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(contre attaque jaune) if we burn, you burn with us
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(contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar 2015 - 22:25 Citer EditerSupprimer
If we burn, you burn with us
De whaaaaaaaaat ?! Ils ont le poney ?! D'où ils ont le poney ? Et putain, ça pue ici. Ils se sont donné le mot ou quoi ? Non mais ça va pas se passer comme ça attend, hors de question, ils s'en sont pris aux mauvais gars ! Non mais et puis quoi encore ?!
The Gumi's
On ne s'attaquait pas à la ferme. La ferme, c'était sacré. Et voilà que deux fraternités s'y étaient mises : les sangos, et les wonsungis. Les sangos, passe encore, ils payeraient en temps voulus. Les wonsun' en revanche ... Ils détenaient notre cher poney nain, et en avait informé notre président et notre vice-présidente. Le pauvre, si jeune (enfin, j'ignore quel âge il a réellement) et déjà confronté à la cruauté des hommes, si ce n'était pas triste ! Toujours était-il que tout gumi que nous étions, nous n'étions pas idiots. Ils nous avaient donné rendez-vous dans un entrepôt, où nous étions censés chacun apporter un kg de bananes. Plusieurs questions s'étaient alors posé : pourquoi un entrepôt ? Bon, ça en vrai, on s'en doutait, ils avaient peur des dégâts que nous pourrions causer, ce qui était une bonne chose en soi. Ensuite, pourquoi un des bananes ? Enfin, en dehors du fait que c'était des singes, pourquoi un kilo ode banane. UN KILO. Genre, ils allaient bouffer je ne sais combien de kilos de bananes ?! Je suis peut-être pas la prochaine prix nobel en math (bien qu'un tel prix n'existe pas, Nobel haïssait les mathématiciens), mais ça faisait quand même beaucoup de bananes. Nous avions donc décrété qu'il s'agissait d'un traquenard. C'est alors que de courageux bleus - Reeva et Ji Bok - s'étaient portés volontaires (à moins qu'on les ait forcé ? Je ne sais plus bien) pour se rendre à l'entrepôt. Le reste des gumihos étaient restés au dortoir, au cas où quelques singes mal intentionnés s'étaient décidé à nous rendre visite. J'étais donc là, sur le qui-vive, entourée de quelques gumihos - dont Renzo et Min Ho -, à surveiller le dortoir. Après la surprise des sangos, autant dire que nous n'étions pas trop d'humeur à recevoir une nouvelle visite surprise. Nous étions fin prêts à défendre nos terres, nom d'un petit guerrier aztèque !
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar 2015 - 22:26 Citer EditerSupprimer
S'en prendre à la ferme, c'est prendre le risque d'éveiller le démon renard. Ils se sont tous mobilisés et ont même fait preuve d'intelligence – chose surprenante pour une bande pareille, dixit quelques badauds. Comme le rendez-vous à l'entrepôt sent le piège à plein nez, seuls trois renards vont s'y rendre, tandis que les autres surveilleront (protégeront) le dortoir. Dans le groupe du dortoir, Renzo s'impatiente. Pourtant, il est frustré : les renards n'ont pas adhéré à son idée totalement radicale qui consistait à lâcher des bombes sur le dortoir des singes. Il paraît que c'est beaucoup trop extrême et flippant. Alors que c'est simplement un plan basique d'Armani, tel que son père lui a appris, il ne voit absolument rien de dérangeant là-dedans. Sauf que les individus lambdas et les mafieux n'ont pas la même conception du dérangeant... Et même frustré, il a quand même adhéré à ce plan, mais avec ses conditions : qu'il garde ses armes, parce qu'il ne faut pas pousser mémé dans les orties. Même s'il n'est pas certain de s'en servir, l'important c'est de défendre les renards et d'effrayer l'adversaire. « Tu veux la tenir ? » Demande-t-il à Liwei en lui tendant une deuxième desert eagle, sa deuxième arme fétiche. La première, à l'heure actuelle, est entre les mains du président – inutile de préciser que Renzo est certain de ne pas retrouver son arme après cette attaque. Reeva, quelle pute, pense-t-il, en sortant une autre arme du sac pour la nettoyer avec un torchon. Chacun occupe un poste particulier, certains surveillent les fenêtres, d'autres les différents étages ; lui, il a directement pris place près de la porte principale. Après tout, les singes ont été beaucoup trop louches avec cette attaque, les renards sont persuadés qu'il se passera quelque chose au dortoir. Et même s'il ne se passe rien, au moins ils se seront tous mobilisés pour protéger leur fraternité.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar 2015 - 22:26 Citer EditerSupprimer
Je ne comprenais pas bien tout ce qui se passait dans cette université, avec ces guerres de fraternités, les coups bas qui se faisaient par ci par là. J’étais du genre pacifiste et à m’entendre avec tout le monde. Pourtant, ca ne m’enchantait guère que l’on s’en prenne à des animaux. Même si cette fois, on ne s’attaquait pas à la ferme entière, mais juste à un petit nain sans défense. Ce n’était pas mon animal, mais c’était l’ami de Mont d’or, mon loup blanc –plutôt vert, suite à la dernière attaque en vigueur, j’avais du mal à retirer cette couleur de vomi de son beau pelage polaire-qui se tenait en ce moment, à mes côtés. Il était à l’affut, comme il le fessait quand il était en chasse. Il était prêt à attaquer en cas d’intrusion dans notre dortoir. Je plaignais celui qui se prendrait un coup de dents dans le fessier. Je piétinais sur place d’impatience. C’était nouveau pour moi, et d’une certaine manière, j’étais excité comme une puce de participer à ce genre d’évènement. J’avais presque qu’envie qu’un singe bondisse sur notre territoire pour qu’on lui fasse la peau et que je puisse déverser toute ma frustration accumulée ces derniers jours sur lui. Je secouais la tête pour éloigner toutes ces ondes négatives de moi. Puis, je reportais mon attention vers mes coéquipiers et Ren qui sortait des armes à feux … WTF ? Il se croyait à la guerre du Vietnam ou bien ? « Tu crois vraiment qu’on aura besoin de tout ca ? » Je le fixais de mes yeux tous ronds, donner la première arme qui venait de sortir et la tendre à Li Wei, lui demandant de la tenir. Immédiatement, je lui arrachais des mains, l’éloignant d’elle. « Les princesses n’ont pas besoin de toucher à des choses pareils… elles ont des chevaliers servant pour cela. » Elle aurait beau me regarder avec ses yeux de merle en fris, je ne cèderais pas. Pas cette fois. Pas pour ca. Je secouais la tête de droite à gauche pour essayer de me convaincre moi-même. Je n’étais même pas certain d’être capable de le faire. Je tins le flingue –dont je n’avais aucune idée du nom ou du modèle, une arme était une arme- fermement, la pointant vers le bas, essayant désespérément d’éviter le regard de ma petite princesse.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Lun 16 Mar 2015 - 23:16 Citer EditerSupprimer
Dans l'ombre, les yeux rivés sur sa montre, le président Wonsungi patiente. A l'arrière du bâtiment, prêt à passer à l'action, l'homme jette un coup d’œil à ses compagnons d'armes. Ils ont acceptés de le suivre pour cette opération ninja, plus qu'à espérer que les bleus répondent à la provocation dans cet entrepôt miteux. Cheveux légèrement plus courts depuis l'attaque des Sango, il ne lâche pas son téléphone des mains, attendant de voir le message fatidique de son contact au sud de la ville.
Les minutes passent dans un silence pesant.
Puis, le portable s'allume dans la pénombre. Ils sont là. Le président fronce néanmoins les sourcils. Ils ne sont "que 3" et ils n'ont pas l'air d'avoir une tonne de banane. Il remet son bonnet en place tel un gentleman cambrioleur, lève la main comme tout militaire. Faites attention. Son regard en dit long, car il sait pertinemment que son plan pouvait être percé à jour... Et pourtant... pourtant il se tient près du disjoncteur et coupe le courant tel le voyou qu'il était.
C'est parti. Le signal. C'est l'heure de rendre ces gumiho fous tout en restant discret. Chacun connait sa tâche, chacun sait pertinemment qu'il faut faire l'action dans la plus grande discrétion : personne ne doit savoir qu'ils sont passé. Chacun doit rentrer comme il peut dans le dortoir et ne pas abandonner son binôme.
La revanche des Wonsungis à commencé.
Cage sous le coude, les rongeurs s'animent malgré le tissus qui recouvre les barreaux. Bordel, ils peuvent pas dormir ces choses ? Un coup d’œil à son acolyte, monsieur Grey, le Takugrey est désormais en marche vers l'avant du dortoir. Pas très malin en plomberie mais plutôt habile de ses mains pour crocheter les serrures semblerait-il, le petit brun fait un signe à son cher ami de le suivre avec les rongeurs. Dans sa poche, les feutres phosphorescent rebondissent. La porte grince tandis qu'il s'infiltre à l’intérieur du bâtiment, désormais plongé dans le noir.
Ça semble s'animer là dedans. Couper le courant, c'était peut-être pas la chose à faire, si bien qu'accroupit dans la pénombre, il arrive à percevoir des gus qui semblent patrouiller. Putain, manquait plus que ça, ils sont vraiment pas si cons ! Manquant de lâcher un jurons et surtout prêt de se faire repérer, le Yankee essai de réfléchir. C'est dur putain.
Les rats destinés aux canalisation. Faut les lâcher dans le dortoir. Maintenant. Bonjour la discrétion hein ? Non, ça colle pas. Taku ne veut certainement pas faire comme les verts, si bien qu'il se redresse sans prévenir Téo.
Hey les nazes, parait que y'a pas de bananes. Il soupire, tapant du pieds. Les rats s'animent en entendant le son de sa voix. Faut dire qu'il les a pas mal agacé plus tôt. Du coup, j'suis venu vous montrer que j'étais sérieux. Me voilà ! Il se vend presque, mais il est prêt à prendre les jambes à son cou comme il l'a toujours fait. Putain j'arrive pas à savoir à qui je parle, sérieux votre dortoir c'est de la daube, vous vivez au moyen age ou quoi ? des animaux dans les chambres, vous vous éclairez à la bougie ? Provoquer, attirer l'attention sur lui. Takuya dans toute sa splendeur, sourire provocant au coin des lèvres, il tourne la tête vers Téodor. Si ca coince, il faut qu'il se casse avec les autres...
HRP : j'sais pas quand Téo va poster j'crois qu'il est au ski mais théoriquement il devrait pas tarder :)
j'me suis pas relu chu ko sorry
Les minutes passent dans un silence pesant.
Puis, le portable s'allume dans la pénombre. Ils sont là. Le président fronce néanmoins les sourcils. Ils ne sont "que 3" et ils n'ont pas l'air d'avoir une tonne de banane. Il remet son bonnet en place tel un gentleman cambrioleur, lève la main comme tout militaire. Faites attention. Son regard en dit long, car il sait pertinemment que son plan pouvait être percé à jour... Et pourtant... pourtant il se tient près du disjoncteur et coupe le courant tel le voyou qu'il était.
C'est parti. Le signal. C'est l'heure de rendre ces gumiho fous tout en restant discret. Chacun connait sa tâche, chacun sait pertinemment qu'il faut faire l'action dans la plus grande discrétion : personne ne doit savoir qu'ils sont passé. Chacun doit rentrer comme il peut dans le dortoir et ne pas abandonner son binôme.
La revanche des Wonsungis à commencé.
Cage sous le coude, les rongeurs s'animent malgré le tissus qui recouvre les barreaux. Bordel, ils peuvent pas dormir ces choses ? Un coup d’œil à son acolyte, monsieur Grey, le Takugrey est désormais en marche vers l'avant du dortoir. Pas très malin en plomberie mais plutôt habile de ses mains pour crocheter les serrures semblerait-il, le petit brun fait un signe à son cher ami de le suivre avec les rongeurs. Dans sa poche, les feutres phosphorescent rebondissent. La porte grince tandis qu'il s'infiltre à l’intérieur du bâtiment, désormais plongé dans le noir.
Ça semble s'animer là dedans. Couper le courant, c'était peut-être pas la chose à faire, si bien qu'accroupit dans la pénombre, il arrive à percevoir des gus qui semblent patrouiller. Putain, manquait plus que ça, ils sont vraiment pas si cons ! Manquant de lâcher un jurons et surtout prêt de se faire repérer, le Yankee essai de réfléchir. C'est dur putain.
Les rats destinés aux canalisation. Faut les lâcher dans le dortoir. Maintenant. Bonjour la discrétion hein ? Non, ça colle pas. Taku ne veut certainement pas faire comme les verts, si bien qu'il se redresse sans prévenir Téo.
Hey les nazes, parait que y'a pas de bananes. Il soupire, tapant du pieds. Les rats s'animent en entendant le son de sa voix. Faut dire qu'il les a pas mal agacé plus tôt. Du coup, j'suis venu vous montrer que j'étais sérieux. Me voilà ! Il se vend presque, mais il est prêt à prendre les jambes à son cou comme il l'a toujours fait. Putain j'arrive pas à savoir à qui je parle, sérieux votre dortoir c'est de la daube, vous vivez au moyen age ou quoi ? des animaux dans les chambres, vous vous éclairez à la bougie ? Provoquer, attirer l'attention sur lui. Takuya dans toute sa splendeur, sourire provocant au coin des lèvres, il tourne la tête vers Téodor. Si ca coince, il faut qu'il se casse avec les autres...
HRP : j'sais pas quand Téo va poster j'crois qu'il est au ski mais théoriquement il devrait pas tarder :)
j'me suis pas relu chu ko sorry
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Mar 17 Mar 2015 - 17:38 Citer EditerSupprimer
Takugrey, un binôme qui devait faire ses preuves. S'ils arrivaient à infiltrer les rats dans la plomberie du dortoir c'était gagné. Ils passeraient pour de gros dégelasse sans oublier que ça ferait un bruit de dingue à longueur de temps. Les deux jeunes hommes devaient réussir cette mission. Alors que Takura avait fait péter le disjoncteur, Téo, lui regarda ses acolytes et eut un sourire vicieux en coin. Ils se séparèrent tous à fin de gagner l'endroit qu'ils devaient saccager. Son président s'occupait soigneusement des rats. Il tenait là, la réussite de leur opération. Téo prit donc le soin de crocheter la serrure. Ça, il savait faire. Quand il était plus jeune il aimait infiltrer le bureau de son père et mettre la panique entre les papiers et les objets de décoration. Heureusement, il avait été discret, car en ouvrant la porte, il entendit des bruits de pas. Il passa l'entrée tout en faisant signe au roi des singes de le rejoindre. Les rats allaient certainement faire un vacarme d'enfer comme à leur habitude et les faire repérer. Ils gagnèrent du terrain en avançant accroupi vers le hall. Alors que Téo jeta des coups d'œil un peu partout pour savoir vers où ils allaient passer, il entendit la voix de Takura résonner dans la salle. Il était fou de se faire repérer ? Peut-être voulait-il créer une diversion ? Mais le binôme ne pouvait pas se séparer, Téo était bloqué là, avec le président. Que faire ? Il pencha la tête légèrement sur le côté. Est-ce que les autres l'avaient vu ? Il en doute étant donné qu'il était dans un petit recoin. Sur sa gauche se trouvé l'immense cuisine. Il devait y avoir cinq à dix mètres qui le séparer d'une bouche d'aération, ça devait suffire pour y glisser les rats ? De plus, il était près de Takura si jamais on devait l'attaquer. Le plan Takugrey allait aboutir, je vous le dis ! Entre le temps de réflexion et le passage à l'acte il ne devait pas y avoir plus de cinq minute, sinon il se ferait certainement repérer. Téo ne pouvait pas prendre la cage. C'était trop bruyant. Il prit donc trois rats dans ses mains et il se mit limite à ramper pour qu'on ne l'aperçoive pas. Takura parlé fort et ça arrangé le jeune Foster. Tandis qu'il sortit un tournevis de sa poche un rat lui échappa, pas grave il en avait encore deux. Il dévissa les deux vis du haut en quatrième vitesse et tira la grille vers lui, il y avait assez d'espace pour y faire infiltrer les deux rats restant qui profitèrent de leur liberté pour courir je ne sais où. Téo n'avait pas le temps de refixer la grille. Il mit donc les vis dans les trous et partit sans donner un coup de tournevis. D'une manière inexplicable il "courra" accroupi jusqu’à sa position initiale, alors qu'il allait lui aussi se relever il vit passer deux rats « Putain de merde » s'exclama-t-il. De toute manière, ils étaient repérés, Téo ne pouvait plus se cacher. Il espérait simplement qu'un des rats s'était enfuit dans la bouche d'aération. Au pire, il en restait quelques-uns dans la cage. Il prit place à côté de son acolyte, il ne voulait pas le laisser tomber. De toute façon, ce genre de situation n'effrayait pas le jeune homme, au contraire, ça l'inspirait, puis après l'attaque des verts Téo ne voulait pas laisser son chef seul. Le premier qui essaye de le toucher connaitra le coup-de-poing légendaire de monsieur Foster.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Mar 17 Mar 2015 - 18:57 Citer EditerSupprimer
« Les princesses n’ont pas besoin de toucher à des choses pareils… elles ont des chevaliers servant pour cela. » Dit la réincarnation ratée de Gandhi (Minho), faisant grincer des dents le nord-coréen. « T'y comprends rien à la beauté des armes. » Après tout, les armes, c'est une valeur sentimentale pour lui ; nul n'est un Armani sans un arsenal bien garni. En parlant d'arsenal, dans son sac se trouve une tripotée d'objets de survie qu'il a confectionné pour les renards. Autant se servir de l'avantage d'avoir la mafia sicilienne dans une fraternité. Mais il n'a pas le temps de s'énerver davantage car au même moment se produit une coupure de courant imprévue. Certains bleus quittent leurs postes pourtant imposés à coup de menaces, tandis que d'autres restent calmes. « Ils sont enfin là. Chacun maintient sa position. Attendez mon signal avant de vous dévoiler. » Un clin d’œil à Liwei pour lui souhaiter bonne chance et il lui remet l'arme entre ses mains. Renzo prend la sienne dans sa main droite et une lampe torche dans l'autre. Mais cette dernière n'est pas allumée, comme toutes les lampes que chaque bleu a prise. Ils sont préparés pour cette attaque, ils ne veulent pas être les premiers à sortir de leur cachette. « Hey les nazes, parait que y'a pas de bananes. » La voix parvient jusqu'au salon, faisant grimacer Renzo ; il ne connait pas l'énergumène qui vient de parler. « Du coup, j'suis venu vous montrer que j'étais sérieux. Me voilà ! » Renzo fait un signe de la main aux autres bleus pour qu'ils ne bougent pas, tandis qu'il s'avance à pas de loup – tel Mont d'Or, le roi de leur dortoir, le cousin de Roquefort le renard. « Putain j'arrive pas à savoir à qui je parle, sérieux votre dortoir c'est de la daube, vous vivez au moyen age ou quoi ? des animaux dans les chambres, vous vous éclairez à la bougie ? » Tout près de lui, Renzo lève la lampe et l'allume juste sur le visage de l'intrus. « Salut, dit-il sur un ton particulièrement calme. Tu fais trop de bruits. Ça gêne les animaux. Tu me donnes envie de créer de nouveaux orifices sur ton corps. » Sa lampe éclaire le visage d'un autre étudiant qu'il soupçonne être de mèche avec l'intrus vu les tenues semblables qu'ils portent. De petits cris attirent son attention – des rats, d'après ce que murmure Liwei derrière. Mais Renzo reste de marbre, son regard froid ne quitte pas une seconde les intrus ; les bleus vont les cuire. « C'est gentil d'apporter des rats. » Ajoute-t-il en occupant les convives pour les coincer bien plus facilement. Puis, il lève sa main droite qui tient toujours l'arme, et fait un signe aux autres bleus pour qu'ils se dévoilent. Quand toutes les lampes sont allumées, braquées sur les intrus, les encerclant, il n'y a aucune issue de sortie. « Videz vos poches, leur ordonne-t-il en s'approchant encore plus d'eux. Notre dortoir, nos règles. Vous ne sortirez pas d'ici. »
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar 2015 - 0:56 Citer EditerSupprimer
Tenue ☆ Et voilà. Comme d’habitude c’était la merde atomique au dortoir et ces foutus Jaunes avaient lâchés leur petite bombe en enlevant notre Poney Nain. Tss, dans l’genre vieux thriller des années soixante dix on faisait pas mieux. Genre un kilo de bananes et hop on récupère la bête. Et trois kilos de patates douces ça le fait aussi ou on fait comment ? Ca puait le piège à plein nez et il aurait fallut être carrément trisomique pour ne pas capter leur vulgaire guétapan. Heureusement que l’organisation était reine chez les Gumihos, sans ça ont seraient tous tombés dans le piège en allant se jeter dans la gueule du loup à l’entrepôt. Evidement j’arrivais en retard pour prendre mon poste à cause d’un papi de quatre-vingt dans qui m’était rentré dedans sur la route. Le vieux a voulu me faire un procès parce que ma jupe était trop courte. Nan mais allo on est en 2015 Papi Chulo, réveille-toi. Plus c’est ras les pâquerettes mieux c’est. En plus ça aère et ça évite les humidifications quoi. Bref, j’étais en quête d’une arme quelconque sur le chemin pour aller au dortoir et c’est sur le jardinier de la fac que je tombais. Il avait le dos tourné et j’en ai profité pour lui carotte son râteau dernier cri. J’avoue qu’avec sept ans de KungFu je n’ai pas particulièrement besoin d’une arme pour me défendre m’enfin, on sait jamais, ils sont fourbes ces macaques.
En parlant de macaque, j’arrivais au dortoir le plus discrètement possible en me dirigeant vers la porte principale et j’y aperçu un de mes compatriotes. Renzo si ma mémoire est bonne, le cinglé de service qui se balade avec des desert eagle dans les poches. Des brides de conversations me parvinrent aux oreilles tandis que je m’approche discrètement et la PAF, coupure de courant. Je reconnus la voix de MinHo à travers une autre voix féminine et je m’avançais à pas de loup dans le bâtiment. J’arrivais derrière une scène digne d’un film hollywoodien, quelques bleus dont Renzo entouraient des jaunes dont un qui faisait son petit malin en critiquant nos méthodes de vie. Je retins un petit gloussement et pris mon râteau à deux mains en m’approchant, quittant la pénombre. J’évite de justesse un rat qui passe entre mes jambes et j’en profite pour lui foutre un petit coup de pied. « Putain c’est dégueulasse ces choses. » Je parlais à voix basse, toujours en m’approchant doucement dans le dos des protagonistes, râteau en main. Renzo leur ordonne de vider leurs poches mais mon instinct de survit prend le dessus, je brave le cercle des bleus et envois un coup de râteau dans la tête d’un des jaunes qui n’avait pas dit un seul mot. Celui-ci s’écroula parterre, assommé. Je fis claquer mon râteau parterre en posant une main sur ma hanche. « Bah alors les gars. On attend pas Patrick ? » Je balance mes cheveux derrière mon dos et bombe ma poitrine, prête à tout défoncer. « Z’avez pas entendu les ordres les macaques ? » Dis-je aux Jaunes qui restaient en face.
En parlant de macaque, j’arrivais au dortoir le plus discrètement possible en me dirigeant vers la porte principale et j’y aperçu un de mes compatriotes. Renzo si ma mémoire est bonne, le cinglé de service qui se balade avec des desert eagle dans les poches. Des brides de conversations me parvinrent aux oreilles tandis que je m’approche discrètement et la PAF, coupure de courant. Je reconnus la voix de MinHo à travers une autre voix féminine et je m’avançais à pas de loup dans le bâtiment. J’arrivais derrière une scène digne d’un film hollywoodien, quelques bleus dont Renzo entouraient des jaunes dont un qui faisait son petit malin en critiquant nos méthodes de vie. Je retins un petit gloussement et pris mon râteau à deux mains en m’approchant, quittant la pénombre. J’évite de justesse un rat qui passe entre mes jambes et j’en profite pour lui foutre un petit coup de pied. « Putain c’est dégueulasse ces choses. » Je parlais à voix basse, toujours en m’approchant doucement dans le dos des protagonistes, râteau en main. Renzo leur ordonne de vider leurs poches mais mon instinct de survit prend le dessus, je brave le cercle des bleus et envois un coup de râteau dans la tête d’un des jaunes qui n’avait pas dit un seul mot. Celui-ci s’écroula parterre, assommé. Je fis claquer mon râteau parterre en posant une main sur ma hanche. « Bah alors les gars. On attend pas Patrick ? » Je balance mes cheveux derrière mon dos et bombe ma poitrine, prête à tout défoncer. « Z’avez pas entendu les ordres les macaques ? » Dis-je aux Jaunes qui restaient en face.
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar 2015 - 12:36 Citer EditerSupprimer
Ils étaient chelous ces jaunes quand même. Bon, généralement, c'est des bleus qu'on dit cela, mais là sérieusement : qui aurait l'idée de kidnapper un poney ? Je veux dire, faut être tapé non ? En plus, voilà qu'ils osaient se la ramener dans notre dortoir façon symériens prêts à croiser le fer. Ils ont vraiment cru qu'on était des tapettes ? On allait leur montrer notre façon de penser tiens. Tout à coup, des bruits attirent mon attention. On dirait ... Non... Si ? Des rats ?! C'est une grosse blague ? Je veux dire ... Quand t'as au moins trois neurones en état de marche, tu ramènes pas des animaux en sachant qu'on a une ferme. C'est quoi leur plan, nous faire flipper ? En plus, c'est pas cool de tenir des rats en cage. Vraiment pas.
Takuya se met à parler. Je l'écoute à moitié. Je suis carrément en train d'admirer Renzo pour le coup, lequel m'a rendu une arme après que Minho ait râlé. Na, bien fait pour sa pomme. C'est quoi ce sexisme d'un autre âge selon lequel j'aurais pas droit à une arme ? Les princesses du monde moderne s'appellent Natasha Romanov, et sont sacrément badass d'abord. En tout cas, pour en revenir à Renzo, il me fout les poils. J'aimerais pas être jaune à l'instant, parce que les mecs en mode bg se font prendre à leur propre jeu. À nouveau, je m'interroge sur leurs facultés mentales : s'attaque à une fraternité qui accueille une famille de mafieux ? Ils ont dû manger des bananes avariées ces macaques ... Très vite, mon attention est attirée par la silhouette d'un rongeur qui fuit dans la nuit, un peu comme Nicky Larson. J'en déduis que le complice de Taku-mane (le Sarumane des jaunes, pas le Superman, qu'on se comprenne. Parce que ce qui est cool avec Sarumane, c'est qu'il (attention spoiler) perd à la fin) a foiré en beauté. Je peux pas m'empêcher de lâcher un " Rat ! " digne d'une enfant de trois ans qui découvre le nom des animaux. Pas grave. Tout à coup, pif paf boum, un jaune à terre. Alice faisait une entrée des plus remarquées en assommant le pas-doué-avec-les-rats, initiative que j'applaudis des deux mains " La fête peut commencer ! " C'était sans compter une bestiole qui me courut sur le pied, pour se diriger droit vers ... " Noooooon pas par là y a le chaaaaaaaaaaaaat " Je me mis ainsi à courir pour attraper le rongeur,qui s'avéra être un magnifique rat albinos (bien que visiblement anorexique). Je le tendis à Min Ho, le regardant avec mes yeux de princesse Disney (Cendrillon en l'occurence) " On l'adopte dis ? Je l'appellerai Cortex, et on lui trouvera un copain qu'on appellera Minus ! Dis oui s'il te plaiiiiit " L'attaque ? Oh, j'allais bien finir par m'en souvenir à un moment donné....
Takuya se met à parler. Je l'écoute à moitié. Je suis carrément en train d'admirer Renzo pour le coup, lequel m'a rendu une arme après que Minho ait râlé. Na, bien fait pour sa pomme. C'est quoi ce sexisme d'un autre âge selon lequel j'aurais pas droit à une arme ? Les princesses du monde moderne s'appellent Natasha Romanov, et sont sacrément badass d'abord. En tout cas, pour en revenir à Renzo, il me fout les poils. J'aimerais pas être jaune à l'instant, parce que les mecs en mode bg se font prendre à leur propre jeu. À nouveau, je m'interroge sur leurs facultés mentales : s'attaque à une fraternité qui accueille une famille de mafieux ? Ils ont dû manger des bananes avariées ces macaques ... Très vite, mon attention est attirée par la silhouette d'un rongeur qui fuit dans la nuit, un peu comme Nicky Larson. J'en déduis que le complice de Taku-mane (le Sarumane des jaunes, pas le Superman, qu'on se comprenne. Parce que ce qui est cool avec Sarumane, c'est qu'il (attention spoiler) perd à la fin) a foiré en beauté. Je peux pas m'empêcher de lâcher un " Rat ! " digne d'une enfant de trois ans qui découvre le nom des animaux. Pas grave. Tout à coup, pif paf boum, un jaune à terre. Alice faisait une entrée des plus remarquées en assommant le pas-doué-avec-les-rats, initiative que j'applaudis des deux mains " La fête peut commencer ! " C'était sans compter une bestiole qui me courut sur le pied, pour se diriger droit vers ... " Noooooon pas par là y a le chaaaaaaaaaaaaat " Je me mis ainsi à courir pour attraper le rongeur,qui s'avéra être un magnifique rat albinos (bien que visiblement anorexique). Je le tendis à Min Ho, le regardant avec mes yeux de princesse Disney (Cendrillon en l'occurence) " On l'adopte dis ? Je l'appellerai Cortex, et on lui trouvera un copain qu'on appellera Minus ! Dis oui s'il te plaiiiiit " L'attaque ? Oh, j'allais bien finir par m'en souvenir à un moment donné....
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar 2015 - 13:51 Citer EditerSupprimer
Franchement, je ne comprenais pas comment on en était arrivé là, mais une chose était sûre. C’était qu’on avait bien vu leur plan foireux aussi gros qu’un camion, arriver. Pour la peine, on était bien préparé. Et avoir des mafieux et, des as des arts martiaux dans nos rangs se trouvaient être bien utile dans ce genre de situation. Mais ce qui semblait bizarre, c’était que ces macaques n’étaient venus qu’à deux. Un peu suicidaire comme mission. Enfin, je ne m’inquiétais pas trop, vu qu’on était en surnombre et que d’autres bleus patrouillaient dans les étages. Je fis une moue faussement boudeuse quand Ren offrit une nouvelle arme à LiWei, suite à celle que je lui avais confisquée. Bon, ca passerait pour cette fois, c’était un cas de force majeur ! On était en pleine guerre ! Si je m’attendais à dire cela un jour … pour un gars qui avait eu droit à une dérogation pour ne pas faire son service militaire, je commençais à me dire que ça ne serait pas si mal de passer deux ans dans la boue. A peine avais-je eu le temps de me déplacer pour me mettre en place comme Ren nous l’ordonnait qu’Alice apparut comme une furie, mettant un gars à terre avec son … râteau ? Ça ne m’étonnait qu’à moitié. Alice était imprévisible et je crois que je commençais à m’y habituer depuis le temps. « T’es multifonction enfait ? Fiancée emmerdeuse, garde du corps, chien enragé ? » Plaisantais-je. Parce que oui, malgré qu’elle pouvait m’exaspérer, cette situation où un gumi femelle bat à plat de couture un macaque male, avait de quoi être drôle. Mon attention fut bien vite attirée par Kiwei qui me tentait un rat de type albinos, en me regardant de ses grands yeux de chat suppliant. Je regardais le rat dans les yeux, d’homme à homme pour voir s’il était assez bien pour rentrer dans la vie de ma princesse. Lui aussi me regardait avec des yeux qui demandait clémence. « Pauvre petit gars ! On t’a embarqué dans cette histoire sans te demander ton avis, hein ? Je comprends. » Je hochais de la tête tout en continuant de lancer des coups d’œil vers le président jaune avant lui caresser gentiment la tête du rat « Bienvenue dans la famille, Cortex. » Pendant que Ren et Alice le menaçaient de montrer ce qu’il avait dans les poches, j’en profitais pour le contourner et me rendre à l'endroit où se trouvait le corps inerte de Téo, et aperçus la cage remplie de rats. Agile comme un renard, je l’attrapais d’une main et m’enfuis en arrière avec, avant qu’un quelconque traquenard de me tombe dessus. Mont d’or m’avais suivi à la trace, dans l’ombre, me couvrant. Ce loup savait mieux que quiconque commet fonctionnait une meute. Et c’était cela qu’on était pour lui, on était sa meute. Revenue à ma place initiale je tendis la cage à la cendrillon improvisée du moment. « Tiens, occupes toi d’eux. » Tous les rats se mirent à crier des petits cris de victoires. « C’est ca les gars, vous êtes libres. » Je pointais ensuite mon arme vers takuya pour qu’il fasse ce que l’Armani lui ordonnait. Oui, je pointais l’arme sur lui parce que je ne savais pas ce que je pouvais faire d’autre. Je ne savais même pas comment on s’en servait. Au fait, la sécurité est mise ?
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Re: (contre attaque jaune) if we burn, you burn with us | Jeu 19 Mar 2015 - 16:52 Citer EditerSupprimer
D’une humeur de chien, c’est en murmurant milles et unes promesses de morts lentes et douloureuses à l’encontre de c’fils de chèvre que je dirigeais mes pas prestement, une branche d’arbre à la main –souvenir de c’putain d’arbre- jusqu’au dortoir des Gumiho, celui-là même que j’occupais avec ces frappes à dingues, quelques deux ou trois mois auparavant. A mon grand dam, des restes de cordages encerclant mes poignés, présent du prez des Wonsu ne me faisant pas assez confiance quant à ma loyauté envers cette nouvelle fraternité que j’exigeais d’intégrer, me demandant si j’navais pas un coup dans l’nez de vouloir participer à une énième merde de c’genre. Tch. Comme si j’devais pas en gérer assez, notamment par la faute de Maloe.
Quelques minutes me suffirent afin de me rendre sur le lieu de l’attaque. Humpf. Quand j’pense qu’ils ont volé un poney, une chose d’un ridicule, et, tant à mourir de rire. Lunettes de soleil perchées au dessus de mon crâne, mes pas me conduisent dans l’obscurité, les couloirs seulement éclairés de mon Iphone pour tenter d’éviter d’me prendre un rat entre les pattes. « Videz vos poches. Notre dortoir, nos règles. Vous ne sortirez pas d'ici. » Hum. Ça s’annonce compromis. L’Armani serait de la partie ? Fortement intéressant, presque jouissif. Jamais pu m’le blairer et je me trouvais en parfaite position pour ne plus le lui cacher. Tandis que je me rapprochais du lieu de rendez-vous, un coup porté se fit entendre avant qu’un corps tombe, à en croire le bruit étouffé qui se dégageait « Bah alors les gars. On attend pas Patrick ? Z’avez pas entendu les ordres les macaques ? » Une p’tite nouvelle ? Un peu trop attentive à sa frat’, me semblerait-t-il. Très bleu, à mon goût. Trop. « La fête peut commencer ! » Hum ? « Noooooon pas par là y a le chaaaaaaaaaaaaat » Li Wei : une des seules Gumiho que j’aurais bien envie de plaquer contre un mur et d’baiser jusqu’à l’orgasme. La suite de leur conneries me viennent aux tympans ainsi que la presque adoption des rats, soi-disant devant servir à les faire tourner en bourrique, selon Katô. Échec et mat, mon gars.
Accoudé contre l’embrasure de la porte, les bras croisés tout en laissant pendre de l’une de mes mains la branche qui me servirait pour seule arme, une clope coincée entre mes molaires, c’est pourvu de mon sourire le plus arrogant et sardonique que mes mains s’entrechoques afin d’applaudir cette bande digne de substituts de rambo, sans la matière grise « Hahaha. Bravo ! Quel beau rassemblement, comme c’en est émouvant. Et, je n'suis même pas invité ? J’en aurais presque la larmichette à l’œil » Sortant de l’ombre, je balaye la pièce du regard avant de tordre le poignet de Min Ho afin de lui faire lâcher l’arme entre ses doigts fragiles et inutiles qu’il pointait sur Takuya « Lâche ton arme, le lamasticot ! » Faisant craquer les muscles de ma nuque, j’agite ma branche telle une matraque « Qui sera l’suivant ? »
Quelques minutes me suffirent afin de me rendre sur le lieu de l’attaque. Humpf. Quand j’pense qu’ils ont volé un poney, une chose d’un ridicule, et, tant à mourir de rire. Lunettes de soleil perchées au dessus de mon crâne, mes pas me conduisent dans l’obscurité, les couloirs seulement éclairés de mon Iphone pour tenter d’éviter d’me prendre un rat entre les pattes. « Videz vos poches. Notre dortoir, nos règles. Vous ne sortirez pas d'ici. » Hum. Ça s’annonce compromis. L’Armani serait de la partie ? Fortement intéressant, presque jouissif. Jamais pu m’le blairer et je me trouvais en parfaite position pour ne plus le lui cacher. Tandis que je me rapprochais du lieu de rendez-vous, un coup porté se fit entendre avant qu’un corps tombe, à en croire le bruit étouffé qui se dégageait « Bah alors les gars. On attend pas Patrick ? Z’avez pas entendu les ordres les macaques ? » Une p’tite nouvelle ? Un peu trop attentive à sa frat’, me semblerait-t-il. Très bleu, à mon goût. Trop. « La fête peut commencer ! » Hum ? « Noooooon pas par là y a le chaaaaaaaaaaaaat » Li Wei : une des seules Gumiho que j’aurais bien envie de plaquer contre un mur et d’baiser jusqu’à l’orgasme. La suite de leur conneries me viennent aux tympans ainsi que la presque adoption des rats, soi-disant devant servir à les faire tourner en bourrique, selon Katô. Échec et mat, mon gars.
Accoudé contre l’embrasure de la porte, les bras croisés tout en laissant pendre de l’une de mes mains la branche qui me servirait pour seule arme, une clope coincée entre mes molaires, c’est pourvu de mon sourire le plus arrogant et sardonique que mes mains s’entrechoques afin d’applaudir cette bande digne de substituts de rambo, sans la matière grise « Hahaha. Bravo ! Quel beau rassemblement, comme c’en est émouvant. Et, je n'suis même pas invité ? J’en aurais presque la larmichette à l’œil » Sortant de l’ombre, je balaye la pièce du regard avant de tordre le poignet de Min Ho afin de lui faire lâcher l’arme entre ses doigts fragiles et inutiles qu’il pointait sur Takuya « Lâche ton arme, le lamasticot ! » Faisant craquer les muscles de ma nuque, j’agite ma branche telle une matraque « Qui sera l’suivant ? »
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