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1, 2, 3, 4 «a special request » [hot]
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Re: «a special request » [hot] | Jeu 16 Avr - 17:10 
tenue ; song - Elle prenait soin de ne pas laisser une once de plaisir lui passer à côté. Elle s'appliquait pour pouvoir le voir et l'entendre exprimer cette excitation qui se faisait de plus en plus forte. Aucune vulgarité dans ses gestes, juste l'envie de voir In Su sous l'extase. C'est étrange le contraste entre sa réticence du début, et son investissement présent. Ce moment est devenu si important à ses yeux, un moment que tous deux garderons toujours secret. On juge mal le sexe. On lui attribue de bien mauvaises choses. Mai Bo Ja ne voyait rien de mal dans ce qu'ils faisaient. Il y avait avant tout beaucoup de complicité. Et bien sûr de l'avidité, de la passion charnelle... mais finalement, c'était beau à voir. Beau de voir ce respect, beau de voir l'autre succomber sous nos caresses. La belle y prenait plaisir, car elle pouvait aperevoir les traits de In Su se crisper, elle pouvait le sentir fébrile sous ses vas et viens humides. Elle voulait le contenter jusqu'à en perdre la raison, jusqu'à qu'il devienne littéralement fou.
Sa main guidait également la cadence, glissant le long de son sexe en même temps qu il allait et venait entre ses lèvres. In Su se montrait très doux, bien qu'un peu envieux. Ce n'était pas comme certains de ces hommes avec qui elle devait pas une nuit, une heure, quelques minutes.. Ceux là même qui la poussait à bout, qui la prenait et s'en débarasser à coups de liasses de billets. Non, lui recevait ce qu'elle lui offrait et s'en contentait. Il prenait le temps de goûter à ce jeu sensuel, à savourer chacun de ses coups de langues, de ses caresses, de ses baisers.. Pourquoi se presser après tout ? La nuit était loin d'être terminé, il valait mieux prendre son temps..
Au moment où elle le sent aller à contre-courant dans ses mouvements, elle cesse alors de bouger, le laissant lui même faire la chose. Ses mouvements de bassin étaient au début lents, mais puisqu'il comprit qu'il pouvait en profiter, il n'hésita pas à se montrer un peu plus entreprenant. Sans jamais abuser, elle le sentait cogner dans sa bouche. Bo Ja le retira alors tout doucement, les lèvres luisantes, et regarda ensuite In Su suite à sa demande. D'un air espiègle mais pas provocateur, son doux visage sublimé par les divers sentiments qui s'emparaient d'elle.
Discrètement, sa main se câla sur un de ses seins pour l'englober et le masser avec douceur, tout en continuant de faire du bien au jeune homme. Elle se caresse donc d'abord la poitrine, avant de descendre vers son bas ventre. Elle s'était mis face à lui, de sorte à ce qu'il voit ses moindres faits et gestes. Ainsi... il pouvait la voir faufiler ses doigts sous le tissu blanc de son dessous, pour venir se caresser avec pudeur d'abord, continuant de le sucer sensuellement. Puis elle ferma les yeux quand la pulpe de ses doits trouvèrent son bouton de plaisir, qu'elle vient titiller lentement pour continuer de plus en plus frénétiquement. Un soupir d'aise se fait entendre, alors que le sexe de son ami reste coincé tout au fond de sa gorge. Elle ré itère son geste à plusieurs reprises, assez longtemps pour le voir au bord de toute émotions..
Finalement, l'étudiante se voit basculer en arrière pour s'allonger, retirant gracieusement le dernier bout de tissu qui recouvrait un sexe lisse, parfaitement épilé. Un bras au dessus de sa tête, elle était revenu à ses caresses intimes en respirant chaudement, se cambrant quelques fois. Ses gestes étaient lents, mais Dieu que cela lui faisait du bien. Curieuse de voir l'état de In Su, elle pencha la tête pour le regarder et lui sourit tendrement en tendant une de ses mains pour qu'il se joigne à elle, à nouveau Elle voulait le sentir avec elle, contre elle. Elle voulait embrasser ses lèvres, se sentir proche de lui. Bientôt ils ne feraient plus qu'un, bientôt leur corps s'enlaceraient jusqu'à réveiller en eux cette sensation pleine de puissance, pleine d'euphorie.
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tenue ; song - Elle prenait soin de ne pas laisser une once de plaisir lui passer à côté. Elle s'appliquait pour pouvoir le voir et l'entendre exprimer cette excitation qui se faisait de plus en plus forte. Aucune vulgarité dans ses gestes, juste l'envie de voir In Su sous l'extase. C'est étrange le contraste entre sa réticence du début, et son investissement présent. Ce moment est devenu si important à ses yeux, un moment que tous deux garderons toujours secret. On juge mal le sexe. On lui attribue de bien mauvaises choses. Mai Bo Ja ne voyait rien de mal dans ce qu'ils faisaient. Il y avait avant tout beaucoup de complicité. Et bien sûr de l'avidité, de la passion charnelle... mais finalement, c'était beau à voir. Beau de voir ce respect, beau de voir l'autre succomber sous nos caresses. La belle y prenait plaisir, car elle pouvait aperevoir les traits de In Su se crisper, elle pouvait le sentir fébrile sous ses vas et viens humides. Elle voulait le contenter jusqu'à en perdre la raison, jusqu'à qu'il devienne littéralement fou.
Sa main guidait également la cadence, glissant le long de son sexe en même temps qu il allait et venait entre ses lèvres. In Su se montrait très doux, bien qu'un peu envieux. Ce n'était pas comme certains de ces hommes avec qui elle devait pas une nuit, une heure, quelques minutes.. Ceux là même qui la poussait à bout, qui la prenait et s'en débarasser à coups de liasses de billets. Non, lui recevait ce qu'elle lui offrait et s'en contentait. Il prenait le temps de goûter à ce jeu sensuel, à savourer chacun de ses coups de langues, de ses caresses, de ses baisers.. Pourquoi se presser après tout ? La nuit était loin d'être terminé, il valait mieux prendre son temps..
Au moment où elle le sent aller à contre-courant dans ses mouvements, elle cesse alors de bouger, le laissant lui même faire la chose. Ses mouvements de bassin étaient au début lents, mais puisqu'il comprit qu'il pouvait en profiter, il n'hésita pas à se montrer un peu plus entreprenant. Sans jamais abuser, elle le sentait cogner dans sa bouche. Bo Ja le retira alors tout doucement, les lèvres luisantes, et regarda ensuite In Su suite à sa demande. D'un air espiègle mais pas provocateur, son doux visage sublimé par les divers sentiments qui s'emparaient d'elle.
Discrètement, sa main se câla sur un de ses seins pour l'englober et le masser avec douceur, tout en continuant de faire du bien au jeune homme. Elle se caresse donc d'abord la poitrine, avant de descendre vers son bas ventre. Elle s'était mis face à lui, de sorte à ce qu'il voit ses moindres faits et gestes. Ainsi... il pouvait la voir faufiler ses doigts sous le tissu blanc de son dessous, pour venir se caresser avec pudeur d'abord, continuant de le sucer sensuellement. Puis elle ferma les yeux quand la pulpe de ses doits trouvèrent son bouton de plaisir, qu'elle vient titiller lentement pour continuer de plus en plus frénétiquement. Un soupir d'aise se fait entendre, alors que le sexe de son ami reste coincé tout au fond de sa gorge. Elle ré itère son geste à plusieurs reprises, assez longtemps pour le voir au bord de toute émotions..
Finalement, l'étudiante se voit basculer en arrière pour s'allonger, retirant gracieusement le dernier bout de tissu qui recouvrait un sexe lisse, parfaitement épilé. Un bras au dessus de sa tête, elle était revenu à ses caresses intimes en respirant chaudement, se cambrant quelques fois. Ses gestes étaient lents, mais Dieu que cela lui faisait du bien. Curieuse de voir l'état de In Su, elle pencha la tête pour le regarder et lui sourit tendrement en tendant une de ses mains pour qu'il se joigne à elle, à nouveau Elle voulait le sentir avec elle, contre elle. Elle voulait embrasser ses lèvres, se sentir proche de lui. Bientôt ils ne feraient plus qu'un, bientôt leur corps s'enlaceraient jusqu'à réveiller en eux cette sensation pleine de puissance, pleine d'euphorie.
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Re: «a special request » [hot] | Jeu 16 Avr - 19:28
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tenue ;
Ses mains, sa bouche, ses lèvres, tout étaient d’un goût exquis. Elle n’en faisait pas trop, ni pas assez. C’était ce juste milieu parfait entre mon désir, mon fantasme et cette vision qu’elle m’offrait d’elle. Fait chier, fallait que je garde mon putain de sang froid si je ne voulais pas exploser maintenant. Elle méritait mieux qu’un mec trop pressé d’en finir pour se contrôler. J’inscrivais chacun de ses gestes dans ma mémoire et je la regardais avec une flamme qui brûlait son corps. Elle me laisse jouir de son corps sans opposé de résistance. Elle se laisse à ma merci. Elle se donne entièrement et moi je prends, je prends comme le gourmand que je suis. Je ne sais pas ce qu’on fera après. Je ne sais pas si on pourra recommencer, si on pourra penser à un après. Mais ce que je fais c’est qu’à cet instant nous faisions l’amour et que je ne voulais rien manquer, rien brusquer, rien omettre. J’allais prendre chaque parcelle de plaisir qu’elle m’offrait et j’allais lui rendre au centuple. Glissant ma langue sur la commissure de mes lèvres avec plaisir j’appuie doucement sur sa tête pour la maintenir alors que mon bassin se glisse contre ses lèvres dans un rythme soutenue et doux. Je ne veux pas lui faire mal non plus. Elle pourrait être la définition même de la luxure. Quand je la vois se caresser le corps alors que j’en crève d’envie elle m’excite encore plus et me frustre plus que je ne pourrais le supporter d’avantage. Elle le fait si bien, comme si elle savait ce qui me plairait sans même à avoir poser de questions. Elle gémit, elle soupire, elle me garde en bouche et moi je lâche un rire nerveux et un râle de satisfaction. La sensation dans sa bouche est transcendante. Si chaude, si humide, si étroite. S’en est presque indécent. Elle force, rien qu’un peu, assez pour me plaire. Je vais finir par me blesser à la lèvre si je continue de la mordre ainsi. Quand elle quitte mon sexe pour s’allonger au sol je lâche un soupire de frustration et de soulagement à la fois. Je n’aurais pas pu tenir bien plus longtemps si elle continuait à s’acharner sur lui avec autant de délice. Je prends mon temps pour la rejoindre. D’abord je la regarde. D’abord je l’observe. Je la dévore du regard, elle qui se caresse avec plaisir. Je la rejoins quand elle me tend la main. Je descends jusqu’à son corps comme si je faisais des pompes. En appuie sur mes mains j’approche mon visage si près du sien que nos souffles se frôlent. Mon érection vient frotter son intimité et je souris en coin. Je ne veux pas aller trop vite … et elle doit le voir dans mon regard. J’attrape sa main qui s’était glissée entre ses cuisses, taquine, viens embrasser sa paume. Son poignet que j’encercle de baiser tendre. Je remonte jusqu’à ses doigts que je viens suçoter. J’aime déjà le goût qu’elle a … ma langue se perd entre ses doigts, alors que mon sexe frotter contre le sien pour l’exciter un peu plus … Je délaisse ses doigts pour venir m’emparer de ses bouches délicieuse qui a si bien su s’occuper de moi. Ma langue cherche la sienne avec passion et si je voudrais me montrer doux et tendre, je me perds avec fièvre dans notre étreinte. Mes lèvres se perdent sur sa mâchoire et son cou. Ma paume chaude vient caresser son corps en glissant sur ses seins, ses côtes, ses hanches que je rapproche de moi. sa peau est si douce … son parfum si enivrant. Mes lèvres se perdent sur sa poitrine et descend en une ligne taquine jusqu’à son nombril que ma langue vient titiller. Je continue de descendre lentement en embrassant l’intérieure de ses cuisses, je la griffe doucement, et vient déposer des baisers sur sa perle de chair. Perle que je n’hésite pas à faire tourner sous ma langue. Elle s’est si bien occupée de moi, pourquoi devrait-elle être privée de ça ? Ma langue se presse contre son sexe et je glisse ses deux cuisses sur mes épaules pour les surélever légèrement et me laisser tout le loisir de m’occuper d’elle. Je caresse son ventre avec le plat de ma main et observe ses réactions …
Ses mains, sa bouche, ses lèvres, tout étaient d’un goût exquis. Elle n’en faisait pas trop, ni pas assez. C’était ce juste milieu parfait entre mon désir, mon fantasme et cette vision qu’elle m’offrait d’elle. Fait chier, fallait que je garde mon putain de sang froid si je ne voulais pas exploser maintenant. Elle méritait mieux qu’un mec trop pressé d’en finir pour se contrôler. J’inscrivais chacun de ses gestes dans ma mémoire et je la regardais avec une flamme qui brûlait son corps. Elle me laisse jouir de son corps sans opposé de résistance. Elle se laisse à ma merci. Elle se donne entièrement et moi je prends, je prends comme le gourmand que je suis. Je ne sais pas ce qu’on fera après. Je ne sais pas si on pourra recommencer, si on pourra penser à un après. Mais ce que je fais c’est qu’à cet instant nous faisions l’amour et que je ne voulais rien manquer, rien brusquer, rien omettre. J’allais prendre chaque parcelle de plaisir qu’elle m’offrait et j’allais lui rendre au centuple. Glissant ma langue sur la commissure de mes lèvres avec plaisir j’appuie doucement sur sa tête pour la maintenir alors que mon bassin se glisse contre ses lèvres dans un rythme soutenue et doux. Je ne veux pas lui faire mal non plus. Elle pourrait être la définition même de la luxure. Quand je la vois se caresser le corps alors que j’en crève d’envie elle m’excite encore plus et me frustre plus que je ne pourrais le supporter d’avantage. Elle le fait si bien, comme si elle savait ce qui me plairait sans même à avoir poser de questions. Elle gémit, elle soupire, elle me garde en bouche et moi je lâche un rire nerveux et un râle de satisfaction. La sensation dans sa bouche est transcendante. Si chaude, si humide, si étroite. S’en est presque indécent. Elle force, rien qu’un peu, assez pour me plaire. Je vais finir par me blesser à la lèvre si je continue de la mordre ainsi. Quand elle quitte mon sexe pour s’allonger au sol je lâche un soupire de frustration et de soulagement à la fois. Je n’aurais pas pu tenir bien plus longtemps si elle continuait à s’acharner sur lui avec autant de délice. Je prends mon temps pour la rejoindre. D’abord je la regarde. D’abord je l’observe. Je la dévore du regard, elle qui se caresse avec plaisir. Je la rejoins quand elle me tend la main. Je descends jusqu’à son corps comme si je faisais des pompes. En appuie sur mes mains j’approche mon visage si près du sien que nos souffles se frôlent. Mon érection vient frotter son intimité et je souris en coin. Je ne veux pas aller trop vite … et elle doit le voir dans mon regard. J’attrape sa main qui s’était glissée entre ses cuisses, taquine, viens embrasser sa paume. Son poignet que j’encercle de baiser tendre. Je remonte jusqu’à ses doigts que je viens suçoter. J’aime déjà le goût qu’elle a … ma langue se perd entre ses doigts, alors que mon sexe frotter contre le sien pour l’exciter un peu plus … Je délaisse ses doigts pour venir m’emparer de ses bouches délicieuse qui a si bien su s’occuper de moi. Ma langue cherche la sienne avec passion et si je voudrais me montrer doux et tendre, je me perds avec fièvre dans notre étreinte. Mes lèvres se perdent sur sa mâchoire et son cou. Ma paume chaude vient caresser son corps en glissant sur ses seins, ses côtes, ses hanches que je rapproche de moi. sa peau est si douce … son parfum si enivrant. Mes lèvres se perdent sur sa poitrine et descend en une ligne taquine jusqu’à son nombril que ma langue vient titiller. Je continue de descendre lentement en embrassant l’intérieure de ses cuisses, je la griffe doucement, et vient déposer des baisers sur sa perle de chair. Perle que je n’hésite pas à faire tourner sous ma langue. Elle s’est si bien occupée de moi, pourquoi devrait-elle être privée de ça ? Ma langue se presse contre son sexe et je glisse ses deux cuisses sur mes épaules pour les surélever légèrement et me laisser tout le loisir de m’occuper d’elle. Je caresse son ventre avec le plat de ma main et observe ses réactions …
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Re: «a special request » [hot] | Jeu 16 Avr - 21:28
tenue ; song - Il ne vient pas tout de suite. Quand elle tend sa main, il ne tend pas la sienne directement pour venir contre elle. Il préfère la lacérer de son regard, la toucher avec les yeux. Finalement, il se laisse tenter et vient contre elle, mais pas trop.. Leur visages sont si proches, leur bustes et leur ventre aussi, mais se frôlent à peine. Tout ce que sentit Bo Ja c'est le sexe tendu de son ami venir la narguer. Elle inspire bruyamment, relevant alors sa poitrine, bouche entre ouverte. Elle ne pouvait cesser de s'imaginer, de se donner un avant goût... cela la rendait plus humide encore, elle en avait presque mal tellement c'était excitant. Elle n'aurait jamais pensé ressentir une chose pareille, encore moins avec In Su. Mais il la rendait folle, l'avait sous son contrôle. Et c'est avec de moins en moins de pudeur qu'elle en demandait plus à chaque fois. Sentir la chaleur de sa langue contre sa peau, ses mains sur ses courbes, ses bras forts l'emprisonner, ses dents la mordre... tout cela, elle en voulait encore et toujours, jusqu'à que ca ne lui suffise plus. Faisait-il l'amour à toute ces filles ainsi ? Etait-il aussi taquin et attentionné habituellement ? Que se passera-t-il, si jamais elle en devient accro... ?
Lorsque sa main quittent son sexe, Bo Ja pose toute son attention sur In Su, à nouveau joueur. Ses baisers lui arrachent un petit frisson, et elle ne peut s'empêcher de pincer légèrement sa lèvre en le voyant venir goûter ses doigts brillants. Elle sent sa bouche pulpeuse se refermer sur ses phalanges, sa langue caresser chaque parcelle de peau pour mieux récupérer le nectar... Il ne laissait rien passer, prenant tout le temps qu'il faut pour s'occuper de chaque doigt. Puis elle sent un léger poids, celui de son bassin contre le sien. Sa virilité s'amuse à se frotter à elle à l'aide de va et viens et de pressions lentes sur son clitoris, ce qui commença tout doucement à lui attaquer le cerveau. Long, puissant... elle l'imaginait presque honteusement s'introduire en elle profondément, pour céler leur courte union. Mais il fallait qu'il s'arrête, c'était beaucoup trop plaisant pour la belle. Celui lui faisait beaucoup trop de bien.
Et c'est en pensant qu'il avait fini de la punir, qu'il se montra plus vil encore. Leur lèvres s'étaient rejoint, mais celle du garçon ne s'en contentèrent pas. Il entreprit de créer une route de baiser, sur plusieurs parties de son corps, allant toujours plus bas. Bo Ja savait pertinemment ce qu'il était en train de faire, et c'est sans entendre un son que l'on pouvait lire sur ses lèvres un « non ».. puis un autre, jusqu'à qu'elle sente la pointe de sa langue rouler sur cette boule de chaire. Elle ferme les yeux en inspirant, prête pour ce nouveau challenge.
Elle tente d'abord de se contrôler, se contente de mordre sa lèvre. Mais In Su, expert, ne la laissait pas s'en tirer si aisément. Pervers, ses gestes lui offraient une sensation excquise qui la déconnectait d'absolument tout. Ayant trouvé son clitoris, il pouvait la torturer comme il voulait. Et sentant sa langue s'appuyer et tourner dessus, Bo Ja commença à se cambrer de plaisir, se griffant la poitrine d'une main, caressant la chevelure du diablotin d'une autre. C'était si bon, il s'y prenait à la perfection et c'était terrible, car cela réveillait des choses en elle puissante. Le plaisir était intense, et avec un sourire en coin, elle fit tourner son bassin sur langue à contre sens, pour être confrontée aux limites de l'ivresse. Cambrée, d'un coup, ses mains cherchaient à présent quelque chose à saisir fermement, à tirer, à mordre. Sa respiration se faisant entendre, rapide, son cœur battait à la chamade. Non il fallait qu'il arrête avant qu'elle se sente partir. Pitié, pensait-elle.. je n'en peux plus.
Mais Bo Ja savait pertinemment, que In Su n'allait pas en rester là avec elle.
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tenue ; song - Il ne vient pas tout de suite. Quand elle tend sa main, il ne tend pas la sienne directement pour venir contre elle. Il préfère la lacérer de son regard, la toucher avec les yeux. Finalement, il se laisse tenter et vient contre elle, mais pas trop.. Leur visages sont si proches, leur bustes et leur ventre aussi, mais se frôlent à peine. Tout ce que sentit Bo Ja c'est le sexe tendu de son ami venir la narguer. Elle inspire bruyamment, relevant alors sa poitrine, bouche entre ouverte. Elle ne pouvait cesser de s'imaginer, de se donner un avant goût... cela la rendait plus humide encore, elle en avait presque mal tellement c'était excitant. Elle n'aurait jamais pensé ressentir une chose pareille, encore moins avec In Su. Mais il la rendait folle, l'avait sous son contrôle. Et c'est avec de moins en moins de pudeur qu'elle en demandait plus à chaque fois. Sentir la chaleur de sa langue contre sa peau, ses mains sur ses courbes, ses bras forts l'emprisonner, ses dents la mordre... tout cela, elle en voulait encore et toujours, jusqu'à que ca ne lui suffise plus. Faisait-il l'amour à toute ces filles ainsi ? Etait-il aussi taquin et attentionné habituellement ? Que se passera-t-il, si jamais elle en devient accro... ?
Lorsque sa main quittent son sexe, Bo Ja pose toute son attention sur In Su, à nouveau joueur. Ses baisers lui arrachent un petit frisson, et elle ne peut s'empêcher de pincer légèrement sa lèvre en le voyant venir goûter ses doigts brillants. Elle sent sa bouche pulpeuse se refermer sur ses phalanges, sa langue caresser chaque parcelle de peau pour mieux récupérer le nectar... Il ne laissait rien passer, prenant tout le temps qu'il faut pour s'occuper de chaque doigt. Puis elle sent un léger poids, celui de son bassin contre le sien. Sa virilité s'amuse à se frotter à elle à l'aide de va et viens et de pressions lentes sur son clitoris, ce qui commença tout doucement à lui attaquer le cerveau. Long, puissant... elle l'imaginait presque honteusement s'introduire en elle profondément, pour céler leur courte union. Mais il fallait qu'il s'arrête, c'était beaucoup trop plaisant pour la belle. Celui lui faisait beaucoup trop de bien.
Et c'est en pensant qu'il avait fini de la punir, qu'il se montra plus vil encore. Leur lèvres s'étaient rejoint, mais celle du garçon ne s'en contentèrent pas. Il entreprit de créer une route de baiser, sur plusieurs parties de son corps, allant toujours plus bas. Bo Ja savait pertinemment ce qu'il était en train de faire, et c'est sans entendre un son que l'on pouvait lire sur ses lèvres un « non ».. puis un autre, jusqu'à qu'elle sente la pointe de sa langue rouler sur cette boule de chaire. Elle ferme les yeux en inspirant, prête pour ce nouveau challenge.
Elle tente d'abord de se contrôler, se contente de mordre sa lèvre. Mais In Su, expert, ne la laissait pas s'en tirer si aisément. Pervers, ses gestes lui offraient une sensation excquise qui la déconnectait d'absolument tout. Ayant trouvé son clitoris, il pouvait la torturer comme il voulait. Et sentant sa langue s'appuyer et tourner dessus, Bo Ja commença à se cambrer de plaisir, se griffant la poitrine d'une main, caressant la chevelure du diablotin d'une autre. C'était si bon, il s'y prenait à la perfection et c'était terrible, car cela réveillait des choses en elle puissante. Le plaisir était intense, et avec un sourire en coin, elle fit tourner son bassin sur langue à contre sens, pour être confrontée aux limites de l'ivresse. Cambrée, d'un coup, ses mains cherchaient à présent quelque chose à saisir fermement, à tirer, à mordre. Sa respiration se faisant entendre, rapide, son cœur battait à la chamade. Non il fallait qu'il arrête avant qu'elle se sente partir. Pitié, pensait-elle.. je n'en peux plus.
Mais Bo Ja savait pertinemment, que In Su n'allait pas en rester là avec elle.
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Re: «a special request » [hot] | Jeu 16 Avr - 22:01
tenue ;
Elle se cambre. Elle gémit. Son souffle est rauque. Son souffle est chaud. Je la vois se perdre sous mes caresses et ça me plait bon sang. J’aime la voir devenir folle sous les assauts de ma langue. Je goûte à la douceur de sa peau, à la fièvre qui bat chaudement entre ses cuisses. Elle est délicieuse. L’amertume de son plaisir fond sur ma langue m’arrachant un soupire de plaisir. Allongé sur le ventre, je grimace sous la pression que mon bassin exerce contre le sol. J’aime lui faire du bien, j’aime la rendre dingue, mais putain c’est une véritable torture que je m’inflige. Je suçote sa perle de chair l’aspirant doucement, ma langue se perd sur ses lèvres que j’aime presser. Elle devient de plus en plus et c’est ma bouche qui vient recueillir son impatience. Elle frémit entre mes bras et je souris en la voyant faire. Son corps obéit au mien, si je crois la dominer, je ne pense être qu’à la merci de ses envies. Je donne ce qu’elle veut recevoir. Je lui offre ce dont elle a besoin. Comment réagirait-elle si elle savait que je ne pratique que rarement ce genre de jeu sexuel. Le cunni est quelque chose qui se mérite. Et je ne vais pas m’amuser à lécher toutes les chattes que je croise. Mais Bo Ja est différentes des autres. Et je ne sais pas comment lui faire comprendre. Je suis son amant ce soir. Mais la façon dont je lui fais l’amour est unique. Peu de femme ont eut le droit d’avoir autant d’attention de ma part. Et ce qu’elle m’offre je lui rends sans retenu. Ma langue s’insinue en elle, taquine, remplacée bientôt par un doigt qui vient taquiner son entrée. Humide. Elle est prête. Et au vu du regard brûlant qu’elle me jette, elle est définitivement prête. Je la taquine de mon doigt avant de me redresser sur les genoux. Je la domine. Mon sexe en main je la fixe, prêt à la pénétrer, mais quelque chose me gêne. Quelque chose me bloque. Le sol est érotique, chaque lieu qui compose une maison est l’endroit parfait pour s’envoyer en elle. Mais … J’ai déjà mal aux genoux à heurter le bois, et je ne doute pas qu’elle va finir par avoir le dos meurtri. J’ai bien le temps de lui montrer ce qu’est le sexe avec moi. Mais impatient comme je suis, je m’appuie d’une main sur le sol, juste à côté de son visage, et me loge entre ses cuisses. Je les soulève légèrement et ancre mon regard au sien alors que je la taquine de mon gland que je fais entrer et sortir sans jamais vraiment la pénétrer. J’ai un sourire joueur aux lèvres, mais je frémis d’impatience. Elle est étroite. Et cette simple constatation me fait durcir plus encore. Mes deux mains sur ses hanches, le buste redressé, je presse nos bassins l’un contre l’autre pour qu’ils ne fassent plus qu’un. J’entre en elle avec une lenteur et une sensualité redoutable. Je commence de léger va et vient pour qu’elle s’habitue à ma présence et quand je suis certain de pouvoir entrer en elle sans lui faire, je lui assène un coup de bassin fort pour buter en elle. Je me laisse retomber sur elle en gardant mon bassin pressé contre le sien. Je souffle, c’est si bon. Si chaud. Putain ouais, si humide. Je peux la sentir resserrer sa prise autour de mon sexe. Des mois que je n’ai plus sentit cette sensation d’être si bien lotit. C’est aussi la première fois depuis longtemps que je fais l’amour, et que je fais l’amour sobre. Je viens l’embrasser pour cueillir ses gémissements et attrape ses mains que je noue que dessus de sa tête. J’entremêle mes doigts aux siens avant de planter mon regard dans le sien. J’ai envie de voir ses yeux s’écarquiller de surprise quand je commencerai à bouger. Lentement je soulève mon bassin. Elle est si excitée que je peux me sentir glisser en elle un peu plus. Et lentement je commence mes coups de bassin, des va et vient lent et profond qui m’arrache un soupire rauque. Je me perds dans son regard et j’embrasse le bout de son nez. J’aimerais lui dire que c’est trop bon, que ça me rend dingue mais l’émotion me noue la gorge … ce soir on sera à égalité. Le silence nous dominera au même titre que le plaisir.
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Elle se cambre. Elle gémit. Son souffle est rauque. Son souffle est chaud. Je la vois se perdre sous mes caresses et ça me plait bon sang. J’aime la voir devenir folle sous les assauts de ma langue. Je goûte à la douceur de sa peau, à la fièvre qui bat chaudement entre ses cuisses. Elle est délicieuse. L’amertume de son plaisir fond sur ma langue m’arrachant un soupire de plaisir. Allongé sur le ventre, je grimace sous la pression que mon bassin exerce contre le sol. J’aime lui faire du bien, j’aime la rendre dingue, mais putain c’est une véritable torture que je m’inflige. Je suçote sa perle de chair l’aspirant doucement, ma langue se perd sur ses lèvres que j’aime presser. Elle devient de plus en plus et c’est ma bouche qui vient recueillir son impatience. Elle frémit entre mes bras et je souris en la voyant faire. Son corps obéit au mien, si je crois la dominer, je ne pense être qu’à la merci de ses envies. Je donne ce qu’elle veut recevoir. Je lui offre ce dont elle a besoin. Comment réagirait-elle si elle savait que je ne pratique que rarement ce genre de jeu sexuel. Le cunni est quelque chose qui se mérite. Et je ne vais pas m’amuser à lécher toutes les chattes que je croise. Mais Bo Ja est différentes des autres. Et je ne sais pas comment lui faire comprendre. Je suis son amant ce soir. Mais la façon dont je lui fais l’amour est unique. Peu de femme ont eut le droit d’avoir autant d’attention de ma part. Et ce qu’elle m’offre je lui rends sans retenu. Ma langue s’insinue en elle, taquine, remplacée bientôt par un doigt qui vient taquiner son entrée. Humide. Elle est prête. Et au vu du regard brûlant qu’elle me jette, elle est définitivement prête. Je la taquine de mon doigt avant de me redresser sur les genoux. Je la domine. Mon sexe en main je la fixe, prêt à la pénétrer, mais quelque chose me gêne. Quelque chose me bloque. Le sol est érotique, chaque lieu qui compose une maison est l’endroit parfait pour s’envoyer en elle. Mais … J’ai déjà mal aux genoux à heurter le bois, et je ne doute pas qu’elle va finir par avoir le dos meurtri. J’ai bien le temps de lui montrer ce qu’est le sexe avec moi. Mais impatient comme je suis, je m’appuie d’une main sur le sol, juste à côté de son visage, et me loge entre ses cuisses. Je les soulève légèrement et ancre mon regard au sien alors que je la taquine de mon gland que je fais entrer et sortir sans jamais vraiment la pénétrer. J’ai un sourire joueur aux lèvres, mais je frémis d’impatience. Elle est étroite. Et cette simple constatation me fait durcir plus encore. Mes deux mains sur ses hanches, le buste redressé, je presse nos bassins l’un contre l’autre pour qu’ils ne fassent plus qu’un. J’entre en elle avec une lenteur et une sensualité redoutable. Je commence de léger va et vient pour qu’elle s’habitue à ma présence et quand je suis certain de pouvoir entrer en elle sans lui faire, je lui assène un coup de bassin fort pour buter en elle. Je me laisse retomber sur elle en gardant mon bassin pressé contre le sien. Je souffle, c’est si bon. Si chaud. Putain ouais, si humide. Je peux la sentir resserrer sa prise autour de mon sexe. Des mois que je n’ai plus sentit cette sensation d’être si bien lotit. C’est aussi la première fois depuis longtemps que je fais l’amour, et que je fais l’amour sobre. Je viens l’embrasser pour cueillir ses gémissements et attrape ses mains que je noue que dessus de sa tête. J’entremêle mes doigts aux siens avant de planter mon regard dans le sien. J’ai envie de voir ses yeux s’écarquiller de surprise quand je commencerai à bouger. Lentement je soulève mon bassin. Elle est si excitée que je peux me sentir glisser en elle un peu plus. Et lentement je commence mes coups de bassin, des va et vient lent et profond qui m’arrache un soupire rauque. Je me perds dans son regard et j’embrasse le bout de son nez. J’aimerais lui dire que c’est trop bon, que ça me rend dingue mais l’émotion me noue la gorge … ce soir on sera à égalité. Le silence nous dominera au même titre que le plaisir.
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Re: «a special request » [hot] | Ven 17 Avr - 3:35
tenue ; song - C'est si bon de savoir que même pendant quelques minutes, une personne dépend de vous non ? Le contraire serait un mensonge. Savoir que c'est grâce à vous que quelqu'un se sent heureux, ou de votre faute si elle se sent meurtri aussi. Tant qu'il y a ce concept de dépendance. Savoir que vous avez un effet aussi puissant que celui-ci, que vous êtes en plein pouvoir. La domination suprême, une sorte d'extase devenu tabou qui se veut pourtant si... agréable.
Tout ceci s'appliquait sans limite aux deux jeunes gens qui jouaient dans la pièce. A tour de rôle, ils s'amusaient à tenir l'autre en laisse, à l'avoir sous son emprise pour mieux le satisfaire. Et en ce moment même, se prélassant sur le parquet, Bo Ja dépendait totalement de In Su. Elle l'avait dans la peau, et se sentait pour le moment incapable de s'en passer. Il faisait les choses beaucoup trop bien, la satisfaisait à un point qu'il ne pouvait sans doute pas imaginer. C'est donc ça faire l'amour.. c'est donc ça. C'est beau, c'est bon. Et elle est heureuse de le découvrir maintenant, avec lui.
Elle se sentait tréssaillir, sa bouche ravageant son sexe de coup de langues, baisers et autres caresses. Il savait exactement quoi faire pour la voir afaiblie, affaiblie par le plaisir. Et il prenait un malin plaisir à lui faire tourner la tête, avec acharnement comme si il voulait la voir mourir de bien. Les mains de Bo Ja se perdent dans sa propre chevelure, qu'elle tire en se mordant la lèvre, et il lui fallut un moment avant de réaliser qu'il se tenait devant elle, sur ses genoux, son érection dans la main. Elle tourna la tête, et la vue de son corps nu si bien dessiné la fit sourire avec tendresse. Elle avait encore envie de le toucher, de l'embrasser, de sentir sa peau sous ses lèvres. Mais en le voyant s'approcher elle comprit qu'elle allait avoir le droit à bien plus que ça. Enfin, leur corps ne feront qu'un, leur plaisirs ne formeront qu'un. Profitant de la proximité de leur visage elle l'embrasse, frissonnant contre ses lèvres alors que le bout de son sexe tendu s'amuse à aller et venir en elle.
Mais elle le voulait dans son entièreté. Elle voulait sentir toute sa chaire en elle, au plus profond d'elle, jusqu'à sentir son bassin. Et alors qu'il se redresse, qu'elle laisse ses mains tomber le long de ses bras, il empoigne fermement son bassin, la torturant par une entrée terriblement lente mais terriblement délicieuse. Coquine, elle écarta un peu plus les jambes pour qu'il ait plus de facilité à venir complètement en elle. Lorsqu'il commence à bouger, qu'elle le sent entre ses parrois chaudes, il peut l'entendre inspirer et expirer fort, comme si elle s'attendait à la suite. Mais elle ne s'y attendait pas ; voilà pourquoi son puissant coup de bassin lui décrocha un hoquet. Son humidité donnait de la facilité à ses coups de bassins. Cette cadence, la façon dont son sexe important venait en elle de façon si lente... elle adorait. Conquise, elle vient déposer des baisers dans le cou de In Su, quelques traces de langues, alors que ses bras le pressait contre elle. Ses cuisses étaient écartées au maximum pour qu'il puisse la combler au mieux. Dieu qu'il était imposant en elle, comment pouvait-il ne pas la combler après tout ? Bo Ja était littéralement ailleurs, essayait naïvement de parler contre son oreille où il devait sûrement sentir le mouvement de ses lèvres. C'est tellement bon...,aurait-elle aimé lui dire. Ne t'arrête pas, continue jusqu'à que je n'en puisse plus.
Spontanément, les vas et viens lents ne lui suffisaient plus, elle avait besoin d'entendre leur roulements de hanches, d'entendre leur corps claquer l'un contre l'autre. En resserrant les muscles de son vagin, elle donna un coup d’accélération, ses mains pressant le fessier de In Su pour le rythmer, le faisant aller le plus loin possible. Ses jambes étaient tendues en l'air, voulant profiter de son érection du mieux qu'elle pouvait. Un petit son cassé, qui ressemblait à un grognement, franchit le seuil de ses lèvres, et elle griffa ses fesses en remontant jusque dans le dos.
Ses lèvres continuaient de bouger sans pourtant émettre un son. Tu me fais du bien In Su, j'aime te sentir aller aussi loin en moi, je t'en supplie continue...
Il ne l'entendait pas mais peu importe : son corps entier se chargeait de transmettre ses émotions.
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tenue ; song - C'est si bon de savoir que même pendant quelques minutes, une personne dépend de vous non ? Le contraire serait un mensonge. Savoir que c'est grâce à vous que quelqu'un se sent heureux, ou de votre faute si elle se sent meurtri aussi. Tant qu'il y a ce concept de dépendance. Savoir que vous avez un effet aussi puissant que celui-ci, que vous êtes en plein pouvoir. La domination suprême, une sorte d'extase devenu tabou qui se veut pourtant si... agréable.
Tout ceci s'appliquait sans limite aux deux jeunes gens qui jouaient dans la pièce. A tour de rôle, ils s'amusaient à tenir l'autre en laisse, à l'avoir sous son emprise pour mieux le satisfaire. Et en ce moment même, se prélassant sur le parquet, Bo Ja dépendait totalement de In Su. Elle l'avait dans la peau, et se sentait pour le moment incapable de s'en passer. Il faisait les choses beaucoup trop bien, la satisfaisait à un point qu'il ne pouvait sans doute pas imaginer. C'est donc ça faire l'amour.. c'est donc ça. C'est beau, c'est bon. Et elle est heureuse de le découvrir maintenant, avec lui.
Elle se sentait tréssaillir, sa bouche ravageant son sexe de coup de langues, baisers et autres caresses. Il savait exactement quoi faire pour la voir afaiblie, affaiblie par le plaisir. Et il prenait un malin plaisir à lui faire tourner la tête, avec acharnement comme si il voulait la voir mourir de bien. Les mains de Bo Ja se perdent dans sa propre chevelure, qu'elle tire en se mordant la lèvre, et il lui fallut un moment avant de réaliser qu'il se tenait devant elle, sur ses genoux, son érection dans la main. Elle tourna la tête, et la vue de son corps nu si bien dessiné la fit sourire avec tendresse. Elle avait encore envie de le toucher, de l'embrasser, de sentir sa peau sous ses lèvres. Mais en le voyant s'approcher elle comprit qu'elle allait avoir le droit à bien plus que ça. Enfin, leur corps ne feront qu'un, leur plaisirs ne formeront qu'un. Profitant de la proximité de leur visage elle l'embrasse, frissonnant contre ses lèvres alors que le bout de son sexe tendu s'amuse à aller et venir en elle.
Mais elle le voulait dans son entièreté. Elle voulait sentir toute sa chaire en elle, au plus profond d'elle, jusqu'à sentir son bassin. Et alors qu'il se redresse, qu'elle laisse ses mains tomber le long de ses bras, il empoigne fermement son bassin, la torturant par une entrée terriblement lente mais terriblement délicieuse. Coquine, elle écarta un peu plus les jambes pour qu'il ait plus de facilité à venir complètement en elle. Lorsqu'il commence à bouger, qu'elle le sent entre ses parrois chaudes, il peut l'entendre inspirer et expirer fort, comme si elle s'attendait à la suite. Mais elle ne s'y attendait pas ; voilà pourquoi son puissant coup de bassin lui décrocha un hoquet. Son humidité donnait de la facilité à ses coups de bassins. Cette cadence, la façon dont son sexe important venait en elle de façon si lente... elle adorait. Conquise, elle vient déposer des baisers dans le cou de In Su, quelques traces de langues, alors que ses bras le pressait contre elle. Ses cuisses étaient écartées au maximum pour qu'il puisse la combler au mieux. Dieu qu'il était imposant en elle, comment pouvait-il ne pas la combler après tout ? Bo Ja était littéralement ailleurs, essayait naïvement de parler contre son oreille où il devait sûrement sentir le mouvement de ses lèvres. C'est tellement bon...,aurait-elle aimé lui dire. Ne t'arrête pas, continue jusqu'à que je n'en puisse plus.
Spontanément, les vas et viens lents ne lui suffisaient plus, elle avait besoin d'entendre leur roulements de hanches, d'entendre leur corps claquer l'un contre l'autre. En resserrant les muscles de son vagin, elle donna un coup d’accélération, ses mains pressant le fessier de In Su pour le rythmer, le faisant aller le plus loin possible. Ses jambes étaient tendues en l'air, voulant profiter de son érection du mieux qu'elle pouvait. Un petit son cassé, qui ressemblait à un grognement, franchit le seuil de ses lèvres, et elle griffa ses fesses en remontant jusque dans le dos.
Ses lèvres continuaient de bouger sans pourtant émettre un son. Tu me fais du bien In Su, j'aime te sentir aller aussi loin en moi, je t'en supplie continue...
Il ne l'entendait pas mais peu importe : son corps entier se chargeait de transmettre ses émotions.
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Re: «a special request » [hot] | Mer 22 Avr - 12:18
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Son corps allongé sur le sol dur donne à mes coups de bassins plus d’ampleur. Plus profond, plus langoureux. J’entre en elle avec la sensation dévorante de ne faire plus qu’un. J’ai ce besoin de coller nos deux cœurs et de la sentir contre moi. Elle aime, elle gémit, elle se cambre. Son souffle dans le creux de mon oreille m’arrache un gémissement. Dieu qu’elle est encore plus belle quand on lui fait l’amour. Elle en redemande, elle commande, j’obéis. Ses doigts se perdent sur mes fesses et je me crispe contre elle en accélérant le mouvement pour suivre son rythme. Je me redresse sur mon avant bras et m’agrippe à sa cuisse que je soulève encore plus pour la pénétrer un peu plus. Je glisse en elle avec une facilité déconcertante. Et cette fierté en moi de la sentir mouiller autant, son plaisir n’est pas feint. Elle prend son pied et c’est tout ce dont j’avais besoin pour prendre le mien. Mes lèvres se perdent sur sa bouche que je dévore à nouveau. Mon bassin claque contre le sien et seul le bruit de nos ébats trahis le silence de la pièce. Je trouve ca grisant. Je trouve ca érotique. Mes lèvres glissent à son cou que j’embrasse avec tendresse. Je me redressant sur les genoux, je viens triturer ses tétons que je fais rouler, taquin, entre mes doigts avec un sourire enjôleur sur les lèvres. Puis mes deux paumes brûlantes s’accrochent à ses hanches que je soulève légèrement pour être plus à l’aise. Mon regard ancré au sien je la taraude d’une dizaine de coup rapide, butant en elle avec un délice enivrant. Elle est étroite et referme cet étau sur moi pour m’en supplier davantage. Je pousse un râle de plaisir en rejetant la tête en arrière. Elle est délicieusement délicieuse. J’arrête brusquement mes mouvements rapide et profond pour reprendre un peu mon souffle. Elle a l’air aussi fatiguée que moi. Elle est belle … ses cheveux éparse, son regard dans le vague, elle me fixe avec cette lueur dans le regard qui me plaque au sol. Je lui souris tendrement alors que je dégage quelques mèches collées à son visage par la sueur. Je fais de même avec les mèches de mon front et écrase cette goutte de sueur qui coule sur mon torse du plat de la main. Je caresse son ventre en bougeant à peine des hanches, ces mouvements lents qui visent à lui rappeler que je suis toujours là, prêt à lui donner du plaisir. Puis je l’attire à moi, restant sur mes cheveux je la redresse jusqu’à ce qu’elle soit assise sur moi, veillant à ne jamais me retirer d’elle. Je souris en caressant son visage, mêlant nos deux souffles court. Je viens l’embrasser tendrement en glissant ma main dans sa nuque. J’approfondis le baiser alors que je l’incite à onduler sensuellement du bassin sur moi. Ainsi mise, elle me prend dans mon entièreté. Nos bassins collés, je bute en elle avec la sensation étourdissante d’être au paradis. Je caresse ses cheveux en glissant ma main dans le creux de ses reins, je dessine des arabesques sur sa peau alors que mes paumes remonte le long de son dos sur ses omoplates pour venir s'accrocher à ses épaules. Prisonnière de mon étau, je plaque mes avant bras sur son dos pour la plaque un peu plus contre mon torse. Notre proximité est une distance encore trop tortureuse pour moi. Elle a la peau moite et je trouve ça encore plus excitant. Enroulant ses jambes autour de mes hanches je me redresse soudain. Je laisse son bassin s’affaisser légèrement pour me sente toujours en elle et je comble les quelques mètres qui me séparent de ma chambre. Elle mérite un lit. Un vrai lit. Celui que je n’ouvre à personne. Je l’allonge délicatement en embrassant son cou et remonte à sa mâchoire en ondulant doucement en elle. Je plonge mon regard dans le sien malgré la pénombre de la pièce et lui murmure « Tu te mets sur le ventre … ? » elle peut refuser, mais elle doit savoir que dans mon regard, je ne eux que lui donner du plaisir et qu’elle n’a rien à craindre … je lui souris en lui volant un baiser. « T’es magnifique Bo Ja … » lâchais-je en parlant plus vite que je le ne pensais. Je mordille sa lèvre inférieure entre mes dents en tirant doucement vers moi. Et répète dans un souffle comme si mon esprit était ailleurs « Oui … magnifique. » La sensation qui me serre le ventre à ce moment là est déroutante, mais délicieusement délicieuse.
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Re: «a special request » [hot] | Mar 28 Avr - 2:08
tenue ; song -Le temps passait trop vite, pourtant cela fait déjà quelques minutes que le corps d’In Su recouvre celui de Bo Ja. Il l’enveloppe, de cette peau chaude et moite, et lui fait l’amour avec une passion sans pareille, qui se traduit par les vas et viens incessants entre ses cuisses. Il est endurant, mais ne bâcle rien. Il est parfait, sait absolument comment la satisfaire. De temps à autre, ses lèvres comme deux perles rouges, viennent ravir celles de la jeune femme qu’il arrache à tous ses tourments. C’est adorable. Il est adorable. Il ne peut s’empêcher de l’être malgré ce moment de luxure. Comme si c’était naturel. Et cela plaisait à la coréenne qu’il tenait dans ses bras. Si elle pouvait hurler de plaisir… peut-être aurait-il déjà jouit. Sa respiration se faisait sifflante, ses yeux se plissaient, ses dents perforaient sa lèvre inférieur, ses doigts se crispaient… elle était au bord de l’effondrement. Les coups de reins qu’il lui infligeait, étaient pourtant délicieux. Erotique et coquine, elle en redemandait plus, elle le voulait toujours plus loin en elle, et pourtant, elle ne le voulait pas tout de suite. Un paradoxe dans ses envies qui rendaient la situation intéressante tant elle tournait autour de ce jeu de séduction. Ce qui la faisait craquer ? Ce n’était pas sentir la puissance de ses coups, ni leur rapidité – bien que cela soit loin de la laisser indifférente. Non… c’était quand il était lent, régulier, et qu’il prenait le temps de se glisser en elle dans son entièreté. C’était un peu comme se flageller… mais au diable tout cela, elle en était folle.
Quand ses mains la transportent sur lui, In Su peut croiser ce regard brillant, sous une peau luisante d’efforts. Il est toujours en elle, le temps de reprendre leurs esprits et leur souffle. Si il y avait bien une position avantageuse à la proximité… c’était bien celle-ci. Leur bassin était collé, mais aussi leur buste, leur front, puis bientôt leur lèvres. Les mains du monsieur, bougeaient très légèrement les hanches de madame. Jusqu’à ce que celle-ci se décide toute seule à prendre les devants. Sa main gauche alla chercher un appui derrière, et vint serrer une cheville pour enfin onduler sur son membre dur. Elle contrôlait chaque mouvement, contractant ses muscles pour amplifier leur plaisir. Et les claquements reprirent, tout comme les râles de In Su, sûrement bien heureux de la maîtrise de sa partenaire.
A croire que cependant, cela ne lui suffisait pas. Bo Ja se sentit levée puis transportée, ses bras enroulé autour de son cou. Et alors que son dos retrouva le confort d’un matelas, elle ne put s’empêcher de se montrer hésitante face à la proposition de son ami, puis attendrie par ses compliments. Elle lui caressa le visage en affichant un sourire affectueux, le contemplant. Il semblait fatigué et pourtant si désireux à la fois. Ses lèvres pulpeuses, ne demandaient qu’à être dévorées. Alors en attrapant avec délicatesse le visage du bel homme, elle lui offrit un baiser des plus sensuels. Une main glissa dans sa nuque, s’occupant de le faire basculer sous elle.
La levrette ne la mettait pas à l’aise. Ce n’était pas contre lui, car elle se sentait terriblement bien dans cet instant avec lui, mais cela doit être psychologique. Très cliché, peut-être. Mais cela ne la satisfaisait pas en plusieurs points… alors, elle décida d’échanger un peu les rôles, de le laisser se reposer et d’à son tour, le dominer par le plaisir. Ce qu’elle commença à faire en se retirant lentement, glissant contre son corps, jusqu’à sa virilité qu’elle vint sucer tout doucement, enduit de son nectar. Sa langue rampait sur son sexe de façon érotique, mais pas vulgaire. Et tout en lui jetant quelques regards langoureux, elle s’amusait faire caresser son gland mouillé contre sa bouche, miroitante. Puis pendant quelques instants, elle le prit complètement entre ses lèvres pour faire les aller retours rapides et quelque peu profonds, ses doigts jouant avec ce qui se trouvait en dessous. Elle voulait l’entendre gémir, savoir à quel point cette sensation l’enivrait, et voir son visage se crisper de folie…
Une fois fini Bo Ja se redresse gracieusement, et vient placer ses cuisses de part et d’autre de son corps en le regardant avec malice. Elle n’allait pas le laisser là-dessus, oh non… Avant toute chose en profita – haletante – pour caresser son corps avec soin, avec envie. In Su est beau et elle aimerait lui dire. Cette peau mouillée par leur ébat, taillée par quelques griffures, recouvrait un corps superbe. Partant de sa chevelure, en passant par ses yeux, son cou, mais aussi son tors et son ventre, elle arriva jusqu’à sa queue qui ne semblait pas encore rassasiée. L’empoignant, elle s’empale donc sur lui la bouche entre ouverte, les yeux clos. Ses mains saisissent ses longs cheveux, la tête relevée, et elle commence à bouger en douceur sur lui, sa poitrine suivant le mouvement.
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tenue ; song -Le temps passait trop vite, pourtant cela fait déjà quelques minutes que le corps d’In Su recouvre celui de Bo Ja. Il l’enveloppe, de cette peau chaude et moite, et lui fait l’amour avec une passion sans pareille, qui se traduit par les vas et viens incessants entre ses cuisses. Il est endurant, mais ne bâcle rien. Il est parfait, sait absolument comment la satisfaire. De temps à autre, ses lèvres comme deux perles rouges, viennent ravir celles de la jeune femme qu’il arrache à tous ses tourments. C’est adorable. Il est adorable. Il ne peut s’empêcher de l’être malgré ce moment de luxure. Comme si c’était naturel. Et cela plaisait à la coréenne qu’il tenait dans ses bras. Si elle pouvait hurler de plaisir… peut-être aurait-il déjà jouit. Sa respiration se faisait sifflante, ses yeux se plissaient, ses dents perforaient sa lèvre inférieur, ses doigts se crispaient… elle était au bord de l’effondrement. Les coups de reins qu’il lui infligeait, étaient pourtant délicieux. Erotique et coquine, elle en redemandait plus, elle le voulait toujours plus loin en elle, et pourtant, elle ne le voulait pas tout de suite. Un paradoxe dans ses envies qui rendaient la situation intéressante tant elle tournait autour de ce jeu de séduction. Ce qui la faisait craquer ? Ce n’était pas sentir la puissance de ses coups, ni leur rapidité – bien que cela soit loin de la laisser indifférente. Non… c’était quand il était lent, régulier, et qu’il prenait le temps de se glisser en elle dans son entièreté. C’était un peu comme se flageller… mais au diable tout cela, elle en était folle.
Quand ses mains la transportent sur lui, In Su peut croiser ce regard brillant, sous une peau luisante d’efforts. Il est toujours en elle, le temps de reprendre leurs esprits et leur souffle. Si il y avait bien une position avantageuse à la proximité… c’était bien celle-ci. Leur bassin était collé, mais aussi leur buste, leur front, puis bientôt leur lèvres. Les mains du monsieur, bougeaient très légèrement les hanches de madame. Jusqu’à ce que celle-ci se décide toute seule à prendre les devants. Sa main gauche alla chercher un appui derrière, et vint serrer une cheville pour enfin onduler sur son membre dur. Elle contrôlait chaque mouvement, contractant ses muscles pour amplifier leur plaisir. Et les claquements reprirent, tout comme les râles de In Su, sûrement bien heureux de la maîtrise de sa partenaire.
A croire que cependant, cela ne lui suffisait pas. Bo Ja se sentit levée puis transportée, ses bras enroulé autour de son cou. Et alors que son dos retrouva le confort d’un matelas, elle ne put s’empêcher de se montrer hésitante face à la proposition de son ami, puis attendrie par ses compliments. Elle lui caressa le visage en affichant un sourire affectueux, le contemplant. Il semblait fatigué et pourtant si désireux à la fois. Ses lèvres pulpeuses, ne demandaient qu’à être dévorées. Alors en attrapant avec délicatesse le visage du bel homme, elle lui offrit un baiser des plus sensuels. Une main glissa dans sa nuque, s’occupant de le faire basculer sous elle.
La levrette ne la mettait pas à l’aise. Ce n’était pas contre lui, car elle se sentait terriblement bien dans cet instant avec lui, mais cela doit être psychologique. Très cliché, peut-être. Mais cela ne la satisfaisait pas en plusieurs points… alors, elle décida d’échanger un peu les rôles, de le laisser se reposer et d’à son tour, le dominer par le plaisir. Ce qu’elle commença à faire en se retirant lentement, glissant contre son corps, jusqu’à sa virilité qu’elle vint sucer tout doucement, enduit de son nectar. Sa langue rampait sur son sexe de façon érotique, mais pas vulgaire. Et tout en lui jetant quelques regards langoureux, elle s’amusait faire caresser son gland mouillé contre sa bouche, miroitante. Puis pendant quelques instants, elle le prit complètement entre ses lèvres pour faire les aller retours rapides et quelque peu profonds, ses doigts jouant avec ce qui se trouvait en dessous. Elle voulait l’entendre gémir, savoir à quel point cette sensation l’enivrait, et voir son visage se crisper de folie…
Une fois fini Bo Ja se redresse gracieusement, et vient placer ses cuisses de part et d’autre de son corps en le regardant avec malice. Elle n’allait pas le laisser là-dessus, oh non… Avant toute chose en profita – haletante – pour caresser son corps avec soin, avec envie. In Su est beau et elle aimerait lui dire. Cette peau mouillée par leur ébat, taillée par quelques griffures, recouvrait un corps superbe. Partant de sa chevelure, en passant par ses yeux, son cou, mais aussi son tors et son ventre, elle arriva jusqu’à sa queue qui ne semblait pas encore rassasiée. L’empoignant, elle s’empale donc sur lui la bouche entre ouverte, les yeux clos. Ses mains saisissent ses longs cheveux, la tête relevée, et elle commence à bouger en douceur sur lui, sa poitrine suivant le mouvement.
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Re: «a special request » [hot] | Ven 8 Mai - 2:07
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J’ai trop de chance. Elle n’aurait jamais du finir dans le pieu d’un mec comme moi, et pourtant, c’est contre moi qu’elle se blottit, c’est contre moi qu’elle se colle. C’est entre mes bras qu’elle tremble de plaisir et qu’elle soupire. Et si ses lèvres pouvaient le murmurer elles me supplieraient de continuer. Ce que je ferais avec un plaisir non feint. Ce lit parait immense maintenant qu’elle est allongée dedans. Elle parait si frêle et pourtant je ne vois qu’elle dans la pièce. Son aura si attirant m’hypnotise et c’est sans lâcher son regard que je viens embrasser son ventre. Je lui propose une position qu’elle décline à sa façon, avec une grâce et une douceur si infime que je n’ai pas le cœur à être déçu. Je retombe sur le matelas lourdement en la laissant faire. Mes mains caressent ses bras avant qu’elle ne soit trop loin pour que je puisse l’atteindre. Elle glisse entre mes cuisses pour venir me faire une fellation à nouveau. Putain, dieu qu’elle était douée. Elle me fait prendre mon pied comme jamais. Des caresses si parfaites, si justement appuyées qu’elles me font soupirer de plaisir. J’enfonce ma tête dans le matelas en bloquant mon bassin pour qu’elle me prenne d’avantage en bouge. De temps en temps je la regarde, je croise son regard et elle peut y lire combien je la trouve belle, combien j’aime notre moment, combien elle est magnifique … Je lui souris tendrement en tendant le bras pour venir caresser sa joue et sa lèvre inférieure luisante. Elle est érotique et moi je suis sous le charme. Je ferme les yeux pour mieux savourer ses caresses et soupires en donnant quelques coups de bassins parfois. Elle va me faire gémir et dieu sait que je déteste ça. Gémir, montrer qu’on aime, se montrer si … à sa merci. Mais je le fais sans me plaindre. Je le fais parce que c’est plus fort que moi et que je ne peux pas me retenir. Elle se redresse enfin et viens s’assoir sur mon bassin. Mon corps est couvert de sueur et loin du lui déplaire, elle à l’air de la griser. Elle me caresse le torse avec une douceur qui fait lâcher mon cœur. Bon sang que ça fait du bien … mourir à petit à feu entre ses bras. Se dire qu’à l’aube elle m’aura consumé. Mais je n’ai plus peur, j’avais froid et ce soir, elle me réchauffe. Et si j’en crève alors que j’en crève. Parce que je crèverais heureux. Elle est la douceur qui manque à ma vie. depuis mon premier amour jamais aucune femme n’a réussi à m’arracher le cœur. Et j’ai beau joué les connards, les mecs insensibles, il m’arrive d’avoir envie de croiser le regard d’une femme qui m’aimerait. Peut-être pas d’amour, mais qui serait comblée avec moi. Et c’est bien ce que je vois dans le regard de Bo Ja. Elle est comblée, assez pour me sourire tendrement … la seule crainte qui me sert le ventre est celle de devenir accroc à cette douceur. D’en redemander encore … la tendresse je ne connais pas, pas vraiment. Je sais l’imiter, je sais la donner, mais je ne la vis jamais. Pas vraiment. Sauf ce soir. Elle vient s’empaler avec une lenteur dangereusement. Je retiens un soupir entre mes lèvres en le regardant relever ses cheveux, les yeux clos et le corps qui bouge en rythme. Je pourrais tomber amoureux de cette vision. De cette femme. Mes paumes brulantes viennent caresser ses hanches et remonte à sa poitrine qui je viens taquiner. Elle y est sensible alors je m’amuse avec, rien que pour voir son visage se perdre dans des grimaces de plaisirs. « Bo Ja … t’es belle. » murmurais-je dans un souffle. Je crois que je lui ai déjà dit, mais j’avais besoin de lui redire, de lui redire à quel point elle me plait ce soir. A quel point elle est la plus belle au monde. Serrant les abdos je me redresse pour m’assoir légèrement et enroule mes deux bras autour de son corps que je presse contre le mien. Sa poitrine si fine s’écrase contre mon torse dans une vision délicieuse et déjà je m’empare de ses lèvres qui m’ont tant manqué. On est loin du baiser chaste et timide que j’ai pu lui offrir il y a quelques instants. Je lie nos langues avec sensualité et passion, cramponnant une main à ses fesses pour lui donner un rythme, pour l’aider, pour la caresser, elle et son corps. la porte de ma chambre est ouverte, les lumières de l’appartement son allumée, sauf celle qui nous entoure, et mon cousin pourrait débarquer à tout moment. Pourtant la seule chose qui me plait c’est de me concentrer sur son bassin qui ondule et qui me frotte au mien. C’est de la sentir faire des va et vient sur mon sexe douloureusement gonflé en elle. Elle est pleine de moi, et pleine d’émoi. Je l’embrasse à en prendre mon souffle et soupire de plaisir contre sa bouche, dévorant avec avidité ses gémissements qu’elle lâche parfois. Oh oui, elle est belle Bo Ja, mais elle est aussi terriblement sexy quand elle fait l’amour.
J’ai trop de chance. Elle n’aurait jamais du finir dans le pieu d’un mec comme moi, et pourtant, c’est contre moi qu’elle se blottit, c’est contre moi qu’elle se colle. C’est entre mes bras qu’elle tremble de plaisir et qu’elle soupire. Et si ses lèvres pouvaient le murmurer elles me supplieraient de continuer. Ce que je ferais avec un plaisir non feint. Ce lit parait immense maintenant qu’elle est allongée dedans. Elle parait si frêle et pourtant je ne vois qu’elle dans la pièce. Son aura si attirant m’hypnotise et c’est sans lâcher son regard que je viens embrasser son ventre. Je lui propose une position qu’elle décline à sa façon, avec une grâce et une douceur si infime que je n’ai pas le cœur à être déçu. Je retombe sur le matelas lourdement en la laissant faire. Mes mains caressent ses bras avant qu’elle ne soit trop loin pour que je puisse l’atteindre. Elle glisse entre mes cuisses pour venir me faire une fellation à nouveau. Putain, dieu qu’elle était douée. Elle me fait prendre mon pied comme jamais. Des caresses si parfaites, si justement appuyées qu’elles me font soupirer de plaisir. J’enfonce ma tête dans le matelas en bloquant mon bassin pour qu’elle me prenne d’avantage en bouge. De temps en temps je la regarde, je croise son regard et elle peut y lire combien je la trouve belle, combien j’aime notre moment, combien elle est magnifique … Je lui souris tendrement en tendant le bras pour venir caresser sa joue et sa lèvre inférieure luisante. Elle est érotique et moi je suis sous le charme. Je ferme les yeux pour mieux savourer ses caresses et soupires en donnant quelques coups de bassins parfois. Elle va me faire gémir et dieu sait que je déteste ça. Gémir, montrer qu’on aime, se montrer si … à sa merci. Mais je le fais sans me plaindre. Je le fais parce que c’est plus fort que moi et que je ne peux pas me retenir. Elle se redresse enfin et viens s’assoir sur mon bassin. Mon corps est couvert de sueur et loin du lui déplaire, elle à l’air de la griser. Elle me caresse le torse avec une douceur qui fait lâcher mon cœur. Bon sang que ça fait du bien … mourir à petit à feu entre ses bras. Se dire qu’à l’aube elle m’aura consumé. Mais je n’ai plus peur, j’avais froid et ce soir, elle me réchauffe. Et si j’en crève alors que j’en crève. Parce que je crèverais heureux. Elle est la douceur qui manque à ma vie. depuis mon premier amour jamais aucune femme n’a réussi à m’arracher le cœur. Et j’ai beau joué les connards, les mecs insensibles, il m’arrive d’avoir envie de croiser le regard d’une femme qui m’aimerait. Peut-être pas d’amour, mais qui serait comblée avec moi. Et c’est bien ce que je vois dans le regard de Bo Ja. Elle est comblée, assez pour me sourire tendrement … la seule crainte qui me sert le ventre est celle de devenir accroc à cette douceur. D’en redemander encore … la tendresse je ne connais pas, pas vraiment. Je sais l’imiter, je sais la donner, mais je ne la vis jamais. Pas vraiment. Sauf ce soir. Elle vient s’empaler avec une lenteur dangereusement. Je retiens un soupir entre mes lèvres en le regardant relever ses cheveux, les yeux clos et le corps qui bouge en rythme. Je pourrais tomber amoureux de cette vision. De cette femme. Mes paumes brulantes viennent caresser ses hanches et remonte à sa poitrine qui je viens taquiner. Elle y est sensible alors je m’amuse avec, rien que pour voir son visage se perdre dans des grimaces de plaisirs. « Bo Ja … t’es belle. » murmurais-je dans un souffle. Je crois que je lui ai déjà dit, mais j’avais besoin de lui redire, de lui redire à quel point elle me plait ce soir. A quel point elle est la plus belle au monde. Serrant les abdos je me redresse pour m’assoir légèrement et enroule mes deux bras autour de son corps que je presse contre le mien. Sa poitrine si fine s’écrase contre mon torse dans une vision délicieuse et déjà je m’empare de ses lèvres qui m’ont tant manqué. On est loin du baiser chaste et timide que j’ai pu lui offrir il y a quelques instants. Je lie nos langues avec sensualité et passion, cramponnant une main à ses fesses pour lui donner un rythme, pour l’aider, pour la caresser, elle et son corps. la porte de ma chambre est ouverte, les lumières de l’appartement son allumée, sauf celle qui nous entoure, et mon cousin pourrait débarquer à tout moment. Pourtant la seule chose qui me plait c’est de me concentrer sur son bassin qui ondule et qui me frotte au mien. C’est de la sentir faire des va et vient sur mon sexe douloureusement gonflé en elle. Elle est pleine de moi, et pleine d’émoi. Je l’embrasse à en prendre mon souffle et soupire de plaisir contre sa bouche, dévorant avec avidité ses gémissements qu’elle lâche parfois. Oh oui, elle est belle Bo Ja, mais elle est aussi terriblement sexy quand elle fait l’amour.
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Re: «a special request » [hot] | Lun 18 Mai - 0:39
tenue ; song -Il y a un plaisir autre que physique dans le sexe. C'est celui de voir à quel point vous pouvez faire du bien à votre partenaire. Un pouvoir dont aiment abuser certaines personnes, pour le plus grand plaisir de l'autre. Bo Ja ce soir ne se concentrait pas seulement sur ses émotions mais également sur celles d'In Su. Le voir lâcher prise, le voir retenir des gémissements en grimaçant. Il y avait une part de satisfaction qu'elle ne pouvait trop dissimuler. Elle sait bien faire l'amour. On lui a appris à bien faire l'amour, car son corps était un cadeau. Non en fait : on lui a bien appris à baiser. Elle était à la merci de tous les hommes qui l’accueillaient dans leur lit – ou autre part d'ailleurs. Et il fallait bien faire, il fallait qu'il vous ait dans la peau assez de temps pour qu'ils puissent jouir en vous. Plaisir qui n'allait donc que dans un seul sens. Bo Ja ne pouvait pas savourer les gémissements qui glissaient dans sa bouche, tant ils les dégouttaient. Elle ne pouvait prendre plaisir à rien du tout.
Mais ce soir, si. Pour la première fois depuis qu'elle s'est faite dépucelé dans cet hôtel 6 étoiles. Elle s'en souvient encore. Mais inutile de remuer ces vieux souvenirs.Les images qui défilaient devant ses beaux yeux ce soir étaient bien plus agréables.
Bo Ja faisait l'amour pour la première fois de sa vie. Sa virginité, c'est en réalité In Su qui était en train de la lui prendre. Et c'était un moment bien plus que délicieux. Elle n'avait pas peur, traversée par milles et une émotions à la fois, de se livrer entièrement à lui et de le laisser se livrer à elle aussi. Si il savait.. si il avait même la moindre idée.
Il l'assassinait tout en faisant serpenter ses mains sur son beau corps. In Su avait déjà commencé à prendre une place dans la vie de Bo Ja. C'était un bon ami. Elle l'appréciait beaucoup, et lui trouvaient un tas de qualité. C'était un homme bon, un homme bien. Voilà ce qu'elle se disait. Tout s'est passé si rapidement pourtant. Ces deux bouches qui se découvrent, puis ces deux corps... cette envie partagée. La jeune coréenne n'avait pas l'intention de gâcher quoi que ce soit à travers cet acte. Au contraire. Cela na l'amenait pas à penser que tout était purement physique. C'est faux. Car elle vivait cet instant avec passion, il y avait ces papillons dans son estomac, cette envie de le posséder et d'être possédée. Une euphorie passagère qui sait ? Peu importe. Ils n'étaient qu'un homme et une femme, répondant aussi tendrement que sauvagement, à des besoins qui leur sont propres. Et ces étoiles dans les yeux quand elle le regarde, ce sourire qu'il lui adresse en guise de réponse, ne rendaient que plus beau ce moment intime.
Les yeux toujours clos, elle mord sa lèvre en sentant les doigts du jeune homme venir taquiner ses tétons. Son attention était portée sur beaucoup trop de sensations à la fois, il y avait de quoi lâcher prise. Son bassin bougeait de haut en bas, remontant lentement pour s'empaler d'un coup sur lui. Contractant ses parois, Bo Ja sentait son sexe au plus profond d'elle. Et elle répétait son geste encore et encore, en entant l'extase sortir des lèvres de In Su. Mais c'est lorsqu'il se redressa, lorsqu'il murmura ces mots qu'elle eut un hoquet. Puis plusieurs lourds soupirs. Sa bouche était entre ouverte, il y glissa sa langue pour s'amuser un peu... Avant de la prendre contre lui pour la serrer dans ses bras. Lentement, les mains de l'étudiante montèrent jusqu'à son visage pour le tenir en même temps qu'ils s'embrassaient. Elle va, elle vient, entre ses reins, apportant plus d'ardeur à l'ébat. Il était entièrement en elle, il pouvait sentir cette humide chaleur sur le long de sa virilité. In Su était si dur en cet instant et rien que cette pensée apporta une nouvelle vague de plaisir à Bo Ja.
Ses coups qui étaient rapides – et qui rendaient les deux amants tremblants – ralentirent pour un jeu coquin... Combien de temps allait-il tenir à cette cadence ? Pouvait-il devenir fou à cause de la torture ?
C'est en continuant d'onduler lentement et sensuellement sur sa queue qu'elle déposait de baisers dans son cou, sur sa mâchoire, ses pommettes.. Les bras enroulés autour de son cou, Bo Ja posa ensuite son front contre celui de son partenaire pour le regarder avec douceur et lui sourire avec un air de défi. Pour ce qui la concerne... c'était absolument jouissif de savoir qu'il venait et sortait d'elle avec cette lenteur déconcertante, ce qui lui faisait sentir encore plus la taille de son membre...
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tenue ; song -Il y a un plaisir autre que physique dans le sexe. C'est celui de voir à quel point vous pouvez faire du bien à votre partenaire. Un pouvoir dont aiment abuser certaines personnes, pour le plus grand plaisir de l'autre. Bo Ja ce soir ne se concentrait pas seulement sur ses émotions mais également sur celles d'In Su. Le voir lâcher prise, le voir retenir des gémissements en grimaçant. Il y avait une part de satisfaction qu'elle ne pouvait trop dissimuler. Elle sait bien faire l'amour. On lui a appris à bien faire l'amour, car son corps était un cadeau. Non en fait : on lui a bien appris à baiser. Elle était à la merci de tous les hommes qui l’accueillaient dans leur lit – ou autre part d'ailleurs. Et il fallait bien faire, il fallait qu'il vous ait dans la peau assez de temps pour qu'ils puissent jouir en vous. Plaisir qui n'allait donc que dans un seul sens. Bo Ja ne pouvait pas savourer les gémissements qui glissaient dans sa bouche, tant ils les dégouttaient. Elle ne pouvait prendre plaisir à rien du tout.
Mais ce soir, si. Pour la première fois depuis qu'elle s'est faite dépucelé dans cet hôtel 6 étoiles. Elle s'en souvient encore. Mais inutile de remuer ces vieux souvenirs.Les images qui défilaient devant ses beaux yeux ce soir étaient bien plus agréables.
Bo Ja faisait l'amour pour la première fois de sa vie. Sa virginité, c'est en réalité In Su qui était en train de la lui prendre. Et c'était un moment bien plus que délicieux. Elle n'avait pas peur, traversée par milles et une émotions à la fois, de se livrer entièrement à lui et de le laisser se livrer à elle aussi. Si il savait.. si il avait même la moindre idée.
Il l'assassinait tout en faisant serpenter ses mains sur son beau corps. In Su avait déjà commencé à prendre une place dans la vie de Bo Ja. C'était un bon ami. Elle l'appréciait beaucoup, et lui trouvaient un tas de qualité. C'était un homme bon, un homme bien. Voilà ce qu'elle se disait. Tout s'est passé si rapidement pourtant. Ces deux bouches qui se découvrent, puis ces deux corps... cette envie partagée. La jeune coréenne n'avait pas l'intention de gâcher quoi que ce soit à travers cet acte. Au contraire. Cela na l'amenait pas à penser que tout était purement physique. C'est faux. Car elle vivait cet instant avec passion, il y avait ces papillons dans son estomac, cette envie de le posséder et d'être possédée. Une euphorie passagère qui sait ? Peu importe. Ils n'étaient qu'un homme et une femme, répondant aussi tendrement que sauvagement, à des besoins qui leur sont propres. Et ces étoiles dans les yeux quand elle le regarde, ce sourire qu'il lui adresse en guise de réponse, ne rendaient que plus beau ce moment intime.
Les yeux toujours clos, elle mord sa lèvre en sentant les doigts du jeune homme venir taquiner ses tétons. Son attention était portée sur beaucoup trop de sensations à la fois, il y avait de quoi lâcher prise. Son bassin bougeait de haut en bas, remontant lentement pour s'empaler d'un coup sur lui. Contractant ses parois, Bo Ja sentait son sexe au plus profond d'elle. Et elle répétait son geste encore et encore, en entant l'extase sortir des lèvres de In Su. Mais c'est lorsqu'il se redressa, lorsqu'il murmura ces mots qu'elle eut un hoquet. Puis plusieurs lourds soupirs. Sa bouche était entre ouverte, il y glissa sa langue pour s'amuser un peu... Avant de la prendre contre lui pour la serrer dans ses bras. Lentement, les mains de l'étudiante montèrent jusqu'à son visage pour le tenir en même temps qu'ils s'embrassaient. Elle va, elle vient, entre ses reins, apportant plus d'ardeur à l'ébat. Il était entièrement en elle, il pouvait sentir cette humide chaleur sur le long de sa virilité. In Su était si dur en cet instant et rien que cette pensée apporta une nouvelle vague de plaisir à Bo Ja.
Ses coups qui étaient rapides – et qui rendaient les deux amants tremblants – ralentirent pour un jeu coquin... Combien de temps allait-il tenir à cette cadence ? Pouvait-il devenir fou à cause de la torture ?
C'est en continuant d'onduler lentement et sensuellement sur sa queue qu'elle déposait de baisers dans son cou, sur sa mâchoire, ses pommettes.. Les bras enroulés autour de son cou, Bo Ja posa ensuite son front contre celui de son partenaire pour le regarder avec douceur et lui sourire avec un air de défi. Pour ce qui la concerne... c'était absolument jouissif de savoir qu'il venait et sortait d'elle avec cette lenteur déconcertante, ce qui lui faisait sentir encore plus la taille de son membre...
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Re: «a special request » [hot] | Mar 19 Mai - 15:56
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Je l’aime. A ma façon, ma façon d’aimer les gens et ces sentiments n’ont pas changé. Je tiens à elle, comme un attachement fort. Tu vois, ce genre de liens invisibles qui peuvent parfois vous rendre confus. On ne sait pas trop où ça mène, pourquoi, ni comment. On sait juste qu’on va quelque part et parfois ça peut être effrayant. C’est pour ça que ces conneries de sentiments m’ont toujours fait chier. Je sais jamais où je vais atterrir, ni dans quel état, et c’est surtout ce dernier point qui m’effraie. Mais avec Bo Ja c’est simple, c’est naturel. Je ne cherche pas à comprendre ce qu’il y a entre nous, puisque rien n’est vraiment concret. Je tiens à elle, vraiment beaucoup, mais je sais qu’on ne pourra jamais tomber amoureux l’un de l’autre. Et je ne sais pas d’où me vient cette certitude. Peut-être la façon qu’elle a de me regarder. Elle est douce Bo Ja. Elle est belle. Mais son regard ne me fixe pas avec cette étincelle, celle qui change tout. Elle me fixe pourtant avec une intensité qui me déroute et bordel, qu’est-ce que ça fait du bien. Parce qu’au-delà d’un plan cul et d’un orgasme on partage quelque chose. Un je ne sais quoi que je vais jalousement garder secret. Mes gémissements s’échappent de mes lèvres au rythme de ces coups de bassins. Elle s’empale sur moi avec une brusquerie mélangé à de la passion qui font de ses mouvement une délicieuse torture. Ses baisers dans mon cou, ses baisers sur mes joues, la façon qu’elle avait de presser son corps contre le mien. Cette façon qu’elle avait d’onduler lentement, si lentement que je pouvais la sentir se retirer et s’empaler à nouveau. Cette sensation était si grisante bordel … mais la frustration si grande que pendant une seconde je me suis mit à la détester. Croisant son regard était si remplie de douceur, le mien, si noir et si intense contrasta avec force. Je viens m’emparer de ces lèvres dans un baiser tendre et passionné. Je la laissais mener la danse. J’étais à elle. Elle pouvait ce qu’elle voulait de moi. Mais j’étais plaintif, quémandeur. Je la voulais elle, je voulais qu’elle me donne du plaisir. Et d’ailleurs le plaisir qu’elle me donnait me rendait dingue. Je la serrais si fort dans mes bras à défauts de pouvoir jouir tout de suite. L’intensité de notre moment me faisait perdre l’esprit et je voulais faire claquer nos peaux. Cet échange oscillait entre douceur et passion et j’avais du mal à trouver mon rythme. Je voulais lui faire l’amour au même titre que je voulais lui donner le meilleur orgasme de sa vie. Je voulais qu’elle se sente belle, qu’elle se sente aimé. Aimé comme je peux l’aimer au cours de notre nuit. Bloquant son bassin quand je suis entièrement en elle, je la maintiens pour qu’elle cesse de bouger. Je peux sentir ses parois se resserrer par spasme sur mon sexe et je trouve ça enivrant. « Bouge plus … » murmurais-je contre ses lèvres. Malgré les nombreux va et vient que nos deux bassins ont pu se faire, je la sentais toujours aussi étroite et rien qu’à cette pensée je gémis contre sa bouche. Je relevais mon visage vers elle pour ancrer mon regard au sien. Nous ne faisions plus qu’un et cette sensation saoulait tous mes sens. Je n’avais plus aucune logique, ni aucun contact avec la réalité puis ma réalité s’appelait Bo Ja. Il n’y avait plus qu’elle. Pressant mon bassin un peu plus pour buter en elle je lâchais un souffle rauque avant de soulever son bassin pour l’allonger sur le lit sans me retirer d’elle. Elle était si légère entre mes bras. J’attrapais ses deux mains que je nouais au mienne et les plaquant au dessus de sa tête. Mon torse imposant et musclé vint délicatement écraser sa poitrine sur laquelle je lorgnais sans aucune gêne. J’ai envie de lui bouffer. Et avec une lenteur désagréable pour mes sens en éveil je me retirais lentement d’elle pour venir la pénétrer à nouveau avec plus de force. Comme une sensation nouvelle. L’impression d’entrer en elle pour la première fois. Un rire coupé par ma voix cassé s’échappa de mes lèvres quand je vis la réaction de BO Ja. Je recommençais mon petit jeu autant de fois que j’en avais le courage. Et sans prévenir j’attaquais de plusieurs coups de bassin rapide. Ceux qui la taraudent pour la faire crier de plaisir. Oh bon sang ce que je donnerais pour l’entendre crier mon prénom. Pour l’entendre me dire encore … Elle est si belle, si bonne. Putain, jamais je ne pourrais me retirer cette vision d’elle de l’esprit. J’en deviendrais accroc je crois. Mes lèvres viennent retrouver les siennes pour nous couper le souffle. Je la garde possessivement entre mes mains et laisse mon bassin jouer avec plaisir contre le sien. J’ai envie de la voir jouir. Je la sentir se cambrer sous moi. De la voir en redemander. Je veux marquer son esprit. Qu’elle se souvienne de moi. Et on est bien loin de ces pétasses que je baise parce qu’on est le 30 du mois et que j’ai encore rien fais. Non, avec Bo Ja je suis attentif au moindre de ses plaisirs. Au moindre de ses envies. Je veux qu’elle jouisse, qu’elle prenne son pied. Je m’oublie, je m’oublie complètement parce que rien n’a d’importance. Rien si ce n’est elle. Si j’osais, j’avouerais que je lui fais l’amour. Si j’osais, j’avouerais que jamais je n’ai prit soin d’une femme comme ça …
Je l’aime. A ma façon, ma façon d’aimer les gens et ces sentiments n’ont pas changé. Je tiens à elle, comme un attachement fort. Tu vois, ce genre de liens invisibles qui peuvent parfois vous rendre confus. On ne sait pas trop où ça mène, pourquoi, ni comment. On sait juste qu’on va quelque part et parfois ça peut être effrayant. C’est pour ça que ces conneries de sentiments m’ont toujours fait chier. Je sais jamais où je vais atterrir, ni dans quel état, et c’est surtout ce dernier point qui m’effraie. Mais avec Bo Ja c’est simple, c’est naturel. Je ne cherche pas à comprendre ce qu’il y a entre nous, puisque rien n’est vraiment concret. Je tiens à elle, vraiment beaucoup, mais je sais qu’on ne pourra jamais tomber amoureux l’un de l’autre. Et je ne sais pas d’où me vient cette certitude. Peut-être la façon qu’elle a de me regarder. Elle est douce Bo Ja. Elle est belle. Mais son regard ne me fixe pas avec cette étincelle, celle qui change tout. Elle me fixe pourtant avec une intensité qui me déroute et bordel, qu’est-ce que ça fait du bien. Parce qu’au-delà d’un plan cul et d’un orgasme on partage quelque chose. Un je ne sais quoi que je vais jalousement garder secret. Mes gémissements s’échappent de mes lèvres au rythme de ces coups de bassins. Elle s’empale sur moi avec une brusquerie mélangé à de la passion qui font de ses mouvement une délicieuse torture. Ses baisers dans mon cou, ses baisers sur mes joues, la façon qu’elle avait de presser son corps contre le mien. Cette façon qu’elle avait d’onduler lentement, si lentement que je pouvais la sentir se retirer et s’empaler à nouveau. Cette sensation était si grisante bordel … mais la frustration si grande que pendant une seconde je me suis mit à la détester. Croisant son regard était si remplie de douceur, le mien, si noir et si intense contrasta avec force. Je viens m’emparer de ces lèvres dans un baiser tendre et passionné. Je la laissais mener la danse. J’étais à elle. Elle pouvait ce qu’elle voulait de moi. Mais j’étais plaintif, quémandeur. Je la voulais elle, je voulais qu’elle me donne du plaisir. Et d’ailleurs le plaisir qu’elle me donnait me rendait dingue. Je la serrais si fort dans mes bras à défauts de pouvoir jouir tout de suite. L’intensité de notre moment me faisait perdre l’esprit et je voulais faire claquer nos peaux. Cet échange oscillait entre douceur et passion et j’avais du mal à trouver mon rythme. Je voulais lui faire l’amour au même titre que je voulais lui donner le meilleur orgasme de sa vie. Je voulais qu’elle se sente belle, qu’elle se sente aimé. Aimé comme je peux l’aimer au cours de notre nuit. Bloquant son bassin quand je suis entièrement en elle, je la maintiens pour qu’elle cesse de bouger. Je peux sentir ses parois se resserrer par spasme sur mon sexe et je trouve ça enivrant. « Bouge plus … » murmurais-je contre ses lèvres. Malgré les nombreux va et vient que nos deux bassins ont pu se faire, je la sentais toujours aussi étroite et rien qu’à cette pensée je gémis contre sa bouche. Je relevais mon visage vers elle pour ancrer mon regard au sien. Nous ne faisions plus qu’un et cette sensation saoulait tous mes sens. Je n’avais plus aucune logique, ni aucun contact avec la réalité puis ma réalité s’appelait Bo Ja. Il n’y avait plus qu’elle. Pressant mon bassin un peu plus pour buter en elle je lâchais un souffle rauque avant de soulever son bassin pour l’allonger sur le lit sans me retirer d’elle. Elle était si légère entre mes bras. J’attrapais ses deux mains que je nouais au mienne et les plaquant au dessus de sa tête. Mon torse imposant et musclé vint délicatement écraser sa poitrine sur laquelle je lorgnais sans aucune gêne. J’ai envie de lui bouffer. Et avec une lenteur désagréable pour mes sens en éveil je me retirais lentement d’elle pour venir la pénétrer à nouveau avec plus de force. Comme une sensation nouvelle. L’impression d’entrer en elle pour la première fois. Un rire coupé par ma voix cassé s’échappa de mes lèvres quand je vis la réaction de BO Ja. Je recommençais mon petit jeu autant de fois que j’en avais le courage. Et sans prévenir j’attaquais de plusieurs coups de bassin rapide. Ceux qui la taraudent pour la faire crier de plaisir. Oh bon sang ce que je donnerais pour l’entendre crier mon prénom. Pour l’entendre me dire encore … Elle est si belle, si bonne. Putain, jamais je ne pourrais me retirer cette vision d’elle de l’esprit. J’en deviendrais accroc je crois. Mes lèvres viennent retrouver les siennes pour nous couper le souffle. Je la garde possessivement entre mes mains et laisse mon bassin jouer avec plaisir contre le sien. J’ai envie de la voir jouir. Je la sentir se cambrer sous moi. De la voir en redemander. Je veux marquer son esprit. Qu’elle se souvienne de moi. Et on est bien loin de ces pétasses que je baise parce qu’on est le 30 du mois et que j’ai encore rien fais. Non, avec Bo Ja je suis attentif au moindre de ses plaisirs. Au moindre de ses envies. Je veux qu’elle jouisse, qu’elle prenne son pied. Je m’oublie, je m’oublie complètement parce que rien n’a d’importance. Rien si ce n’est elle. Si j’osais, j’avouerais que je lui fais l’amour. Si j’osais, j’avouerais que jamais je n’ai prit soin d’une femme comme ça …
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