We're two wolf in sheep's clothing

Mi Hee & In Ha

Pourquoi étais-je là déjà ? Ma mémoire devenait floue, totalement dominée par l'instant présent et mes sens en éveil. J'étais dans un des centres commerciaux de mon père, plus précisément dans celui où il avait son bureau, au huitième étage. Je sortais d'une réunion, je n'avais il y a encore vingt minutes que ma répétition en tête, et savez-vous ce qui avait viré et remplacé cette pensée dès à présent ? Je la veux. Ces trois mots résonnaient de plus en plus dans ma tête, surtout depuis qu'elle les avait elle-même prononcé. Quoi de plus attirant qu'une femme qui vous dit de son propre chef qu'elle vous désirait ? Ça, et le caractère qui allait avec. Une tornade, une tigresse, décrivez-la comme vous le voulez, mais je n'aurais jamais cru aller aussi loin avec elle dans cette cabine d'essayage. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, nonnn je n'y avais absolument pas pensé en l'y cachant avec moi ! Mais que voulez-vous, il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis. On est jeune, on est en vie, profitons-en avant que la morale, la peur et le manque de courage nous détruisent à tout jamais !

Les soupirs qu'elle lâcha contre mon oreille, mes doigts faisant de lents va et vient entre ses cuisses, ses ongles marquants leur territoire dans mon dos, l'ascenseur qui montait bien trop vite à notre goût, mais le meilleur n'était pas encore arrivé ! Bien que dans l'ascenseur, je ne l'avais encore jamais fait, il fallait que je le note sur une liste pour plus tard ! La sonnerie indiqua que les portes étaient ouvertes, mais me détacher d'elle était très difficile.. Surtout qu'elle en rajoutait en m'agrippant brusquement, frôlant nos deux désirs mutuels qui s'enflammaient entre nos jambes. Mes lèvres s'entrouvrirent à ce contact, avant de m'en détacher, la suivant dans le couloir en lâchant un rire plein d'impatience, sa main tirant la mienne vers le bureau. On aurait dit deux bourrés, deux dingues, alors que le pire, c'était qu'on était parfaitement conscient et normaux ! Mi Hee me plaqua tout d'un coup contre le mur, mes mains vinrent se poser sur ses fesses, glissant sous la veste qu'elle portait, alors que je calais ma tête en arrière, appréciant les baisers qu'elle déposait sur mon torse, avant de lâcher un soupir surpris, ses doigts s'aventurant sur ma virilité. Je la plaqua un peu plus sur celle-ci, la laissant à nouveau s'échapper, je restai contre le mur en souriant, admirant la jeune femme marcher en ondulant de ses hanches alléchantes. J'allais crever. Je me redressa, avançant à pas lents vers elle, l'observant déboutonner ma chemise, l'appétit se lisait dans mes yeux alors qu'elle me montrait le peu de cuisses qui n'était pas encore dénudé par mes soins. « Et je ne laisserais ma place à quiconque.. » Ma langue passa lentement sur ma lèvre inférieure, mes pas s'accéléraient, s'accéléraient de plus en plus, avant de la rattraper, la plaquant contre les doubles portes de mon bureau. Je capturais sa bouche avec passion, agrippant plus sauvagement ses fesses pour la soulever, avant d'ouvrir la poignée qui me faisait grogner de ne pas vite s'ouvrir ! D'un rapide coup de pied, je refermais la porte, soupesant Mi Hee contre mes hanches dont la proximité nous rendait tous les deux un peu plus fous par ce simple contact, ce simple frôlement insistant dès plus cruel...

Je la déposa sur le rebord du bureau, faisant valdinguer deux ou trois dossiers dans un coin, ainsi que d'autres objets que je ne préférais pas casser dans nos ébats ! Je forçai son bassin à se coller un peu plus au mien, avant de me détacher de ses lèvres, m’intéressant au bout de tissu en dentelle rouge, que je fis lentement glisser sur ses jambes, un regard en coin. Légèrement accroupi, j'admirais sans gêne ses longues jambes se croiser, cachant pour le moment son intimité sous ma légère chemise blanche. Mon index passa sur ma lèvre inférieure avec envie, avant de me farfouiller dans mon sac un peu plus loin, calé à côté de ma guitare et de mes fringues plus soft que mon costume de marque. Pour une fois, je n'avais pas caché l'instrument car je savais que mon père n'aurait pas le temps de passer par ici. Préservatif trouvé, je m'avança vers l'étudiante avec lenteur, la reluquant toujours avec le peu de calme qu'il me restait encore, alors que mon souffle et le sien s'entendaient encore et toujours dans cette pièce silencieuse. Je me cala devant elle, déposant l'objet à côté d'elle. Je me rapprocha un peu plus, mes yeux fixant les siens en état d'alerte, creusant à nouveau sa gorge du bout de ma langue, inspirant le doux parfum de sa peau de femme jusqu'au décolleté de sa poitrine, dont je prenais soin avec lenteur de dégrafer chacun des boutons qui la couvrait encore. « Je te veux. » murmurai-je dans un souffle chaud contre son ventre, entrouvrant les pans de sa chemise. Ma respiration continuait plus bas, plus bas encore, ma langue s'aventurant dans son intimité d'un simple toucher, avant d'intensifier son passage, écoutant attentivement les crispations de Mi Hee sur le bureau, les tremblements de ses cuisses entre mes mains chaudes, les gémissements que certains points semblaient lui prodiguer.. Un fin sourire venait se dessiner sur mon visage, pendant que le sien était déformé par le plaisir..
   
  
 
 

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We are Animals. We are young. We are free.

With In Ha

C'était mon jeu. Mon jeu préférer. Séduire la gente masculine était un jeu qui me satisfaisais toujours et mon choix de partenaire avait été l'idéal. Je ne choisissais pas n'importe qui, oh non. Je savais qu'In Ha était clean. Clean dans le sens où il ne couchait pas avec n'importe qu'elles meufs pour refiler des bestioles à ses autres conquêtes. Contrairement à ce que l'on croit, je choisissais méticuleusement mes partenaire sexuel, les observant pour les étudier en profondeur.  Jamais je n'ouvrais mes jambes à n'importe qui. Je voulais tenir ça quand même propre.

Nous étions désormais à l'étage, là où tout allait se jouer. Je me montrais des plus aguicheuse et mon sourire ne cessait de s'agrandir en le voyant réagir aussi fort que je ne l'aurais crus. Ses paroles si possessives me fit frissonner de plaisir, surtout en voyant sa langue passer sur ses lèvres tel un animal chassant sa proie. Après tout, moi aussi, j'avais la folle envie de l'avoir presser contre mon corps, d'entendre ses gémissements d'hommes. Oh bordel, je sentais mon entre-jambe déjà mouillé sous ces pensées.

Le voyant accélérer le pas jusqu'à moi pour me plaquer contre les deux portes de son bureau, j'esquissais toujours ce sourire pervers sur mes lèvres tout en savourant les siennes. J'y ajoutais ma touche personnelle, bougeant mes lèvres avec les siennes pour lui dévorer sensuellement sa bouche. Ma langue rejoint la sienne tout en laissant mes jambes entourer les siennes. Bordel ses mains ce qu'elles étaient baladeuses. Je le sentais si désireux et impatient. Mes fesses me provoquais une sensation tellement je sentais ses mains si envieuses. Je m'agrippais à lui, sentant nos corps si brûlant que s'en était plaisant. D'ailleurs, je lui mordis quelques fois ses lèvres pour lui montrer que j'avais faim, faim de lui.

Dans le bureau, nos souffles s’entendirent malgré nos lèvres scellés. L'endroit n'était plus silencieux sous nos soupirs d'excitation. Cet endroit allait être marqué, croyez-moi. Déjà que In Ha me déposais sur le rebord de son bureau, je savais que tout allait jouer à partir de cet instant. J'espère qu'il avait un bon concierge sinon, on allait devoir tout nettoyer tout seul et ça, qui sait ce qui pourrait se reproduire pendant qu'on fait le ménage, hein ?

Laissant mon bassin se coller à celui du blondinet, je déposais mon regard fauve dans celui de mon repas, souriant également en coin en reprenant tranquillement ma respiration régulière. Lorsque je le sentis descendre ma petite culotte, je me mordillais doucement la lèvre inférieur, le regardant s'accroupir légèrement. Je croisais mes jambes pour le faire baver un peu, lui empêchant de voir la belle vue qu'il aura sous les yeux bien plus tôt que je ne l'aurais crus. Me redressant pour m'assoir sur le rebord du bureau, je le regardais fouiller dans un sac pour prendre un préservatif entre ses doigts. Je me mis à sourire en coin, étouffant un petit rire coquin.

« J'espère pour quoi que ce n'était pas le dernier... »

Haussant un sourcil provocateur, je le regardais s'avancer avec lenteur vers moi. Bordel qu'il était chaud ce mec ! Comment n'avais-je pas pus le remarquer avant ? Ne m'attardant pas à ce genre de réflexion, je le regardais se caler à nouveau entre mes jambes, un léger soupir franchis mes lèvres en sentant à nouveau la chaleur de son corps. Je sentais son bassin contre le mien, ce qui me fis mordre ma lèvre d'impatience. Son regard si attrayant me fis frissonner. Je frissonnais davantage en sentant sa langue contre le creux de ma gorge, allant jusqu'au début de ma poitrine. Il entreprit d'ouvrir les boutons encore intact de sa chemise, continuant de promener ses lèvres sur mon ventre. Ses paroles me firent frémir de désir, surtout par la cause de son souffle chaud contre mon ventre. Il descendit encore plus bas, passant sa langue sur mon intimité, ce qui me fit spasmer légèrement. Je me mordais la lèvre inférieur pour étouffer les sons. Il n'allait pas me faire crier aussi facilement, héhé. Malgré que sa langue était vachement bonne, trouvant les endroits les plus sensibles. Je ne pouvais m'empêcher de spasmer sous le plaisir, gémissant entre mes dents et ma lèvre, ma respiration s'accélérant doucement. Je me laissais littéralement tomber contre le bureau, crispant légèrement mon corps sous les coups de langues bien placés. Je posais mes pieds dans son dos, le poussant plus contre le bas de mon corps, voulant plus de sensation. Je lui lançais clairement un défi en m'empêchant de trop m'exprimer: celui de me faire crier.

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Mi Hee & In Ha

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, je n'avais pas l'habitude de faire ça. Coucher dans un tel endroit. J'avais déjà tenté des endroits autre qu'un simple lit, en particulier les "loges" des bars et autres clubs dans lesquels on se produisait, surtout quand Rahel était dans le coin, et que notre patience atteignait ses limites. Mais en plein centre commercial de mon père, qui plus est, pas loin de son bureau, ça jamais ! Est-ce que cela m'arrêtait pour autant ? Je crois que je n'en serais même plus capable tant la satisfaction de notre désir devait être enfin comblée, ici et maintenant. Faire marche arrière ? Impossible. Mes mains en voulaient plus, toucher et encore toucher, découvrir tout, sans omettre aucun détail. La gourmandise était bel et bien mon pire défaut, après mon côté naïf et tête en l'air bien-sûr. La gourmandise du corps féminin, en particulier celui de Mi Hee à cet instant-même.. La vue de ses formes me rendait affamé, douloureusement envieux au fur et à mesure que les secondes passaient. Dans ma tête, l'excitation prenait le contrôle, pourtant je me demandais comment mes gestes pouvaient encore transcrire une part de calme et de maîtrise, alors que je ne souhaitais que la coller une bonne fois pour toute contre moi, et l'entendre crier.. Peut-être que garder ce contrôle sur mes actions me plaisait, faisant dangereusement monter le désir pour moi comme pour elle.

Ainsi, je prenais mon temps, le crescendo était sans aucun doute ma plus grande arme. La brutalité était loin d'être mon style, ni le sexe rapide, ennuyant et d'une banalité à pleurer. Les préliminaires, et encore les préliminaires, voilà qui était intéressant. Je crois d'ailleurs qu'on en avait eu assez hmm ? On avait pas lésiné là-dessus. Vous vous rendez compte tout ce qui s'était passé depuis le magasin ? Je m'étais planqué derrière un stand de body pour éviter les hommes de mains et je me retrouvais, à ôter le sous-vêtement en dentelle de Mi Hee, sur mon bureau au 7ème étage ! Ce scénario était dingue, incompréhensible, mais.. des plus agréables. Un soupir retenu quand ma langue s'aventurait un instant entre ses cuisses. Le soupir s'échappa enfin quand j'insista un peu plus, ravi. De brèves exclamations des plus excitantes la prenaient par surprise, et je marquais ses points sensibles en m'y acharnant avec attention. Ahh voilà les gémissements, les voilà donc.. Ici ? La jeune femme se laissa tomber sur le bureau, mes mains caressaient doucement ses jambes qui se crispaient de plus en plus.

Il semblerait que ce ne soit pas fort désagréable ce que je lui faisais, n'est-ce pas ? Ses pieds s'appuyèrent sur mon dos, m'incitant certainement à continuer. Avec plaisir très chère.. Je continuais pendant quelques secondes, avant de venir capturer l'un de ses seins de ma main gauche, jouant avec leur douceur. J'avais fini par quitter son entrejambe, me penchant sur elle pour laisser mes lèvres remonter doucement jusqu'au second, embrassant ce bouton de chair, sensible, abandonné. Ma main droite s'ennuyait, libre comme l'air elle se glissa entre ses cuisses délaissées, mes doigts passant soudainement à une vitesse supérieure dans leur dextérité. Ma bouche remonta jusqu'à son cou, y nichant des baisers, j'écoutais son souffle, ses soupirs, ce léger gémissement de surprise à la nouvelle arrivante en contre-bas. La gauche continuait à caresser l'un de ses seins, je lâchai un petit rire à son oreille, provocateur, coquin, sentant mes doigts s'humidifier peu à peu. « J'adore ce que j'entends.. » murmurai-je, mon entrejambe confirmait d'ailleurs amplement mes paroles. Je l'attaquais presque sous tous les fronts, son cou, sa poitrine, et le principal. Mais je n'en avais pas assez, je remonta jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser, mes yeux plongés dans les siens alors que mon index s'aventurait dans une zone sensible de son intimité. Son expression était terriblement sexy... Je la fixais un instant, couché sur elle, avant de me relever, laissant une petite pause à mademoiselle sur le bureau. Mi Hee, à moitié nue, ma chemise blanche ne couvrant désormais que ses bras... M'en éloigner était un supplice. Aguicheur, j'enleva avec lenteur mon pantalon, qui s'envola un peu plus loin, très vite suivi par mon boxer de couleur sombre. Ma virilité montrait clairement que l'étudiante lui faisait plus que de l'effet ! Tendue, gonflée, le mal que je ressentais allait très vite changer d'humeur. J'enfilai le préservatif, frôlant le creux de ses cuisses, l'observant du coin de l'oeil. Je passa mes mains sous ses reins puis derrière sa nuque pour la relever, la collant avec possession contre moi. « Prête.. ? » demandai-je, sa bouche effleurant la mienne, avant de rapprocher ses hanches et de la pénétrer. Un gémissement rauque m'échappa entre ses lèvres, la sensation de chaleur en elle était plus que stimulante... Mes mains passèrent sur ses fesses, la plaquant un peu plus, jouant sur ce va et vient.. Plus, plus, encore plus..
   
  
 
 

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With In Ha

Ce jeu sensuel avec sa langue m'apportais tranquillement vers le septième ciel. Bordel, il était l'un des meilleurs à ce préliminaire. J'allais en devenir accros, c'était certains. Il allait également se souvenir de moi à chaque fois qu'il allait venir dans son bureau. En tout cas, j'allais lui laisser des marques pour qu'il s'en souvienne. Laisse mon petit passage histoire qu'il ne m'oublie pas. Après tout, je lui est offert mon corps, hein ?

C'était tellement bon que ma tête tournait. Je ne pouvais pas m'empêcher de me crisper le corps, crispant également mes oreilles sous le bonheur de sa langue sur mon intimité. Je me mordais de plus en plus fort la lèvre, laissant des gémissements et des soupirs sortirent malgré moi. Ses mains qui touchèrent mes cuisses me rendais également folle, provoquant un chatouillement à mon intimité, dont In Ha s'amusait toujours à titiller. Je me cambrais sous le plaisir lorsqu'il attrapa mon sein gauche, soupirant d'aise, n'en pouvant plus de me retenir ainsi. Je fermais mes poings tout en fermant les yeux, balançant ma tête vers l'arrière lorsqu'il remonta le long de mon corps vers ma poitrine qu'il embrassa. Je n'eus pas le temps de me reposer qu'il activa ses doigts juste à la bonne place, déclenchant ainsi un début d'orgasme dont il eut pour effet de me faire gémir et soupirer assez fort, près de son oreille lorsqu'il vint embrasser mon cou qui me fit frémir de plaisir. Tout était combiné et j'essayais le plus possible de me contenir, mon corps se crispant sous le poids de In Ha.

Je rouvris les yeux lorsque je l'entendis parler, soupirant à plusieurs reprises sous le bonheur que je vivais, ma respiration étant bruyante, mais non déplaisante à ce que je voyais. Je souris en coin juste avant qu'il ne dépose ses lèvres contre les miennes, refermant mes yeux tout en y ajoutant ma touche personnelle en enflammant le baiser, lui agrippant son dos avec mes ongles, sans lui faire de mal. Je soupirais d'aise au travers de ses lèvres, n'en pouvant plus. Mes jambes tremblaient de bonheur, d'un bonheur sauvage. Bordel que je voulais le sentir à l'intérieur de moi. Là, maintenant.

Comme si il avait entendu ma pensée, il se détacha de moi. Je soupirais bruyamment d'un soupir jouissif, laissant mon corps tomber littéralement sur le bureau après avoir remarqué que je gardais mon corps surélevé. Je fixais le plafond de son bureau tout en passant ma main sur mon ventre, me mordant la lèvre inférieur. Bordel que les préliminaires étaient génial. Sérieusement, il me donnait le goût d'être animal, d'être féroce, d'être celle qui avait besoin d'échapper le mal que j'avais à l'intérieur, sans pour autant l'affecté négativement. Putain, ce Wonsungi...

Je me relevais légèrement à l'aide de mes coudes, regardant In Ha se déshabiller en lenteur. Je continuais à me mordre la lèvre inférieur, ayant le goût de lui sauter dessus, directement, mais je restais drôlement calme, haussant un sourcil provocateur. Voyant son membre quand même bien membré faire son petit coucou, je ne pus m'empêcher de lécher mes lèvres sous cette découverte. Eh bah, voyez-vous ça. Je lui faisais de l'effet et pas qu'un peu. Je le regardais enfiler le préservatif et me détendis enfin, balançant doucement ma tête vers l'arrière en retrouvant calmement ma respiration malgré le frottement du jeune homme contre mes cuisses, échappant un petit soupir d'envie.

Je me raidis lorsqu'il glissa ses mains contre mes reins, puis sur ma nuque pour me rapprocher de lui. Je suivis le mouvement, sans broncher, collant mon corps contre le sien, écrasant ma poitrine contre son torse. Sous sa question, je me mis à sourire en coin, collant nos lèvres ensemble en l'embrassant langoureusement tout en glissant mes mains contre sa nuque, lui agrippant doucement ses cheveux. Je le laissait m'avancer vers lui, le laissant me pénétrer avec douceur, mais sans trop tarder. Je soupirais entre ses lèvres en même temps qu'il échappa un gémissement rauque qui me fit frémir. Je le tenais contre moi, serrer, suivant sa petite cadence à la perfection, malgré que mon popotin soit coincé sur son bureau. Il faudrait penser à le laver après, hein.

La profondeur avec laquelle il entrait et sortait me faisais doucement gémir. Je lui agrippais un peu plus sa nuque, détachant avec regret ses lèvres pour aller lui embrasser son cou, allant lui laisser une jolie marque avec ma bouche, histoire qu'il se rappel de mon passage. Je laissais, à ce moment, mes mains lui agripper les fesses, le poussant plus à l'intérieur de moi, comme si il avait besoin d'aide pour aller plus profond. Bordel que j'étais en extase en ce moment. C'était trop bon de le sentir à l'intérieur. Bordel qu'il me faisait effet, pourquoi ne l'avais-je pas vu avant ?

« In Ha... Prends moi... Contre le mur... C'est encore plus agréable... Et profond... »

Lui dis-je dans son oreille, la lui mordillant doucement en soupirant. J’entourais ses hanches avec mes jambes, lui laissant quand même la manœuvre de continuer ses vas-et-viens. On allait sûrement revenir sur le bureau plus tard lorsque la partie allait s'échauffer. Pour le moment, on voulait se sentir, tous les deux, alors pourquoi pas utiliser le mur pour ça, hein ? Quand je disais que j'allais laisser ma marque, mon parfum allait rester étamper sur presque toutes les surfaces.

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Mi Hee & In Ha

Aimait-elle ? Appréciait-elle ? Apparemment, c'était bel et bien le cas. Les sons qui passaient tout d'abord furtivement ses lèvres puis, plus incontrôlables et inarrêtables.. Les soupirs étaient devenus des petites exclamations, comme si je lui faisais du mal mais l'on savait bien elle et moi que c'était parfaitement le contraire. Puis des gémissements qui s'intensifiaient à chaque zone que je touchais, crispant son corps entier sur le bureau en bois. J'observais sa poitrine se soulever à chaque passage de mes lèvres sur sa peau, celle-ci se réchauffait hardiment, chaque partie s'enflammait littéralement, la forçant à entrouvrir sa bouche pour laisser échapper ses plaintes qui ne voulaient se taire, la forçant à entrouvrir ses cuisses qui en désiraient davantage. Plaintes si excitantes que je voulais encore entendre.. Laisse-moi encore les entendre.. Mais si je continuais comme ça, j'allais littéralement exploser, mon entrejambe la première ! Mi Hee semblait satisfaite de mon petit amuse-bouche, oh que l'expression était bien choisie.. Si bien que je décidai d'arrêter ma torture malicieuse, histoire de ne pas déjà l'épuiser, pour m’intéresser au préservatif que j'enfila sans peine sous ses yeux, après mettre déshabillé avec lenteur, démontrant une pointe d'arrogance dans mes gestes. Je savais que j'étais bien fait, alors qu'elle en profite, tout autant que je profitais d'elle pour encore quelques heures, oubliant un petit moment que mon groupe m'attendait..

Je glissai ses cuisses contre mes hanches, la pénétrant avec extase, soulageant le tremblement de ses jambes et mon entrejambe gonflée. Son soupir se mêla au mien, plus rauque, plus intense encore, tant l'envie me tiraillait depuis un bon moment. Etre à l'intérieur d'elle était comme un cocon chaud, dont je voulais stimuler la température dans un va et vient torride et langoureux. Sa poitrine gourmande écrasée sur mon torse me tentait, ce simple toucher m'excitait, ses boutons de chair trahissaient également son désir. Je passa ma langue sur ses lèvres, la laissant m'embrasser à nouveau, sa main crispée dans ma nuque, avant qu'elle ne descende vers mon cou m'arrachant des frissons plus forts. Ah putin c'était tellement sensible ! Un grognement de plaisir m'échappa alors que je la sentais m'infliger une marque sur ma peau. Encore une marque que tout le monde allait remarquer et me questionner ! J'esquissai un léger sourire à cette pensée, nul gêné par les suçons de l'étudiante. Mais qu'elle était impatiente, d'une voracité insatiable ! Ses mains appuyaient avec force sur mes fesses, m'incitant à aller plus profondément encore. Elle aimait bien faire ce qu'elle voulait hmm ? Mais je n'étais pas contre la suivre. La preuve, à sa demande contre mon oreille, entrecoupé de sa respiration courte et emballée, mon sourire s'intensifia, amusé, animal. 

D'un geste rapide, ses jambes enroulées autour de moi, je la souleva, mes mains crispées sous ses fesses. Mon regard dans le sien, je fis quelques pas et la plaqua contre l'un des murs à quelques mètres seulement, enfonçant tout d'un coup mon membre plus profondément en elle. Je lâcha un immense soupir dans son cou en la sentant entièrement contre moi, en me sentant entièrement en elle. « Est-ce plus.. agréable.. comme ça ? » murmurai-je contre son oreille, aguicheur, accentuant davantage mon mouvement en elle. Son dos collé au mur, je pressais à mon tour ses fesses, la portant sans peine. Ma chemise avait glissé, elle n'avait désormais plus rien sur elle. On n'était plus que deux corps, deux corps brûlants liés par l'ivresse de l'union charnel... Le sien se frottait contre le mur à chacun de mes accoups. Je croquai la peau de son cou, sans lui faire du mal, je m'imprégnais des bruits qu'elle émettait, se reflétant parfaitement aux miens, se faisant écho. Tantôt aiguës, tantôt rauques, la pièce n'était remplie que de nos plaintes, de notre plaisir splendidement intense... Gourmand, je pencha légèrement Mi Hee vers l'arrière de sorte à ce que ses fesses ne touchent plus le mur. En une respiration, j'attaqua sa poitrine aguicheuse, suçotant plus fort ses bouts de chair si tendus, embrassant leur rondeur féminine dont je sentais encore les contours un peu plus tôt sur mon torse. Puis finalement, je la reposa par terre, non par manque de force ou d'envie, juste pour.. améliorer les possibilités. D'un sourire coquin, je passa ma main sur l'une de ses fesses, longeant sa cuisse avant de la soulever pour la crocheter contre moi, me rapprochant encore plus d'elle pour entrer à nouveau ma virilité plus lentement, plus profondément encore.. Mon visage à quelques centimètres du sien, ma seconde main caressa les contours de son corps, venant parcourir sa jambe, sa hanche, sa taille, avant d'étreindre sa poitrine. On aurait dit que mes doigts cherchaient à la peindre mentalement dans mon esprit. J'avais chaud.. Putin que j'avais chaud.. Mais que c'était bon, irremplaçable, elle était l'extase à elle seule ! « Tu m'enivres.. Ta chaleur m'enivre putin.. » laissai-je échapper en léchant ses lèvres du bout de ma langue. J'accélérai de plus en plus le mouvement, ses fesses cognaient contre le mur blanc, j'embrassai ses lèvres sensuellement, passionnément, sauvagement, avant que nos gémissements deviennent des cris...  
   
  
 
 

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With In Ha

J'adorais voir que mes baisers rendais fou In Ha. C'était un don chez moi. Les baisers étaient divins, si divins que l'on s'y perdait, voir même s'extasiait sous le baiser. Entendre In Ha grogner de satisfaction me tira un sourire tout en soupirant d'aise sous chacun de ses mouvements de bassin. Bordel que c'était une sensation agréable de sentir quelqu'un à l'intérieur de moi. Nous ne formions qu'un, malgré que l'amour n'y était pas. Bon, on ne se détestait pas, mais ce n'était pas l'amour fou non plus. Une grosse attirance, ça, oui. Il était vachement bien fait et c'était encore plus excitant.

Je voulais plus. Je ne me gêna pas pour poser mes mains contre les fesses potelées du Wonsungis, les rapprochant pour le sentir encore plus profond en moi. Être dans une telle position était légèrement confortable, malgré que nos deux corps répondaient parfaitement à la chaleur de l'autre, suivant l'un et l'autre les mouvements, comme une danse. Cette danse si sensuelle. Je lui proposa de me prendre contre le mur, histoire d'aller plus en profondeur. Il ne broncha pas, me soulevant sans problème pour venir me plaquer contre, me pénétrant complètement. J'échappais un fort gémissement qui résonna dans son bureau, se mêlant à son soupir contre mon cou. Mes ongles avait pénétrer sa peau avec le mouvement qu'il avait fait, mon corps tremblant légèrement de plaisir. Je me mordillais la lèvre inférieur tout en souriant en coin sous sa question, ma respirations haletante de plaisir.

« J'adore... T'es un vrai dieu. »

Je gémis après le mot "j'adore" en le sentant accentuer son mouvement à l'intérieur de moi. Je m'agrippais à son dos, laissant mes ongles pénétrer un peu plus dans sa peau sous les coups bien placés. Rien ni personne ne pouvait casser cette ambiance si chaude, si sensuelle. J'étais dans un tout autre monde, un monde où jouissance et bonheur était à son comble. Je me sentais bien, terriblement bien. Cette chaleur que nos corps se partageaient en se frottant à l'un et à l'autre sous les coups de bassins d'In Ha était une vraie drogue. Nos gémissements étaient des plus excitant, augmentant le désir de dévorer l'autre alors que nous étions scellés. Je désirais plus, encore plus le sentir, encore plus l'entendre. Heureusement que la chemise avait tombée seule parterre lorsqu'il m'avait déplacé parce que je l'aurais rapidement dégagée. J'avais chaud, très chaud.

Le sentant me déplacer légèrement pour décoller mes fesses du mur, je me mis à sourire en coin en le regardant droit dans les yeux avant de les fermer lorsqu'il suçota l'un de mes seins avec hardeur. Je me mis à gémir plus fort, ma voix résonnant entre les murs. Heureusement qu'il n'y avait plus personne parce qu'ils auraient très bien pus entendre mes gémissements. Posant ma main dans ses cheveux, l'agrippant presque sauvagement, je me mis à me mordre la lèvre, détestant entendre ma voix résonner. J'étouffais mes soupirs d'aise entre mes lèvres avant de ré-ouvrir les yeux en me sentant déplacer à nouveau. Je regardais In Ha droit dans les yeux lorsque mes pieds touchèrent le sol, lui caressant ses abdominaux en les griffant doucement de mes petits ongles Je sentais sa main glisser de ma fesse jusqu'à ma cuisse qu'il leva pour adopter une nouvelle position. Je frissonnais sous son contact et ne broncha pas sous cette nouvelle position, posant mes bras autour du cou du Wonsungi. Sa main baladeuse me fis faire des frissons qui me fis soupirer de plaisir, continuant à suivre le mouvement sensuelle du bassin d'In Ha. Sa main vint prendre l'un de mes mains et je ne pus empêcher d'échapper un soupir bruyant, sentant mon intérieur être fou, fou de plaisir. Je sentais l'orgasme monter. Je dévorais littéralement la bouche d'In Ha, allant rejoindre sa langue aguicheuse qui avait caressé mes lèvres. Mon visage se crispa sous le bonheur qui montait lentement, adorant ce feeling si désireux de vivre. Nos gémissements se transformèrent en cris, tous les deux atteignant l'extase, le septième ciel. Je rapprochais In Ha de moi, lui serrant sa nuque en criant de plaisir, contractant l'intérieur par automatisme. Je spasmais d'un plaisir incontrôlable, me laissant légèrement tomber sur le Jaune.

« Pu...Tain... Que... C'est bon... »

J'embrassais le coin de sa mâchoire, puis son cou, retournant faire un suçon. Il allait être marqué, le pauvre. Il n'y avait qu'un seul endroit visible et je venais de le faire, sous la jouissance qu'il m'avait donné. Bougeant mes hanches, je me reculais pour coller mon dos au mur, lui caressant avec sensualité ses abdominaux, me léchant la lèvre inférieur.

« J'espère... Que ... Ce n'était pas tout... Parce que j'ai encore faim... »

Je souris en coin, continuant à bouger mes hanches pour l'exciter un peu. Il était hors de question de finir comme ça. J'avais encore l'intérieur qui brûlait de désir. Comme une tigresse, je posais à nouveau ma main contre sa nuque et l'embrassa sauvagement, sans lui dévorer la tête tout de même. Je laissais ma respiration lui provoquer de l'envie, laissant mes mains se balader sur son corps. Bordel que j'en avais encore envie. Dîtes moi que ce n'était pas finit...