YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW.
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YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 1:04 Citer EditerSupprimer
Eh bah les wonsungis sont pas des moitiés de trou de balle. Ils avaient cependant l'air de sous estimer la rage des requins, et ils allaient vraiment s'en prendre plein la gueule. Leur dortoir allait devenir un énorme squat, qu'ils s'attendent pas à une quelconque gentillesse. Après avoir fait un saut dans le dortoir sango, et appelé une camarade, Jil Sub s'était rendu vaillant chez les jaunes pour leur faire la misère. Inutile de préciser qu'un puissant coup de cross dans une fenêtre a suffit à donner la voie libre. Bon, fallait faire vite maintenant avant que les cons de voisins appellent la police. Il sauta par dessus et rentra sans plus tarder dans un dortoir qui était déjà dans un sale état, de par leur précedent passage.
Le coréen avait récuperé du bon matos et, après s'être roulé une cigarette, commençant par tapoter sur les murs de ses doigts, pour savoir lesquels étaient les plus creux. Une fois la chose trouvée, il envoya un puissant coup de marteau qui laissa un gros trou dans le mur. Il executa la chose à plusieurs reprises, dans d'autres murs, et y balança quelques animaux marins qui lui restait en stock. Toujours marteau en main, et clope au bec, il fredonnait un air de musique en allant s'occuper des lavabos et des toilettes, de la télévision et de la vaisselle. Il fallait que tout ça devienne un vrai chantier. Des bouts de murs et de porcelaine gisaient au sol et Jil Sub toussa d'un coup, regardant sa tronche au passage dans un miroir. Merde alors, on dirait le gars de Halloween. Faudrait peut-être qu'il songe à enlever les petits morceaux restant.
Marchant vers la cuisine, il alla se servir un truc à manger, balançant au passage le marteau dans la caisse à outils. Les gestes étaient précipités pour faire les choses vite fait mais surtout bien fait. Wan Min qui rodait par là fouilla dans le sac fourre tout et Jil Sub sortir de sa poche une bombe de couleur pourpre qui lui envoya alors qu'il entendait le vacarme de Ji Na au loin. « Ou alors tu préfères utiliser mon propre sang ? » demanda-t-il en plaisantant. Il passa un doigt sur sa peau. « Bon de toute façon c'est sec. »
Le coréen avait récuperé du bon matos et, après s'être roulé une cigarette, commençant par tapoter sur les murs de ses doigts, pour savoir lesquels étaient les plus creux. Une fois la chose trouvée, il envoya un puissant coup de marteau qui laissa un gros trou dans le mur. Il executa la chose à plusieurs reprises, dans d'autres murs, et y balança quelques animaux marins qui lui restait en stock. Toujours marteau en main, et clope au bec, il fredonnait un air de musique en allant s'occuper des lavabos et des toilettes, de la télévision et de la vaisselle. Il fallait que tout ça devienne un vrai chantier. Des bouts de murs et de porcelaine gisaient au sol et Jil Sub toussa d'un coup, regardant sa tronche au passage dans un miroir. Merde alors, on dirait le gars de Halloween. Faudrait peut-être qu'il songe à enlever les petits morceaux restant.
Marchant vers la cuisine, il alla se servir un truc à manger, balançant au passage le marteau dans la caisse à outils. Les gestes étaient précipités pour faire les choses vite fait mais surtout bien fait. Wan Min qui rodait par là fouilla dans le sac fourre tout et Jil Sub sortir de sa poche une bombe de couleur pourpre qui lui envoya alors qu'il entendait le vacarme de Ji Na au loin. « Ou alors tu préfères utiliser mon propre sang ? » demanda-t-il en plaisantant. Il passa un doigt sur sa peau. « Bon de toute façon c'est sec. »
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 1:15 Citer EditerSupprimer
Jina avait cru halluciner. Un roger énervé qui lui décrivait une nouvelle dégradation de leur dortoir. ASSEZ. Ca suffisait. Elle avait fait ni une ni deux et elle était partie au dortoir des jaunes, le flambant neuf dortoir avec un sourire carnassier, et le sac de la dernière fois encore plein. La fin était proche les amis, la fin étai proche. Une fois dans la résidence, elle avait vu Roger détruire le salon, mais Jina n'en avait pas envie, elle avait autre chose en tête. Elle commençait a entrer dans la première chambre. Et du revers de la main, elle collait tout par terre marchant allégrement sur les objets, vêtements, et décoration, découpant les tableaux et photos au mur. Oui, elle était motivée. Oups, un ordinateur par terre sur lequel elle venait de s'appuyer de tout son poids. Pas grave, ils rachèteraient. Et la voilà, qui en profite pour visiter toutes les chambres et recommencer son simulacre. Oui, c'était fastidieux, mais c'est presque libérateur de prendre les affaires et de marcher dessus, fragile ou pas. Photos, életronique, television, tout y passait. Rien ne survivait et dans certaines chambres, elle prenait le temps d’éventrer les couettes et oreillers même. Mais elle s'en moquait totalement, de toute manière ils étaient tous bloqués a leur entrepôt alors ils étaient tranquille pour au moins plusieurs heures, le temps qu'ils comprennent qu'ils ne viendraient pas dans le piège. Bref, elle en était a sa cinquiéme chambre, quand elle songeait a une idée en voyant une tenue de marque traîner sur un lit. Oh oh oh, ca sentait mauvais pour eux ca. Une fois les 8 chambres visitées, elle retournait dans le salon observer le massacre que venait de faire Roger, avant de l'applaudir. « Bravo Roger, tu te surpasses en ce moment...C'est beau pour des singes ! » Et d'aller en cuisine chercher les liquides inflammables. Oui, ca sentait vraiment mauvais si vous vouliez l'avis de sa conscience.
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 1:28 Citer EditerSupprimer
Très honnêtement, j'ignorais ce que je foutais ici présentement. J'avais mon éponge en main, astiquant les murs pour faire partir la crasse laissée d'une main ferme, et l'instant d'après, me voilà chez les wonsun. Bon, entre ces deux instants, j'avoue qu'il y a eu un peu de voiture, de la marche, des cris de Jil Sub, sa conversation téléphonique.. MAIS QUAND MÊME, tout était allé bien trop vite. Pourquoi on demande jamais mon avis, hein ? C'est vrai ça, pourquoi Wan Min est toujours impliqué partout sans avoir le temps de riposter ? C'est comme le bœuf ! Moi, je préférais de loin le bison, il avait l'air plus docile, mais voilà, fallait que Jil Sub se la joue solo et décide de tout. Enfin.. Tant qu'à être là.
Poussant un soupire à en fendre l'âme, je fouillais dans ma petite besace magique que je venais violemment de reprendre des mains de l'autre et la reposai en constatant qu'il avait dérobé avant moi ce que je convoitais. « Jil Sub, Jil Sub, Jil Sub, tellement immature. » Je sais pas pourquoi j'ai dis ça hein, soyons d'accord, mais ça avait semblé extrêmement intelligent sur l'instant quand j'ai pris cet air de vieux renfrogné. Une fois la bombe de couleur en main, je m'installais face à un mur, en tailleur, et tapotai mon menton en signe d'intense réflexion. L'inspiration me vint soudain comme un signe divin, et je commençai à taguer à mon tour ce petit mur, avec toutefois plus de classe que mes prédécesseurs.
ennemis des sango prenez garde, les
requins veillent.
Leswonsungis seront les premiers.
Mon oeuvre achevée, je me relevai gaiement en attrapant Jil Sub au passage pour babiller tout mon contentement à la vitesse de la lumière. Ok j'étais le moins audacieux de tous, celui qui préférais rester assis à écrire pendant que les autres faisaient des dégâts mais.. hé, mon rôle il était important aussi hein ?
Poussant un soupire à en fendre l'âme, je fouillais dans ma petite besace magique que je venais violemment de reprendre des mains de l'autre et la reposai en constatant qu'il avait dérobé avant moi ce que je convoitais. « Jil Sub, Jil Sub, Jil Sub, tellement immature. » Je sais pas pourquoi j'ai dis ça hein, soyons d'accord, mais ça avait semblé extrêmement intelligent sur l'instant quand j'ai pris cet air de vieux renfrogné. Une fois la bombe de couleur en main, je m'installais face à un mur, en tailleur, et tapotai mon menton en signe d'intense réflexion. L'inspiration me vint soudain comme un signe divin, et je commençai à taguer à mon tour ce petit mur, avec toutefois plus de classe que mes prédécesseurs.
requins veillent.
Les
↑ sang de bourbe
Mon oeuvre achevée, je me relevai gaiement en attrapant Jil Sub au passage pour babiller tout mon contentement à la vitesse de la lumière. Ok j'étais le moins audacieux de tous, celui qui préférais rester assis à écrire pendant que les autres faisaient des dégâts mais.. hé, mon rôle il était important aussi hein ?
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 1:33 Citer EditerSupprimer
Elle avait prit les machins inflammables et était sortie dehors, a la recherche d'un endroit ou faire son idée. Et au finale, elle avait trouvé un machin en fer qu'elle assimilait a une poubelle. Tant mieux, ca ferait le change. Et la voilà qui souriait, avant de poser ses liquides au sol, de retourner a l'intérieur piquer des vêtements de femme dans la chambre 1, des vêtements d'hommes dans la seconde, des vêtements au hasard dans la chambre 3 et ainsi de suite, jusqu'à avoir une masse conséquente de vêtements, qu'elle se dépêchait de poser dans la poubelle. Et de verser le liquide inflammable dessus. Elle grattait une allumette, qu'elle jetait négligemment dans la poubelle avant de faire quelques pas en arrière. De hautes flammes venait de jaillir de la poubelle. Et elle reprit son bazar, en retournant dedans l'air satisfaite.. Elle voulait foutre la merde. Et elle avait décidé de faire dans la continuité. Le make up, les sous vêtements, tout ce qu'elle trouvait était bon pour le feu. Il fallait l'entretenir ce petit feu, il était mignon vous trouvez pas ? Bref, elle laissait le feu brûler, en se demandant si la pelouse n'avait pas non plus besoin d'un coup de main, mais elle se disait que ca passerait pour la prochaine fois. Ils n'avaient plus de vêtements, ni de chambre en état. Alors... On n'allait pas trop les brusquer les chéris non ? Elle retournait a l'intérieur pour voir l'oeuvre de Jilsub et celle te Taz côte à côte. Oh my... C'était chaotique et c'était beau. Elle sauta sur ses pieds en clapant des mains comme une petite fille en voyant le désordre. Et elle pouffait de rire en voyant la devise. Oh qu'il avait raison. Ils allaient être les premiers, ce n'était qu'un avant goût. Et avec un sourire satisfait, elle se dirigeait vers la sortie, avant de dire
« Messieurs, good job ! On devra fêter ça a la fraternité vous croyez pas ? »
Avec un clin d'oeil qui voulait tout dire. Oui, simplicité et sango n'allaient jamais de paire.
« Messieurs, good job ! On devra fêter ça a la fraternité vous croyez pas ? »
Avec un clin d'oeil qui voulait tout dire. Oui, simplicité et sango n'allaient jamais de paire.
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 1:56 Citer EditerSupprimer
« Merci mademoiselle, tu te débrouille pas trop mal non plus je dois avouer. » Il lui adresse un sourire puis continua de grignoter pour que sa défonce redescende un peu, se ballandant nochalamant dans le dortoir pour admirer le carnage que son amie venait de faire. Les mains pleines de bouffes, il ne se gêna pas pour laisser derrière lui quelque trace de son passage avec des miettes, des morceaux de x ou x aliments. Un homme propre d'habitude. Mais c'était devenu un suppôt de Satan ce soir.
Il revint aux côtés de son ami Wan Min qui lui arracha le sac des mains. Arquant ses sourcils il ne put s'empêcher de rire un peu en entendant le vert parler. Il disait de ces trucs des fois... sans déconner il était chelou ce gars. Mais drôle cependant. D'ailleurs il leva les yeux vers l'empreinte laissé au mur et sourit d'un air béat. « C'est plutôt parfait je trouves, c'est toi Tom Jédusor ? » demanda-t-il à Wan Min d'un air un peu débile en caressant sa tête. La drogue c'est mal m'voyez.
Après avoir jeté derrière son dos toute la bouffe qui lui restait il alla faire mumuse dans les chambres des filles, trifouillant pour trouver les produits de beauté. Hin hin hin, y avait de quoi faire. Il détruit littéralement les rouges à lèvres Chanel écrase les fares à joues et à paupières, fait des dessins morbides sur les miroirs à l'aide d'eye liner et de mascara puis balance le tout dans les chiottes défoncées, créant un petit tas. Non en fait il avait gardé un rouge à lèvre de pupute qu'il embarqua avec lui pour en déposer sur les lèvres du deuxième zboubi présent. D'ailleurs ce dernier se laissa faire sans broncher, incroyable. On dirait un petit chien tout mignon, genre un Cavalier King Charles. « Très classe, tu veux te voir ? »
Mais avant d'entendre une quelconque réponse, Ji Na revint à l'intérieur tout sourire pour annoncer leur départ. Et rassemblant toute les affaires, ils se firent la malle avant de se faire coincer par les flics ou quelqu'un d'autre. Au passage il tira son chapeau ( ouais ok il a pas de chapeau mais osef )à Ji Na et son feu de joie, traçant de ses grandes guibolles en chopant un peu Wannie à la traine.
AND IT S NOT OVER YOU SILLY BITCH.
Il revint aux côtés de son ami Wan Min qui lui arracha le sac des mains. Arquant ses sourcils il ne put s'empêcher de rire un peu en entendant le vert parler. Il disait de ces trucs des fois... sans déconner il était chelou ce gars. Mais drôle cependant. D'ailleurs il leva les yeux vers l'empreinte laissé au mur et sourit d'un air béat. « C'est plutôt parfait je trouves, c'est toi Tom Jédusor ? » demanda-t-il à Wan Min d'un air un peu débile en caressant sa tête. La drogue c'est mal m'voyez.
Après avoir jeté derrière son dos toute la bouffe qui lui restait il alla faire mumuse dans les chambres des filles, trifouillant pour trouver les produits de beauté. Hin hin hin, y avait de quoi faire. Il détruit littéralement les rouges à lèvres Chanel écrase les fares à joues et à paupières, fait des dessins morbides sur les miroirs à l'aide d'eye liner et de mascara puis balance le tout dans les chiottes défoncées, créant un petit tas. Non en fait il avait gardé un rouge à lèvre de pupute qu'il embarqua avec lui pour en déposer sur les lèvres du deuxième zboubi présent. D'ailleurs ce dernier se laissa faire sans broncher, incroyable. On dirait un petit chien tout mignon, genre un Cavalier King Charles. « Très classe, tu veux te voir ? »
Mais avant d'entendre une quelconque réponse, Ji Na revint à l'intérieur tout sourire pour annoncer leur départ. Et rassemblant toute les affaires, ils se firent la malle avant de se faire coincer par les flics ou quelqu'un d'autre. Au passage il tira son chapeau ( ouais ok il a pas de chapeau mais osef )à Ji Na et son feu de joie, traçant de ses grandes guibolles en chopant un peu Wannie à la traine.
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 10:13 Citer EditerSupprimer
Bon je pense que c'est pas le jour de l'attaque chez les bleu vu que certains d'entre vous sont dans le RP avec Sam, donc je considère que c'est un autre jour. A défaut de pouvoir se téléreporter, j'avise '-'... D'ailleurs, à défaut de savoir si c'est le jour ou la nuit j'en ferais abstraction. Bon puis si c'est après l'attaque des bleu t'façon Jeong m'a jacté donc en théorie j'arrive en même temps que vous vu qu'on fait la même route.
C'était encore une fois une bien mauvaise idée de la part des Sango de s'attaquer aux jaunes. La dernière attaque avait eu don de bien énerver le président, si bien qu'il avait demandé à Shûji de demander à son père le patron Fuji d'investir dans des alarmes haute gamme, le tout surveillé par un agent dans son bureau de la ville.
Les caméras filmaient tout, comme d'habitude : c'était la devise des Wonsungis, ne rien cacher, a croire que ces requins herbivores tout droit sortis de Nemo l'avaient oublier.
Recevoir un message d'alerte pour le jeune Yankee ne lui faisait ni chaud ni froid. Les assaillant sans personnalité et sans convictions venaient de perdre de belles années devant eux, derrière les barreaux. Chaque seconde les rapprochaient un peu plus de TIG, ces choses qu'il avait tellement détesté au Japon. S Takuya était un petit voyou de la même carrure que ce trio lorsqu'il était a Tokyo, les nombreux procès auxquels il avait participé lui avaient fait clairement comprendre les failles dans son plan. Et encore ! La précédente attaque était aussi sur bande, si bien que cela servait clairement de preuve contre ces types qui semblaient s'acharner sur les jaunes.
Pourquoi ? Un manque de confiance en eux ? Besoin de prouver qu'ils avaient des couilles ? Et en quoi exactement, s'attaquer à un lieu sans protection d'apparence ? Attaquer les gens dans leurs sommeil faisait-il des sangs les "maitres du monde", des mecs respectables ? Pas pour Takuya. Ils représentaient juste la plus misérable des crapules, si bien que ces crados ne méritaient même plus leurs place à l'université mais bel et bien à la rue.
Un homme derrière les caméra, payé à fixer les écrans. Une activité suspect. Le signal n'a pas besoin de voisins, il est automatique dès l'instant ou la fenêtre est brisé. L'alarme est silencieuse... C'est le but. Voir un crétin se servir dans le frigidaire, poser ses empreintes... Vas-y mon gars, Takuya jubile à l'idée d'avoir un peu plus de preuves à votre égard. Mais que voulez-vous, ce nouveau dortoir est plutôt Hi Tek pour améliorer les conditions de vie des jaunes qui ont eu beaucoup trop de soucis durant le tremblement de terre (rappelons que ce connard de Takuya est resté un mois à l'hôpital).
Si Takuya voulait prendre sa revanche personnellement comme l'aurait fait toute fraternité, il est bien décidé à prendre tous ces enregistrements et toutes ces preuves pour tirer les verts au trou : en prison. Clairement.
Les sirènes retentissent dans la rue, et le jeune Takuyankee quant à lui rejoint le trio d'énergumène qu'il méprise du plus profond de son être. A sa main, le téléphone qui a sonné quelques minutes auparavant. A ses lèvres, son éternel sourire. Vous essayez de shooter la fourmilière les gars ? Lance t-il dans leurs dos, tandis que les types se font la malle comme il imaginait. Composant rapidement le numéro de l'employé de l'agence de sécurité. Vous les avez en visuel ? On sent la tension, parce qu'il les maudit du plus profond de son âme... Même pire. Son mépris est supérieur à la colère de voir tout détruit encore une fois... Et pourquoi ? Après tout, c'était eux qui avaient commencés. L'homme à l'autre bout du fil lui répond que oui, les caméra ont filmé chaque parcelle des visages d'une femme et de deux garçons. Bien. On verra ça au tribunal. Lâche t-il dans un soupire.
Dieu maudisse les Sangos; ils ne l'emporteront pas au paradis.
C'était encore une fois une bien mauvaise idée de la part des Sango de s'attaquer aux jaunes. La dernière attaque avait eu don de bien énerver le président, si bien qu'il avait demandé à Shûji de demander à son père le patron Fuji d'investir dans des alarmes haute gamme, le tout surveillé par un agent dans son bureau de la ville.
Les caméras filmaient tout, comme d'habitude : c'était la devise des Wonsungis, ne rien cacher, a croire que ces requins herbivores tout droit sortis de Nemo l'avaient oublier.
Recevoir un message d'alerte pour le jeune Yankee ne lui faisait ni chaud ni froid. Les assaillant sans personnalité et sans convictions venaient de perdre de belles années devant eux, derrière les barreaux. Chaque seconde les rapprochaient un peu plus de TIG, ces choses qu'il avait tellement détesté au Japon. S Takuya était un petit voyou de la même carrure que ce trio lorsqu'il était a Tokyo, les nombreux procès auxquels il avait participé lui avaient fait clairement comprendre les failles dans son plan. Et encore ! La précédente attaque était aussi sur bande, si bien que cela servait clairement de preuve contre ces types qui semblaient s'acharner sur les jaunes.
Pourquoi ? Un manque de confiance en eux ? Besoin de prouver qu'ils avaient des couilles ? Et en quoi exactement, s'attaquer à un lieu sans protection d'apparence ? Attaquer les gens dans leurs sommeil faisait-il des sangs les "maitres du monde", des mecs respectables ? Pas pour Takuya. Ils représentaient juste la plus misérable des crapules, si bien que ces crados ne méritaient même plus leurs place à l'université mais bel et bien à la rue.
Un homme derrière les caméra, payé à fixer les écrans. Une activité suspect. Le signal n'a pas besoin de voisins, il est automatique dès l'instant ou la fenêtre est brisé. L'alarme est silencieuse... C'est le but. Voir un crétin se servir dans le frigidaire, poser ses empreintes... Vas-y mon gars, Takuya jubile à l'idée d'avoir un peu plus de preuves à votre égard. Mais que voulez-vous, ce nouveau dortoir est plutôt Hi Tek pour améliorer les conditions de vie des jaunes qui ont eu beaucoup trop de soucis durant le tremblement de terre (rappelons que ce connard de Takuya est resté un mois à l'hôpital).
Si Takuya voulait prendre sa revanche personnellement comme l'aurait fait toute fraternité, il est bien décidé à prendre tous ces enregistrements et toutes ces preuves pour tirer les verts au trou : en prison. Clairement.
Les sirènes retentissent dans la rue, et le jeune Takuyankee quant à lui rejoint le trio d'énergumène qu'il méprise du plus profond de son être. A sa main, le téléphone qui a sonné quelques minutes auparavant. A ses lèvres, son éternel sourire. Vous essayez de shooter la fourmilière les gars ? Lance t-il dans leurs dos, tandis que les types se font la malle comme il imaginait. Composant rapidement le numéro de l'employé de l'agence de sécurité. Vous les avez en visuel ? On sent la tension, parce qu'il les maudit du plus profond de son âme... Même pire. Son mépris est supérieur à la colère de voir tout détruit encore une fois... Et pourquoi ? Après tout, c'était eux qui avaient commencés. L'homme à l'autre bout du fil lui répond que oui, les caméra ont filmé chaque parcelle des visages d'une femme et de deux garçons. Bien. On verra ça au tribunal. Lâche t-il dans un soupire.
Dieu maudisse les Sangos; ils ne l'emporteront pas au paradis.
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 12:51 Citer EditerSupprimer
Moeko et Hara se marraient devant la caméra, étant en train de discuter avec reeva, essentiellement puisque leur vice présidente était hystérique et leur président assez... évanoui. Elle passa une main dans ses cheveux et s'apprêtait à passer un marché avec la Armani quand un bruit d'explosion de vitre se fit entendre. elle sursauta et agrippa le bras d'Hara. Putain, c'était quoi ça? Leur dortoir étant tout neuf et plutôt bien protégé, Moeko se demanda brièvement si les singes avaient oublier de refermer le portail après avoir quitter leur dortoir, mais elle se ravisa et se dit que les intrus étaient surement passé au dessus avec on ne sait quelle combine. La vice présidente lança un regard à la caméra et sourit de toute ses dents veuillez ne pas quitter l’entrepôt s'il-vous-plait sans se douter que l'agence tout risque allait débarquer là-bas sous les ordres de bowon. Elle se leva et s'approcha du couloir juste pour voir entrer par une des grandes fenêtre complètement pété trois personnes. Elle retins sont souffle pour ne pas crier et son cerveau travaillait à vive allure. que faire. Intervenir ou laisser couler ? Le couloir étant entièrement éclairée elle reconnu Jina. Elle retourna dans le salon en courant vers Hara, chuchotant y'as jina et deux autres types, c'est eux le bruit... on fait quoi?! Elle jeta un coup d'oeil à la caméra qui tournait toujours, s'ensuivit des bruits assez explicites pour comprendre que la verte et ses compères fracassaient tout ce qu'il avaient sous la main. Moeko attrapa la main d'Hara et l’entraîna de force vers une des pièces secrètes, la lui montrant par la même occasion. on va pas se battre contre eux, restons blancs! Elles attendirent donc dans la pièce cachée qu'ils dégomment tout, fulminant dans la pièce en se demandant ce qu'ils pouvaient bien foutre. Moeko bouillonnait sur place mais se retenait d'agir.
Le temps passe et quand les bruits d'alarme de police se font entendre dehors, et que le vacarme intérieur est finis, la vice présidente réouvre la pièce et sort, son regard dur se pose sur les caméras dans le salon dégommé, le tout dévasté, et elle n'ose même pas imaginer le reste. Elle passe dans le couloir et remarque les trous dans les murs et serre les poings, complètement dévastée. La guerre des dortoirs lui pèse de plus en plus et elle se retiens d'agir. Elle sait que l'alarme s'est déclenchée à l'instant même ou la vitre à été cassée, et ne doute pas qu'avec toute les caméras, il y auras assez de preuve pour les faire payer ça très cher. putain... Elle sortis par la porte principale et observa un magnifique feu de joie brûler, surement avec toute sortes d'affaires à eux. Elle arriva assez vite pour voir une voiture de police s'arrêter et attraper un des deux gars, qui de ce que qu'elle voyait paniquait dans un coin. ça ne suffisait pas à la faire se sentir mieux, et apercevant takuya, la vice présidente s'approcha de lui et passa un bras autour de sa taille, posant sa tête sur son épaule en soupirant longuement. ils ont toutes les preuves...? Elle releva la tête et esquissa un léger baiser sur la mâchoire si serré de son président et le lâcha pour prendre son téléphone et envoyer le même sms à tout les jaunes rentre au dortoir... y'as du ménage à faire. Elle se tourna vers la nouvelle batisse déjà dégradée et essuya avec violence une larme qui perlait au coin de son oeil. elle retourna près de Hara qu'elle savait énervée et la prit dans ses bras en signe d'affection. on va les faire payer d'une façon ou d'une autre.
FIN DE L'ATTAQUE BLEU/VERT/JAUNE.
WAN MIN, JIL SUB ET JINA IRONT AU TRIBUNAL.
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Re: YOU AIN T SHIT WITHOUT UR CREW. | Ven 20 Mar - 14:41 Citer EditerSupprimer
Les sirènes se font entendre et Jil Sub continue à courir avec ses trois acolytes direction dortoir sango pour aller annoncer la nouvelle aux autres. Attendez trois... il en manque un là. Il voyait bien la tignasse de son amie Ji Na mais Wan Min était plus avec lui. Merde fait chier. Il s'arrêta net et lâcha les affaires. « Va au dortoir Ji Na, je vais chercher Wan Min je vais pas le laisser avec les flics. » Wan Min était trop naïf et trop fragile pour endurer ça. Et puis totu est de sa faute, il va assumer jusqu'au bout ses conneries. Il tapa un sprint jusqu'à la voiture de police où il aperçut effectivement Wan Min, complètement à l'ouest et sûrement au bord de la crise de nerfs. D'ailleurs tous les regards jaunes étaient rivés sur lui aussi. Mais ça autant vous dire qu'il s'en battait les couilles. Ils devaient être bien faire d'avoir choper du vert, grand bien leur fasse. Ca ne fera naître ni le regret ni la compassion. Jil Sub au début n'était pas du tout dans cet esprit de guerre entre les dortoirs. Il oservait juste la puerilité des autres. Mais il finit par comprendre que quand on touche à la shark family, y avait pas de quartier. Les verts, c'est la famille de Jil Sub. Et quiconque essaye de s'en prendre à eux réveille la colère intérieure du coréen.
Il était essouflé, et le visage toujours partiellement recouvert de sang séché. Il n'avait pas pris le temps d'en prendre soin et devait sûrement ressembler à un psychopathe. On lui prit directement les poigniers avant de lui donner le discours habituel. Il se retrouve adossé à la voiture de police avec Wan Min à côté de lui. Putain, fallait qu'il le fasse partir. « S'il vous plait relâchez le il y est pour rien, vous voyez pas qu'il flippe grave ? C'est ma faute c'est moi qui l'ait embarqué ici, je vous donnerai toute les preuves et tout ce que vous voulez arrivé au commissariat, mais tout ce qui vient de se passer je m'en tiens personnellement responsable. » Il discuta un long moment avec les policiers qui commencèrent à lui poser diverses questions personnelles. Le coréen explique que c'est lui qui lui a demandé de faire tout ce qui a été fait et filmé par les cameras, que Wan Min n'était absolument pas d'accord pour ça. Il les suppliait presque, continuant une lourde argumentation, ajoutant le fait qu'il était mineur etc.
Ca craignait un max pour lui. Pour lui, pour sa futur carrière de sportif pour tout. Mais il le savait, et il l'assumait. Il restait la tête haute. « On l'emmène au commissariat pour les modalités et ensuite on le laissera partir. Mais assurément il aura un casier judiciaire, n'en doutez pas. » Jil Sub s'incline poliment et respectueusement, plusieurs fois, et regarde Wan Min. « Je suis désolé t'aurais pas du être là mon vieux. » On le força à rentrer dans la voiture et il regarda une dernière fois les wonsungis avant de leur adresser un regard plein de pitié, un léger sourire goguenard au coin des lèvres. Hochant la tête d'un air fatigué, il restait tout ce qu'il y a de plus détendu. Détendu à l'idée de savoir, qu'ils devaient s'attendre au pire.
Il était essouflé, et le visage toujours partiellement recouvert de sang séché. Il n'avait pas pris le temps d'en prendre soin et devait sûrement ressembler à un psychopathe. On lui prit directement les poigniers avant de lui donner le discours habituel. Il se retrouve adossé à la voiture de police avec Wan Min à côté de lui. Putain, fallait qu'il le fasse partir. « S'il vous plait relâchez le il y est pour rien, vous voyez pas qu'il flippe grave ? C'est ma faute c'est moi qui l'ait embarqué ici, je vous donnerai toute les preuves et tout ce que vous voulez arrivé au commissariat, mais tout ce qui vient de se passer je m'en tiens personnellement responsable. » Il discuta un long moment avec les policiers qui commencèrent à lui poser diverses questions personnelles. Le coréen explique que c'est lui qui lui a demandé de faire tout ce qui a été fait et filmé par les cameras, que Wan Min n'était absolument pas d'accord pour ça. Il les suppliait presque, continuant une lourde argumentation, ajoutant le fait qu'il était mineur etc.
Ca craignait un max pour lui. Pour lui, pour sa futur carrière de sportif pour tout. Mais il le savait, et il l'assumait. Il restait la tête haute. « On l'emmène au commissariat pour les modalités et ensuite on le laissera partir. Mais assurément il aura un casier judiciaire, n'en doutez pas. » Jil Sub s'incline poliment et respectueusement, plusieurs fois, et regarde Wan Min. « Je suis désolé t'aurais pas du être là mon vieux. » On le força à rentrer dans la voiture et il regarda une dernière fois les wonsungis avant de leur adresser un regard plein de pitié, un léger sourire goguenard au coin des lèvres. Hochant la tête d'un air fatigué, il restait tout ce qu'il y a de plus détendu. Détendu à l'idée de savoir, qu'ils devaient s'attendre au pire.
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