Il y a en moi cette curiosité néfaste, ce sentiment de découverte créant en moi une anarchie total. Un déchainement d’émotion qui n’avait pas l’habitude de venir cogner à ma porte. L’inhabitude de cette compréhension créa une vague impression, un ressentiment d’infériorité.  Que ma personne tout entière devenait une moins que rien. Une bonne à rien reste un grand mot, disons que la peur de l’inconnu me rendait toute chose, mais celle qui avait apparu au pied de ma porte libéra cette fameuse horloge que la femme aventurière renferme. Les aiguilles débutèrent le mouvement répétitif, un petit saut, une petite descente. L’inconscience était peut-être enfin sortie de son donjon obscur.  Ça n’avait rien d’inhabituel. Il m’arrivait comme toute personne normale que ma confiance descende. Me laissant vaguer dans les idées farfelues presque sombres de ma personne. Imaginant le bien et le mal dans ma vie. Elles traversaient les secondes telle la lumière perçante notre ciel divin.

Je voulais délaisser dans un brève  instant qui j’étais, me délecter d’une nouvelle apparence en oubliant mon petit côté ‘’Laya’’. Vive comme les Américains. Abandonnant tout ce qui est important à mes yeux. C’est donc avec ce coucher de soleil que je délaissais les membres du magazine ‘’Maxim korea’’. Me dirigeant vers la loge pour délaisser ce peignoir noir pour des sous-vêtements de dentelles rouges. Enfilons quelques choses de confortables. Je me dirigeais vers le miroir pour retoucher vaguement mon maquillage. Les heures de travail m’avaient épuisé. Un épuisement qui allait disparaitre avec ma cigarette magique et un verre. Je souriais devant le reflet de ma propre personne. Quittant ma jumelle, j’allais enfiler un short en jean noir ainsi qu’un débardeur d’un groupe de musique. Soit les motorhead. Ne pouvant sortir sans revêtir mes pieds, je repris mes converses pour enfin quitter les quatre murs de ce bâtiment.


Je restais debout l’hôtel que je venais de quitter en attendant impatiemment le taxi. Je devais partir, partir pour aller bouger mon arrière-train sur la piste de danse. En imaginant les gens se regroupant et l’alcool qui allait couler à flot, mon sourire de fervente des soirées arrosé apparut. Comment ne pas apprécier ce nectar néfaste pour nous. Une idée me vient en tête, j’attrape mon portable se trouvant dans ma poche arrière pour envoyer un message à mon toutou. D’accord, le seul a par ma Mi Hee appréciant ma présence. Pauvre Mi Hee, dire qu’elle est mon amie d’enfance, mais je la prends pour mon toutou les samedis soir. Je commençais la manipulation des touches :
     
                                                 

   

Jax, présente ton popotin devant le club Juliet pour 22 heures. Je vais attendre à l’intérieur, jouons à cache-cache on ne sait amais ce que tu pourrais y trouver. Allez ! Je t’attends, kiss !

Qu’est-ce qui aurait de ma bougée mon cul près de lui ? Nous sommes amis après tout. Même-ci, aller savoir pourquoi quand l’écran afficha ‘’message envoyer’’ une penser me traversais l’esprit. J’ai envie de chercher le trouble pour me battre un peu ! Mais, bon, soyons douce et pensons à la santé d’une certaine personne. Le taxi arriva enfin. Lui donnant l’adresse du restaurant se trouvant devant la boîte de nuit, je rentrais en m’assoyant. Une heure trente de route avec lui. Il était sept heures, je n’allais pas arriver avant huit heures maximum neuf heures. Et dieu ces comment mon ventre crie famine. Je pouvais enfin profiter de la tranquillité en laissant mon regard se poser sur le paysage nocturne.

Comme prévu, j’arrivais à neuf heures trente. Merci à l’accident sur l’autoroute.  Je débarquais du taxi qui avait été payé par mon patron pour rentrer dans ce casse-croute végétarien. Faisant mon entré, je submergeai les frais chiés en costard et commandait un rouler de légume.  La préparation se fit lente. Je regardais alors mon écran suivi du message reçu un peu plus tôt. Au bout de cinq minutes, la femme me donnait enfin ce que je voulais depuis ce matin. Mon premier repas !  

Je mangeais ce délice en traversant la rue. Trois bouchers et tout venait de passer. C’était amusant comme une fille de mon apparence pouvait dévorer un truc que même un mec prend dix minutes à bouffer. La nuit venait de tomber et les gens se présentaient déjà dans la boîte. N’était-il pas que dix heures ?  Bientôt du moins. Oubliant l’heure, je refusais de faire la file d’attente en me présentant à mon videur.  Ses lèvres s’élargissent en m’offrant de rentrer. Je l’embrassais sur la joue en faisant mon entrée.

Une musique trop élevée me frappa de plein fouet, je pensais à côté d’une femme criante qu’une chose -ma robe est facile à montrer, on essaie ?-.  Je riais en laissant une pensée me traverser l’esprit ‘’salope’’. Adieu soirée calme et bonjour soirée disjoncter. Comme toujours, je rejoins le bar en allant voir le nouveau barman. Tien, il avait une belle gueule ce nouveau. Je pouvais peut-être le connaitre un peu plus…en profondeur.

Je me penchais vers le bar en lui laissant un regard bien visible sur ma poitrine colorée. Ses joues deviennent rouges et son regard fouilleur. Son collègue arriva en me saluant ! Zut  Jun Eun tu ne veux pas partir ! Comme une sainte, mes fesses s’asseyent sur le banc en commandant ma première bière.

« Non, mais tu vas l’apporter ton cul Jax ! Ne me fait pas un plan foireux sinon tu vas mal finir. »

Dis-je à haute voix. C’est à ce moment qu’un imbécile s’approche. Il s’accote au bar en me lançant son sourire charmeur. Un vieux voulant se faire penser pour un jeune ! Bravo ! ‘’Tu es seule, ma jolie ? Ta copine t'a poser un lapin ? Tu sais, il n’est même pas encore minuit. Tu ne veux pas t’assoir sur un banc avec moi ?’’ Laissait-il sortir derrière son haleine de chacal. Je croisais mes jambes, en m’accotant sur le comptoir en lui lançant un regard d’ennuis. Il continuait avec ses paroles démodées. Ne comprenait-il pas qu’il m’emmerdait royalement ? Qu’il se bouge et aille rencontrer les autres femmes. J’ouvris ma bouche pour lui dire de quoi, mais me la refermais. Il souriait en déposant sa main sur mon épaule.

« Ne me touche pas sale con ! Si tu n’enlèves pas ta main de sur mon épaule, tu ne verras pas le lever du jour. Compris ? »

Il se mit à rire en laissant sa main descendre le long de mon bras en glissant vers ma jambe. Que foutait-il ? Je pris ma bouteille entre mes mains en me préparant à lui faire connaitre de près. ‘’Bien voyons, aller viens remuer ton beau cul avec moi sur la piste’’.

« Casse-toi ! Sinon ! »

‘’Sinon quoi ma belle ?’’ Me prenait-il pour une idiote ? Une sainte ni touche ou une fichue prostituée ? Je respirais en prenant ma bouteille en-là levant pour lui présenter de plus près quand une voix me surprend.

Erreur j'ai éditer en enregistrant ma rp ici .... tout perdu.

Mon imagination ne me jouait pas un tour. La réaction un peu plus que brutale de Jaxson avait eu comme effet t’attirer les regards des fêtards. Quelle idée  de se laisser apporter par ses impulsions ! On dit que les femmes sont rarement impulsives, mais je crois que la sagesse nous est venue dès la naissance. Comparer au sexe opposé. Bon pour certaines, car certaines femmes ne peuvent se retenir de toutes impulsivités. Avec ma finesse légendaire, je me serais bien amusé avec cet homme me voulant dans son lit pour une nuit. Cependant, il n’aurait jamais pu connaitre ce qui se cachait sous ma petite culotte en dentelle. Il aurait connu mes cinq frères. En autre, mon joli poing.

Il n’y a pas à dire, je prenais un sacré plaisir à faire la morale à n’importe qui. Jaxson y pensait encore. Je m’inquiétais peut-être un peu trop.  Mes paroles sortirent de ma bouche sans même passer par ma conscience. Ignorant la présence de mon juge et avocat intérieure en les saluant d’un majeur bien levé vers le ciel. J’étais peut-être dure avec mes paroles. ‘’Arrête de jouer les mères poules’’, une mère poule ayant ce que j’aime bien entre les deux jambes. Le pauvre, j’aurais aussi bien pus dire père poule.

« Oui ! Mais, tu étais trop long ! Mon corps réclamait un verre. »Dis-je ne haussant le ton encore une fois. Il déposait ses yeux brunâtres sur moi pour le faire descendre vers le trou de cul étendu au sol. Afin le faire remonter vers moi. Il n’était pas idiot, mais seulement ignorant. Je l’écoutais en levant mon bras avec l’intention de le frapper, mais je le fis descendre en laissant un « aish ».  Il n’avait pas tort. Il fait ce qu’il veut et je le sais très bien. C’est ce qui me dérange. Pour toute réponse, je penchais la tête sur le côté en faisant une petite moue « Byeosin » bouffon dis-je en faisant disparaitre ma moue pour un sourire amuser.  

Avec ce regard d’enfant ingrat, je lui proposais de payer une tournée générale, mais comme d’habitude ce fut le contraire. Son bras autour de ma nuque, je lui lançais un regard de défis en souriant « Tu penses vraiment que tu payes ? La même chose, une bière ». Profitant de cet instant, je lui donnais un coup de code avec aucune retenue.  Je plongeais ma main dans mon soutien-gorge et sortis un quelques billets en tendant le montant au barman. « Essaie pas de jouer les gentlemans monsieur Pyo ! ». Fière de mon coup, je lui envoyais un baiser dans le vide pour le taquiner. « Tu me payeras une tournée de shooter plus tard. »

J’attrapais la bière qu’on me tendait en remuant les fesses vers Jax comme-ci je voulais une fesser. C’était le contraire, c’était plutôt pour jouer de lui.

Idiot, imbécile, bon à rien, abrutie de la vie. Quel que soit le surnom vulgaire que je peux lui trouver, il n’y a aucune clarification pouvant désigner l’homme me faisant face. Son impulsivité et sa violence sont troublantes. Bien qu’il ne veut que protéger ma petite personne impure. Je trouvais son acte de ‘’chevalier’’ presque comique. Qui aurait pu imaginer Jaxson en prince charmant ? Personne n’y comprit moi ! On ne pourrait imaginer ce singe galopant revêtu d’une armure blanche, mais plutôt d’habit en lambeaux et vieillot.  Une image classique et appropriée pour cet homme fougueux. Éloignant cette image de ma tête, je laissais mes très former un visage rempli de questionnement. « Excuse-moi d’avoir mis du temps. » Il se foutait complètement de ma gueule, ma parole ! Lui demander pardon ! Son ton de voix qui laissait bien sûr apparaitre un soupçon de mensonge.  Lorsque, je m’apprêtais à ouvrir la bouche, sa voix vient arrêter le mot qui allait frôler mes lèvres.  Je restais stupéfaite. Non, qu’il me comprenne, mais qu’il m’insulte avec plaisir. Ce qui lui fit monter le sourire aux lèvres. « Tu ris de moi ? Non, mais ! » Un peu choqué, je détournais la tête pour en laissant une faible vulgarité y sortir. Comme quoi, deux idiots s’entendre très bien.

Passant commande, je prends plaisir à le couper dans son geste de ‘’galanterie’’. Sortant des billets de mon coffre à trésor. Je les tendis  à l’homme en déposant la monnaie dans un vase de verre. L’homme souriait et nous offrait nos boissons alcoolisées. La prenant rapidement pour y prendre une première gorgée, je remuais mes fesses pour taquiner monsieur Pyo qui n’avait pas réellement apprécié que je paye la première tournée. Je fis surpris de le voir déposer ses mains près de mes hanches pour me forcer à me coller à lui. Levant mon bras vers le haut, je me tournais pour lui faire face en lui laissant apercevoir mon sourire rempli de malice.

Ses lèvres viennent se déposé sur ma nuque tandis que ses dents se mirent à taquiner ma peau miel. Je frissonnais sous la présence de son souffle faible. «  Plaisir ? On dirait bien que mon petit toutou est heureux de voir sa maîtresse près de lui. » dis-je en tentant d’éloigner son visage de ma nuque. Le pauvre petit !

C’était inhabituel de venir sans ma meilleure amie. Dire qu’elle était retournée aux États-Unis. Une chance que Jaxson appréciait les sorties. Bon, un mec n’avait toujours qu’une idée en tête, de tremper son pinceau dans un pot bien humide !  Et Jax en faisait partie. Nous allons peut-être lui trouver une femme dont ses courbes le charmeront. Je déposais une main sur son épaule et longeait mon bras le long de son autre épaule pour laisser ma bière dans les airs.  « Si tu continu, je ne… ». Nous sommes interrompus par une voix. Je soupirais et regardait la jeune fille qui était prête à monter son haut pour recevoir un autographe sur sa poitrine. La pauvre, une poitrine … une planche à pain, oui ! Je sentis son emprise sur mon derrière quitter avec hésitation pour se tourner vers la demoiselle. Je restais derrière Jaxson en croisant mes bras contre ma poitrine. Ne les quittant pas des yeux. La jeune femme avait les joues qui commencèrent à se colorer d’une touche rougeâtre. C’était tellement mignon ! Il n’y a pas à dire cette fausse blonde avait tout de la jeune sainte-nitouche ! Elle ressemblait à une petite poupée de porcelaine.

Je le regardais signé sans réagir ayant l’habitude. Il faut dire que trainer avec moi, il fallait être habitué de voir les hommes commenter certaines photos dénudées et sexuelles. Pour une fois, ce n’était pas moi la victime de groupie.  

Prenant une nouvelle gorgée qui décida de quitter la route habituelle, je m’étouffais lorsque deux mains se déposèrent de nouveau sur mon popotin. Je toussais un peu et souriais à son commentaire. Je m’approchais de ses lèvres en les frôlant des miennes. « Pauvre petite chose ! Je n’imagine aucunement comment tes ex faisaient. » dis-je en m’éloignant de son visage. Ma langue sortie et mes yeux se plissaient pour former une grimace. Il n’y a pas à dire, c’est un plaisir en tout temps de rire de lui. Je fis glisser ma main entre nous en descendant vers son bas ventre sans descendre en dessous de sa ceinture. « Tu penses réellement que je vais partager ta couchette ce soir ? Tu es mignon avec tes rêves !  Continue ainsi ! » dis-je en laissant un sourire charmeur se dessiner sur mon visage.

Je posais à mine reprise mon regard calme sur lui. Remarquant cette petite manie qu’il avait en signant des autographes. Son sourire devenait crisper et ses traits paisibles, son physique ou l’énergie qui dégageait laissait entrevoir sa nervosité. Une nervosité non déplaisante, mais une crainte de décevoir l’admirateur offrant son crayon nerveusement. En espérant recevoir une signature sans oublie le fameux selfie. Il avait ce que je n’avais pas. Je ne voulais pas savoir qui appréciait mes photographies, qui avaient un certain ‘’épanouissement’’ devant ma poitrine dénudée et les jambes bien placer. Loin de moi cette idée ! Il était doux et prêt à tout pour eux. Tandis que j’étais le contraire. Je laissais mon regard noir se poser sur eux. En les repoussant d’un air dégouter. Comment les hommes pouvant être si vaniteux ? Mais, bon je ne comprends toujours pas pourquoi je suis fasciné. J’admirais bien des choses chez hurluberlu. Je l’observais en buvant tranquillement ma bière comme-ci rien n’était. On aurait dit une artiste admirant une toile dans un musée. Non qu’il était si précieux, mais plutôt fascinant à regarder. Je le connaissais comme expressif, dénouer de toute intelligence … bon j’abuse sur ce point, mais il avait la facilité d’agir sans réfléchir. Un point que j’avais en commun avec lui. Il n’y a pas à dire, Jax reste professionnel jusqu’au dernier instant. Je fus heureuse que la petite poupée sur patte quitte enfin sa zone de vision. Certes, j’aime le voir recevoir l’amour des admirateurs, mais bon.

Commentant d’une manière déplacée, ma grimace fut malencontreusement punie.  Ma joue prise entre deux doigts, l’étirant. Ressentant ainsi une douleur mineure laissant mon visage prendre des petits plis amusants. Je ressemblais surement un enfant devant une vielle grand-mère. «  Elle mignonne ? Pourquoi la briser ?  En me tirant la joue alors ! ». M’approchant de nouveau de son visage, ma main ne bougeait pas d’un pouce.  Si, seulement si, elle venait à descendre la fête allait commencer. Je glissais doucement la main sous son chandail pour ressentir la chaleur de sa peau contre la mienne.  Je souriais en le voyant rigoler. Il trouvait son commentaire bien amusant.  Moi être soumise et quoi encore ! «  Soumise ! Moi ! Je ne cesserais jamais de te surnommée Toutou ! », dis-je en le foudroyant du regard,  « Et de quel surnom monsieur Pyo aimerait que je le gratifie ? » laissé-je sortir en rigolant à mon tour.  Je souriais lorsque ses lèvres rencontrèrent ma pommette. Son regard vient rejoindre le mien. « Pyo Jaxson ! Cessez vos âneries !  J’aimerais bien voir cela ! Je suis certaine qu’une de tes mains expertes explora le territoire étranger dans son lit, non ? » dis-je en retirant ma main de son chandail. Des mains ? Celles aventurières ou celle n’ayant oublié comment offrir un plaisir aux femmes ?  Peu importe, le fais de m’étendre auprès de lui sans réellement réaction de sa par pourrais non serait intéressant et même passionnant à voir ! Il faudrait que j’expérimente !

Il n’y a pas à dire, je trouvais, le fais, de sortir un samedi soir sans ma douce Mi Hee étrange. Elle qui nous avait quittés depuis peu pour sa famille. Normalement, nous serons assises à une table en parlant aux hommes en chaleurs ou remuant nos popotins sur la piste de danse en laissant nos courbes saluant nos partenaires de danse. Nos samedis typiques qui terminaient une avec l’autre dans un lit d’un mec pour une soirée. Dire que le matin, on se rejoignait dans le même café pour parler de notre soirée. Elle était une des rares filles avec qui je ne me gênais pour rien. Mon côté masculin pouvait sortir, mais une chance que j’avais ce drôle de phénomène auprès de moi. J’avais ma petite Sae Jin aussi avec qui je pouvais sortir magasiner, prendre un bon repas et boire… même-ci elle est limite dans l’alcool. C’était tout de même rigolo la ramener à son dortoir.

Ma bière terminée depuis belle lurette, il termina la sienne sans lâcher sa prise sur moi. J’avais la drôle d’impression qu’il voulait marquer son territoire sur un bidule. Et ce bidule c’était moi. J’aurais aussi bien fait de l’attacher avec une laisse en le forçant à jouer le chien de garde.
Aller pyo-pyo à quatre pattes et protèges ta maîtresse ! Sortent les dents ! Et ne lève pas la jambe pour vider ta vessie sur n’importe qui ! L’image de Jax’ aussi soumis me fit rigoler pendant qu’il commandait deux verres. Pyo-Pyo, mignon comme surnom. Il ne faut pas rire des noms de famille. Peut-être !

« Oui. Donnez-moi un rhum et coke avec deux glaces dedans. » dis-je sans quitter les yeux le barman qui était assez adorable. Je le vis partir pour préparer nos trois verres quand Jax’ me questionnait de nouveau. Je tournais la tête vers laissant ainsi le derrière du jeune homme du regard pour rencontrer deux choses rosées. Mes lèvres s’entrouvrirent tandis que le muscle rose partit à la recherche de sa voisine. Débutant ainsi une salsa sensuelle et passionner. Mes mains prennent son chandail en elles en le forçant à se rapprocher un peu plus. Je laissais mon corps se rapprocher du mieux que je pouvais malgré l’ascendante déjà présente entre nous. Je le laissais manier la danse en le suivant des pas osée. Je délaissais ce qui m’avait ravie en frôlant mes lèvres contre les siennes. Je laissais un sourire charmeur rejoindre mon visage alors qu’un bruit de verre résonnait à mes oreilles. « Allons-y j’ai besoins de me rafraîchir les idées puis une clope me calmeras. » répondis-je en laissant ma langue sortie. Me rafraîchir ? Juste me calmer un peu ? Foutaise de ma part ! Je crois que nous avons besoin de prendre l’air tous les deux.  Je repoussais un Jaxson pour ne plus être pris dans sa bulle pour rapprocher du bar sans être entouré de deux bras et deux mains. Je pris ma première gorgée en glissant ma main dans mon soutif quand un regard me foudroyait la nuque. Je tournais la tête vers Jax’ « Oui ? Laisse-moi deviner, tu ne veux pas que je paye ? » dis-je simplement. Je me tournais et attrapais sa ceinture et le forçait à se rapprocher un peu plus du bar.