you, little piece of shit.
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you, little piece of shit. | Ven 8 Mai - 3:48 Citer EditerSupprimer
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Rahel & Kwang Ho
you little piece of shit
Son fiancé ? L'épouser ? Ils avaient tous perdu la tête ? Ils étaient tous devenus tarés ? Même son père ? Sérieux, la fiancer avec une merde pareil... Il la haïssait tant que ça ? Plutôt crever. Ils ne se rendaient pas compte de ce qu'ils lui faisaient. Mais Kwang Ho, lui, savait tout. Cette petite salope. Cette petite pute. Cette merde, né par erreur, qui ne mériterait même pas d'avoir le droit de respirer sur cette terre. Elle, l'épouser. Elle, devenir sa femme. Après tout ce qu'il lui avait fait. Elle n'était pas encore tombée si bas. Epouser un chien serait encore meilleur, rien n'est pire qu'épouser Kwang Ho, pas même de crever en fait. Dans tous les cas, une chose était sûr. Elle ne laisserait pas ces fiançailles se poursuive, jamais ils n'arriveraient jusqu'au mariage, elle ne le laisserait pas atteindre son but, elle ne le laisserait pas la détruire.
Mais par contre... Elle allait le détruire, quant à elle. Le réduire en pièce. Il voulait jouer ? Ils allaient jouer. La guerre était déclarée, et dire que Rahel était remontée serait un euphémisme. Elle était bien décidée à lui faire regretter le jour où il avait eu le malheur de croiser son chemin. Elle allait le piétiner. Vêtue d'un petit short noir, en cuir, et d'un chemisier blanc qu'elle avait rentré dans son short, elle s'avançait d'une démarche féline, un bras autour de sa taille. Celui d'un bel homme, très bel homme. Grand, musclé, et il semblait être bi-racial. Asiatique, et occidental, ce qui lui donnait un visage littéralement magnifique, tout aussi bien que son corps. Viril. Et extrêmement riche. Il était aux petits soins pour Rahel, et semblait être sous son charme. Encore, c'était un euphémisme. Pourquoi Rahel était là ? Parce qu'elle savait très bien qu'il avait pris un carré VIP dans ce club pour la soirée, pour lui et ses potes. Et devinez qui occupait l'autre carré VIP à proximité de ce dernier ? Rahel. Avec son compagnon, et quelques autres amis. Ce que voulait faire Rahel, c'était le ridiculiser, le jeter et le ''tromper'' – et encore, si on pouvait dire qu'elle le trompait, après tout elle n'avait jamais dit oui pour ces fiançailles – ouvertement. Un sourire malsain sur le visage, elle finit donc par entrer, s'asseyant sur les genoux du jeune homme aussitôt arrivés, laissant tout son temps à Kwang Ho, qu'elle pouvait voir seulement à quelques mètres d'eux, pour remarquer la supercherie. Elle était maligne. Elle le détruirait de l'intérieur, tout comme il voulait le faire avec elle. Mais sans y arriver. Elle gagnerait la manche.
Mais par contre... Elle allait le détruire, quant à elle. Le réduire en pièce. Il voulait jouer ? Ils allaient jouer. La guerre était déclarée, et dire que Rahel était remontée serait un euphémisme. Elle était bien décidée à lui faire regretter le jour où il avait eu le malheur de croiser son chemin. Elle allait le piétiner. Vêtue d'un petit short noir, en cuir, et d'un chemisier blanc qu'elle avait rentré dans son short, elle s'avançait d'une démarche féline, un bras autour de sa taille. Celui d'un bel homme, très bel homme. Grand, musclé, et il semblait être bi-racial. Asiatique, et occidental, ce qui lui donnait un visage littéralement magnifique, tout aussi bien que son corps. Viril. Et extrêmement riche. Il était aux petits soins pour Rahel, et semblait être sous son charme. Encore, c'était un euphémisme. Pourquoi Rahel était là ? Parce qu'elle savait très bien qu'il avait pris un carré VIP dans ce club pour la soirée, pour lui et ses potes. Et devinez qui occupait l'autre carré VIP à proximité de ce dernier ? Rahel. Avec son compagnon, et quelques autres amis. Ce que voulait faire Rahel, c'était le ridiculiser, le jeter et le ''tromper'' – et encore, si on pouvait dire qu'elle le trompait, après tout elle n'avait jamais dit oui pour ces fiançailles – ouvertement. Un sourire malsain sur le visage, elle finit donc par entrer, s'asseyant sur les genoux du jeune homme aussitôt arrivés, laissant tout son temps à Kwang Ho, qu'elle pouvait voir seulement à quelques mètres d'eux, pour remarquer la supercherie. Elle était maligne. Elle le détruirait de l'intérieur, tout comme il voulait le faire avec elle. Mais sans y arriver. Elle gagnerait la manche.
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Re: you, little piece of shit. | Dim 28 Juin - 1:40 Citer EditerSupprimer
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Kwang Ho & Rahel
One a King and his Bitch
Il allait la détruire, cette fillette qui se trouvait être, à présent, sa fiancée. Il allait la détruire, cette fillette qui ne cessait de le pousser dans ses derniers retranchements. Il allait la détruire, menant à bien son projet afin d’en faire son plus beau chef d’œuvre vivant. Ô oui, une telle passion. La passion de la destruction. Oui, Kwang Ho connaissait bien ces termes, les utilisant pour guider ses pas, les embûches de la vie. Cependant, il était confronté à une embûche bien particulière ce soir : prouver qu’il était un Homme qui savait tenir sa femelle, de ce fait, il ne se retenait pas de jeter des éloges sur la façon qui était la sienne de se faire obéir de sa jeune fiancée. Heineken en main, deux putes de parts et d’autre de son corps, il baragouinait sur ses connaissances « Les femelles ? Bah voyons qu’il faut les mater. Suffit de montrer qui contrôle l’autre. La dominer, leurs montrer qu’elles nous doivent tout et que la seule chose qu’elles peuvent faire, c’est s’incliner sous notre pouv… ». Pourtant, le reste vint mourir au tréfonds de sa gorge lorsque son regard croisa le sien.
L'instinct sauvage de possessivité ne cessait de cogner entre ses entrailles, de même, qu'un cuisant désir de la voir ramper à ses pieds, implorant sa clémence. Oui, il avait appris depuis peu que sa fiancée draguée, flirtée, et presque, copulée, avec de jolis garçons mais jusqu’à présent, il n’eut pas le loisir de la voir à l’œuvre, agissant sous son nez. Le bougre n'en devenait que plus, jaloux, et c'est ainsi là, assis sur le siège royal qu’il s’était attribué dans le carré VIP de cette boite de nuit, accompagnés de quelques élus de son clan. Et il était fichtrement vexé car, certain qu’elle ne faisait ça que dans l’unique objectif de l’énerver, pourtant, son sang ne fit qu’un tour alors que la belle vint s’assoir sur les genoux d’un des gars qui l’accompagnait. Jartant les deux pouliches, c’est clope au bec et mâchoires serrées qu’il se dirigeait vers elle, pour venir la tirer par le bras afin de la trainer de force dans un coin moins encombré de monde et de bruit « Pour qui tu te prends à m’humilier de la sorte, hein ? Ça t’amuse de me ridiculiser devant une partie de mon clan alors ? » Alors qu’il se vantait de pouvoir te maintenir à sa seule merci « ça t’amuse de jouer les putes avec d’autres gars ? Qu’est-ce-qui te fait croire que tu pourras trouver mieux que moi ? Ne crois-tu pas que tu as déjà de la chance que je prenne ton existence en considération ? Et, c’est ainsi que tu me remercie ? ». Vexé et susceptible. Très susceptible. Trop. Bien trop.
L'instinct sauvage de possessivité ne cessait de cogner entre ses entrailles, de même, qu'un cuisant désir de la voir ramper à ses pieds, implorant sa clémence. Oui, il avait appris depuis peu que sa fiancée draguée, flirtée, et presque, copulée, avec de jolis garçons mais jusqu’à présent, il n’eut pas le loisir de la voir à l’œuvre, agissant sous son nez. Le bougre n'en devenait que plus, jaloux, et c'est ainsi là, assis sur le siège royal qu’il s’était attribué dans le carré VIP de cette boite de nuit, accompagnés de quelques élus de son clan. Et il était fichtrement vexé car, certain qu’elle ne faisait ça que dans l’unique objectif de l’énerver, pourtant, son sang ne fit qu’un tour alors que la belle vint s’assoir sur les genoux d’un des gars qui l’accompagnait. Jartant les deux pouliches, c’est clope au bec et mâchoires serrées qu’il se dirigeait vers elle, pour venir la tirer par le bras afin de la trainer de force dans un coin moins encombré de monde et de bruit « Pour qui tu te prends à m’humilier de la sorte, hein ? Ça t’amuse de me ridiculiser devant une partie de mon clan alors ? » Alors qu’il se vantait de pouvoir te maintenir à sa seule merci « ça t’amuse de jouer les putes avec d’autres gars ? Qu’est-ce-qui te fait croire que tu pourras trouver mieux que moi ? Ne crois-tu pas que tu as déjà de la chance que je prenne ton existence en considération ? Et, c’est ainsi que tu me remercie ? ». Vexé et susceptible. Très susceptible. Trop. Bien trop.
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