I'm looking right at the other half of me » #Nayi
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I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mar 23 Juin - 2:43 Citer EditerSupprimer
C'
était toute la journée pareil, depuis ce matin je n'arrête pas de regarder l'heure toutes les cinq minutes. C'est ainsi, dernièrement je n'ai qu'une hâte, c'est de rentrer aussi vite que possible au dortoir et tout ça, c'est parce que pour la toute première fois, je suis amoureux. Mon tuteur m'avait pourtant dit que ça ne m'arriverait jamais, qu'à cause de mon éducation qui me privait de sentiments je ne pourrais jamais éprouver ou ressentir de l'amour, mais il s'est trompé. Enfin en réalité, je ne sais même pas si ce que je ressens est bien cette émotion, mais je suppose que c'est le cas. Alors tous les jours je scrute avec attention l'heure, attendant avec impatience la sonnerie annonçant la fin du dernier cours de la journée pour rentrer le plus rapidement possible au dortoir des Pyobeom, là où Nathys a aménagé pour que nous puissions partager la même chambre. Seulement parfois, je dois d'abord passer à l'agence ce qui me fait rentrer plus tard à mon grand regret et bien évidemment, j'ai reçu dans la journée un message de mon manager me prévenant que ce soir je devais passer pour régler quelques soucis. C'était déjà bien assez énervant mais le pire dans tout ça, c'est qu'une fois dans le grand building, concentré sur les documents à remplir, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche. Je n'ai même pas besoin de lire pour savoir qu'il s'agit de mon copain qui doit certainement s'inquiéter du fait que je ne sois pas encore rentré, cependant je perd rapidement mon sourire lorsque je lis le contenu du message. Mes mains tapotent nerveusement mon écran pour lui répondre et je me repasse en boucle ces derniers jours pour essayer de voir quelle erreur j'ai pu commettre.
Finalement il refuse de m'en parler par message et me donne rendez-vous dans notre chambre. Je n'ai jamais quitté le boulot en douce, mais là je n'ai pas le choix. Nathys m'inquiète et je ne supporterais pas de le perdre, même si pour ça je dois mettre en danger mon travail. Alors sans attendre je m'échappe discrètement et rentre aussi vite que possible au dortoir, bien heureux d'avoir une moto dans de telles conditions plutôt qu'une voiture, là au moins je peux dépasser tout le monde et arriver en un temps record. Finalement après de longues minutes de conduite sportive, j'arrive à destination et me gare sans attendre, courant presque pour rejoindre ma chambre. Une fois devant la porte, je m'arrête net. Ce qui se trouve de l'autre côté me terrifie, j'ignore si Nathys est en colère, ou triste ou quoi que ce soit d'autre alors je reste quelques secondes figé avant de timidement frapper à la porte. « Hyung c'est moi, tu peux m'ouvrir..? » Pas de réponse, aucun bruit, rien. J'attends quelques secondes, sentant le stress m'envahir avant de toquer une nouvelle fois, plus fort. « Nathys ouvre s'il te plait ! » Mais toujours rien. À bout de nerfs, je finis par sortir mes clefs et déverrouille rapidement la porte avant de me précipiter à l'intérieur. Personne. Mes yeux scrutent la pièce vide et je commence à paniquer sérieusement, m'imaginant les pires choses qui auraient pu lui arriver et je sors mon téléphone en désespoir de cause pour l'appeler. Les mains tremblantes, je prie intérieurement pour que sa voix résonne mais rien, juste les bips angoissants, signe qu'il ne répondra pas. Une fois de plus, un tas de scénarios plus horribles les uns que les autres me montent à la tête et je me laisse glisser contre un mur, essayant désespérément de l'appeler, suppliant pour qu'il réponde.
❝ And it's like in a mirror, my mirror staring back at me
• feat. Ahn Nathys •
C'
était toute la journée pareil, depuis ce matin je n'arrête pas de regarder l'heure toutes les cinq minutes. C'est ainsi, dernièrement je n'ai qu'une hâte, c'est de rentrer aussi vite que possible au dortoir et tout ça, c'est parce que pour la toute première fois, je suis amoureux. Mon tuteur m'avait pourtant dit que ça ne m'arriverait jamais, qu'à cause de mon éducation qui me privait de sentiments je ne pourrais jamais éprouver ou ressentir de l'amour, mais il s'est trompé. Enfin en réalité, je ne sais même pas si ce que je ressens est bien cette émotion, mais je suppose que c'est le cas. Alors tous les jours je scrute avec attention l'heure, attendant avec impatience la sonnerie annonçant la fin du dernier cours de la journée pour rentrer le plus rapidement possible au dortoir des Pyobeom, là où Nathys a aménagé pour que nous puissions partager la même chambre. Seulement parfois, je dois d'abord passer à l'agence ce qui me fait rentrer plus tard à mon grand regret et bien évidemment, j'ai reçu dans la journée un message de mon manager me prévenant que ce soir je devais passer pour régler quelques soucis. C'était déjà bien assez énervant mais le pire dans tout ça, c'est qu'une fois dans le grand building, concentré sur les documents à remplir, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche. Je n'ai même pas besoin de lire pour savoir qu'il s'agit de mon copain qui doit certainement s'inquiéter du fait que je ne sois pas encore rentré, cependant je perd rapidement mon sourire lorsque je lis le contenu du message. Mes mains tapotent nerveusement mon écran pour lui répondre et je me repasse en boucle ces derniers jours pour essayer de voir quelle erreur j'ai pu commettre.
Finalement il refuse de m'en parler par message et me donne rendez-vous dans notre chambre. Je n'ai jamais quitté le boulot en douce, mais là je n'ai pas le choix. Nathys m'inquiète et je ne supporterais pas de le perdre, même si pour ça je dois mettre en danger mon travail. Alors sans attendre je m'échappe discrètement et rentre aussi vite que possible au dortoir, bien heureux d'avoir une moto dans de telles conditions plutôt qu'une voiture, là au moins je peux dépasser tout le monde et arriver en un temps record. Finalement après de longues minutes de conduite sportive, j'arrive à destination et me gare sans attendre, courant presque pour rejoindre ma chambre. Une fois devant la porte, je m'arrête net. Ce qui se trouve de l'autre côté me terrifie, j'ignore si Nathys est en colère, ou triste ou quoi que ce soit d'autre alors je reste quelques secondes figé avant de timidement frapper à la porte. « Hyung c'est moi, tu peux m'ouvrir..? » Pas de réponse, aucun bruit, rien. J'attends quelques secondes, sentant le stress m'envahir avant de toquer une nouvelle fois, plus fort. « Nathys ouvre s'il te plait ! » Mais toujours rien. À bout de nerfs, je finis par sortir mes clefs et déverrouille rapidement la porte avant de me précipiter à l'intérieur. Personne. Mes yeux scrutent la pièce vide et je commence à paniquer sérieusement, m'imaginant les pires choses qui auraient pu lui arriver et je sors mon téléphone en désespoir de cause pour l'appeler. Les mains tremblantes, je prie intérieurement pour que sa voix résonne mais rien, juste les bips angoissants, signe qu'il ne répondra pas. Une fois de plus, un tas de scénarios plus horribles les uns que les autres me montent à la tête et je me laisse glisser contre un mur, essayant désespérément de l'appeler, suppliant pour qu'il réponde.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mar 23 Juin - 12:11 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Je ne fais pas parti de ces élèves qui sont un exemple pour l'éducation. Le plus clair de mon temps, je le passe surement sous le capot d'une voiture et non dans une salle de classe. Pourquoi s'ennuyer alors que l'on peut faire ce que l'on a envie de faire sans même avoir besoin de diplôme sérieusement ? Ma journée avait donc été faite d'huile, de moteur et de suspensions à gogo, alors que ma tête, quand à elle était bel et bien ailleurs. Difficile de ne pas savoir vers où mes pensées se sont dirigées. Pour la première fois de ma vie, il me tarder qu'une chose, c'était de retourner au dortoir pour voir la gueule d'ange du petit chinois. C'est donc à grande vitesse que j'ai commencé à ranger l'intérieur du garage pour ainsi lui dire adieu jusqu'à ma prochaine visite. Je pris le portable dans mes mains et envoya un message à mon cadet, lui demandant de me rejoindre au dortoir, cependant, je me doutais bien que la formulation de mon message allait évidemment le mettre en panique, ce qui au fond, m'amuser légèrement. Comme à mon habitude, j'aimai me jouer de lui et de ses petites peurs habituelles, mais jamais je ne dépasserai les limites. Si je lui avais donner ce rendez-vous, c'était bien parce que j'avais une idée derrière la tête, mais bien sûr, avec mon esprit tordu, on pouvait s'attendre à tout. Une fois au volant de mon véhicule, je pris soin de conduire prudemment jusqu'à ma destination, respectant sagement le code de la route, hors cela ne faisait pas vraiment parti de ma personnalité, habituellement du moins. J'étais plutôt du genre à foncer, griller les feux et les céder le passage, juste par amour de la vitesse, mais aujourd'hui, je n'en avais pas envie, tout simplement.
Après quelques minutes de route et un arrêt soudain dans une boulangerie, j'arrivai enfin au pied du dortoir. Le temps de prendre la boite de pâtisseries ainsi que mes affaires et je rejoins l'ascenseur pour retrouver la fraicheur de la chambre, qui me servait actuellement de toit. C'est tout en souriant et en soufflant qu'après la sortie de cette machine montante que j’aperçus la porte déjà ouverte. Évidemment, ça ne pouvait être que le jeune chinois qui eu un tel manque d'inattention. Je m'avançai donc vers la porte et entra finalement sans même frapper, ni prévenir de mon arriver. « T'oublies toujours de fermé les portes, c'est une maladie chez toi ? » dis-je en déposant la boite de pâtisseries sur le bureau et me tournant vers le principal intéresser. A ma grande surprise, il n'avait pas l'air très bien, je savais que mon message allait lui faire peur, mais certainement pas à ce point. Je balançai donc mes affaires sur le lit avant de m'avancer vers lui pour le prendre dans mes bras. « T'as vu un fantôme chaton ? Je suis là, ça va aller.. » Je n'étais pas des plus rassuré, au final, je me suis soudainement mis à m'inquiéter pour lui alors qu'il était dans mes bras. Ma blague avait été de mauvais gout et il allait me le faire payer, cependant, j'avais quelque chose pour me faire pardonner et ça, il en jugera de lui même durant les prochaines minutes. « T'as pas le droit de m'en vouloir pour mes messages, même si t'as eu peur. » annonçais-je tout en déposant un baiser sur son front.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mar 23 Juin - 16:30 Citer EditerSupprimer
T
out ça est nouveau pour moi et je découvre chaque jour un peu plus ce que signifie la vie de couple. Avant tout ça je n'étais jamais allé plus loin que de simples baisers échangés au cours de soirées, mais ils étaient vides de tous sentiments. La plupart du temps ce n'était même pas moi qui les engageait d'ailleurs, mais plutôt certaines filles qui m'avaient vu dans des magazines. Nathys était le seul qui donnait un sens à ces baisers et à tout le reste, d'ailleurs il est le seul homme que j'ai embrassé. J'ai toujours été très tactile, j'ai cette mauvaise habitude de sans cesse demander des câlins, de chercher à glisser ma main dans celle de quelqu'un d'autre et au moins avec lui j'ai le droit à ma dose quotidienne d'affection et surtout, je ne dors plus seul. Pour faire simple, je me sens bien avec lui et je n'ai besoin de rien de plus, sa simple présence me suffit largement. Pourtant je m'inquiète toujours, j'ai peur que tout ça s'arrête du jour au lendemain, que mon aîné s'éloigne or je n'en ai vraiment pas envie. Tout ne se passe pas toujours parfaitement bien et de temps en temps il y a quelques tensions qui m'angoissent bien trop et je sais bien que c'est de ma faute, parce que trop souvent je ne parviens pas à le comprendre et je ne sais pas quoi faire mais heureusement jusque là tous ces petits problèmes ont vite disparus. Seulement voilà, j'ai l'impression que ce soir ce ne sera pas le cas. Ses messages me terrifient, il semble vraiment en colère et je ne peux pas m'empêcher de m'imaginer la dispute qui risque d'exploser très bientôt.
Je n'ai vraiment pas envie de perdre le contrôle une fois de plus devant lui, parce que même s'il parvient toujours à me calmer, j'ai peur de faire une grosse bêtise avant qu'il ne réussisse. Mais là impossible de partir en crise de colère, puisque je suis seul dans la chambre. Ce n'est pas normal, il devrait déjà être là et en plus il ne répond pas au téléphone. Je me sens déjà devenir dingue et continue d'essayer de l'appeler mais il ne décroche pas, alors je me redresse et fais les cent pas dans la pièce, mon portable toujours appuyé contre mon oreille dans l'espoir d'une réponse, mais rien. Je suis tellement concentré sur le bip incessant qui résonne dans mes tympans que je ne l'entend même pas arriver et sursaute à l'entente de sa voix derrière moi. Rapidement, je me tourne pour lui faire face avant de raccrocher et balancer mon téléphone plus loin pour me jeter dans ses bras et le serrer fort contre moi. Si j'ai vu un fantôme ? C'est presque le cas tant je m'imaginais le pire. « T'étais passé où ? C'est quoi tout ça, dis moi ce qui ne va pas ! » Ma voix est encore tremblante et je l'observe avec attention pour essayer de comprendre ce qui ne va pas. Bien sur que si j'ai le droit de lui en vouloir, il m'inquiète et me laisse sans réponse ! Je me recule légèrement sans le quitter des yeux. « S'il te plait explique moi, je comprend pas.. » Je ne suis pas vraiment prêt à vivre une dispute mais si c'est ce qu'il veut je resterais là à l'écouter sans me plaindre.
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out ça est nouveau pour moi et je découvre chaque jour un peu plus ce que signifie la vie de couple. Avant tout ça je n'étais jamais allé plus loin que de simples baisers échangés au cours de soirées, mais ils étaient vides de tous sentiments. La plupart du temps ce n'était même pas moi qui les engageait d'ailleurs, mais plutôt certaines filles qui m'avaient vu dans des magazines. Nathys était le seul qui donnait un sens à ces baisers et à tout le reste, d'ailleurs il est le seul homme que j'ai embrassé. J'ai toujours été très tactile, j'ai cette mauvaise habitude de sans cesse demander des câlins, de chercher à glisser ma main dans celle de quelqu'un d'autre et au moins avec lui j'ai le droit à ma dose quotidienne d'affection et surtout, je ne dors plus seul. Pour faire simple, je me sens bien avec lui et je n'ai besoin de rien de plus, sa simple présence me suffit largement. Pourtant je m'inquiète toujours, j'ai peur que tout ça s'arrête du jour au lendemain, que mon aîné s'éloigne or je n'en ai vraiment pas envie. Tout ne se passe pas toujours parfaitement bien et de temps en temps il y a quelques tensions qui m'angoissent bien trop et je sais bien que c'est de ma faute, parce que trop souvent je ne parviens pas à le comprendre et je ne sais pas quoi faire mais heureusement jusque là tous ces petits problèmes ont vite disparus. Seulement voilà, j'ai l'impression que ce soir ce ne sera pas le cas. Ses messages me terrifient, il semble vraiment en colère et je ne peux pas m'empêcher de m'imaginer la dispute qui risque d'exploser très bientôt.
Je n'ai vraiment pas envie de perdre le contrôle une fois de plus devant lui, parce que même s'il parvient toujours à me calmer, j'ai peur de faire une grosse bêtise avant qu'il ne réussisse. Mais là impossible de partir en crise de colère, puisque je suis seul dans la chambre. Ce n'est pas normal, il devrait déjà être là et en plus il ne répond pas au téléphone. Je me sens déjà devenir dingue et continue d'essayer de l'appeler mais il ne décroche pas, alors je me redresse et fais les cent pas dans la pièce, mon portable toujours appuyé contre mon oreille dans l'espoir d'une réponse, mais rien. Je suis tellement concentré sur le bip incessant qui résonne dans mes tympans que je ne l'entend même pas arriver et sursaute à l'entente de sa voix derrière moi. Rapidement, je me tourne pour lui faire face avant de raccrocher et balancer mon téléphone plus loin pour me jeter dans ses bras et le serrer fort contre moi. Si j'ai vu un fantôme ? C'est presque le cas tant je m'imaginais le pire. « T'étais passé où ? C'est quoi tout ça, dis moi ce qui ne va pas ! » Ma voix est encore tremblante et je l'observe avec attention pour essayer de comprendre ce qui ne va pas. Bien sur que si j'ai le droit de lui en vouloir, il m'inquiète et me laisse sans réponse ! Je me recule légèrement sans le quitter des yeux. « S'il te plait explique moi, je comprend pas.. » Je ne suis pas vraiment prêt à vivre une dispute mais si c'est ce qu'il veut je resterais là à l'écouter sans me plaindre.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mar 23 Juin - 16:58 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Je voue une véritable addiction à ce gosse, ça en devient presque grave. Je n'ai jamais imaginer le fait qu'il puisse s'inquiéter autant pour moi, je savais évidemment que mes messages étaient plutôt inquiétant, mais pas à ce point là donc pourquoi réagir de cette façon ? Il était paniqué et curieux de savoir ce qui n'allait pas, ce qui logique. Je ne voulais juste pas lui répondre dès maintenant, je laissai les choses se faire et bien qu'il allait me le faire payer, au final, ça ne sera qu'un mal pour un bien, enfin surtout pour lui. Je venais à saisir l'une de ses mains avant de l'attirer jusqu'au lit pour le faire assoir sur ce dernier, suite à quoi, je viens à lui tourner le dos pour attraper la boite de pâtisseries pour la glisser sous son nez. « Tiens, mange, ça sera mieux que t'inquiéter pour rien. » dis-je en ouvrant la boite. Je le laissai là, abandonné face à la boite en carton pour observer les alentours de la chambre avec grande attention. Apparemment, aucun des colocataires n'avait foutu un pied ici depuis leurs départs ce matin, ce qui est plutôt rassurant. « Bien. Maintenant on va parler sérieusement toi et moi. » Je me tourne à nouveau vers lui et le rejoint finalement sur le lit, posant mes fesses à côtés des siennes tout en piquant l'une des pâtisseries. « T'as fais quoi aujourd'hui ? T'es resté en cours toute la journée ? T'avais pas une heure de libre ? » Commissaire Ahn en action, simple curiosité ? Surement, j'avais bel et bien quelques choses à confirmé dans ma petite tête, sinon pourquoi gaspillerai-je ma salive avec toutes ses questions ? « T'es calmé ? Ou tu flippes encore pour rien ? J'ai drois à un bisou ou je peux toujours attendre et crever sur le lit comme un idiot ? » Je venais à déposer mes lèvres sur sa petite joue avant de croquer la fine pâtisserie que j'avais pris soin de choisir parmi ses autres camarades encore dans la boite cartonnée. Mes yeux fixaient toujours autant la surface de la chambre, observant si quelques choses avait bouger durant mon absence, hors cela n'avait pas l'air d'être le cas, donc plus de peur que de mal. Une fois cette fameuse pâtisserie engloutit, ma tête se tourna immédiatement face à mon cadet, souriant grandement mais tout aussi bêtement avant de pointé l'armoire de mon doigt. « Y a une boule de poil toute blanche à l'intérieur qui t'attend depuis le début de l'après midi, mais bien sûr, j'allais pas venir te cherché en plein cours pour te le donner, donc, j'ai du le cacher avant quelqu'un essaye de te le voler, il te reste qu'à choisir un nom aussi idiot que toi et ça sera parfait ! » Un léger pic final, mais bien évidemment, cela rester un gage plein d'amour, sinon, pourquoi avoir fait tout ça.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mar 23 Juin - 22:01 Citer EditerSupprimer
L
e fait de l'avoir face à moi suffit à me rassurer partiellement, en fait sa simple présence m'apaise. Cependant je n'arrive même pas à sourire, encore trop angoissé par ses messages et la dispute qui ne va pas tarder à arriver. Je ne demande qu'à comprendre ce que j'ai fait de mal pour pouvoir rapidement corriger mes erreurs et tenter de me faire pardonner, mais j'ignore s'il va m'expliquer même si je l'espère sincèrement. L'ambiance est horrible, mon coeur cogne fort contre ma cage thoracique et mes dents mordent nerveusement ma lèvre inférieure. Finalement il prend ma main et me fait asseoir sur le lit et je m'exécute sans broncher. Toujours silencieux, je prend la boite de pâtisseries mais n'en mange aucune, déjà à cause de mon régime très stricte, mais surtout parce que je suis bien trop stressé pour pouvoir avaler quoi que ce soit. Les yeux rivés au sol je n'ose pas parler ou bouger, hochant à peine la tête lorsqu'il m'annonce que l'heure de la discussion à sonné. Ses questions m'intriguent et je ne comprend pas trop où il veut en arriver. Pourquoi veut-il savoir tout ça ? Je n'y comprend rien. « Hm j'étais en cours toute la journée et quand je suis sorti j'ai dû aller au travail pour préparer des trucs..» Je ne sais pas mentir et il en est parfaitement conscient, il peut être certain que ce que j'ai dit était la vérité. Mais ses nouvelles paroles m'intriguent de nouveau. Pour rien ? Il se trompe, j'ai toutes les raisons du monde d'avoir peur mais une fois de plus je me tais et pose timidement mes lèvres sur les siennes avant de bien vite me remettre à fixer le sol.
Finalement je relève la tête en sentant son regard posé sur moi et fixe sans comprendre l'armoire quand il me la montre du doigt. Je m'imagine déjà qu'il va me dire de prendre mes affaires pour partir de cette chambre et stresse un peu plus encore. Lorsqu'il reprend la parole, je l'interroge du regard, ne comprenant absolument pas tout ce que cela signifie. Est-ce que c'est réellement ce que je crois ? « Qu'est ce que tu veux dire.. » Sans attendre de réponse je me relève et ouvre lentement l'armoire avant de voir un petit chien endormi sur ma pile de vêtements. Sans attendre une seule seconde de plus j'attrape le petit animal pour lui faire un gros câlin « Il est trop beaauuuuu ! » puis, après vérification. « Han c'est une fille ! Elle est vraiment pour moi ? Pour de vrai ? » Toutes mes craintes disparaissent pour laisser place à une surdose de bonheur et après avoir passé quelques secondes à observer le chiot, je le pose doucement au sol avant de rapidement rejoindre Nathys et me jeter à son cou le faisant tomber allongé sur le lit pour pouvoir l'attaquer de bisous, l'écrasant au passage. « Merci merci merci c'est le meilleur cadeau du monde et toi tu es le meilleur ! » Toute la tension redescend et je suis tellement soulagé que j'en pleurerais presque. Je l'observe un instant avant de l'embrasser une fois encore, cette fois-ci avec beaucoup plus de passion et d'amour. « Merci, je t'aime »
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• #N A Y I •
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e fait de l'avoir face à moi suffit à me rassurer partiellement, en fait sa simple présence m'apaise. Cependant je n'arrive même pas à sourire, encore trop angoissé par ses messages et la dispute qui ne va pas tarder à arriver. Je ne demande qu'à comprendre ce que j'ai fait de mal pour pouvoir rapidement corriger mes erreurs et tenter de me faire pardonner, mais j'ignore s'il va m'expliquer même si je l'espère sincèrement. L'ambiance est horrible, mon coeur cogne fort contre ma cage thoracique et mes dents mordent nerveusement ma lèvre inférieure. Finalement il prend ma main et me fait asseoir sur le lit et je m'exécute sans broncher. Toujours silencieux, je prend la boite de pâtisseries mais n'en mange aucune, déjà à cause de mon régime très stricte, mais surtout parce que je suis bien trop stressé pour pouvoir avaler quoi que ce soit. Les yeux rivés au sol je n'ose pas parler ou bouger, hochant à peine la tête lorsqu'il m'annonce que l'heure de la discussion à sonné. Ses questions m'intriguent et je ne comprend pas trop où il veut en arriver. Pourquoi veut-il savoir tout ça ? Je n'y comprend rien. « Hm j'étais en cours toute la journée et quand je suis sorti j'ai dû aller au travail pour préparer des trucs..» Je ne sais pas mentir et il en est parfaitement conscient, il peut être certain que ce que j'ai dit était la vérité. Mais ses nouvelles paroles m'intriguent de nouveau. Pour rien ? Il se trompe, j'ai toutes les raisons du monde d'avoir peur mais une fois de plus je me tais et pose timidement mes lèvres sur les siennes avant de bien vite me remettre à fixer le sol.
Finalement je relève la tête en sentant son regard posé sur moi et fixe sans comprendre l'armoire quand il me la montre du doigt. Je m'imagine déjà qu'il va me dire de prendre mes affaires pour partir de cette chambre et stresse un peu plus encore. Lorsqu'il reprend la parole, je l'interroge du regard, ne comprenant absolument pas tout ce que cela signifie. Est-ce que c'est réellement ce que je crois ? « Qu'est ce que tu veux dire.. » Sans attendre de réponse je me relève et ouvre lentement l'armoire avant de voir un petit chien endormi sur ma pile de vêtements. Sans attendre une seule seconde de plus j'attrape le petit animal pour lui faire un gros câlin « Il est trop beaauuuuu ! » puis, après vérification. « Han c'est une fille ! Elle est vraiment pour moi ? Pour de vrai ? » Toutes mes craintes disparaissent pour laisser place à une surdose de bonheur et après avoir passé quelques secondes à observer le chiot, je le pose doucement au sol avant de rapidement rejoindre Nathys et me jeter à son cou le faisant tomber allongé sur le lit pour pouvoir l'attaquer de bisous, l'écrasant au passage. « Merci merci merci c'est le meilleur cadeau du monde et toi tu es le meilleur ! » Toute la tension redescend et je suis tellement soulagé que j'en pleurerais presque. Je l'observe un instant avant de l'embrasser une fois encore, cette fois-ci avec beaucoup plus de passion et d'amour. « Merci, je t'aime »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mer 24 Juin - 18:03 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
J'avais pas demander à l'aimer. Je me suis pas dis un matin, en me levant que ça allait être lui mon prochain mec, non. Ca m'est tomber sur le coin de la gueule, sans même que je ne m'en rende compte, peut être même comme lui en fait, cela dit, j'avoue avoir été fourbe une fois avoir réalisé que j'avais des sentiments pour lui. Jouer le jeu du meneur, le dominer et l'ordonner de rester avec moi, tout ça par simple possession et par amour, c'était plutôt mâlin venant de moi qui, habituellement suis plutôt direct comme mec. Hors, avec lui c'était pas comme avec les autres, il avait ce petit quelque chose en plus, certainement sa petite histoire qui a réussi à faire sauter l'armure forgé de mon coeur, allez savoir. Je ne l'aime pas par pitié, loin de là, je l'aime parce qu'il n'est pas traité comme il le devrait, je l'aime parce qu'il a un côté idiot et naïf qui cache une part de rebelle en lui, je l'aime parce qu'il est comme il est, simplement. J'essaye de lui offrir tout le bonheur qu'il n'a pu avoir durant toutes ces années, un cadeau par-ci, un câlin par là, ce ne sont des gestes faibles, mais qui progressivement, je l'espère, lui feront comprendre qu'il est la personne qui compte le plus à mes yeux désormais et que je ne laisserai personne me l'enlever. Au fond, il était peut être la seule personne à me faire sourire et aimer autant. Je n'ai jamais été un gentil garçon et ça, tout le monde le sait malheureusement, cependant, l'avoir à mes côtés change ma petite personnalité, du moins envers lui et pour lui seulement, cela dit si l'on cherche à lui faire du mal, je ne répondrais plus de mes moyens, cela me parait évident.
Sa réaction était plutôt bonne, pour ne pas dire explosive, mais dans le bon sens du terme. Le voir si heureux me rendait également heureux et souriant. Il voulait un chien depuis tellement longtemps qu'à force, j'avais bien été obliger de céder à son petit caprice, il faut juste espérer qu'il ne l'abandonne pas dans quelques jours pour une nouvelle lubie, ça serait vraiment dommage. Sans que je ne comprenne pourquoi ni comment, je me suis retrouver allongé sur le lit avec un faible poids sur moi. Inutile de préciser que son élan de bonheur avait fait de moi son second matelas. « J'en conclu donc que ce chien, ou plutôt cette petite chienne fait de toi un petit bonhomme bien comblé ? » dis-je tout en suivant d'un doux sourire, montrant ainsi à mon tour le bonheur que je pouvais avoir face au sien. Malheureusement, ou heureusement, ce sourire fut directement retiré de mes lèvres au moment où il décida de m'embrasser assez passionnément. Plutôt surpris, j'ai pas réellement calculer, mais après une légère seconde à cligner des yeux comme un idiot, je pris clairement les devants pour répondre à son baiser, mais encore une fois, il réussit à me prendre de cours. « T'as dis quoi là ? » Je t'aime ? Il l'avait vraiment dit ou je l'avais clairement rêver ? Bang Yibo, dire son premier je t'aime aussi soudainement ? Pas possible. J'ai pas bu aujourd'hui, j'ai rien fumer non plus donc, ça ne peut qu'être vrai. Un sourire idiot prit place sur mon visage avant que ma main ne glisse sur sa joue pour revenir l'embrasser amoureusement durant quelques secondes. « Je devrais te faire des cadeaux plus souvent pour entendre ça.. » chuchotais-je contre ses lèvres avant de déposer un ultime baiser sur le bout de son nez.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Jeu 25 Juin - 0:29 Citer EditerSupprimer
U
n chien. Un vrai chien, rien que pour moi. J'en rêvais depuis toujours mais dès que je pensais à m'en acheter un, on me disait que ce n'était pas une bonne idée, que je n'étais pas encore assez mature pour m'en occuper parce que je n'arrivais même pas à prendre soin de moi-même. Mais maintenant c'est bon, j'ai enfin mon propre petit chiot et en plus, c'est un cadeau de Nathys. Franchement je ne pouvais pas demander mieux. Je ne suis pas du genre à toujours réclamer des cadeaux, de simples marques d'affection comme un câlin me suffisent largement, il faut dire qu'avec la vie que j'ai vécu il m'est impossible d'être matérialiste. Je n'ai besoin de rien venant de mon copain, simplement de sa présence qui suffit à me rendre heureux. Mais bien sûr, je ne vais quand même pas refuser son cadeau ! J'espère simplement qu'il ne s'est pas senti obligé de me l'offrir uniquement parce qu'il m'a entendu plus d'une fois dire que j'aimerais vraiment avoir un chien. Si lui n'en veut pas alors je lui dirais de le ramener, je ne veux pas le forcer à vivre avec un animal qu'il ne supporte pas. Mais de toute façon ce n'est pas important pour le moment et après quelques secondes à câliner ce petit animal, mon attention se focalise de nouveau sur mon aîné que je couvre de bisous en le serrant fort dans mes bras sans vraiment penser au fait que je pourrais l'écraser, même si je ne suis pas bien gros. Ce n'est qu'après quelques secondes de joie semblable à celles des enfants le jour de noël que je me calme enfin et lui offre un baiser contenant tout mon amour pour lui avant d'appuyer ce geste avec mes mots. Si jusque là je ne lui avait jamais dit que je l'aimais, c'était uniquement parce que j'avais peur de me tromper. En vingt ans de vie je n'ai jamais connu d'amour et j'ignorais si ce que je ressentais pour mon aîné était bien ce sentiment.
Mais maintenant je n'ai plus aucun doute, je n'ai jamais ressenti quelque chose de semblable envers quelqu'un d'autre et je peux affirmer sans hésiter que Nathys est la personne qui compte le plus à mes yeux, je pense que c'est ça l'amour. Seulement, sa réaction me fait un peu peur. Peut-être que je n'aurais pas du dire ça, peut-être que c'est trop tôt ou tout simplement qu'il ne veut pas entendre de telles paroles. Gêné, je baisse les yeux, sentant mes joues devenir rouges. Je ne voulais vraiment pas gâcher ce moment mais finalement il retrouve le sourire et m'embrasse à son tour et je répond immédiatement à cet échange. Sa remarque me fait légèrement rire et je secoue la tête avant de me redresser pour me retrouver assis à califourchon sur son bassin, glissant mes mains dans les siennes. « J'ai pas besoin de cadeaux pour le dire, tu dois juste promettre de ne plus jamais envoyer des messages comme ça d'accord ? Tu m'as fait peur, j'ai cru que quelque chose de grave était arrivé.. » Une de mes mains se détache de la sienne et je laisse mes doigts pianoter sur son torse, regardant de temps en temps le chiot au pied du lit qui nous fixe. Soupirant, j'attrape doucement le col du haut de Nathys pour l'inciter à s'asseoir mais je ne décolle pas pour autant mes fesses de ses cuisses, restant à califourchon en souriant légèrement une fois qu'il se tient face à moi. « Qu'est-ce que je deviendrais sans toi ? Je veux plus jamais devoir imaginer le pire à cause d'une blague hyung, c'est vraiment pas drôle » J'agite légèrement la tête pour me débarrasser de ces idées noires et enroule mes bras autour de son cou pour sceller une fois de plus nos lèvres en souriant. « Je t'aime vraiment tu sais, tu veux bien.. passer la soirée avec moi ? Enfin sauf si tu dois sortir.. »
❝ And it's like in a mirror, my mirror staring back at me
• N A Y I •
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n chien. Un vrai chien, rien que pour moi. J'en rêvais depuis toujours mais dès que je pensais à m'en acheter un, on me disait que ce n'était pas une bonne idée, que je n'étais pas encore assez mature pour m'en occuper parce que je n'arrivais même pas à prendre soin de moi-même. Mais maintenant c'est bon, j'ai enfin mon propre petit chiot et en plus, c'est un cadeau de Nathys. Franchement je ne pouvais pas demander mieux. Je ne suis pas du genre à toujours réclamer des cadeaux, de simples marques d'affection comme un câlin me suffisent largement, il faut dire qu'avec la vie que j'ai vécu il m'est impossible d'être matérialiste. Je n'ai besoin de rien venant de mon copain, simplement de sa présence qui suffit à me rendre heureux. Mais bien sûr, je ne vais quand même pas refuser son cadeau ! J'espère simplement qu'il ne s'est pas senti obligé de me l'offrir uniquement parce qu'il m'a entendu plus d'une fois dire que j'aimerais vraiment avoir un chien. Si lui n'en veut pas alors je lui dirais de le ramener, je ne veux pas le forcer à vivre avec un animal qu'il ne supporte pas. Mais de toute façon ce n'est pas important pour le moment et après quelques secondes à câliner ce petit animal, mon attention se focalise de nouveau sur mon aîné que je couvre de bisous en le serrant fort dans mes bras sans vraiment penser au fait que je pourrais l'écraser, même si je ne suis pas bien gros. Ce n'est qu'après quelques secondes de joie semblable à celles des enfants le jour de noël que je me calme enfin et lui offre un baiser contenant tout mon amour pour lui avant d'appuyer ce geste avec mes mots. Si jusque là je ne lui avait jamais dit que je l'aimais, c'était uniquement parce que j'avais peur de me tromper. En vingt ans de vie je n'ai jamais connu d'amour et j'ignorais si ce que je ressentais pour mon aîné était bien ce sentiment.
Mais maintenant je n'ai plus aucun doute, je n'ai jamais ressenti quelque chose de semblable envers quelqu'un d'autre et je peux affirmer sans hésiter que Nathys est la personne qui compte le plus à mes yeux, je pense que c'est ça l'amour. Seulement, sa réaction me fait un peu peur. Peut-être que je n'aurais pas du dire ça, peut-être que c'est trop tôt ou tout simplement qu'il ne veut pas entendre de telles paroles. Gêné, je baisse les yeux, sentant mes joues devenir rouges. Je ne voulais vraiment pas gâcher ce moment mais finalement il retrouve le sourire et m'embrasse à son tour et je répond immédiatement à cet échange. Sa remarque me fait légèrement rire et je secoue la tête avant de me redresser pour me retrouver assis à califourchon sur son bassin, glissant mes mains dans les siennes. « J'ai pas besoin de cadeaux pour le dire, tu dois juste promettre de ne plus jamais envoyer des messages comme ça d'accord ? Tu m'as fait peur, j'ai cru que quelque chose de grave était arrivé.. » Une de mes mains se détache de la sienne et je laisse mes doigts pianoter sur son torse, regardant de temps en temps le chiot au pied du lit qui nous fixe. Soupirant, j'attrape doucement le col du haut de Nathys pour l'inciter à s'asseoir mais je ne décolle pas pour autant mes fesses de ses cuisses, restant à califourchon en souriant légèrement une fois qu'il se tient face à moi. « Qu'est-ce que je deviendrais sans toi ? Je veux plus jamais devoir imaginer le pire à cause d'une blague hyung, c'est vraiment pas drôle » J'agite légèrement la tête pour me débarrasser de ces idées noires et enroule mes bras autour de son cou pour sceller une fois de plus nos lèvres en souriant. « Je t'aime vraiment tu sais, tu veux bien.. passer la soirée avec moi ? Enfin sauf si tu dois sortir.. »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Jeu 25 Juin - 16:28 Citer EditerSupprimer
i'm looking right at the other half of me
#NAYI
Son sourire suffisait à mon bonheur, le voir si heureux pour une si petite chose était vraiment beau à voir. Je savais que sa vie n'avait pas été si douce et remplit d'amour comme beaucoup d'autre personnes et même si cela arrive plutôt tardivement, c'est plutôt rassurant de le voir heureux, malgré qu'il puisse parfois avoir la tête avec ses démons, ça ne reste que faiblement temporaire, donc rien de bien méchant. Au final, on c'était plutôt bien trouvé, tous deux torturés durant notre jeunesse, on a finit par être liés grâce à notre passé plutôt chaotique, ce qui facilite la compréhension au sein de notre relation, pas besoin de demander pourquoi l'un ne va pas bien, cela parait évident en croisant le regard de l'autre. Je n'avais pas à me plaindre, bien que je sais qu'il peut parfois être très capricieux et chiant, il reste un garçon attendrissant qui cache beaucoup de petits secrets très intéressant au fond de sa petite personne, ce qui bien entendu me force à creuser de temps en temps pour découvrir ce genre de choses sans que ça ne soit trop violent car la douceur, je connais pas forcément. Comme quoi, qui se ressemble, s'assemble. Bien qu'au fond, on soit plutôt différent, il n'y a que nos histoires qui soient réellement semblables.
Aujourd'hui, je n'ai pas vraiment besoin de me poser des questions, l'aimer est une véritable évidence pour moi. C'est lui que je veux, lui et personne d'autre et jamais, au grand jamais je ne laisserai quelqu'un me l'arracher, cela dit, c'est aux risques et périls de la personne, pas sûr qu'il ou elle revoit la lumière du jour par la suite. Blague à part, qui aurait cru que j'aurais un attachement si fort pour un gosse comme lui ? Personne. Moi qui suis de nature volage, à picoré à droite et à gauche pour tester un nouveau pâturage, le fait d'être désormais accrocher à sa petite personne peut en surprendre plus d'un. La fidélité n'a jamais réellement fait parti de moi, cependant, étant maintenant lié au jeune chinois, je n’éprouve aucunement l'envie d'aller voir ailleurs, ce qui est plutôt bizarre. Aurait-il réussi à dompté la bête en si peu de temps ? Peut être que oui, sinon je n'aurais pas ce changement soudain d'attitude, surtout que beaucoup savent que mon envie de visité le fessier des autres est constamment présent, du moins avoir d'avoir Yibo à mes côtés. Donc, on parle là d'un changement radical grâce à un jeune chinois fourbe. Évidemment.
Pourquoi avait-il un tel effet sur moi ? Pourquoi son sourire me faisait sourire à mon tour comme un idiot. Pourquoi chacun de mes gestes étaient doux et tendres ? Mes mains glissaient délicatement sur ses hanches, le maintenant fermement sur moi pour lui éviter de tomber alors qu'habituellement, si ça serait un autre, j'en aurais strictement rien à faire. Je l'observais longuement, buvant chacun de ses mots tout en profitant de son blabla pour détailler chaque trait de visage avant qu'il ne me redresse pour s'adresser à nouveau à moi. Ce geste venait à me ramener à la raison, m'occupant à nouveau de lui plutôt que de fantasmer sur sa petite personne. J'étais plutôt chanceux de l'avoir au final et j'en prenais conscience de jour en jour. « Plus de mauvaise blague au bébé, promis ! » Un baiser de voler avant de rire face à sa proposition suivante, ou plutôt face à son attitude. Il voulait clairement oublier ma mauvaise blague, mais aussi ses mauvaises pensées, ce que je comprenais, mes bras venaient alors l'entouré fermement, le serrant progressivement contre moi avant de nicher mon visage au creux de son cou, humant son parfum et déposant mes lèvres sur sa peau à multiples reprises. « J'avais une course de prévue, mais c'est pas forcément important, donc autant profiter de toi, puis ça me fera pardonner mes vilains messages. » Mes mots étaient suivis par une légère morsure, rien de bien méchant, mais assez forte pour y laisser une petite marque. Fier de mon petit tour, ma langue glissa rapidement sur cette petite marque comme pour atténué la faible douleur avant que je ne reporte mon attention sur ses lèvres, l'instant de quelques secondes avant de chuchoté à nouveau contre elles. « Je t'aime. »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Jeu 25 Juin - 18:21 Citer EditerSupprimer
J
e ne suis pas très fier de lui demander de rester. J'ai vraiment l'impression de n'être qu'un gamin égoïste mais je n'ai pas pu m'empêcher de lui poser la question. J'adore être dans ses bras, sentir son parfum m'envahir et me laisser bercer par sa voix si apaisante. On me dit souvent que je suis beaucoup trop tactile, que je réclame bien trop souvent des câlins mais c'est plus fort que moi, c'est un besoin nécessaire à mon bien-être. Une seule journée sans un peu d'affection me déprime et j'ai peur qu'à force, ce trait de mon caractère finisse par énerver Nathys. Pourtant quand je vois des couples dans la rue ou à la télé, ils sont toujours en train de se tenir la main ou de s'embrasser, alors je me dis que c'est quelque chose de normal après tout. Pour le moment en tout cas, mon aîné ne semble pas dérangé par mon trop plein d'amour et j'en profite au maximum sans hésiter. Même si à présent nous vivons dans la même chambre, rares sont les moments où nous pouvons être au calme tous les deux et j'apprécie chaque instant, là, installé sur ses cuisses alors que ses lèvres chatouillent mon cou, me faisant frissonner et sourire. J'attend sa réponse, quelque peu stressé à l'idée qu'il refuse mais finalement il m'affirme qu'il restera même s'il avait quelque chose de prévu. Mon sourire s'agrandit alors et je sursaute en sentant ses dents pincer ma peau, couinant légèrement à cause de la surprise.
Mes lèvres s'étirent une fois de plus à l'entente de ses derniers mots et je l'embrasse une fois de plus, totalement accro à ses lippes. Mes mains glissent sur son torse et je me penche un peu plus en avant pour l'inciter à se rallonger sur le matelas sans briser ce baiser que j'approfondis sans même m'en rendre compte, laissant ma langue jouer avec la sienne avant de reculer pour pouvoir respirer convenablement, quelque peu gêné par ce geste entreprenant que je n'avais pas l'habitude d'offrir. Bien trop timide et inexpérimenté, rares étaient les fois où je me laissais aller de la sorte. « Je t'aime encore plus hyung » Encore gêné par mon geste, je cache mon visage dans son cou et y dépose de petits bisous, m'allongeant de nouveau sur lui. « Si tu as quelque chose de prévu vas y c'est pas grave, je me débrouillerais tout seul je suis grand tu sais.. » Je n'ai pas envie qu'il se sente forcé de rester, même si j'ai vraiment envie de passer la soirée avec lui et que je déteste le fait qu'il fasse des courses. C'est dangereux et ça me fait bien trop peur, mais je ne dis rien à ce sujet, après tout je n'ai pas le droit de lui dire d'arrêter. « Tu ferais mieux de te préparer, tu vas être en retard sinon » Soupirant, je me redresse pour ne plus l'écraser et prend le chiot dans mes bras, triste de ne pas pouvoir passer la soirée avec Nathys mais j'affiche tout de même un petit sourire pour lui montrer que ce n'est pas grave. Je fixe alors mon petit animal, caressant sa tête. « Eh bien petite boule de poils, ce soir on va être tout seuls je crois »
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J
e ne suis pas très fier de lui demander de rester. J'ai vraiment l'impression de n'être qu'un gamin égoïste mais je n'ai pas pu m'empêcher de lui poser la question. J'adore être dans ses bras, sentir son parfum m'envahir et me laisser bercer par sa voix si apaisante. On me dit souvent que je suis beaucoup trop tactile, que je réclame bien trop souvent des câlins mais c'est plus fort que moi, c'est un besoin nécessaire à mon bien-être. Une seule journée sans un peu d'affection me déprime et j'ai peur qu'à force, ce trait de mon caractère finisse par énerver Nathys. Pourtant quand je vois des couples dans la rue ou à la télé, ils sont toujours en train de se tenir la main ou de s'embrasser, alors je me dis que c'est quelque chose de normal après tout. Pour le moment en tout cas, mon aîné ne semble pas dérangé par mon trop plein d'amour et j'en profite au maximum sans hésiter. Même si à présent nous vivons dans la même chambre, rares sont les moments où nous pouvons être au calme tous les deux et j'apprécie chaque instant, là, installé sur ses cuisses alors que ses lèvres chatouillent mon cou, me faisant frissonner et sourire. J'attend sa réponse, quelque peu stressé à l'idée qu'il refuse mais finalement il m'affirme qu'il restera même s'il avait quelque chose de prévu. Mon sourire s'agrandit alors et je sursaute en sentant ses dents pincer ma peau, couinant légèrement à cause de la surprise.
Mes lèvres s'étirent une fois de plus à l'entente de ses derniers mots et je l'embrasse une fois de plus, totalement accro à ses lippes. Mes mains glissent sur son torse et je me penche un peu plus en avant pour l'inciter à se rallonger sur le matelas sans briser ce baiser que j'approfondis sans même m'en rendre compte, laissant ma langue jouer avec la sienne avant de reculer pour pouvoir respirer convenablement, quelque peu gêné par ce geste entreprenant que je n'avais pas l'habitude d'offrir. Bien trop timide et inexpérimenté, rares étaient les fois où je me laissais aller de la sorte. « Je t'aime encore plus hyung » Encore gêné par mon geste, je cache mon visage dans son cou et y dépose de petits bisous, m'allongeant de nouveau sur lui. « Si tu as quelque chose de prévu vas y c'est pas grave, je me débrouillerais tout seul je suis grand tu sais.. » Je n'ai pas envie qu'il se sente forcé de rester, même si j'ai vraiment envie de passer la soirée avec lui et que je déteste le fait qu'il fasse des courses. C'est dangereux et ça me fait bien trop peur, mais je ne dis rien à ce sujet, après tout je n'ai pas le droit de lui dire d'arrêter. « Tu ferais mieux de te préparer, tu vas être en retard sinon » Soupirant, je me redresse pour ne plus l'écraser et prend le chiot dans mes bras, triste de ne pas pouvoir passer la soirée avec Nathys mais j'affiche tout de même un petit sourire pour lui montrer que ce n'est pas grave. Je fixe alors mon petit animal, caressant sa tête. « Eh bien petite boule de poils, ce soir on va être tout seuls je crois »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Ven 26 Juin - 17:03 Citer EditerSupprimer
i'm looking right at the other half of me
#NAYI
Innocent hein ? S’il est vraiment si innocent, qu'on me coupe ce qui fait de moi un homme. Entreprenant, mais innocent, elle est passée ou ta logique mon chat ? Tu l'as perdu en chemin ? Tu veux que je la cherche pour toi ? Sérieusement, depuis quand il devient aussi entreprenant dans ses gestes ? Non pas que ce soit déplaisant, bien au contraire, disons simplement que c'est très perturbant d'avoir ce changement soudain, cela dit, je suppose qu'il garde une part d'innocence au fond de lui donc autant éviter de lui sauter dessus, il pourrait facilement crier au viol alors que c'est lui qui cherche, comme d'habitude. Cela dit, j'avoue que sentir sa langue contre la mienne aurait pu être limite orgasmique, il manquait que quelques seconde entre ce geste langoureux et le viol. Chanceux. La prochaine fois, j'attaquerai sans chercher à comprendre. Cependant, malgré mon pétage de câble intensif, intérieurement du moins, ma tête était plutôt du genre à s'évader au paradis suite à son baiser. Les mots qui ont suivi n'ont fait que me rendre encore plus heureux, même si cela rester plutôt étonnant de voir à quel point il disait et faisait ça avec facilité.
L'avoir allonger sur moi était plutôt apaisant, j'en profitais alors pour glisser mes bras autour de lui avant de le serrer contre moi tout en le laissant parcourir mon cou comme un enfant cherchant un trésor dans le sable, sur la plage. Un cadre parfait pour un moment plutôt doux et tendre, du moins, jusqu'à ce qu'il revienne de lui-même sur ma propre décision, ce qui au fond avait le don de m'énerver, bien que je ne laissai rien paraitre. « J'ai dit que je restais avec toi. » Un ton légèrement froid avant que sa prochaine phrase ne me fasse devenir fou, bien que j'arrivai encore une fois à ne rien laisser éclater pour ne pas débuter une dispute. Mon tempérament impulsif pouvait vraiment me pousser à faire de mauvaise chose, donc autant trouver un juste milieu pour ne pas partir dans cette zone de débordement. Le voir quitté mes bras si facilement après ses derniers mots était quelque chose de perturbant, c'est comme avoir l'impression de le gêner. Je sais bien qu'il ne demande pas à ce que je parte, mais c'est le simple ressenti que j'avais car au fond, j'avais peut être pas envie qu'il se décolle de moi si facilement. Je laissai le calme me revenir avant de retiré mes chaussures tout en restant allongé sur le lit, je n'avais pas envie de réfléchir et bien que la pièce soit tombée dans un silence soudain, seul le raisonnement du choc de mes chaussures contre le parquet venait s'interposer au milieu de ce blanc. Je l'observais un moment, s'adressant à la petite chienne avant que je vienne saisir délicatement son poignet pour l'attiré et l'allongé contre moi, déposant par la suite un doux baiser sur ses lèvres. « Je suis occupé avec deux gamins ce soir, donc je ne sors pas de là sinon, qui va prendre soin d'eux ? » Je faisais bien évidemment allusion à lui et son nouveau compagnon poilu, sinon à quoi bon ? La boule en question pointa d'ailleurs le bout de son nez entre nos deux corps avant que je ne l'attrape pour jouer avec. Je ne suis pas quelqu'un qui apprécie vraiment les chiens, mais pour lui, je pourrais supporter bien des choses. « T'as trouvé un nom idiot à cette boule ou pas encore ? »
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