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move your pretty ass, baby.
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Re: move your pretty ass, baby. | Sam 4 Juil 2015 - 11:36 Citer EditerSupprimer
move your pretty ass, baby.
✌ Diable, qu’est-ce qui avait bien pu se passer dans l’espace temps pour que moi, Lexy Kim, je me retrouve fiancée au sexy Kang Min Ho ? Un dérèglement spatio-temporel à coup sûr, le genre de faille dans la logique de notre destinée, pourtant, j’adorais ça. Cette course-poursuite de l’amour à la haine, tout ça attisait cette flamme que j’avais en moi. Le genre de feu de joie qui vous rend dingue et vous donne envie de danser la macarena jusqu’au bout de la nuit au point d’en avoir les bras qui tombent de douleur. Pour une fois, ma satanée génitrice et ses magouilles avait assurée et je me retrouvais fièrement attachée à cette masse sexuelle ambulante qu’est Minho. Pour mon plus grand bonheur comme on plus grand désarroi, car à courir après du vent, on fini par s’étouffer, mais plus le temps passait, plus je le sentait se donner à moi. Je savais pertinemment qu’il avait du se taper une gonzesse la veille, dans l’arrière boutique comme le dit si bien. Pourtant, ça ne me dégoutais pas vraiment car au fond, je savais qu’il n’était pas encore miens, ce qui ne saurait tarder. Je suis jalouse, mais pas vraiment possessive, d’ailleurs comment lui en vouloir ? Je me dis tout simplement qu’il aura tiré tous ces coups avant notre mariage pour pouvoir mieux se livrer à moi après celui-ci. Bon okay, je vis un rêve éveillée m’enfin bon, ça coûte rien de rêver riche, hein.
Accrochée à lui tel un véritable koala, je resserre mes jambes autour de lui alors qu’il me tien d’un bras, me plaquant contre la paroi glacée du sous-sol. Sérieusement, qu’elle idée j’avais eu de lui tendre un piège ici ? J’aurais pu choisir un hôtel cinq étoiles, au moins, la baignoire serait assez grande pour deux et l’air conditionné réglé à point. Je lançais un regard charmeur à Minho qui me proposais d’abandonner la quête si j’enlevais le peu de vêtements qui recouvraient mon corps. « Hum, ça se négocie mon chou. » Dis-je en riant doucement, mon regard rivé dans le sien alors que mes mains viennent s’entremêler dans ses mèches de cheveux. Ses caresses me font frissonner alors que je mord les lèvres pour résister un peu plus. Effectivement, les rôles avaient étés échangés. Je serrais mes cuisses autour de lui en approchant mon visage à un demi-centimètre du sien : « J’ai les mains occupées, là. Il me faudrait un peu d’aide pour retirer mon haut… » Je murmurais ces paroles d’une voix suave, collant ma poitrine contre son torse histoire de le torturer un peu pendant que j’en avais encore le pouvoir. Il n’avait qu’à descendre la fermeture éclair à l’arrière de mon haut et il aurait droit à un voyage expérimental au pays des mamelons royaux. Bah ouais, qui à dit que je portais un soutien-gorge ? Je me penchais jusqu’à l’extrémité de son menton et descendit mon visage jusque dans le creux de son coup, laissant mon souffle caresser sa peau avant d’y déposer de doux petits baisers.
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Re: move your pretty ass, baby. | Ven 10 Juil 2015 - 15:46 Citer EditerSupprimer
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Tenue ✌
Je souris de toutes mes dents quand elle ne dit pas non à ma proposition de lui enlever ses derniers bouts de tissus qui l’habillait encore. Apres tout, je ne voyais pas pourquoi je devais être le seul à être à poil dans ces souterrains, l’intimité prenant l’air et mes pieds prenant froids. J’allais enfin pourvoir voir ces boobs qui me font de l’œil depuis plusieurs années maintenant, mais dont je n’avais jamais pu qu’apercevoir le début, m’imaginant le reste caché par son soutien-gorge. La voir enfin nue m’excitait plus que de raison. J’avais vu plus d’une femme nue, prête à se donner à moi, mais Lexy… je ne sais pas, c’était différent. J’avais envie de jouer avec ses obus sans m’arrêter, comme un enfant devant un cadeau de Noel en avance. J’avais déjà les yeux qui brillaient de désir à cette simple remarque. Je fermais les yeux, frissonnant quand elle me passait une main dans les cheveux. Dieu que j’adorais ca. Maxi biscuit est traversé d’un mini spasme de plaisir quand elle resserrait les cuisses un peu plus autour de ma taille. J’avais presque atteint mes limites. Je sentais qu’aujourd’hui, entre elle et moi, ce ne serait plus pareil. J’étais presque entrain de lui donner mon consentement pour ne lui appartenir qu’à elle. Le point de non-retour était presque atteint. Je savais que je ne pourrais pas faire marche arrière. Est-ce que j’étais prêt pour cela ? Certainement pas. Est-ce qu’elle m’attirait ? Certainement. Est-ce que je l’aimais ? Peut-être un peu … Il y avait quelque chose en tout cas. Quelque chose que je n’avais pas ressenti avec quelqu’un depuis des lustres. Trois ans maintenant. Malgré tous les inconvénients, j’étais fatigué de lui résister. Je la voulais pour moi, juste au moins une fois sans pour autant qu’on m’enlève mes avantages. Je n’avais aucune idée dans quoi je m’engouffrais, enfin si. Un peu. Mais je m’en fichais, je la voulais. Je souris de plus bel en l’entendant demander de l’aider pour retirer son haut. Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je la tenais d’une main puissante pour éviter de la faire tomber en arrière. Et de mon autre main, je lui retirais la fermeture éclair d’une habilité affligeante et impatiente. Pour mon plus grand bonheur, je découvris qu’elle ne portait aucun soutif. Comment pouvait-elle donner une si jolie forme à sa poitrine sans sous-vêtement ? Au fond, je m’en fichais bien. Alors que j’avais jeté son haut sur le sol, je la plaquais à nouveau au mur froid pour mieux l’observer. « Alors les voilà enfin ! » murmurais-je, la voix grave, les yeux les fixant tel un prédateur ayant repéré sa proie. Ses baisers dans mon cou m’enivraient, me donnant le courage qu’il me manquait pour franchir la dernière limite. J’attrapais un sein d’une main, alors que mes lèvres vinrent s’occuper de l’autre. Avec une extrême douceur, je déposais un baiser sur son téton, avant de venir le titiller de ma langue. J’en fis le tour plusieurs fois, formant de petit cercle autour de lui. Tandis que mon autre main, venait peloter lentement son jumeau, avant de venir pincer son extrémité entre mon pouce et mon index, prenant le deuxième d’assaut avec ma bouche, l’aspirant par surprise. L’entendre couiner était un vrai délice, un doux son pour mes oreilles. J’arrêtais de la torturer pour revenir vers sa bouche, lui volant un baiser avant de lui murmurer contre celle-ci, empli de sous-entendus: « J’espère que t’aime crier, beauté. » Mon regard était maintenant brulant de plaisir, et maxi cookie était impatient de la gouter. Il allait être dur de m’arrêter à présent. Même mes états d’âme avaient mis la sourdine.
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Re: move your pretty ass, baby. | Dim 12 Juil 2015 - 23:55 Citer EditerSupprimer
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✌ Minho avait ce genre d’odeur inoubliable, le genre qui vous fait frissonner et vous rend nostalgique, une odeur d’homme mélangée à un parfum sensuel de créateur. Le genre d’odeur qui reste collée à votre peau même après une courte douche. Le genre d’odeur que j’aimais par-dessus tout, pour ne pas dire l’unique que j’aime avant celle de la weed bien fraîche. J’avais ce sentiment de supériorité extrême, alors que j’étais là, logée au creux de son cou que je submergeais de baisers aussi doux qu’une plume. Je prenais un malin plaisir à presser mon corps contre le sien, savourant chaque seconde de cette situation. Etait-ce un rêve ? Avais-je enfin atteint mon but ? Je n’avais jamais été amoureuse avant Minho, et cette situation me plaisais. Je découvrais enfin ce sentiment dont toutes les nanas s’extasiaient. J’en avait eu, des relations, mais je prenais l’Amour pour une vaste blague de l’univers. Néanmoins, ma rencontre avec Minho avait tout changé, de ma façon à de voir les choses à ma façon de vivre. Toujours plus intense. Toujours plus dingue. M’accrocher à lui comme si ma vie en dépendait. J’étais sur mon petit nuage, alors qu’il dézippait mon haut, le laissant glisser entre nous. Je m’en débarrassais d’un revers de main, exposant ma poitrine à cet homme qui n’allait pas tarder être le mien. Je me laissais aller dans ses baisers, aussi mortels soient-ils.
Il agrippait mon sein avec fermeté, faisant le tour de l’autre avec sa langue. Une vague de jouissements s’échappa de ma bouche alors que je me retenais de ne pas crier. Même si ces sous-terrains étaient profonds et reculés du campus, je restais quasiment certaine que mon cri aurait déchiré l’obscurité des lieux. Surprise, je couinais alors qu’il pinçait mon téton. Le genre de geste qui me faisait partir en vrille. Je suis le genre de nana un peu trop sensible lorsqu’il s’agit de mes seins et ce que faisait Minho me procurais un tel plaisir que je ne sentis même pas la fraîcheur du mur me parcourir l’échine alors qu’il me collais contre celui-ci. Je plaquais ma tête contre la paroi glaciale, fermant les yeux alors que je me faisais ouvertement peloter par l’homme dont j’étais amoureuse depuis si longtemps. Ma main gauche caressait sa colonne vertébrale et mon autre main restait infiniment perdue sans ses cheveux. Il s’arrêtait pourtant dans son élan, pour venir m’offrir un baiser digne de ce nom auquel je répondis avec affection, les yeux toujours clos. « J’espère que t’aime crier, beauté. » Sa phrase résonna dans l’immense couloir du sous-sol et j’entrouvris mes yeux pour lui lancer un regard de défit. « En serais-tu capable ? De me faire crier ? » Je le mettait au défit, passant ma langue sur ma lèvre inférieure et caressant son visage à deux mains. Je l’approchais un peu plus de moi pour déposer un baiser sur le bord de ses lèvres, descendant son menton jusque dans son cou. J’enroulais mes bras autour de ses épaules, retournant au creux de son cou pour aller le lui mordiller et y laisser une trace bien évidente.
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Re: move your pretty ass, baby. | Jeu 13 Aoû 2015 - 19:23 Citer EditerSupprimer
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Tenue ✌
Alors que je taquinais sa poitrine, me faisant de plus en plus acquisiteur, je prenais un malin plaisir à l’entendre haleter, couiner alors que je pinçais son teton. J’avais un sourire malicieux sur les lèvres tel un gamin, fier de sa connerie. Je la découvrais au fil de mes caresses. J’apprenais à connaitre son corps, à savoir où se trouvait ses points de plaisir. Des années qu’elle me courait après, et pas une seule fois je n’avais cédé, l’envoyant bouler à chaque fois. Et d’après le doux son que mes oreilles entendaient, mademoiselle était extrêmement sensible des seins. J’avais déjà une multitude de possibilités s’offrir à moi qui défilaient dans ma tête que je pouvais lui faire subir pour amplifier sa jouissance. En matière de sexe, on pouvait dire que j’étais passé expert. J’avais acquis assez d’expérience pour pouvoir dire sans modestie que j’étais un bon coup. Alors, je lui dévorais la bouche comme jamais, comme si ma vie en dépendait. Je lui sous-entendais que je pouvais la faire crier et elle me mit au défi. Je m’arrêtais le temps de l’observer, soulevant un sourcil amusé. Lexy n’était pas n’importe quelle femme. C’était le genre de femme qui ne vous lâchait jamais quand elle avait décidé de vous aimer. Un amour inconditionnel qui vous dévorait à petit feu malgré vous. Qui s’installe en vous et qui faisait son nid petit à petit. Et sans que vous vous en rendiez compte, vous tombiez dans le piège de l’amour à votre tour. La femme qui vous raide dingue d’elle sur la longueur. Pas le genre d’un coup d’un soir. Il suffit d’y gouter une fois pour ne plus l’oublier. Lexy, c’était la femme qui me faisait craquer. Celle que je pourrais aimer. STOP ! STOP ! STOP ! Bordel Minho ! Quelle ânerie tu racontes là ! Tu t’es cru dans un film romantique pour fille ? Souviens-toi que si tu craques, c’est fini la liberté pour toi ! Elle te laisse toucher ses seins et pouf, tu te crois amoureux ? Arrêtes ca ! Je fermais les yeux, essayant de reprendre mes esprits. Mais elle me faisait perdre pied en me mordillant le cou pour laisser la marque de son passage. J’attrapais ses fesses pour la maintenir en place et je roulais sur moi-même, échangeant nos places. Je me retrouvais debout et dos au mur, alors qu’elle avait toujours les jambes enroulées autour de moi. Le froid de la paroi me rendait un peu les idées claires. Je posais mon front contre sa clavicule, soupirant mon souffle chaud sur sa peau. « Lexy, est ce que c’est une bonne idée de faire ca ? Ici ? Comme ca ? » Mes doigts se crispaient sur son fessier alors que j’étais en plein doute. Je ne disais pas que je ne voulais pas lui faire l’amour. Juste que ce n’était pas une bonne idée de le faire ici, dans les caves de l’école, pour notre première fois. Quoi que ca rendrait la chose unique. Inoubliable. Plus j’y pensais, plus je me disais que ce n’était pas une si mauvaise idée que cela. Peut-être me cherchais-je juste encore une excuse pour repousser le moment fatidique ? Alors je lui laissais le choix. Ce serait ma dame qui choisira ce qu’elle veut, où elle veut…
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