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EMMA - Au bout d'un moment on peut plus se cacher
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EMMA - Au bout d'un moment on peut plus se cacher | Ven 6 Mar - 22:32 
Cela faisait un moment que Téo ne croisait plus Emma, sa tendre et jolie Emma. Cette fille le rendait complètement fou, ce qui était une étrange sensation pour le jeune brun. Être aussi attentionné envers quelqu'un n'était pas dans ses habitudes, et pourtant, Emma avait tout chamboulé en lui. La preuve, il s'est laissé tabasser la semaine dernière. Il était hors de question qu'on touche à un joli cheveu blond de la jeune femme. S'il fallait qu'on s'en prenne à lui pour la laisser tranquille alors soit, mais les mecs qui ont fait ça n'ont pas intérêt à tomber sur Téo par erreur, car il ne les manquera pas cette fois-ci. C'est ce jour-ci que Téo a tout avoué à Emma, c'est vrai qu'il avait des sentiments pour elle. C'est un monstre parfois, je vous l'accorde, mais il a la qualité de ne pas mentir. Il ne lui aurait jamais avoué ça pour se moquer d'elle ou autre. Il pensait sincèrement ses paroles. Depuis ce jour, il est normal qu'il vente Lawson comme étant sa magnifique copine, après tout ce qui lui avait avoué, elle ne pouvait pas refuser ce statut, c'est pour cela qu'il fit courir cette rumeur sans même lui en parler. De toute manière comment lui en toucher un mot quand il ne la voyait pas ? Ça devait faire au moins une semaine qu'il n'avait plus croisé sa jolie bouille. Comment pouvait-il tenir autant de temps sans la voir ? Lui-même se pose encore la question. Elle devait certainement le fuir. Il faut dire qu'il n'a pas l'impression qu'elle le porte dans son cœur, mais maintenant elle n'avait plus le choix que de l'accepter, car Téo ne laisserait jamais tomber Emma aussi facilement. C'est un têtu et quand il a quelque chose en tête, il est quasiment impossible de le faire renoncer. Il prit donc la décision de se renseigner un peu plus sur elle. C'est vrai qu'il y a d'autre procédé que d'attraper un Sango par le col et lui demander avec agressivité où il pouvait trouver Emma, mais le jeune homme n'est pas connu comme étant patient. Il devait savoir et vite. De cette manière, il eut ce qu'il voulait en une poignée de secondes. Il se rendit sans tarder dans le bar où travaillait la jolie blonde. L'Izakaya était connu comme un bar de beuverie, il se demandait ce qu'elle pouvait faire là bas. Travaillé dans ces conditions il trouvait ça inadmissible pour une telle jeune femme. Certainement qu'il toucherait un mot au patron pour faire évoluer la situation, hors de question qu'Emma s'occupe des ivrognes, ou pire, qu'ils lui vomissent dessus. La clochette retentit, Téo venait de passer la porte. Son visage était figé, autour de tout ce monde se trouver sa copine comme il aime le prétendre. Du regard, il essaya de la trouver, mais en vain. Il marcha lentement avec son air sérieux. Son regard voulait dire "ne venez pas me faire chier aujourd'hui", ils seraient cons de croire que Téo était là pour eux. Après avoir fait le tour du bar, il commença à s'impatienter. Il était sur le point d'hurler le prénom d'Emma mais comme par magie elle apparut juste en face de lui. Elle était vêtue d'une tenue modeste avec son tablier sur les hanches et son plateau à la main suivant les exigences des clients. Cette vision l'insupportait, il ne comprenait pas pourquoi elle se rabaissait à ce job. Avec sa spontanéité légendaire, il poussa d'un ton fort « Qu'es tu fou ?!?! » Bien sûr, il attendait une réponse sensée de sa part.
Emma&Téo
Cela faisait un moment que Téo ne croisait plus Emma, sa tendre et jolie Emma. Cette fille le rendait complètement fou, ce qui était une étrange sensation pour le jeune brun. Être aussi attentionné envers quelqu'un n'était pas dans ses habitudes, et pourtant, Emma avait tout chamboulé en lui. La preuve, il s'est laissé tabasser la semaine dernière. Il était hors de question qu'on touche à un joli cheveu blond de la jeune femme. S'il fallait qu'on s'en prenne à lui pour la laisser tranquille alors soit, mais les mecs qui ont fait ça n'ont pas intérêt à tomber sur Téo par erreur, car il ne les manquera pas cette fois-ci. C'est ce jour-ci que Téo a tout avoué à Emma, c'est vrai qu'il avait des sentiments pour elle. C'est un monstre parfois, je vous l'accorde, mais il a la qualité de ne pas mentir. Il ne lui aurait jamais avoué ça pour se moquer d'elle ou autre. Il pensait sincèrement ses paroles. Depuis ce jour, il est normal qu'il vente Lawson comme étant sa magnifique copine, après tout ce qui lui avait avoué, elle ne pouvait pas refuser ce statut, c'est pour cela qu'il fit courir cette rumeur sans même lui en parler. De toute manière comment lui en toucher un mot quand il ne la voyait pas ? Ça devait faire au moins une semaine qu'il n'avait plus croisé sa jolie bouille. Comment pouvait-il tenir autant de temps sans la voir ? Lui-même se pose encore la question. Elle devait certainement le fuir. Il faut dire qu'il n'a pas l'impression qu'elle le porte dans son cœur, mais maintenant elle n'avait plus le choix que de l'accepter, car Téo ne laisserait jamais tomber Emma aussi facilement. C'est un têtu et quand il a quelque chose en tête, il est quasiment impossible de le faire renoncer. Il prit donc la décision de se renseigner un peu plus sur elle. C'est vrai qu'il y a d'autre procédé que d'attraper un Sango par le col et lui demander avec agressivité où il pouvait trouver Emma, mais le jeune homme n'est pas connu comme étant patient. Il devait savoir et vite. De cette manière, il eut ce qu'il voulait en une poignée de secondes. Il se rendit sans tarder dans le bar où travaillait la jolie blonde. L'Izakaya était connu comme un bar de beuverie, il se demandait ce qu'elle pouvait faire là bas. Travaillé dans ces conditions il trouvait ça inadmissible pour une telle jeune femme. Certainement qu'il toucherait un mot au patron pour faire évoluer la situation, hors de question qu'Emma s'occupe des ivrognes, ou pire, qu'ils lui vomissent dessus. La clochette retentit, Téo venait de passer la porte. Son visage était figé, autour de tout ce monde se trouver sa copine comme il aime le prétendre. Du regard, il essaya de la trouver, mais en vain. Il marcha lentement avec son air sérieux. Son regard voulait dire "ne venez pas me faire chier aujourd'hui", ils seraient cons de croire que Téo était là pour eux. Après avoir fait le tour du bar, il commença à s'impatienter. Il était sur le point d'hurler le prénom d'Emma mais comme par magie elle apparut juste en face de lui. Elle était vêtue d'une tenue modeste avec son tablier sur les hanches et son plateau à la main suivant les exigences des clients. Cette vision l'insupportait, il ne comprenait pas pourquoi elle se rabaissait à ce job. Avec sa spontanéité légendaire, il poussa d'un ton fort « Qu'es tu fou ?!?! » Bien sûr, il attendait une réponse sensée de sa part.©clever love.
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Re: EMMA - Au bout d'un moment on peut plus se cacher | Ven 6 Mar - 23:30 
La semaine dernière n'avait pas été spécialement géniale pour moi, j'étais revenue à l'Université après avoir été absente quelques jours pour l'enterrement de mon père. Oui, mon père est décédé il y a environ trois semaines, lorsque je l'ai su, j'ai eu l'impression que la terre s'ouvrait sous mes pieds. J'ai toujours été très proche de mon père, j'étais sa petite princesse et quand j'étais enfant, je disais que j'allais me marier avec lui. Sa mort me surpris, mais étrangement, ma mère et mes frères ne semblaient pas si étonnés. Peu de temps après l'enterrement, j'ai appris qu'en fait il était malade depuis des années, mais il avait demandé à toute la famille qu'on ne me dise rien, parce qu'il me connaissait, il savait que si j'avais été mise au courant pour sa maladie, j'aurais pu mettre mes études entre parenthèses pour m'occuper de lui et il ne voulait pas que je me sacrifie. J'en ai voulu à ma mère et mes frères, l'espace de quelques heures, mais je sais qu'ils ont fait ça avec de bonnes intentions. Je suis donc revenu la semaine dernière et j'ai ainsi repris mes études et mon travail de serveuse à l'Izakaya. C'est en sortant de mon travail, après le service du soir que je me suis fait agresser. Voyez, la semaine pourrie par excellence. Heureusement, Téodore est venu me sauver. Ce soir-là, j'ai vu une nouvelle façette de lui qui ne m'a pas déplu, mais qui m'a également effrayée. Et oui, il s'est laissé frapper pour moi, vous vous rendez compte ? Il y a peu de monde qui ferait ça. Lorsque je lui ai demandé pourquoi il avait ça, il me répondis que c'était parce qu'il m'aimait. Sérieusement, que voulez-vous répondre à cela ? J'étais gênée, mais en même temps j'étais flattée. En fait, je ne savais pas trop sur quel pied danser. Je décidais donc de l'éviter.
Oui, bon, je sais ce n'était pas forcément la meilleure des solutions, mais cela permet de réfléchir tranquillement. Enfin ça, c'était avant qu'une certaine rumeur vienne à mes oreilles. Figurez-vous que ce crétin de Téo clame partout qu'on sort ensemble. Si je suis en couple avec quelqu'un ce serait bien que je sois au courant, non ? Il faudra que je lui demande des explications la prochaine fois que je le verrais. Pour l'heure, je suis à mon travail. Quand je suis arrivée à l'université j'avais pris ce boulot pour pouvoir payer mes études, mais là, la situation financière de ma mère s'est grandement aggravée, c'était mon père qui avait le plus gros salaire entre eux deux, même s'il n'était pas si mirobolant que cela, il leur permettait de vivre, mais là...Enfin bref, tout ça pour dire que maintenant je travaille deux fois plus, j’enchaîne les services et je jongle avec mes études, je fais tout ça pour pouvoir envoyer de l'argent à ma mère. J'ai eu du mal à lui faire accepter cette idée, mais je ne veux pas qu'elle souffre encore plus qu'elle ne souffre déjà. Je suis donc en train d'assurer tranquillement mon service lorsqu'un client sors du lot...oui, comme dans les films, Téo est juste devant moi. « Qu'es tu fou ?!?! » Voilà sa question très pertinente s'il en est. Je ne peu m'empêcher de hausser les sourcils d'un air un peu ébahi. Il pensait que je faisais quoi avec mon plateau dans les mains et mon tablier autour de la taille ? «A ton avis ? Qu'est-ce que j'ai l'air de faire ? Je travaille, tu sais ce truc qui permet de gagner de l'argent en fin de mois. Tu prendras quelque chose ?» Bah oui, s'il est là, c'est pour boire, non ? .
Téo & Emma
La semaine dernière n'avait pas été spécialement géniale pour moi, j'étais revenue à l'Université après avoir été absente quelques jours pour l'enterrement de mon père. Oui, mon père est décédé il y a environ trois semaines, lorsque je l'ai su, j'ai eu l'impression que la terre s'ouvrait sous mes pieds. J'ai toujours été très proche de mon père, j'étais sa petite princesse et quand j'étais enfant, je disais que j'allais me marier avec lui. Sa mort me surpris, mais étrangement, ma mère et mes frères ne semblaient pas si étonnés. Peu de temps après l'enterrement, j'ai appris qu'en fait il était malade depuis des années, mais il avait demandé à toute la famille qu'on ne me dise rien, parce qu'il me connaissait, il savait que si j'avais été mise au courant pour sa maladie, j'aurais pu mettre mes études entre parenthèses pour m'occuper de lui et il ne voulait pas que je me sacrifie. J'en ai voulu à ma mère et mes frères, l'espace de quelques heures, mais je sais qu'ils ont fait ça avec de bonnes intentions. Je suis donc revenu la semaine dernière et j'ai ainsi repris mes études et mon travail de serveuse à l'Izakaya. C'est en sortant de mon travail, après le service du soir que je me suis fait agresser. Voyez, la semaine pourrie par excellence. Heureusement, Téodore est venu me sauver. Ce soir-là, j'ai vu une nouvelle façette de lui qui ne m'a pas déplu, mais qui m'a également effrayée. Et oui, il s'est laissé frapper pour moi, vous vous rendez compte ? Il y a peu de monde qui ferait ça. Lorsque je lui ai demandé pourquoi il avait ça, il me répondis que c'était parce qu'il m'aimait. Sérieusement, que voulez-vous répondre à cela ? J'étais gênée, mais en même temps j'étais flattée. En fait, je ne savais pas trop sur quel pied danser. Je décidais donc de l'éviter. Oui, bon, je sais ce n'était pas forcément la meilleure des solutions, mais cela permet de réfléchir tranquillement. Enfin ça, c'était avant qu'une certaine rumeur vienne à mes oreilles. Figurez-vous que ce crétin de Téo clame partout qu'on sort ensemble. Si je suis en couple avec quelqu'un ce serait bien que je sois au courant, non ? Il faudra que je lui demande des explications la prochaine fois que je le verrais. Pour l'heure, je suis à mon travail. Quand je suis arrivée à l'université j'avais pris ce boulot pour pouvoir payer mes études, mais là, la situation financière de ma mère s'est grandement aggravée, c'était mon père qui avait le plus gros salaire entre eux deux, même s'il n'était pas si mirobolant que cela, il leur permettait de vivre, mais là...Enfin bref, tout ça pour dire que maintenant je travaille deux fois plus, j’enchaîne les services et je jongle avec mes études, je fais tout ça pour pouvoir envoyer de l'argent à ma mère. J'ai eu du mal à lui faire accepter cette idée, mais je ne veux pas qu'elle souffre encore plus qu'elle ne souffre déjà. Je suis donc en train d'assurer tranquillement mon service lorsqu'un client sors du lot...oui, comme dans les films, Téo est juste devant moi. « Qu'es tu fou ?!?! » Voilà sa question très pertinente s'il en est. Je ne peu m'empêcher de hausser les sourcils d'un air un peu ébahi. Il pensait que je faisais quoi avec mon plateau dans les mains et mon tablier autour de la taille ? «A ton avis ? Qu'est-ce que j'ai l'air de faire ? Je travaille, tu sais ce truc qui permet de gagner de l'argent en fin de mois. Tu prendras quelque chose ?» Bah oui, s'il est là, c'est pour boire, non ? .
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Re: EMMA - Au bout d'un moment on peut plus se cacher | Sam 7 Mar - 21:09 « Quoi ? Mais...mais non, je ne peux pas, il faut que je travaille, je...» Comment ça elle ne pouvait pas rester ? Téo c'était arrangé avec le patron, rien ne la retenait ici à partir de maintenant. Il voulait simplement passer un petit moment avec elle. Le temps de dire ouf elle était déjà partie. Le jeune homme était un impatient et les allés retours de la jeune femme commençait à l'agacer. Il avait vraiment envie de faire un effort sur son caractère à la con avec elle, mais elle ne l'aidait pas à garder le contrôle de lui-même. Il soupira et s'installa à une table libre tout en scrutant Emma. Pourquoi parlait-elle avec le gérant du bar ? Elle voulait certainement vérifier qu'elle avait bien sa journée. En tout cas, Téo ne s'attendait pas à ce qu'elle revienne énerver de la sorte. Il fut surpris quand elle lui rendit son argent en liquide. Que faisait-elle la ? Téo ne savait pas du tout exprimer ses sentiments, voilà pourquoi il allait souvent droit au but sans y mettre les formes. Depuis petit, il eut l'habitude de régler tous ses problèmes avec l'argent. C'est tellement plus simple quand on a un nom de famille connu et que rien nous est refusé. Emma était vraiment la seule à le reprendre de cette manière « Comment as-tu osé ? Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma vie. Tu penses peut-être que tout peut s'acheter à partir du moment où on y met le prix. Et bien laisse moi te dire une chose Foster, les êtres humains ne s'achètent pas, enfin si, certains échangent leurs services contre de l'argent, mais ça porte un nom...et je ne suis pas une pute ! » Si elle était vexée Téo devait l'être certainement plus qu'elle. Comment pouvait-elle se rabaisser à ce statut, car lui il n'avait pas fait ça dans l'intention de l'humilier. Jamais il n'aurait considéré Emma de la sorte. C'est vrai, c'était simple d'acheter certaine personne avec de l'argent, l'être humain est tellement faible et sa Téo en jouait, d'autant plus qu'il n'a jamais eu d'autre exemple que celui-ci. Étant petit, quand il voulait être avec son père celui-ci lui payé des vacances avec ses nourrices ou il donnait l'argent à celles-ci pour qu'elles achètent ce que Téo désirait à fin d'être débarrassé de son fils. Il ne connaît que ça le jeune Foster, l'argent. Il avait bien compris qu'il n'avait pas agi de la bonne manière avec la jolie blonde, mais de là à se traiter de pute elle y était allée fort. Si elle avait un regard électrique, Téo lui avait un regard assassin et la déception pouvait se sentir dans ses yeux. Il aurait fracassé n'importe qui sur son passage tellement il était contrarié. C'est pour ça qu'il ne prononça aucun mot. À la place il tapa du point violemment la table. Il en fit trembler les tasses. C'était une manière de montrer son mécontentement sans être vulgaire et méchant. Il se leva d'un geste sec et jeta quasiment les billets sur la table. Tout ça sans quitter le regard d'Emma. Il était tellement déçu de sa réaction. Il pensait qu'elle le comprendrait, mais apparemment, elle était comme les autres et ne voyait que le côté froid de Téo. Sans dire un mot, il quitta le bar en bousculant deux trois personnes sur le passage. Le jeune homme était vraiment énervé, mais il ne voulait pas rester sur cette note détestable. Il s'adossa contre le mur extérieur du bar et attendit la fin de service d'Emma dans ce froid hivernal. (a retaper)
Emma&Téo
« Quoi ? Mais...mais non, je ne peux pas, il faut que je travaille, je...» Comment ça elle ne pouvait pas rester ? Téo c'était arrangé avec le patron, rien ne la retenait ici à partir de maintenant. Il voulait simplement passer un petit moment avec elle. Le temps de dire ouf elle était déjà partie. Le jeune homme était un impatient et les allés retours de la jeune femme commençait à l'agacer. Il avait vraiment envie de faire un effort sur son caractère à la con avec elle, mais elle ne l'aidait pas à garder le contrôle de lui-même. Il soupira et s'installa à une table libre tout en scrutant Emma. Pourquoi parlait-elle avec le gérant du bar ? Elle voulait certainement vérifier qu'elle avait bien sa journée. En tout cas, Téo ne s'attendait pas à ce qu'elle revienne énerver de la sorte. Il fut surpris quand elle lui rendit son argent en liquide. Que faisait-elle la ? Téo ne savait pas du tout exprimer ses sentiments, voilà pourquoi il allait souvent droit au but sans y mettre les formes. Depuis petit, il eut l'habitude de régler tous ses problèmes avec l'argent. C'est tellement plus simple quand on a un nom de famille connu et que rien nous est refusé. Emma était vraiment la seule à le reprendre de cette manière « Comment as-tu osé ? Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma vie. Tu penses peut-être que tout peut s'acheter à partir du moment où on y met le prix. Et bien laisse moi te dire une chose Foster, les êtres humains ne s'achètent pas, enfin si, certains échangent leurs services contre de l'argent, mais ça porte un nom...et je ne suis pas une pute ! » Si elle était vexée Téo devait l'être certainement plus qu'elle. Comment pouvait-elle se rabaisser à ce statut, car lui il n'avait pas fait ça dans l'intention de l'humilier. Jamais il n'aurait considéré Emma de la sorte. C'est vrai, c'était simple d'acheter certaine personne avec de l'argent, l'être humain est tellement faible et sa Téo en jouait, d'autant plus qu'il n'a jamais eu d'autre exemple que celui-ci. Étant petit, quand il voulait être avec son père celui-ci lui payé des vacances avec ses nourrices ou il donnait l'argent à celles-ci pour qu'elles achètent ce que Téo désirait à fin d'être débarrassé de son fils. Il ne connaît que ça le jeune Foster, l'argent. Il avait bien compris qu'il n'avait pas agi de la bonne manière avec la jolie blonde, mais de là à se traiter de pute elle y était allée fort. Si elle avait un regard électrique, Téo lui avait un regard assassin et la déception pouvait se sentir dans ses yeux. Il aurait fracassé n'importe qui sur son passage tellement il était contrarié. C'est pour ça qu'il ne prononça aucun mot. À la place il tapa du point violemment la table. Il en fit trembler les tasses. C'était une manière de montrer son mécontentement sans être vulgaire et méchant. Il se leva d'un geste sec et jeta quasiment les billets sur la table. Tout ça sans quitter le regard d'Emma. Il était tellement déçu de sa réaction. Il pensait qu'elle le comprendrait, mais apparemment, elle était comme les autres et ne voyait que le côté froid de Téo. Sans dire un mot, il quitta le bar en bousculant deux trois personnes sur le passage. Le jeune homme était vraiment énervé, mais il ne voulait pas rester sur cette note détestable. Il s'adossa contre le mur extérieur du bar et attendit la fin de service d'Emma dans ce froid hivernal. (a retaper)©clever love.
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Re: EMMA - Au bout d'un moment on peut plus se cacher | Lun 9 Mar - 13:24 Ces derniers temps, j'étais vraiment fatiguée, je le savais bien, c'était dû aux heures que je faisais au bar, si l'on ajoutait à cela, mes devoirs, ma présence dans les cours, il est évident qu'au bout d'un moment, la fatigue se faisait sentir, mais cela m'était égal, tant que je pouvais tenir debout, tant que je pouvais assurer le service en restant charmante avec les clients, alors je me persuadais que je n'étais pas fatiguée. Ce qui me faisait tenir, c'était l'idée que j'allais pouvoir envoyer de l'argent à ma mère à la fin du mois et ça, ça me motivait énormément. Apparemment, Téodor n'avait pas envie de consommer quelque chose, il me donna donc un ordre en me disant de rester où j'étais. C'est ça oui, rêve mon petit. Quoi ? Oui bon il est plus grand que moi, mais c'est manière de dire. Tandis qu'il s'éloignait vers le comptoir, je ne pouvais m'empêcher de répliquer. «C'est ça oui, je vais rester ici planté comme une souche à attendre ton bon vouloir.» .Lorsque je le vis en grande conversation avec mon patron, je me dépêchais de filer et d'aller m'occuper d'autres clients. Alors que je continuais mon chemin, je passais de nouveau devant Téo, il m'arrêta avec ces quelques mots « Tu peux poser tout ça, ton patron te donne ta fin de journée. Du coup on peut boire un verre ensemble ? Je t'ai commandé un verre de jus de fruit pressé. » Je le regardais en fronçant les sourcils. C'était très sympa de sa part de me payer à boire, mais je n'ai pas le temps, je devais bosser, je devais ramener de l'argent, je ne pouvais pas me tourner les pouces. « Quoi ? Mais...mais non, je ne peux pas, il faut que je travaille, je...» Je le plantais là et allais voir mon chef pour lui demander l'autorisation de continuer à travailler, après tout je n'avais pas fait de bêtise, je n'avais pas besoin de pause. Lorsque je le lui expliquait, il paru un peu gêné. Evidemment je voulu savoir ce qu'il avait, j'avais l'étrange sensation que Téo y était pour quelque chose, j'avais l'affreux pressentiment que je n'allais pas aimer ce que j'allais entendre. Lorsque mon patron consenti enfin à me raconter ce qu'il s'était passé avec Téo, j'étais en colère, blessé et humiliée. Mes poings s'étaient serrés et je tremblais. Comment avait-il osé faire une chose pareille ? Je réclamais à mon patron la somme que Téo avait versé, il allait la récupérer, croyez-moi. Mon patron me la donna avec réticence, néanmoins il se sentait un peu coupable. Je retournais donc vers Téodor et me plantais devant lui. Je pris sa main et déposais la liasse de billets que représentait la somme qu'il avait payé en carte bleue. Lorsque je le fixais, mes yeux lançaient des éclairs. «Comment as-tu osé ? Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma vie. Tu penses peut-être que tout peut s'acheter à partir du moment où on y met le prix. Et bien laisse moi te dire une chose Foster, les êtres humains ne s'achètent pas, enfin si, certains échangent leurs services contre de l'argent, mais ça porte un nom...et je ne suis pas une pute !» Je sais que l'autre soir, dans la ruelle, il m'a sauvé la vie, mais cela ne lui donne pas le droit de "m'acheter" de la sorte. .
Téo & Emma
Ces derniers temps, j'étais vraiment fatiguée, je le savais bien, c'était dû aux heures que je faisais au bar, si l'on ajoutait à cela, mes devoirs, ma présence dans les cours, il est évident qu'au bout d'un moment, la fatigue se faisait sentir, mais cela m'était égal, tant que je pouvais tenir debout, tant que je pouvais assurer le service en restant charmante avec les clients, alors je me persuadais que je n'étais pas fatiguée. Ce qui me faisait tenir, c'était l'idée que j'allais pouvoir envoyer de l'argent à ma mère à la fin du mois et ça, ça me motivait énormément. Apparemment, Téodor n'avait pas envie de consommer quelque chose, il me donna donc un ordre en me disant de rester où j'étais. C'est ça oui, rêve mon petit. Quoi ? Oui bon il est plus grand que moi, mais c'est manière de dire. Tandis qu'il s'éloignait vers le comptoir, je ne pouvais m'empêcher de répliquer. «C'est ça oui, je vais rester ici planté comme une souche à attendre ton bon vouloir.» .Lorsque je le vis en grande conversation avec mon patron, je me dépêchais de filer et d'aller m'occuper d'autres clients. Alors que je continuais mon chemin, je passais de nouveau devant Téo, il m'arrêta avec ces quelques mots « Tu peux poser tout ça, ton patron te donne ta fin de journée. Du coup on peut boire un verre ensemble ? Je t'ai commandé un verre de jus de fruit pressé. » Je le regardais en fronçant les sourcils. C'était très sympa de sa part de me payer à boire, mais je n'ai pas le temps, je devais bosser, je devais ramener de l'argent, je ne pouvais pas me tourner les pouces. « Quoi ? Mais...mais non, je ne peux pas, il faut que je travaille, je...» Je le plantais là et allais voir mon chef pour lui demander l'autorisation de continuer à travailler, après tout je n'avais pas fait de bêtise, je n'avais pas besoin de pause. Lorsque je le lui expliquait, il paru un peu gêné. Evidemment je voulu savoir ce qu'il avait, j'avais l'étrange sensation que Téo y était pour quelque chose, j'avais l'affreux pressentiment que je n'allais pas aimer ce que j'allais entendre. Lorsque mon patron consenti enfin à me raconter ce qu'il s'était passé avec Téo, j'étais en colère, blessé et humiliée. Mes poings s'étaient serrés et je tremblais. Comment avait-il osé faire une chose pareille ? Je réclamais à mon patron la somme que Téo avait versé, il allait la récupérer, croyez-moi. Mon patron me la donna avec réticence, néanmoins il se sentait un peu coupable. Je retournais donc vers Téodor et me plantais devant lui. Je pris sa main et déposais la liasse de billets que représentait la somme qu'il avait payé en carte bleue. Lorsque je le fixais, mes yeux lançaient des éclairs. «Comment as-tu osé ? Je n'ai jamais été aussi humilié de toute ma vie. Tu penses peut-être que tout peut s'acheter à partir du moment où on y met le prix. Et bien laisse moi te dire une chose Foster, les êtres humains ne s'achètent pas, enfin si, certains échangent leurs services contre de l'argent, mais ça porte un nom...et je ne suis pas une pute !» Je sais que l'autre soir, dans la ruelle, il m'a sauvé la vie, mais cela ne lui donne pas le droit de "m'acheter" de la sorte. .©clever love.