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[20 et + ]Acte 1 : move your body
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Ven 5 Juin - 12:42 Citer EditerSupprimer
No matter what we do Je trouve cela amusant de voir le caractère sans fondement que Jaxson avait lorsqu’il tentait de me faire sortir de la route. Certes, j’étais présentement un peu choqué ou surprise qu’il ose même prononcer que je sois une soumise. Il serait cocasse de me voir aussi douce et même à l’écoute de ses ordres. On ne m’imaginerait jamais baisser la tête et dire oui à tous les ordres de monsieur le roi de ses couilles. Après tout qui voudraient mettre sa queux entre ses jambes tel un chien apeuré ? Pas moi ! Je serais plutôt celle le poussant sur le lit, grimpant par-dessus son corps étendu en chevauchant son abdomen et son visage de mon tronc pour lui attacher les mains. Je descendrais à ses pieds pour y reproduire la même action afin d’avoir la totalité des règnes de la soirée. Peu importe ! Je ne pourrais jamais le laisser jouer ce rôle ! |
HJ: Je vais corriger après le travail XD
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Dim 7 Juin - 17:41 Citer EditerSupprimer
Dans les club, il y a plusieurs catégories de personnes : tout d'abord, nous avons les gamins et gamines de seize ans qui essayent de passer en montrant une fausse carte d'identité aux vigiles, mais ça ne marche jamais sinon il y a ceux qui veulent faire la fête entre amis, les lourds, les mecs puis les meuf qui cherchent un plan cul et aussi les cougar. En gros, il y a plusieurs merde qui fréquentent ce genre d'endroit. Ce n'est pas que je ne peux pas les blairer, mais ils sont casse couille. Un club c'est fait pour s'amuser, mais eux, ils viennent pour draguer. Ils peuvent s'inscrire sur des sites de rencontres ou voir des prostituées, c'est le même résultat. Si vous finissez votre soirée avec une meuf ou gars, vous êtes sûr que vous ne les reverrez pas au petit matin ou un autre jour.
Je souris en voyant le jeune homme vomir toutes ses tripes et à demander de l'aide à ses potes, car il n'arrive pas à se relever. Un de ses amis arrive vers moi pour me demander de l'aider à le mettre dans sa voiture. Kalaya était partie voir des mecs, alors j'attrape le mec qui est au sol et attends le jeune homme ouvrir la porte arrière. « T'es un mec cool ! Je te connais pas, mais t'es un mec cool ! » me dit l'homme ivre. De base, j'aurais quitté cet endroit une fois que j'aurais fini ma cigarette sans aider n'importe qui, mais j'étais avec la jeune femme, alors il fallait bien que j'attends qu'elle revienne vers moi pour qu'on puisse partir. Enfin... Si elle a envie de partir. « Parle pas, tu vas te déshydrater encore plus. » lançai-je au jeune homme que je tiens. Une fois la porte de la voiture ouverte, je l'installe et lui met sa ceinture de sécurité. Je m'en vais vers un distributeur et achète une bouteille d'eau pour la personne qui est ivre. Je reviens vers eux et donne la bouteille au conducteur. « Fait lui boire ça. » dis-je en l'écoutant me dire merci et au revoir. Je fis un signe de la main lorsque la voiture s'en va.
Kalaya revient vers moi et me dit de partir boire un coup ailleurs puis elle me demande si mes colocataires sont-là. Je réfléchis et fais un signe négatif de la tête. « Ma voiture est là. » dis-je en montrant le véhicule du doigt. Une belle voiture de couleur noir, deux portes. Ce véhicule est très puissant, alors un coup d'accélérateur et vous êtes dans les nuages ! J'écoute la réflexion de la jeune femme et je souris légèrement puis j'ouvre la porte du côté passager pour qu'elle s'installe. Je vais m'installer côté conducteur et je démarre la voiture pour ensuite partir au dortoir. Quelques minutes plus tard, on se retrouve dans les embouteillages. Il y a toujours des embouteillages et ça commence à me saouler. On roule doucement et on s'arrête toutes les minutes. « C'est chiant. » lançai-je en soupirant. Il y avait un pack de bière aux pieds de la jeune femme. « Prends-en une en attendant ! » dis-je.
Trente-minutes plus tard, nous arrivons à destination. Je me gare sur la place de parking et je sors du véhicule. Je ferme les portes à distance et j'entre dans le hall avec la jeune femme puis je monte pour rejoindre ma chambre. J'essaye d'ouvrir la porte pour voir s'il y avait quelqu'un, car on ne sait jamais si quelqu'un est rentré. La porte est fermée, alors je sors mes clés et ouvre la porte. J'en profite pour m'étaler sur le lit et invite la jeune femme à prendre ce qu'elle veut. « J'ai tout ce que tu veux : drogue, alcool etc.. » lançai-je en lui souriant.
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Dim 7 Juin - 22:39 Citer EditerSupprimer
No matter what we do Il n’y a pas à dire ! Je crois que la tranche de la vingtaine est la meilleure ! Nous avons terminé notre crise d’adolescence et affrontons l’âge adulte. En fonçant sans regarder devant nous. Nous devenons aussi aveugles qu’une taupe et aussi sourds. Il s’agit bien de la partie de notre existante qui va nous manquer le plus. Lors que nous étions de jeunes adolescents sans aucune cervelle, nous voulions affronter la vie, mais nous avons toujours eu quelques choses pour nous barrer. Nos parents. Hommes et femmes possèdent le contrôle en faisant la loi. Bien que nous les aimions, ils étaient l’épine pointue nous arrêtant. La puissance infernale ! Mais toute malédiction peut être brisée. Et voilà que la route de la liberté est devant nous. Adieu parent ! Deux chiffres formant un tout ! Un simple deux et un zéro formant une suite séduisante, on reconnaît la majorité ! Dire qu’après, un deux suivit d’un un nous portera le signe de la majorité mondialement ! Que dire de mieux ? Que nous sommes enfin capables de suivre la route que nous avons toute rêvée. |
HJ: Je vais corriger après le travail XD
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Mar 9 Juin - 22:12 Citer EditerSupprimer
Vous voyez pour quelle raison j'adore la jeune femme ? Elle est imprévisible. On était dans les embouteillages et j'ai l'impression qu'elle n'aime pas que sois au volant de cette voiture, alors que je conduis comme un pilote de formule un. Les policiers m'ont souvent contrôlé, mais je n'ai jamais eu de points en moins ou une amende. Vous croyez quoi, je fais attention sur la route. « Tant pis. Si tu ne veux pas de bière, je ne vais pas te forcer. » dis-je en me grattant le cou en attendant que les voitures avances. Je soupirai tout en écoutant la musique. Ça m'énerve de devoir patienter, je n'aime pas les embouteillages et ça peut se ressentir. Je ne peux pas savoir ce qu'il se passe puisqu'il y a plusieurs véhicules en face de moi. Je tourne ma tête vers la demoiselle et l'écoute attentivement. « Je ne sais pas. Tu veux tenter quoi ? » demandai-je en regardant Kalaya qui venait d'enlever sa ceinture. Elle commence à mordre mon oreille et elle déposa ses lèvres sur ma nuque puis elle s'amuse à aventurer sa main sur mon entrejambe. Je ne faisais rien pour l'arrêter, car on est en pleine route et je dois rouler dès que les autres auront avancés. Elle me dit de regarder la route et qu'on allait jouer à un jeu. Dans ma tête, je savais qu'il s'agissait d'un jeu coquin, mais je ne peux pas participer pour l'instant. Une fois qu'on va être au dortoir, peut-être qu'on continuera ce jeu, car il ne faut pas que je sois le seul satisfait dans cette histoire.
Une fois que j'éjacule dans sa bouche, elle se redresse et s'installe comme elle était avant. Elle s'installe au bon moment, car on passe le barrage. Il y avait eu un accident, les gens ne savent plus conduire. Nous avons mis une trentaine de minutes pour rentrer au dortoir. J'étais allongé sur mon lit et elle me balance une bière que je rattrape grâce à un super réflexe. Je pourrais être gardien de but. « A chaque fois que je rentre, je m'allonge sur mon lit puis avec la pipe que tu m'as fait, c'est normal que j'en profite pour m'en remettre. » lançai-je en rigolant. En même temps, Kalaya sait y faire, alors il est normal que je sois encore sous l'effet. Je dégage la capsule de la bière avec ma main et boit une gorgée avant de me remettre assis. « T'espères trouver quelque chose d'intime sur l'ordinateur ? » demandai-je en me levant du lit et en m'approchant de la jeune femme. Je colle mon menton sur son épaule et j'en profite pour venir lui mordre son cou. Elle ne va rien trouver enfin peut-être quelques sites pornographique, mais sinon il n'y a rien de bien intime dans mon ordinateur. « Tu peux écouter les dernières musiques du groupe si tu veux ! » m'exclamai-je. Je bosse beaucoup avec ce pc pour le groupe et il y a énormément de chanson où je chante. Oui, ce n'est pas pour le groupe, mais pour moi-même, car je sais que je chante très bien.
Je me redresse et je pose ma bière sur le bureau tout en partant devant ma réserve de drogue. J'attrape un joint qui était déjà tout fait. Je ne l'ai pas encore fumé ? Ça m'étonne, normalement quand j'en fais un, c'est pour le fumer dans la minute qui suit. J'allume le joint et tire dessus avant d'expirer la fumée par le nez. Je reviens vers la demoiselle, je lui mets le produit illicite entre ses lèvres et j'en profite pour venir glisser ma main sous le bas de la demoiselle. Je viens titiller son clitoris avec un de mes doigts pour la déconcentrer dans ce qu'elle cherche sur mon ordinateur. « Tu sais que je peux me venger de ce que tu m'as fait tout à l'heure dans la voiture. » lançai-je en laissant s'échapper un sourire provocateur de mes lèvres. Je retire ma main qui c'était aventurer dans son bas et je viens embrasser son cou pour venir me mettre sur mon lit. Je peux faire languir la personne, mais autrement, je suis malin n'est-ce pas ? Il n'y a pas que Kalaya qui a ce pouvoir !
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Mer 10 Juin - 2:29 Citer EditerSupprimer
Rentrant dans l’art des plaisirs charnels. Je laissais mon corps réagir aux nombreux caprices que mon cerveau envoyait. Laissant ainsi le contrôle total à mes mains et ma bouche. Délaissant la chasseuse pourchassant sa proie pour profiter de sa trouvaille. Mes lèvres dansèrent sous les mouvements de redressement. D’un mouvement de douceur devenant rythmée. Le plaisir de dégustation me ravivait. L’ennui qui savait placer en moi quelques minutes plutôt se transformait en plaisir. Un amusement se décrivant par la taquinerie. Sous les mouvements répétitifs, mon corps réclamait son dû. Le besoin d’avoir plus. Un désire qui ne pouvait être comblé. Souffrant de ce manque partiel, ma personne réagit autrement. La langue partagea les caresses sensuelles de mes lèvres. Transformant ainsi une danse solitaire en une salsa endiablée. Les mouvements cessèrent lorsque mes dents rejoignent le délice qui m’était offert. L’arrêt brutal du véhicule brisa en une simple fraction une démonstration inédite. Cependant, le signe de victoire apparut. Démontrant à quelques reprises son appréciation. Sous l’offrande offerte à ma victoire, je regagnai mon siège. Heureuse et fière, mais le cœur battant en voyant le barrage établit par les protecteurs de la loi.
Nous roulons avec prudence pour rejoindre le lieu culte de nos désirs, nos mécontentements, nos agressions verbales, le lieu de complice. La fausse demeure que nous partageons. Cette habitation qui me protégeait grâce à ses murs du grand méchant loup.
Enfermer entre ses quatre murs, je me choisis une boisson en allant naviguer sur son historique. Je tournais la chaise vers lui en lui laissant entrevoir ma satisfaction. « T’en remettre ! Dire que j’aurais bien recommencé si nous n’avions pas été interrompues. Dommage ! Je peux cocher un nouveau désir réaliser sur ma liste. » dis-je en laissant sortir ma langue. Une petite grimace coincée entre mes dents. Je retournais à son ordinateur en ouvrant ma bière. Buvant une première gorgée puis une seconde en ressentant la déception m’envahir. Il n’avait rien de nouveau. « Intime ? Non ! Après tout, je serais étonnée que tu sauvegardes la totalité de mes photos…et de mes vidéos que je t’envoie. » Je continue malgré sa présence dans la chambre. J’ouvris au hasard un site et m’amusais à reluquer la fille. Je remarquais rapidement sa fausse poitrine, mais restais ébahi par la grosseur du membre de l’homme. « Je peux ? Je serais encore une des rares chanceuses à pouvoir les écouter en avant-première. » dis-je en lui pensante une de mes mains dans ses cheveux. Les caresses de ses boucles naissantes me firent sourire. Je le délaissais lorsque son menton se souleva de mon épaule.
Concentrer sur la vidéo qui était diffusée sous mon regard observateur, je sifflais en riant des gestes de l’actrice de film trois x. « J’écoute tout de suite après cette nullité ! Jax ! Comment faites-vous pour aimer ce genre de truc ? » Lançais-je sans gêne. Lorsque je me préparais à le questionner de nouveau, une odeur familière me chatouillait les narines. Je délaissais la vidéo ennuyeuse pour recommencer mes recherches. « C’était nul ! » Ouvrant la bouche, le bout de papier fraichement rouler de la veille se déposait entre mes lèvres. Le prenant entre mon pouce et mon index, je fis rentrer la fumer dans mes poumons avant de laisser cette chose immonde, mais merveilleuse sortir de mes narines. Mes yeux toujours rivés sur l’écran , une main vient taquiner ma petite bille. Je le laissais faire sans réagir en profitant de cette petite caresse. Ne pouvant que détourner le regard, je fixais Jaxson en laissant mes lèvres s’étirer. « Une vengeance ? Je me demande bien pourquoi Monsieur le Dieu souhaite-t-il une telle chose ? Je n’ai rien commis de grave dans la voiture ! ». Lorsque sa main quitta mon entre-cuisse, ma joie disparue. Je retournais à l’ordinateur pour ouvrir le dossier musique. Afin d'écouter ses nouveaux morceaux. J’écoutais en fumant tranquillement dans mon coin. En lui lançant des regards à mine reprise.
Au bout d’un instant, ma patiente flancha. Espérant qui revient vers moi. Mais, sans espoir. Je me levai en enlevant mes souliers, mes bas. Je m’approchais de lui en me penchant pour lui déposer le joint entre ses lèvres. Je fis descendre mon short pour laisser mon string comme seule protection. «Tu fais chier ! Je te déteste ! Si tu savais comment je déteste le sourire que tu m’as fait ! ». Dis-je en grimpant sur le lit. Je plaçais mes jambes à côté de ses hanches en laissant mon postérieur s’assoir juste au-dessus de mon jouet et en dessous de son nombril. Je me penchais et pris le joint qu’il fumait. « Il est à moi, non ? » Dis-je en l’embrassant.
Mes lèvres se déposèrent sur les siennes. Laissant le baiser se briser sous un frôlement. Je repris ma posture initiale en portant le ‘’calumet de paix’’ entre mes lèvres.
personnage & personnage
Mon corps tout entier protestait. Une protestation loufoque et enfantine. Je regardais l’élément qui m’a été offert. Ce petit trésor me charmait au plus aux points. Mais, comme l’entêtement est une si merveilleuse qualité chez moi, je refusais d’un ton de voix distant. Laissant ma langue claquer contre mon palet en signe de protestation. Assise contre le siège d’auto, je m’enfonçais en laissant une de mes jambes se faire chevaucher par l’autre. Tandis que mes bras s’enroulèrent. Sous cette posture peu mature, l'enfant en moi refit surface. La femme tatouer avait pris des traits qui ne correspondaient pas à son âge. « Bien contente ! Après tout, tu ne serais jamais capable de me forcer à rien ! » dis-je sèchement. Ce commentaire un peu inusité et ridicule sonnait fièrement au fond de moi. Telle une parole satisfaisante qui ne pouvait être recueillie par aucun reproche. Mon attitude serait le comble de mes soucis. Je voulais m’occuper et m’éloigner. C’était la seule idée me traversant l’esprit pour le moment. « Je veux tenter un truc ou plutôt savourez quelques choses. » laisse-je entendre sans donner plus d’explications. Il n’était pas si idiot. Jaxson allait rapidement comprendre le pourquoi. Rentrant dans l’art des plaisirs charnels. Je laissais mon corps réagir aux nombreux caprices que mon cerveau envoyait. Laissant ainsi le contrôle total à mes mains et ma bouche. Délaissant la chasseuse pourchassant sa proie pour profiter de sa trouvaille. Mes lèvres dansèrent sous les mouvements de redressement. D’un mouvement de douceur devenant rythmée. Le plaisir de dégustation me ravivait. L’ennui qui savait placer en moi quelques minutes plutôt se transformait en plaisir. Un amusement se décrivant par la taquinerie. Sous les mouvements répétitifs, mon corps réclamait son dû. Le besoin d’avoir plus. Un désire qui ne pouvait être comblé. Souffrant de ce manque partiel, ma personne réagit autrement. La langue partagea les caresses sensuelles de mes lèvres. Transformant ainsi une danse solitaire en une salsa endiablée. Les mouvements cessèrent lorsque mes dents rejoignent le délice qui m’était offert. L’arrêt brutal du véhicule brisa en une simple fraction une démonstration inédite. Cependant, le signe de victoire apparut. Démontrant à quelques reprises son appréciation. Sous l’offrande offerte à ma victoire, je regagnai mon siège. Heureuse et fière, mais le cœur battant en voyant le barrage établit par les protecteurs de la loi.
Nous roulons avec prudence pour rejoindre le lieu culte de nos désirs, nos mécontentements, nos agressions verbales, le lieu de complice. La fausse demeure que nous partageons. Cette habitation qui me protégeait grâce à ses murs du grand méchant loup.
Enfermer entre ses quatre murs, je me choisis une boisson en allant naviguer sur son historique. Je tournais la chaise vers lui en lui laissant entrevoir ma satisfaction. « T’en remettre ! Dire que j’aurais bien recommencé si nous n’avions pas été interrompues. Dommage ! Je peux cocher un nouveau désir réaliser sur ma liste. » dis-je en laissant sortir ma langue. Une petite grimace coincée entre mes dents. Je retournais à son ordinateur en ouvrant ma bière. Buvant une première gorgée puis une seconde en ressentant la déception m’envahir. Il n’avait rien de nouveau. « Intime ? Non ! Après tout, je serais étonnée que tu sauvegardes la totalité de mes photos…et de mes vidéos que je t’envoie. » Je continue malgré sa présence dans la chambre. J’ouvris au hasard un site et m’amusais à reluquer la fille. Je remarquais rapidement sa fausse poitrine, mais restais ébahi par la grosseur du membre de l’homme. « Je peux ? Je serais encore une des rares chanceuses à pouvoir les écouter en avant-première. » dis-je en lui pensante une de mes mains dans ses cheveux. Les caresses de ses boucles naissantes me firent sourire. Je le délaissais lorsque son menton se souleva de mon épaule.
Concentrer sur la vidéo qui était diffusée sous mon regard observateur, je sifflais en riant des gestes de l’actrice de film trois x. « J’écoute tout de suite après cette nullité ! Jax ! Comment faites-vous pour aimer ce genre de truc ? » Lançais-je sans gêne. Lorsque je me préparais à le questionner de nouveau, une odeur familière me chatouillait les narines. Je délaissais la vidéo ennuyeuse pour recommencer mes recherches. « C’était nul ! » Ouvrant la bouche, le bout de papier fraichement rouler de la veille se déposait entre mes lèvres. Le prenant entre mon pouce et mon index, je fis rentrer la fumer dans mes poumons avant de laisser cette chose immonde, mais merveilleuse sortir de mes narines. Mes yeux toujours rivés sur l’écran , une main vient taquiner ma petite bille. Je le laissais faire sans réagir en profitant de cette petite caresse. Ne pouvant que détourner le regard, je fixais Jaxson en laissant mes lèvres s’étirer. « Une vengeance ? Je me demande bien pourquoi Monsieur le Dieu souhaite-t-il une telle chose ? Je n’ai rien commis de grave dans la voiture ! ». Lorsque sa main quitta mon entre-cuisse, ma joie disparue. Je retournais à l’ordinateur pour ouvrir le dossier musique. Afin d'écouter ses nouveaux morceaux. J’écoutais en fumant tranquillement dans mon coin. En lui lançant des regards à mine reprise.
Au bout d’un instant, ma patiente flancha. Espérant qui revient vers moi. Mais, sans espoir. Je me levai en enlevant mes souliers, mes bas. Je m’approchais de lui en me penchant pour lui déposer le joint entre ses lèvres. Je fis descendre mon short pour laisser mon string comme seule protection. «Tu fais chier ! Je te déteste ! Si tu savais comment je déteste le sourire que tu m’as fait ! ». Dis-je en grimpant sur le lit. Je plaçais mes jambes à côté de ses hanches en laissant mon postérieur s’assoir juste au-dessus de mon jouet et en dessous de son nombril. Je me penchais et pris le joint qu’il fumait. « Il est à moi, non ? » Dis-je en l’embrassant.
Mes lèvres se déposèrent sur les siennes. Laissant le baiser se briser sous un frôlement. Je repris ma posture initiale en portant le ‘’calumet de paix’’ entre mes lèvres.
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Jeu 11 Juin - 14:25 Citer EditerSupprimer
La jeune femme est en train de regarder un film pornographique, et parfois je me demande pour quelle raison, elle veut regarder ce genre de film. Je regarde ces films lorsqu'il n'y a pas mes colocataires, car je respecte les autres et on fait nos choses quand il y a personne n'est-ce pas ? Si vous voulez vous toucher ou coucher avec votre ami, amant ou copain, vous n'allez pas inviter une personne à regarder n'est-ce pas ? Sauf si vous êtes une bande de petits coquins ! « En même temps, c'est du porno, alors si tu crois que tu vas t'attendre à un jeu d'acteur à la Pamela Anderson, tu l'as un peu dans le cul. » dis-je à la demoiselle. Les meufs qui vont des films de cul simulent et ça tout le monde le savait.. Enfin, sauf les gamins de treize - seize ans. J'étais venu taquiner le clitoris de la jeune femme puis je suis retourné sur le lit pour la faire languir et croyez-moi que je vais sûrement avoir une crise de nerf dans pas longtemps.
Je suis sur mon lit et l'ancienne wonsungi commença à s'énerver sur moi. Je regarde la demoiselle qui se déshabille devant moi, mais évidemment, elle garde son string. Elle se met sur moi à califourchon et je rigole à la remarque qu'elle m'a fait. « Il est bien mon sourire ! Pourquoi tu le détestes ? » demandai-je ironiquement. Mon sourire voulait dire que je voulais d'elle, que j'étais prêt à tout pour lui faire plaisir, mais mon cerveau m'avait dit de la faire languir comme il faut. Vous avez vu ? Je sais penser avec mon cerveau même si j'avoue que parfois, je pense avec ma queue. Je viens poser ma main gauche sur ses fesses et j'en profite pour lui mettre quelques fessées. Je fume le joint qu'elle avait déposée sur entre mes lèvres. Je profite du produit qui détruit mes poumons avant qu'elle me le prenne en disant que c'est à elle. « C'est à nous ! » lançai-je.
Je l'allonge sur le lit pour pouvoir la dominer. Je dépose mes lèvres contre les siennes. Jeregarde la jeune femme dans les yeux avant de le provoquer avec quelques coups de reins. Je commence à lécher son menton en allant vers son cou puis je lui mords légèrement. Elle a une peau très douce et si j'étais un vampire, j'en aurais profité pour pouvoir planter mes dents comme il faut. Je descends de plus en plus venant jouer avec ses tétons et lui mordre puis je me redresse pour enfin lui enlever son string. Je m'amuse à la masturber et je la regarde bouger et en serrant la couverture avec sa seule main, car elle tenait le joint avec son autre main. On peut voir un sourire satisfait s'échapper de mes lèvres. Je laisse ma tête se rapprocher de la partie intime de la jeune femme et dépose ma langue contre son clitoris. Je donne des coups de langues lentement et je commence à la pénétrer avec mes deux doigts sans aucune douceur.
Je lève ma tête, et je continue les vas-et-viens avec mes doigts avant qu'un troisième doigts vienne rentrer dans son vagin. Je n'ai aucune pitié, j'adore faire languir mes partenaires. C'est un rituel de faire ça, mais avec celle qui était autre fois ma femme, j'étais plus doux, romantique et j'en passe dans mes gestes. On peut dire que sa mère m'a rendu complètement sadique. Je viens embrasser Kalaya et j'accélère le rythme de mes doigts tout en écoutant les gémissements de la demoiselle sortir de sa bouche. « Ça me fait plaisir de te voir faible pour une fois. D'habitude, t'es celle qui domine. » lançai-je ironiquement. J'en profite pour revenir lécher son clitoris, mais cette fois-ci, je donne de grands coups de langue pour profiter un maximum d'elle. Je pouvais sentir sa mouille couler sur ma langue, et j'en profitais pour l'avaler et retourner jour avec son minou.
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Lun 15 Juin - 23:08 Citer EditerSupprimer
J’étais assise sur cette vieille chaise, la jambe plier vers ma poitrine, mon menton sur mon genou. Je continuais ma recherchant en retenant mes pulsions débutantes. Mon corps ne se laissait plus diriger par moi. Je sentais ma partie intime lourde et une envie pressante de recevoir plus. Je voulais ressentir de nouveau ses mains me caresser, je voulais le sentir en moi pour me faire perdre la tête. Je ne voulais qu’une seule chose et c’était bien clair. Ma main exploratrice voulait venir me caresser pour terminer le travail que Jax avait commencé. Ce désir était présent en moi depuis l’aventure de ma langue contre ma friandise préférée. La pulsion grandissante fit bouger ma main vers ma cuisse intérieure en laissant mon bout de mes doigts me toucher. Je tournais la tête vers lui en le regardant. Les idées me traversaient l’esprit. Je me levais dans un pas presque gaffeur en bougeant mon derrière vers lui. Je gratifiais le sol de mes sous-vêtements pour venir m’assoir sur lui. Un petit plaisir malsain. « Je le déteste tout simplement, j’ai envie de le briser et de le faire disparaitre. » le taquinais-je. Bien attendu, je l’aimais bien. Ce simple sourire confirmait que notre soirée ou notre journée allait tourner en un moment de baise.
Sa main gauche se déposait sur moi à plusieurs reprises en me faisant sourire. Je le regardais en bougent mes hanches pour que ma partie intime le stimule par des mouvements fluides. Rien de bien galant. Reprenant mon ‘’c’est à nous’’ pour le mettre de nouveau entre mes lèvres respirant la fumer merveilleuse qui vient saluer mes poumons de nouveau. Ses mains se déplaçaient dans mon dos et d’un moment loufoque, il me renversa sur le matelas. Dos au lit, je le regardais en souriant en serrant le joint dans ma main.
La douceur de ses lèvres se déposait contre les miennes. Dans un mouvement, je laissais ma langue rendre visite à la sienne alors que ma main rejoint sa chevelure en laissant mes doigts y glisser. Descendant ma main vers sa nuque, son épaule, sa main. Je ne voulais briser ce baiser qui devenait sensuel. Mon corps voulait ressentir ce muscle rosé contre ma peau. Mon corps voulait se faire couvrir de baiser sur chaque parcelle de mon identité. Ses lèvres me délaissèrent alors qu’un regard de prédateur rencontra le mien. Un mouvement de bassin me salua heureux de ma présente, je levais le mien quand le deuxième se présenta. Sa langue me gratifia de sa présence en saluant mon menton. Ses dents viennent savourer mon cou tel un animal voulant enlever la vie de sa proie. Sous la caresse de sa respiration contre ma peau, un long frisson me traversa. Je prends respiration en levant la poitrine. Son souffle dans ma nuque me fit sourire. Je le vois descendre vers ma poitrine laissant mes tétons se durcir sous son suçage et mordillage. Mais, ce petit plaisir se brisa lorsqu’il se redressait pour faire glisser ses mains contre mes cuisses en laissant ses doigts contourner la corde de mon string. En retirant ce petit tissu fin me recouvrant. Je me préparais à me relever pour m’assoir sur lui, mais un doigt se glissa en moi tandis que le deuxième suivit. Pris de stupeur je me couchais sur le matelas en savourant les caresses débutantes. Ma main libre serra la couverture sous ses mouvements. Je levais la main pour éviter que le joint ne brûle la couverture.
Mes dents du haut rejoignent la lèvre du bas en la serrant. Je levais le bassin quand sa langue vient saluer mon clitoris. Sous les coups de langue, ma respiration se fit plus intense. Son deuxième doigt me surprit en me faisant sortir un petit cri de joie. Ma poitrine se lève et descend en formant les mouvements d’une vague. Je restais étendue en cherchant à rester neutre à se torture, mais l’arrivée d’un troisième ami brisais le tout. Je ne plus me retenir et me laissait venir contre sa langue qui me gratifiait de petits coups. Je n’ai pu répondre à sa réplique quand laissant un gémissement sortir de moi. Je me laissais jouir en fermant les yeux.
« La ferme abruti ! » dis-je en gémissant faiblement. « Je suis faible…que sous tes caresses et… » je ne terminais pas ma phrase en le ressentant revenir taquiner mon entre-jambe. J’oubliais pendant deux secondes le joint qui me fit signe de sa présence. Je laissais une vulgarité sortir de ma bouche. « Tu fais chier ! » dis-je en levant le bassin pour l’encourager. « Tu n’as pas fini de me faire languir ? J’aimerais bien mieux avoir autre chose que ta putain de langue en moi ! » Ce que je voulais évidemment sa queue. Je voulais qu’il me pénètre avec sa brutalité légendaire. Il n’y a pas à dire. Jax avait le don de faire attendre sa partenaire. La recouvrant de sensation déplaisante, mais digne de l’extase.
personnage & personnage
« Matte-moi cette paire de siens ! J’aimerais trop avoir cette taille ! » dis-je en prenant mes siens entre mes mains. Quelle femme normale n’aimerait pas avoir un double chiffre ! Bien que la question n’était pas là ! Comment puis-je regarder une femme se faire pénétrer sans réagir ou même me sentir chaude ? Je suis peut-être trop insensible à ces conneries. « En même temps ? Tu m’imagines crier comme elle ? » je laissais mes doigts danser dans sa crinière en souriant. « Tu m’imagines crier comme elle ? Ho ! Jaxson va plus vite ! Plus fort ! Baise-moi ! C’est bon ! Oui ! Défonce-moi ... » le questionnais-je. Lorsque des doigts viennent rejoindre ma précieuse perle. Je le laissais faire que pour mon propre plaisir « laisse Pamela tranquille. La pauvre avec sa tronche d’aujourd’hui, elle ne peut plus jouer dans alerte à Malibu. ». Mais, comme à l’habitude, il me délaissait. J’étais assise sur cette vieille chaise, la jambe plier vers ma poitrine, mon menton sur mon genou. Je continuais ma recherchant en retenant mes pulsions débutantes. Mon corps ne se laissait plus diriger par moi. Je sentais ma partie intime lourde et une envie pressante de recevoir plus. Je voulais ressentir de nouveau ses mains me caresser, je voulais le sentir en moi pour me faire perdre la tête. Je ne voulais qu’une seule chose et c’était bien clair. Ma main exploratrice voulait venir me caresser pour terminer le travail que Jax avait commencé. Ce désir était présent en moi depuis l’aventure de ma langue contre ma friandise préférée. La pulsion grandissante fit bouger ma main vers ma cuisse intérieure en laissant mon bout de mes doigts me toucher. Je tournais la tête vers lui en le regardant. Les idées me traversaient l’esprit. Je me levais dans un pas presque gaffeur en bougeant mon derrière vers lui. Je gratifiais le sol de mes sous-vêtements pour venir m’assoir sur lui. Un petit plaisir malsain. « Je le déteste tout simplement, j’ai envie de le briser et de le faire disparaitre. » le taquinais-je. Bien attendu, je l’aimais bien. Ce simple sourire confirmait que notre soirée ou notre journée allait tourner en un moment de baise.
Sa main gauche se déposait sur moi à plusieurs reprises en me faisant sourire. Je le regardais en bougent mes hanches pour que ma partie intime le stimule par des mouvements fluides. Rien de bien galant. Reprenant mon ‘’c’est à nous’’ pour le mettre de nouveau entre mes lèvres respirant la fumer merveilleuse qui vient saluer mes poumons de nouveau. Ses mains se déplaçaient dans mon dos et d’un moment loufoque, il me renversa sur le matelas. Dos au lit, je le regardais en souriant en serrant le joint dans ma main.
La douceur de ses lèvres se déposait contre les miennes. Dans un mouvement, je laissais ma langue rendre visite à la sienne alors que ma main rejoint sa chevelure en laissant mes doigts y glisser. Descendant ma main vers sa nuque, son épaule, sa main. Je ne voulais briser ce baiser qui devenait sensuel. Mon corps voulait ressentir ce muscle rosé contre ma peau. Mon corps voulait se faire couvrir de baiser sur chaque parcelle de mon identité. Ses lèvres me délaissèrent alors qu’un regard de prédateur rencontra le mien. Un mouvement de bassin me salua heureux de ma présente, je levais le mien quand le deuxième se présenta. Sa langue me gratifia de sa présence en saluant mon menton. Ses dents viennent savourer mon cou tel un animal voulant enlever la vie de sa proie. Sous la caresse de sa respiration contre ma peau, un long frisson me traversa. Je prends respiration en levant la poitrine. Son souffle dans ma nuque me fit sourire. Je le vois descendre vers ma poitrine laissant mes tétons se durcir sous son suçage et mordillage. Mais, ce petit plaisir se brisa lorsqu’il se redressait pour faire glisser ses mains contre mes cuisses en laissant ses doigts contourner la corde de mon string. En retirant ce petit tissu fin me recouvrant. Je me préparais à me relever pour m’assoir sur lui, mais un doigt se glissa en moi tandis que le deuxième suivit. Pris de stupeur je me couchais sur le matelas en savourant les caresses débutantes. Ma main libre serra la couverture sous ses mouvements. Je levais la main pour éviter que le joint ne brûle la couverture.
Mes dents du haut rejoignent la lèvre du bas en la serrant. Je levais le bassin quand sa langue vient saluer mon clitoris. Sous les coups de langue, ma respiration se fit plus intense. Son deuxième doigt me surprit en me faisant sortir un petit cri de joie. Ma poitrine se lève et descend en formant les mouvements d’une vague. Je restais étendue en cherchant à rester neutre à se torture, mais l’arrivée d’un troisième ami brisais le tout. Je ne plus me retenir et me laissait venir contre sa langue qui me gratifiait de petits coups. Je n’ai pu répondre à sa réplique quand laissant un gémissement sortir de moi. Je me laissais jouir en fermant les yeux.
« La ferme abruti ! » dis-je en gémissant faiblement. « Je suis faible…que sous tes caresses et… » je ne terminais pas ma phrase en le ressentant revenir taquiner mon entre-jambe. J’oubliais pendant deux secondes le joint qui me fit signe de sa présence. Je laissais une vulgarité sortir de ma bouche. « Tu fais chier ! » dis-je en levant le bassin pour l’encourager. « Tu n’as pas fini de me faire languir ? J’aimerais bien mieux avoir autre chose que ta putain de langue en moi ! » Ce que je voulais évidemment sa queue. Je voulais qu’il me pénètre avec sa brutalité légendaire. Il n’y a pas à dire. Jax avait le don de faire attendre sa partenaire. La recouvrant de sensation déplaisante, mais digne de l’extase.
© flappy bird.
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Re: [20 et + ]Acte 1 : move your body | Jeu 16 Juil - 18:38 Citer EditerSupprimer
Je regarde Kalaya qui prenait ses seins entre ses mains en disant qu'elle aimerait avoir la même taille que la meuf dans le porno. Je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire en entendant la réaction de la jeune femme. Les femmes qui ont de petits seins pensent toutes à avoir une grosse poitrine ? Ce n'est pas la poitrine qui compte, si elles sont classes mentalement et qu'elles sont potables physiquement et sexuellement, alors elles sont parfaites, mais je pense qu'elles ne comprennent pas ça, car elles sont trop conne pour réfléchir comme moi. « Tu avais qu'à manger de la soupe, tu aurais grandi et ta poitrine aussi. » dis-je en rigolant puis d'un coup elle s'amuse à imiter l'actrice avec ces cris. Je lève la tête pour regarder le plafond, mais dans ma tête, je me disais pour quelles raisons, elle fait ça ? Heureusement qu'il n'y avait pas mes colocataires. « Si tu cris comme ça, je te balance par la fenêtre. » lançai-je ironiquement.
Quelques minutes plus tard, je l'avais allongé sur mon lit et je m'amusais à lui faire du bien en léchant sa partie intime. Je l'a faisais languir puisqu'elle m'a fait clairement comprendre qu'elle voulait autre chose que ma langue. J'étais pareil avec mon ex femme, je l'a faisais languir, mais elle, elle ne me disait pas de la fermer, mais de continuer. De toute façon, je suis toujours comme cela avec mes partenaires, alors il ne faut pas croire que je suis comme ça qu'avec Kalaya. « T'es impatiente ! T'es trop faible comme nana. » dis-je en rigolant et en venant lui voler un baiser.
Je me lève du lit et je me déshabille pour ne plus faire patienter la demoiselle et j'attrape ses jambes pour qu'elle se retrouve contre moi. Je m'amuse à frotter mon membre contre son vagin puis je la pénètre avec brutalité. Je n'ai jamais fait dans la douceur et on peut dire que ce mot n'existe pas chez moi. Je commence par les vas-et-viens dans un rythme soutenu et je viens mettre mes mains autour de son cou pour pouvoir l'étrangler légèrement. « J'espère que t'es contente. » lançai-je en continuant les coups de reins, mais en accélérant de plus en plus le rythme. On pouvait entendre le bruit de mon bassin qui venait taper contre elle. J'aime coucher avec Kalaya, car quand on couche ensemble, il y a toujours cette chose qui rend ce moment incroyable. Je ne sais pas si c'est la passion ou autre, mais c'est agréable lorsqu'on fait nos choses pas catholique. Je m'amuse à lui mettre quelques gifles et je mets beaucoup de puissance dans mes coups de bassins, je pouvais l'entendre prendre son pied. Au moins, je me venge de la fameuse pipe qu'elle m'a fait dans la voiture.
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