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baby, give it to me.
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baby, give it to me. | Mer 18 Mar - 22:27 Citer EditerSupprimer
give it to me, baby.
minho & lexy
minho & lexy
Tenue ☆ Voilà une journée particulièrement comme une autre, à passer ma matinée à emmerder HyoJin pour un oui ou pour un non au moindre pet de travers. J’estime que lui pourrir la vie fait partie intégrante de mes principes sociaux et encore, c’est peu de le dire. J’ai beau adorer mon demi-frère je n’arrive pas à m’empêcher de faire des conneries. Par exemple ce matin, l’ayant croisé sur le campus je lui est gentiment fait un câlin avant de coller un dessin splendide de pénis dans le dos. Je me demande d’ailleurs s’il l’a découvert et combien de temps il a pu se balader avec sur tout le campus de la Yonsei. En même temps ce n’était pas n’importe quelle dessin de pénis. C’était de l’art pur et dur, je ne fais pas du design pour rien, hum. Bref, après avoir fait ma petite connerie de gamine en herbe, je m’étais décidée à quitter le terrain miné qu’était l’université.
Mon cours de poledance débutait en milieu d’après-midi et malgré la flemme internationale qui s’était emparée de moi, je m’étais enfin décidée à bouger mon royal fessier pour aller jusqu’à la salle de danse ou trônait une rangée de barres métalliques tellement lustrées que je pouvais voir mon reflet dans chacune d’entre elles. J’allais passer les deux prochaines heures à glisser sur l’une d’elles telle une véritable diablesse en tenue de latex. Bon à vrai dire, je portais simplement un mini short en coton et un débardeur pour les entrainements, mais n’empêche que j’en ai, des tenues en latex. C’est plutôt pour les intimes du genre pour un petit striptease dédié à mon fiancé. Même si on en était pas encore arrivés aux petites parties de jambes en l’air quotidiennes ça ne saurait tarder. Il n’allait pas résister à mes charmes de blondasse à forte de poitrine bien longtemps. Oui oui, j’ai une vision très particulière de ma personne. Bref, je passais mon entrainement haut la main non sans envoyer un coup de pied « par inattention » dans les fesses de ma camarade de danse. Qui a dit qu’on faisait mieux le grand écart que moi, hein ?
En revenant de l’entrainement, je passais en vitesse par les dortoirs pour me doucher et mettre une tenue convenable. J’avais une idée bien claire en tête pour aujourd’hui et je ressentais le furieux besoin de boire quelques verres pour me détendre. J’aurais pu faire appel à n’importe quelle personne de mon entourage mais c’est sur le nom de MinHo que mon pouce s’arrêta. J’avais fait défiler au hasard les contacts enregistrés dans mon téléphone et coup de destin je m’étais arrêté sur mon sexy fiancé. Un petit sourire amusé se dessina sur mes lèvres tandis que je lui envoyais un texto.
A : SexyBaby
Hey baby, ici ta chère et tendre fiancée que tu aime à la folie. Tu sais la belle blonde directement importée des US ? Bref, je vais passer au New Génération tout à l’heure et t’a intérêt à ramener ton joli petit cul sinon je me pointe chez toi pour cramer tous tes slips kangourou a deux balles.
But, you know i love you ?
Kiss.
Je balançais mon portable dans mon sac à main avant de passer un coup de lipstick vermeil sur mes lèvres : direction le New Génération pour m’envoyer quelques shooters histoire de m’échauffer un peu les neurones avant l’arrivée de MinHo. Ce que je fit dès mon arrivée en hurlant d’une voix aiguë au barman. « Hey, trois shooters de Jack pour moi s’teuplait. » Je prenais place sagement en face du comptoir et engloutit le premier en balançant ma tête en arrière. Je le reposais bruyamment sur le bar et gémis de plaisir en étirant mes bras au-dessus de ma tête.
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Re: baby, give it to me. | Sam 21 Mar - 0:06 Citer EditerSupprimer
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baby, give it to me.
feat Kim Lexy
Tenue ☆ J’avais décidé que le vendredi serait mon jour de congé. Sans doute allais-je être assaillis d’appels de mon secrétaire pour savoir où j’avais encore posé mon royal fessier qui n’était pas sur la chaise en cuire derrière mon bureau. Mais je m’en fichais. Je commençais franchement à en avoir râle bol. Cela n’avait beau faire à peine quelques mois que j’étais devenu le nouveau PDG de Vogue Korea que je regrettais déjà. Je savais que je devrais diriger ce magazine un jour ou l’autre. Normal, j’en étais l’héritier légal, mais je n’aurais jamais imaginé que ce serait si tôt. J’en avais hérité prématurément à cause de ma chère sœur qui avait une vengeance à assouvir. Je devais être inclus dans celle-ci, mais je crois que j’ai eu de la chance de me réconcilier avec Soo Ah avant qu’elle ne mette son plan à exécution. Mes parents avaient tout perdu, et encore un peu, je suivais le même chemin qu’eux. Ce que j’aurais franchement mérité après ce que je lui avais fait subir lors de l’adolescence. J’étais déjà heureux qu’elle me pardonne mes méfaits. J’étais quand même venue en Corée juste pour la retrouver. Quant aux parents, ils nous font la gueule. Oui, nous, car ils croient que je suis complice alors que pas du tout. Ma sœur savait se débrouiller seule comme une grande. A l’heure actuelle, elle m’avait laissé le magazine, préférant monter sa propre affaire, mais elle gardait tout de même un œil sur sa nouvelle acquisition. De quoi s’assurer que je n’y foute pas trop le bordel. Et dans tout cela, j’avais perdu une partie de ma liberté. Je ne pouvais plus passer mes journées à glander et mes soirées à faire la fête, boire a pas d’heure ou sauter de lit en lit. Les responsabilités étaient rentrées dans ma vie sans que je ne leur demande rien et elles me faisaient bien chier, comme en ce moment. Pour cette raison, je les envoyais paitre en ce jour.
C’était donc sans aucun souci que je commençais ma journée de congé par une grasse matinée bien méritée. Avec la fatigue que j’avais accumulée ces derniers jours, j’en avais bien besoin. Pas de prise de somnifère, le sommeil venait seul et je dormis comme un vrai bébé joufflu. Apres une bonne douche, j’enfilais des vêtements confortables avant de faire un détour par les cuisines pour essayer de choper un croissant ou deux qui resteraient du petit déjeuné. Mon butin en main, je me mis à le manger sur le chemin du retour tout en me décidant enfin à ouvrir mon portable. Comme je m’y attendais, j’avais une panoplie d’appels en absence de mon secrétaire. Je ne pris même pas la peine de les écouter, les supprimer immédiatement. Congé, j’ai dit. Ce n’était pas comme si je ne l’avais pas prévenu. Il a cru que je blaguais ou bien ? Qu’on était le premier avril peut-être ? je haussais les épaules, prêt à ranger l’appareil électronique au fond de ma poche, quand il vibra à nouveau. La Chieuse -avec une majuscule s’il vous plait- apparut sur l’écran en caractère gras. J’hésitais avant d’ouvrir le message : bonne ou mauvaise nouvelle ? Je ne savais jamais sur quel pied danser avec ma fiance. Ma fiancé. Cinq ans que nos parents avaient décidé de lier nos destins sans nos accords respectifs, et cinq ans que je n’arrivais pas à m’y faire. Ce mot me donnait des frissons dans le dos. Fiancé. Comment j’avais pu finir fiancé ? Je finis par appuyer sur le bouton lecture du message. Je faillis éclater de rire. Aimer. Ce verbe avait tendance à me faire fuir. C’était d’ailleurs ce que je faisais avec elle. Je passais mon temps à la fuir comme la peste ou à m’engueuler avec elle, ca dépendait de l’humeur du moment. Etre fiancé était un chose, amoureux en était une autre.
« Laisse mes slips kangourous en paix ! »
Pas de je t’aime. Pas de tu me manques. Pas de cœur. Simple et clair. C’était ainsi que je fonctionnais. Je n’allais pas lui mentir pour lui faire plaisir non plus. En revanche, j’ajoutais que j’arrivais au message. Elle était peut être ma fiancé, et je ne la portais pas spécialement dans mon cœur, mais une chose était sure : Elle savait faire la fête. Si je voulais m’amuser, c’était la bonne personne pour trouver les bons plans. L’alcool nous donnera surement un petit coup de main pour nous entendre comme les meilleurs amis du monde. Et si je trouvais un petit joint trainé par-là, ce serait le paradis. Il ne me fallut pas longtemps pour monter à bord de ma voiture et de rouler en direction du bar.
J’entrais dans l’établissement qu’elle m’avait indiqué dans le message, et cherchais Lexy du regard. Ce n’était pas bien dur de la retrouver, une bombe atomique accoudée au bar, il n’y en avait qu’une. Je me dirigeais vers elle, puis, m’asseyais sur un tabouret à ses côtés. « Salut » dis-je simplement en commandant trois shoots de vodka au barman. Etre froid et distant, c’était mon moyen de défense contre elle pour ne pas lui appartenir. L’alcool allait bientôt effacer tout cela, ramenant le Minho toujours souriant que tout le monde connaissait. Je devais d’ailleurs être fou pour ne pas l’avoir touché. Avec un corps pareil… j’avais déjà dit oui à d’autres pour bien moins que cela. Je lui jetais un coup d’œil en essayant de ne pas me rincer trop l’œil. Une pure merveille ! je secouais la tête en attrapant le premier shoot que le serveur me servit, le buvant cul sec. « Gosh ! Je dois être vraiment être fou ! Je ne vois que cela ! » Oups, mes pensées avaient pris la parole toutes seules. Nouveau haussement d’épaules. Je pris les deux autres shoots, l’un suivit le premier, tandis que le deuxième, je le glissais vers ma partenaire sexy. « Alors comme ca, tu voulais me voir ? »
C’était donc sans aucun souci que je commençais ma journée de congé par une grasse matinée bien méritée. Avec la fatigue que j’avais accumulée ces derniers jours, j’en avais bien besoin. Pas de prise de somnifère, le sommeil venait seul et je dormis comme un vrai bébé joufflu. Apres une bonne douche, j’enfilais des vêtements confortables avant de faire un détour par les cuisines pour essayer de choper un croissant ou deux qui resteraient du petit déjeuné. Mon butin en main, je me mis à le manger sur le chemin du retour tout en me décidant enfin à ouvrir mon portable. Comme je m’y attendais, j’avais une panoplie d’appels en absence de mon secrétaire. Je ne pris même pas la peine de les écouter, les supprimer immédiatement. Congé, j’ai dit. Ce n’était pas comme si je ne l’avais pas prévenu. Il a cru que je blaguais ou bien ? Qu’on était le premier avril peut-être ? je haussais les épaules, prêt à ranger l’appareil électronique au fond de ma poche, quand il vibra à nouveau. La Chieuse -avec une majuscule s’il vous plait- apparut sur l’écran en caractère gras. J’hésitais avant d’ouvrir le message : bonne ou mauvaise nouvelle ? Je ne savais jamais sur quel pied danser avec ma fiance. Ma fiancé. Cinq ans que nos parents avaient décidé de lier nos destins sans nos accords respectifs, et cinq ans que je n’arrivais pas à m’y faire. Ce mot me donnait des frissons dans le dos. Fiancé. Comment j’avais pu finir fiancé ? Je finis par appuyer sur le bouton lecture du message. Je faillis éclater de rire. Aimer. Ce verbe avait tendance à me faire fuir. C’était d’ailleurs ce que je faisais avec elle. Je passais mon temps à la fuir comme la peste ou à m’engueuler avec elle, ca dépendait de l’humeur du moment. Etre fiancé était un chose, amoureux en était une autre.
« Laisse mes slips kangourous en paix ! »
Pas de je t’aime. Pas de tu me manques. Pas de cœur. Simple et clair. C’était ainsi que je fonctionnais. Je n’allais pas lui mentir pour lui faire plaisir non plus. En revanche, j’ajoutais que j’arrivais au message. Elle était peut être ma fiancé, et je ne la portais pas spécialement dans mon cœur, mais une chose était sure : Elle savait faire la fête. Si je voulais m’amuser, c’était la bonne personne pour trouver les bons plans. L’alcool nous donnera surement un petit coup de main pour nous entendre comme les meilleurs amis du monde. Et si je trouvais un petit joint trainé par-là, ce serait le paradis. Il ne me fallut pas longtemps pour monter à bord de ma voiture et de rouler en direction du bar.
J’entrais dans l’établissement qu’elle m’avait indiqué dans le message, et cherchais Lexy du regard. Ce n’était pas bien dur de la retrouver, une bombe atomique accoudée au bar, il n’y en avait qu’une. Je me dirigeais vers elle, puis, m’asseyais sur un tabouret à ses côtés. « Salut » dis-je simplement en commandant trois shoots de vodka au barman. Etre froid et distant, c’était mon moyen de défense contre elle pour ne pas lui appartenir. L’alcool allait bientôt effacer tout cela, ramenant le Minho toujours souriant que tout le monde connaissait. Je devais d’ailleurs être fou pour ne pas l’avoir touché. Avec un corps pareil… j’avais déjà dit oui à d’autres pour bien moins que cela. Je lui jetais un coup d’œil en essayant de ne pas me rincer trop l’œil. Une pure merveille ! je secouais la tête en attrapant le premier shoot que le serveur me servit, le buvant cul sec. « Gosh ! Je dois être vraiment être fou ! Je ne vois que cela ! » Oups, mes pensées avaient pris la parole toutes seules. Nouveau haussement d’épaules. Je pris les deux autres shoots, l’un suivit le premier, tandis que le deuxième, je le glissais vers ma partenaire sexy. « Alors comme ca, tu voulais me voir ? »
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Re: baby, give it to me. | Sam 21 Mar - 1:14 Citer EditerSupprimer
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minho & lexy
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Tenue ☆ Je restais sagement -ou presque- assise devant le comptoir du bar, à enchainer les shooters comme j’aurais bu de l’eau. L’alcool commençait à monter et je sentais chaque parcelles de mon corps se réchauffer à la vitesse de l’éclair ; je n’allais pas tarder à exploser et faire péter la baraque dans tous les sens du terme. Je ne compte même plus le nombre de fois où les videurs, le barman ou les serveuses du New Generation m’avaient ramenée jusqu’à mon dortoir, trop ivre pour bouger le moindre orteil. Enfin, il m’étais bien arrivé de faire appel à HyoJin ou Sujin pour ramener mon corps presque inerte jusque dans mon lit car étant en surdose d’alcool je n’avais même plus le pouvoir de diriger mes propres pas. Je rejetais mes cheveux derrière mes épaules et prit un air tout à fait sérieux devant le barman. « Une autre tournée mon p’tit chou s’teuplait. » lui dis-je d’une voix rauque et à moitié rongée par la folie. Je n’avais qu’une seule envie, voir MinHo et son joli minois qui en faisait craquer plus d’une. A force de me faire rejeter comme un vieux sac à patate, je n’avais fais que m’accrocher encore plus à sa petite personne, et quitte à gravir le Mont Everest en string, j’allais bien finir par le conquérir un jour. Obstinée comme pas possible, je ne lâcherais jamais, au grand JAMAIS l’affaire. Il n’allait tout de même pas porter plainte contre sa jolie fiancée, non ?
Quoique le harcèlement est une de mes spécialités dans la vie. Je chopais le premier shooter venu et le bu d’un seul trait avant de le reposer, une fois de plus, bruyamment sur le comptoir. « Aaaish, ça fait trop du bien. » lâchais-je en gloussant bêtement face à l’oeil incrédule du barman. Ouh, il en avait vu des Lexy pas fraîches et rondes comme pas possible celui-là. En même temps vu les pourboires que je lui donne à chaque fois que je passe dans le coin, il a pas intérêt à me chercher des noises. Perdue dans la contemplation de mes ongles, je n’entends pas MinHo arriver et c’est sa voix qui me fait sortir de ma rêverie. « Gosh ! Je dois être vraiment être fou ! Je ne vois que cela ! » Mon pied glisse de la barre en fer du tabouret et je me retourne dans un hoquet de surprise. Mais de quoi est-ce qu’il parle encore celui-là ? Je réceptionne le shooter qu’il fait glisser vers moi et le bois cul-sec avant de lever les yeux vers MinHo. Dieu qu’il est sexy comme un diable avec son t-shirt sans manches et ses bras musclés. Parfois je me dis que le destin fait bien les choses. Même si mes sentiments ne sont pas réciproques, dans tous les cas, je n’en suis absolument pas à mon dernier mot. Je renifle d’un air nonchalant puis bondit sur mes deux pieds avant de prendre le visage de MinHo entre mes mains et plaquer un baiser rapide sur la joue. POUAH, en plein dans le mille, je l’avais pris par surprise et je ne lui laissait pas le temps de me repousser que je m’écartais en vitesse avant de m’exclamer gaiment. « Depuis quand il me faut une excuse pour voir mon fiancé ? Hein? Hein? » Je lui envois des petits coups dans l’épaule puis demande une énième tournée au barman.
« Hey, remets-nous une tournée please ! » Sur ces vastes paroles je me mets à trémousser mes fesses en enlevant ma grosse veste en fourrure bleu. « P’tain il fait chaud ici. Tu fais toujours un de ces effets toi quand tu rentre dans une pièce ! » Dis-je à MinHo en lui envoyant un petit sourire malicieux. Posant ma veste sur le dossier du tabouret de bar, je prends un shooter tout beau tout neuf et le tend vers MinHo. « J’ai juste besoin de m’amuser un peu avec toi. » poursuivis-je en buvant un autre shooter. Mon cerveau était à présent en ébullition et ma vision s’était anormalement éclaircie malgré les lumières tamisées du bar. A ce rythme là j’allais finir par danser sur le bar avant la bonne heure. Dans un élan de motivation venant de nulle part - peut-être dû à la présence du beau jeune homme- j’hurlais au Dj d’augmenter le volume et celui-ci ne se fit pas prier. Je levais mon verre en l’air et effectua un petit tour sur mon tabouret en m’exclament joyeusement « Je trinque à une soirée d’enfer avec toi ! » sur ce j’engloutit mon verre et me mise à danser, assise sur le tabouret, particulièrement heureuse de la tournure de ma journée. Je délaissais le siège et me mise à danser autour de MinHo : j’avais un objectif, le faire boire et faire en sorte qu’il détende un peu son slip en ma présence. Je l’avais connu dans son époque glorieuse de joyeux fêtard qui finissait dans des états pas possible à LA. Qui a dit que nous ne pouvions pas remettre ça ?
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Re: baby, give it to me. | Mer 1 Avr - 23:36 Citer EditerSupprimer
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feat Kim Lexy
Tenue ☆ Je n’étais pas sur que lui tendre ce shoot de vodka soit une bonne idée. Elle avait l’air d’avoir déjà descendu une bouteille entière. Je n’avais pourtant pas tant de retard que cela. Un éclair de lucidité avait traversé mon cerveau à travers de toutes ces pensées inutiles qui se bousculaient. Oui, après le boulot, il avait pris l’habitude de se déconnecter tout seul, décidant qu’il avait assez fonctionné correctement pour la journée. Ce qui était assez utiles pour faire la fête et se lâcher. Je n’avais plus à me soucier de quoi que ce soit et ce n’était pas si mal que ca. C’était même agreable. Je pouvais boire à n’en plus finir sans me dire que je vais avoir probablement la gueule de bois le lendemain. Ca c’était quand j’arrivais au boulot avec un mal de crane à tomber par terre et assez irritable pour ouvrir ma grande gueule et virer des gens. Je profitais de l’instant présent, mais je regrettais apres. Enfin, juste le temps d’un bref instant. Je me promettais toujours que c’était la dernière fois, mais je craquais et retombais dans la dépendance du carpe diem version Kang Min Ho. Sans doute que cela expliquait pourquoi j’étais assis à ce bar à côté de ma fiancé complètement défoncée. Je fronçais les sourcils avant de descendre mon dernier verre. « Je vois que tu ne m’as pas attendu pour commencer la fête. » lâchais-je sur un ton de reproches, bien qu’il y avait une pointe d’inquiétude de la voir déjà dans cet état. « Je te préviens, je te ramène pas chez toi après. » Je faisais l’indifférent, celui qui se foutait d’elle, mais je ne pouvais m’empêcher de me faire un peu de soucis pour elle, même si je n’en laissais rien paraitre. Il ne fallait pas oublier qu’elle avait été mon amie avant de devenir ma fiancée. Mon comportement envers elle n’avait changé qu’à l’annonce de nos fiançailles, auparavant, je l’appréciais beaucoup, mais la vie en avait voulu autrement.
Je n’eue pas le temps de lui dire ma façon de penser qu’elle me surprend en me prenant la tête entre les mains et en plaquant ses lèvres sur ma joue. Comment elle pouvait avec une telle rapidité alors qu’elle était déjà bien lancée niveau de l’alcool ? Moi-même que j’avais trop bu, j’avais du mal à rester sur mes jambes sans aller de travers. J’avais les réflexes d’un papy de nonante ans dans ces moments-là. J’étais aussi surpris qu’elle ne tente pas un baiser sur la bouche, mais vu ma réaction quand elle avait essayé la dernière fois, je comprends qu’elle ne s’y risque pas une deuxième fois. Pour une fois que j’arrivais à faire violence à mes envies quand ca concernait une femme. Je crois que c’était la seule femme qui me courait après à laquelle j’arrivais à dire non. Peut-être le fait que ce soit ma fiancée était la limite que je ne voulais pas franchir ? Peut-être avais-je peur de perdre ma liberté si je franchissais le pas avec elle ? Pire…je ne voulais pas redevenir prisonnier et esclave de mes sentiments pour être brisé une nouvelle fois. Ca, il en était hors de question. Je restais mou, les bras ballant quand elle me donnait ses petits coups de coude. J’aurais presque souris pour le coup, tellement la scène était… drôle. Non, je n’ai pas failli mignonne. Lexy était tout sauf mignonne. C’était une chaudasse, une bombasse…c’était l’opposé, le contraire, un lointain, à des kilomètres lumières de mignonne même. Je bus cul sec la tournée qui suivit, il allait bien me falloir ca pour supporter cette soirée.
J’ignorais sa réflexion, ignorant la petite voix qui lui répondait inconsciemment dans ma tête par la même occasion : « C’est toi qui fait de l’effet aux hommes, regardes tous ces mecs qui te matent depuis que je suis arrivé. » Et je reportais plutôt mon attention sur sa foufoune bleu qu’elle venait d’enlever. « Je sais que tu as des gouts un peu excentrique Lexy, mais ca... » Je pointais sa veste. « Ca, c’est de loin ce que tu as porté de plus laid jusqu’à maintenant. » J’attrapais le shoot qu’elle me tendit, qui rejoignit tous les autres dans mon estomac. Je levais un sourcil amusé tout en l’observant par-dessus mon verre. « Je ne sais pas si je dois me sentir flatté ou méfiant quand tu me dis cela. » Comme si on venait d’appuyer sur un bouton on, la renarde se mit à hurler au Dj. Je soupirais reposant mon verre. « Ca y est, ca commence. » Mais, mes paroles se perdirent dans le volume de la musique qui venait d’augmenter. Je pris un autre verre, voyant qu’elle levait le sien, je fis de même, hochant la tête. « C’est ca. » Et hop, un autre dans le fond de mon gosier. Je sentais l’alcool commencer doucement à inhiber mes sens et surtout ma façon de penser. Oulah, ca n’annonçait rien de bon pour moi ca. Mais j’avais envie de vous dire que je m’en fichais royalement, parce que ce soir j’avais décidé de faire la fête. Avec ou sans lexy. Je sautais de mon tabouret, faisant mine de danser quelques instants avec elle tout en me dirigeant vers la piste de danse ou bien vite je l’abandonnais l’air de rien pour aller faire frotti frotta avec une autre femme plutôt bien golée un peu plus loin. Rien de comparé à Lexy, il était difficile de lui arriver à la cheville, mais elle était tout à fait convenable pour moi. Vous vous souvenez la limite imposé à ne pas franchir ? Et bien, danse avec lexy + alcool, c’était risqué pour moi. J’avais déjà failli flancher plus d’une fois. Je me connaissais, il était hors de question que ca arrive maintenant. La belle inconnue avait l’air ravie que je vienne auprès d’elle, le montrant par un déhanché plus que sexy. Je laissais mes mains se balader sur son dos, avant de descendre dans le creux de ses reins pour finir sur son fessier, n’hésitant pas à les pincer. En général, ca passait ou ca cassait à ce moment-là. C’était ainsi que je faisais le tri. Si je me faisais gifler, c’était que ce n’était pas une femme pour moi et je passais à une autre, si elle se laissait faire et appréciait le geste, elle finissait bien souvent dans un lit ou dans l’arrière-boutique. En l’occurrence, celle-ci avait l’air d’apprécier. Bonne pioche dès le départ. Tu es en forme Min Ho, ce soir. Un court instant j’avais oublié que j’étais venu pour Lexy, mais je ne me faisais pas de soucis pour elle. Elle s’arrangerait bien pour me le faire savoir d’une façon ou d’une autre.
Je n’eue pas le temps de lui dire ma façon de penser qu’elle me surprend en me prenant la tête entre les mains et en plaquant ses lèvres sur ma joue. Comment elle pouvait avec une telle rapidité alors qu’elle était déjà bien lancée niveau de l’alcool ? Moi-même que j’avais trop bu, j’avais du mal à rester sur mes jambes sans aller de travers. J’avais les réflexes d’un papy de nonante ans dans ces moments-là. J’étais aussi surpris qu’elle ne tente pas un baiser sur la bouche, mais vu ma réaction quand elle avait essayé la dernière fois, je comprends qu’elle ne s’y risque pas une deuxième fois. Pour une fois que j’arrivais à faire violence à mes envies quand ca concernait une femme. Je crois que c’était la seule femme qui me courait après à laquelle j’arrivais à dire non. Peut-être le fait que ce soit ma fiancée était la limite que je ne voulais pas franchir ? Peut-être avais-je peur de perdre ma liberté si je franchissais le pas avec elle ? Pire…je ne voulais pas redevenir prisonnier et esclave de mes sentiments pour être brisé une nouvelle fois. Ca, il en était hors de question. Je restais mou, les bras ballant quand elle me donnait ses petits coups de coude. J’aurais presque souris pour le coup, tellement la scène était… drôle. Non, je n’ai pas failli mignonne. Lexy était tout sauf mignonne. C’était une chaudasse, une bombasse…c’était l’opposé, le contraire, un lointain, à des kilomètres lumières de mignonne même. Je bus cul sec la tournée qui suivit, il allait bien me falloir ca pour supporter cette soirée.
J’ignorais sa réflexion, ignorant la petite voix qui lui répondait inconsciemment dans ma tête par la même occasion : « C’est toi qui fait de l’effet aux hommes, regardes tous ces mecs qui te matent depuis que je suis arrivé. » Et je reportais plutôt mon attention sur sa foufoune bleu qu’elle venait d’enlever. « Je sais que tu as des gouts un peu excentrique Lexy, mais ca... » Je pointais sa veste. « Ca, c’est de loin ce que tu as porté de plus laid jusqu’à maintenant. » J’attrapais le shoot qu’elle me tendit, qui rejoignit tous les autres dans mon estomac. Je levais un sourcil amusé tout en l’observant par-dessus mon verre. « Je ne sais pas si je dois me sentir flatté ou méfiant quand tu me dis cela. » Comme si on venait d’appuyer sur un bouton on, la renarde se mit à hurler au Dj. Je soupirais reposant mon verre. « Ca y est, ca commence. » Mais, mes paroles se perdirent dans le volume de la musique qui venait d’augmenter. Je pris un autre verre, voyant qu’elle levait le sien, je fis de même, hochant la tête. « C’est ca. » Et hop, un autre dans le fond de mon gosier. Je sentais l’alcool commencer doucement à inhiber mes sens et surtout ma façon de penser. Oulah, ca n’annonçait rien de bon pour moi ca. Mais j’avais envie de vous dire que je m’en fichais royalement, parce que ce soir j’avais décidé de faire la fête. Avec ou sans lexy. Je sautais de mon tabouret, faisant mine de danser quelques instants avec elle tout en me dirigeant vers la piste de danse ou bien vite je l’abandonnais l’air de rien pour aller faire frotti frotta avec une autre femme plutôt bien golée un peu plus loin. Rien de comparé à Lexy, il était difficile de lui arriver à la cheville, mais elle était tout à fait convenable pour moi. Vous vous souvenez la limite imposé à ne pas franchir ? Et bien, danse avec lexy + alcool, c’était risqué pour moi. J’avais déjà failli flancher plus d’une fois. Je me connaissais, il était hors de question que ca arrive maintenant. La belle inconnue avait l’air ravie que je vienne auprès d’elle, le montrant par un déhanché plus que sexy. Je laissais mes mains se balader sur son dos, avant de descendre dans le creux de ses reins pour finir sur son fessier, n’hésitant pas à les pincer. En général, ca passait ou ca cassait à ce moment-là. C’était ainsi que je faisais le tri. Si je me faisais gifler, c’était que ce n’était pas une femme pour moi et je passais à une autre, si elle se laissait faire et appréciait le geste, elle finissait bien souvent dans un lit ou dans l’arrière-boutique. En l’occurrence, celle-ci avait l’air d’apprécier. Bonne pioche dès le départ. Tu es en forme Min Ho, ce soir. Un court instant j’avais oublié que j’étais venu pour Lexy, mais je ne me faisais pas de soucis pour elle. Elle s’arrangerait bien pour me le faire savoir d’une façon ou d’une autre.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 2 Avr - 20:42 Citer EditerSupprimer
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minho & lexy
minho & lexy
Tenue ☆ Et me voilà parti dans le tourbillon infernal de l’ivresse absolue. Avais-je déjà passé plus de soixante-douze heures sans être complètement bourrée à hurler à droite à gauche ? Hum… Pas que je sache, ou du moins, j’ai la mémoire courte. En même temps comment faire avec cette université de malades mentaux, ces guerres à n’en plus finir et l’absence de mon Willy Wonka. Je suis quasi-certaine que Minho souffre aussi de l’absence de Mont D’or, ce brave loup. Néanmoins ma vengeance sera terrible ; je ne savais pas encore qu’est-ce que j’allais faire mais une chose est sûre, je ne manque jamais d’idées pour foutre la merde. T’façon impossible de me faire virer de cette fac de fous, il y a toujours pire à côté.
La remarque de MinHo sur ma ‘foufoune bleu’ ne me fit ni chaud ni froid. Avec le temps on fini par s’habituer aux remarques de Mr. Vogue Korea, hum. D’ailleurs s’il était trop réservé je ne lui courrais même pas après, ça ne serait pas assez amusant. « En même temps, quand on compare ma foufoune à ton t-shirt de shippundale… » déclarais-je en haussant un sourcil avant de définitivement trinquer avec lui. Le fashion faux-pas ça arrive à tout le monde, même aux meilleurs. Je tirais sur mon débardeur comme s’il était capable de recouvrir un millimètre de peau en plus mais ce fut peine perdu et mon piercing au nombril en forme de feuille de cannabis scintilla de mille feux sous la lumière des projecteurs. Haussant les épaules, j’effectuais des petits déhanchés autour de Minho, les yeux fermés en hurlant les paroles de la chanson qui passait : comme par hasard, comme si Lee Hyori et moi étions connectées par la voix de la sagesse amoureuse, Crazy retentit dans l’immense club et les paroles sortirent automatiquement de ma bouche : « Ppeonhan Story ppeonhan Song namjan gago yeojan uneun » Je chantonnais en trémoussant mon popotin de façon tellement peu catholique que le pape lui-même se serait enfermé dans le confessionnal.
Je dansais un moment avec MinHo, effectuant des petits tours sur moi-même jusqu’à ce que je me retourne et m’aperçu qu’il s’en allait vers la piste de danse. Sans vraiment faire attention aux regards autour de moi, ma bouche forma un cul-de-poule spectaculaire tandis que je ne m’arrêtais pas de danser. Je marquais tout de même une courte pose pour me retourner vers le comptoir et prendre un shooter dans chaque mains que j’engloutis aussi vite que l’éclair. Je les reposaient bruyamment sur le comptoir sous l’oeil amusé du barman. « Aaaaish. L’enflure, il va me le payer. » Dis-je en observant MinHo du coin de l’oeil. Cet espèce de chaud lapin était entrain de tripoter une nana sur la piste de danse. Sous mon propre regard, merde. La vengeance est un plat qui se mange froid. Trèèèès froid. Tss, il haïssait tellement le fait qu’on soit fiancé que ça en devenait lamentable. Pauvre moi, ma dignité est partie en fumée, mais il me reste encore une once de fierté. Un p’tit peu.
Ni une, ni deux, je me détachais du bar pour aller me dandiner comme une véritable tigresse en plein milieu de la piste de danse. Evidement pour une femme comme moi -sans me vanter- ce n’était pas difficile d’attirer tous les rapaces du coin et en moins de trente secondes je me retrouvais collé à un homme plutôt sexy dans son genre. Grand comme une montagne, je dansais autour de lui en plantant mon regard aguicheur dans le sien, ce qui ne sembla pas lui déplaire. Il passa un bras autour de mes hanches et me colla à lui comme si je lui appartenait après avoir danser deux minutes avec lui. J’en profitais pour l’entrainer vers Minho et sa pouffiasse du moment. C’est ainsi que j’entamais une danse enflammée et terriblement sexy autour de ma proie, lançant des regards meurtriers à mon pseudo-fiancé. Hop, un petit twerk par-là et un balancement de hanche par-ci, je fit monter au septième ciel mon bel inconnu tout en envoyant un grand coup de coude à la fille qui essayait avec tant de bien que de mal de danser. M’enfin, à côté de moi c’était du pipi de chat cette gonzesse, hum. Celle-ci poussa un petit cri en se demandant qui avait fait ça mais pile au bon moment je me rabattit dans les bras du garçon et fit descendre mon indexe le long de son torse en le regardant dans le blanc des yeux. Si j’avais pu, je l’aurais surement mangé sur le champ. Je continuait ma danse de la séduction et envoya le coup ultime, le kamehameha de la grande Lexy : un coup de fesse à la nana et pouf, elle fut éjectée sur côté et s’écrasa parterre comme une vulgaire grosse crotte. J’explosais de rire en me retournant vers Minho. Je pinçais mes lèvres en lui envoyant un regard de défit. « Tu veux jouer chéri ? » Mimais-je avec mes lèvres en plaquant mes mains sur mes seins comme un homme l’aurait fait après avoir gagné un match de foot. Prenant un air féroce, je fit mine de lui rugir dessus avant de me retourner avec un magnifique hairflip qui - si j’ose le dire- était putain de bien placé.
J’abandonnais mon inconnu en me dirigeant vers mon arme de guerre absolue : la barre de poledance en plein centre de la boite. Et là, le show commença enfin. Je pris un verre qu’un homme me tendis au passage et le but cul-sec avant de le laisser tomber parterre. Définitivement bourrée je grimpait avec grâce et entama une danse digne de la cinglée sexy que je suis, le tout sous le regard ébahit des clients autour de moi.
* Ppeonhan Story ppeonhan Song namjan gago yeojan uneun : Histoire typique, chanson typique à propos d'un homme qui quitte une femme en pleurs.
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Re: baby, give it to me. | Mer 8 Avr - 3:04 Citer EditerSupprimer
baby, give it to me.
feat Kim Lexy
Tenue ☆J’avais besoin de cette soirée de détente. Entre le magazine, les guerres de fraternités faisaient rage, les préparations pour la manifestation et le manque de Mont d’Or, j’étais parfois sous pression et je gérais ca très mal. Il n’y avait que quand je m’amusais que je pouvais un tant soit peu lâcher prise. Auparavant, je pouvais le faire sur commande, juste en claquant des doigts, mais aujourd’hui, avec toutes ces responsabilités qui me tombaient dessus, j’avais du mal à trouver le temps de décompresser. Mon loup blanc n’était même plus là pour me faire la fête quand je rentrais au dortoir. On avait beau dire que les loups étaient des animaux sauvages et dangereux, le mien se comportait tel un chien, balayant l’air de sa queue quand il était content, et me lâchant le visage de a grande langue râpeuse. On oubliait souvent que le chien, n’était qu’un loup domestiqué. Est-ce que le mien était si différent que cela ?
Je baissais la tête pour regarder mon t-shirt noir suite à sa réflexion. Un t-shirt de chippendale ? Il était vrai que cet habit mettait mes biceps en valeur, mais de là à dire que c’était digne des chippendales. Je haussais les épaules avant de boire cul sec un des shoots. « Ta foufoune et mon chippendale ne concourent pas dans la même catégorie, très chère. » J’avais pris un ton un peu pompeux pour animer mon élocution. Puis, avec un peu de chance pour elle, si la soirée se passait bien et si que j’étais complètement bourré, il se pourrait que je finisse à faire un show de chippendale debout sur le bar. Ce ne serait pas la première fois que je finirais la nuit à poil. Bien qu’il y avait différentes manières pour finir sans vêtement. Apres avoir trinqué avec la belle, mon œil fut attiré malgré moi par sa peau nacré de son ventre qu’elle exposait au grand jour. J’aperçu son piercing. Une feuille de cannabis, il me semblait. Joli et … sexy. Mais, je me tairais bien pour lui faire savoir. Alors qu’on avait commencé par danser ensemble, j’avais fini ma course avec une autre bombasse trouvé sur le tas sur la piste danse. La jeune femme twerkait du popotin pour mon bon plaisir, et elle était plutôt douée pour cela. Je n’avais pas tardé à y déposer mes mains, me coller à elle pour danser. Le sourire qu’elle arborait sur son visage montrait clairement qu’elle pensait déjà m’avoir charmé et que je lui appartenais déjà. C’était vrai qu’il était facile de me charmer et que je pouvais très bien être à elle le temps d’une nuit, mais il en était une autre de toucher mon cœur, ne serait-ce qu’un peu pour que je la laisse entrer dans ma vie. L’un était easy, alors que l’autre était plus hard. Je me déhanchais à ses côtés, me laissant porter par la musique. Du coin de l’œil, j’aperçue Lexy qui dansait aussi avec un mâle qu’elle venait d’adopter. Il était difficile de la rater vu comme elle avait décidé de danser pour attirer l’attention. Tous les regards des mâles en rut de la pièce étaient, sauf le mien –enfin, c’est ce que je fais croire-, tourné vers elle. S’ils avaient pu sortir leur langue pour la laisser pendre et baver, ils l’auraient fait. J’émis un petit rire quand j’aperçus les regards de tueur que ma fiancée me lançait. Si ses yeux étaient des révolvers, j’aurais eu le temps de mourir une dizaine de fois ces cinq dernières minutes. Ma partenaire dansait tant bien que mal, avec Lexy qui lui envoyait des coups de coude par ci par là, l’air de rien. Je crus qu’elle allait lui jeter son talon dans la tronche tellement le mécontentement se lisait sur son visage. J’hésitais à trouver ce petit jeu ridicule ou à littéralement pouffer de rire. On n’allait pas se mentir, j’étais un homme normalement constituer-même plutôt bien foutu, je dirais- j’aimais voir deux belles femmes se battre pour mes faveurs, même si je m’interdisais de toucher l’une des deux pour des principes à la con. Je ne pus m’empêcher de rire cette fois-ci. Le coup de fesse de la gumiho me surprit, et en un clin d’œil, la jeune femme avec qui je dansais se retrouvait sur le sol. Elle se mit à pleurnicher avant de taper du pied et de partir en courant, honteuse. J’avais un peu pitié d’elle, c’était ma faute après tout, ce qui lui arrivait. Si je ne l’avais pas embarqué dans cette histoire, elle n’aurait jamais eu affaire à la grande Lexy La Magnifique –ironique bien sûr, ou pas. Au fond, je m’en fichais un peu d’elle, elle avait juste été au mauvais endroit au mauvais moment. Elle me faisait de la peine, mais elle était juste un petit divertissement pour moi. Lexy voulait jouer ? Ca risquait d’être intéressant et … sexy ? C’était le cas de le dire. Je l’observais se diriger vers la barre de pole dance et faire ses figures aériennes. Impressionnant. Je m’approchais du bar, commandant trois shoots que je descendis aussi vite que ceux que j’avais commandés un peu plus tôt. Puis, je m’approchais du show que la sexy girl faisait. Ces messieurs ne se sentaient plus, ils trépignaient d’impatience de savoir qui allait pouvoir ramener cette jeune femme un peu excentrique et bourrée dans leur lit. Arborant mon plus beau sourire, je sortis un billet, et quand Lexy fit une pirouette non loin de moi, je le lui glissais dans son short l’air de rien. Elle avait voulu joué, on allait jouer. Mon geste avait déclenché une véritable cohue, et les males hurlaient au show privé pour chacun d’eux. Je riais, me demandant dans quoi elle avait pu s’embarquer. Elle n’avait vraiment peur de rien. Et comme un con, je me mis à hurler un chœur avec eux. « ON VEUT DU SHOW PRIVE !!! » Quoi ? Je ne faisais rien de mal, si ?
Je baissais la tête pour regarder mon t-shirt noir suite à sa réflexion. Un t-shirt de chippendale ? Il était vrai que cet habit mettait mes biceps en valeur, mais de là à dire que c’était digne des chippendales. Je haussais les épaules avant de boire cul sec un des shoots. « Ta foufoune et mon chippendale ne concourent pas dans la même catégorie, très chère. » J’avais pris un ton un peu pompeux pour animer mon élocution. Puis, avec un peu de chance pour elle, si la soirée se passait bien et si que j’étais complètement bourré, il se pourrait que je finisse à faire un show de chippendale debout sur le bar. Ce ne serait pas la première fois que je finirais la nuit à poil. Bien qu’il y avait différentes manières pour finir sans vêtement. Apres avoir trinqué avec la belle, mon œil fut attiré malgré moi par sa peau nacré de son ventre qu’elle exposait au grand jour. J’aperçu son piercing. Une feuille de cannabis, il me semblait. Joli et … sexy. Mais, je me tairais bien pour lui faire savoir. Alors qu’on avait commencé par danser ensemble, j’avais fini ma course avec une autre bombasse trouvé sur le tas sur la piste danse. La jeune femme twerkait du popotin pour mon bon plaisir, et elle était plutôt douée pour cela. Je n’avais pas tardé à y déposer mes mains, me coller à elle pour danser. Le sourire qu’elle arborait sur son visage montrait clairement qu’elle pensait déjà m’avoir charmé et que je lui appartenais déjà. C’était vrai qu’il était facile de me charmer et que je pouvais très bien être à elle le temps d’une nuit, mais il en était une autre de toucher mon cœur, ne serait-ce qu’un peu pour que je la laisse entrer dans ma vie. L’un était easy, alors que l’autre était plus hard. Je me déhanchais à ses côtés, me laissant porter par la musique. Du coin de l’œil, j’aperçue Lexy qui dansait aussi avec un mâle qu’elle venait d’adopter. Il était difficile de la rater vu comme elle avait décidé de danser pour attirer l’attention. Tous les regards des mâles en rut de la pièce étaient, sauf le mien –enfin, c’est ce que je fais croire-, tourné vers elle. S’ils avaient pu sortir leur langue pour la laisser pendre et baver, ils l’auraient fait. J’émis un petit rire quand j’aperçus les regards de tueur que ma fiancée me lançait. Si ses yeux étaient des révolvers, j’aurais eu le temps de mourir une dizaine de fois ces cinq dernières minutes. Ma partenaire dansait tant bien que mal, avec Lexy qui lui envoyait des coups de coude par ci par là, l’air de rien. Je crus qu’elle allait lui jeter son talon dans la tronche tellement le mécontentement se lisait sur son visage. J’hésitais à trouver ce petit jeu ridicule ou à littéralement pouffer de rire. On n’allait pas se mentir, j’étais un homme normalement constituer-même plutôt bien foutu, je dirais- j’aimais voir deux belles femmes se battre pour mes faveurs, même si je m’interdisais de toucher l’une des deux pour des principes à la con. Je ne pus m’empêcher de rire cette fois-ci. Le coup de fesse de la gumiho me surprit, et en un clin d’œil, la jeune femme avec qui je dansais se retrouvait sur le sol. Elle se mit à pleurnicher avant de taper du pied et de partir en courant, honteuse. J’avais un peu pitié d’elle, c’était ma faute après tout, ce qui lui arrivait. Si je ne l’avais pas embarqué dans cette histoire, elle n’aurait jamais eu affaire à la grande Lexy La Magnifique –ironique bien sûr, ou pas. Au fond, je m’en fichais un peu d’elle, elle avait juste été au mauvais endroit au mauvais moment. Elle me faisait de la peine, mais elle était juste un petit divertissement pour moi. Lexy voulait jouer ? Ca risquait d’être intéressant et … sexy ? C’était le cas de le dire. Je l’observais se diriger vers la barre de pole dance et faire ses figures aériennes. Impressionnant. Je m’approchais du bar, commandant trois shoots que je descendis aussi vite que ceux que j’avais commandés un peu plus tôt. Puis, je m’approchais du show que la sexy girl faisait. Ces messieurs ne se sentaient plus, ils trépignaient d’impatience de savoir qui allait pouvoir ramener cette jeune femme un peu excentrique et bourrée dans leur lit. Arborant mon plus beau sourire, je sortis un billet, et quand Lexy fit une pirouette non loin de moi, je le lui glissais dans son short l’air de rien. Elle avait voulu joué, on allait jouer. Mon geste avait déclenché une véritable cohue, et les males hurlaient au show privé pour chacun d’eux. Je riais, me demandant dans quoi elle avait pu s’embarquer. Elle n’avait vraiment peur de rien. Et comme un con, je me mis à hurler un chœur avec eux. « ON VEUT DU SHOW PRIVE !!! » Quoi ? Je ne faisais rien de mal, si ?
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Re: baby, give it to me. | Mer 8 Avr - 15:03 Citer EditerSupprimer
give it to me, baby.
minho & lexy
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Tenue ☆ Et voilà, c’était parti, je m’enjaillais sur la barre de poledance du club. On aurait dit une dératée sexy avec les cheveux blonds m’enfin, ça va j’ai l’habitude. J’avais déjà fait pire et à en voir tous les regards tournés vers moi je n’suis pas trop mauvaise à ça. En même temps ça fait deux ans que je fais du poledance faut bien que ça paie un jour ou l’autre. Bref, je me dandinais comme une véritable furie en envoyant des coups de fesses à droite et à gauche dans le vide, le tout en bomba ma poitrine, aussi proéminente soit-elle. Mon arme de guerre étant en main et j’allais faire péter la baraque à ce rythme là.
Ivre à souhait et la vision trouble, j’apercevais néanmoins MinHo prendre des shooters au bar qu’il engloutit à une allure presque impressionnante. Non parce que je fais mieux moi, je n’allais pas lui attribuer toutes les compétences de la planète à ce mec. Même si il méritait amplement son grade de super-bogosse -donné par moi j’avoue- ça n’empêche pas le fait que c’est un sacré enfoiré dans son genre. Non seulement j’étais satisfaite qu’il ne danse plus avec l’autre poufiasse, mais bizarrement mon sixième sens fut en alerte. Je connais MinHo presque par coeur et je savais que ce n’était que le début. Une alarme se déclencha dans un coin de mon cerveau tandis qu’il s’approchais de moi. Je tentais de ne pas me déconcentrer et d’envoyer du lourd à mon public mais plus le Kang s’approchait plus mon coeur se serrait. Bordel, il avait une idée en tête ça se voyait comme le nez au milieu de la figure mon gars. « Aaaish…. » Lâchais-je en tournoyant autour de la barre, le regard rivé sur celui de mon fiancé en carton.
Paf, je cru d’abord qu’il me passait une main aux fesses - je n’aurais pas été contre en soi- mais non, ce petit con glissa un billet dans mon short et là le club entier s’excita. Tout parti en cacahuète et les hommes de la salle hurlaient au show privé dans tous les sens. Je m’arrêtais net en hurlant : « YAH ! ESPECE D’ENFLURE ! » dis-je en direction de MinHo, mon majeur levé en l’air face aux rires des animaux qui peuplaient la salle. Certain essayaient de me choper la cheville tandis que d’autres sortaient des liasses de billets à gogo. Pouf, mon sang ne fit qu’un tour lorsque Kang hurla au show privé. Ah, ce p’tit joueur, il allait me le payer et j’étais bien décidée à le faire craquer jusqu’au bout. Je repris ma danse endiablée puis abandonna la barre en métal pour me diriger vers MinHo, toujours en dansant. J’effectuais un rythme sensuel autour de lui et planta mon regard provocateur dans le siens. « Alors comme ça on veut un show privé chéri ? » Lui dis-je au-dessus de la cohue, plaquant mes deux mains sur son torse. Je descendis le long de son corps et remonta en me frottant à lui d’une façon tellement provocante que même le soleil se serait éteint. Je l’attrapais par le col et le ramena vers moi. « Fais ton malin Kang, fais ton malin. » Lui dis-je en le poussant sur la banquette voisine pour qu’il y tombe. Ni une, ni deux, je le chevauchais en me trémoussant dans tous les sens, envoyant mes cheveux valser de part et d’autre. Hop, je glissais une main sous son marcel de shippundale et lui pinça un téton aussi fort que je le pouvait. petite vengeance en soi, mais il ne perd rien pour attendre lui et son sourire ravageur. Ah, si n’avait pas été aussi sexy j’aurais pu me contenir m’enfin là c’était peine perdue.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 9 Avr - 3:00 Citer EditerSupprimer
baby, give it to me.
feat Kim Lexy
Tenue ☆
Je savais que mon geste avec le billet n’allait pas laisser Lexy de marbre. J’attendais le coup de retour à n’importe quel moment. Je ne savais pas non plus de quel genre il allait être. En attendant, je profitais de la vue des plus agréables qu’elle nous offrait en voltigeant autour de sa barre de fer. Je me mordis la lèvre inférieure tout en la fixant du regard. Sans doute devait-il y refléter une lueur carnassière d’un prédateur qui venait de repérer la proie qu’il allait dévorer. Je pense que si elle n’avait pas été ma fiancée, je n’aurais fait qu’une bouchée d’elle. Regardez-moi ce popotin qui bougeait en rythme sur la musique, et cette paire de nichons qui rebondissaient à chacun de ses mouvements. Comment j’avais pu y résister aussi longtemps ? Et puis… elle était blonde. J’avais un faible pour les blondes quand j’avais vécu en Amérique. Deux ans que j’étais en Corée maintenant, et les blondes se faisaient bien plus rares. Et avec lexy, mes yeux en prenaient plein les yeux. Je continuais à hurler au show privé en chœur avec les autres males en rut. J’arborais un sourire moqueur sur les lèvres, fier de ma connerie quand la gumiho me traitait d’enflure. Enfin, je suppose que c’était ce qu’elle avait dit, car avec tout ce bruit, on ne s’entendait plus parler. C’était surtout son fuck qui m’avait mis sur la piste. Sa réaction était telle que je l’espérais. Elle avait débarré au quart de tour, au point que je me retrouvais assis dans une banquette d’un des box, sans l’avoir vu venir. « Joli majeur ! Je suis curieux de voir ce que tu es capable de faire avec. » Lâchais-je au bord du fou rire. C’était une provocatrice pure et dure. Ca tombait bien, moi aussi, surtout quand j’avais bu. Et au vue du nombre de shoots déjà ingurgités, je n’étais plus totalement maitre de mes faits et gestes. Passé un stade, je me déresponsabilisais de mes actes. Je m’étais trop souvent retrouvé dans des situations saugrenues comme me réveiller habillé en fille ou dans une baignoire dans un appartement dont je ne connaissais même pas les propriétaires. Donc ce soir, j’estimais que tout ce qui se passerait, serait mis sur la cause d’une trop grande prise d’alcool. Je soutins son regard sans flancher une seule seconde. J’avais presque envie d’elle, de la voir se hancher aussi proche de moi. « Ca depend… tu demandes combien pour un show privé ? » Oui, c’était salaud. Je le savais pertinemment bien, mais c’était elle qui avait voulu jouer. Et c’était elle, qui me provoquait. Voulait-elle voir jusqu’où j’étais prêt à aller ? Je sentais qu’on allait bien s’amuser, car je pouvais pousser le vice assez loin si elle le désirait. Lenny m’aurait probablement tué s’il m’entendait parler de la sorte à sa sœur chérie et pour cause, je pouvais comprendre. Si quelqu’un osait traiter Soo Ah de la sorte, je lui aurais déjà latté la gueule depuis belle lurette. Je fus tenter de poser mes mains sur elle quand elle se frotta à moi, mais je me retins au dernier moment. Une lueur malicieuse traversa mon regard quand elle me dit de ne pas faire trop mon malin. Moi ? Faire mon malin ? Je ne voyais pas du tout de quoi elle parlait. Pourtant, j’eus un léger doute quand elle se mit à califourchon sur moi, se trémoussant sans aucune pudeur. Je criais haut et fort que je ne voulais pas d’elle, mais mon corps disait tout autre chose. Il réagissait comme quand il y avait une jolie femme qui se collait un peu trop près de moi, de manière provoquante. Je perdis pied le temps d’un instant, la regardant pour la première fois avec le regard que je réservais à celle que je m’étais dans mon lit. Mais, son pincement de téton m’éclaircit l’esprit. Je poussais un léger « Aie », me frottant le torse, en profitant pour briser le contact visuel. Je repris le sourire qui m’était propre, mi charmeur, mi taquin. Et sans crier gare, j’empoignais les seins de la harpie terriblement sexy qui me collait d’un peu trop près, les pressant deux fois. « Pouet pouet camion ! » Dis-je tel un gamin qui venait de recevoir un nouveau jouet la nuit de Noel. Je n’arrivais plus à plaisanter aussi aisément avec la jeune femme aussi proche de moi, et très vite, je sentais l’envie me regagner. Non ! Il en était hors de question ! Je ne craquerais pas ! Je passais une main dans la nuque de ma fiancé, enroulant mes doigts dans ses cheveux jusqu’à les emmêler, et l’attirait à moi. Je m’arrangeais pour que nos lèvres ne soient plus qu’à quelques centimètres de l’un et l’autre sans pour autant qu’elles se touchent et je lui chuchotais, le plus sérieusement du monde, lui lançant un regard d’avertissement. « Si tu ne veux pas être comme une de ces femmes que je me tape le temps d’une nuit pour ne plus en entendre parler le lendemain, arrêtes de jouer. » Ce jeu devenait trop dangereux pour moi. Si je craquais, je pouvais dire aurevoir à ma liberté. La limite à ne pas franchir. Il ne fallait pas que j’oublie.
Je savais que mon geste avec le billet n’allait pas laisser Lexy de marbre. J’attendais le coup de retour à n’importe quel moment. Je ne savais pas non plus de quel genre il allait être. En attendant, je profitais de la vue des plus agréables qu’elle nous offrait en voltigeant autour de sa barre de fer. Je me mordis la lèvre inférieure tout en la fixant du regard. Sans doute devait-il y refléter une lueur carnassière d’un prédateur qui venait de repérer la proie qu’il allait dévorer. Je pense que si elle n’avait pas été ma fiancée, je n’aurais fait qu’une bouchée d’elle. Regardez-moi ce popotin qui bougeait en rythme sur la musique, et cette paire de nichons qui rebondissaient à chacun de ses mouvements. Comment j’avais pu y résister aussi longtemps ? Et puis… elle était blonde. J’avais un faible pour les blondes quand j’avais vécu en Amérique. Deux ans que j’étais en Corée maintenant, et les blondes se faisaient bien plus rares. Et avec lexy, mes yeux en prenaient plein les yeux. Je continuais à hurler au show privé en chœur avec les autres males en rut. J’arborais un sourire moqueur sur les lèvres, fier de ma connerie quand la gumiho me traitait d’enflure. Enfin, je suppose que c’était ce qu’elle avait dit, car avec tout ce bruit, on ne s’entendait plus parler. C’était surtout son fuck qui m’avait mis sur la piste. Sa réaction était telle que je l’espérais. Elle avait débarré au quart de tour, au point que je me retrouvais assis dans une banquette d’un des box, sans l’avoir vu venir. « Joli majeur ! Je suis curieux de voir ce que tu es capable de faire avec. » Lâchais-je au bord du fou rire. C’était une provocatrice pure et dure. Ca tombait bien, moi aussi, surtout quand j’avais bu. Et au vue du nombre de shoots déjà ingurgités, je n’étais plus totalement maitre de mes faits et gestes. Passé un stade, je me déresponsabilisais de mes actes. Je m’étais trop souvent retrouvé dans des situations saugrenues comme me réveiller habillé en fille ou dans une baignoire dans un appartement dont je ne connaissais même pas les propriétaires. Donc ce soir, j’estimais que tout ce qui se passerait, serait mis sur la cause d’une trop grande prise d’alcool. Je soutins son regard sans flancher une seule seconde. J’avais presque envie d’elle, de la voir se hancher aussi proche de moi. « Ca depend… tu demandes combien pour un show privé ? » Oui, c’était salaud. Je le savais pertinemment bien, mais c’était elle qui avait voulu jouer. Et c’était elle, qui me provoquait. Voulait-elle voir jusqu’où j’étais prêt à aller ? Je sentais qu’on allait bien s’amuser, car je pouvais pousser le vice assez loin si elle le désirait. Lenny m’aurait probablement tué s’il m’entendait parler de la sorte à sa sœur chérie et pour cause, je pouvais comprendre. Si quelqu’un osait traiter Soo Ah de la sorte, je lui aurais déjà latté la gueule depuis belle lurette. Je fus tenter de poser mes mains sur elle quand elle se frotta à moi, mais je me retins au dernier moment. Une lueur malicieuse traversa mon regard quand elle me dit de ne pas faire trop mon malin. Moi ? Faire mon malin ? Je ne voyais pas du tout de quoi elle parlait. Pourtant, j’eus un léger doute quand elle se mit à califourchon sur moi, se trémoussant sans aucune pudeur. Je criais haut et fort que je ne voulais pas d’elle, mais mon corps disait tout autre chose. Il réagissait comme quand il y avait une jolie femme qui se collait un peu trop près de moi, de manière provoquante. Je perdis pied le temps d’un instant, la regardant pour la première fois avec le regard que je réservais à celle que je m’étais dans mon lit. Mais, son pincement de téton m’éclaircit l’esprit. Je poussais un léger « Aie », me frottant le torse, en profitant pour briser le contact visuel. Je repris le sourire qui m’était propre, mi charmeur, mi taquin. Et sans crier gare, j’empoignais les seins de la harpie terriblement sexy qui me collait d’un peu trop près, les pressant deux fois. « Pouet pouet camion ! » Dis-je tel un gamin qui venait de recevoir un nouveau jouet la nuit de Noel. Je n’arrivais plus à plaisanter aussi aisément avec la jeune femme aussi proche de moi, et très vite, je sentais l’envie me regagner. Non ! Il en était hors de question ! Je ne craquerais pas ! Je passais une main dans la nuque de ma fiancé, enroulant mes doigts dans ses cheveux jusqu’à les emmêler, et l’attirait à moi. Je m’arrangeais pour que nos lèvres ne soient plus qu’à quelques centimètres de l’un et l’autre sans pour autant qu’elles se touchent et je lui chuchotais, le plus sérieusement du monde, lui lançant un regard d’avertissement. « Si tu ne veux pas être comme une de ces femmes que je me tape le temps d’une nuit pour ne plus en entendre parler le lendemain, arrêtes de jouer. » Ce jeu devenait trop dangereux pour moi. Si je craquais, je pouvais dire aurevoir à ma liberté. La limite à ne pas franchir. Il ne fallait pas que j’oublie.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 9 Avr - 21:35 Citer EditerSupprimer
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minho & lexy
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Tenue ☆ Me voilà à présent partie dans une danse de folie sur les cuisses de mon fiancé en carton. Erf, pourquoi à-t-il fallu qu’il soit aussi sublime, hein ? Ca aurait été plus facile s’il ne m’avais pas autant attirée, je n’aurais pas encaissé autant de râteaux. Franchement, de toute ma vie, aucun homme ne m’avais refusée à part cette espèce de tête de mule aux gros sourcils. Tss, quand y en a trop, y en a pas assez moi j’dis. Jamais satisfaits ces hommes. Bref, je me frottais à Minho la bombe atomique comme ça n’était pas permis, montant et descendant lentement sans le quitter des yeux. Définitivement bourrée que je suis, j’allais très sérieusement lui faire sa fête ce soir. Non parce qu’il faut bien que j’me venge de toutes les actions qu’il m’a faites quand même. Je ne m’appellerais pas Lexy Kim dans tous les cas. Même Lenny n’arrivait pas à comprendre le comportement de mon fiancé. A moins qu’il soit au courant et qu’il ne veuille pas me le dire, ce traitre. C’est peut-être son meilleur pote mais moi j’suis sa jumelle quand même. Dommage que je n’arrive pas à lire dans les pensées. Lien twin en carton t’sais.
Le pouet pouet camion de Minho me sorti de mes pensées -quelque peu érotiques en imaginant le fiancé en question, nu entrain de manger des bananes. Je faillis lui donner une tarte monumentale mais la douleur m’arracha un cri strident que la musique étouffa aussitôt. Bah ouais, plus c’est gros plus ça fait mal. « MERDE ! MINHO SERIEUX T’ES CON ! » J’hurlais sur lui comme une furie en agrippant son débardeur - qui n’allait pas vraiment faire long feu à ce rythme. Si j’avais pu le tuer en un seul regard ça aurait été fait depuis bien longtemps, cependant gros sourcils me surpris en m’attrapant par la nuque pour ramener mon visage prêt du siens. Bordel, il va m’embrasser ? Je rêve ? C’est un rêve ? Oh my gosh, y’a un soucis dans le cosmos là ! « Si tu ne veux pas être comme une de ces femmes que je me tape le temps d’une nuit pour ne plus en entendre parler le lendemain, arrêtes de jouer. » Paf, la voix rauque de mon fiancé résonne dans mes tympans comme une sonnette d’alarme. Qu’il me provoque, tant mieux j’adore ça. Dans tous les cas, même s’il ne voulait plus entendre parler de moi le lendemain il n’était pas sorti de l’auberge. On est dans la même frat’, il est le meilleure pote de mon twin et en plus de ça : nous sommes fiancés. J’ai envie de courir le risque et le faire craquer plus que tout. Et qui dit que ça ne serait pas moi qui partirait à l’aube pour le laisser à poil dans le lit ? Hum, j’avoue que je prendrais une petite photo, histoire d’avoir une arme secrète au cas où il me rejetterais pour la millième fois depuis presque trois ans.
Je me rapprochais encore un peu plus, frôlant ses lèvres du bout des miennes. « Tu crois que tu me fais peur, Kang ? » Je parlais d’une voix assez audible pour que lui seul m’entende. « Je prends le risque. » terminais-je en fermant le pauvre millimètre qui nous séparait. Je l’embrassais avec autant de douceur que je le pouvais, comparé à la violence de ma danse quelques minutes plus tôt. Je lui donnait un coup de langue sur sa lèvre inférieure et m’écartais doucement avec un petit sourire malicieux. « N’oublie pas que je ne suis pas comme toutes tes pouffiasses mon chéri. »
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Re: baby, give it to me. | Sam 11 Avr - 22:10 Citer EditerSupprimer
baby, give it to me.
feat Kim Lexy
Tenue ☆ Lexy s’était lancé dans une danse des plus endiablé et des plus sexy autour de ma personne. Et j’avais peut etre un peu cassé l’ambiance qu’elle s’était épuisé à instaurer avec mon pouet pouet camion. Mais c’était la seule distraction que j’avais trouvé pour m’éviter de craquer. Etre en public aurait du me refroidir, mais ca ne me faisait ni chaud ni froid. J’étais enivré par l’alcool et que très peu pudique. Ca n’allait pas m’arrêter si il me prenait impulsivement de craquer et de lui faire l’amour sur cette banquette quitte à ce que ces bêtes en manque de sexe se rincent l’œil en nous détaillant. Dans ces moments-là, je me fouettais bien souvent de ce qu’il pouvait se passer autour de ma partenaire et moi. Je m’abandonnais à notre seul plaisir. Point. Et j’étais sur le point de craquer, alors le pouet pouet camion était la meilleure idée que j’avais eu depuis longtemps. Il avait même eu un effet immédiat sur Lexy qui me hurlait déjà dans les oreilles quel débile heureux j’étais. Je ne pouvais m’empêcher de pouffer de rire avant de reprendre mon sérieux. Je pense que si je ne l’avais pas surprise avec ce changement subit de comportement, j’aurais passé un mauvais quart d’heure. Et la façon dont elle venait d’empoigner mon débardeur en était la preuve.
Ca devenait sérieux. Si elle n’arrêtait pas ce petit jeu immédiatement, les limites que je m’étais fixé et que j’avais essayé de garder à distance ces dernières années allaient finir pas sauter. Si ca devait arriver, il ne me resterait plus que la solution de l’éloigner le plus possible de moi, quitte à la blesser. Si je voulais garder ma liberté, il allait falloir que je morde sur ma chique. Et si je la laissais me toucher plus que nécessaire, ca allait mal finir. Dans ma tête, j’aurais couché avec elle, ca reviendrait au même qu’une de ces femmes que je prenais vulgairement dans l’arrière boutique, ou dans les toilettes du club. Un coup, et puis basta. Je ne la revoyais plus jamais. J’aurais pu la traiter ainsi depuis longtemps si je ne voulais plus la revoir. Mais soyons honnête, si je ne l’avais pas encore fais, c’était que ca me dérangeait pas tant que cela de la garder près de moi. Je pense que je ressentirais comme un manque si elle n’était plus là. Et c’était pour cela que le lui donnait cette avertissement, prenant le risque de la laisser approcher si près de mes lèvres. Je pensais qu’elle aurait compris, qu’elle aurait reculée et arrêtée ce jeu ridicule. Je n’avais aucune envie de me débarrasser d’elle, je ne voulais pas détruire notre amitié qui durait depuis bien avant nos fiançailles, ni me froisser avec son frère qui était mon meilleur ami. Mais non ! Il avait fallu que cette idiote aille à l’opposé de mes espérances et qu’elle crie haut et fort que je ne lui faisais pas peur. Et sans même que je puisse l’arrêter, elle kidnappait mes lèvres entre les siennes un bref instant avec une douceur immense. Je la regardais interdit, les yeux écarquillés comme si elle venait de faire la pire chose qu’elle aurait pu faire. Ce qui était certain, c’était qu’elle était loin d’être une de mes pouffiasses comme elle disait. Aucune n’aurait osé faire ce qu’elle venait de faire sans avoir peur d’être rejeté la seconde d’après. Son geste venait de tirer une sonnette d’alarme danger dans mon cerveau, pourtant, je la fis taire, l’agrippant à nouveau pour la nuque pour venir l’embrasser. Cette fois, ca n’avait rien du baiser doux qu’elle m’avait offert, mais bien plus violent, empreint d’une passion caché auquel je vins faire jouer nos langues. Je ne savais combien de temps il avait duré, mais je m’écartais d’elle. Non ! Je m’arrachais à elle à bout de souffle. L’attrapant par la taille, je la poussais sur la banquette pour me dégager de son emprise et me lever. « Ne refais plus jamais ca, Lexy. » Crachais-je comme si elle venait de me mordre avec du venin. Mon humeur d’habitude jovial était subitement grognon, comme si j’avais passé la pire journée de ma vie et que j’avais envie que l’on me foute la paix. J’avais cette impression qu’avec ma prénommée fiancée, et ca commencait à vraiment me perturber. Lui tournant le dos, je me dirigeais vers le bar, commandant trois nouveaux shoots de vodka que je descendis d’une traite pour me redonner de la contenance. Je jetais un coup d’œil à la gumihos, ne sachant plus que faire pour lui échapper. Je ne lui avouerais sans doute jamais, mais gosh ! Ce baiser ! J’avais eu un mal fou à me défaire de son emprise. Je crus un instant qu’elle m’avait hypnotisée. Quand je vous dis que cette femme était un réel danger pour moi.
Ca devenait sérieux. Si elle n’arrêtait pas ce petit jeu immédiatement, les limites que je m’étais fixé et que j’avais essayé de garder à distance ces dernières années allaient finir pas sauter. Si ca devait arriver, il ne me resterait plus que la solution de l’éloigner le plus possible de moi, quitte à la blesser. Si je voulais garder ma liberté, il allait falloir que je morde sur ma chique. Et si je la laissais me toucher plus que nécessaire, ca allait mal finir. Dans ma tête, j’aurais couché avec elle, ca reviendrait au même qu’une de ces femmes que je prenais vulgairement dans l’arrière boutique, ou dans les toilettes du club. Un coup, et puis basta. Je ne la revoyais plus jamais. J’aurais pu la traiter ainsi depuis longtemps si je ne voulais plus la revoir. Mais soyons honnête, si je ne l’avais pas encore fais, c’était que ca me dérangeait pas tant que cela de la garder près de moi. Je pense que je ressentirais comme un manque si elle n’était plus là. Et c’était pour cela que le lui donnait cette avertissement, prenant le risque de la laisser approcher si près de mes lèvres. Je pensais qu’elle aurait compris, qu’elle aurait reculée et arrêtée ce jeu ridicule. Je n’avais aucune envie de me débarrasser d’elle, je ne voulais pas détruire notre amitié qui durait depuis bien avant nos fiançailles, ni me froisser avec son frère qui était mon meilleur ami. Mais non ! Il avait fallu que cette idiote aille à l’opposé de mes espérances et qu’elle crie haut et fort que je ne lui faisais pas peur. Et sans même que je puisse l’arrêter, elle kidnappait mes lèvres entre les siennes un bref instant avec une douceur immense. Je la regardais interdit, les yeux écarquillés comme si elle venait de faire la pire chose qu’elle aurait pu faire. Ce qui était certain, c’était qu’elle était loin d’être une de mes pouffiasses comme elle disait. Aucune n’aurait osé faire ce qu’elle venait de faire sans avoir peur d’être rejeté la seconde d’après. Son geste venait de tirer une sonnette d’alarme danger dans mon cerveau, pourtant, je la fis taire, l’agrippant à nouveau pour la nuque pour venir l’embrasser. Cette fois, ca n’avait rien du baiser doux qu’elle m’avait offert, mais bien plus violent, empreint d’une passion caché auquel je vins faire jouer nos langues. Je ne savais combien de temps il avait duré, mais je m’écartais d’elle. Non ! Je m’arrachais à elle à bout de souffle. L’attrapant par la taille, je la poussais sur la banquette pour me dégager de son emprise et me lever. « Ne refais plus jamais ca, Lexy. » Crachais-je comme si elle venait de me mordre avec du venin. Mon humeur d’habitude jovial était subitement grognon, comme si j’avais passé la pire journée de ma vie et que j’avais envie que l’on me foute la paix. J’avais cette impression qu’avec ma prénommée fiancée, et ca commencait à vraiment me perturber. Lui tournant le dos, je me dirigeais vers le bar, commandant trois nouveaux shoots de vodka que je descendis d’une traite pour me redonner de la contenance. Je jetais un coup d’œil à la gumihos, ne sachant plus que faire pour lui échapper. Je ne lui avouerais sans doute jamais, mais gosh ! Ce baiser ! J’avais eu un mal fou à me défaire de son emprise. Je crus un instant qu’elle m’avait hypnotisée. Quand je vous dis que cette femme était un réel danger pour moi.
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