant en arrière, elle se laissa d'abord aller sur le sol en pouffant de rire. « mais j'ai pas envie de sortir seule ! Oh Raï aller, accompagne ta cousine préférée boire un verre! » lâcha t-elle avec ironie. Quand il se leva, nina l'imita, et au moment ou son cousin posa sa couverture, la blonde s'en empara et se jeta sur le lit du coréen, en faisant le burrito dans sa couette, s'enroulant dedans. « mhhh, quoi que, dormir la c'pas mal en fait ! » Elle fit mine de dormir, se tournant vers le mur, la jeune femme ferma les yeux et laissa échapper plusieurs onomatopée dans le but de montrer à quel point elle était bien dans ce lit. « sinon, elle rentre quand reeva ? » Nina savait très bien que son cousin avait une sorte d'admiration bizarre envers les deux italiennes, et elle ne manquait pas de le charrier pour ça. Elle qui n'était ni purement italienne, ni un tant soit peu japonaise, et encore moins coréenne, était l'espèce de mouton noir. Bien que tout les armani avaient fait de leur mieux pour l'accueillir, et ce chacun à leur façon, nina ressentait toujours un léger manque de la côte ouest des états-unis. « t'as perdu ta langue ? » dit-elle en tournant la tête vers lui affichant un grand sourire niais.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Sam 21 Fév - 0:42 Citer EditerSupprimer
Raï leva les yeux devant Nina qui lui quémandait de l’accompagner alors que la seule chose qu’il aurait voulue, à ce moment-là était se recoucher pour essayer de trouver le sommeil que sa cousine préférée lui avait troublé. « Pas ce soir, Nina. Il est tard. » lui avait-il répondu d’un air lasse avant d’ajouter « Peut-être demain. », ce qu’il regrettait déjà. Il regardait maintenant la blonde s’enrouler dans sa couverture et il ne put s’empêcher d’apporter sa main à son visage pour se frotter les yeux, complètement désespéré. Il soupira encore et toujours puis, un sourire imperceptible se dessinant sur ses fines lèvres lorsqu’il la vit faire semblant de dormir avant qu’il ne vienne sauter sur le burrito qui lui servait de cousine, l’écrasant de tout son poids. Et il savait qu’il pouvait se faire lourd quand il le voulait. Allongé en étoile de mer sur ce corps inerte, il fut pris au dépourvu par sa question, fronçant les sourcils alors qu’il mit plus de temps à répondre qu’il ne l’aurait pensé en vue de la remarque de Nina. « J’en sais rien. Peut-être ce week-end, pourquoi? » Et il souffla dans son oreille, toujours en l’écrasant alors qu’il savait qu’elle cherchait un nouveau moyen pour le faire chier. « C’est chiant si je fais ça? » Et il continua de souffler plusieurs fois. A son tour de jouer au gamin maintenant que le sommeil lui avait fait faux bond. Autant en profiter pour embêter sa cousine autant qu’elle le faisait chier depuis maintenant de longues minutes.
Raï leva les yeux devant Nina qui lui quémandait de l’accompagner alors que la seule chose qu’il aurait voulue, à ce moment-là était se recoucher pour essayer de trouver le sommeil que sa cousine préférée lui avait troublé. « Pas ce soir, Nina. Il est tard. » lui avait-il répondu d’un air lasse avant d’ajouter « Peut-être demain. », ce qu’il regrettait déjà. Il regardait maintenant la blonde s’enrouler dans sa couverture et il ne put s’empêcher d’apporter sa main à son visage pour se frotter les yeux, complètement désespéré. Il soupira encore et toujours puis, un sourire imperceptible se dessinant sur ses fines lèvres lorsqu’il la vit faire semblant de dormir avant qu’il ne vienne sauter sur le burrito qui lui servait de cousine, l’écrasant de tout son poids. Et il savait qu’il pouvait se faire lourd quand il le voulait. Allongé en étoile de mer sur ce corps inerte, il fut pris au dépourvu par sa question, fronçant les sourcils alors qu’il mit plus de temps à répondre qu’il ne l’aurait pensé en vue de la remarque de Nina. « J’en sais rien. Peut-être ce week-end, pourquoi? » Et il souffla dans son oreille, toujours en l’écrasant alors qu’il savait qu’elle cherchait un nouveau moyen pour le faire chier. « C’est chiant si je fais ça? » Et il continua de souffler plusieurs fois. A son tour de jouer au gamin maintenant que le sommeil lui avait fait faux bond. Autant en profiter pour embêter sa cousine autant qu’elle le faisait chier depuis maintenant de longues minutes.
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Re: si tu pouvais sortir de ma chambre ▬ raïxnina | Mer 25 Fév - 1:25 Citer EditerSupprimer
Comme elle s'y attendait, son cousin refusa directement sa proposition à sortir, mais la belle écarquilla les yeux lorsque Ra¨finis sa phrase par un peut-être demain. Elle n'avait pas pris le temps d'attendre une réponse, alors c'est déjà emballée dans la couette de son cousin qu'elle le fixa avec de grand yeux choqués. « redis moi ça, j't'en supplie, c'était trop beau » couina t-elle avant de rire, malicieuse. Lorsque le poids de son cousin s'affala sur elle, Nina ne pu s'empêcher de crier, étranglé par le poids « arghhh, eggejarrête, aaah, hahaha! » En sommes, une suite d'onomatopée très peu compréhensible mais qui en gros, représentait très bien son état. Elle riait mais respirait mal, couchée sur le dos avec le monstre sur elle. Comme elle s'était elle-même foutu en burrito, elle ne pouvait que tourner la tête lorsque son cousin soufflait dans son oreille. « j'sais pas pour savoir... arrête putain ! » Nina bougeait la tête avec frénésie, à moitié en rigolant, à moitié en ralant, essayant de sortir un de ses bras de la couette, mais c'était peine perdue. elle entreprit donc de faire la bascule avec son corps pour bouger son cousin, ce qui s'avéra plus difficile que prévue. Complètement soumise à lui, tout ce qu'elle avait à porté, c'était le visage de son cousin et son cou. Cou qu'elle vint lécher pour déstabiliser le garçon, et sous l'effet de surprise, elle en profita pour bouger ses jambes et ses bras, comme un asticot, pour se dégager de l'emprise de son cousin. « si tu bouges pas je recommence ! »
Comme elle s'y attendait, son cousin refusa directement sa proposition à sortir, mais la belle écarquilla les yeux lorsque Ra¨finis sa phrase par un peut-être demain. Elle n'avait pas pris le temps d'attendre une réponse, alors c'est déjà emballée dans la couette de son cousin qu'elle le fixa avec de grand yeux choqués. « redis moi ça, j't'en supplie, c'était trop beau » couina t-elle avant de rire, malicieuse. Lorsque le poids de son cousin s'affala sur elle, Nina ne pu s'empêcher de crier, étranglé par le poids « arghhh, eggejarrête, aaah, hahaha! » En sommes, une suite d'onomatopée très peu compréhensible mais qui en gros, représentait très bien son état. Elle riait mais respirait mal, couchée sur le dos avec le monstre sur elle. Comme elle s'était elle-même foutu en burrito, elle ne pouvait que tourner la tête lorsque son cousin soufflait dans son oreille. « j'sais pas pour savoir... arrête putain ! » Nina bougeait la tête avec frénésie, à moitié en rigolant, à moitié en ralant, essayant de sortir un de ses bras de la couette, mais c'était peine perdue. elle entreprit donc de faire la bascule avec son corps pour bouger son cousin, ce qui s'avéra plus difficile que prévue. Complètement soumise à lui, tout ce qu'elle avait à porté, c'était le visage de son cousin et son cou. Cou qu'elle vint lécher pour déstabiliser le garçon, et sous l'effet de surprise, elle en profita pour bouger ses jambes et ses bras, comme un asticot, pour se dégager de l'emprise de son cousin. « si tu bouges pas je recommence ! »
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