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1, 2YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Dim 5 Juil - 19:08
tenue + Tu lèves les yeux au ciel. Tu le comprends de moins en moins, comment peut-il affirmer si facilement que tu pourrais être transférer au département mode du magazine ? Tu ne dis pas que tu détesterais cela, mais bien que ton amour pour la mode ne soit plus à prouver, ton stage ici consiste à améliorer tes compétences dans le marketing, un élément dans lequel tu as des qualifications et pour lequel tu ne doute pas de tes performances et de tes méthodes. D’autant plus que tu aimes cela, tu aimes ce domaine professionnel et te vois pour sûr responsable marketing un jour futur. Alors en plus de lever les yeux au ciel, tu viens frapper doucement ta main contre ton visage, c’est qu’il en viendrait presque à te fatiguer à te donner autant de directives, mais alors que tu remets en cause sa légitimité, une personne autour de la table prends le parole s’adressant directement à toi. Tu dois avouer que ces mots te prennes de court et ne te font pas réellement plaisir à entendre, tu as même clairement du mal à les digérer. D’autant plus que tu ne comprends pas la raison de ceux-ci. Voilà pourquoi ton trop franc-parler vient prendre le dessus sur ta raison. « Vous devriez faire attention à ce que vous dîtes et à qui vous les adressez surtout. Il semblerait que vous ne soyez plus tout jeune, parce qu’il est évident que je ne suis la destinataire de ces mots. A moins que vous deveniez sénile, parce que je me demande sincèrement de quelle manière j’ai pu me montrer insolente ? Le monsieur Kang comme vous l’appelez est un collègue, un simple stagiaire comme moi & par respect par vous et vos petits copains je décide de remettre en cause les décisions de monsieur Kang pour protéger vos boulots, alors qui osez-vous appeler insolente ? » Tu soupires, énervé par les propos de ce vieux crouton. Tu te faite toute petite pour tenter de sauver leur boulot et voilà comment tu te fais remercier. Quel sale con. Le regard que tu lui lances est noir, pour sûr ce monsieur Choi comme l’appelle Min Ho vient de se faire une ennemie. D’ailleurs quand ton brun de collègue reprend la parole, pour s’adresser directement à toi. Tu te contentes de lui répondre un simple. « Fait comme tu veux. » Soulé de la situation qui venait de se passer, pour sûr tu l’étais. Tu avais envie de tout envoyé valser et de quitter cette salle le plus rapidement possible sans oublier de claquer la porte derrière toi. Alors qu’il fasse bien ce qu’il a envie, tu as pour le moment une motivation retombée à zéro.
tenue + Tu lèves les yeux au ciel. Tu le comprends de moins en moins, comment peut-il affirmer si facilement que tu pourrais être transférer au département mode du magazine ? Tu ne dis pas que tu détesterais cela, mais bien que ton amour pour la mode ne soit plus à prouver, ton stage ici consiste à améliorer tes compétences dans le marketing, un élément dans lequel tu as des qualifications et pour lequel tu ne doute pas de tes performances et de tes méthodes. D’autant plus que tu aimes cela, tu aimes ce domaine professionnel et te vois pour sûr responsable marketing un jour futur. Alors en plus de lever les yeux au ciel, tu viens frapper doucement ta main contre ton visage, c’est qu’il en viendrait presque à te fatiguer à te donner autant de directives, mais alors que tu remets en cause sa légitimité, une personne autour de la table prends le parole s’adressant directement à toi. Tu dois avouer que ces mots te prennes de court et ne te font pas réellement plaisir à entendre, tu as même clairement du mal à les digérer. D’autant plus que tu ne comprends pas la raison de ceux-ci. Voilà pourquoi ton trop franc-parler vient prendre le dessus sur ta raison. « Vous devriez faire attention à ce que vous dîtes et à qui vous les adressez surtout. Il semblerait que vous ne soyez plus tout jeune, parce qu’il est évident que je ne suis la destinataire de ces mots. A moins que vous deveniez sénile, parce que je me demande sincèrement de quelle manière j’ai pu me montrer insolente ? Le monsieur Kang comme vous l’appelez est un collègue, un simple stagiaire comme moi & par respect par vous et vos petits copains je décide de remettre en cause les décisions de monsieur Kang pour protéger vos boulots, alors qui osez-vous appeler insolente ? » Tu soupires, énervé par les propos de ce vieux crouton. Tu te faite toute petite pour tenter de sauver leur boulot et voilà comment tu te fais remercier. Quel sale con. Le regard que tu lui lances est noir, pour sûr ce monsieur Choi comme l’appelle Min Ho vient de se faire une ennemie. D’ailleurs quand ton brun de collègue reprend la parole, pour s’adresser directement à toi. Tu te contentes de lui répondre un simple. « Fait comme tu veux. » Soulé de la situation qui venait de se passer, pour sûr tu l’étais. Tu avais envie de tout envoyé valser et de quitter cette salle le plus rapidement possible sans oublier de claquer la porte derrière toi. Alors qu’il fasse bien ce qu’il a envie, tu as pour le moment une motivation retombée à zéro. Invité
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mar 14 Juil - 23:36
tenue +« Pour qui te prends tu, petite peste ? Protéger nos boulots ? Tu te prends pour qui ? Une héroïne de drama ? Tu es depuis que quelques jours, tu ne sais même pas de quoi tu parles ! Tu oses te mêler de ce qui ne te regarde pas ! Obéis, c’est tout ce qu’on te demande ! Nos petits culs n’ont pas besoin d’être protéger par une stagiaire insolente ! » S’emporta de nouveau monsieur Choi. Je ne l’avais jamais vu dans une telle colère. Il s’était relevé, tapant du poing sur la table. Je l’attrapais par les épaules, tentant un massage pour le pousser à se calmer et à se rassoir. Chose peu aisée avec une telle furie en face de soi. N’importe qui aurait pu perdre son sang-froid. Même moi, ma patience jouait au yo-yo, mais Kong Mee avait dépassé les bornes, et il fallait que je le lui fasse comprendre. A peine avais-je frôlé Choi qu’il se tournait vers moi, pointant la stagiaire du doigt. « Monsieur Kang. Si vous ne lui dites pas, je le ferais moi-même. » Je soupirais intérieurement, restant calme en façade alors que je bouillonnais de l’intérieur. « Je ferais le nécessaire, mais par pitié, calmez-vous. » Pour le bien de tout le monde, je levais la réunion. « Nous reprendrons demain quand les esprits se seront adoucis. » avais-je déclaré. Et comme un seul homme, tous les actionnaires se levèrent, sans hésiter à dévisager ou lancer des regards noirs à Kong Mee. J’attendis que tout le monde soit sorti, observant les retardataires qui rangeaient le matériel. Une fois qu’ils furent tous parti, je donnais toute mon attention à Kong Mee, lui jetant un des regards les plus sérieux. Je me levais pour me diriger vers elle et m’appuyais sur le rebord de la table, les bras croisés sur le torse. Je soupirais, ne sachant par où commencer. « Kong Mee … » commençais-je déjà résolu à subir sa colère une fois que je lui aurais dit ce que j’avais à lui dire. « Que tu me parles familièrement ou que tu me cries dessus est une chose, mais que tu manques de respect envers un actionnaire haut placé, même si tu trouves avoir raison, en est une autre. » Je me tournais vers elle, l’air trop sérieux. « Si tu travailles ici un jour, il faudrait mieux pas que tu te mettes à dos des gens influents. Je ne serais pas toujours là pour… » J’avais failli lui dire « pour te couvrir. » J’avais failli vendre la mèche sur mon identité rien qu’avec cette fin de phrase. Il fallait que je fasse plus attention, mais cela devenait de plus en plus compliqué. « Bref, essaye de modérer ton caractère. Tu pourrais te faire des ennemis bien trop tôt. » finis-je par commenter. J’étais certain que sa réaction n’allait plus attendre que j’allais prendre pour mon grade, mais mieux valait moi qu’un des hommes d’affaires présent à la réunion.
tenue +« Pour qui te prends tu, petite peste ? Protéger nos boulots ? Tu te prends pour qui ? Une héroïne de drama ? Tu es depuis que quelques jours, tu ne sais même pas de quoi tu parles ! Tu oses te mêler de ce qui ne te regarde pas ! Obéis, c’est tout ce qu’on te demande ! Nos petits culs n’ont pas besoin d’être protéger par une stagiaire insolente ! » S’emporta de nouveau monsieur Choi. Je ne l’avais jamais vu dans une telle colère. Il s’était relevé, tapant du poing sur la table. Je l’attrapais par les épaules, tentant un massage pour le pousser à se calmer et à se rassoir. Chose peu aisée avec une telle furie en face de soi. N’importe qui aurait pu perdre son sang-froid. Même moi, ma patience jouait au yo-yo, mais Kong Mee avait dépassé les bornes, et il fallait que je le lui fasse comprendre. A peine avais-je frôlé Choi qu’il se tournait vers moi, pointant la stagiaire du doigt. « Monsieur Kang. Si vous ne lui dites pas, je le ferais moi-même. » Je soupirais intérieurement, restant calme en façade alors que je bouillonnais de l’intérieur. « Je ferais le nécessaire, mais par pitié, calmez-vous. » Pour le bien de tout le monde, je levais la réunion. « Nous reprendrons demain quand les esprits se seront adoucis. » avais-je déclaré. Et comme un seul homme, tous les actionnaires se levèrent, sans hésiter à dévisager ou lancer des regards noirs à Kong Mee. J’attendis que tout le monde soit sorti, observant les retardataires qui rangeaient le matériel. Une fois qu’ils furent tous parti, je donnais toute mon attention à Kong Mee, lui jetant un des regards les plus sérieux. Je me levais pour me diriger vers elle et m’appuyais sur le rebord de la table, les bras croisés sur le torse. Je soupirais, ne sachant par où commencer. « Kong Mee … » commençais-je déjà résolu à subir sa colère une fois que je lui aurais dit ce que j’avais à lui dire. « Que tu me parles familièrement ou que tu me cries dessus est une chose, mais que tu manques de respect envers un actionnaire haut placé, même si tu trouves avoir raison, en est une autre. » Je me tournais vers elle, l’air trop sérieux. « Si tu travailles ici un jour, il faudrait mieux pas que tu te mettes à dos des gens influents. Je ne serais pas toujours là pour… » J’avais failli lui dire « pour te couvrir. » J’avais failli vendre la mèche sur mon identité rien qu’avec cette fin de phrase. Il fallait que je fasse plus attention, mais cela devenait de plus en plus compliqué. « Bref, essaye de modérer ton caractère. Tu pourrais te faire des ennemis bien trop tôt. » finis-je par commenter. J’étais certain que sa réaction n’allait plus attendre que j’allais prendre pour mon grade, mais mieux valait moi qu’un des hommes d’affaires présent à la réunion. Invité
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Dim 19 Juil - 16:25
tenue + Non seulement le vieux papy a eu le toupet de s’en prendre à toi sans aucun raison, mais alors que tu lui as prouvé par a + y qu’il a eu tord, voilà qu’il te répond plus énervé que jamais. Tu sens ta colère monté en flèche après les mots qu’il emploie pour te qualifier, il dépasse les bornes, pour qui se prends-t-il sérieusement ? Tu veux bien faire des efforts mais là tu commences à atteindre tes limites, mais alors tu vas pour le remettre à sa place comme il se doit lorsque Min Ho prends les devants pour aller calmer l’énergumène qui ne semble pas retomber en pression. Tu te contiens mais tu sens bien que la goutte d’eau à depuis bien longtemps fait déborder le vase de ta patience, alors avant que la réunion ne prenne une tournure de champs de bataille, ton brun de collègue décide de lever cette dernière pour la reporter à demain. Les plus anciens se levèrent comme un seul homme, les regards noirs lancés contre ta personne fusent, tu ne les comprends pas mais les laisse faire si cela peut les satisfaire. Lorsque le dernier fut parti, le brun vient se rapprocher de toi, affichant un regard pour le moins sérieux, tu viens hausser un sourcil, ne comprenant guère son attitude. Il est vrai que beaucoup de choses mystérieuses l’ont entouré durant cette réunion et les paroles du vieux fou n’ont pas vraiment plaidé sa cause. Alors tu te demandes ce qu’il peut bien te vouloir maintenant et le mystère ne met pas longtemps à être levé et tu dois bien avouer que tu ne le comprends pas plus que le vieux snock de plus tôt. Tu soupires donc, venant même lâché un petit pouffement de rire. « Nan mais tu t’entends là Min Ho ? Sérieux t’es qui ici pour me dire ça ? Jte pensais simple stagiaire mais pour te dire la vérité je commence à me poser de grosses questions à ton sujet… » Tu viens le toiser, sentant ta colère monter au fur et à mesure de tes mots. « Comment tu peux prendre la défense de ce type, alors que je n’ai rien fait putain ! Parce qu’il est un actionnaire et qu’il donne très certainement une grosse somme d’argent au magazine, je dois simplement fermer ma bouche et le laisser m’insulter sans raison ? Je pense que tu m’en demandes trop là ! » Tu viens boire une gorgée d’eau, du verre installer face à toi. Tu pensais que lui pourrait te comprendre, mais au final il n’en est rien. Dire que tu es déçu est un bien faible mot. « Je ne m’en fais pas pour mes ennemis, j’aurais simplement pensé pourvoir compter sur mes amis… De toute évidence ce n’est pas le cas. » Tu ne laisses aucun répit au verre d’eau, allant même jusqu’à le terminer d’une traite. Tu en viens alors à te lever. « Je pense que nous n’avons plus grand-chose à nous dire… » Tu portes sur lui un regard mélangeant colère et tristesse, faisant alors volte face pour quitter la pièce.
tenue + Non seulement le vieux papy a eu le toupet de s’en prendre à toi sans aucun raison, mais alors que tu lui as prouvé par a + y qu’il a eu tord, voilà qu’il te répond plus énervé que jamais. Tu sens ta colère monté en flèche après les mots qu’il emploie pour te qualifier, il dépasse les bornes, pour qui se prends-t-il sérieusement ? Tu veux bien faire des efforts mais là tu commences à atteindre tes limites, mais alors tu vas pour le remettre à sa place comme il se doit lorsque Min Ho prends les devants pour aller calmer l’énergumène qui ne semble pas retomber en pression. Tu te contiens mais tu sens bien que la goutte d’eau à depuis bien longtemps fait déborder le vase de ta patience, alors avant que la réunion ne prenne une tournure de champs de bataille, ton brun de collègue décide de lever cette dernière pour la reporter à demain. Les plus anciens se levèrent comme un seul homme, les regards noirs lancés contre ta personne fusent, tu ne les comprends pas mais les laisse faire si cela peut les satisfaire. Lorsque le dernier fut parti, le brun vient se rapprocher de toi, affichant un regard pour le moins sérieux, tu viens hausser un sourcil, ne comprenant guère son attitude. Il est vrai que beaucoup de choses mystérieuses l’ont entouré durant cette réunion et les paroles du vieux fou n’ont pas vraiment plaidé sa cause. Alors tu te demandes ce qu’il peut bien te vouloir maintenant et le mystère ne met pas longtemps à être levé et tu dois bien avouer que tu ne le comprends pas plus que le vieux snock de plus tôt. Tu soupires donc, venant même lâché un petit pouffement de rire. « Nan mais tu t’entends là Min Ho ? Sérieux t’es qui ici pour me dire ça ? Jte pensais simple stagiaire mais pour te dire la vérité je commence à me poser de grosses questions à ton sujet… » Tu viens le toiser, sentant ta colère monter au fur et à mesure de tes mots. « Comment tu peux prendre la défense de ce type, alors que je n’ai rien fait putain ! Parce qu’il est un actionnaire et qu’il donne très certainement une grosse somme d’argent au magazine, je dois simplement fermer ma bouche et le laisser m’insulter sans raison ? Je pense que tu m’en demandes trop là ! » Tu viens boire une gorgée d’eau, du verre installer face à toi. Tu pensais que lui pourrait te comprendre, mais au final il n’en est rien. Dire que tu es déçu est un bien faible mot. « Je ne m’en fais pas pour mes ennemis, j’aurais simplement pensé pourvoir compter sur mes amis… De toute évidence ce n’est pas le cas. » Tu ne laisses aucun répit au verre d’eau, allant même jusqu’à le terminer d’une traite. Tu en viens alors à te lever. « Je pense que nous n’avons plus grand-chose à nous dire… » Tu portes sur lui un regard mélangeant colère et tristesse, faisant alors volte face pour quitter la pièce. Invité
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mer 26 Aoû - 0:44
tenue +Je soupirais à l’entendre avoir des suspicions sur moi. ca devait bien arriver tôt au tard de toute manière. Je n’allais pas pouvoir éternellement jouer au petit stagiaire et cacher mon rôle de PDG à Kong Mee. Ce n’était pas une idiote. Et les évènements du jour n’avaient pas du arranger les choses. Oh ! Je pourrais bien lui dire qui j’étais réellement, mais je n’en avais aucune envie. J’étais certain, du à mon expérience, qu’elle ne se comporterait plus comme elle le faisait avec moi si elle apprenait cette vérité. La dernière fois, la jeune femme s’excusa mille fois, n’osant plus dire un autre mot en me voyant, ni soutenir mon regard. Notre complicité d’autan avait éclaté en mille morceaux et je me retrouvais avec une poupée dont les gestes étaient calculés au millimètre prêt. Je n’avais aucune envie de revivre cela. Alors je préférais le lui cacher. J’évitais son regard, cherchant apres une excuse tenant la route pour la satisfaire. « Disons que mes parents sont influent ici, du coup, il m’arrive d’abuser de leur autorité et de parler en leur nom. Oui, je suis un sale gosse de riche. Satisfaite ? » Je lui annonçais cela comme si c’était la nouvelle du siècle, alors qu’il n’en était rien. Mes parents n’avaient plus leur mot a dire depuis plus de six mois maintenant, et les employés s’y étaient vite fait. Je la regardais me toiser avant de lui offrir mon plus beau sourire. « Kong Mee. Tu n’as peut être rien fais, mais il est quelqu’un d’influent ici. A ton avis, à qui donneront ils raison en premier ? Un actionnaire, partenaire de confiance depuis des années qui n’a plus de preuve à donner, ou une petite stagiaire passagère dans la grande entreprise ? Crois-moi, c’était une bataille perdue d’avance. » Je haussais les épaules, alors que je m’appuyais contre la table en une position plus relax pour lui faire comprendre que la guerre était terminée. Je la trouvais bien excessive dans ses réactions. Je comprenais qu’elle prenait son travail au sérieux, c’était pour ca qu’elle était ici. C’était tout en son honneur. Mais de là à se battre avec un vieil homme pour avoir le dernier mot, je trouvais qu’elle prenait tout cela bien trop à cœur. Je soupirais en l’entendant me jeter à nouveau la pierre, une petite pique l’air de rien. « C’est pas aussi simple que cela, Kong Mee… » Je la vis alors faire volteface pour me laisser en plan. Je soupirais à nouveau, enfonçant mes mains dans mes poches de costume. « Et ce poste de marketing en stylisme, tu le veux ou non ? » Je la regardais intensément, attendant sa réponse. Attention Kong Mee, c’est la dernière fois que je te le demande. Si tu ne sais pas saisir les opportunités quand elles s’offrent à toi, on allait avoir du mal à continuer à travailler ensemble. Et il me faudrait trouver quelqu’un d’autre pour occuper le poste que je te voyais déjà occuper dans mon projet… ce serait dommage.
tenue +Je soupirais à l’entendre avoir des suspicions sur moi. ca devait bien arriver tôt au tard de toute manière. Je n’allais pas pouvoir éternellement jouer au petit stagiaire et cacher mon rôle de PDG à Kong Mee. Ce n’était pas une idiote. Et les évènements du jour n’avaient pas du arranger les choses. Oh ! Je pourrais bien lui dire qui j’étais réellement, mais je n’en avais aucune envie. J’étais certain, du à mon expérience, qu’elle ne se comporterait plus comme elle le faisait avec moi si elle apprenait cette vérité. La dernière fois, la jeune femme s’excusa mille fois, n’osant plus dire un autre mot en me voyant, ni soutenir mon regard. Notre complicité d’autan avait éclaté en mille morceaux et je me retrouvais avec une poupée dont les gestes étaient calculés au millimètre prêt. Je n’avais aucune envie de revivre cela. Alors je préférais le lui cacher. J’évitais son regard, cherchant apres une excuse tenant la route pour la satisfaire. « Disons que mes parents sont influent ici, du coup, il m’arrive d’abuser de leur autorité et de parler en leur nom. Oui, je suis un sale gosse de riche. Satisfaite ? » Je lui annonçais cela comme si c’était la nouvelle du siècle, alors qu’il n’en était rien. Mes parents n’avaient plus leur mot a dire depuis plus de six mois maintenant, et les employés s’y étaient vite fait. Je la regardais me toiser avant de lui offrir mon plus beau sourire. « Kong Mee. Tu n’as peut être rien fais, mais il est quelqu’un d’influent ici. A ton avis, à qui donneront ils raison en premier ? Un actionnaire, partenaire de confiance depuis des années qui n’a plus de preuve à donner, ou une petite stagiaire passagère dans la grande entreprise ? Crois-moi, c’était une bataille perdue d’avance. » Je haussais les épaules, alors que je m’appuyais contre la table en une position plus relax pour lui faire comprendre que la guerre était terminée. Je la trouvais bien excessive dans ses réactions. Je comprenais qu’elle prenait son travail au sérieux, c’était pour ca qu’elle était ici. C’était tout en son honneur. Mais de là à se battre avec un vieil homme pour avoir le dernier mot, je trouvais qu’elle prenait tout cela bien trop à cœur. Je soupirais en l’entendant me jeter à nouveau la pierre, une petite pique l’air de rien. « C’est pas aussi simple que cela, Kong Mee… » Je la vis alors faire volteface pour me laisser en plan. Je soupirais à nouveau, enfonçant mes mains dans mes poches de costume. « Et ce poste de marketing en stylisme, tu le veux ou non ? » Je la regardais intensément, attendant sa réponse. Attention Kong Mee, c’est la dernière fois que je te le demande. Si tu ne sais pas saisir les opportunités quand elles s’offrent à toi, on allait avoir du mal à continuer à travailler ensemble. Et il me faudrait trouver quelqu’un d’autre pour occuper le poste que je te voyais déjà occuper dans mon projet… ce serait dommage. Invité
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Re: YOU'RE REALLY WEIRD TODAY ft Min Ho | Mer 26 Aoû - 22:01
tenue + Des mots, encore des mots, toujours des mots. Bien sûr tu entends ce qu’il te dit, mais tu n’arrives pas l’accepter. La raison ? Si les choses avaient été inversé, tu l’aurais soutenu, certes pas à cent pour cent, mais soutenu quand même. Tu aurais pris le temps de comprendre ses motivations, tout en comprenant que la situation est délicate contenu de la positon de son interlocuteur. Ce qu’il n’a absolument pas fait, le seul truc que tu peux voir à présent en le regardant, se sont deux énormes signes de dollars dans les yeux. Donc oui, tu n’arrives vraiment pas à le digérer malgré ce qu’il peut avancer comme arguments. Tu en viens d’ailleurs à te lever pour quitter la pièce, ne supportant plus guère cette ambiance et sa présence. Mais, avant que tu ne passes le pas de la porte, la voix de l’homme se fait de nouveau entendre. Il était donc réellement sérieux pour ce poste ? Tu viens donc te stopper dans ton élan, et vient prononcer un faible : « Oui… » Comment pourrais-tu refuser cette offre, il faudrait que tu sois folle pour ça. Certes tu lui en veux, mais tu n’en es pas devenu bête pour autant. Bien sûr que tu veux ce poste, il te permettra de d’allier les deux choses que tu apprécies le plus : le marketing et la mode. De plus, à travers cela, il te montre la confiance qu’il te porte, ce qui dans le fond te réconforte un peu. Tu sens utile et un peu précieuse, mais bien qu’un tas de questions te ronge, tu ne viens dire, ni rien montrer. Tu restes simplement statique dos à lui. Pour autant tu n’en oublies pas une chose, pourquoi est-il celui qui te fait cette offre ? Cela ne devrait-il pas découler de ton maitre de stage, qui n’est assurément pas Min Ho ? Tu secoues la tête, trop de questions en suspens, ce qui t’énerves presque autant que la scène qui s’est produite quelques minutes plus tôt, mais ta trop grosse fierté, te pousse vers la porte de sortie. Elle te le dit, de ne pas le laisser s’en sortir simplement parce qu’il te propose un poste qui fait rêver. Il t’a blessé, alors tu ne peux pas, te montrer toute docile et bien gentille simplement pour ça. Alors, oui, sans mots tu quittes définitivement la salle de réunion, pour rejoindre l’ascenseur, te menant directement à ton petit bureau, situé dans un immense open-space. Ce n’est qu’une fois assise, face à ton écran, que tu laisses échapper un gros : « YES ! » de soulagement et de joie, retrouvant ton sourire, légèrement perdu quelques instants auparavant. Une expression de joie, qui vient surprendre certains de tes collègues et en faire rire d’autres.
tenue + Des mots, encore des mots, toujours des mots. Bien sûr tu entends ce qu’il te dit, mais tu n’arrives pas l’accepter. La raison ? Si les choses avaient été inversé, tu l’aurais soutenu, certes pas à cent pour cent, mais soutenu quand même. Tu aurais pris le temps de comprendre ses motivations, tout en comprenant que la situation est délicate contenu de la positon de son interlocuteur. Ce qu’il n’a absolument pas fait, le seul truc que tu peux voir à présent en le regardant, se sont deux énormes signes de dollars dans les yeux. Donc oui, tu n’arrives vraiment pas à le digérer malgré ce qu’il peut avancer comme arguments. Tu en viens d’ailleurs à te lever pour quitter la pièce, ne supportant plus guère cette ambiance et sa présence. Mais, avant que tu ne passes le pas de la porte, la voix de l’homme se fait de nouveau entendre. Il était donc réellement sérieux pour ce poste ? Tu viens donc te stopper dans ton élan, et vient prononcer un faible : « Oui… » Comment pourrais-tu refuser cette offre, il faudrait que tu sois folle pour ça. Certes tu lui en veux, mais tu n’en es pas devenu bête pour autant. Bien sûr que tu veux ce poste, il te permettra de d’allier les deux choses que tu apprécies le plus : le marketing et la mode. De plus, à travers cela, il te montre la confiance qu’il te porte, ce qui dans le fond te réconforte un peu. Tu sens utile et un peu précieuse, mais bien qu’un tas de questions te ronge, tu ne viens dire, ni rien montrer. Tu restes simplement statique dos à lui. Pour autant tu n’en oublies pas une chose, pourquoi est-il celui qui te fait cette offre ? Cela ne devrait-il pas découler de ton maitre de stage, qui n’est assurément pas Min Ho ? Tu secoues la tête, trop de questions en suspens, ce qui t’énerves presque autant que la scène qui s’est produite quelques minutes plus tôt, mais ta trop grosse fierté, te pousse vers la porte de sortie. Elle te le dit, de ne pas le laisser s’en sortir simplement parce qu’il te propose un poste qui fait rêver. Il t’a blessé, alors tu ne peux pas, te montrer toute docile et bien gentille simplement pour ça. Alors, oui, sans mots tu quittes définitivement la salle de réunion, pour rejoindre l’ascenseur, te menant directement à ton petit bureau, situé dans un immense open-space. Ce n’est qu’une fois assise, face à ton écran, que tu laisses échapper un gros : « YES ! » de soulagement et de joie, retrouvant ton sourire, légèrement perdu quelques instants auparavant. Une expression de joie, qui vient surprendre certains de tes collègues et en faire rire d’autres. Contenu sponsorisé
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