SHARK ATTACK ? MONKEY REVENGE
02:00 > 04h00

C'est marrant... J'dormait bien mais y'as comme des odeurs dégueulasses et du bruit dans le couloirs, j'rêve non ? mhhh, oui je rêve, je finis par me tourner dans mon lit et soupirer longuement pour me rendormir. mais en fait non, j'rêve pas, c'est bien un boum d'un corps que j'entend dans la chambre et quand j'ouvre les yeux c'est bien takuya que j'voit se faire emmener la ? Mes grand yeux ouverts j'regarde la scène sans trop comprendre, et un haut le coeur me prend quand c'est effectivement une sale odeur de poisson qui me monte au nez. Je finis par me lever et crier un hééé pas réveillée du tout, mais croyez moi, l'odeur ça réveille. J'finis par me lever et secouer Malee puis Hara RÉVEILLEZ VOUS braillé dans leur oreilles. Je me précipite dans le couloir et pousse un cri dégouté en sentant l'eau sur mes orteilles putaaaain et j'regarde autour de moi, puis au moment ou je m'apprête à pousser une gueulante c'est une voix à l'extérieur qui me surprend. «  PLUS D 'BANANE PLUS DE PLAN FOIREUX L'ALLIANCE EST MORTE CE SOIIIIIR AHOUUUUUUUUUUHOUHOUBONBONBOEEE. » J'me précipite vers le hall et grimace en voyant le salon mal éclairé, j'ouvre la porte à la volée pour voir partir les trois guignols en courant et en ...vélo ? Bouche bée par le spectacle, la en petit short et en débardeur, je regarde takuya, bâillonné dans sa cage (en caleçon en plus) et met le temps avant de réagir. J'avoue que la première réaction à été d'éclater de rire et de m'approcher de la cage pour vérifier que c'était bien takuya (et c'était bien lui). Même une petite larme qui coule sur ma joue avant que me décide à parler pfffahaha... attend bouge pas j'reviens avec quelqu'un... enfin tu peux pas bouger... surement la nervosité aussi, j'arrive pas à arrêter de rire... jusqu'à passer la porte du dortoir, d'allumer la lumière et de voir les dégâts (et de sentir la putain d'odeur). J'inspire un grand coup et crie le pus fort possible ON A ÉTÉ ATTAQUER. TOUT LE MONDE DEBOUT. HABILLEZ VOUS CECI N'EST PAS UN EXERCICE avant de reprendre DEBOUUUUT.

J'attendit pas longtemps avant de voir les premiers singes se lever, parfois colère, parfois sonné, et quand la petite troupe qui dormait la à ce moment la s'est regroupé dans le hall, je reprend fort fort faut vous habiller, prendre tout ce qui est susceptible de faire du bordel, et partir... chez les sangos ! Les singes sont sournois parfois mais c'coup-ci les gars, ça va chauffer ! dit-je alors que moi-même je suis encore en petit short. Je reprend après avoir pouffé de rire ah, et faudrait que quelqu'un m'aide à détacher takuya de dehors... ET ON TRAÎNE PAS ON VA LES CHOPPER ET LEUR FAIRE LEUR FÊTE. Fallait pas chercher embrouille avec les wonsungis.

Malee rêvait. Depuis qu'elle était rentrée, après son petit voyage, elle se sentait tellement bien, tellement calme. Et chaque nuit maintenant elle rêvait de la plage, de la mer, de Jeju également. Et ce soir-là ne faisait pas exception. Son songe lui semblait même tellement réaliste qu'elle sentait l'odeur du poisson, avec une force presque ignoble. Étouffante même. Elle plissa le nez, poussa un gémissement, entre le sommeil et l'éveil. Et puis elle se fit secouer. Et elle entendit une voix. Et là elle se réveilla d'un coup, arrachant ses boules quies de ses oreilles. Elle remarqua immédiatement l'agitation dans sa chambre, provoquée par Moeko, qui se transmit bien vite dans le reste du dortoir. Elle constata en quelques secondes l'absence de Takuya et les tags sur les meubles. Elle poussa un grognement puis se précipita vers Hara. Il s'est passé quoi là ? Elle était totalement perdue. Et visiblement sa meilleure amie n'en menait pas large non plus. Alors elle sortit, pour retrouver leur autre colocataire. Elle attendit que cette dernière eut fini de parler, puis la thaïlandaise s'approcha de la japonaise. Attend t'as dit quoi ? Détacher Takuya ? Mais il s'est passé quoi bordel. Oui elle sortait les gros mots, signe qu'elle n’était vraiment pas dans son assiette après ce réveil matinal et hautement perturbant. Au point que, devant la masse d'informations, elle ne se préoccupait même pas de l'eau au sol. Non à la place elle se dirigea à extérieur, où elle put voir leur président enfermé dans une cage. Elle poussa un juron, trop choquée pour ne serait-ce que penser à rire. Elle s'approcha des barreaux, les agrippa. Bordel Taku, ça va ? Et puis elle jeta un coup d'oeil à Moeko, tandis qu'elle cherchait un moyen de délivrer leur camarade.

C'était un de ces jours où Seong Hee avait le droit de dormir dans son dortoir. Son cher dortoir, si bruyant, si optimiste. Si différent de l'hôpital dans lequel elle finissait par avoir l'impression de vivre. La jeune fille avait l'impression de mieux dormir aux côtés de ses amis. Il régnait une atmosphère apaisante, la nuit. Pas silencieuse, vide, sombre. Apaisante. Aussi chaque nuit autorisée dans son dortoir bien-aimé lui semblait une aubaine. Celle-ci était sensée être aussi paisible que les précédentes. Était sensée. En effet, elle ne se doutait en rien être réveillée par des hurlements de requins enragés, puis par ceux de sa vice présidente. Lentement, l'étudiante réussit à ouvrir les yeux. Rien ne sortait de la normal, pourtant. Sa chambre était la même au réveil que quelques heures auparavant, avant qu'elle s'endorme. Peut-être une odeur gênante. Pourtant, il y avait tant d'agitation qu'il ne pouvait pas ne s'être rien passé. Aussi chercha-t-elle ses béquilles à l'aveugle, telle une taupe, avant de sentir les barres métalliques si familières contre ses paumes et de s'appuyer dessus pour se lever. Quelques mèches rebelles apparaissaient çà et là, son pyjama était froissé, et elle avait l'air d'une boiteuse mal réveillée, mais ce n'était pas un problème. Lorsque les jaunes appelaient, elle se devait d'accourir. Aussi rapidement que ses béquilles le lui permettait, elle se déplaça vers le lit de sa demi-soeur et meilleure amie, Eun Ae, pour la réveiller doucement, Hé Aechou, réveille-toi. On doit sortir. puis sortir de sa chambre avec son amie pour découvrir le spectacle d'horreur que lui offrait son dortoir version shark. Beurk. C'étaient les verts. Apparemment, l'alliance ne tenait plus. Et à ce qu'elle voyait, les jaunes ne tarderaient pas d'en profiter pour contre-attaquer aussi vite que le leur permettait leur état. Qu'est-ce qui se passe ? On se venge ? Je prends des bombes ? Des limaces ?

Comme souvent quand le jeune homme faisait des insomnies, Soo avait décidé de participer à la virée nocturne de Jihae du soir. Ils étaient restés dehors pratiquement toute la nuit, se baladant, papotant, allant sur ce fameux pont, celui où elle l'avait conduit le jour de leur première rencontre. Mais surtout ils rigolaient, se taquinant, s'amusant. Même s'il la connaissait depuis bien moins longtemps, le jeune homme élevait son amie presque au même rang que Minki. Alors forcément il adorait passer du temps avec elle. Malheureusement ils finirent pas rentrer au dortoir, arrivant sur les lieux aux alentours de deux heures du matin, pour remarquer que c'était bien agité devant le bâtiment. Ni une ni deux, le jeune homme entraîna sa meilleure amie dans les buissons, avant que quiconque n'ait pu les voir et il observa ce qui se passait. Par réflexe, il sortit son appareil photo et commença à mitrailler ce qui se passait même si on ne voyait pas grand chose. Heureusement qu'il y avait des lumières et les lampadaires. Quoiqu'il en soit il était donc aux premières loges pour voir son président se faire mettre en cage et il dut se retenir d'intervenir tout de suite. Attendre. Il n'était pas si courageux pour se laisser contrôler par sa première impulsivité consistant à sauter sur les agresseurs. Il patienta donc le temps qu'ils repartent sur leurs vélos, comme des guignols, pour se précipiter vers Takuya alors que Moeko, qui venait d'exploser de rire, retournait dans le dortoir. Soo s'avança devant leur président, activa le flash de son appareil. Souris mon beau ! Et puis il prit une magnifique photo avant de se tourner vers Jihae, rigolant. C'était sûr que la situation avait de quoi faire rire, il ne fallait pas le nier. Je sais pas c'qui s'est passé mais ils étaient sacrément déter'. Il se pencha, éclatant une nouvelle fois de rire, vers la cage, attrapa les barreaux, tira dessus. C'était fermé à clefs bien sûr. Tu vas voir ce qui se passe à l'intérieur ? demanda-t-il à Jihae en entendant le boucan qui s'y déroulait. J'vais essayer de dénicher de quoi ouvrir cette foutue cage moi ! Et il n'attendit pas une seconde de plus avant de s'éloigner, nullement conscient de ce qui se passait à l'intérieur du dortoir, croyant que les zigotos s'étaient limités à attaquer le cher président jaune.

Encore une nuit à vagabonder dehors, accompagné de Soo qui était venu avec elle cette fois-ci. C'est qu'ils commençaient à avoir leurs petites manies. Alors qu'ils revenaient au dortoir, en chahutant comme à leur habitude, Jihae n'eut pas le temps de comprendre qu'elle se retrouva dans un buisson. Il voulait jouer aux espions ? Elle adorait ça. Enclenchant son mode ninja, elle remarqua rapidement la cause de leur cachette improvisée. Il y avait pas mal de monde devant le dortoir et ce n'était pas les wonsungi. Elle entendit le bruit de l'appareil photo de son meilleur ami, qui commençait à mitrailler la scène. La jeune femme resta dans son rôle, elle était une espionne et devait récolter le maximum d'informations sur l'ennemi. Quand elle aperçut leur président se faire mettre en cage, elle retient un rire, cachant sa bouche derrière ses mains. Elle allait aduler ses gars. Même si c'était pas cool pour Takuya, mais cette idée de génie n'empêche. Une fois les farceurs partis, elle suivit Soo et ne tarda pas à rejoindre Moeko dont le rire était contagieux. Bien que la scène en elle-même suffisait. Jihae se retient de poser avec le président dans sa cage et approuva totalement les paroles de son meilleur ami avant d'aller à la suite de la vice-présidente, à l'intérieur du dortoir. « Ouais ! Faut que j'aille réveiller Sae, j'suis sûre qu'elle dort encore ! T'inquiète Takuya, l'homme viril va t'aider ! » Et quel homme ! Elle passa par le hall ou Moeko entamait un discours, sonnant la vengeance avant de filer vers la chambre qu'elle partageait avec Sae et deux autres. S'approchant du lit de son amie, elle lui sauta dessus avant de secouer. « DEBOUUUUUUT ! LES SANGOS NOUS ONT ATTAQUÉÉÉÉÉÉ ! Allez debout marmotte ! » Aucune pitié. Elle renifla, sentant l'affreuse odeur de poisson pourri qui s'était répandue dans le dortoir. « J'arrive pas à croire que tu t'es pas réveillée avec une odeur pareille. » Elle grimaça avant de se relever et de la pousser, prête à la faire tomber hors du lit. « Allez habille toi, Moeko nous a dit de prendre un max de trucs pour aller nous venger à leur dortoir ! Et pense à t'habiller. » rajouta-t-elle. Sait-on jamais qu'elle aurait décidé de partir en pyjama, c'était bien le genre de Sae. La coréenne attrapa quelques trucs avant de quitter leur chambre une fois que Sae fut prête, rejoignant tout le monde dans le hall.

Complètement révoltée, je regardait les singes descendre un à un, arquant un sourcil de temps à autre en voyant les états de leur cheveux/visages. après mon discours haut en révolte, je file vers ma chambre ou j'enfile un slim et un gros pull, tout les deux noirs (même pas fait exprès), et je prend le temps de remarquer que ni mes cheveux ni mon visage n'as été touché, avec un petit soupire de soulagement. En redescendant dans le hall, j'ai prit le temps d'ouvrir toute les portes pour les retardataires ALLEZ ON SE BOUGE, ON VA CHEZ LES SANGOS. comme une warrior avec ses grosses dcmartens aux pieds, je redescend et passe dans la cuisine, j'attrape tout ce qui pourrait me servir. Pas que je soit foncièrement violente, mais la c'est carrément la provocation, et c'est l'occasion ou jamais de faire chier dylan. J'prend dans la poche centrale de mon pull, ciseaux et film étirable, puis passe par les toilettes en grondant pour moi-même comment ça pue et comment c'est mouillé, attrapant les rouleaux de pq en stock dans l'armoire. Avec ça sous le bras, j'file vers le hall ou les singes se sont éparpillés et sors du dortoir, rejoignant hyunsoo et inha. Déterminée, j'rigole plus face à la cage et avec l'aide des garçons, finis par réussir à défoncer la porte de la cage. Une fois le président libre, je lance un regard malicieux à inha et lance Tu sais c'que tu voulais faire aux gumiho la ? C'est l'occasion j'crois. Je parlait bien évidemment de la musique qui passera en boucle, un air de démon ancré sur le visage. J'attend les wonsungis pendant un temps de la fraternité, avant de finalement faire un déplacement de masse vers le quartiers des sangos.

Elle dormait bien Saera. Elle dormait vraiment très bien. Alors pourquoi diable avait-il fallu qu'on vienne la réveiller ? Elle poussa un gémissement et tourna la tête vers le mur. Mamaaaan laisse-moi dormir. Et elle poussa un autre gémissement pour renforcer un peu le tout. Néanmoins la masse qui s'était jetée sur elle ne s'éloigna que pour encore plus la secouer. Saera finit par ouvrir, avec le plus grand manque de volonté, un oeil qu'elle fixa sur Jihae, sa meilleure amie. Jijiiiiii ma princesse, quel doux réveil que le son de ta voix, marmonna-t-elle d'une voix toujours endormie tandis qu'elle faisait un câlin à sa meilleure amie. Et c'est là qu'elle prit conscience de ce que sa camarade disait. Et qu'elle interpréta l'odeur écœurante qui parvenait jusqu'à ses narines. NOM DE DIEU ! s'exclama-t-elle. Ne se laissant même pas le temps de réfléchir, elle se leva, se précipita sur son armoire et attrapa le premier vêtement qui passait à sa portée, et consistant en un sweat-shirt beaucoup trop grand pour elle, qui lui descendant jusqu'à mi-cuisse et qu'elle mettait le soir quand elle flânait dans le dortoir, avec un leggins. Puis elle sortit de la chambre avec Jihae et se précipita dans la cuisine. Il fallait se venger ? Pas de soucis. Elle attrapa les deux derniers pots de crème chantilly, un autre de crème toute simple. Elle retourna dans sa chambre, enfouie les objets dans un sac pris au hasard, qu'elle agrémenta d'autres objets. Pour une fille telle que Saera, qui aimait bien faire de petites plaisanteries à ses camarades, c'était sûr qu'elle avait de quoi faire, précieusement ranger dans son armoire. Alors elle récupéra tout ce qu'elle pouvait. Pas le temps de réfléchir, elle était entièrement dans l'action. Et de toute manière, quand il était question de faire des bêtises, c'était sûr qu'elle en était. Puis elle tira Jihae dehors où les attendait Moeko et une petite troupe de wonsungis. Notamment Inha. Saera se précipita sur lui, en éclatant de rire. Waaaaah trop beau cette nouvelle teinture. T'es sexy ! On dirait un arbre. Ouais elle était la chercher loin celle-la. Quoique même, son cerveau faisant des associations d'idées assez étranges. Mais la miss n'eut pas le temps de continuer à bavarder, que la troupe se mettait en route. Singes au rapport, direction le repaire des requins !

Alors qu'il devait être minuit voire plus, pendant que je dormais tranquillement, une voix féminine brisa le silence nocturne. D'un réflexe presque spontané je sursauta de mon lit ; Un incendie ? Une inondation ? Mon imagination commençait déjà à proliférer et à me donner d'étranges idées. C'est alors, que le pire arriva, mes sens se réveillèrent peu à peu, jusqu'à ce que mon odorat réagisse. Une odeur âcre et persistante se faisait sentir jusqu'à mon lit, une odeur de poisson pourri. Doutez-vous bien que mon premier réflexe lors de ce genre de situation, c'est bel et bien de faire le constat de ce qu'il s'est déroulé. C'est pour cela, alors que ma tête demeurait au creux de mon oreiller, ma main droite longeait ma commode en quête de mes lunettes. C'est à ce moment là, qu'elle toucha quelque chose dont la structure me semblait inconnue. Une fois que celles-ci étaient enfin trouvées, et que je les avais mises sur mon nez, j'observais avec attention ce qui se trouvait à porté de moi. Identifiant alors une silhouette proche de celle d'une immonde arachnide, ma main balaya alors toute la surface du meuble afin de tout faire tomber au sol. Médicaments, lampe, livres, qu'à faire ! Il fallait tuer l'hideuse créature. Digne d'une réaction d'une fillette de la dizaine, je me mettais à crier de façon stridente avant de saisir un coussin et l'aplatir au sol à plusieurs reprises contre la-dite bête. Il fallut attendre non loin d'une minute afin de me rendre compte que celle-ci était factice et qu'elle était faite de plastique. Honteux et légèrement frustré de mon accès de panique, je regardais mes colocataires, visiblement réveillé par le vacarme que j'avais produit. « Elle est marrante la blague... » Disais-je en tirant la moue feignant l'humour afin de savoir si ils étaient les auteurs de ce méfait. J'ouvrais alors la porte, intrigué de ce qui s'était passé. Une odeur encore plus nauséabonde se fit ressentir dans les couloirs du dortoir. Je vis alors les autres membres de la fraternités, tous dans un état plus que curieux. Certains avaient des moustaches dessinées, d'autres les cheveux verts, moi je pouvais m'estimer chanceux, j'avais juste les cheveux totalement ébouriffés et presque plus de voix à cause de ma vocifération précédente. Je vis alors les murs ; tagués de requins, et le sol parsemé de crustacés et autre produit de la mer. Ceci me donna juste la nausée ; moi que ne mangeais pas de poissons. Encore un peu comateux, j’entendis alors juste la voix colérique de Moeko ordonnant d'attaquer les verts ; en effet, les criminels avaient signés leurs méfaits ; qui d'autre qu'eux aiment le vert et les requins ? « On va au dortoir des Sango....La maintenant ?! » Je n'étais pas encore réveillé, et bien que j'avais rejoint une fraternité, j'étais plutôt du genre pacifiste ; la guerre c'était pas mon délire. Mais bon avouons-le, en voyant l'état de mes semblables et notamment celui de notre président, il ne fallait pas se laisser faire, il fallait contre-attaquer. Alors que j'allais déclarer mon approbation à l'idée, ou plutôt à l'ordre, je fis le constat que j'étais en pyjama ; un T-shirt et un jogging, pas vraiment la tenue idéale pour ce genre de chose, il fallait juste que je me change rapidement, mais l'idée et la motivation étaient là. Les requins n'ont pas montré les dents aux bonnes personnes.