tenue + Je souris la voyant aussi autoritaire tout d’un coup. Madame voulait-elle avoir les commandes ? Et sa façon de se mordre la lèvre inférieure avait tendance à me faire craquer, alors j’obéis, attendant ce qu’elle allait faire de moi, tout en continuant de lui caresser les cuisses. Un geste plus latent que tendre, comme un lion tournant en rond dans sa cage qui attend de sauter sur son dompteur dès qu’il a le regard tourné. Ce geste avait le don de me calmer, de me contrôler. Si ça ne tenait qu’à moi, il y avait longtemps que je l’aurais pris contre un mur ou sur le lit, ou même sous la douche. Je souris de plus bel, l’entendant minauder. « Ptit biscuit ne se plait qu’à l’air libre, et si il y a une jolie fille en bonus, il est comblé. » plaisantais-je agrippant sa peau de mes doigts. Je fermais les yeux, laissant échapper un son rauque du au plaisir qu’elle m’infligeait en passant ses mains habiles sur mon intimité de la sorte. Quelle douce torture elle m’infligeait à travers le tissu. « Par pitié, enlève-moi ca ! » finis-je par implorer, tellement la frustration devenait intenable. C’est comme une libération quand elle se décide enfait de me libérer. « Bien trop à l’étroit… » Confirmais-je. Je m’étais redressé sur mes avant-bras pour la regarder, écarquillant les yeux quand elle se saisit de mon membre, jouant avec. Je me laissais retomber en arrière sous le poids de la jeune femme qui s’allongeait avec grâce sur moi, collant sa poitrine à mon torse, et capturant mes lèvres pour me voler un énième baiser. « Oh putin ! » lâchais-je comme une libération quand je sentis la pénétrer. Cette chaleur si envoutante que ce moment procurait était un vrai délice. J’attendais cela depuis mon entrée dans la pièce, mais je m’étais retenu pour établir quelque préliminaire au préalable. Mais je ne regrettais pas qu’elle prit l’initiative d’y mettre un terme pour passer aux choses sérieuses. Je lui attrapais les fesses, alors qu’elle bougeait lentement sur moi. Si ca ne tenait qu’à moi, je lui aurais assainis de grands coups de reins dès le départ, ayant une bonne tenue à la jouissance, mais je la laissais diriger et faire comme bon lui semblait. Je lui avais demandé de me faire oublier cette sale journée après tout. Peu importe la façon dont elle s’y prenait. Alors qu’elle s’agitait au-dessus de moi, je lui attrapais les seins, venant lui titiller ses tetons durcis par le plaisir, les pinçant par moment, quand le plaisir me gagnant trop violemment. « C’est tellement bon. » finis-je par lâcher en me redresser en position assisse pour attraper un de ses seins que je mis en bouchant, jouant avec pour diversifier les sensations qu’elle puisse ressentir alors que j’étais en elle. Je voulais qu’elle soit attaquée par le plaisir de toute part au point qu’elle ne se noie dans l’océan de la jouissance suprême.