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SHARK ATTACK ► ET TA MERE EN STRING DE GUERRE
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Re: SHARK ATTACK ► ET TA MERE EN STRING DE GUERRE | Sam 7 Mar - 19:01 Citer EditerSupprimer
Je laisse dylan faire tout son micmac et l'admire du coin de l'oeil tout en pouffant de rire comme un bien heureux. Mes bras ne sont plus du tout douloureux, et l'euphorie me gagne en regardant Takuya fulminer tandis qu'il se trouve en position de faiblesse. On fini par monter la cage en l'air et ouais c'est à mon tour de jouer. Je me positionne sous la prison du président Wonsungi, me racle la gorge et fini par chanter sur le rythme de dans la jungle du roi lion « PLUS D 'BANANE PLUS DE PLAN FOIREUX L'ALLIANCE EST MORTE CE SOIIIIIR AHOUUUUUUUUUUHOUHOUBONBONBOEEE. » Tout en chantant à tu-tête à demi mort de rire je commence à danser en cercle une pseudo danse de pluie tout en rigolant comme un malade. Je dois paraitre ridicule, mais j'en ai rien à faire. J'achève ma petite cérémonie sur une note bien aigüe et termine mort de rire à m'en tordre le ventre tout en pointant du doigt, l'autre en slip dans sa prison dorée. Calmé et le souffle à nouveau régulier, je tape l'épaule de mes camarades amicalement et me tire, on a d'autres chats à fouetter ce soir ! plus d'alliance avec les jaunes, plus de rien du tout, les requin nagent libre et seuls désormais
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Re: SHARK ATTACK ► ET TA MERE EN STRING DE GUERRE | Sam 7 Mar - 19:02 Citer EditerSupprimer
Je gloussai en entendant Dédé nous improviser un petit air et lui fis les cœurs avec plaisir. « Oweee ap oweeee ap ! » Takuya était tellement beau suspendu comme ça. Je lui aurais bien pissé dessus aussi mais il était trop tard maintenant, et puis il faisait de totue façon un poil trop froid pour sortir son zgeg. Le rire du Sango me tira de mes pensées et je jetai un dernier coup d'oeil à la cage. « Okay, le message est passé j'crois. La nuit ne fait que commencer les gars ! Je remonte finir notre œuvre et je vous rejoins chez les Renards !! » Je leur tapai à tous le cul quand ils passèrent devant moi et retrouvant mon petit velo, je choppai le merveilleux drapeau aux couleurs des Sangos qu'on avait commandé spécialement pour l'occasion. Jetant un coup d'oeil à mon poable pour guetter l'heure, je me depechai de me réengouffrer dans le dortoir des singes et montai tout en haut pour ouvrir les fenêtres au dessus de l'entrée et déployer le grand pan de tissu qui signerait notre passage. Le coinçant dans les fenêtres pour qu'il ne se fasse pas la malle, je me frottai les mains en partant. Je ne pus m'empêcher de passer dans la chambre de Logan pour prendre quelques photos de lui et piquer quelques sous vêtements à ses colocataires et une fois sorti du dortoir pour de bon, je les balançai ici et là dans leur jardin au gré de mes envies. Je regrimpai sur mon bolide et après un dernier coup d’œil au drapeau orné d'un énorme requin qui flottait au vent, je mis les gaz et disparus dans la nuit pour aller compter fleurette aux Gumiho.
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Re: SHARK ATTACK ► ET TA MERE EN STRING DE GUERRE | Sam 7 Mar - 19:11 Citer EditerSupprimer
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Re: SHARK ATTACK ► ET TA MERE EN STRING DE GUERRE | Dim 8 Mar - 21:27 Citer EditerSupprimer
Si par malheur, on m'avait qu'un jour un crétin fini me tirerait de mon propre lit, alors je pense que j'aurais rigolé aux éclats : on ne tire pas quelqu'un de son plumard, tout autant que la loi interdit scrupuleusement de foutre le bronx dans le lit d'autrui. Une règle imposante, réellement importante dans la vie en communauté.
Si un jour, on avait dit "Takuya, un pauvre type va te kidnapper alors que t'es peinard" je ne pense pas que j'aurais réagi, même aujourd'hui. Si on m'avait prévenu que kidnapping signifierait bâillon et compagnie, que ce même enlèvement serait perpétré dans une phase de profond sommeil par les Sango...? Jamais. Parce que je croyais en eux. Shûji croyait en eux. Si Hyuk Jin et mon mentor avaient fait une alliance, la raison était probablement évidente à l'époque. Et pourtant... Pourtant, j'étais là, enfin pas vraiment au final. Même Bok m'avait montré plus de respect en m'attaquant de front.
Dire que je leur faisais confiance est un grand mot. Jusqu'ici, j'ai jamais cherché à connaître les Sango, c'était des types avec qui on avait fait des conneries chez les bleus et ça s'arrêtait là. Pas plus loin. Je savais que la "direction" avait changé, c'est d'ailleurs grâce à ce peu d'intérêt à leur égard que j'avais réussi à reconnaître mon bourreau.
Dire que je ne me débats pas, c'est mentir. Parce que dans un moment de panique, même sous le réveil, l'adrénaline me force à me débattre. Ce connard me tire les narines comme si j'étais un clébard qu'on traine à l'abattoir. Je voudrais lui cracher à la figure, mais impossible. Le froid m'englobe littéralement une fois à l'extérieur.
Ce n'est pas aux wonsungi qu'on s'attaque là.
On s'attaque personnellement à moi.
Ils profitent de ma confusion pour me balancer dans une cage. Après tout, c'est facile de faire ce qu'on veut d'un mec sans défense une fois attaché. Ils se marrent comme ils peuvent, tous ces chiens, mais au final, ils n'ont que les couilles d'un eunuque. Je ferme les yeux, tentant de garder mon calme. L'odeur qui arrive petit à petit manque de me faire tourner la tête. Si le froid me donne des frissons,si je n'arrive pas à me concentrer, je finirais par vomir... Et m'étouffer dans mon propre vomi.
Ils n'y ont pas pensé à ça ?
Bien sûr que non. Niveau connerie, ils sont peut-être plus bas que les Gumiho. Que Bok se rassure. Il remonte dans mon estime ce Mongole, parce que même dans sa folie... Bok restait respectable. Bien sûr, j'avais râlé. En y repensant, c'était drôle de le voir débouler commet ça.
Ici, ce n'est que pure méchanceté.
Si Dylan pense se donner un style avec ce bandeau sur les yeux, genre anonyme, il se met le doigt dans l'œil jusqu'à la moelle. Tentant de ne pas me montrer trop faible malgré la situation, mes paupières s'ouvrent de nouveau. S'il m'est impossible de m'exprimer, mes yeux en disent long.
Qu'ils me bousculent.
Qu'ils me ridiculisent.
Qu'ils essaient de me mettre à genoux.
Je n'en serais que plus grand.
Qu'on me jette des bananes.
Des chewing-gums.
Qu'on me bazarde dans cette petite cage...
Vous pensez impressionner qui comme ça ?
Dylan, dès l'instant où tu as posé un pied ici, c'était mort cette alliance. Et d'ailleurs, quelle alliance ? Celle que tu fous dans mon calbute ?
On vaut plus que ça.
La fatigue m'assomme littéralement. Je tente de ne pas laisser la panique m'envahir, mais dire que je suis calme serait mentir. J'ai peur de tomber, peur de choper une pneumonie, peur qu'on me voit comme ça.
Le Bonnet D fait son rituel. J'arque un sourcil et ferme les yeux tandis qu'il chante du pow wow. Qu'il rigole ce fils de chien, lui aussi son tour arrivera. Déçu, mon compagnon de délit chez les bleus me laisse quelque peu sans voix. Le message est passé, connard. J'ouvre les yeux quand Dylan mentionne les renards. Si j'avais les moyens, je préviendrais Bok du traquenard. Parce que même ce trou du cul ne mérite pas un sort aussi humiliant. Aucune pudeur, aucun respect.
Alors je mettrais de côté les règles des wonsungis pour faire ma propre justice.
Incapable de les retenir, je reste grelottant dans le froid accroché comme un idiot. Au pire, je meurs. Ça m'évitera de finir en taule une fois libéré.
Chang Dylan, ton nom est sur liste noir.
A vouloir péter plus haut que ton cul, en voulant jouer les thugs, t'as réveillé la bête.
Si un jour, on avait dit "Takuya, un pauvre type va te kidnapper alors que t'es peinard" je ne pense pas que j'aurais réagi, même aujourd'hui. Si on m'avait prévenu que kidnapping signifierait bâillon et compagnie, que ce même enlèvement serait perpétré dans une phase de profond sommeil par les Sango...? Jamais. Parce que je croyais en eux. Shûji croyait en eux. Si Hyuk Jin et mon mentor avaient fait une alliance, la raison était probablement évidente à l'époque. Et pourtant... Pourtant, j'étais là, enfin pas vraiment au final. Même Bok m'avait montré plus de respect en m'attaquant de front.
Dire que je leur faisais confiance est un grand mot. Jusqu'ici, j'ai jamais cherché à connaître les Sango, c'était des types avec qui on avait fait des conneries chez les bleus et ça s'arrêtait là. Pas plus loin. Je savais que la "direction" avait changé, c'est d'ailleurs grâce à ce peu d'intérêt à leur égard que j'avais réussi à reconnaître mon bourreau.
Dire que je ne me débats pas, c'est mentir. Parce que dans un moment de panique, même sous le réveil, l'adrénaline me force à me débattre. Ce connard me tire les narines comme si j'étais un clébard qu'on traine à l'abattoir. Je voudrais lui cracher à la figure, mais impossible. Le froid m'englobe littéralement une fois à l'extérieur.
Ce n'est pas aux wonsungi qu'on s'attaque là.
On s'attaque personnellement à moi.
Ils profitent de ma confusion pour me balancer dans une cage. Après tout, c'est facile de faire ce qu'on veut d'un mec sans défense une fois attaché. Ils se marrent comme ils peuvent, tous ces chiens, mais au final, ils n'ont que les couilles d'un eunuque. Je ferme les yeux, tentant de garder mon calme. L'odeur qui arrive petit à petit manque de me faire tourner la tête. Si le froid me donne des frissons,si je n'arrive pas à me concentrer, je finirais par vomir... Et m'étouffer dans mon propre vomi.
Ils n'y ont pas pensé à ça ?
Bien sûr que non. Niveau connerie, ils sont peut-être plus bas que les Gumiho. Que Bok se rassure. Il remonte dans mon estime ce Mongole, parce que même dans sa folie... Bok restait respectable. Bien sûr, j'avais râlé. En y repensant, c'était drôle de le voir débouler commet ça.
Ici, ce n'est que pure méchanceté.
Si Dylan pense se donner un style avec ce bandeau sur les yeux, genre anonyme, il se met le doigt dans l'œil jusqu'à la moelle. Tentant de ne pas me montrer trop faible malgré la situation, mes paupières s'ouvrent de nouveau. S'il m'est impossible de m'exprimer, mes yeux en disent long.
Qu'ils me bousculent.
Qu'ils me ridiculisent.
Qu'ils essaient de me mettre à genoux.
Je n'en serais que plus grand.
Qu'on me jette des bananes.
Des chewing-gums.
Qu'on me bazarde dans cette petite cage...
Vous pensez impressionner qui comme ça ?
Dylan, dès l'instant où tu as posé un pied ici, c'était mort cette alliance. Et d'ailleurs, quelle alliance ? Celle que tu fous dans mon calbute ?
On vaut plus que ça.
La fatigue m'assomme littéralement. Je tente de ne pas laisser la panique m'envahir, mais dire que je suis calme serait mentir. J'ai peur de tomber, peur de choper une pneumonie, peur qu'on me voit comme ça.
Le Bonnet D fait son rituel. J'arque un sourcil et ferme les yeux tandis qu'il chante du pow wow. Qu'il rigole ce fils de chien, lui aussi son tour arrivera. Déçu, mon compagnon de délit chez les bleus me laisse quelque peu sans voix. Le message est passé, connard. J'ouvre les yeux quand Dylan mentionne les renards. Si j'avais les moyens, je préviendrais Bok du traquenard. Parce que même ce trou du cul ne mérite pas un sort aussi humiliant. Aucune pudeur, aucun respect.
Alors je mettrais de côté les règles des wonsungis pour faire ma propre justice.
Incapable de les retenir, je reste grelottant dans le froid accroché comme un idiot. Au pire, je meurs. Ça m'évitera de finir en taule une fois libéré.
Chang Dylan, ton nom est sur liste noir.
A vouloir péter plus haut que ton cul, en voulant jouer les thugs, t'as réveillé la bête.
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