Et l'autre, non mais quel connard ce Jonas Brother's et par là, j'entends Renzo, genre le gars il se prend pour le parrain avec ses armes à deux francs six sous et ses ordres qui ne ferait même pas trembler une fillette de cinq ans. Vider leur proche, il croit quoi ? Que les jaunes étaient aussi lâches que les bleus pour avoir des armes et essayer d'intimider l'adversaire avec ? Non les jaunes sont arrivés les poches vides, à l'exception de celles de Taku, d'accord. Le jeune Foster ne pu s'empêcher de rire et alors qu'il allait lui répondre il sentit un énorme coup sur sa tête qui l'assomma et le fit tomber au sol. Le temps de quelques minutes tout se déroula autour de Téo sans qu'il ne se rende compte de ce qu'il se produisait dans la pénombre du dortoir. Une chose sur, cette femelle comme la surnomme Takuya c'était attaqué à la mauvaise personne car une fois réveillé le jeune Foster s'occupera certainement de son cas. Il allait être comme une flèche car quand on commence à envoyer les mains, c'était tout son être (et son âme) qu'il ne contrôlait plus malgré toutes ces années de karaté qu'il avait pu faire, ou tant bien que mal, on avait tenté de lui apprendre à être maître de lui-même, mais impossible, une rage l'habite à ce moment-là et le Téo habituellement sans cœur laisse place au Téo tueur. Heureusement, le tournevis était loin de sa porter car il aurait été capable de le planter dans un de ces bleus dégonflés, car il fallait l'être pour attaquer une personne par-derrière. Ce qui sortit Téo de son inconscience et ce poids immense qui s'affala sur lui. En ouvrant à peine les yeux il eut quelques minutes de réflexion en se demandant où il se trouvait, cette blondasse avait réussi son coup et avait laissé Téo dans le doute absolu. C'est en voyant le visage de Taku et les bleus s'agitaient que tout devenait clair dans sa tête. Il venait de se faire taper par une adversaire. Il prit son acolyte affalé sur lui par le col et lui hurla dessus « JE VAIS TOUS LES NIQUER CES BALEINES DE MERDE » et sans perdre une seconde il poussa le singe sur le côté. Pourquoi s'en prendre à lui alors qu'il n'avait rien fait ? Téo voulait s'assurer que le chef avait bien compris qu'il allait faire un carnage dans ce dortoir et que si personne ne le retenait ce serait une tuerie. Avant de se relever il repensa à la position que Takura avait adopter plus tôt ? Que faisait il au sol ? Lui aussi avait été martyrisé ? Si c'était le cas lui aussi allait être vengé ! « ON TOUCHE PAS AUX SINGES PUTAIN !!!! » Dit-il tout en se relevant. Il tendit sa main à Taku avant de foncer dans le tas et chercher cette fameuse personne qui s'était attaquée à lui auparavant.

Il était une fois, une Maloe qui était en mode posée en cette journée, avec une envie de ne rien puissance 10000... C'est pour cela que j'étais tranquillement assise sur le canapé, devant la téloche... Mais j'avoue qu'au bout d'une heure j'me fais déjà chier et j'espère avoir un message ou un appel de cette tête d'abruti qui me sert de patron. c'est toujours quand j'ai envie d'bouger qui s'magne pas pour m'appeler ce con. J'attend donc patiemment en faisant les cent pas dans mon super nouvel appArt, plus si nouveau qu'sa, mais au bout de cinq minutes, faut l'dire on en a déjà bien fait le tour, sisi j'vous jure, d'un coin à l'autre, tout y passe. J'finis par me dire que bon, j'Pourrais aller faire un tour dehors, mais sans but, c'est pas fun, à croire que j'deviens un bourreau de d'travail... Bon mon taff c'est d'frapper les gens, mais croyez-moi on finit par en tirer une certaine satisfaction, 9a détend c'est mieux que l'yoga... Oui un jour je devrais consulter un psy mais on en est pas encore rendu là, il faudrait que j'admette que j'ai un problème... Mais ça a pas encore atteint le cerveau, enfin bref passons. Alors que j'me creuse les neurones, j'entend la sonnerie de mon téléphone. Je me précipite sur ce dernier et j'vois le num de Kwang aka le p'tit zigwigwi s'afficher. Sans perdre une seconde je réponds. "WESH MA COUILLE, tu t'souviens du flingue que j't'ai offert? Ramène ton cul au dortoir des gumiho avec le flingue en question." "... WESH c'est quoi ton problème, qu'est-ce qui s'passe?" "T'occupes, ramènes ton boule ferme là écoute ton roi et pose pas d'questions." Sur ceux il raccrocha et je pestais deux minutes contre cet abruti qui ne comprenais pas le sens du mot communication et partage d'info, parce que franchement, là.. c'est vague. J'pige que dalle mais bon, j'suis pas fan à l'idée de retourner sur le campus, mais en même temps j'me fais iech alors soit, puis bon, avec Kwang ça sent toujours les emmerdes, je sens la couilles arrivé, quelqu'un a du lui piquer sa plante j'le sens gros comme une maison, alors bien évidemment il appelle sa déesse à l'aide, parce que sans moi il est perdu, pire qu'un gamin j'vous jure et ça va pas en s'améliorant. Enfin bon, j'devrais p'têtre arrêter de le border le soir et de lui chanter des berceuse, mais anyway revenons en à nos moutons, ou nos chèvres ne soyons pas raciste. Sans plus attendre, j'vais dans la chambre et farfouille sous mon oreiller où se trouve le flingue tant attendu par monsieur l'boss... non je n'suis pas parano, mais sait-on jamais. Je l'fourgue dans mon pantalon et j'allais partir quand un sms me dit "Ca a disjoncter, ramène une lampe torche "... Okay c'est d'plus en plus chelou, mais on pose pas d'question et on exécute. Je me rend dans la cuisine où je chope une lampe torche dans un tiroir et sur ce j'me casse de la baraque. J'prend la moto pour me rendre rapidement sur les lieux, ironie j'habite pas très loin, et en roulant à une vitesse légèrement supérieure -oupas- à la vitesse autorisée, j'arrive plus ou moins rapidement. Je descends du véhicule, range le casque et me rend vers l'entrée du dortoir. Sans plus attendre je pénètre à l'intérieur et là je comprends l'intérêt d'avoir une lampe torche, j'allume donc cette dernière et marche sans savoir où j'vais pour retrouver l'autre débile qui m'dit même pas où qu'il est. Finalement après peu de temps, je finis par entendre des voix, ça ressemble à un brouhaha, je sens d'ici le gros bordel. Bon sang qu'est-ce que ce con vient branler ici à la fin? J'entends le bruit de quelque chose qui tombe à terre, je me dirige donc vers cette source et, avec l'aide ma lampe torche j'éclair la scène... Qui ressemble pas à grand chose, y'a des jaunes des bleus et des animaux... Ca ferait un bon titre de chanson. Chose à retenir, défoncer Kwang pour m'avoir amené là alors que j'ai jusqu'à maintenant tout fait pour éviter l'université. En bougeant un peu la lampe, je finis par éclairer un monsieur qui n'avait pas l'air gentil avec un flingue... okay je comprends l'utilité du flingue now. Action réaction comme un bon p'tit soldat je sors l'arme que j'avais ramener et la braque sur celui qui... braque la sienne, monsieur logique bonjour comment allez-vous? "YAHHHHH C'EST QUOI S'BORDEL QUELQU'UN M'EXPLIQUE OU FAUT QUE J'EN DECULOTTE DEUX TROIS HEIN? ". Oui parce que bon j'me retrouve au milieu d'un truc alors que j'sais même pas c'qui s'passe mais j'aime pas ça... Enfin si, si j'peux donner deux trois baffes j'serais contente.

Précision numéro une : la population Gumiho est équipée de lampes torches. Précision numéro deux : la population Gumiho attendait sagement cette attaque. Précision numéro trois : la population Gumiho était donc préparée, notamment des éclaireurs qui vadrouillent dans les couloirs et forcément, avec des lampes torches. Précision numéro quatre : le Renzo est un spécimen étrange, robotique, sans humanité, sans ressenti, ayant la gâchette très facile et des tendances cyclothymiques. Avec l'entrée de la diva Alice, Renzo ne fait preuve d'aucune émotivité quand le râteau attaque l'homme aux rats. Qu'il meurt sous le coup ne lui fait ni chaud ni froid. Il est beaucoup trop concentré sur l'énergumène qu'il a en face. Pourtant, il ne connaît pas son nom mais l'arrogance qui s'en émane ne fait aucun doute : tel que Rivael l'a décrit, c'est le président des jaunes qu'il a capturé. Mais ça ne change rien, un intrus reste un intrus, il faut l'exterminer ; parole d'Armani. Et puis, un autre azimuté se ramène, comme s'ils n'étaient pas déjà assez. Une espèce de grosse blague, tellement que Renzo affiche une grimace de dégoût dès qu'il pose son regard dur sur ledit Kwang Ho. Un véritable traître, vu les antécédents entre les renards et lui. Le problème, c'est que Renzo a plus de sympathie pour le président que pour le traître qui vient d'entrer. Les Armanis ont une méthode radicale pour les traîtres : ils utilisent leur cervelle pour parapher les contrats. Une routine en Sicile. Avec toute cette haine qu'il ressent à son égard, Renzo ne bouge pourtant pas d'un cil. De sa lampe torche, il aveugle les trois individus – un petit rappel qu'ils ne sont pas complètement plongés dans le noir et qu'il n'y a aucun besoin de déchirer son string en cotte de mailles. L'autre traître déblatère des âneries mais tout le monde s'en talque les aisselles de sa venue. En tout cas, le nord-coréen. Qui commence sincèrement à perdre son calme. Pas de génocide, on a dit. Lui avait rappelé Reeva avant de partir à l'entrepôt – la fougue armanienne est difficile à endiguer. Sachant qu'ils ont été élevés pour être... des machines à tuer, sans prétention, juste une stricte vérité. Joie, bonheur, papillons et fleurs.

Silencieux, il écoute d'une oreille la conversation de ses acolytes, tandis que les secondes s'égrènent, se transformant en minutes. La voix irritable du président s'attaque à son système nerveux – il suffirait d'un simple geste pour qu'il tire. Mais Renzo est déconcentré quand le président attrape un bâton pour le balancer au loin. Pas la réaction voulue de la part du loup blanc, pire, il commence à sortir les crocs. Le président attaque, Renzo ne réagit pas. Pourtant, une poudre blanche s'attaque à ses yeux. IL NEIGE DE LA COKE LES GARS. CASSEZ-VOUS. Premièrement, le nord-coréen n'a aucune réaction parce qu'il est insensible et qu'on lui a appris à résister à tout, et honnêtement, il avait connu bien pire comme torture. Deuxièmement, l'autre crétin congénital s'est cassé la gueule. S'ensuit un réveil de la part de l'homme aux rats qui dégage l'autre et qui attaque Alice. Il est encore plus ridicule que le traître, il mérite qu'on lui inocule le virus du SIDA. Note pour plus tard : transmettre le SIDA aux jaunes. Il a énormément de mal à endiguer sa colère et son envie d'en finir au plus vite, il n'a jamais procédé à une affaire aussi longuement. Son flingue braqué sur le président, sa seule cible « importante » dans cette bande. Mais au même moment, une chose non-identifiée apparaît et éructe de façon tout aussi irritable... des mots que Renzo n'a absolument pas écouté. Deux secondes, que ça lui coûte de se retenir et puis il dévie la trajectoire vers la nouvelle venue. Et il tire. Mais la balle passe exprès à côté de la femelle. « La prochaine fois, c'est ta tête que je vise. Retourne jouer avec tes poupées, la gamine. »

J'avais pas envie de rester là, j'm'en battais les cacahuètes de tout ça, moi j'voulais juste qu'on m'file du taff et que j'me fasse de la thune merde quoi c'est pas si compliqué non? Et l'autre il m'appelle pour une attaque jaune contre les bleus, d'après ce que j'ai pu constater. j'sais pas ce qui se passe, si ça va dégénérer ou quoi, mais j'men tape comme de mon premier tampon, j'avais juste envie de rentrer et de les laisser se démerder tous seuls, même si j'avais toujours en moi cette envie d'aider mes potes wonsu. En tout cas, j'allais dire à Kwang que je me cassais, parce que soyons réaliste je comprend rien et j'ai rien à faire là. Mais, ce fut avant que ce p'tit connard de mes deux tire dans ma direction, m'évitant sûrement exprès pour me faire peur. Est-ce que j'ai bouger? Non, pas d'un pouce, et vous savez pourquoi? Parce que ça fait un moment que la peur du danger m'est passée, et qu'au contraire je vais dans le sens de la mort chaque fois que je le peux. Le goût de vivre je ne l'ai plus depuis la mort de Nao Ji, alors si j'meurs ça m'est complètement égale, alors si il veut jouer à ce jeu-là, on va être deux. En plus cette enfoirée ose me traiter de gamine. là s'en ai trop. Mon flingue toujours pointé en sa direction je lui rends l'appareil en lui tirant dessus, l'évitant de justesse, avec un grand sourire. "La gamine elle t'emmerde, et si tu crois qu'tu m'fais peur tu t'met le doigt dans l'oeil, va t'faire voir chez les Grecs ! Vise-moi, qu'est-ce que j'men tape, amuse toi mais crois pas que tu t'en sortiras indemne mon pote.". Voilà comment une situation peut vite dégénérer, amis du soir, bonsoir.