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«a special request » [hot]
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«a special request » [hot] | Ven 10 Avr - 0:24 
tenue ; song - Pieds nus, elle marchait dans l'appartement, se promenait. Ce n'est pas la seule fois qu'elle rentre ici, pourtant elle observe toujours les lieux comme si elle n'y avait jamais mis les pieds. C'était agréable de venir ici. Ce n'était pas un appartement extra ordinaire, le lieu n'avait rien de magique non plus. Mais quelque chose l'apaise. A chaque fois. Peut-être est ce son ami, qui la met assez en confiance ?
In Su est toujours souriant, toujours de bonne humeur. Un peu gaffeur, parfois, mais très attachant. Il avait un quelque chose, un côté « j'amuse la galerie » qui fonctionnait plutôt bien sur Bo Ja. Non pas qu'elle soit sa fan numero un, ou même son meilleur publique. Mais c'est vrai qu'il avait le don de la faire sourire, et même rire dans le silence. Il était amusant et jovial. C'est à se demander si des fois, In Si peut-être triste.
Soudain, une divine odeur vient lui chatouiller les narines. Elle renifle un peu puis finit par se faufiler à pas feutré dans la cuisine, où son ami s'affairait depuis un moment. La belle arrive à ses côtés et penche la tête sur la casserole, où bouillonnait une sauce aux terribles effluves. Après lui avoir adressé un sourire, elle lui fait comprendre que l'odeur lui plait, que ça sent bon. Elle rejète sa longue chevelure derrière ses épaules puis le regarde. Bo Ja aimerait bien lui parler à In Su... elle aimerait bien faire entendre le son de sa voix. Mais malgré tous les efforts du monde, cela lui était impossible. Et ca la rendait triste, tout au fond. Ce n'est pas sa faute... c'est ce qu'elle aimerait se dire.
Ses pieds glissèrent jusqu'au salon où elle attrapa un stylo et une feuille pour revenir vers son chef cuisinier. Cela pouvait paraître ridicule, mais la plupart des gens qu'elle connait ne comprennent pas le langage des signes. Alors il fallait avoir recours aux moyens plus « rudimentaires »...
« Je ne savais pas que tu étais un grand cuisiner. » lui montra-t-elle.
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tenue ; song - Pieds nus, elle marchait dans l'appartement, se promenait. Ce n'est pas la seule fois qu'elle rentre ici, pourtant elle observe toujours les lieux comme si elle n'y avait jamais mis les pieds. C'était agréable de venir ici. Ce n'était pas un appartement extra ordinaire, le lieu n'avait rien de magique non plus. Mais quelque chose l'apaise. A chaque fois. Peut-être est ce son ami, qui la met assez en confiance ?
In Su est toujours souriant, toujours de bonne humeur. Un peu gaffeur, parfois, mais très attachant. Il avait un quelque chose, un côté « j'amuse la galerie » qui fonctionnait plutôt bien sur Bo Ja. Non pas qu'elle soit sa fan numero un, ou même son meilleur publique. Mais c'est vrai qu'il avait le don de la faire sourire, et même rire dans le silence. Il était amusant et jovial. C'est à se demander si des fois, In Si peut-être triste.
Soudain, une divine odeur vient lui chatouiller les narines. Elle renifle un peu puis finit par se faufiler à pas feutré dans la cuisine, où son ami s'affairait depuis un moment. La belle arrive à ses côtés et penche la tête sur la casserole, où bouillonnait une sauce aux terribles effluves. Après lui avoir adressé un sourire, elle lui fait comprendre que l'odeur lui plait, que ça sent bon. Elle rejète sa longue chevelure derrière ses épaules puis le regarde. Bo Ja aimerait bien lui parler à In Su... elle aimerait bien faire entendre le son de sa voix. Mais malgré tous les efforts du monde, cela lui était impossible. Et ca la rendait triste, tout au fond. Ce n'est pas sa faute... c'est ce qu'elle aimerait se dire.
Ses pieds glissèrent jusqu'au salon où elle attrapa un stylo et une feuille pour revenir vers son chef cuisinier. Cela pouvait paraître ridicule, mais la plupart des gens qu'elle connait ne comprennent pas le langage des signes. Alors il fallait avoir recours aux moyens plus « rudimentaires »...
« Je ne savais pas que tu étais un grand cuisiner. » lui montra-t-elle.
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Re: «a special request » [hot] | Ven 10 Avr - 19:16
tenue ; song - Elle est belle Bo Ja, mais elle est sauvage. Une fleur avec des épines, d’une beauté fragile qui repousse les gens d’un simple regard. Son sourire peut-être doux, mais il est le plus souvent triste. Elle est silencieuse Bo Ja, mais ça lui donne du charme. Les traits de son visage sont fins et attirant. Je l’ai toujours trouvé belle. Elle a ce genre de beauté qui m’hypnotise, mais que je trouve toujours trop bien pour moi. Non pas que je me trouve dégueulasse, mais disons qu’avec mon caractère, je n’ai pas toujours un atout. Ça fait un moment que je l’a connais Bo Ja, et je dois avouer que ça fait un moment que j’essaye de lui faire comprendre qu’elle me plait. J’ai d’ailleurs bien essayé de l’embrasser, parce que l’instant semblait parfait, propice. J’étais même nerveux, comme si c’était la première que j’allais embrasser une fille … Mais je l’aime bien Bo Ja, je n’ai pas envie de tout foirer avec elle. On est amie, de vrais amis je veux dire, ce n’est pas la nana du coin que je veux foutre dans mon lit. Elle mérite mieux ça. Elle mérite mieux que moi … de toute évidence. Mais Bo Ja c’est le genre de femme que personne ne peut vraiment posséder. Fut un temps j’aurais aimé que cela soit possible, mais après son refus de la dernière fois, j’ai saisi que je n’étais qu’un ami et que si je continuais sur cette voie là j’allais finir par la perdre. Et je crois que c’était ce que je redoutais le plus. Bo Ja et moi n’avons rien en commun. Rien, pas une seule chose, si ce n’est peut-être cette tristesse qu’on refoule. Mais la mienne est gérable. La mienne je m’en contre fou. La sienne … elle est étouffante. Oppressante. Elle fait mal. Mais elle est tut. Comme tout le reste. Le mutisme de Bo Ja ne m’a jamais dérangé. Je sais qu’elle entend, je sais qu’elle comprend, et pour elle, j’ai appris quelques notions en langage des signes. Des bases dont je me sers pour communiquer avec elle. Je souris quand je la vois arriver, je la trouve jolie mais je refuse de lui dire. Elle hume le plat que je lui prépare, un plat italien histoire de sortir le grand jeu et de l’impressionner. Je veux juste réussir à la faire sourire. Elle s’éclipse pour revenir avec du papier et un stylo. J’affiche une moue boudeuse en zieutant sur ce qu’elle écrit. « Comment tu veux que je progresse en langage des signes si tu ne le pratiques pas devant moi ? » C’est vrai ça ! Je fronce les sourcils faussement contrarié avant de sourire en coin, amusé. « Je vis avec un estomac sur patte, faut bien que je sache faire quelques plats qui sortent de l’ordinaire pour lui plaire ! » Oui, mon cousin est du style … glouton. Et il ne dit jamais non pour un bon plat. Je me tourne avec vers lui pour lui dire en même temps que je signe « Tu peux mettre la table s’il te plaît ? » Je souris avant de me détourner. Puis je lui signe en silence cette fois « c’est bientôt frais. »
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tenue ; song - Elle est belle Bo Ja, mais elle est sauvage. Une fleur avec des épines, d’une beauté fragile qui repousse les gens d’un simple regard. Son sourire peut-être doux, mais il est le plus souvent triste. Elle est silencieuse Bo Ja, mais ça lui donne du charme. Les traits de son visage sont fins et attirant. Je l’ai toujours trouvé belle. Elle a ce genre de beauté qui m’hypnotise, mais que je trouve toujours trop bien pour moi. Non pas que je me trouve dégueulasse, mais disons qu’avec mon caractère, je n’ai pas toujours un atout. Ça fait un moment que je l’a connais Bo Ja, et je dois avouer que ça fait un moment que j’essaye de lui faire comprendre qu’elle me plait. J’ai d’ailleurs bien essayé de l’embrasser, parce que l’instant semblait parfait, propice. J’étais même nerveux, comme si c’était la première que j’allais embrasser une fille … Mais je l’aime bien Bo Ja, je n’ai pas envie de tout foirer avec elle. On est amie, de vrais amis je veux dire, ce n’est pas la nana du coin que je veux foutre dans mon lit. Elle mérite mieux ça. Elle mérite mieux que moi … de toute évidence. Mais Bo Ja c’est le genre de femme que personne ne peut vraiment posséder. Fut un temps j’aurais aimé que cela soit possible, mais après son refus de la dernière fois, j’ai saisi que je n’étais qu’un ami et que si je continuais sur cette voie là j’allais finir par la perdre. Et je crois que c’était ce que je redoutais le plus. Bo Ja et moi n’avons rien en commun. Rien, pas une seule chose, si ce n’est peut-être cette tristesse qu’on refoule. Mais la mienne est gérable. La mienne je m’en contre fou. La sienne … elle est étouffante. Oppressante. Elle fait mal. Mais elle est tut. Comme tout le reste. Le mutisme de Bo Ja ne m’a jamais dérangé. Je sais qu’elle entend, je sais qu’elle comprend, et pour elle, j’ai appris quelques notions en langage des signes. Des bases dont je me sers pour communiquer avec elle. Je souris quand je la vois arriver, je la trouve jolie mais je refuse de lui dire. Elle hume le plat que je lui prépare, un plat italien histoire de sortir le grand jeu et de l’impressionner. Je veux juste réussir à la faire sourire. Elle s’éclipse pour revenir avec du papier et un stylo. J’affiche une moue boudeuse en zieutant sur ce qu’elle écrit. « Comment tu veux que je progresse en langage des signes si tu ne le pratiques pas devant moi ? » C’est vrai ça ! Je fronce les sourcils faussement contrarié avant de sourire en coin, amusé. « Je vis avec un estomac sur patte, faut bien que je sache faire quelques plats qui sortent de l’ordinaire pour lui plaire ! » Oui, mon cousin est du style … glouton. Et il ne dit jamais non pour un bon plat. Je me tourne avec vers lui pour lui dire en même temps que je signe « Tu peux mettre la table s’il te plaît ? » Je souris avant de me détourner. Puis je lui signe en silence cette fois « c’est bientôt frais. »
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Re: «a special request » [hot] | Ven 10 Avr - 20:48
tenue ; song - Elle sourit, ses épaules gigotent. Si elle pouvait rire, elle rierait sûrement aux éclats. Elle rierait à gorge déployée pour un oui, pour un non. Juste pour avoir l'opportunité d'entre le son de sa propre voix. Quoi qu'en en dise, quoi qu'on en pense, le silence est un fardeau. Et Bo Ja a voulu se marier au silence en pensant qu'il lui était possible de s'en défaire. C'est trop tard, mais elle garde une once d'espoir. L'espoir de se dire qu'un jour elle trouvera un moyen, n'importe lequel, pour pouvoir se sentir pleine.
« Désolée » mime-t-elle... avant de déchirer le papier et le mettre à la poubelle. Elle avait des petites mimiques, des expressions du visage ou des initiatives qui pouvait la rendre amusante à son insu. Une fois on lui a dit qu'elle ressemblait à un dessin animé. Ca aurait pu la faire rire mais non, elle trouvait juste ça stupide à vrai dire.
Elle souffla par le nez, amusée par sa remarque. Elle n'avait jamais croisé son cousin, qui était également son colocataire. A chaque fois qu'ils se voyaient en fait, ils étaient seuls. Tout comme ce soir.
« Avoue que toi aussi tu es un glouton. » Elle le regarda un moment... il ne devait pas avoir très bien compris. Ce n'est pas grave, elle agita la main et à sa demande, Bo ja attrapa deux assiettes et deux paires de couverts afin de s'éxecuter. Un doux sourire ornait ses lèvres, adressant un regard en coin au cuistot. Cet effort qu'il faisait vis à vis d'elle, la touchait, même si elle ne le montrait absolument pas. Peut-être devrait-elle le lui faire comprendre ? Elle a beau hausser les épaules pour tout, ce n'est pas un cœur de pierre. Il a y es des choses qui l'atteignent, qui la touchent. Même si In Su n'avait aucune besoin d'utiliser le langage des signes – le comprendre était plus important – cela amusait et faisait plaisir à la belle.
De l'eau, du sel, du poivre, des serviettes. Tout était mis et ajusté au millimètre prêt. Revenant avec élégance aurpès de son ami elle pencha la tête sur le côté. Frais.. ? Qu'est ce qui est frais ? Elle fronça les sourcils légèrement puis entrouvrit la bouche, une fois compris. Oh, « prêt » ? Il devait vouloir dire prêt. Elle pointa l'index vers la casserole d'un air interrogateur puis sourit.
« Pas 'frais', 'prêt'. » Elle attrapa ses mains pour lui montrer le signe comme il faut. Des mains masculine, bien plus grandes que les siennes. Une fois qu'il eut saisis la gestuelle, Bo Ja leva le pouce et recula jusqu'à la table. « Allons-y j'ai faim ! » signe-t-elle avec un petit sourire malicieux.
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tenue ; song - Elle sourit, ses épaules gigotent. Si elle pouvait rire, elle rierait sûrement aux éclats. Elle rierait à gorge déployée pour un oui, pour un non. Juste pour avoir l'opportunité d'entre le son de sa propre voix. Quoi qu'en en dise, quoi qu'on en pense, le silence est un fardeau. Et Bo Ja a voulu se marier au silence en pensant qu'il lui était possible de s'en défaire. C'est trop tard, mais elle garde une once d'espoir. L'espoir de se dire qu'un jour elle trouvera un moyen, n'importe lequel, pour pouvoir se sentir pleine.
« Désolée » mime-t-elle... avant de déchirer le papier et le mettre à la poubelle. Elle avait des petites mimiques, des expressions du visage ou des initiatives qui pouvait la rendre amusante à son insu. Une fois on lui a dit qu'elle ressemblait à un dessin animé. Ca aurait pu la faire rire mais non, elle trouvait juste ça stupide à vrai dire.
Elle souffla par le nez, amusée par sa remarque. Elle n'avait jamais croisé son cousin, qui était également son colocataire. A chaque fois qu'ils se voyaient en fait, ils étaient seuls. Tout comme ce soir.
« Avoue que toi aussi tu es un glouton. » Elle le regarda un moment... il ne devait pas avoir très bien compris. Ce n'est pas grave, elle agita la main et à sa demande, Bo ja attrapa deux assiettes et deux paires de couverts afin de s'éxecuter. Un doux sourire ornait ses lèvres, adressant un regard en coin au cuistot. Cet effort qu'il faisait vis à vis d'elle, la touchait, même si elle ne le montrait absolument pas. Peut-être devrait-elle le lui faire comprendre ? Elle a beau hausser les épaules pour tout, ce n'est pas un cœur de pierre. Il a y es des choses qui l'atteignent, qui la touchent. Même si In Su n'avait aucune besoin d'utiliser le langage des signes – le comprendre était plus important – cela amusait et faisait plaisir à la belle.
De l'eau, du sel, du poivre, des serviettes. Tout était mis et ajusté au millimètre prêt. Revenant avec élégance aurpès de son ami elle pencha la tête sur le côté. Frais.. ? Qu'est ce qui est frais ? Elle fronça les sourcils légèrement puis entrouvrit la bouche, une fois compris. Oh, « prêt » ? Il devait vouloir dire prêt. Elle pointa l'index vers la casserole d'un air interrogateur puis sourit.
« Pas 'frais', 'prêt'. » Elle attrapa ses mains pour lui montrer le signe comme il faut. Des mains masculine, bien plus grandes que les siennes. Une fois qu'il eut saisis la gestuelle, Bo Ja leva le pouce et recula jusqu'à la table. « Allons-y j'ai faim ! » signe-t-elle avec un petit sourire malicieux.
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Re: «a special request » [hot] | Dim 12 Avr - 14:15
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Elle ressemble à un joli chou-fleur, voilà la réflexion débile que je n’avais pu retenir dans ma tête. Une jolie fleur que j’aurais bien envie de déshabiller. Son haut tombe sur bien sur sa poitrine fine qu’il m’est arrivée de lorgner dans sa direction en mordillant ma lèvre inférieure. Si seulement elle avait la moindre idée de ce qui se tramait dans mon esprit je crois qu’elle partirait sur le champ. Mais qu’est-ce que j’y peux, moi, si elle me plait ? Mais j’ai trop de considération pour elle, pour la voir comme une simple fille à baiser. Je réponds avec ses sourires avec le même entrain. Je la trouve mignonne quand elle rigole et qu’on ne voit que ses épaules s’agiter. Parfois je me plais à imaginer le son de sa voix. Elle serait douce, cristalline. A son image. Un peu fragile mais belle. Parfois je donnerais tout ce que j’ai pour entendre le son de sa voix. Rien qu’une fois, l’entendre prononcer mon prénom. Ça la rendrait plus … accessible, comme si elle se murait dans son silence et qu’il était difficile pour moi de l’atteindre. Mais ça donnait quelque chose de romantique pas vrai ? Comme l’image d’un chevalier qui lutterait avec prouesse pour rejoindre sa princesse, prisonnière silencieuse, dans une tour. Est-ce que j’avais tout du prince charmant ? Je n’étais pas mieux qu’un autre. Pas vraiment disons. De toute façon Bo Ja avait été clair et de la princesse, je ne pouvais avoir que les sourires et les regards espiègles. Et ça m’allait, ça m’irait aussi longtemps que ça lui irait.
Je souris devant ses mimiques, je ne sais pas si c’est son silence mais ça l’a rendu plus expressive. Son regard plus intense, ses sourires plus éloquents. Elle jette le papier à la poubelle et je souris fièrement. J’ai envie d’entrer dans son monde et ce foutu bout de papier me donne l’impression de devoir faire face à une nouvelle barrière. Je n’ai pas envie de nous enfermer dans le silence mais je n’ai pas envie de me contenter de ce simple morceau de papier. Je zieutais dans sa direction quand elle signa une phrase qui m’échappa. Qu’est-ce que j’étais moi aussi ? Je n’ai pas compris le dernier signe, mais la voilà qui s’enfuit mettre la table. Je la laisse faire avec un sourire amusé. Je continue de remuer. Ce plat va être une tuerie, je crois qu’il faudrait que j’en garde un morceau pour mon cousin. Rien qu’un pour éveiller ses papilles. Quand elle revint à côté de moi je la laissais attraper mes mains pour me faire comprendre mon erreur. « Oh ... » lâchais-je la bouche entre ouverte, réalisant mon erreur. Je levais le pouce pour lui signifier que j’avais compris. Ses doigts fins parcouraient les miens plus robustes et plus sec. Elle avait l’air si petite à côté de moi, pourtant je n’étais pas des plus grands. Elle était belle. C’était la seule constatation que j’arrivais à me faire quand elle était si près de moi. Je lui rendis son sourire alors qu’elle se reculait jusqu’à la table et y amena alors le plat encore fumant.
« Fait gaffe c’est chaud » lui dis-je en déposant la casserole sur la table. « Tagliatelle au saumon pour Mlle ! » J’humais la fumée en souriant, je l’invitais à s’asseoir en parfait gentleman que j’étais et tamisa un peu les lumières. Je ne cherche pas à la séduire mais disons que je préfère passer la soirée dans une ambiance plus feutrée que l’éclairage agressif des néons blanchard de la cuisine. Je mis aussi un peu de musique histoire de faire un petit fond qui pourrait combler mes silences. Je lui souris en m’asseyant devant elle en lui signant « Si Jin Hyun savait que je t’ai préparé ça il serait jaloux je crois ! » je ris doucement. Elle ne l’a jamais vu, pourtant je parle souvent de lui ; c’est un fait, je parle sans cesse de mes proches, parce qu’ils sont ma famille. La seule que j’ai. « Zut ! » lâchais-je soudainement « J’ai oublié d’acheter du café ! » réalisais-je en grimaçant. Parce que je la sais mordu de café et qu’il lui faut toujours sa dose.made by LUMOS MAXIMA
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Re: «a special request » [hot] | Dim 12 Avr - 16:57
tenue ; song - Monsieur Park annonce le plat, qui fait déjà saliver Mademoiselle Son. Ce n'était pas très habituel pour elle de manger aussi exotique, elle n'a pas forcément l'argent pour s'offrir une petite virée dans de srestaurants italiens, ou bien encore français, mexicain. Quand il lui a dit qu'il l'invitait à manger chez lui la première fois, Bo ja refusa catégoriquement. Ca la gênait énormément, c'était beaucoup trop lui demander. Elle avait l'impression de se faire assister. Pourtant elle avait tout ce qui fallait pour se nourrir. Elle a beau avoir un corps de rêve, elle mange pour quatre au moins. Toujours l'impression d'avoir l'estomac vide. Encore quelque chose que beaucoup doivent sûrement lui envier. Mais sa dose de sport plus que satisfaisante lui permettait de ne pas trop se laisser envahir par la graisse non plus.
Délicatement, il lui tira la chaise, et elle le remercia d'un signe de tête. Mademoiselle rapproche la chaise de la table, puis passe à nouveau al tête par dessus la casserole.... en manquant de s'étouffer. Le plat fumait tellement que cela lui avait attaquer les yeux, et sa peau était humide. Gonflant ses joues, elle attrapa une serviette pour se tapoter le visage avec. Quelle mauvaise idée... ca lui apprendra à faire la gourmande.
Son attention se porta ensuite sur la musique. Elle sourit. In Su choisissait toujours des morceaux qui lui plaisait beaucoup. In Su, en réalité, faisait toujours beaucoup de choses qui pourraient lui plaire. Il était au petit soin, et même si au début cela la gênait de façon indescriptible, il lui a bien fait comprendre que tout ce qui lui restait à faire c'était de se détendre... Bo ja n'était juste pas habituée à la gentillesse gratuite. Mais découvrit à quel point cela pouvait être plaisant.
La luminosité diminua, cela l'amuse. Et tandis qu'il s'assoit, elle signe. « Tu es un vrai gentleman... ou alors tu es un peu effrayant ! » Elle rit en silence, puis attrape les deux ustensiles pour servir son ami. Elle lui servit une bonne part puis après avoir entendu ses mots, se servit raisonablement de sorte à ce qu'il puisse en rester pour son cousin. « Voilà, comme ça il ne sera pas jaloux. » Un clin d'oeil. Puis au moment où elle allait lui souhaite bon appetit, elle sursauta. Wow, quelle frénesie, quelle énergie. Bo Ja plaqua sa main contre son cœur tant son exclamation avait été soudaine.
« Ne t'en fais pas voyons, pas la peine de te mettre dans cet état ! Pour quelques heures je saurai m'en passer... » Il lui fallait essayer de ne pas utiliser des termes trop compliqués, après tout ce n'était pas si aisé de comprendre. Au pire, elle prendrait le temps de lui expliquer.
Finalement, elle sourit tendrement, sourcils haussés. Il fallait bien avouer que sans son café elle pouvait être mauvaise... mais si c'est pour voir In Su aussi paniqué, elle allait bien réussir à prendre sur elle non ?
Lui souhaitant enfin bon appétit, elle fit rouler les pâtes autour de sa fourchette pour les fourrer doucement dans sa bouche et déguster le met qu'il lui avait préparer. Elle hocha la tête, les joues rebondies par la nourriture. « C'est vraiment bon, tu te débrouilles bien ! »
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tenue ; song - Monsieur Park annonce le plat, qui fait déjà saliver Mademoiselle Son. Ce n'était pas très habituel pour elle de manger aussi exotique, elle n'a pas forcément l'argent pour s'offrir une petite virée dans de srestaurants italiens, ou bien encore français, mexicain. Quand il lui a dit qu'il l'invitait à manger chez lui la première fois, Bo ja refusa catégoriquement. Ca la gênait énormément, c'était beaucoup trop lui demander. Elle avait l'impression de se faire assister. Pourtant elle avait tout ce qui fallait pour se nourrir. Elle a beau avoir un corps de rêve, elle mange pour quatre au moins. Toujours l'impression d'avoir l'estomac vide. Encore quelque chose que beaucoup doivent sûrement lui envier. Mais sa dose de sport plus que satisfaisante lui permettait de ne pas trop se laisser envahir par la graisse non plus.
Délicatement, il lui tira la chaise, et elle le remercia d'un signe de tête. Mademoiselle rapproche la chaise de la table, puis passe à nouveau al tête par dessus la casserole.... en manquant de s'étouffer. Le plat fumait tellement que cela lui avait attaquer les yeux, et sa peau était humide. Gonflant ses joues, elle attrapa une serviette pour se tapoter le visage avec. Quelle mauvaise idée... ca lui apprendra à faire la gourmande.
Son attention se porta ensuite sur la musique. Elle sourit. In Su choisissait toujours des morceaux qui lui plaisait beaucoup. In Su, en réalité, faisait toujours beaucoup de choses qui pourraient lui plaire. Il était au petit soin, et même si au début cela la gênait de façon indescriptible, il lui a bien fait comprendre que tout ce qui lui restait à faire c'était de se détendre... Bo ja n'était juste pas habituée à la gentillesse gratuite. Mais découvrit à quel point cela pouvait être plaisant.
La luminosité diminua, cela l'amuse. Et tandis qu'il s'assoit, elle signe. « Tu es un vrai gentleman... ou alors tu es un peu effrayant ! » Elle rit en silence, puis attrape les deux ustensiles pour servir son ami. Elle lui servit une bonne part puis après avoir entendu ses mots, se servit raisonablement de sorte à ce qu'il puisse en rester pour son cousin. « Voilà, comme ça il ne sera pas jaloux. » Un clin d'oeil. Puis au moment où elle allait lui souhaite bon appetit, elle sursauta. Wow, quelle frénesie, quelle énergie. Bo Ja plaqua sa main contre son cœur tant son exclamation avait été soudaine.
« Ne t'en fais pas voyons, pas la peine de te mettre dans cet état ! Pour quelques heures je saurai m'en passer... » Il lui fallait essayer de ne pas utiliser des termes trop compliqués, après tout ce n'était pas si aisé de comprendre. Au pire, elle prendrait le temps de lui expliquer.
Finalement, elle sourit tendrement, sourcils haussés. Il fallait bien avouer que sans son café elle pouvait être mauvaise... mais si c'est pour voir In Su aussi paniqué, elle allait bien réussir à prendre sur elle non ?
Lui souhaitant enfin bon appétit, elle fit rouler les pâtes autour de sa fourchette pour les fourrer doucement dans sa bouche et déguster le met qu'il lui avait préparer. Elle hocha la tête, les joues rebondies par la nourriture. « C'est vraiment bon, tu te débrouilles bien ! »
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Re: «a special request » [hot] | Lun 13 Avr - 18:02
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Quand je la vois la quantité qu’elle me sert mon esprit me commande de faire attention mais mon estomac me commande de tout dévorer. Alors étant un homme de faible constitution je me jette sur mon plat sans vraiment attendre ma belle. Quel malpolie je fais … quand je m’en rends compte je me force à poser ma fourchette sur mon assiette et la regarde avec un sourire avec lequel je tente de masquer mes grosses joues pleines de bouffe. Je lui offre un sourire malicieux en mâchouillant discrètement. L’avantage avec le langage des signes c’est que tu n’as pas besoin de parler la bouche pleine. « Ne t’inquiète pas je lui ai déjà mis sa part de côté tu peux manger ma belle » Hm je ne sais pas signer ce surnom, alors j’ai toujours tendance à lui dire à voix haute. Rassuré pour cette histoire de café j’acquiesce en mordillant le coin de ma lèvre en la fixant. J’ai toujours tendance à me perdre dans mes pensées quand je la fixe. Je ne sais pas vraiment si ça la gêne ou si elle remarque même. Elle est tellement douce j’ai encore du mal à croire que sa vie ça a été … ça. Je mordille ma lèvre inférieure en retenant un soupire me remet à manger, après elle cette fois. Elle me signifie que c’est bon et mon ego de male en puissance se sent gonflé. « Evidemment » lui lançais-je amusé, évidemment que je fais quelque chose de bon. Je lui fais un petit haussement d’épaule, l’air de rien, pour contenir ma fierté. « Merci » ajoutais-je en riant doucement en buvant une gorgée de coca. Ouais, je bois du coca. Le vin aurait été peut-être plus classe mais je n’y ai pas pensé … Je peux être gentleman mais pas jusqu’au bout, mon côté boulet ressors. Et si je prends une bouteille que mon cousin a acheté je sais déjà que je vais me faire … défoncer. « Gentleman flippant alors ? » concédais-je en riant. Je passe une main dans mes cheveux en me laissant retomber dans le fond de ma chaise en mâchant. Putain ouais, c’est une tuerie ce que je nous ai fait, je suis fier de moi, et je sais que si je l’avais un tant soit peu intéressé, j’aurais pu la faire craquer avec un plat de pate. La grande classe quand même. Je suçote mon index et mon pouce avec lequel j’ai piqué un morceau de saumon dans le plat. Levant mon regard vers elle je la vois avec un peu de sauce sur le coin de la lèvre. « Aish. » soupirais-je en me penchant vers elle. Je lui retire délicatement sans lui demander son avis à l’aide de mon pouce que je viens ensuite suçoter. « Tu t’en fou partout » la taquinais-je lui offrant un sourire complice.
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Re: «a special request » [hot] | Lun 13 Avr - 19:03
tenue ; song - Elle le voit manger goulument, et cela la fait sourire. Ils s'étaient bien trouvé à toujours s'empiffrer tous les deux. Il devait avoir faim pou s'être attaqué à son assiette si vite. Et en ce qui concerne la part laissée dans la casserole.. elle se reservira sûrement quand l'heure aura sonné pour son estomac. Là, elle se contentait de déguster doucement, faisant de petites coupures avec son verre d'eau. Si elle y allait trop vite, elle allait vouloir arrêter de manger. Et elle avait faim, donc hors de question d'en rester là. Pendant ce temps, elle regardait In Su ingurgiter des gorgées et des gorgées de son soda. Le Coca, comme toute boisson gazeuse, Bo Ja détestait ça. Le mal incarné. D'abord un goût qui ne lui plaisait pas du tout, et puis de très mauvaises répercussions sur le corps. Dommage pour son ami, qui avait un bien beau physique.
Après lui avoir fait remarquer la qualité de son plat, Bo Ja sourit amusée face à la si grande modestie de In Su. Elle hocha la tête de droite à gauche, le regardant intensément à son insu. Un peu ailleurs, un peu loin. Etait-ce la nourriture qui la faisait planer ?
« Très flippant » ajouta-t-elle de ses mains suite à sa remarque. C'était une plaisanterie bien sûr. Toute ces petites attentions de sa part, étaient adorables. Cela aurait été effrayant si ils se connaissaient à peine et qu'il avait l'air louche. Mais rien de tout ça. Bo Ja a confiance en lui. Véritablement.
Alors qu'elle se ressert dans le plat pour reprendre un peu de tagliatelle, elle entendit le soupir de son hôte et tourna la tête les sourcils haussés. Et sans crier gare, il essuya ses lèvres tâchées de sauce qui la fit rougir. Est ce qu'elle passait pour une fille sale ? Elle fit une petite moue, et signa un « désolé » avant de s'essuyer avec sa serviette pour être sûre de ne plus rien à voir. C'est qu'il lui avait piqué un bout de nourriture dans l'histoire !
Soudain elle se leva en tapant des mains, un petit sourire et lèvres, et tendit les bras vers lui. Maintenant qu'ils avaient l'estomac bien remplis, elle pouvait lui proposer ce qu'elle avait envie de faire de puis le début du repas : danser.
Voyons qu'il restait dans l'incompréhension totale, elle s'avança et prit ses mains dans les siennes, le tirant vers elle pour aller vers le salon. Là, elle resta face à lui, avant de poser une de ses mains dans le bas de son dos, saisissant l'autre d'une des siennes. Son regard ancré dans le sien, un petit sourire accroché au coin de ses lèvres, elle posa ensuite sa tête contre le torse musclé du jeune homme pour se laisser bercer par la musique...
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tenue ; song - Elle le voit manger goulument, et cela la fait sourire. Ils s'étaient bien trouvé à toujours s'empiffrer tous les deux. Il devait avoir faim pou s'être attaqué à son assiette si vite. Et en ce qui concerne la part laissée dans la casserole.. elle se reservira sûrement quand l'heure aura sonné pour son estomac. Là, elle se contentait de déguster doucement, faisant de petites coupures avec son verre d'eau. Si elle y allait trop vite, elle allait vouloir arrêter de manger. Et elle avait faim, donc hors de question d'en rester là. Pendant ce temps, elle regardait In Su ingurgiter des gorgées et des gorgées de son soda. Le Coca, comme toute boisson gazeuse, Bo Ja détestait ça. Le mal incarné. D'abord un goût qui ne lui plaisait pas du tout, et puis de très mauvaises répercussions sur le corps. Dommage pour son ami, qui avait un bien beau physique.
Après lui avoir fait remarquer la qualité de son plat, Bo Ja sourit amusée face à la si grande modestie de In Su. Elle hocha la tête de droite à gauche, le regardant intensément à son insu. Un peu ailleurs, un peu loin. Etait-ce la nourriture qui la faisait planer ?
« Très flippant » ajouta-t-elle de ses mains suite à sa remarque. C'était une plaisanterie bien sûr. Toute ces petites attentions de sa part, étaient adorables. Cela aurait été effrayant si ils se connaissaient à peine et qu'il avait l'air louche. Mais rien de tout ça. Bo Ja a confiance en lui. Véritablement.
Alors qu'elle se ressert dans le plat pour reprendre un peu de tagliatelle, elle entendit le soupir de son hôte et tourna la tête les sourcils haussés. Et sans crier gare, il essuya ses lèvres tâchées de sauce qui la fit rougir. Est ce qu'elle passait pour une fille sale ? Elle fit une petite moue, et signa un « désolé » avant de s'essuyer avec sa serviette pour être sûre de ne plus rien à voir. C'est qu'il lui avait piqué un bout de nourriture dans l'histoire !
Soudain elle se leva en tapant des mains, un petit sourire et lèvres, et tendit les bras vers lui. Maintenant qu'ils avaient l'estomac bien remplis, elle pouvait lui proposer ce qu'elle avait envie de faire de puis le début du repas : danser.
Voyons qu'il restait dans l'incompréhension totale, elle s'avança et prit ses mains dans les siennes, le tirant vers elle pour aller vers le salon. Là, elle resta face à lui, avant de poser une de ses mains dans le bas de son dos, saisissant l'autre d'une des siennes. Son regard ancré dans le sien, un petit sourire accroché au coin de ses lèvres, elle posa ensuite sa tête contre le torse musclé du jeune homme pour se laisser bercer par la musique...
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Re: «a special request » [hot] | Mer 15 Avr - 13:56
tenue ; song
Quand elle s’excusa, je levais la main pour lui signifier que c’était rien. Je lui offris même un sourire amusé, il n’y avait pas besoin d’avoir tant de retenue entre nous. On s’en fou de la bienséance, tant qu’on profite de l’instant présent. Un peu de folie ne nous ferait pas de mal. Je suçote mon pouce par reflexe sans penser que ça puisse la gêner ou que ça puisse être de trop pour elle. Elle semble si fermée que j’ai parfois du mal à la cerner mais s’il y a bien une chose que je refuse c’est de la braquer. Je n’ai pas envie de faire un pas de travers. Je continue de manger sans chercher à lui retirer la sauce qu’elle aurait un peu partout sur le visage, je me concentre dans ce tête à tête avec mon assiette. Les musiques défilent, toutes celles qu’elle aime. J’ai fait une compilation rien que pour elle, dans ces nuits où le sommeil me fuit il faut bien que je m’occupe. Est-ce qu’elle trouverait ça bizarre je lui disais ? L’a-t-elle remarqué ? Si elle l’a fait pourquoi n’a-t-elle pas fait de commentaires … ? Elle doit vraiment trouver ça bizarre alors … Perdu dans les méandres de mon psychotage je mets un temps avant de réaliser qu’elle se tient debout à côté de moi. Je mâchouille en portant un regard dubitatif vers elle. Elle cherche le sel ? Mais elle répond à mon interrogation silencieuse en me tirant à elle. Docile, je la suis jusqu'au salon où elle m’approche d’elle. Je baisse mon regard vers lui en glissant ma langue à la commissure de mes lèvres. Elle sait que je ne suis pas le meilleur des danseurs de valses pas vrai ? Pourtant je la laisse faire. Si ma belle veut danser alors on dansera. Je tâcherais de ne pas lui écraser les pieds. Elle se blottit contre moi et je souris en la laissant faire. Je laisse la musique me bercer et je suis le rythme de Bo ja. Ma joue vient se poser sur le haut de sa tête, alors que ma main accrochée à la sienne se détache pour venir se glisser dans le creux de ses reins. Je la serre un peu plus contre moi. Je suis là. Je crois que c’est ce que j’essaye de lui faire comprendre. Je ferme les yeux et je continue de serrer son corps frêle entre mes bras. Je nous fais tournoyer sur nous même avec douceur. Une de mes mains caresse doucement ses cheveux qui sentent délicieusement bon. Ça m’arrache un sourire. Je viens déposer un baiser sur la peau nue de son épaule. C’est léger, doux. Je n’ose pas parler de peur de casser l’ambiance. Je noue mes doigts dans les creux de ses reins et l’emprisonne délicatement entre mes bras musclés. Son parfum me chatouille le nez et m’arrache un sourire. Comment a-t-on pu lui faire du mal ? Je pince mes lèvres à cette pensée et la chasse bien vite avant que mon sang ne fasse qu’un tour et que je vienne gâcher cette soirée.made by LUMOS MAXIMA
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Quand elle s’excusa, je levais la main pour lui signifier que c’était rien. Je lui offris même un sourire amusé, il n’y avait pas besoin d’avoir tant de retenue entre nous. On s’en fou de la bienséance, tant qu’on profite de l’instant présent. Un peu de folie ne nous ferait pas de mal. Je suçote mon pouce par reflexe sans penser que ça puisse la gêner ou que ça puisse être de trop pour elle. Elle semble si fermée que j’ai parfois du mal à la cerner mais s’il y a bien une chose que je refuse c’est de la braquer. Je n’ai pas envie de faire un pas de travers. Je continue de manger sans chercher à lui retirer la sauce qu’elle aurait un peu partout sur le visage, je me concentre dans ce tête à tête avec mon assiette. Les musiques défilent, toutes celles qu’elle aime. J’ai fait une compilation rien que pour elle, dans ces nuits où le sommeil me fuit il faut bien que je m’occupe. Est-ce qu’elle trouverait ça bizarre je lui disais ? L’a-t-elle remarqué ? Si elle l’a fait pourquoi n’a-t-elle pas fait de commentaires … ? Elle doit vraiment trouver ça bizarre alors … Perdu dans les méandres de mon psychotage je mets un temps avant de réaliser qu’elle se tient debout à côté de moi. Je mâchouille en portant un regard dubitatif vers elle. Elle cherche le sel ? Mais elle répond à mon interrogation silencieuse en me tirant à elle. Docile, je la suis jusqu'au salon où elle m’approche d’elle. Je baisse mon regard vers lui en glissant ma langue à la commissure de mes lèvres. Elle sait que je ne suis pas le meilleur des danseurs de valses pas vrai ? Pourtant je la laisse faire. Si ma belle veut danser alors on dansera. Je tâcherais de ne pas lui écraser les pieds. Elle se blottit contre moi et je souris en la laissant faire. Je laisse la musique me bercer et je suis le rythme de Bo ja. Ma joue vient se poser sur le haut de sa tête, alors que ma main accrochée à la sienne se détache pour venir se glisser dans le creux de ses reins. Je la serre un peu plus contre moi. Je suis là. Je crois que c’est ce que j’essaye de lui faire comprendre. Je ferme les yeux et je continue de serrer son corps frêle entre mes bras. Je nous fais tournoyer sur nous même avec douceur. Une de mes mains caresse doucement ses cheveux qui sentent délicieusement bon. Ça m’arrache un sourire. Je viens déposer un baiser sur la peau nue de son épaule. C’est léger, doux. Je n’ose pas parler de peur de casser l’ambiance. Je noue mes doigts dans les creux de ses reins et l’emprisonne délicatement entre mes bras musclés. Son parfum me chatouille le nez et m’arrache un sourire. Comment a-t-on pu lui faire du mal ? Je pince mes lèvres à cette pensée et la chasse bien vite avant que mon sang ne fasse qu’un tour et que je vienne gâcher cette soirée.
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Re: «a special request » [hot] | Mer 15 Avr - 15:50
tenue ; song - EL'air était doux, reposant. De quoi apaiser la poupée. Elle ne lui demandait pas de danser une salsa ou même un petit rock'n'roll. Non... tout ce qu'elle voulait c'était qu'il la prenne contre lui, et qu'ils puissent valser, tout doucement. Elle se sentait en sécurité entre ses bras qui la serrait, un sentiment de confort, voir de bien être. Bo Ja pouvait sentir battre le cœur de son ami, l'entendait même respirer. Mais par dessus tout, elle pouvait saisir le toucher de ses doigts sur son corps, qui cherchaient à un peu plus le rapprocher de lui. Cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire.
Cela fait un moment que la belle se pose tout un tas de question, qu'elle se remet énormément en question. Depuis son arrivée en Corée, elle a un drôle de rapport aux hommes. Cela se comprend facilement, direz vous. Pourtant ce ne sont pas les propositions qui manquent. Au lycée, beaucoup cherchaient à la conquérir. Et le seul adolescent avec qui elle a accepté de sortir au cinéma, elle ne lui a plus jamais donné de nouvelles. Personne ne sait pourquoi. Pourtant, elle veut. Elle veut pouvoir avoir une certaine proximité avec quelqu'un, tant spirituelle que physique. Aujourd'hui, elle en avait même besoin. Personne n'a touché son âme, mais nombreux ont été ceux qui léchaient sa peau avidement. Victime de besoins égoïste, elle ne garde qu'un très mauvais souvenir de ces viols.
Comment cela était, au final... de faire l'amour ?
C'est idiot, mais la première personne qui lui vint à l'esprit pour cela, ce fut In Su. Il lui inspirait tant de douceur, tant de délicatesse... elle imaginait ça comme quelque chose de beau avec lui. Pourtant elle ne l'aime pas d'amour. Mais elle se disait que cela pourrait être un bel instant, après tout, cet échange de tendresse.
Serait-il d'accord, pour l'arracher à ses mauvais souvenirs, gravés dans sa chaire ?
Quand ses lèvres se posent sur l'épaule de Bo Ja, celle-ci ouvre lentement ses paupières. Puis elle lève la tête à la même cadence pour le regarder en posant son menton sur son torse. Ou plutôt, pour le contempler. In Su était un bel homme, sous plein d'aspects. Retirant sa main de la sienne avec précautions, ses doigts viennent timidement caresser les lèvres de son partenaire, pour les glisser ensuite vers les siennes. Elle n'osait pas trop. Elle ne savait pas. Elle se sentait si hésitante. Mais comme attiré l'un par l'autre, leur visage se rapprochent. Timidement au début. Puis dans un soupir de soulagement, leur bouche se rencontrent pour un baiser. Un baiser d'une chaleur inouï, qui vous noue l'estomac. Son premier vrai baiser
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tenue ; song - EL'air était doux, reposant. De quoi apaiser la poupée. Elle ne lui demandait pas de danser une salsa ou même un petit rock'n'roll. Non... tout ce qu'elle voulait c'était qu'il la prenne contre lui, et qu'ils puissent valser, tout doucement. Elle se sentait en sécurité entre ses bras qui la serrait, un sentiment de confort, voir de bien être. Bo Ja pouvait sentir battre le cœur de son ami, l'entendait même respirer. Mais par dessus tout, elle pouvait saisir le toucher de ses doigts sur son corps, qui cherchaient à un peu plus le rapprocher de lui. Cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire.
Cela fait un moment que la belle se pose tout un tas de question, qu'elle se remet énormément en question. Depuis son arrivée en Corée, elle a un drôle de rapport aux hommes. Cela se comprend facilement, direz vous. Pourtant ce ne sont pas les propositions qui manquent. Au lycée, beaucoup cherchaient à la conquérir. Et le seul adolescent avec qui elle a accepté de sortir au cinéma, elle ne lui a plus jamais donné de nouvelles. Personne ne sait pourquoi. Pourtant, elle veut. Elle veut pouvoir avoir une certaine proximité avec quelqu'un, tant spirituelle que physique. Aujourd'hui, elle en avait même besoin. Personne n'a touché son âme, mais nombreux ont été ceux qui léchaient sa peau avidement. Victime de besoins égoïste, elle ne garde qu'un très mauvais souvenir de ces viols.
Comment cela était, au final... de faire l'amour ?
C'est idiot, mais la première personne qui lui vint à l'esprit pour cela, ce fut In Su. Il lui inspirait tant de douceur, tant de délicatesse... elle imaginait ça comme quelque chose de beau avec lui. Pourtant elle ne l'aime pas d'amour. Mais elle se disait que cela pourrait être un bel instant, après tout, cet échange de tendresse.
Serait-il d'accord, pour l'arracher à ses mauvais souvenirs, gravés dans sa chaire ?
Quand ses lèvres se posent sur l'épaule de Bo Ja, celle-ci ouvre lentement ses paupières. Puis elle lève la tête à la même cadence pour le regarder en posant son menton sur son torse. Ou plutôt, pour le contempler. In Su était un bel homme, sous plein d'aspects. Retirant sa main de la sienne avec précautions, ses doigts viennent timidement caresser les lèvres de son partenaire, pour les glisser ensuite vers les siennes. Elle n'osait pas trop. Elle ne savait pas. Elle se sentait si hésitante. Mais comme attiré l'un par l'autre, leur visage se rapprochent. Timidement au début. Puis dans un soupir de soulagement, leur bouche se rencontrent pour un baiser. Un baiser d'une chaleur inouï, qui vous noue l'estomac. Son premier vrai baiser
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Re: «a special request » [hot] | Mer 15 Avr - 16:09
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Je n’ai jamais compris ce que les gens attendaient de moi. je me suis toujours trompé, parce que j’ai jamais chercher à comprendre. Je n’ai jamais cherché à savoir ce que les autres voulaient de moi. je donnais simplement ce que j’avais envie de donner et si ça ne suffisait pas je considérais que ce n’était pas mon problème. Le seul domaine où j’étais doué c’était les femmes. Ces femmes que je convoitais et que je sautais sans problème, parce que c’était bien là la seule chose que j’étais capable de leur donner. Du sexe. Mon corps, vu qu’elles ne cherchaient pas à savoir qui j’étais vraiment. Un gosse de riche ? Un fils à papa ? Voilà ce que j’étais pour elle. Un mec capable de dégainer sa carte bleu plus vite que prévu. On me traitait de connard. Je les traitais de pute. Je crois que jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais trouvé quiconque avec qui faire l’amour … La baise intense ça je savais, mais me perdre dans les bras de quelqu’un jusqu’à m’oublier c’était le genre de d’exercice que je n’étais pas foutu de savoir faire … Pourtant j’étais persuadé, en croisant le regard de Bo Jan, qu’avec elle j’aurais pu réussir … Parce qu’il m’inspirait … Elle était mon inspiration, mon modèle, elle était celle qui pouvait me donner envie de créer quelque chose de nouveau. De plus doux. De plus calme. Je voulais la respecter. Je voulais lui offrir les draps de mon lit, ceux qu’aucune femme n’a jamais foulé. C’était la seule règle à laquelle je tenais. Personne chez moi, ni dans mon lit, ni dans mon salon. Nulle part. Ce terrain de jeu n’était réservé que pour celles qui le méritaient vraiment … Et jusqu’ici personne n’en a été assez digne. Pourtant, quand je baisse mon regard vers la poupée que je tiens entre mes bras, je me surprends à me dire et pourquoi pas ? Je voudrais lui sourire mais son regard me clou sur place. Je ne sais même plus si on danse encore. Tout ce que je vois ce sont ces deux perles noirs qui me fixent avec une expression que je ne serais pas foutu de déchiffrer. Bo Ja … ? Mes lèvres s’entrouvrent d’elle alors que je la vois se hisser sur la pointe des pieds pour approcher son visage. je frémis quand je sens ses doigts frôler mes lèvres. Sa caresse est douce, hésitante, légère. Je ferme les yeux un instant pour me souvenir de ce contact et les rouvre à l’instant où je sens son souffle se mêler au mien. Putain, elle me pétrifie. Je ne sais pas comment réagir. J’ai l’air d’un ado qui embrasse pour la première fois. Ses lèvres sont douce … plus douce que je ne l’aurais cru. Je ferme les yeux et mes deux mains glissent de ses hanches à ses joues avec une lenteur calculée. Mes paumes me paraissent immenses alors qu’elles encadrent son visage fin. Sans la brusquer je bouge mes lèvres au rythme des siennes. Je la laisse mener la danse. Elle commande, elle décide. Je suis à ses pieds et tout ce que je veux c’est la satisfaire … Mon pouce caresse doucement sa pommette alors que je me recule lentement, laissant nos lèvres se décoller pour savourer leur gout jusqu’au dernier moment … Et il ne faut qu’un regard de sa part pour venir l’embrasser à nouveau, taquinant sa lèvre inférieure de ma langue, avec délice, presque hésitant. L’émotion qui me sert le ventre à cet instant fait imploser mes pensées. Plus rien n’existe si ce n’est ses lèvres et cette femme si parfaite à mes yeux.
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Je n’ai jamais compris ce que les gens attendaient de moi. je me suis toujours trompé, parce que j’ai jamais chercher à comprendre. Je n’ai jamais cherché à savoir ce que les autres voulaient de moi. je donnais simplement ce que j’avais envie de donner et si ça ne suffisait pas je considérais que ce n’était pas mon problème. Le seul domaine où j’étais doué c’était les femmes. Ces femmes que je convoitais et que je sautais sans problème, parce que c’était bien là la seule chose que j’étais capable de leur donner. Du sexe. Mon corps, vu qu’elles ne cherchaient pas à savoir qui j’étais vraiment. Un gosse de riche ? Un fils à papa ? Voilà ce que j’étais pour elle. Un mec capable de dégainer sa carte bleu plus vite que prévu. On me traitait de connard. Je les traitais de pute. Je crois que jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais trouvé quiconque avec qui faire l’amour … La baise intense ça je savais, mais me perdre dans les bras de quelqu’un jusqu’à m’oublier c’était le genre de d’exercice que je n’étais pas foutu de savoir faire … Pourtant j’étais persuadé, en croisant le regard de Bo Jan, qu’avec elle j’aurais pu réussir … Parce qu’il m’inspirait … Elle était mon inspiration, mon modèle, elle était celle qui pouvait me donner envie de créer quelque chose de nouveau. De plus doux. De plus calme. Je voulais la respecter. Je voulais lui offrir les draps de mon lit, ceux qu’aucune femme n’a jamais foulé. C’était la seule règle à laquelle je tenais. Personne chez moi, ni dans mon lit, ni dans mon salon. Nulle part. Ce terrain de jeu n’était réservé que pour celles qui le méritaient vraiment … Et jusqu’ici personne n’en a été assez digne. Pourtant, quand je baisse mon regard vers la poupée que je tiens entre mes bras, je me surprends à me dire et pourquoi pas ? Je voudrais lui sourire mais son regard me clou sur place. Je ne sais même plus si on danse encore. Tout ce que je vois ce sont ces deux perles noirs qui me fixent avec une expression que je ne serais pas foutu de déchiffrer. Bo Ja … ? Mes lèvres s’entrouvrent d’elle alors que je la vois se hisser sur la pointe des pieds pour approcher son visage. je frémis quand je sens ses doigts frôler mes lèvres. Sa caresse est douce, hésitante, légère. Je ferme les yeux un instant pour me souvenir de ce contact et les rouvre à l’instant où je sens son souffle se mêler au mien. Putain, elle me pétrifie. Je ne sais pas comment réagir. J’ai l’air d’un ado qui embrasse pour la première fois. Ses lèvres sont douce … plus douce que je ne l’aurais cru. Je ferme les yeux et mes deux mains glissent de ses hanches à ses joues avec une lenteur calculée. Mes paumes me paraissent immenses alors qu’elles encadrent son visage fin. Sans la brusquer je bouge mes lèvres au rythme des siennes. Je la laisse mener la danse. Elle commande, elle décide. Je suis à ses pieds et tout ce que je veux c’est la satisfaire … Mon pouce caresse doucement sa pommette alors que je me recule lentement, laissant nos lèvres se décoller pour savourer leur gout jusqu’au dernier moment … Et il ne faut qu’un regard de sa part pour venir l’embrasser à nouveau, taquinant sa lèvre inférieure de ma langue, avec délice, presque hésitant. L’émotion qui me sert le ventre à cet instant fait imploser mes pensées. Plus rien n’existe si ce n’est ses lèvres et cette femme si parfaite à mes yeux.
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