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YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho
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YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Lun 16 Mar 2015 - 0:29 Citer EditerSupprimer
tenue + Cela fait maintenant quelques semaines que tu as la chance de travailler au sein du prestigieux Vogue Korea, bon évidemment tu n’es pas salarié mais simple stagiaire mais il n’empêche que tu te sens particulièrement fière. Une sorte de petit accomplissement personnel qui prouve de tes efforts n’ont pas été vain, bien sûr tes parents on été les premiers au courant et bien que le magazine ne leur soit pas connu, tu pouvais sentir la joie dans leur voix. D’ailleurs, tu as la chance de partager ce petit bout de rêve avec l’un des membres du dortoir : Kang Min Ho, un partage qui a été le bienvenue lors de tes premiers jours dans cet univers, bien que le comportement de l’homme semblait plutôt bizarre, puisque tu avais l’étrange impression qu’il t’évitait, mais cette sensation est à présent belle et bien révolue puisque le Gumiho se montre plus que présent.
Aujourd’hui a lieu une réunion, ton rôle de stagiaire ne t’oblige pas à y aller mais tu souhaites savoir comme celle-ci se déroule ainsi que les thèmes et éléments abordés puis pourquoi pas y apporter ta patte. De plus c’est une chance unique de rencontrer le président de l’entreprise un visage dont tout le monde parle, mais qui pourtant reste si mystérieux, tu n’as même jamais entendu son nom et prénom. C’est donc toute excitée, que tu quittes ta chambre, tu fais même un détour par celle de ton collègue bleu, mais personne ne s’y trouve. Tu fais la moue, mais se dit qu’il a dut partir avant toi. C’est donc après une bonne heure passée dans les transports en commun que tu arrives enfin. Avant de te rendre à la salle de réunion, tu passes par ton bureau afin d’y poser tes affaires et de saluer tes collègues déjà présent, vous parlez de choses et d’autres et lorsque tu vois l’heure sur ta montre, tu coupes court à la conversation. « Désolé, je vais être retard pour la réunion, on se revoit tout à l’heure. » Tu les salues poliment et sprintes jusqu’à la fameuse salle. Par chance, celle-ci ne semble pas avoir encore débuté, quelques personnes sont déjà présentes et tu remarques que le nom de Min Ho n’est pas sur la liste de présence. Tout bas tu exprimes une pensée. « Il m’avait pourtant dit qu’il serait présent… Bizarre. » Tu te diriges vers l’une des chaises libres te questionnant sur la nom présence de ton camarade… Bien vite d’autres salariés remplissent la salle, mais aucun signe de ton Min Ho, jusqu’à ce que tu le voies débouler dans le couloir à travers les grandes vitres de la salle, lorsqu’il se rapproche un peu plus tu manifestes ta présence par un léger petit coucou.
tenue + Cela fait maintenant quelques semaines que tu as la chance de travailler au sein du prestigieux Vogue Korea, bon évidemment tu n’es pas salarié mais simple stagiaire mais il n’empêche que tu te sens particulièrement fière. Une sorte de petit accomplissement personnel qui prouve de tes efforts n’ont pas été vain, bien sûr tes parents on été les premiers au courant et bien que le magazine ne leur soit pas connu, tu pouvais sentir la joie dans leur voix. D’ailleurs, tu as la chance de partager ce petit bout de rêve avec l’un des membres du dortoir : Kang Min Ho, un partage qui a été le bienvenue lors de tes premiers jours dans cet univers, bien que le comportement de l’homme semblait plutôt bizarre, puisque tu avais l’étrange impression qu’il t’évitait, mais cette sensation est à présent belle et bien révolue puisque le Gumiho se montre plus que présent.
Aujourd’hui a lieu une réunion, ton rôle de stagiaire ne t’oblige pas à y aller mais tu souhaites savoir comme celle-ci se déroule ainsi que les thèmes et éléments abordés puis pourquoi pas y apporter ta patte. De plus c’est une chance unique de rencontrer le président de l’entreprise un visage dont tout le monde parle, mais qui pourtant reste si mystérieux, tu n’as même jamais entendu son nom et prénom. C’est donc toute excitée, que tu quittes ta chambre, tu fais même un détour par celle de ton collègue bleu, mais personne ne s’y trouve. Tu fais la moue, mais se dit qu’il a dut partir avant toi. C’est donc après une bonne heure passée dans les transports en commun que tu arrives enfin. Avant de te rendre à la salle de réunion, tu passes par ton bureau afin d’y poser tes affaires et de saluer tes collègues déjà présent, vous parlez de choses et d’autres et lorsque tu vois l’heure sur ta montre, tu coupes court à la conversation. « Désolé, je vais être retard pour la réunion, on se revoit tout à l’heure. » Tu les salues poliment et sprintes jusqu’à la fameuse salle. Par chance, celle-ci ne semble pas avoir encore débuté, quelques personnes sont déjà présentes et tu remarques que le nom de Min Ho n’est pas sur la liste de présence. Tout bas tu exprimes une pensée. « Il m’avait pourtant dit qu’il serait présent… Bizarre. » Tu te diriges vers l’une des chaises libres te questionnant sur la nom présence de ton camarade… Bien vite d’autres salariés remplissent la salle, mais aucun signe de ton Min Ho, jusqu’à ce que tu le voies débouler dans le couloir à travers les grandes vitres de la salle, lorsqu’il se rapproche un peu plus tu manifestes ta présence par un léger petit coucou.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mer 18 Mar 2015 - 21:01 Citer EditerSupprimer
tenue +Je m’étais déjà mis dans des situations des plus étranges et gênantes, mais je pense que celle-ci était la pire de toute. Je me félicitais d’ailleurs d’avoir réussi à m’en sortir aussi longtemps sans avoir été découvert. Des semaines que j’avais accepté ce stage pour Kong Mee dans mon entreprise. Rien de bien exceptionnel allez-vous me dire. Sauf que j’étais le nouveau Pdg de Vogue Korea, et qu’elle pensait que je n’étais qu’un simple stagiaire, tout comme elle. Je savais que je ne le criais pas sur tous les toits, mais les journalistes en avaient surement parlé dans les journaux, surtout avec le tour que ma sœur avait joué à nos parents. Suite à quiproquo, j’avais changé de rôle et était tombé tout en bas de l’échelle alors que quelques instants auparavant, je me trouvais tout au-dessus. J’avais voulu le lui dire, mais elle avait eu l’air si soulagée de me voir ici que je n’avais pas osé. Je ne voulais pas la décevoir, du coup, j’avais joué le jeu, travaillant à ses côtés pendant ces dernières semaines. Bien entendu, ce n’était pas en vain, car je découvris bien vite une femme assidues au travail et plutôt douée, tout ce qu’on recherchait pour l’entreprise. Et puis, comme la structure avait dû être revue, il y avait eu pas mal de licenciements et donc la quantité de travail avait doublé pour ceux qui étaient resté. Bien entendu, il y avait aussi beaucoup de postes libres, mais on avait décidé de ne pas faire les mêmes erreurs que nos parents et de choisir des gens qualifiés ou de jeunes talents prometteurs pour faire tourner l’entreprise. Alors oui, ces derniers temps étaient plus que crevant, mais ce n’était que le début n’est-ce pas ? Enfin, je l’espérais. Je m’étais découvert un domaine dans lequel je pouvais être sérieux et stricte, et je comptais bien m’y tenir. Je m’étais donc arrangé pour que la gumiho passe des tâches de simple stagiaire comme photocopier des feuilles ou apporter le café aux tâches de secrétaires. Du travail plus qualifié, bien que je glisse parfois des feuilles qui étaient vraiment à la hauteur de ses capacités. Et encore, elle arrivait encore à m’épater quand je pensais qu’elle n’y arriverait pas.
Et aujourd’hui, on devait participer à une réunion qui allait décider de la collection printemps/été d’une de nos filières. Je devais jouer le rôle de pdg tout en passant pour un stagiaire aux yeux de Kong Mee. Plus facile à dire qu’à faire. J’étais parti ce matin du dortoir sans l’attendre pour préparer les détails à l’avance. Je devais prévenir tout le monde de ne faire aucun commentaire sur le fait que je me faisais passer pour un simple stagiaire devant nos partenaires. Me voilà devant la porte de la salle de réunion en question, je remettais ma cravate en place, bombais-je le torse et entrais. Plusieurs personnes voulurent se lever à mon entrée, mais je leur fis les gros yeux, ce qui les refroidirent aussitôt et baissèrent la tête. On aurait dit de pauvres petits chiots à qui on venait de donner un coup de pied. Ils me faisaient pitié. Je n’étais pas encore habitué à ce respect de la hiérarchie coréenne. J’allais m’assoir à ma place habituelle, prenant la parole. « Le président ne sait pas se libérer aujourd’hui, c’est moi qui prendrait note pour lui. » Bah oui, les personnes avec qui je m’étais arrangé voulais absolument que je participe, fallait bien trouver une excuse. Suite à cette annonce plusieurs personnes commencèrent à parler entre elles. Je sentais que cette réunion ne serait pas une promenade de santé.
tenue +Je m’étais déjà mis dans des situations des plus étranges et gênantes, mais je pense que celle-ci était la pire de toute. Je me félicitais d’ailleurs d’avoir réussi à m’en sortir aussi longtemps sans avoir été découvert. Des semaines que j’avais accepté ce stage pour Kong Mee dans mon entreprise. Rien de bien exceptionnel allez-vous me dire. Sauf que j’étais le nouveau Pdg de Vogue Korea, et qu’elle pensait que je n’étais qu’un simple stagiaire, tout comme elle. Je savais que je ne le criais pas sur tous les toits, mais les journalistes en avaient surement parlé dans les journaux, surtout avec le tour que ma sœur avait joué à nos parents. Suite à quiproquo, j’avais changé de rôle et était tombé tout en bas de l’échelle alors que quelques instants auparavant, je me trouvais tout au-dessus. J’avais voulu le lui dire, mais elle avait eu l’air si soulagée de me voir ici que je n’avais pas osé. Je ne voulais pas la décevoir, du coup, j’avais joué le jeu, travaillant à ses côtés pendant ces dernières semaines. Bien entendu, ce n’était pas en vain, car je découvris bien vite une femme assidues au travail et plutôt douée, tout ce qu’on recherchait pour l’entreprise. Et puis, comme la structure avait dû être revue, il y avait eu pas mal de licenciements et donc la quantité de travail avait doublé pour ceux qui étaient resté. Bien entendu, il y avait aussi beaucoup de postes libres, mais on avait décidé de ne pas faire les mêmes erreurs que nos parents et de choisir des gens qualifiés ou de jeunes talents prometteurs pour faire tourner l’entreprise. Alors oui, ces derniers temps étaient plus que crevant, mais ce n’était que le début n’est-ce pas ? Enfin, je l’espérais. Je m’étais découvert un domaine dans lequel je pouvais être sérieux et stricte, et je comptais bien m’y tenir. Je m’étais donc arrangé pour que la gumiho passe des tâches de simple stagiaire comme photocopier des feuilles ou apporter le café aux tâches de secrétaires. Du travail plus qualifié, bien que je glisse parfois des feuilles qui étaient vraiment à la hauteur de ses capacités. Et encore, elle arrivait encore à m’épater quand je pensais qu’elle n’y arriverait pas.
Et aujourd’hui, on devait participer à une réunion qui allait décider de la collection printemps/été d’une de nos filières. Je devais jouer le rôle de pdg tout en passant pour un stagiaire aux yeux de Kong Mee. Plus facile à dire qu’à faire. J’étais parti ce matin du dortoir sans l’attendre pour préparer les détails à l’avance. Je devais prévenir tout le monde de ne faire aucun commentaire sur le fait que je me faisais passer pour un simple stagiaire devant nos partenaires. Me voilà devant la porte de la salle de réunion en question, je remettais ma cravate en place, bombais-je le torse et entrais. Plusieurs personnes voulurent se lever à mon entrée, mais je leur fis les gros yeux, ce qui les refroidirent aussitôt et baissèrent la tête. On aurait dit de pauvres petits chiots à qui on venait de donner un coup de pied. Ils me faisaient pitié. Je n’étais pas encore habitué à ce respect de la hiérarchie coréenne. J’allais m’assoir à ma place habituelle, prenant la parole. « Le président ne sait pas se libérer aujourd’hui, c’est moi qui prendrait note pour lui. » Bah oui, les personnes avec qui je m’étais arrangé voulais absolument que je participe, fallait bien trouver une excuse. Suite à cette annonce plusieurs personnes commencèrent à parler entre elles. Je sentais que cette réunion ne serait pas une promenade de santé.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Jeu 26 Mar 2015 - 22:36 Citer EditerSupprimer
tenue + Lorsque Min Ho rentre dans la salle de réunion, tu lui fais de petits signes pour lui désigner la place libre à côté de toi, mais bien que tu sois légèrement concentré sur autre chose, tu peux parfaitement ressentir le changement d’ambiance depuis son arrivé, tu cesses alors tes gestes pour te concentrer sur les attitudes de tes collègues. Tu viens hausser un sourcil, ne comprenant pas vraiment ce soudain changement de comportement, après tout il ne s’agit que d’un simple stagiaire. Il ne t’a semblé que pour ton arrivée, ces mêmes collègues aient cessé leur conversation, ou se soient rassis correctement. D’ailleurs c’est Min Ho qui brise le silence pesant de la pièce, pour informer qu’il serait le scribe, après cette intervention les personnes autour de toi se remirent à parler à voix basse, tu as sincèrement l’impression d’être le dindon de la farce et tu n’aimes pas vraiment cela. Tu viens alors prendre la parole à haute voix. « Ptain comment t’as eu cette chance toi ?! » Les regards viennent alors se poser sur moi, tu peux les sentir plutôt choqué et la moutarde commence sérieusement à te monter au nez. Il y a quelque chose qui t’échappe, tu ne sais pas quoi et cela t’énerve, alors forcément ton côté sanguin qui va de paire avec ton impulsivité viennent prendre le dessus sur ta raison. Reprenant la parole tu viens cette fois t’adresser à tes collègues. « Jvous jure arrêtez de me regarder comme ça, jusqu’à preuve du contraire j’ai rien fait de mal, le type que vous voyez en face de vous n’est pas le patron de ce magazine, mais un simple stagiaire tout comme moi ! » Tu viens soupirer pour reprendre aussitôt. « Alors je pense encore pouvoir m’adresser à lui comme je l’entends c’est clair… » Les ronchonnements dans la pièce se font entendre, mais tu n’y prêtes guère attention, à dire vrai tu te sens même mieux d’avoir vider ton sac. Ton attention vient se reporter sur ton ami assis en bout de table, tu trouves cela bizarre mais te dis que s’il doit prendre note et représenter le président cela peut alors trouver sens. Les rideaux se ferment, tandis qu’un diaporama vient se mettre en route, ayant pour titre l’ordre du jour de la réunion : les tendances printemps-été 2015.
tenue + Lorsque Min Ho rentre dans la salle de réunion, tu lui fais de petits signes pour lui désigner la place libre à côté de toi, mais bien que tu sois légèrement concentré sur autre chose, tu peux parfaitement ressentir le changement d’ambiance depuis son arrivé, tu cesses alors tes gestes pour te concentrer sur les attitudes de tes collègues. Tu viens hausser un sourcil, ne comprenant pas vraiment ce soudain changement de comportement, après tout il ne s’agit que d’un simple stagiaire. Il ne t’a semblé que pour ton arrivée, ces mêmes collègues aient cessé leur conversation, ou se soient rassis correctement. D’ailleurs c’est Min Ho qui brise le silence pesant de la pièce, pour informer qu’il serait le scribe, après cette intervention les personnes autour de toi se remirent à parler à voix basse, tu as sincèrement l’impression d’être le dindon de la farce et tu n’aimes pas vraiment cela. Tu viens alors prendre la parole à haute voix. « Ptain comment t’as eu cette chance toi ?! » Les regards viennent alors se poser sur moi, tu peux les sentir plutôt choqué et la moutarde commence sérieusement à te monter au nez. Il y a quelque chose qui t’échappe, tu ne sais pas quoi et cela t’énerve, alors forcément ton côté sanguin qui va de paire avec ton impulsivité viennent prendre le dessus sur ta raison. Reprenant la parole tu viens cette fois t’adresser à tes collègues. « Jvous jure arrêtez de me regarder comme ça, jusqu’à preuve du contraire j’ai rien fait de mal, le type que vous voyez en face de vous n’est pas le patron de ce magazine, mais un simple stagiaire tout comme moi ! » Tu viens soupirer pour reprendre aussitôt. « Alors je pense encore pouvoir m’adresser à lui comme je l’entends c’est clair… » Les ronchonnements dans la pièce se font entendre, mais tu n’y prêtes guère attention, à dire vrai tu te sens même mieux d’avoir vider ton sac. Ton attention vient se reporter sur ton ami assis en bout de table, tu trouves cela bizarre mais te dis que s’il doit prendre note et représenter le président cela peut alors trouver sens. Les rideaux se ferment, tandis qu’un diaporama vient se mettre en route, ayant pour titre l’ordre du jour de la réunion : les tendances printemps-été 2015.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Sam 4 Avr 2015 - 21:24 Citer EditerSupprimer
tenue +Je sens l’atmosphère s’alourdir plus qu’il ne l’était déjà quand Kong Mee vint à me parler aussi familièrement lors d’une réunion. La plupart des têtes se tournèrent vers elle, outrées, presque choquée par autant de manque de respect envers une entité supérieure. Je crois bien qu’on l’aurait fait sortir sur le champ si je n’avais pas prévenu mes partenaires de ce petit jeu peu commode. Les pauvres ne savaient plus sur quel pied danser. Mon secrétaire assis à ma droite quant à lui, se retenait de rire. Il m’avait connu gosse et m’avait vu grandir. C’était lui qui s’occupait de moi quand je venais à l’entreprise pendant que mes parents travaillaient. Il n’était pas nouveau que je joue ce genre de tour. Il était donc habitué et ce genre de situations ne le surprenait plus pour un sou. Je souris à Kong Mee et commençait à lui parler comme si nous étions seuls dans la pièce, me préoccupant peu des autres. Au diable le protocole classique et les règles de politesses à deux balles si on réussissait à obtenir un contrat et à sortir tous les dossiers en temps et en heure, c’était tout ce que je voulais. « Disons que j’étais au bon endroit au bon moment. » Je levais un sourcil amusé, tout à coup de bonne humeur d’entendre Kong Mee remettre tous ces hommes d’affaires trop coincés à leur place. Quand à mon secrétaire, il ne se retenait plus de rire, il se laissait aller aux larmes et au fou rire. J’avouais qu’elle était intrépide et parfois, sans gêne, mais c’était ce qu’il manquait à cette société. Des gens qui osent, qui prennent leur courage à deux mains pour faire face à l’ennemi. Depuis que j’étais à la tête de l’entreprise grâce à ma sœur, j’essayais d’instaurer, petit à petit, un nouvel air qui redonnerait un second souffle au magazine qui devenait un rien vieillot. Et pour cela, il me fallait des gens comme Kong Mee. J’espérais que mes collègues de travail s’en inspireraient pour trouver les nouvelles tendances printemps-été. Il fallait faire tabla rasa du passé et passer à autre chose, trouver de nouvelles vogues. Ne plus courir après la mode, mais la créer, nous. Voilà où je voulais en venir. Les lumières s’éteignirent pour faire place au diaporama. Un homme prit la parole et tous tournèrent la tête vers lui, l’écoutant. Je pris note dans un premier temps, hochant la tête de temps à autre pour montrer que je l’entendais, mais bien vite, ces dires m’ennuyèrent ferme. Au point que je ne l’écoutais plus du tout, préférant gribouiller des petits dessins de vêtements que ses photos m’inspiraient. Une fois que je ne trouvais plus rien à dessiner, je regardais en direction de la gumihos. Un coup d’œil autour de moi pour m’apercevoir que tout le monde était toujours attentif et je me levais discrètement pour me glisser sur un siège à côté de la jeune femme, lui chuchotant. « Qu’est-ce que tu en penses ? Il manque le petit quelque chose qui fait la différence dans ce qu’il nous présente, non ? » L’air de rien, je lui fis glisser mon bloc de croquis que j’avais dessiné alors que l’homme parlait toujours. J’avais un certain don quand on me mettait un crayon entre les doigts et j’aimais dessine ce que je voyais ou simplement ce qui me passait dans la tête. J’étais loin de me proclamer styliste ou quelque chose dans ce genre, mais je trouvais juste qu’on partait dans la mauvaise direction. « J’aimerais que la collection de cette année ressemble plus à quelque chose comme ca, qu’elle soit différente. »
tenue +Je sens l’atmosphère s’alourdir plus qu’il ne l’était déjà quand Kong Mee vint à me parler aussi familièrement lors d’une réunion. La plupart des têtes se tournèrent vers elle, outrées, presque choquée par autant de manque de respect envers une entité supérieure. Je crois bien qu’on l’aurait fait sortir sur le champ si je n’avais pas prévenu mes partenaires de ce petit jeu peu commode. Les pauvres ne savaient plus sur quel pied danser. Mon secrétaire assis à ma droite quant à lui, se retenait de rire. Il m’avait connu gosse et m’avait vu grandir. C’était lui qui s’occupait de moi quand je venais à l’entreprise pendant que mes parents travaillaient. Il n’était pas nouveau que je joue ce genre de tour. Il était donc habitué et ce genre de situations ne le surprenait plus pour un sou. Je souris à Kong Mee et commençait à lui parler comme si nous étions seuls dans la pièce, me préoccupant peu des autres. Au diable le protocole classique et les règles de politesses à deux balles si on réussissait à obtenir un contrat et à sortir tous les dossiers en temps et en heure, c’était tout ce que je voulais. « Disons que j’étais au bon endroit au bon moment. » Je levais un sourcil amusé, tout à coup de bonne humeur d’entendre Kong Mee remettre tous ces hommes d’affaires trop coincés à leur place. Quand à mon secrétaire, il ne se retenait plus de rire, il se laissait aller aux larmes et au fou rire. J’avouais qu’elle était intrépide et parfois, sans gêne, mais c’était ce qu’il manquait à cette société. Des gens qui osent, qui prennent leur courage à deux mains pour faire face à l’ennemi. Depuis que j’étais à la tête de l’entreprise grâce à ma sœur, j’essayais d’instaurer, petit à petit, un nouvel air qui redonnerait un second souffle au magazine qui devenait un rien vieillot. Et pour cela, il me fallait des gens comme Kong Mee. J’espérais que mes collègues de travail s’en inspireraient pour trouver les nouvelles tendances printemps-été. Il fallait faire tabla rasa du passé et passer à autre chose, trouver de nouvelles vogues. Ne plus courir après la mode, mais la créer, nous. Voilà où je voulais en venir. Les lumières s’éteignirent pour faire place au diaporama. Un homme prit la parole et tous tournèrent la tête vers lui, l’écoutant. Je pris note dans un premier temps, hochant la tête de temps à autre pour montrer que je l’entendais, mais bien vite, ces dires m’ennuyèrent ferme. Au point que je ne l’écoutais plus du tout, préférant gribouiller des petits dessins de vêtements que ses photos m’inspiraient. Une fois que je ne trouvais plus rien à dessiner, je regardais en direction de la gumihos. Un coup d’œil autour de moi pour m’apercevoir que tout le monde était toujours attentif et je me levais discrètement pour me glisser sur un siège à côté de la jeune femme, lui chuchotant. « Qu’est-ce que tu en penses ? Il manque le petit quelque chose qui fait la différence dans ce qu’il nous présente, non ? » L’air de rien, je lui fis glisser mon bloc de croquis que j’avais dessiné alors que l’homme parlait toujours. J’avais un certain don quand on me mettait un crayon entre les doigts et j’aimais dessine ce que je voyais ou simplement ce qui me passait dans la tête. J’étais loin de me proclamer styliste ou quelque chose dans ce genre, mais je trouvais juste qu’on partait dans la mauvaise direction. « J’aimerais que la collection de cette année ressemble plus à quelque chose comme ca, qu’elle soit différente. »
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Lun 20 Avr 2015 - 23:54 Citer EditerSupprimer
tenue + Un homme s’installe face à l’assemblé puis commence timidement son exposé mais doucement ses paroles commencent à t’ennuyer. La raison ? Ce qu’il dit n’est pas assez percutant, il ne semble pas certain de ce qu’il avance et semble aussi très stressé pour une raison qui t’échappes. Ce que tu penses de lui est horrible, puisqu’en vérité il ne te fait légèrement pitié, il est pour autant dans l’entreprise depuis bien plus longtemps que toi tu devrais donc lui montrer un certain respect mais ainsi face à toi il te fait penser à un simple stagiaire, donc un statut égal au tien. Pour autant tu notes quelques mots qu’il prononce pour être un tant soit peu concentré, mais bien vite une voix non inconnue à tes oreilles se fait entendre derrière toi. Les paroles qu’il prononce font d’ailleurs résonnance avec ce que tu pensais quelques petites secondes plus tôt. « Tu lis dans mes pensées ou quoi ? » chuchotes-tu en guise de réponse. Mais effectivement il manque clairement quelque chose à son discours, et à force de l’écouter tu finis par mettre le doigt dessus. Tout ce qu’il présente semble provenir directement de la tendance de printemps-été dernier, il n’y a rien de nouveau, de neuf voilà ce qu’il manque tant. Il aurait du s’inspirer des défilés de la Fashion Week pour préparer cette réunion, Fashion Week à laquelle tu as eu la chance d’assister par dieu seul sait quel moyen. Tu avais bien parlé de ton rêve absolument d’assister cet événement mais la conversation était privé puisque simplement échangé avec Min Ho. Mais une chose est certaine peu importe comment cela est arrivé tu as réellement apprécie ces instants. Ton brun de collègue vient d’ailleurs faire glisser un petit carnet avec quelques petits gribouillis, ce que tu vois dessus te mets des étoiles dans les yeux il avait parfaitement cerné ce que serait la tendance de cet été. Tu en profites d’ailleurs pour rajouter ta petite touche sur certaines créations allant jusqu’à lui en proposer de nouvelles. Mais une chose te vient soudainement en tête, n’est-il pas sensé noté les paroles de l’interlocuteur plutôt que de dessiner sur un carnet (aussi belles ces choses soient-elle) ? Mais tu n’as pas vraiment le temps de lui poser la question que Min Ho interromps l’homme pour lui faire part de ses idées en lui montrant le fameux carnet où son répertorié vos créations. Tu te retournes vers lui furax, mais tu continues de chuchoter. « Yah ! Mais ça va pas ou quoi ? T’es pas juste sensé noter toi ? Je te rappelle que ce gars est ton supérieur, tu veux être viré ? » Tu viens lui faire les gros yeux, venant te saisir du carnet pour le reposer sur la table. Les yeux sont à nouveaux tous rivé vers vous, mais tu les sens moins supérieur que plus tôt, ta petite colère à du avoir son petit effet après tout. « Excusez-le il ne sait pas ce qu’il dit… Veuillez reprendre s’il-vous-plait. » Les yeux se retournent vers le diaporama. Bien que le comportement de Min Ho ait été déplacé tu sais pour autant qu’il a raison sur ce que devrait être les modèles proposés dans les futurs magazines.
tenue + Un homme s’installe face à l’assemblé puis commence timidement son exposé mais doucement ses paroles commencent à t’ennuyer. La raison ? Ce qu’il dit n’est pas assez percutant, il ne semble pas certain de ce qu’il avance et semble aussi très stressé pour une raison qui t’échappes. Ce que tu penses de lui est horrible, puisqu’en vérité il ne te fait légèrement pitié, il est pour autant dans l’entreprise depuis bien plus longtemps que toi tu devrais donc lui montrer un certain respect mais ainsi face à toi il te fait penser à un simple stagiaire, donc un statut égal au tien. Pour autant tu notes quelques mots qu’il prononce pour être un tant soit peu concentré, mais bien vite une voix non inconnue à tes oreilles se fait entendre derrière toi. Les paroles qu’il prononce font d’ailleurs résonnance avec ce que tu pensais quelques petites secondes plus tôt. « Tu lis dans mes pensées ou quoi ? » chuchotes-tu en guise de réponse. Mais effectivement il manque clairement quelque chose à son discours, et à force de l’écouter tu finis par mettre le doigt dessus. Tout ce qu’il présente semble provenir directement de la tendance de printemps-été dernier, il n’y a rien de nouveau, de neuf voilà ce qu’il manque tant. Il aurait du s’inspirer des défilés de la Fashion Week pour préparer cette réunion, Fashion Week à laquelle tu as eu la chance d’assister par dieu seul sait quel moyen. Tu avais bien parlé de ton rêve absolument d’assister cet événement mais la conversation était privé puisque simplement échangé avec Min Ho. Mais une chose est certaine peu importe comment cela est arrivé tu as réellement apprécie ces instants. Ton brun de collègue vient d’ailleurs faire glisser un petit carnet avec quelques petits gribouillis, ce que tu vois dessus te mets des étoiles dans les yeux il avait parfaitement cerné ce que serait la tendance de cet été. Tu en profites d’ailleurs pour rajouter ta petite touche sur certaines créations allant jusqu’à lui en proposer de nouvelles. Mais une chose te vient soudainement en tête, n’est-il pas sensé noté les paroles de l’interlocuteur plutôt que de dessiner sur un carnet (aussi belles ces choses soient-elle) ? Mais tu n’as pas vraiment le temps de lui poser la question que Min Ho interromps l’homme pour lui faire part de ses idées en lui montrant le fameux carnet où son répertorié vos créations. Tu te retournes vers lui furax, mais tu continues de chuchoter. « Yah ! Mais ça va pas ou quoi ? T’es pas juste sensé noter toi ? Je te rappelle que ce gars est ton supérieur, tu veux être viré ? » Tu viens lui faire les gros yeux, venant te saisir du carnet pour le reposer sur la table. Les yeux sont à nouveaux tous rivé vers vous, mais tu les sens moins supérieur que plus tôt, ta petite colère à du avoir son petit effet après tout. « Excusez-le il ne sait pas ce qu’il dit… Veuillez reprendre s’il-vous-plait. » Les yeux se retournent vers le diaporama. Bien que le comportement de Min Ho ait été déplacé tu sais pour autant qu’il a raison sur ce que devrait être les modèles proposés dans les futurs magazines.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mer 29 Avr 2015 - 21:46 Citer EditerSupprimer
tenue +Je ris discrètement à la remarque de Kong Mee. Encore une fois, nous étions sur la même longueur d'onde. Sans doute pour cela que l'on s'entendait si bien quand il s'agissait de travail. Bref, elle pensait que j'étais un stagiaire tout comme elle, et non pas son patron, mais ce n'était qu'un petit détail. Petit détail que si il revenait aux oreilles de ma soeur pourrait bien me coute la peau du cul. Mais, je ne pensais pas que quelqu'un ici serait capable de me trahir et d'aller cafter. Les notions de Kong Mee sur la mode ne faisait qu'augmenter de jour en jour, c'était pourquoi, il y avait quelque temps, j'avais fais en sorte de lui faire parvenir des tickets pour la Fashin Week, sans lui faire savoir que cela venait de moi, bien Evidemment. Et puis, la demoiselle m'ayant fait part de son rêve, j'avais craqué. J'étais en mesure de le réaliser alors autant lui en faire profiter. Mais, je commençais à me dire que j'aurais mieux fais de donner ces tickets à l'homme qui faisait la présentation de cette réunion. Alors que j'avais tendu mon carnet à le jeune femme pour qu'elle y jette un oeil, elle ajouta ses propres créations auxquelles j’adhérais complètement. j'allais lui faire part de ce que j'en pensais, mais voilà qu'elle se mettait à me hurler dessus. Encore une fois. Ca allait devenir une habitude cette histoire. Si seulement elle savait qui j'étais vraiment. J'adorerais voir sa tête à ce moment-là. Je fus d'abord surpris, puis ses gros yeux qu'elle me lancait me firent pouffer de rire. Entre nous, on aurait dit que c'était elle qui avait le poste supérieure, et non moi. Tous se retournèrent vers moi et comme seule réponse, je haussais les épaules. Ce qui calmait un peu le jeu sans pour autant éteindre le feu. Puis, je me dis que si on continuait dans cette direction plus longtemps avant que je n'intervienne, on aurait fait une réunion de plus dans le vide. Elle ne tournait à vide. Je détestais vraiment jouer les rabats-joie, mais il fallait bien y passer. C'était mon job après tout. je soupirais avant de me lever. L'assemblée se retourna à nouveau, m'observant. "Je reviens" dis-je simplement. J'attrapais le carnet et sortit de la salle. J'allais à l'imprimante la plus près de la piece et imprimais les dessins que nous venions de faire de tracer avec la gumiho, autant de fois qu'il y avait de personne à l'intérieur. Je pris le tout et entrais à nouveau. Il y avait un silence de mort qui pesait dans le pièce. Je me dirigeais vers le présentateur qui suais à grosses gouttes sur le front. Sans doute avait-il peur de se faire virer suite à ma remarque. Enfin, ca c'était le genre de Soo Ah, pas la mienne. "Bon. Au départ, je voulais que ca reste entre moi et Mademoiselle No." dis-je en lui faisant moi-même les gros yeux maintenant. "Mais celle-ci n'a pas pu tenir sa langue. Pourtant, on y repensant, elle n'a pas tort. Si je ne vous fait pas part de mon avis, cette réunion n'a pas lieu d'être." Je me retournais vers l'homme qui tremblait presque de peur. Encore jamais je n'avais vu un homme agir de la sorte devant moi. Cela faisait bizarre. "Ne vous inquiétez pas ! Vous avez fais de bons travail, vous l'aviez préparé cette présentation, mais vous n'êtes simplement pas partie sur une bonne idée." Je lui souris pour essayer de le réconforter, mais je ne savais pas trop si cela avait marcher ou non. Bref, je n'étais pas là non plus pour le ménager. Il savait que ce métier était dur. Qu'il soit déjà heureux, d'être tombé sur le moins vache des Kang. Je repris pour la foule. "Ce que j'attends pour cette événement, c'est quelque chose de neuf. Je ne veux plus que l'on se contente de suivre la mode, mais qu'on l'a crée ! Soyons les créateurs et non plus les montons de panurge qui suivent aveuglement un leadeur. Voilà quelques exemples dont je veux parler ! " Je fis signe à Kong Mee qu'elle me rejoigne, lui tendant une partie des feuilles que je tenais en main. "Tient distribues-les."
tenue +Je ris discrètement à la remarque de Kong Mee. Encore une fois, nous étions sur la même longueur d'onde. Sans doute pour cela que l'on s'entendait si bien quand il s'agissait de travail. Bref, elle pensait que j'étais un stagiaire tout comme elle, et non pas son patron, mais ce n'était qu'un petit détail. Petit détail que si il revenait aux oreilles de ma soeur pourrait bien me coute la peau du cul. Mais, je ne pensais pas que quelqu'un ici serait capable de me trahir et d'aller cafter. Les notions de Kong Mee sur la mode ne faisait qu'augmenter de jour en jour, c'était pourquoi, il y avait quelque temps, j'avais fais en sorte de lui faire parvenir des tickets pour la Fashin Week, sans lui faire savoir que cela venait de moi, bien Evidemment. Et puis, la demoiselle m'ayant fait part de son rêve, j'avais craqué. J'étais en mesure de le réaliser alors autant lui en faire profiter. Mais, je commençais à me dire que j'aurais mieux fais de donner ces tickets à l'homme qui faisait la présentation de cette réunion. Alors que j'avais tendu mon carnet à le jeune femme pour qu'elle y jette un oeil, elle ajouta ses propres créations auxquelles j’adhérais complètement. j'allais lui faire part de ce que j'en pensais, mais voilà qu'elle se mettait à me hurler dessus. Encore une fois. Ca allait devenir une habitude cette histoire. Si seulement elle savait qui j'étais vraiment. J'adorerais voir sa tête à ce moment-là. Je fus d'abord surpris, puis ses gros yeux qu'elle me lancait me firent pouffer de rire. Entre nous, on aurait dit que c'était elle qui avait le poste supérieure, et non moi. Tous se retournèrent vers moi et comme seule réponse, je haussais les épaules. Ce qui calmait un peu le jeu sans pour autant éteindre le feu. Puis, je me dis que si on continuait dans cette direction plus longtemps avant que je n'intervienne, on aurait fait une réunion de plus dans le vide. Elle ne tournait à vide. Je détestais vraiment jouer les rabats-joie, mais il fallait bien y passer. C'était mon job après tout. je soupirais avant de me lever. L'assemblée se retourna à nouveau, m'observant. "Je reviens" dis-je simplement. J'attrapais le carnet et sortit de la salle. J'allais à l'imprimante la plus près de la piece et imprimais les dessins que nous venions de faire de tracer avec la gumiho, autant de fois qu'il y avait de personne à l'intérieur. Je pris le tout et entrais à nouveau. Il y avait un silence de mort qui pesait dans le pièce. Je me dirigeais vers le présentateur qui suais à grosses gouttes sur le front. Sans doute avait-il peur de se faire virer suite à ma remarque. Enfin, ca c'était le genre de Soo Ah, pas la mienne. "Bon. Au départ, je voulais que ca reste entre moi et Mademoiselle No." dis-je en lui faisant moi-même les gros yeux maintenant. "Mais celle-ci n'a pas pu tenir sa langue. Pourtant, on y repensant, elle n'a pas tort. Si je ne vous fait pas part de mon avis, cette réunion n'a pas lieu d'être." Je me retournais vers l'homme qui tremblait presque de peur. Encore jamais je n'avais vu un homme agir de la sorte devant moi. Cela faisait bizarre. "Ne vous inquiétez pas ! Vous avez fais de bons travail, vous l'aviez préparé cette présentation, mais vous n'êtes simplement pas partie sur une bonne idée." Je lui souris pour essayer de le réconforter, mais je ne savais pas trop si cela avait marcher ou non. Bref, je n'étais pas là non plus pour le ménager. Il savait que ce métier était dur. Qu'il soit déjà heureux, d'être tombé sur le moins vache des Kang. Je repris pour la foule. "Ce que j'attends pour cette événement, c'est quelque chose de neuf. Je ne veux plus que l'on se contente de suivre la mode, mais qu'on l'a crée ! Soyons les créateurs et non plus les montons de panurge qui suivent aveuglement un leadeur. Voilà quelques exemples dont je veux parler ! " Je fis signe à Kong Mee qu'elle me rejoigne, lui tendant une partie des feuilles que je tenais en main. "Tient distribues-les."
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Jeu 30 Avr 2015 - 22:36 Citer EditerSupprimer
tenue + Min Ho se lève sans que tu ne comprennes vraiment pourquoi. L’as-tu vexé en t’énervant ainsi contre lui ? Tu ne sais pas vraiment pourquoi mais tu en doutes, tu ne vois pas vraiment le jeune homme se mettre en rogne ou se vexer face à de tels mots, mais tu continues alors de t’interroger sur la raison de son départ. Qui au final n’en n’était pas vraiment un puisque quelques petites minutes plus tard le revoilà qui franchit le seuil de la porte. Tu hausses un sourcil, ne comprenant décidément pas son comportement. Que peut-il bien s’apprêter à faire ? Ton bleu de colocataire s’avance près de l’homme tenu de faire la présentation, homme qui n’a d’ailleurs pas l’air dans son assiette du tout, il semble tendu voire stressé et les grosses gouttes qui commence à perler sur son front ne font qu’appuyer ton avis. Mais pourquoi se sent-il ainsi alors qu’il ne risque absolument rien ? Certes ça présentation n’a pas été parfaite mais qui dans cette pièce peut lui en tenir rigueur. Tu soupires très légèrement, bien qu’il soit ton supérieur il te fait réellement pitié. Min Ho prends alors la parole, en insistant sur le fait que les petits dessins étaient sensé resté entre nous, il en vient même à te faire les gros yeux. Tu passes ta main devant ta bouche pour mimer un oups, très ironique. Ton collègue continue dans sa lancée, à le voir ainsi il ressemblerait presque à un patron motivant ses employés, en employant ainsi des « je » ou des « il faut que nous ». D’ailleurs l’ensemble des têtes de l’assemblée se mettent à hocher comme pour approuver les paroles de Min Ho et bien que tu ne bouge pas la tête comme le petit chien sur la plage arrière d’une voiture, tu es belle et bien d’accord avec les mots de l’homme. Tu te fais d’ailleurs surprendre quand celui-ci, te fait signe de le rejoindre. Il vient te tendre les feuilles préalablement imprimé et t’ordonne presque de les distribuer. « Yah ! Tu ne devrais pas au moins dire s’il-te-plait ?! » Passant derrière lui tu grimaces légèrement mais tu viens quand même exécuter sa demande en distribuant à chacun une feuille pour terminer par revenir vers lui. « Ce sera tout ?! » Mais sans vraiment tenir compte de sa réponse, tu retournes t’asseoir à ta place attendant la suite des événements. Qu’allez-t-il bien pouvoir se passé à présent que l’on commence à rentrer dans le vif du sujet ? Au regard des créations sur les feuilles, des avis commencent à émerger, certains même se questionnent sur le créateur de certaines des œuvres, dont quelqu’une se trouve être les tiennes. Cette fois c’est à ton tour de faire les gros yeux à Min Ho, hors de questions que quelqu’un autour de cette table sache pour toi. Tu as certes envie de réussir, mais tu te sais encore stagiaire et que beaucoup autour de cette table souhaiterait avoir l’honneur de voir leurs petites ébauches prient en exemple pour le prochain numéro du magazine.
tenue + Min Ho se lève sans que tu ne comprennes vraiment pourquoi. L’as-tu vexé en t’énervant ainsi contre lui ? Tu ne sais pas vraiment pourquoi mais tu en doutes, tu ne vois pas vraiment le jeune homme se mettre en rogne ou se vexer face à de tels mots, mais tu continues alors de t’interroger sur la raison de son départ. Qui au final n’en n’était pas vraiment un puisque quelques petites minutes plus tard le revoilà qui franchit le seuil de la porte. Tu hausses un sourcil, ne comprenant décidément pas son comportement. Que peut-il bien s’apprêter à faire ? Ton bleu de colocataire s’avance près de l’homme tenu de faire la présentation, homme qui n’a d’ailleurs pas l’air dans son assiette du tout, il semble tendu voire stressé et les grosses gouttes qui commence à perler sur son front ne font qu’appuyer ton avis. Mais pourquoi se sent-il ainsi alors qu’il ne risque absolument rien ? Certes ça présentation n’a pas été parfaite mais qui dans cette pièce peut lui en tenir rigueur. Tu soupires très légèrement, bien qu’il soit ton supérieur il te fait réellement pitié. Min Ho prends alors la parole, en insistant sur le fait que les petits dessins étaient sensé resté entre nous, il en vient même à te faire les gros yeux. Tu passes ta main devant ta bouche pour mimer un oups, très ironique. Ton collègue continue dans sa lancée, à le voir ainsi il ressemblerait presque à un patron motivant ses employés, en employant ainsi des « je » ou des « il faut que nous ». D’ailleurs l’ensemble des têtes de l’assemblée se mettent à hocher comme pour approuver les paroles de Min Ho et bien que tu ne bouge pas la tête comme le petit chien sur la plage arrière d’une voiture, tu es belle et bien d’accord avec les mots de l’homme. Tu te fais d’ailleurs surprendre quand celui-ci, te fait signe de le rejoindre. Il vient te tendre les feuilles préalablement imprimé et t’ordonne presque de les distribuer. « Yah ! Tu ne devrais pas au moins dire s’il-te-plait ?! » Passant derrière lui tu grimaces légèrement mais tu viens quand même exécuter sa demande en distribuant à chacun une feuille pour terminer par revenir vers lui. « Ce sera tout ?! » Mais sans vraiment tenir compte de sa réponse, tu retournes t’asseoir à ta place attendant la suite des événements. Qu’allez-t-il bien pouvoir se passé à présent que l’on commence à rentrer dans le vif du sujet ? Au regard des créations sur les feuilles, des avis commencent à émerger, certains même se questionnent sur le créateur de certaines des œuvres, dont quelqu’une se trouve être les tiennes. Cette fois c’est à ton tour de faire les gros yeux à Min Ho, hors de questions que quelqu’un autour de cette table sache pour toi. Tu as certes envie de réussir, mais tu te sais encore stagiaire et que beaucoup autour de cette table souhaiterait avoir l’honneur de voir leurs petites ébauches prient en exemple pour le prochain numéro du magazine.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Dim 7 Juin 2015 - 4:22 Citer EditerSupprimer
tenue +Je ne sais pas pourquoi je fus encore surpris par sa réaction. Je devais m’être habitué depuis le temps. Kong Mee n’était pas une jeune femme au caractère docile, qui disait amen à tout ce que je pouvais dire. Contrairement aux autres, elle n’avait pas peur de me dire ce qu’elle pensait au moment même. J’aimais son franc parlé. C’était ce qui m’avait en parti séduit quant au choix de stagiaire pour l’entreprise. Sans doute le fait qu’elle ignorait que j’étais le patron de tout ce beau monde jouait un rôle dans sa liberté d’expression, mais tant mieux. Je ne voulais pas qu’elle soit entravée par un quelconque titre qui m’était attribué et que son comportement change vis-à-vis de moi. Il y avait trop de faux respect, trop d’hypocrisie dans les affaires, un peu de franchise me faisait l’effet d’une brise fraiche. Cela me faisait du bien et je ne voulais pas que cela change dans l’immédiat. Je lui dirais le moment venu. Ou pas. Je ne voulais pas perdre la complicité qui s’était installé entre nous que ce soit en tant que collègue ou amis. « S’il vous plaît, jeune demoiselle, pouvez-vous distribuez ces copies à ces jeunes hommes ici présent ? » Je pris un ton faussement poli, sur le point d’éclater de rire, mais je me retins, montrant la semblant d’une main pour ponctuer ma phrase. « C’est mieux ainsi ? » demandais-je tel un gamin avec mon regard de chien battu. Sans doute que les hommes d’affaires assis à la grande table se demandaient à quel jeu on pouvait bien jouer ou quelle lubie m’avait encore touchée, mais franchement, je m’en fichais pas mal de ce qu’ils pensaient. C’était aussi une des raisons pour lesquelles, j’ignorais le regard d’avertissement que Kong Mee me lançait. Ces hommes se posaient des questions sur ces créations que je leur avais distribuées. Et notamment sur leur auteur. Ce qui n’était pas une mauvaise chose en soi, vu qu’ils avaient l’air enthousiasmé par la proposition. « Ces croquis viennent d’être fait lors des vingt minutes qui viennent de s’écouler. Bien évidemment, il reste beaucoup de détail à peaufiner et à travailler. Ce ne sont que des premières ébauches d’idées qui nous ont traversé l’esprit sur l’instant. Et quand je parle de nous, je parle de moi et de … » Je jetais un coup d’œil à Kong mee, faisant un mouvement de la tête vers elle. Mouvement que tous les lourdauds ici présent suivirent pour se tourner vers elle. « Et de mademoiselle No. » Je reportais mon attention sur eux pour continuer. « Si tout le monde est d’accord, je m’engage à travailler sur cette collection personnellement avec mademoiselle No. Ces fonctions outrepasse ses fonctions de stagiaires, mais je doute que cela pose un problème à quiconque n’est-ce pas ? » Je lançais cette proposition comme une petite bombe sans même demander l’avis de la gumiho. Et par ma question, je m’étais quiconque de défier mon autorité. Et comme je le pensais, aucun d’entre eux n’osèrent s’opposer, hochant tous de la tête ou acquiesçant avec enthousiasme.
tenue +Je ne sais pas pourquoi je fus encore surpris par sa réaction. Je devais m’être habitué depuis le temps. Kong Mee n’était pas une jeune femme au caractère docile, qui disait amen à tout ce que je pouvais dire. Contrairement aux autres, elle n’avait pas peur de me dire ce qu’elle pensait au moment même. J’aimais son franc parlé. C’était ce qui m’avait en parti séduit quant au choix de stagiaire pour l’entreprise. Sans doute le fait qu’elle ignorait que j’étais le patron de tout ce beau monde jouait un rôle dans sa liberté d’expression, mais tant mieux. Je ne voulais pas qu’elle soit entravée par un quelconque titre qui m’était attribué et que son comportement change vis-à-vis de moi. Il y avait trop de faux respect, trop d’hypocrisie dans les affaires, un peu de franchise me faisait l’effet d’une brise fraiche. Cela me faisait du bien et je ne voulais pas que cela change dans l’immédiat. Je lui dirais le moment venu. Ou pas. Je ne voulais pas perdre la complicité qui s’était installé entre nous que ce soit en tant que collègue ou amis. « S’il vous plaît, jeune demoiselle, pouvez-vous distribuez ces copies à ces jeunes hommes ici présent ? » Je pris un ton faussement poli, sur le point d’éclater de rire, mais je me retins, montrant la semblant d’une main pour ponctuer ma phrase. « C’est mieux ainsi ? » demandais-je tel un gamin avec mon regard de chien battu. Sans doute que les hommes d’affaires assis à la grande table se demandaient à quel jeu on pouvait bien jouer ou quelle lubie m’avait encore touchée, mais franchement, je m’en fichais pas mal de ce qu’ils pensaient. C’était aussi une des raisons pour lesquelles, j’ignorais le regard d’avertissement que Kong Mee me lançait. Ces hommes se posaient des questions sur ces créations que je leur avais distribuées. Et notamment sur leur auteur. Ce qui n’était pas une mauvaise chose en soi, vu qu’ils avaient l’air enthousiasmé par la proposition. « Ces croquis viennent d’être fait lors des vingt minutes qui viennent de s’écouler. Bien évidemment, il reste beaucoup de détail à peaufiner et à travailler. Ce ne sont que des premières ébauches d’idées qui nous ont traversé l’esprit sur l’instant. Et quand je parle de nous, je parle de moi et de … » Je jetais un coup d’œil à Kong mee, faisant un mouvement de la tête vers elle. Mouvement que tous les lourdauds ici présent suivirent pour se tourner vers elle. « Et de mademoiselle No. » Je reportais mon attention sur eux pour continuer. « Si tout le monde est d’accord, je m’engage à travailler sur cette collection personnellement avec mademoiselle No. Ces fonctions outrepasse ses fonctions de stagiaires, mais je doute que cela pose un problème à quiconque n’est-ce pas ? » Je lançais cette proposition comme une petite bombe sans même demander l’avis de la gumiho. Et par ma question, je m’étais quiconque de défier mon autorité. Et comme je le pensais, aucun d’entre eux n’osèrent s’opposer, hochant tous de la tête ou acquiesçant avec enthousiasme.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mar 30 Juin 2015 - 23:43 Citer EditerSupprimer
tenue + Probablement pour se venger, le jeune homme décide bien de cracher le morceau sur les auteurs des croquis que l’assemblée tient dans ses mains. Tu lui balances un regard des plus noirs, tandis que tous les visages et leurs regards se tournent vers toi. Toi, simple petite stagiaire, bon nombre d’entre eux doivent te maudire intérieurement. Pour tenter de calmer leur esprit, tu esquisses un sourire, hochant la tête. Mais les mots de Min Ho ne s’arrêtèrent pas un la simple annonce de ta participation au croquis, mais par l’annonce que tu travaillerais sur la collection avec lui. Tu lâches un petit rire nerveux, cette fois c’est certain tu dois être la stagiaire la plus détesté de toute les petites stagiaire qui ont du te précéder. Il y a cependant une chose que tu as constaté, c’est que tu n’as jamais donné ton accord pour ça, bien évidemment tu serais folle de refuser une telle mission, mais histoire de faire retomber la tension caché de faux sourires, tu lances à ton collègue préféré. « Yah ! Je suis du département Marketing et ça outrepasse plus que mes fonctions ! Je pense qu’une personne ou stagiaire du département Mode serait plus apte que moi pour cette mission. » Tu soupires, alors qu’une nouvelle fois tous les regards se tourne vers toi. Qu’est-ce qu’ils ont tous encore ?! A croire que tu n’as plus le droit de prononcer un mot, tu veux bien faire un effort pour essayer de t’effacer et leur laisser leur boulot mais s’ils continuent à te faire les gros yeux ou se montrer offusqués à chaque fois que tu oses ouvrir la bouche, tu ne les prendras plus en pitié. Mais quand même penser que tu pourrais travailler sur la collection du prochain numéro du magazine, te rends tout excité. Tu ne sais pas vraiment pourquoi ce privilège t’es réservé et encore moins pourquoi Min Ho est celui à te le donner alors qu’il n’est le porte-parole du grand patron. Tu hausses un sourcil, alors que tu ne peux t’empêcher de poser la question à haute voix. « Puis surtout, tu n’es qu’un stagiaire, cette décision ne t’appartient pas non ? » Ce que tu as aussi relevé c’est que personne n’a bronché, à leur place tu te serais simplement offusquer qu’un bon à rien de stagiaire prenne des décisions qui ne sont pas de son pouvoir, d’autant plus pour confier des tâches importante à une autre petite stagiaire. Mais pour ces gens, pas de soucis. Il y a quelque chose de bizarre qui se passe ici, quelque chose de vraiment bizarre et tu as bien l’intention d’en découvrir le fin mot avant que la réunion ne se termine.
tenue + Probablement pour se venger, le jeune homme décide bien de cracher le morceau sur les auteurs des croquis que l’assemblée tient dans ses mains. Tu lui balances un regard des plus noirs, tandis que tous les visages et leurs regards se tournent vers toi. Toi, simple petite stagiaire, bon nombre d’entre eux doivent te maudire intérieurement. Pour tenter de calmer leur esprit, tu esquisses un sourire, hochant la tête. Mais les mots de Min Ho ne s’arrêtèrent pas un la simple annonce de ta participation au croquis, mais par l’annonce que tu travaillerais sur la collection avec lui. Tu lâches un petit rire nerveux, cette fois c’est certain tu dois être la stagiaire la plus détesté de toute les petites stagiaire qui ont du te précéder. Il y a cependant une chose que tu as constaté, c’est que tu n’as jamais donné ton accord pour ça, bien évidemment tu serais folle de refuser une telle mission, mais histoire de faire retomber la tension caché de faux sourires, tu lances à ton collègue préféré. « Yah ! Je suis du département Marketing et ça outrepasse plus que mes fonctions ! Je pense qu’une personne ou stagiaire du département Mode serait plus apte que moi pour cette mission. » Tu soupires, alors qu’une nouvelle fois tous les regards se tourne vers toi. Qu’est-ce qu’ils ont tous encore ?! A croire que tu n’as plus le droit de prononcer un mot, tu veux bien faire un effort pour essayer de t’effacer et leur laisser leur boulot mais s’ils continuent à te faire les gros yeux ou se montrer offusqués à chaque fois que tu oses ouvrir la bouche, tu ne les prendras plus en pitié. Mais quand même penser que tu pourrais travailler sur la collection du prochain numéro du magazine, te rends tout excité. Tu ne sais pas vraiment pourquoi ce privilège t’es réservé et encore moins pourquoi Min Ho est celui à te le donner alors qu’il n’est le porte-parole du grand patron. Tu hausses un sourcil, alors que tu ne peux t’empêcher de poser la question à haute voix. « Puis surtout, tu n’es qu’un stagiaire, cette décision ne t’appartient pas non ? » Ce que tu as aussi relevé c’est que personne n’a bronché, à leur place tu te serais simplement offusquer qu’un bon à rien de stagiaire prenne des décisions qui ne sont pas de son pouvoir, d’autant plus pour confier des tâches importante à une autre petite stagiaire. Mais pour ces gens, pas de soucis. Il y a quelque chose de bizarre qui se passe ici, quelque chose de vraiment bizarre et tu as bien l’intention d’en découvrir le fin mot avant que la réunion ne se termine.
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Ven 3 Juil 2015 - 20:35 Citer EditerSupprimer
tenue +Je ne relevais même plus le regard noir que Kong Mee me lançait. Ce n’était pas le premier, et n’était sans doute pas le dernier vu ce qu’il l’attendait. Au lieu de réagir comme elle le faisait, elle devait s’engouffrer dans la brèche que je lui offrais. Je croyais en son potentiel mais si elle ne me laissait pas l’aider, elle allait finir son stage en simple stagiaire. J’essayais de provoquer des événements qui lui permettraient de se faire un peu d’expérience, mais c’était à croire qu’elle les refusait toutes en me contredisant sans cesse. Je sentais que si un jour je l’encagerais ici, ce serait un bon élément, mais qu’elle serait dure à tenir en place avec un tel tempérament de feu. Les têtes qui se tournèrent vers elle étaient plus étonnées qu’elle puisse contrer une de mes décisions au lieu de saisir la chance qu’on lui proposait. Je haussais les épaules à ses dires. « Et ? S’il n’y a que cela qui te gêne, tu seras transférer au département de mode. » Ce n’était franchement pas un problème. Cela faisait un moment que j’avais en tête de monter ma propre ligne de vêtement. Un caprice de gosse de riche allez-vous me dire. Pas vraiment. Je travaille pour gagner mon pain. Je suis le PDG d’un magazine de mode réputé. J’ai un don pour le dessin que peu de gens connaissent. Et je réfléchis à ce projet depuis un petit moment maintenant. J’ai commencé à monter mon équipe en recrutant des gens, pas forcément avec un cv, mais en les rencontrant dans la rue, en voyant un éventuel potentiel chez eux. Comme j’avais vu un mannequin en Lim Bo Bae, je voyais une marketing en Kong Mee, et je la voulais dans mon équipe, mais à ce rythme-là, j’allais finir par l’y enrôler de force. Je soulève un sourcil surpris quand elle dit haut et fort que je n’avais aucunement le droit de prendre ce genre de décision. Dans le fond, elle n’avait pas tort, mais elle ne savait pas que j’étais le patron de cette entreprise. Un actionnaire perdit patience et se leva, lançant une réplique sanglante avant même que je puisse intervenir. « C’est toi la petite insolente ! Tu ne cesses de parler, remettant tout ce qui est dit en cause ! De quel droit tu te permets de parler ainsi à monsieur Kang ? » Je fus surpris par cette intervention, mais je repris vite mes esprits m’approchant du vielle homme en, posant une main sur ses épaules. « Calmez-vous Monsieur Choi. Ce n’est rien. Je vous en prie, ne vous surmenez pas. » Le vielle homme était de la vieille école, il était très pointilleux sur le respect. Il montait rapidement quand il s’agissait de ce sujet, mais il devait de trop s’énerver. Atteint d’un cancer, il se fatiguait vite. Contrairement à ma sœur, j’avais sympathise avec le personnel et savais les points importants à connaitre sur tout ceux ici présent. Elle était la dictatrice, j’étais le côté humain. Je l’aidais à se rassoir avant de me tourner vers la jeune femme. « Si ma décision te déplait, je peux aller trouve le PDG pour lui demander son avis et te rapporter une feuille signée comme preuve. » Je ne savais combien de temps j’allais encore pouvoir lui cacher la vérité à ce rythme-là.
tenue +Je ne relevais même plus le regard noir que Kong Mee me lançait. Ce n’était pas le premier, et n’était sans doute pas le dernier vu ce qu’il l’attendait. Au lieu de réagir comme elle le faisait, elle devait s’engouffrer dans la brèche que je lui offrais. Je croyais en son potentiel mais si elle ne me laissait pas l’aider, elle allait finir son stage en simple stagiaire. J’essayais de provoquer des événements qui lui permettraient de se faire un peu d’expérience, mais c’était à croire qu’elle les refusait toutes en me contredisant sans cesse. Je sentais que si un jour je l’encagerais ici, ce serait un bon élément, mais qu’elle serait dure à tenir en place avec un tel tempérament de feu. Les têtes qui se tournèrent vers elle étaient plus étonnées qu’elle puisse contrer une de mes décisions au lieu de saisir la chance qu’on lui proposait. Je haussais les épaules à ses dires. « Et ? S’il n’y a que cela qui te gêne, tu seras transférer au département de mode. » Ce n’était franchement pas un problème. Cela faisait un moment que j’avais en tête de monter ma propre ligne de vêtement. Un caprice de gosse de riche allez-vous me dire. Pas vraiment. Je travaille pour gagner mon pain. Je suis le PDG d’un magazine de mode réputé. J’ai un don pour le dessin que peu de gens connaissent. Et je réfléchis à ce projet depuis un petit moment maintenant. J’ai commencé à monter mon équipe en recrutant des gens, pas forcément avec un cv, mais en les rencontrant dans la rue, en voyant un éventuel potentiel chez eux. Comme j’avais vu un mannequin en Lim Bo Bae, je voyais une marketing en Kong Mee, et je la voulais dans mon équipe, mais à ce rythme-là, j’allais finir par l’y enrôler de force. Je soulève un sourcil surpris quand elle dit haut et fort que je n’avais aucunement le droit de prendre ce genre de décision. Dans le fond, elle n’avait pas tort, mais elle ne savait pas que j’étais le patron de cette entreprise. Un actionnaire perdit patience et se leva, lançant une réplique sanglante avant même que je puisse intervenir. « C’est toi la petite insolente ! Tu ne cesses de parler, remettant tout ce qui est dit en cause ! De quel droit tu te permets de parler ainsi à monsieur Kang ? » Je fus surpris par cette intervention, mais je repris vite mes esprits m’approchant du vielle homme en, posant une main sur ses épaules. « Calmez-vous Monsieur Choi. Ce n’est rien. Je vous en prie, ne vous surmenez pas. » Le vielle homme était de la vieille école, il était très pointilleux sur le respect. Il montait rapidement quand il s’agissait de ce sujet, mais il devait de trop s’énerver. Atteint d’un cancer, il se fatiguait vite. Contrairement à ma sœur, j’avais sympathise avec le personnel et savais les points importants à connaitre sur tout ceux ici présent. Elle était la dictatrice, j’étais le côté humain. Je l’aidais à se rassoir avant de me tourner vers la jeune femme. « Si ma décision te déplait, je peux aller trouve le PDG pour lui demander son avis et te rapporter une feuille signée comme preuve. » Je ne savais combien de temps j’allais encore pouvoir lui cacher la vérité à ce rythme-là.
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