(contre attaque jaune) if we burn, you burn with us
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(contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar - 22:19 Citer EditerSupprimer
if we burn, you burn with usgumi family
if we burn, you burn with us ✻✻✻ « Ouvre la bouche encore une fois et je te jure que je repeins les murs avec ta cervelle. » C’était toujours comme ça que Reeva adressait la parole à son président. Aucun respect particulier pour lui : dès le début, il s’était imposé comme étant son soumis officiel, et pas franchement le leader rêvé. Toutefois, il était parvenu à attendrir la blondasse frigide puisqu’elle n’avait jamais mis ses menaces à exécution, et ça, c’était beau. Ca lui plaisait presque, de faire équipe avec le nain (et Kalyani, puisque l'un n'allait pas sans l'autre, semblait-il). Tous les trois, ils s’étaient dévoués pour bouger à l’entrepôt afin de récupérer le poney nain malencontreusement capturé par les wonsungis. Bok et Kaly, parce qu’ils étaient les figures emblématiques de la fraternité, Reeva, parce qu’elle avait l’entrainement et les ressources nécessaires pour leur sauver la vie en cas d’embuscade des jaunes. Pour l’occasion, elle avait (mais pas que) volé l’arme fétiche de son frangin, histoire de le souler un peu, forcément. Desert Eagle. Mais elle savait qu’il n’était pas en reste, lui qui était resté au dortoir avec la majorité des bleus (Li Wei la merveilleuse et Min Ho le fabuleux en première ligne) afin de protéger la troupe, le cirque, le zoo, bref, le nombre incalculable d’animaux restants. Vouloir éloigner tous les bleus du dortoir, c’était louche, les gumihos avaient été unanimes là dessus. « Fais attention, c’est dangereux ». La mafieuse italienne venait en effet de placer une arme dans les mains de son président, simple précaution. Elle avait beaucoup hésité sur le choix de cette arme, et les autres renards lui avaient donné tout plein d’idées : une grenade (trop de risques qu’elle explose sur lui), peut-être un pistolet (pour qu’il fasse comme dans scary movie 4 et s’explose les parties intimes avec, avait dit Renzo), et enfin un pistolet à eau, proposition de Li Wei, que Reeva avait trouvée de très bon goût. Ainsi, ils avaient tous les trois débarqué à l’entrepôt indiqué par les jaunes, armée jusqu’aux dents pour Reeva, en train de chercher à comprendre le fonctionnement d’un pistolet à eau vert fluo pour Bokal, et en faisant claquer des pinces à linge pour Kaly (pas un pour rattraper l'autre, sans Reeva...), le tout en possession d’une banane symbolique, histoire de.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar - 22:20 Citer EditerSupprimer
if we burn, you burn with usgumi family
MELON FUCKAAAAA ✻✻✻ J'étais en retard, mais on s'en fout. Je cherchais un truc vraiment badass à me foutre sur le dos pour arriver en mode "im going to kill you all" mais avec des pinces à la linges et une bouteille de vinaigre. Pour une raison ou pour une autre j'ai pensé que ça allait nous être utile. Oui, je sais, c'était vraiment TRES dangereux comme arme, mais rien n'était assez dangereux pour récupérer ce poney dans un état non-lasagnin (contraire d'un poney de type lasagnes). J'étais vraiment boulottée qu'une bande de gus super-crétins aient osé kidnapper notre poney. Que des rageux ces jaunes. Ils étaient tellement pauvres qu'ils ne pouvaient pas se procurer le moindre petit poil de poney ou quoi ? ça me révoltait. Honnêtement. Bref, j'ai pris mon fil de linge avec toutes mes pinces à linge et je l'ai enroulé tout autour de moi (juste le haut, je suis pas assez retardée pour m'empêcher de marcher), je me suis munie de deux bouteilles remplies de vinaigre blanc puis je me suis rendue à l'entrepôt. Les deux gueux avec qui je faisais équipe étaient déjà là. Reeva Mc Kilt, et le Craquos national. Je suis arrivée en slow-motion made in moi, et c'était vraiment badass avec la musique dans ma tête. Si j'avais pu mettre mes bouteilles de vinaigre sur mes boobs comme Katy Perry, je l'aurais fait, pour sûr. Mais pour être honnête j'ai eu peur de choper le cancer du téton, alors je me suis abstenue. Reeva testait mes pinces. Qu'est ce qu'elle pensait ? Que je ne les avais pas testé avant de les amener ? Le combini de la rue d'en face était fiable, ok. Vous êtes sûrs qu'ils vont nous attaquer ? Parce que ça se trouve ils ne comptaient pas nous attaquer et en voyant qu'on est armer ils vont penser qu'on allait les attaquer donc ils vont nous attaquer alors que personnes ne comptait attaquer et à la finale on sera tous attaquer. Et peut-être que LE PONEY FINIRA EN LASAGNES NOM D'UN LEVRIER HONGROIS J'avais re pété un câble. Et quand je m'emportais j'avais l'accent indien qui ressortait. Vous avez déjà entendu un indien parler anglais ? Et bin avec le coréen c'était la même sorte d'hilaritude complète. Je vais les dénoncer en tant qu'associés de Findus, cette bande de Sans-Respect-Pour-Plus-Beau-Que-Soit. Je suis sûre ils sont jaloux du poney. En même temps vous avez vu le poil luisant de la chose ? Vraiment, je suis un génie. Bizarrement j'avais une voix dans ma tête qui me criait de ma la fermer. Elle avait qu'à se la fermer elle-même, d'abord.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar - 22:20 Citer EditerSupprimer
if we burn, you burn with usgumi family
if we burn, you burn with us ✻✻✻ À l'entrepôt, en train de jouer les super héros. « Dis voir Reeva j'ai un truc à te demander. Comment ça se fait que t'as les yeux aussi gros que tes seins ? J'veux dire, t'as forcément fait un truc non ? Parce que quand je compare à Kaly... » « Ouvre la bouche encore une fois et je te jure que je repeins les murs avec ta cervelle. » Je l'ai regardé, outré. Je me sens d'humeur assassine, si c'était mon genre, je l'aurais certainement torturé en m'amusant à casser des spaghettis devant ses yeux, riant tel le bossu. Mais comme je n'en avais pas sous la main, je me suis contenté de couiner en baissant la tête. Il faut dire que depuis quelque temps, je me sentais plus bas que le vermisseau. Quand je repensais au message que ce trouduc de Takuya m'avait envoyé... Je vous assure que mon nerf n'avait jamais autant fait sa pelote. Autant les verts auront ce qu'ils méritent plus tard... Mais les jaunes... Ils avaient osé s'attaquer à notre ferme!! Je me suis arrêté de marcher pour respirer un bon coup. « Aujourd'hui est un grand jour.» Cramponnez-vous bien dans votre fauteuil chers rpspéctateurs, car aujourd’hui vous allez vivre une scène historique, incroyablement tirée par les cheveux certes, mais tout de même extraordinaire. Aujourd'hui, et grâce à notre courage, les Gumihos allaient récupérer leur poney. « Fais attention, c’est dangereux » et voilà comment sans comprendre pourquoi j'me retrouve avec un flingue dans les mains. Je crois que Reeva n'a pas conscience que nous ne sommes pas tous des mafieux. J'observe l'arme pendant que Kaly s'interroge. Je lui met une baffe pour qu'elle reprenne ses esprits. « On s'en fout de savoir s'ils nous attaquent ou pas ! Ils ont volé notre poney ! Au pire, on leur laisse le choix, la mort ou tchitchi !! Au fait, très belles pinces-à-linges.» N'empêche que Reeva avait bien fait de me refiler une arme, j'me sentais tellement puissant. Tellement que j'avais peur de rien ; parfois je m'entrainais même à réagir au moindre mouvement suspect en pointant sûr de moi mon arme dans le vent. « N'ayez pas peur les filles, j'vous couvre !» Soudain, un bruit étrange retentit juste derrière nous. J'ai paniqué, et, sans réfléchir, j'ai balancé le pistolet au loin puis j'ai hurlé un « FUYEEEEEEZ !! » digne de ce nom. Ma jambe droite pivota soudainement pour que je puisse m'y appuyer afin d'effectuer une soudaine ruée vers la sortie. J'avais été tellement vif, et si réactif que mon mouvement était conforme aux possibilités d'un être humain plutôt lent. Hum. Il me semble que je viens tout juste de laisser deux filles sur leur quant-à-elles. Ma conscience et mon courage m'ont quand même permis de faire demi-tour malgré l’affolement général pour aller les chercher. Trop dommage que je ne puisse en sauver qu'une des deux. « Heu heu... Paniquez pas !! » La pression du choix étant trop importante pour mes frêles épaules, j'ai tourné de l'oeil et j'me suis évanoui comme un gland.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar - 23:27 Citer EditerSupprimer
no banana ? lasagna.wonsungi > gumiho
Moeko était assise en tailleur sur le canapé du salon, bien au chaud dans le dortoir des wonsungi. Avec hara près d'elle, elle regardait les caméras installées dans l'entrepôt et reliée en direct sur son ordinateur. En deux trois clic, elle serait diffusée sur l'écran en veille au milieu de l’entrepôt, juste derrière les trois balances. Elle regardait hara avec un peu d'appréhension, et regardait tout autant son téléphone, checkant les sms de ses singes qui eux se rendaient en ninja au dortoir des gumihos. Quand enfin la porte de l'entrepôt s'ouvre sur.. seulement trois renards ?! Moeko râle derrière son ordi et les laisse entrer, toute les caméras en marche, elle ne rate pas une miette de la scène. Elle finis par appuyer sur un bouton après avoir hocher la tête vers hara, et l'écran en s'allumant émit un léger bruit, se qui déclencha une réaction furieuse chez le président des gumiho, ce qui fit mourir de rire la vice présidente des jaunes. regarde le, il fuit comme une tapette en laissant en plan les nanas. Tu me diras à elle deux elles ont carrément plus de couilles que lui. elle laissa sa place à la wonsungi pour qu'elle lance la vidéo au moment venu et se met face à la caméra, fait signe à hara et sourit comme une pétasse enragée ben alors le bokal, tu flippes comme une tapette ? les yeux rivés sur un des écrans qui transmet les caméras de l'entrepôt, elle fait salut de la main en rigolant oui oui, par là. Salut les meufs, elles sont où nos bananes ? J'voit pas les kilos la... vous assurez pas. vous voulez pas revoir votre poney ? elle hausse les épaules et provoque la caméras du regard.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Mer 18 Mar - 20:34 Citer EditerSupprimer
no banana ? lasagna.wonsungi > gumiho
Ha Ra était installée aux côtés de Moeko, les pieds sur le bord de la table basse. Les yeux rivés sur l’écran de l’ordinateur, elles attendaient l’arrivée des gumihos. Et quand la porte s’ouvrit enfin… C’était une blague ? Ils étaient seulement trois ? « C’est quoi ce bordel ? Pourquoi ils sont que trois ? » Lança-t-elle, les sourcils froncés. Non, franchement, ça, ce n’était pas cool du tout pour leurs plans. Mais soit, ils allaient faire avec. Elle jeta un regard à Moeko avant de reposer ses yeux sur l’écran, observant un peu plus en détails l’armada des trois renards. « Mais d’où ils sortent sérieusement ? Elle pense faire quoi avec ses pinces à linge celle-là ? » Dit-elle en riant. Ils étaient vraiment décalés ces types. Déjà, rien que pour avoir l’idée d’avoir un poney dans leur dortoir, fallait avoir un souci au ciboulot… Enfin bref. Voilà maintenant que le président se donnait en spectacle. En le voyant se ruer vers la sortie en laissant totalement en plan les deux filles, Ha Ra éclata de rire et s’écroula sur le canapé en se tenant le ventre. Oh bon sang, c’était quoi cette tapette ? « Non mais c’est pas possible… » Souffla-t-elle en se redressant, retrouvant son calme petit à petit. « C’est pas bien compliqué d’avoir plus de couilles que lui… » Dit-elle en prenant la place que son amie lui laissait. Elle installa l’ordinateur sur ses genoux, prête à lancer la vidéo. Elle leva les yeux vers la jeune femme et attendit son signal. Elle appuya sur la touche, un sourire accroché aux lèvres. « Go ! » Dit-elle en levant son pouce vers sa vice-présidente. Et elle ne put retenir de nouveau son rire quand elle vit le président des renards s’évanouir. Mais quel homme ! La wonsungi posa l’ordinateur sur la table basse. Maintenant que la vidéo était lancée, elle n’était pas obligée de rester devant. Elle s’approcha alors de Moeko, et s’installa à côté d’elle. « Salut les gonzesses ! » Lança-t-elle en les saluant de la main. « Vous voulez que votre poney finisse dans nos assiettes ? » Dit-elle avec un sourire carnassier.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar - 18:37 Citer EditerSupprimer
if we burn, you burn with ussun ji bok, ali kalyani, ise moeko, jung ha ra & armani reeva
if we burn, you burn with us ✻✻✻ Et voilà le président en carton qui s’évanouit, comme de par hasard. La sicilienne le regarde tomber d’un oeil froid, et surtout s’écraser lamentablement sur le sol sale. Ce qu’elle l’aime, ce petit, ça dépasse tout entendement. De son côté, Kaly l’hystérique est enfin parvenue à se calmer et à ne plus parler de findus, de lasagnes, de poney ou de lévrier hongrois. Reeva profite des quelques secondes de calme mises à sa disposition pour souffler ; mais c’est alors que se déclenche un écran, qui bizarrement ne l’avait pas choquée auparavant. S’y tient Moeko, une femme que la blonde connait bien, pour avoir partagé une classe et s’être lancé moult défis ; ainsi qu’une autre wonsungi, Hara, qu’elle ne connait que de nom pour le coup. Quelques blagues au sujet du bokal s’ensuivent, comme toujours, rien de nouveau sous le soleil. Reeva attend, paisible, presque un peu blasée, que les évènements avancent. Pour s’occuper, elle tâte son président du pied, sa manière à elle de tenter de le réveiller et le redresser. On est un Armani où on en est pas un : dans la famille, les réactions réconfortantes et les sentiments, c’est souvent… weird. Voilà enfin Moeko qui balance un truc intéressant : « Salut les meufs, elles sont où nos bananes ? J'vois pas les kilos la... vous assurez pas. Vous voulez pas revoir votre poney ? » Presque instantanément, la seconde Wonsungi embraye : « Vous voulez que votre poney finisse dans nos assiettes ? ». Reeva hausse les épaules : en soi, l’animal qui lui importe le plus reste le sien, un paresseux dégueulasse qui ne fait rien de ses journées. Quoique, le lama de Renzo est pratique, il crache fort et loi. Puis Oti et Mont d’Or ont de la gueule… Elle se décide donc à prendre la parole à son tour, en reprenant la formulation de Moeko : « Salut les meufs, il est où notre poney ? J’le vois pas là… vous assurez pas. Pourquoi vous nous reprochez de ne pas avoir respecté la transaction alors que vous ne l’avez pas fait vous-mêmes ? » A ses côtés, Kaly et ses pinces à linge aident le gus nain à se remettre sur pattes, tandis que la sicilienne lustre son arme, tout en admirant du coin de l’oeil la beauté de Moeko, tant qu’à faire. « Bon, je sais pas vous, mais moi j’ai pas toute la journée. D’autres transactions m’attendent, et autrement plus importantes qu’une querelle d’étudiants. Alors balancez la suite, per favore. Faire sauter l’entrepôt, nous égorger ? Allez-y, mas vite. » Et puis finalement, non. Une Armani n’attend pas, alors Reeva fait déjà demi-tour, jetant un coup d’oeil à Kaly et Bok pour voir s’ils ont besoin d’aide.✻✻✻ CODES © LITTLE WOLF.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar - 21:31 Citer EditerSupprimer
On ne contacte pas l'agence par téléphone, parce que c'est risqué, Louis l'à très vite compris. La visite inattendue de l'irrésistible Bo Won l'avait laissé sans voix : lui qui n'était pas fan des fraternités lorsqu'il était étudiant, cette tigresse lui offrait la chance de sa vie. Tout travail requiert un paiement au sein de l'agence, si bien que l'arrangement était tel qu'ils aviseraient sur place.
La cible ce soir ? Sun Ji Bok et la blanche qui l'accompagne. Bien qu'il ne se connaissent pas personnellement, Louis avait développer au sein de sa scolarité, un profond mépris pour le président bleu qui lui rappelait particulièrement le "Shérif" des jaunes. Quant à la vice-présidente ? Il ne connaissait même pas son visage. Même si l'attaque était orchestrée par des jaunes, c'était pour Bo Won qu'il se déplaçait : Bo Won, une femme bourrée de qualités précieuses selon lui.
Accompagné de son "salarié" et l'un de ses rares amis (son patron étant occupé ailleurs ce soir), Choi Louis s'était amené en tenue de paintball et fusils chargés. Dans son sac à dos, des recharges a profusion et des bonbonnes d'air conditionner pour canarder les renards qu'il considérait comme pris au piège.
Il était loin de se douter que l'un d'entre eux serait armé.
Ayant demandé à la jeune femme de rester a distance avec l'équipement près de la voiture garé à quelques mètres de la route, pour le moment pour ne pas se salir ses belles chaussures. Louis s'était engagé à lui payer une paire de Louboutin si ces derniers recevaient une seule goutte de peinture rose, peinture contenue dans les billes chargeant l'arme qui pointe désormais, dans l'ombre, une silhouette qui se rapproche de la sortie.
Il tourne la tête vers Jax. Ils sont trois à l'intérieur. Peu de temps auparavant, c'est la voix de Moeko qu'il a entendu : il n'a jamais rien eu contre elle, même si cette dernière était trop proche de "son président" à son gout.
Un bref signe de la tête à son compagnon d'arme. Le canon du fusil se lève, la silhouette est assez proche pour être canardé. 3... 2.. 1.
Les billes fusent, touchant à plusieurs reprises Reeva en plein poitrine, se fichant totalement du fait qu'elle n'ait pas de protections, jubilant à l'idée de voir cette dernière recouverte de la peinture représentant la couleur des panthères.
Ce n'est qu'un contrat comme un autre qui permettra à Bo Won de prouver sa force. S'il aimerait bien se présenter, il se contente d'attendre le moment propice pour arrêter de tirer et ouvrir les discussion.
La nuit ne fait que commencer.
Des bruits de pas autour de l'entrepôt. Peu nombreux, certes, mais on dirait presque un commando d'élite qui se dirige vers la position des bleus. L'homme en combinaison de paintball se positionne non loin de l'entrée, jetant un oeil à son acolyte.
On ne contacte pas l'agence par téléphone, parce que c'est risqué, Louis l'à très vite compris. La visite inattendue de l'irrésistible Bo Won l'avait laissé sans voix : lui qui n'était pas fan des fraternités lorsqu'il était étudiant, cette tigresse lui offrait la chance de sa vie. Tout travail requiert un paiement au sein de l'agence, si bien que l'arrangement était tel qu'ils aviseraient sur place.
La cible ce soir ? Sun Ji Bok et la blanche qui l'accompagne. Bien qu'il ne se connaissent pas personnellement, Louis avait développer au sein de sa scolarité, un profond mépris pour le président bleu qui lui rappelait particulièrement le "Shérif" des jaunes. Quant à la vice-présidente ? Il ne connaissait même pas son visage. Même si l'attaque était orchestrée par des jaunes, c'était pour Bo Won qu'il se déplaçait : Bo Won, une femme bourrée de qualités précieuses selon lui.
Accompagné de son "salarié" et l'un de ses rares amis (son patron étant occupé ailleurs ce soir), Choi Louis s'était amené en tenue de paintball et fusils chargés. Dans son sac à dos, des recharges a profusion et des bonbonnes d'air conditionner pour canarder les renards qu'il considérait comme pris au piège.
Il était loin de se douter que l'un d'entre eux serait armé.
Ayant demandé à la jeune femme de rester a distance avec l'équipement près de la voiture garé à quelques mètres de la route, pour le moment pour ne pas se salir ses belles chaussures. Louis s'était engagé à lui payer une paire de Louboutin si ces derniers recevaient une seule goutte de peinture rose, peinture contenue dans les billes chargeant l'arme qui pointe désormais, dans l'ombre, une silhouette qui se rapproche de la sortie.
Il tourne la tête vers Jax. Ils sont trois à l'intérieur. Peu de temps auparavant, c'est la voix de Moeko qu'il a entendu : il n'a jamais rien eu contre elle, même si cette dernière était trop proche de "son président" à son gout.
Un bref signe de la tête à son compagnon d'arme. Le canon du fusil se lève, la silhouette est assez proche pour être canardé. 3... 2.. 1.
Les billes fusent, touchant à plusieurs reprises Reeva en plein poitrine, se fichant totalement du fait qu'elle n'ait pas de protections, jubilant à l'idée de voir cette dernière recouverte de la peinture représentant la couleur des panthères.
Ce n'est qu'un contrat comme un autre qui permettra à Bo Won de prouver sa force. S'il aimerait bien se présenter, il se contente d'attendre le moment propice pour arrêter de tirer et ouvrir les discussion.
La nuit ne fait que commencer.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar - 22:14 Citer EditerSupprimer
Lorsque j'ai reçu le message de Louis qui me disait de venir tout de suite à l'agence et m'expliquer la mission, j'ai commencé à sourire. Encore ses fraternités à la con qui se faisait la guerre. Notre cible est Sun Ji Bok, le président des gumiho. Nous allons donc à l'entrepôt et une fois là-bas nous nous mettons en mode commando. J'ai une combinaison de paintball autant vous dire qu'on se croit en Irak. Je prends de munition et je fais le tour pour pouvoir bien toucher nos cibles. Je me concentre et Louis donne son signal. Je mitraille Kalyani sans aucune pitié. Meuf ou pas meuf, je mitraille puis je vois mon collègue qui touche Reeva sur la poitrine et maintenant je me retourne et je tire dans les jambes de Ji Bok. Normalement, je suis neutre, mais s'il y a de l'argent en jeu, je ne serais pas du tout au milieu. Après tout mon métier, c'est d'aider nos clients. Je me barre en courant pour rejoindre mon colonel pour parler de la suite. On va pouvoir faire un massacre ensemble. Je suis prêt à tout et n'importe quoi. « J'ai tiré sur l'espèce de travelo et le président des gumiho chef, on continue le massacre ? » demandai-je. Je suis satisfait d'avoir pu toucher deux cibles, après tout, j'en ai rien à fiche, je ne connais pas les gumiho, alors autant les fracasser comme il se doit. Je veux réussir cette " mission " et avoir mon argent le plus vite possible. Une fois qu'on aura tout terminé, on pourra être tranquille à se foutre de leur tronche autour d'une bière.
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