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baby, give it to me.
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Re: baby, give it to me. | Lun 13 Avr - 17:16 Citer EditerSupprimer
give it to me, baby.
minho & lexy
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Tenue ☆ Et voilà, encore un énième craquage de ma part. Il fallait que je me calme un jour et pourtant, après des dizaines de tentatives afin de pouvoir ne serait-ce que déposer un tout petit bisous de rien du tout sur ses lèvres ; j’avais enfin réussi. Ah, il s’y attendait pas la sex machine, à mon attaque furtive. Je ne l’avais pas embrassé comme je l’aurais fait avec d’autres conquêtes, sauvagement et sans coeur. Ce n’est pas de ma faute aussi, je suis tombée amoureuse d’un mec pareil, contre toute attente. Franchement, il ne manquait plus que ça dans ma vie, un mariage arrangé avec un mec aussi détestable. Pourtant, même si je sais qu’il se tape la moitié des femelles de la ville ou qu’il collectionne les slips kangourous, je n’arrive pas à le trouver repoussant. C’est peut-être ce côté Bad Boy qui me plait temps, vas savoir. Je sais que je joue constamment avec le feu, m’enfin là, la tentation est tellement puissante qu’il est difficile de résister.
Je le regardais toujours, dans le blanc des yeux, souriant malicieusement en mettant une mèche de cheveux folle dernière mon oreille. Je lui avait carrément coupé le sifflet l’espace d’un instant. Fière mais néanmoins apeurée par cette situation et par sa réaction, je l’observais changer d’humeur comme d’habitude. « Alors … » commençais-je avant d’être vivement coupée dans mon élan par un MinHo qui vint m’attirer vers lui pour m’embrasser à son tour. Mais what the fuck baby ? C’est l’monde à l’envers, depuis quand le Kang me rendit-il mon baiser ? A force d’être rejetée j’avais fini par me faire à l’idée m’enfin là, je préfère justifier son comportement sur le nombre de shooters qu’il à pu engloutir. Il battait presque mes propres records d’alcoolémie.
Son baiser était totalement différent du mien, plus violent, fougueux. Il arrivait quand même à me déstabiliser, moi, Lexy Kim. Une grande première pour une cinglée comme moi. J’entrelaçais volontiers ma langue à la sienne, lui rendant son baiser avec autant de puissance que lui. Mon court instant de douceur s’était évanoui avec les dernières notes de musiques. A peine eus-je le temps de poser mes mains sur son torse qu’il me rejetais sur la banquette : paf, je retombais en rebondissant sur l’un des coussins, abasourdie par ce rejet flagrant. « De… Mais…. YAH ! KANG MIN HO ! » J’hurlais après un MinHo qui me tournais le dos, non sans m’avoir averti de ne plus recommencer. Non mais, sérieusement, c’est connu, quand on dit non à un enfant il fait tout le contraire, hein ? Je chopais un glaçon dans un verre voisin pour lui envoyer dessus mais il rebondis directement sur le crâne chauve d’un mastodonte en face de moi. Celui-ci se retourne et me jette un regard noir tandis que je me relève discrètement en me dirigeant vers le bar, l’air de rien. Sur le chemin, j’observe attentivement le Kang s’enfiler trois autres shooters et je m’approche de lui en en commandant pour moi. « Décidément ta un sérieux problème avec l’alcool toi. » Dis-je d’un air absolument innocent tout en avalant d’un seul trait mes shooters. Je pointais le verre dans sa direction en fronçant les sourcils. « T’es un grand malade Minho. Un GRAND malade. » Lui dis-je tout en m’approchant dangereusement de lui. Définitivement soule, je ne voulais pas en rester là alors que je savais qu’il n’avais pas détesté notre petit échange. « Pourquoi est-ce que tu me résiste tant ? Hein ? » Je lui susurrais ses paroles en m’approchant plus près de lui, tapotant son torse avec mon shooter vide. Je vint prendre son menton entre mes doigts en collant définitivement mon corps au sien. « Tu me connais. Tu sais que je ne lâcherais jamais l’affaire. » Sur ces vaste paroles, je ne le quittais pas des yeux, lui envoyant un baiser dans l’air avec mes lèvres.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 23 Avr - 2:01 Citer EditerSupprimer
baby, give it to me.
feat Kim Lexy
Tenue ☆ Ce baiser n'avait rien de doux ou tendre. Il était plutôt du genre brusque, langoureux, fougueux. Le côté sombre de la force. Je ne savais pas ce qui m'avait pris. Je lui avais cédé le temps de quelques secondes. J'étais plus énervé contre moi-même et contre elle. Elle passait son temps à me courir après et au final de forcing, elle était parvenue à ses fins. J'étais faible. Beaucoup trop faible face aux femmes. Je me détestais à cet instant d'avoir succombé ainsi. Au fond, je ne savais pas vraiment pourquoi je mettais tant d'ardeur à la repousser. Il devient bien y avoir autre chose pour que je ne l'acceptais pas aussi facilement que les autres, mais quoi ? Je n'en avais aucune idée. Ma liberté n'était qu'une excuse. Sans doute que j'avais peur d'aimer, tout simplement. Je passais mon temps à fuir les sentiments, je ne voyais que cette explication plausible. Mon première amour m'avait brisé le coeur, bien que de mon point de vue, elle n'était pas la seule responsable. Notre couple traversait une mauvaise passe. Elle ne me parlait plus, elle gardait tout pour elle. Je voyais bien que quelque chose n'allait pas, mais elle ne voulait rien me dire. Je faisais de mon mieux pour lui changer les idées, mais rien ne marchait. J'avais l'impression qu'elle ne me faisait plus confiance, alors que je ne l'avais jamais trahi. Jamais. Pourtant, après une énième dispute, je décidais de lui donner une vraie raison de me détester. Je me laissais succomber à une attirance physique que j'éprouvais depuis longtemps avec une amie. Je ne voulais pas au début, mais j'avais fini par le faire. Je l'avais trompé et je regrettais déjà à peine la faute commise. Pourtant, elle n'en sut jamais rien et me quittait deux semaines plus tard pour une toute autre raison. Alors je ne savais plus, je ne savais plus où j'en était. J'étais complètement perdu.
Lexy me hurlait dessus comme une possédée quand je la repoussais, mais je l'ignorais, préférant me saouler pour oublier. Je lui jetais un coup d’œil en biais suite à sa remarque. J'aurais du me douter qu'elle n'allait pas lâcher l'affaire aussi facilement. "C'est à moi que tu dis ca, babydolls accro aux shoots?" crachais-je au visage, encore énervé de ce qui venait de se passer. "Fiche-moi la paix, Lexy!" murmurais-je presque à bout. Mais, mes paroles s'évanouir à travers le brouhaha. J'aurais du la repousser une nouvelle fois, et pourtant, je la laissais faire quand elle s'approchait de moi, se collant à mon torse et empoignant mon menton de ses doigts. Je ne répondis pas à ses questions, préférant hausser les épaules en guise de réponses. Elle m'aurait rit au nez si elle savait. Je bus cul sec mon shoot, l'alcool me montant au cerveau, l’inhibant. Je fus hypnotisé un instant par ses lèvres qui m'envoyait de la tentation pure et dure au visage. Je plantais mon regard droit dans les siens. "Continues comme ca Kim Lexy, et je te jure que je te prends sans ménagement dans l'arrière boutique, dans les toilettes, ou pourquoi pas ici!" Ce n'était pas des menaces en l'air. J'en étais plus que capable et ce ne serait pas la première fois que je le prenais. Pourtant, j'avais rajouté le fait que je pouvais le faire devant tout le monde, mais ke préférant franchement pas. Pas que j'étais pudique, loin de là, mais je cherchais juste à la dissuader de continuer. L’alcool commençait dangereusement à inhiber mes sens et ma logique. Si on arrêtait pas tout ca très vite, j'allais faire une grosse connerie. Qui plus est, j'avais oublié les préservatifs au dortoir ...
Lexy me hurlait dessus comme une possédée quand je la repoussais, mais je l'ignorais, préférant me saouler pour oublier. Je lui jetais un coup d’œil en biais suite à sa remarque. J'aurais du me douter qu'elle n'allait pas lâcher l'affaire aussi facilement. "C'est à moi que tu dis ca, babydolls accro aux shoots?" crachais-je au visage, encore énervé de ce qui venait de se passer. "Fiche-moi la paix, Lexy!" murmurais-je presque à bout. Mais, mes paroles s'évanouir à travers le brouhaha. J'aurais du la repousser une nouvelle fois, et pourtant, je la laissais faire quand elle s'approchait de moi, se collant à mon torse et empoignant mon menton de ses doigts. Je ne répondis pas à ses questions, préférant hausser les épaules en guise de réponses. Elle m'aurait rit au nez si elle savait. Je bus cul sec mon shoot, l'alcool me montant au cerveau, l’inhibant. Je fus hypnotisé un instant par ses lèvres qui m'envoyait de la tentation pure et dure au visage. Je plantais mon regard droit dans les siens. "Continues comme ca Kim Lexy, et je te jure que je te prends sans ménagement dans l'arrière boutique, dans les toilettes, ou pourquoi pas ici!" Ce n'était pas des menaces en l'air. J'en étais plus que capable et ce ne serait pas la première fois que je le prenais. Pourtant, j'avais rajouté le fait que je pouvais le faire devant tout le monde, mais ke préférant franchement pas. Pas que j'étais pudique, loin de là, mais je cherchais juste à la dissuader de continuer. L’alcool commençait dangereusement à inhiber mes sens et ma logique. Si on arrêtait pas tout ca très vite, j'allais faire une grosse connerie. Qui plus est, j'avais oublié les préservatifs au dortoir ...
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Re: baby, give it to me. | Sam 2 Mai - 13:17 Citer EditerSupprimer
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minho & lexy
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Tenue ☆ J’observais Minho qui était sur le point de me faire un craquage intense. je devais m’estimer heureuse de ne pas encore m’être prise une tarte dans la gueule car à ce rythme là je n’allais pas tarder à me retrouver seule, accoudée au bar à noyer ma solitude dans du whisky bon marché et me faire draguer par une bande de gamins alcoolisés et à peine pubères. J’écarquillais les yeux, à un tel point que j’allais finir par être totalement débridée. Ce mec me rend complètement dingue. je sais, je suis déjà pas mal atteinte dans mon genre, mais là, c’est autre chose. Minho me transformais en une espère de gonzesse attardée et accro à un mec qui ne voulait même pas d’un centimètre de ma petite personne. J’observais MinHo qui déversait son venin sur moi. « OUAIS. C’est à toi que j’dis ça baby. » lui répondis-je en sifflant, continuant à tapoter son torse avec mon shooter vide. J’observais celui-ci avec attention, comptant les secondes avant ma prochaine commande. Le Kang murmura un ‘fiche moi la paix’ à peine audible, cependant celui-ci me fit l’effet d’une bombe. Je plantais un regard colérique dans le sien. « Quoi ? Te foutre la paix ? Nan mais tu REVE Minho. Tu Rêve. » Je lui dis ça dans une sorte de rire nerveux et à moitié hystérique. Je craquais rarement. Je me mettais rarement en colère, sincèrement, la plupart du temps je prends les choses à la légère et j’envois chier tout ce beau monde.
Mais là, pour une fois dans ma vie, j’avais l’alcool mauvais. Et j’en avait marre de courir après le vent. Je reculais d’un coup, me décollant de Minho, pointant un doigt manucuré dans sa direction. « Ecoute moi bien Kang MinHo… » Je fut coupée dans mon élan par le regard noir de mon fiancé qui se plongeait dans le mien. Quelque peu déstabilisée, je me mordais les lèvres pour me retenir de dire des conneries. Je l’écoutais attentivement en serrant les poings. Putain Lexy, calmos ma poule, t’es entrain de partir en cacahuète, ça te ressemble vraiment pas. Je laissais MinHo planté là, préférant assimiler doucement ce qu’il venait de me dire. Je commandais un grand verre de whisky pur et revint vers le Kang d’un air décidé et particulièrement énervé. « J’en ai MA CLAQUE, MinHo. Tu sais depuis combien d’années je cours après on joli petit cul ? Tu me connais putain, depuis assez d’années pour savoir qu’habituellement j’suis pas ce genre de nana. Tu le sais, hein ? » Je déblatérais lentement mais surement mes paroles, buvant une gorgée de mon whisky. Je reprenais après une courte pose : « POURQUOI tu ne m’as jamais laissé UNE SEULE putain de petite chance, hein ? Franchement. J’ai l’impression d’être un mouton merdique qui suit le troupeau sans que personne ne s’en rende compte ! » Je secouais la tête en préférant ne pas le regarder dans les yeux. Si je le faisais j’allais définitivement disjoncter. « MinHo. » Je m’arrêtais net en le regardant une bonne fois pour toute dans le blanc des yeux. « Je t’aime. Okay ? Voilà. [/color]» Pouf, mon esprit se vidait littéralement et j’engloutis le reste de mon verre cu-sec et le laissa sur le comptoir. J’ouvris la bouche pour dire une quelconque connerie mais rien ne sorti et je préférais laisser MinHo planter là pour aller prendre l’air. Je me traçais un chemin à travers la foule, envoyant valser la moindre personne qui se mettait en travers de mon chemin vers l’oxygène. Une fois dehors, je donnais un coup de pied dans une poubelle. « FAIS CHIER PUTAIN. » J’hurlais toute seule dans mon coin en m’insultant d’être aussi puéril. « … Aie p’tin ça fait un mal de chien ce truc ! » Coupée dans mon élan colérique, je secouais mon pied endolori en fusillant la poubelle du regard. Je levais les yeux au ciel. « Mon Dieu, Buddah, Allah et tout le tralala. Donnez-moi juste un gros pétard de weed et une cannette de bière. Promis j’serais sage après mais là j’dois me détendre, okay ? » Je parlais seule au ciel, ne désirant qu’une seule chose : m’enjailler et oublier mes conneries.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 2 Juil - 12:23 Citer EditerSupprimer
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feat Kim Lexy
Tenue ☆ J’avais pourtant été clair et direct sur ce coup. Je voulais qu’elle me foute la paix où j’allais perdre pied. C’était si difficile à comprendre ? Pour Lexy, oui. Ca ne faisait aucun doute. Je rêvais selon elle. Même dans mes rêves elle me poursuivait, et elle était bien moins habillée que cela. Je n’aurais pas eu besoin de faire autant de chichi. Je l’aurais déjà pris sur ce bar sans détour. Si elle savait. Donc non, je n’avais pas besoin de me pincer pour savoir que j’étais bel et bien réveillé. Je savais que je ne restais pas indifférent à la jeune femme, mais si j’en faisais quelconque allusion, elle ferait bien pire que ce qu’elle faisait ce soir. et je n’avais aucune envie qu’elle se fasse de faux espoir. Evidemment, au fond, je l’aimais bien et elle m’attirait. Mais si on devait être fiancé un jour, je ne voulais pas qu’elle voit de moi le mec au coup d’un soir. Et si je me laissais aller ce soir, c’était bien ce qui risquait d’arriver. L’alcool inhibait mes sens, mais j’avais encore quelques onces de lucidité et je comptais bien ne pas les laisser filer. Je levais un sourcil interrogateur quand elle me pointait un doigt sur moi, me priant de bien l’écouter. Je ne faisais que ca depuis le début de soirée, mais soit. Je n’avais aucune envie de le faire et la gratifia d’un regard noir. Si elle avait décidé d’avoir l’alcool mauvais, je pouvais très bien l’avoir aussi. Je perdais rarement patience et me mettait encore moins souvent en colère, mais si il fallait que je m’énerve pour qu’elle comprenne… j’étais prêt à le faire.
Je soupirais derrière mon shoot de vodka. Je savais pertinemment bien quel genre de femme elle était. Je n’avais pas cherché à la blesser en disant que si elle continuait, j’étais prêt à la prendre ici et maintenant. Je voulais juste la dissuader de continuer en la mettant en garde sur ce qu’il l’attendait. Mais à priori, elle l’avait mal pris. Ce que je pouvais comprendre, mais elle l’avait bien cherché aussi en insistant ainsi. Je voulus lui répondre une réplique cinglante pour qu’elle me lâche pour la soirée, mais je fus arrêté par la suite de ses dires qui me clouèrent le bec. Je portais mon attention autre part, faignant de l’ignorer. Je ne voulais pas entendre tout ca sortir de sa bouche. Je le savais déjà, mais l’entendre dire était pire que tout. J’avais l’impression de passer pour un vrai connard. Ce que j’étais sans doute, mais je n’avais aucune envie de me l’entendre dire. Pourtant, ce qui suivit, je ne le vis pas venir. Ces trois petits mots qui me faisaient si peur. Ces trois petits mots qui m’avaient tant fait souffrir. Elle avait osé les prononcer et ils m’étaient destinés en plus. Je savais qu’elle m’aimait, elle avait été assez démonstrative pour que je le comprenne, mais je n’en voulais pas. Je ne voulais pas de cet amour qui faisait souffrir. Ce n’était pas pour rien si je me contentais des coups d’un soir. ca durait le temps d’une nuit. On avait les plaisirs sans les inconvénients. Et ca me suffisait amplement, mais les mots qu’elle venait de prononcer m’avait fait l’effet d’un coup de poing en pleine figure. J’en restais sur le cul, presque paralysé alors que Lexy me laissait en plan pour aller je ne sais où. J’achevais mon shoot cul sec, reprenant mes esprits, avant de me décider à la suivre dans la foule pour me retrouver à l’extérieur du bar à mon tour. « Cette pauvre poubelle ne t’a rien fait. » tentais-je comme approche. Pas des meilleures, j'en conviens. Ma voix brisait le silence de la rue. Un vrai contraste par rapport à l’intérieur de la boite. J’entendis sa requête même si je n’avais rien avoir avec Dieu, sortant un pétard de ma poche je lui tendis. J’en avais toujours un pour ce genre de soirée, on ne savait jamais quand ca pouvait servir. « Pour la bière, faut aller demander au bar. » continuais-je doucement. Quelque peu calmé. Je m’appuyais contre le mur, sortait mon paquet de cigarette. Je pris le temps de l’allumer avant de reprendre. « Ecoutes Lexy. Ecoutes bien, car je ne le dirais qu’une seule fois. » J’avalais une bouffée de nicotine pour me donner du courage. « Je suis pas prêt pour ce genre de relation. Si je me contente des coups d’un soir et que je te fuis, c’est qu’il y a une raison. J’ai mal vécu ma première histoire d’amour qui m’a … comment dire ? … laissé des séquelles. Je ne suis pas prêt à remettre cela…. » C’était la première fois que je lui faisais part de cette partie-là de mon histoire. Je me sentais comme mis à nu devant elle.
Je soupirais derrière mon shoot de vodka. Je savais pertinemment bien quel genre de femme elle était. Je n’avais pas cherché à la blesser en disant que si elle continuait, j’étais prêt à la prendre ici et maintenant. Je voulais juste la dissuader de continuer en la mettant en garde sur ce qu’il l’attendait. Mais à priori, elle l’avait mal pris. Ce que je pouvais comprendre, mais elle l’avait bien cherché aussi en insistant ainsi. Je voulus lui répondre une réplique cinglante pour qu’elle me lâche pour la soirée, mais je fus arrêté par la suite de ses dires qui me clouèrent le bec. Je portais mon attention autre part, faignant de l’ignorer. Je ne voulais pas entendre tout ca sortir de sa bouche. Je le savais déjà, mais l’entendre dire était pire que tout. J’avais l’impression de passer pour un vrai connard. Ce que j’étais sans doute, mais je n’avais aucune envie de me l’entendre dire. Pourtant, ce qui suivit, je ne le vis pas venir. Ces trois petits mots qui me faisaient si peur. Ces trois petits mots qui m’avaient tant fait souffrir. Elle avait osé les prononcer et ils m’étaient destinés en plus. Je savais qu’elle m’aimait, elle avait été assez démonstrative pour que je le comprenne, mais je n’en voulais pas. Je ne voulais pas de cet amour qui faisait souffrir. Ce n’était pas pour rien si je me contentais des coups d’un soir. ca durait le temps d’une nuit. On avait les plaisirs sans les inconvénients. Et ca me suffisait amplement, mais les mots qu’elle venait de prononcer m’avait fait l’effet d’un coup de poing en pleine figure. J’en restais sur le cul, presque paralysé alors que Lexy me laissait en plan pour aller je ne sais où. J’achevais mon shoot cul sec, reprenant mes esprits, avant de me décider à la suivre dans la foule pour me retrouver à l’extérieur du bar à mon tour. « Cette pauvre poubelle ne t’a rien fait. » tentais-je comme approche. Pas des meilleures, j'en conviens. Ma voix brisait le silence de la rue. Un vrai contraste par rapport à l’intérieur de la boite. J’entendis sa requête même si je n’avais rien avoir avec Dieu, sortant un pétard de ma poche je lui tendis. J’en avais toujours un pour ce genre de soirée, on ne savait jamais quand ca pouvait servir. « Pour la bière, faut aller demander au bar. » continuais-je doucement. Quelque peu calmé. Je m’appuyais contre le mur, sortait mon paquet de cigarette. Je pris le temps de l’allumer avant de reprendre. « Ecoutes Lexy. Ecoutes bien, car je ne le dirais qu’une seule fois. » J’avalais une bouffée de nicotine pour me donner du courage. « Je suis pas prêt pour ce genre de relation. Si je me contente des coups d’un soir et que je te fuis, c’est qu’il y a une raison. J’ai mal vécu ma première histoire d’amour qui m’a … comment dire ? … laissé des séquelles. Je ne suis pas prêt à remettre cela…. » C’était la première fois que je lui faisais part de cette partie-là de mon histoire. Je me sentais comme mis à nu devant elle.
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Re: baby, give it to me. | Lun 13 Juil - 0:38 Citer EditerSupprimer
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minho & lexy
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Tenue ☆ Cette soirée avait été carrément merdique. Intensément merdique. Tout ce que je voulais moi, c’était retrouver cette affection d’antan que j’avais avec Minho, pouvoir passer une soirée d’éclate absolue, à boire et s’enivrer comme des gamins débauchés et rire jusqu’à en avoir mal au ventre. Certes, derrière tout ça, je cherchais juste à m’approprier un homme qui ne voulait surement pas de moi. Enfin, c’était clair et net à présent. Je ne savais pas vraiment comment ni pourquoi j’étais tombée amoureuse de Minho. Ce serait surement dû à son sale caractère, bien trop proche du miens, ou peut-être son inaccessibilité constante. A vrai dire, je ne le savais pas moi-même. Tout ce que je pouvais affirmer c’est qu’à chaque fois que mon regard croisait le sien, j’avais le sentiment d’être intimidée et joyeuse en même temps. Comme lorsqu’on va pour la première fois dans un parc d’attraction et qu’on fait la plus haute et la plus folle des attractions. Ce sentiment d’adrénaline et de peur mélangées, qui vous rend euphorique et qui vous fait autant rire que pleurer. Ouais, Minho était pour moi, un genre d’attraction bien trop haute et bien trop impressionnante pour que j’ose la faire. Pourtant, fière comme un coq, il fallait que je la fasse à tout prix et que je prouve aux yeux du monde que je n’avais en aucun cas peur de ça. Mais comme d’habitude, je me heurtais à un mur, un mur de glace. Devrais-je être reconnaissante qu’il n’ait pas coupé les ponts avec moi après toutes ces années ? Je me consolais en me disant que s’il m’avais vraiment détestée, il ne traînerait plus autant avec moi, voir jamais. Je soupirais, fatiguée par toutes ces pensées qui déferlaient en moi. Depuis quand étais-je devenue ainsi ? Le genre de nana qui se torture l’esprit pour les beaux yeux d’un garçon. Un sentiment de honte prit place à celui de la colère. Lui avais-je vraiment dit tout ça ? C’était presque sortit naturellement, je n’avais jamais dit ces mots à un homme avant, n’en ayant pas ressentis le besoin ni la nécessité, puisque j’ai toujours pris l’amour au second degré. Je réalisais maintenant, à quel point c’était dangereux et je pouvais légèrement comprendre le Kang à ce niveau-là.
Je secouais la tête et tapota mes joues avec les paumes de mes mains. « Fuck dat’ problems… » Marmonnais-je en regardant la poubelle qui s’était renversée parterre sous la force de mon coup de pied. Je ne sentais plus aucune douleur à présent, juste une infime vague d’ivresse qui commençait à monter en moi. Sérieusement, à travers toute cette histoire je m’étais enfilé tellement de shooters que je n’avais même pas fait attention aux conséquences. Je commençais à être saoule mais cet affrontement avec le Kang m’avais tenue la tête hors de l’eau. « Cette pauvre poubelle ne t’a rien fait. » Je faillis sursauter au son de la voix de Minho, pourtant je ne bougeais pas d’un pouce, fermant les yeux pour garder mon calme. Au fond de moi, je ne l’aurais jamais avoué à ce gars, mais j’avais bien trop honte pour affronter son regard. Je haussais les épaules sans lui faire fasse, jusqu’à ce que mon regard soit attiré par ce qu’il me tendais. Je me mordit les lèvres si fort que je faillis crier pourtant, gardant la tête haute, je lui pris le pétard des mains et marmonnais un vague « Merci. » avant de le porter à mes lèvres et l’allumer avec mon zipo rouge. Je tirais une longue taffe sur le join, me sentant tout de suite plus détendue. Je m’adossais au mur, juste à côté de Minho, laissant un certain écart entre nous. Toujours en évitant son regard, je l’écoutait avec attention, en profitant pour tirer encore sur le pétard. Alors comme ça il y avait une raison à tout cela ? Encore heureux, faillis-je dire, mais je me retins, le laissant poursuivre et trop curieuse d’entendre la suite. Je faillis m’étrangler en avalant la fumée. Avais-je bien entendu ? Sa première histoire d’amour ? Alors comme ça… Minho avait ‘aimé’ quelqu’un ? Il avait ouvert son coeur à une femme ? Je restais là, sans voix, finissant par recracher la fumée à une lenteur inquiétante. pensant le pour et le contre je clignais plusieurs fois des yeux puis affronta enfin son regard. « Des séquelles ? » Lui demandais-je en changement de position, pour me retrouver épaule contre le mur et visage tourné vers le Kang. Je portais le join à mes lèvres et tira une énième taffe. « Ne te sens pas obligé de me raconter ça parce que j’ai pété un câble, Minho. » Je posais mes yeux au loin, fixant un point neutre et sans but. Je ne l’appelais par son prénom que très rarement et j’étais tellement sérieuse à ce moment là que même tout l’alcool ingurgité ne me faisais plus d’effet. Je mis un certain temps avant de dire ces mots : « Désolée. De m’être énervée comme ça. » Voilà, c’était dit. Je me laissais glisser le long du mur et m’accroupis au ras du sol pour continuer à fumer sans devoir supporter le poids de son regard. « Cette nana. Tu lui as fait du mal, hein ? » Dis-je tout doucement en jouant avec un pauvre petit cailloux perdu dans cette forêt de béton.
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Re: baby, give it to me. | Jeu 27 Aoû - 4:32 Citer EditerSupprimer
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feat Kim Lexy
Tenue ☆ Je connaissais Lexy depuis si longtemps que je ne me souvenais même plus comment on s’était rencontré. J’avais l’impression que l’on se connaissait depuis toujours. Son jumeau était mon meilleur ami et sans doute allait-il me tuer en apprenant comment je traitais sa sœur à présent. Fut une époque où elle était mon bébé, la seule femme assez haut dans mon estime pour que l’envie de la sauter me passe. Ce n’était pourtant pas son corps de rêve qui me repoussait. Je la considérais comme ma propre sœur. Elle avait bien trop de valeur pour que je la touche sans raison. Et puis, quoi ? Si je l’avais pris comme elle le voulait le temps d’une nuit, on en serait où ? Je ne pouvais pas juste faire comme les autres femmes, la prendre et la jeter le lendemain. C’était une amie. Notre amitié n’y aurait pas survécu. Peut-être pouvait-elle vivre avec, mais pas moi. Lexy avait été autrefois ma princesse, et aujourd’hui, elle devenait ma fiancée. Sans doute aurais-je du sauter de joie quand je l’avais appris, mais ce n’était pas le cas. En soi, vivre en sa compagnie était loin de me déranger, mais j’avais peur de ne pas être à la hauteur. Peur qu’elle se lasse de moi et que je ne puisse suivre la cadence de sa vie folle. Peur de la faire souffrir. Mon père avait tout brisé en décidant de ce mariage sans même nous en parler auparavant. Je fuyais la jeune femme comme la peste à présent. Comme si elle était la mort incarnée. Je ne voulais pas la faire souffrir et c’était pourtant ce que j’avais fait ce soir… encore une fois. Je voulais juste etre odieux pour qu’elle arrête de me vouloir absolument. Mais l’amour ne se décidait pas et quand ce sentiment nous prenait aux tripes, on était prêt à tout. Je connaissais que trop bien les émotions qu’il produisait pour les avoir ressenti pendant 3 longues années avec la même personne. Il fallait que je lui dise. Il fallait qu’elle comprenne. Le pourquoi de mon comportement avec elle. Je commençais à tout lui déballer sans jamais oser la regarder. Je m’interrompis alors qu’elle me demandait quelles étaient ces séquelles. « Peur d’aimer à nouveau et de souffrir… c’est ce qu’il me fait le plus peur … » dis-je d’une traite, en un seul souffle aussi bas que ma voix en était presque inaudible. Je tirais une respiration sur le joint que j’avais entamé en espérant me détendre un peu, bien que je sache qu’avec le temps, ils n’avaient qu’aucun effet sur moi et que ce n’était qu’un placebo. « Je ne te le raconte pas pour toi, mais pour moi. J’ai besoin d’un parler avec quelqu’un. Je ne l’ai jamais dit à qui que ce soit jusqu’à présent. Et j’estime que tu as le droit de savoir. » Je rejetais la fumer par les narines, changeant le poids d’un côté à l’autre de mon corps pour ne pas fatiguer mes jambes à force de rester debout. Nous voilà bien sérieux tous les deux. C’était tellement rare ce en était presque irréel. Deux fêtards invétérés qui se tenait l’un à côté de l’autre à discuter des choses existentielles de la vie et pleine remise en question. C’était un moment unique à immortaliser, car croyez-moi, c’était plus que rare. L’alcool que j’avais pu ingurgité depuis le début de soirée s’était totalement évaporée comme si elle n’avait jamais existé. La réalité, le monde réel, il n’y avait pas meilleur remède contre la gueule de bois. Je me laissais le long du mur à mon tour, pour m’assoir à ses côtés sur le trottoir, étendant mes jambes. Je fermais les yeux et posais la tête en arrière quand elle me demandait si j’avais fait du mal à mon premier amour. Si c’était si simple… « On s’en est fait tous les deux. La seule différence, c’est que je ne suis même pas sur qu’elle s’en est rendu compte… » je me souvins brièvement de l’état dans lequel j’étais quand elle m’a quitté. J’étais pire qu’une loque. Si j’avais eu les couilles de m’ouvrir les veines sans doute l’aurais-je fais. A la place, je prenais drogue sur drogue pour essayer de l’oublier, mais c’était encore bien pire. Du coup, j’avais trouvé refuge dans les bras de cette femme… la même femme avec qui, un mois auparavant, j’avais succombé à l’adultéré. « Je l’ai trompé. J’ai été infidèle. » Pour quiconque qui me connaissait, ca n’aurait étonné personne. On me connaissait si batifoleur que l’on pensait que j’étais incapable ne résister au désir. Mais c’était faux. Pas cette fois. « On a eu une histoire de trois ans. J’étais heureux. Le plus heureux des hommes. La dernière année est partie en vrille. Elle se faisait de plus en plus distante sans que je sache pourquoi. Elle me cachait des choses et chaque fois que j’essayais de lui parler, elle évitait le sujet. Jusqu’à m’éviter moi. elle me laissait seul. Elle partait sans plus se soucier de ce que je pouvais bien penser. Un soir, il y avait cette fois pour qui j’avais une attirance physique prononcé depuis des mois et à qui, je ne cessais de résister. Je finis par craquer. » Je serais du poing, balançant mon joint encore fumant au loin. « Elle ne savait pas que j’étais en couple. Et ma copine ne savait rien de cette histoire. Je n’ai pas eu le temps de lui dire, car trois jours plus tard, elle me quitta sans explication, me disant juste qu’elle en avait marre de moi et qu’elle voulait voir d’autres horizons. » Je fis craquer les os de mon cou avant de fixer un point lointain, le regard perdu. « J’en étais raide dingue amoureux de cette nana, Lexy. Je n’aime pas qu’à moitié, sache-le. Mais je ne suis pas prêt à remettre le couvert. J’ai trop peur de souffrir à nouveau ou de faire souffrir celle que j’aime. » Je finis par la regarder, tournant le visage vers elle. « Je ne veux pas que tu souffres… tu comprends ? »
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