#incky + Us against the world
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#incky + Us against the world | Jeu 5 Mar - 23:34 Citer EditerSupprimer
« Putain mec pourquoi tu m’as entrainé dans cette galère ? » je le revoyais avec son flayers à la con, bien décidé à foutre mon nom sur cette liste … Liste qui entre nous était presque vide. A part deux paumés de la vie comme nous il n’y avait personne. Je le savais que je n’aurais pas du le laisser me trainer dans ce plan de merde. Mais on en avait besoin putain. On avait besoin de ces points en plus pour notre moyenne, cette école faisait vraiment chier à nous obliger à nous inscrire à des options extrascolaire … Bien sur tous les sports virils avaient été prit d’assaut. Si au moins on s’était pas touché la nouille à glander pensant qu’on aurait encore et encore le temps … On avait finit par s’inscrire là où il restait de la place. Théâtre. Je soupirais en ayant une crise d’urticaire rien qu’à ce mot. Je tapotais un peu plus ma joue de font de teint. J’ai honte. J’ai dit à personne de mon entourage que la première était ce soir … Sérieux j’ai trop honte de moi. « Non mais putain j’ai de l’eye liner mec ! » m’écriais-je en fixant mon reflet dans le miroir. J’affichais une moue contrariée en reniflant. Je zieutais dans sa direction avant de me lever « T’as pas assez de fond de teint dans le cou, tu sais ce qu’il a dit … il faut en mettre une bonne couche, surtout toi et ta peau blanche roméo » ricanais-je en m’approchant de lui avec un air débile sur le visage. Mais à peine je fis un pas que je grimaçais. Putain. « Ce string c’était de la folie, j’aurais jamais du accepter ces idées tordues à ce mec ! » râlais-je en tirant allégrement sur mon collant qui me compressait les parties reproductrices. J’étais un mâle bien gâté par la nature ok. Il me fallait de l’espace, tout ce que ce string n’offrait pas. Je le fis d’ailleurs claqué sur une de mes fesses en grognant « Tu m’en dois une ! » Je soupirais en tirant sur ma tenue de Jules. Et pris soudain d’un doute, je regardais mon ami suspicieux « Mec … tu l’as mit toi aussi hein ?! » Pour m’assurer j’avançais vers lui en tentant déjà de tirer sur ton short pour voir de mes propres yeux que je n’étais pas le seul à avoir suivis les consigne de ce metteur en scène complètement barge qui nous suit depuis 6 mois … J’ai dit adieu à mon égo de mal ce soir. Je suis maquillé, je porte un string et un collant. Et dans moins de 45 minutes je vais devoir … « Laisse toi faire putain ! » m’écriais-je en tentant de lui arracher son bas. Je suis peut-être petit mais je suis vif !
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Re: #incky + Us against the world | Ven 6 Mar - 17:21 Citer EditerSupprimer
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Toi et moi, jusqu'au bout du monde. Liés dans les galères les plus loufoques, et depuis toujours, Franklin a évidemment pensé à lui quand on lui a posé cet ultimatum : toi trouver une activité extrascolaire ou sinon toi perdre la bourse. Faut dire qu'il n'a pas eu le choix, parce que mine de rien, il y tient à ses études : il ne peut se permettre de passer le concours de la police sans rien dans le crâne. Et apparemment, le théâtre rapporterait des points en plus, ils n'allaient pas cracher dessus. Surtout qu'ils ne sont pas vraiment des flèches et leurs notes craignent au fil du temps ; sachant que Franklin a cette pression sur les épaules parce qu'il ne peut pas merder dans les matières importantes, sous peine de perdre la bourse. « Putain mec pourquoi tu m’as entrainé dans cette galère ? » Franklin fusille son acolyte du regard. « Arrête de geindre, on dirait une gonzesse ! » Pourtant, il est peu sûr de lui sur ce coup, parce qu'ils sont nuls en théâtre tous les deux, parce qu'ils ont été surtout sélectionnés grâce à leur physique ; pas pour un talent quelconque. Donc se taper l'affiche, devant toute l'université en plus, c'est assez délicat. Au moins, ils sont tous les deux dans cette galère, ils pourront se serrer les coudes. Dans la loge, en pleine préparation de la première, ils sont même obligés de se maquiller. « Putain, je déteste ça. C'est quoi ce truc qui pue ? » Dit-il en pointant du doigt divers produits cosmétiques. « Non mais putain j’ai de l’eye liner mec ! » Un coup d’œil compatissant vers Insu, c'est que même-lui, Franklin la grosse brute, en a également. Enfin, juste du crayon noir autour des yeux pour les agrandir parce que ses yeux sont trop petits apparemment. « T’as pas assez de fond de teint dans le cou, tu sais ce qu’il a dit … il faut en mettre une bonne couche, surtout toi et ta peau blanche roméo. » Soudainement, Franklin se braque et lève les mains pour se protéger. « Mais vas-y, touche-moi pas avec ce truc gluant ! Rien à foutre de ce qu'il a dit, l'autre et ses jupons ! » Mais apparemment, Insu fut arrêté dans son mouvement par autre chose : le fameux string que leur excentrique metteur en scène leur a obligé à porter. Ô joie, bonheur, papillons et fleurs. « Ce string c’était de la folie, j’aurais jamais du accepter ces idées tordues à ce mec ! » Cette nouvelle version de Roméo et Juliette, transformée en Roméo et Jules commence vraiment à merveille. « Mec… tu l’as mit toi aussi hein ?! » À cette question, Franklin voit rouge : il ne l'a pas mis. « Je… Euh… Je ne répondrai qu'en présence de mon avocat ! » Mais Insu est coriace, sa remarque ne lui a fait ni chaud ni froid, parce qu'il s'avance tout de même vers Franklin, dans le but de vérifier lui-même. « Laisse toi faire putain ! » En se débattant tant qu'il peut, protégeant toujours son précieux derrière, Franklin est à deux doigts de perdre le combat. Mais soudainement, la porte s'ouvre sur un metteur en scène aussi maquillé que les vedettes de la pièce. « Oh, mes chéris ! Vous êtes par-faits ! Maintenant, mettez vos costumes, je vais revenir dans quelques minutes. Ne vous trompez pas, bleu électrique pour Jules et vert absinthe pour Roméo ! » Et il s’éclipse après un baiser papillon pour chacun d'eux. Au moins, sa petite intervention a permis à Franklin de se sauver ; il court attraper son costume de Roméo et l'enfile en toute vitesse. « Moi pas porter de string ! » Lâche-t-il fièrement, en bombant le torse – mais plutôt mal à l'aise en portant un collant. |
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Re: #incky + Us against the world | Ven 20 Mar - 13:31 Citer EditerSupprimer
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Le salaud. C’est qu’il se débattait ! M’empêchant par la même occasion de mater son string. Je ne sais pas ce qui était le pire dans la situation : que je cherche désespérément à voir ses fesses et son sous vêtement, ou alors que je trouve ça … Normal. Je voulais juste m’assurez d’une chose voilà tout. Il ne fallait pas chercher plus loin, et c’était donc tout à faire normal que je me retrouve à genou devant lui à tirer sur son pantalon. Et c’est tout aussi normal que je sois en train de le –presque- plaque contre un mur pour avoir une meilleure emprise sur lui. Il se débat bien le bougre et j’ai du mal à parvenir à mes fins. Je retiens un soupir amusé en prenant une expression outrée « Bang Franklin ! » Je finis par rire légèrement ne pouvant tenir cet air sérieux sur le visage qui me donnait un air d’abruti profond je le conçois. Est-ce que c’est ma faute si je suis faible face à lui ? Merde c’est mon bro, je pourrais tout lui donner sans jamais poser de questions, sans jamais hésiter. Même la pire des choses. Alors cette pièce de théâtre c’est rien. C’est infime. Même ce string je peux m’en accommoder. Après tout je suis presque un professionnel. Et depuis qu’il m’a sauvé la vie je lui ai promis de toujours le suivre dans ses plans, je lui ai promis que je serais toujours là pour l’épauler, alors ce n’était pas un peu de maquillage et une paire de collant dégueulasse qui allait changer quoique ce soit. Même si j’allais lui faire payer le fait de m’avoir fait travailler pendant des mois avec ce metteur en scène plus gay de Freddie Mercury lui-même. Je reniflais en fixant mon reflet dans le miroir. Si mon père me voyait à cet instant c’était à coup sur un motif valable pour me renier. Pas franchement fana des jupons et des talonnettes le patriarche. J’avais peur à chaque fois que le metteur en scène s’approchait de nous alors c’est avec un petit cri, enfin non, un couinement que je saute au cou de Franklin avant de glisser derrière lui et de regarder, méfiant, le metteur en scène par-dessus l’épaule de mon ami. « Je vais lui faire bouffer son bisou volant moi. » grognais-je quand il quitta la pièce. Dans un soupir je m’écartais de Franklin contre qui je m’étais pressé, balayant mon souffle, sans le vouloir, dans sa nuque. Je passais une main dans mes cheveux avant de le fixer d’un air outré, faussement boudeur « Très bien. » Je me détournais pour le faire culpabiliser. « Tarzan, faire théâtre tout seul. » Après tout ce temps que nous avions passé à répéter, à apprendre notre texte par cœur, remixant certain passage. Je me saisie de sa tenue et lui plaqua sur son torse. « Roméo n’a qu’à s’inscrire sur adopteunjules.com moi je monte pas sur scène si tu ne mets pas toi aussi ton sting ! » Maigre consolation pour ce foutoir dans lequel il nous avait mit. Mais sinon bro, je t’assure que je ferais tout pour toi et que je te dois ma vie. Mais là on parle de string mec … faut qu’on soit dans le même galère tous les deux tu comprends … |
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Re: #incky + Us against the world | Ven 27 Mar - 15:03 Citer EditerSupprimer
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Et là, Insu lui tourne le dos. D'un point de vue extérieur, leur petite querelle dans des tenues pareilles donnerait des idées à n'importe qui ; mais pour eux, c'est une situation parfaitement normale. Après tout, ce bougre d'Insu a déjà vu le popotin rosé de Franklin plutôt souvent – c'est qu'ils n'ont aucune gêne, après tout, ils ont tous les deux les mêmes attributs masculins, il n'y a pas de honte à avoir. Franklin et Insu se connaissent depuis qu'ils sont gamins, ils ont depuis longtemps passé le stade de simples amis pour forger cette amitié à la vie, à la mort, comme s'ils n'étaient qu'un même homme, qu'une même entité. Les filles parlent de bromance, Franklin grimace à chaque fois qu'il entend le mot romance mais c'est parce qu'il n'a jamais compris les fondements de ce terme. Pourtant, là, dans cette situation, il a envie de ravaler sa fierté et de porter ce bout de tissu qu'il apprécie d'habitude sur les filles. « Roméo n’a qu’à s’inscrire sur adopteunjules.com moi je monte pas sur scène si tu ne mets pas toi aussi ton sting ! » Il tend le bras, d'une façon très théâtrale, mais il n'atteint jamais l'épaule d'Insu, son bras retombe. Un gros blanc s'installe, aucunement paisible, plein de tensions et de non-dits – enfin, c'est du théâtre, tout est exacerbé. Surtout avec des imbéciles heureux pareils. « Non… » Murmure Franklin en faisant un pas pour rattraper son ami. « Ne me laisse pas… » Dit-il un peu plus assurément, avec un autre pas vers Insu, toujours de dos. « Je… commence-t-il avec une voix presque enrouée, j'accepte. » Répond-t-il comme s'il acceptait une demande en mariage. « J'accepte de porter ce string pour toi ! » Crie-t-il avec beaucoup plus d'assurance cette fois-ci, malgré une once d'hésitation – après tout, ce vêtement est un véritable calvaire pour un homme. « C'est toi mon Jules, grand fou. » Avec une tape dans le dos d'Insu, Franklin enlève le bas de sa tenue vert absinthe pour enfiler le string devant son ami – aucune pudeur. « Ay-ay-ay… » Dit-il en tentant de placer correctement ses bijoux de famille pour ne pas souffrir le martyr mais le plus difficile, c'est le petit fil qui s'est coincé dans son derrière. « Je suis sûr que ce fil vient de me dépuceler de derrière. » Franklin fait quelques pas dans la pièce pour essayer de s'habituer à ce vêtement beaucoup trop étrange mais il n'est toujours pas à l'aise. Pourtant, il remet son costume pour être finalement prêt à cette fichue représentation de théâtre. « On commence quand cette foutue pièce ? » |
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Re: #incky + Us against the world | Ven 27 Mar - 15:35 Citer EditerSupprimer
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Il devrait le savoir que je le fais marcher, il devrait le savoir que je fais semblant de bouder pour avoir ce que je voulais. C’est marrant comme ça marchait toujours avec lui. Comme s’il était toujours inquiet de pouvoir … me perdre ? Non, balivernes. Comment pourrait-il me perdre ? On se l’ait juré : à la vie, à la mort. Mais je m’obstine dans ma bêtise, je veux qu’il porte ce string comme moi. Pourquoi je serais le seul à souffrir du derrière après tout ? Je regarde son reflet dans le miroir et je suis saisie par ses mots. Comment pourrais-je le laisser hein … ? Je passe même une main gêné dans mes cheveux en souriant idiotement. Je suis son Jules. Il a raison. Et je ne laisserais personne jouer ce rôle à ma place ! Désormais je l’observe sans aucune honte enfiler ce string, enfin cet objet de torture. Je dois l’avouer, je ressens une pointe de culpabilité. Je devrais l’arrêter dans son geste et lui dire que le simple fait de le voir esquisser ce geste pour moi me touche, mais il y a quelque chose de réconfortant de le voir aller jusqu’au bout de la chose. J’ai une pointe d’admiration dans le regard et c’est vrai que je lui en suis reconnaissant. Je me lève pour enfiler ma tenue à mon tour et me bat avec mes collants pour les enfiler correctement. Je suis torse nu devant lui en je grimace. « Bientôt … putain je ne sais pas combien de personnes, mais perso’ je n’ai parlé de cette pièce à personne … notre note ne changera pas même si on joue devant une salle vide. » J’affiche un air contrarié en m’imaginant jouer les donzelles éperdues penchées au balcon avant de me mettre à rire. « Putain tu te souviens de la fois où on a répété la scène du balcon … le décor était tellement pas solide que t’as fait une chute une merde … » Il ne sait pas fait mal heureusement, mais il nous a été impossible de jouer pendant près de 30 minutes à cause du fou rire qui nous a prit. Faire une chute d’à peine une mètre et tomber en poussant un cri aigu avait été le clou du spectacle … Je tentais de ne pas trop rire à nouveau histoire de ne pas faire couler mon maquillage et de garder un minimum de sérieux. Je passais ma main sur mes lèvres et finit de m’habiller avant de l’entrainer dans le couloir. « Allez bro. Quand faut y aller, faut y aller. » je saluais vite fait les autres pseudo acteur qui composait la scène et l’entrainais déjà dans les coulisses en lui claquant une fesse pour lui donner du courage. « On va leur vendre du rêve ce soir crois moi ! » et pendant juste un quart de secondes je me rendis compte que j’étais presque impatient d’arriver à l’acte II où je devrais l’embrasser. Bof. Si je le suis autant c’est juste parce que la scène d’après sonne l’entracte et que je pourrais manger mon donuts tranquille. Ouais, c’est juste pour une histoire de donuts. Et de sucre glace sur les commissures de Franklin. Yuck, je frissonne à cette pensée en prenant un air faussement dégouté comme si quelqu’un pouvait lire mes pensées. « Je te paris qu’après la pièce on ressortira avec une fille à chaque bras ! » plaisantais-je en sautillant sur place pour me détendre. |
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