I'm looking right at the other half of me » #Nayi
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Ven 26 Juin - 19:34 Citer EditerSupprimer
C'
était bien la première fois que je lui offrais un baiser si passionné ou même que je lui disais avec tant d'aisance que je l'aimais vraiment. En fait, je pense que j'ai tellement eu peur de le perdre à cause de ses messages que cela m'a fait réaliser que j'étais bien plus attaché à lui que ce que je pensais jusque là. Je ne suis vraiment pas doué avec mes émotions car avant de m'enfuir de Chine je n'en ressentais tout simplement aucune. Mon maître avait fait de moi un robot sans âme, incapable de ressentir les émotions primaires qui définissent la nature de l'Homme. J'apprend lentement, découvre un peu plus chaque jour comment exprimer des sentiments pourtant simples aux yeux des autres. Avec Nathys c'est différent, tout vient naturellement et aujourd'hui encore plus que d'habitude. Et ce n'est absolument pas lié à ce cadeau, même si ce dernier me rend fou de joie. Jusque là je me posais beaucoup de questions sur nous deux, sur comment agir pour que mon aîné reste à mes côtés alors qu'à présent j'agis instinctivement, tout simplement. J'arrête de réfléchir et je me laisse emporter par mes envies. Et là, j'avais eu envie de l'embrasser de cette façon et j'avais vraiment apprécié cet échange, voilà tout. Seulement après quelques secondes passées contre lui à explorer son cou à la peau si douce, je m'étais redressé à contre coeur. Si ça ne tenais qu'à moi, je n'aurais pas bougé de toute la soirée, adorant être contre lui mais je ne voulais pas le forcer à rester alors qu'il avait quelque chose de prévu. Je n'ai pas envie d'être ce genre de petit-ami qui prive celui qu'il aime de toutes ses libertés. J'aurais vraiment aimé passer la soirée avec lui mais il avait déjà quelque chose de prévu, la chance n'était tout simplement pas de mon côté.
Pourtant, il insiste et dit qu'il restera mais je préfère faire comme si je n'avais pas entendu, préférant jouer avec le chiot. Oh non je n'ai pas envie de l'ignorer, j'ai même au contraire envie de me jeter dans ses bras mais je me retiens, me répétant dans ma tête qu'il a quelque chose de prévu. Je ne veux pas le voir partir, mais je refuse aussi de le voir rester parce qu'il se sent obligé. Toujours occupé à caresser la petite boule de poils, je le laisse me tirer doucement vers lui, posant l'animal sur le matelas pour finalement m'installer confortablement contre mon aîné, souriant légèrement à ses paroles après avoir répondu à son nouveau baiser. « Je sais prendre soin de moi hyung, je te l'ai dit je suis plus un bébé » Je disais ça en souriant, et ça sonnait plus comme une plaisanterie plutôt qu'un reproche. Nathys avait tendance à beaucoup s'occuper de moi et à me surprotéger, ce qui au final ne me dérangeait pas du tout. Mon sourire s'agrandit lorsque je le vois s'amuser avec mon adorable petite chienne que je caresse doucement avant de secouer la tête à l'entente de sa question. « Non, j'ai pas envie d'y réfléchir maintenant en fait, c'est notre soirée à tous les deux, pas la sienne non ? » En réalité je suis bien trop heureux de savoir qu'il reste pour me préoccuper du chien et j'attrape d'ailleurs ce dernier pour le déposer par terre pour qu'il nous laisse tranquilles. « Il fait trop chaud.. » Je me redresse un instant pour retirer mon t-shirt et me cale un peu mieux contre Nathys, posant ma tête contre son torse en souriant. « Woah ton coeur bat vite ! Ça va ? Han je t'écrase c'est ça ? Pardon, même mon manager m'a dit de maigrir » Sans perdre de temps je me décale et m'allonge sur le matelas pour ne plus être affalé sur lui et tend les bras. « Câlin, s'il te plait »
❝ And it's like in a mirror, my mirror staring back at me
• N A Y I •
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était bien la première fois que je lui offrais un baiser si passionné ou même que je lui disais avec tant d'aisance que je l'aimais vraiment. En fait, je pense que j'ai tellement eu peur de le perdre à cause de ses messages que cela m'a fait réaliser que j'étais bien plus attaché à lui que ce que je pensais jusque là. Je ne suis vraiment pas doué avec mes émotions car avant de m'enfuir de Chine je n'en ressentais tout simplement aucune. Mon maître avait fait de moi un robot sans âme, incapable de ressentir les émotions primaires qui définissent la nature de l'Homme. J'apprend lentement, découvre un peu plus chaque jour comment exprimer des sentiments pourtant simples aux yeux des autres. Avec Nathys c'est différent, tout vient naturellement et aujourd'hui encore plus que d'habitude. Et ce n'est absolument pas lié à ce cadeau, même si ce dernier me rend fou de joie. Jusque là je me posais beaucoup de questions sur nous deux, sur comment agir pour que mon aîné reste à mes côtés alors qu'à présent j'agis instinctivement, tout simplement. J'arrête de réfléchir et je me laisse emporter par mes envies. Et là, j'avais eu envie de l'embrasser de cette façon et j'avais vraiment apprécié cet échange, voilà tout. Seulement après quelques secondes passées contre lui à explorer son cou à la peau si douce, je m'étais redressé à contre coeur. Si ça ne tenais qu'à moi, je n'aurais pas bougé de toute la soirée, adorant être contre lui mais je ne voulais pas le forcer à rester alors qu'il avait quelque chose de prévu. Je n'ai pas envie d'être ce genre de petit-ami qui prive celui qu'il aime de toutes ses libertés. J'aurais vraiment aimé passer la soirée avec lui mais il avait déjà quelque chose de prévu, la chance n'était tout simplement pas de mon côté.
Pourtant, il insiste et dit qu'il restera mais je préfère faire comme si je n'avais pas entendu, préférant jouer avec le chiot. Oh non je n'ai pas envie de l'ignorer, j'ai même au contraire envie de me jeter dans ses bras mais je me retiens, me répétant dans ma tête qu'il a quelque chose de prévu. Je ne veux pas le voir partir, mais je refuse aussi de le voir rester parce qu'il se sent obligé. Toujours occupé à caresser la petite boule de poils, je le laisse me tirer doucement vers lui, posant l'animal sur le matelas pour finalement m'installer confortablement contre mon aîné, souriant légèrement à ses paroles après avoir répondu à son nouveau baiser. « Je sais prendre soin de moi hyung, je te l'ai dit je suis plus un bébé » Je disais ça en souriant, et ça sonnait plus comme une plaisanterie plutôt qu'un reproche. Nathys avait tendance à beaucoup s'occuper de moi et à me surprotéger, ce qui au final ne me dérangeait pas du tout. Mon sourire s'agrandit lorsque je le vois s'amuser avec mon adorable petite chienne que je caresse doucement avant de secouer la tête à l'entente de sa question. « Non, j'ai pas envie d'y réfléchir maintenant en fait, c'est notre soirée à tous les deux, pas la sienne non ? » En réalité je suis bien trop heureux de savoir qu'il reste pour me préoccuper du chien et j'attrape d'ailleurs ce dernier pour le déposer par terre pour qu'il nous laisse tranquilles. « Il fait trop chaud.. » Je me redresse un instant pour retirer mon t-shirt et me cale un peu mieux contre Nathys, posant ma tête contre son torse en souriant. « Woah ton coeur bat vite ! Ça va ? Han je t'écrase c'est ça ? Pardon, même mon manager m'a dit de maigrir » Sans perdre de temps je me décale et m'allonge sur le matelas pour ne plus être affalé sur lui et tend les bras. « Câlin, s'il te plait »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Ven 26 Juin - 21:03 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Il était peut être majeur et autonome, mais rare était les moments où je n'étais pas inquiet pour lui, après tout, sa tête était plus ou moins mise à prix. Le fait d'être avec lui, de le serrer dans mes bras, de le sentir, l'embrasser, tout ça me rassurer. Ça pouvait être très fragile comme comportement aux yeux des autres, mais je m'en fichais royalement, je ne vivais que pour lui désormais et dieu seul sait combien le jugement et l'avis des autres m’importent peu. Elle était là ma vie maintenant, là, juste entre mes bras, plus rien n'avait d'importance ci ce n'est lui. Une course oublié, abandonné ? Je m'en fiche royalement, c'est pour lui que je fais ça. J'ai vu son inquiétude en arrivant, donc je n'ose même pas imaginer son état si on devait lui annoncer que j'avais eu un accident après l'une de mes fameuses courses, ça pourrait être vraiment catastrophique pour lui et lui faire du mal ne fait pas parti de mes intentions. Donc oui, j'étais surement un peu trop possessif, un peu trop protecteur et même excessivement jaloux, mais tout ça montrait bien l'importance qu'il avait à mes yeux, tout ça montrait l'amour que j'ai pour lui. Donc si vouloir être à ses cotés tout le restant de ma vie est un crime, je veux bien être condamné coupable et subir le pire des châtiment pour ça. Je n’éprouverais jamais ne serait-ce qu'un regret. Au final, tous les efforts que j'ai pu faire dans la vie ont certainement payés sinon, pourquoi serait-il là avec moi ?
Je ne veux pas forcément me projeté dans l'avenir, je vais seulement attendre que les choses passent tranquillement, puis un beau jour, peut être l'envie de faire l'unique amour de ma vie viendra, mais pour l'instant, cela reste cacher au fond de moi. Il est encore trop jeune pour ça et c'est très également pour parler de ce genre de chose donc encore une fois, laissons les choses faire et nous verrons bien, même si je sais très bien qu'il est la personne qu'il me faut, sinon pourquoi aurais-je autant changé en si peu de temps ? Personne, je dis bien personne n'avait eu ce pouvoir sur moi. Personne encore n'avait réussi à me faire abandonné une course, personne à part lui, donc peut être que je serais capable du pire comme du meilleur, juste pour sa petite gueule d'ange, allez savoir. « Bien sûr que si tu es encore un bébé ! T'es mon bébé ! » Des mots sortant sous un tons enfantin, mais tout aussi doux, laissant paraitre un fond d'amour derrière eux. Évidemment, ses mots suivants ne font que me faire sourire, remarquant l'importance que ma décision avait pour lui. C'était donc devenu notre soirée ? Plutôt une belle chose en soit. Enfin deux si l'on prend en considération le fait qu'il vient de se désapé à moitié sous mes yeux. Habituellement, je trouve ça anodin, mais aujourd'hui, je sais pas, c'est plutôt aguichant voir même excitant de le voir ainsi. Si je ne le respectait pas aussi, je pense que je serais déjà en plein viol contre sa petite personne. Seigneur, quelle beauté. Quel chanceux je fais.. Je ne me lasse pas d'observé, évidemment, c'est fait pour de toute façon, ignorant même ses mots avant de revenir à la raison après réclamation d'un câlin venant de mon cadet. Demande reçue, le colis est envoyé ! Sans perdre une seconde, le sourire aux lèvres, je viens l'entouré de mes bras, déposant plusieurs baisers sur l'une de ses jours, chuchotant plusieurs je t'aime au creux de son oreille alors que mes doigts caressaient sa peau douce et laiteuse. J'étais clairement fou de lui, autant de son corps que de sa personnalité, un véritable idiot amoureux que personne ne pourrait arrêter, même si la terre venait à exploser, je resterais surement là à le garder dans mes bras, souriant toujours seulement parce que maintenant, je suis heureux grâce à un idiot.
Un amoureux fou, cherchant à taquiné son amour, le chatouillant au niveau du bas ventre tout en mordillant son cou à plusieurs reprise pour finalement venir à la rencontre de ses lippes, les mordillant elles aussi délicatement. « T'as chaud, mais tu cherches à rester contre moi en sachant que mon corps est un vrai volcan.. Fourbe enfant ! » Un baiser de voler avant de laisser mon rire prendre le relai tout en continuant mes multiples attaques sur son corps, simple vengeance, douce mais légèrement cruelle. De quoi lui faire passer l'envie de me cherché autant en si peu de temps.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Ven 26 Juin - 23:21 Citer EditerSupprimer
T
out avait évolué à une vitesse folle. Il n'y a pas si longtemps encore, je n'étais rien de plus que son suiveur, celui qu'il utilisait selon ses envies et en une nuit, tout avait changé. La soirée avait été mouvementée, ponctuée par quelques soucis, une dispute et plusieurs baisers. C'est là que j'avais compris qu'il était bien plus important à mes yeux que ce que j'avais pu imaginer. Je suis toujours sous l'influence d'autres leaders à qui j'obéis au doigt et à l'oeil sans que bien sur Nathys ne soit au courant, mais ma relation avec eux se résume tout simplement à celle d'un suiveur et son meneur, je ne suis en aucun cas attaché à eux. Alors qu'avec mon aîné, même avant tout ça c'était différent. Je détestais le fait d'obéir sans jamais poser de questions, mais je ne le détestais pas lui. Ça n'a aucun sens, mais c'est ainsi. En tout cas, depuis cette fameuse soirée tout à changé pour moi. Je pense tout le temps à lui, déteste devoir passer une journée sans le voir, sans pouvoir l'embrasser et m'imprégner de son parfum. Autant dire que lorsqu'il a aménagé chez les Pyobeom, dans ma chambre en plus, j'étais vraiment le plus heureux au monde. Même si on ne peut pas se voir dans la journée à cause des cours et de nos boulots respectifs, on peut au moins passer nos nuits ensemble même si je m'en veux quelque peu de lui faire subir mon sommeil agité. J'ai toujours détesté dormir seul et depuis qu'il est entré dans ma vie j'ai abandonné mon lit pour dormir dans le sien, malheureusement pour lui. Mais là tout de suite ça va, nous ne dormons pas et je peux donc m'agiter autant que je veux sans craindre de le déranger. Sauf qu'à force de gigoter dans tous les sens, j'étouffe à cause de la chaleur.
C'est la raison pour laquelle je finis rapidement par retirer mon haut, le laissant tomber au sol pour que ma petite boule de poils joue avec. Évidemment avec mon métier, difficile d'être pudique, et puis ce n'est pas la première fois que Nathys me voit torse nu, d'ailleurs il m'a déjà vu encore plus dévêtu que ça alors je ne me gêne pas vraiment lorsque je retire mon t-shirt avant de me rallonger sur le matelas cette fois-ci, réclamant un nouveau câlin qui arrive bien vite. Je retrouve un grand sourire en sentant ses bras m'entourer et ses lèvres contre ma joue. Rapidement, mes jambes s'emmêlent avec les siennes et je croise mes bras dans son dos pour le garder contre moi. Et d'un coup, j'essaye plutôt de m'éloigner de lui. Je suis très chatouilleux et ses doigts sur ma peau me font rire comme un enfant alors que j'essaye d'attraper ses mains pour l'arrêter, en vain. J'entends à peine ce qu'il me dit, trop occupé à me débattre en riant, répondant tant bien que mal à son baiser avant de finalement parvenir à attraper ses mains que je tente ensuite d'immobiliser. « Hyuuuung arrêteuh » Je me calme lentement, tentant de retrouver une respiration normale en jouant avec ses mains avant de relever la tête vers lui, le fixant malicieusement. « Tu as chaud ? Attends, assieds-toi » Je me redresse et tire doucement sur sa main pour l'inciter à s'asseoir à son tour avant d'attraper le tissu de son haut pour le lui retirer sans vraiment lui laisser le choix. Je dépose un très rapide baiser sur ses lèvres et le repousse une fois encore contre le matelas, m'installant une fois de plus à califourchon sur son bassin alors que mes mains se posent sur ses épaules. « Tu as l'air fatigué hyung.. Dis, tu t'es déjà fait masser ? Je suis pas très doué, mais on m'a appris. Ferme les yeux et détends toi, tu verras ça fait du bien » Je commence alors à presser très doucement ses épaules entre mes doigts, faisant attention à mes gestes, descendant en prenant mon temps vers ses clavicules en souriant. « Ça va ? Je te fais pas mal ? »
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out avait évolué à une vitesse folle. Il n'y a pas si longtemps encore, je n'étais rien de plus que son suiveur, celui qu'il utilisait selon ses envies et en une nuit, tout avait changé. La soirée avait été mouvementée, ponctuée par quelques soucis, une dispute et plusieurs baisers. C'est là que j'avais compris qu'il était bien plus important à mes yeux que ce que j'avais pu imaginer. Je suis toujours sous l'influence d'autres leaders à qui j'obéis au doigt et à l'oeil sans que bien sur Nathys ne soit au courant, mais ma relation avec eux se résume tout simplement à celle d'un suiveur et son meneur, je ne suis en aucun cas attaché à eux. Alors qu'avec mon aîné, même avant tout ça c'était différent. Je détestais le fait d'obéir sans jamais poser de questions, mais je ne le détestais pas lui. Ça n'a aucun sens, mais c'est ainsi. En tout cas, depuis cette fameuse soirée tout à changé pour moi. Je pense tout le temps à lui, déteste devoir passer une journée sans le voir, sans pouvoir l'embrasser et m'imprégner de son parfum. Autant dire que lorsqu'il a aménagé chez les Pyobeom, dans ma chambre en plus, j'étais vraiment le plus heureux au monde. Même si on ne peut pas se voir dans la journée à cause des cours et de nos boulots respectifs, on peut au moins passer nos nuits ensemble même si je m'en veux quelque peu de lui faire subir mon sommeil agité. J'ai toujours détesté dormir seul et depuis qu'il est entré dans ma vie j'ai abandonné mon lit pour dormir dans le sien, malheureusement pour lui. Mais là tout de suite ça va, nous ne dormons pas et je peux donc m'agiter autant que je veux sans craindre de le déranger. Sauf qu'à force de gigoter dans tous les sens, j'étouffe à cause de la chaleur.
C'est la raison pour laquelle je finis rapidement par retirer mon haut, le laissant tomber au sol pour que ma petite boule de poils joue avec. Évidemment avec mon métier, difficile d'être pudique, et puis ce n'est pas la première fois que Nathys me voit torse nu, d'ailleurs il m'a déjà vu encore plus dévêtu que ça alors je ne me gêne pas vraiment lorsque je retire mon t-shirt avant de me rallonger sur le matelas cette fois-ci, réclamant un nouveau câlin qui arrive bien vite. Je retrouve un grand sourire en sentant ses bras m'entourer et ses lèvres contre ma joue. Rapidement, mes jambes s'emmêlent avec les siennes et je croise mes bras dans son dos pour le garder contre moi. Et d'un coup, j'essaye plutôt de m'éloigner de lui. Je suis très chatouilleux et ses doigts sur ma peau me font rire comme un enfant alors que j'essaye d'attraper ses mains pour l'arrêter, en vain. J'entends à peine ce qu'il me dit, trop occupé à me débattre en riant, répondant tant bien que mal à son baiser avant de finalement parvenir à attraper ses mains que je tente ensuite d'immobiliser. « Hyuuuung arrêteuh » Je me calme lentement, tentant de retrouver une respiration normale en jouant avec ses mains avant de relever la tête vers lui, le fixant malicieusement. « Tu as chaud ? Attends, assieds-toi » Je me redresse et tire doucement sur sa main pour l'inciter à s'asseoir à son tour avant d'attraper le tissu de son haut pour le lui retirer sans vraiment lui laisser le choix. Je dépose un très rapide baiser sur ses lèvres et le repousse une fois encore contre le matelas, m'installant une fois de plus à califourchon sur son bassin alors que mes mains se posent sur ses épaules. « Tu as l'air fatigué hyung.. Dis, tu t'es déjà fait masser ? Je suis pas très doué, mais on m'a appris. Ferme les yeux et détends toi, tu verras ça fait du bien » Je commence alors à presser très doucement ses épaules entre mes doigts, faisant attention à mes gestes, descendant en prenant mon temps vers ses clavicules en souriant. « Ça va ? Je te fais pas mal ? »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Sam 27 Juin - 19:13 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Dire que je ne suis pas heureux serait mentir. Il y a quelques semaines de ça, je n'accordais d'importance qu'à mes petits moteurs et mes bolides en tout genre. Aucun être humain digne de ce nom n’aurait pu me faire virer de mon obsession pour les véhicules, ou même les courses, aucun d'entre eux, sauf le petit être qui est actuellement à mes côtés aujourd'hui. Il est surement la seule personne pour qui j'ai renoncé à courir, pour qui j'ose dépenser sans vraiment compter. La seule personne à qui je daigne offrir toute mon attention. Aux yeux des autres, il pouvait être idiot, faible, fragile, enfantin, ignorant, mais à mes yeux, il était clairement parfait. Légèrement fragile mais avec un fort caractère, affectueux mais sans pour autant renié une part d'impulsivité, un petit côté foufou et imprévisible qui offre de quoi se distraire ou se changé les idées quand ça ne va pas forcément. Certains diront que je l'idéalise, que je suis aveugle ou trop amoureux, mais je m'en fiche, je leurs répondrais juste qu'ils sont jaloux car ils ne l'ont pas eu. J'ai jamais pensé à en faire mon petit ami, ça m'est tombé dessus et au final, je me suis retrouvé plutôt con à l'aimé sans réellement savoir si il me détestait ou non de l'utiliser ? Cependant, à le voir ici avec moi, m'aimant en retour, j'en conclus qu'il partageait surement les mêmes sentiments.
C'était comme ça lui est moi depuis le début, enfin, ce n'est qu'une impression, mais cette attitude que l'on a sans cesse entre nous, se cherchant mutuellement, se taquinant, s'engueulant pour ensuite mieux se retrouvé dans les bras l'un de l'autre, c'était ça dont on avait besoin. Il paraissait faible aux yeux des autres, mais moi je savais quel était son véritable caractère et j'en jouais énormément, cherchant parfois volontairement la dispute juste pour voir son visage rouge de colère et son regard noir. Il était vraiment beau; quel que soit les circonstances, je suppose d'ailleurs que c'est pour ça qu'il est mannequin, son agence est plutôt chanceuse de l'avoir, elle aussi, malgré que je reste quelque peu jaloux de devoir le partager indirectement avec des milliers de personnes qui fantasme sur sa petite gueule apparente sur les magazines. Ce ne sont que des images, mais quand même, il était à moi non mais. Au fond, je reste plutôt fier d'avoir ce garçon pour moi, il est quelqu'un de remarquable et très attachiant, mais je l'aime, certainement plus que n'importe qui dans se foutu monde de brutes.
Les autres peuvent être jaloux de moi pour avoir un garçon si parfait à mes côtés et si ils agissent ainsi, j'ai juste à dire qu'ils font bien car après tout, qui ne voudrait pas de ce petit merdeux ? Il savait s'y prendre pour avoir ce qu'il voulait, un chien, un câlin, un bisou.. Je le redis une nouvelle fois, en dehors de son apparence d'ange, il savait vraiment être fourbe, croyez moi. Je n’ai pas franchement le temps de comprendre ce qui se passe quand je suis avec lui et une fois encore, j'en subis encore. En position assise sur le matelas, je laisse mon cadet retiré mon haut sans trop de difficulté. A dire vraiment, je ne calcule pas vraiment son geste, étant trop dans ma tête petite tête à réfléchir à de multiples choses. L'instant d'après, me voilà allongé sur le dos, monsieur étant confortablement installé à califourchon sur mon bassin, me fixant en souriant comme un idiot, certainement fier de ce qu'il venait d'entreprendre. « Alors déjà, je vais pas répondre à ta question de suite parce que tu m'énerves à dire HYUNG sans arrêt tu vois ? » J'ose venir lui pincer le bas du ventre, le regard sévère avant de le laisser commencer son petit massage, ou du moins, ça y ressemble. Je laisse ma tête se penchée légèrement sur le côté, l'observant longuement avant de lui offrir un large sourire. « T'as de la chance que je te respecte bébé parce que de là où je suis, la vue est plutôt bandante ! Ça donne presque envie de te mangé tout cru ! »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Sam 27 Juin - 22:50 Citer EditerSupprimer
J
e suis vraiment trop heureux d'être là, avec lui tout simplement. Je n'ai besoin de rien de plus pour me sentir bien, être à ses côtés me suffit amplement et je savoure chaque petite secondes comme si c'était la dernière. J'ignore ce que l'avenir me réserve même si je suis secrètement convaincu que les chinois vont me retrouver sous peu et me ramener de force dans mon pays natal, alors je profite de ma liberté tant qu'elle m'est encore accordée. Et la meilleure façon pour moi de vivre pleinement, c'est en étant avec Nathys. Qu'importe nos querelles, sa jalousie maladive et tout le reste, rien de tout ça n'a d'importance face à tout ce que sa présence dans ma vie m'apporte de bon. Je ne suis peut-être pas bien placé pour parler puisque c'est la première fois que je tombe amoureux, mais j'ai l'intime conviction que nous sommes faits l'un pour l'autre, enfin en tout cas de mon côté je sais que malgré tout ce qui se dressera devant nous, je suis bien trop dépendant de sa personne pour pouvoir m'éloigner. C'est vrai, nous sommes très différents et nous nous disputons souvent, mais je suis incapable de lui en vouloir plus de cinq minutes. C'est ce qu'on appelle être accro, totalement dépendant et amoureux à en crever. Cependant, puisqu'il est ma toute première relation, je n'ai aucune idée de l'effet que mes paroles et gestes peuvent avoir sur lui. Pour moi, c'est banal de retirer mon haut devant lui, et lui faire un massage n'a aucune connotation étrange que je ne saurais même pas comprendre. J'agis juste naturellement, profitant de cette soirée que nous passons ensemble. Nathys a l'habitude de toujours s'occuper de moi, de me surveiller constamment et ce soir j'aimerais le remercier et prendre soin de lui à mon tour, même si je ne sais pas vraiment comment m'y prendre.
J'aurais aimé pouvoir lui préparer un bon repas ou quelque chose du genre, mais la seule chose que je fais vraiment bien, c'est les pancakes au petit déjeuner. Le matin c'est excellent, mais pour le dîner il y a mieux. Du coup en attendant de trouver une meilleure idée, je pense à lui offrir un massage. Sa remarque sur ma façon de m'adresser à lui me fait soupirer, comme à chaque fois que nous abordons ce sujet en fait. « Mais tu es mon hyung, pourquoi je t'appellerais pas comme ça ? C'est malpoli de t'appeler par ton prénom.. » Un léger couinement m'échappe lorsqu'il pince ma peau et je fronce les sourcils, essayant de l'intimider en vain bien évidemment. J'abandonne bien vite ce combat de regards et le masse doucement en espérant détendre ses muscles tendus à cause de la fatigue et du stress. Je ne suis pas très doué mais je fais de mon mieux et m'applique à bien reproduire les gestes que l'on m'a appris, ne détachant pas mon regard de ses épaules. Sa remarque m'interpelle et je relève la tête vers lui, l'interrogeant du regard. « Hein ? Tu as faim ? » Je n'ai rien compris de ce qu'il m'a dit et reste un instant silencieux avant de me pencher, l'embrassant tout aussi passionnément que tout à l'heure, décollant à contre coeur mes lèvres des siennes en laissant ma langue les caresser à peine et glisse mon bras sous le lit pour en sortir un paquet de biscuits que je laisse toujours ici en cas de petite faim. J'ouvre ladite boite et lui tend l'un des cookies d'une main pendant que l'autre se balade sur son torse, redessinant sans m'en rendre compte ses muscles. « Prends ça, les autres doivent être en train de manger à la cafétéria, tu veux y aller ? »
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e suis vraiment trop heureux d'être là, avec lui tout simplement. Je n'ai besoin de rien de plus pour me sentir bien, être à ses côtés me suffit amplement et je savoure chaque petite secondes comme si c'était la dernière. J'ignore ce que l'avenir me réserve même si je suis secrètement convaincu que les chinois vont me retrouver sous peu et me ramener de force dans mon pays natal, alors je profite de ma liberté tant qu'elle m'est encore accordée. Et la meilleure façon pour moi de vivre pleinement, c'est en étant avec Nathys. Qu'importe nos querelles, sa jalousie maladive et tout le reste, rien de tout ça n'a d'importance face à tout ce que sa présence dans ma vie m'apporte de bon. Je ne suis peut-être pas bien placé pour parler puisque c'est la première fois que je tombe amoureux, mais j'ai l'intime conviction que nous sommes faits l'un pour l'autre, enfin en tout cas de mon côté je sais que malgré tout ce qui se dressera devant nous, je suis bien trop dépendant de sa personne pour pouvoir m'éloigner. C'est vrai, nous sommes très différents et nous nous disputons souvent, mais je suis incapable de lui en vouloir plus de cinq minutes. C'est ce qu'on appelle être accro, totalement dépendant et amoureux à en crever. Cependant, puisqu'il est ma toute première relation, je n'ai aucune idée de l'effet que mes paroles et gestes peuvent avoir sur lui. Pour moi, c'est banal de retirer mon haut devant lui, et lui faire un massage n'a aucune connotation étrange que je ne saurais même pas comprendre. J'agis juste naturellement, profitant de cette soirée que nous passons ensemble. Nathys a l'habitude de toujours s'occuper de moi, de me surveiller constamment et ce soir j'aimerais le remercier et prendre soin de lui à mon tour, même si je ne sais pas vraiment comment m'y prendre.
J'aurais aimé pouvoir lui préparer un bon repas ou quelque chose du genre, mais la seule chose que je fais vraiment bien, c'est les pancakes au petit déjeuner. Le matin c'est excellent, mais pour le dîner il y a mieux. Du coup en attendant de trouver une meilleure idée, je pense à lui offrir un massage. Sa remarque sur ma façon de m'adresser à lui me fait soupirer, comme à chaque fois que nous abordons ce sujet en fait. « Mais tu es mon hyung, pourquoi je t'appellerais pas comme ça ? C'est malpoli de t'appeler par ton prénom.. » Un léger couinement m'échappe lorsqu'il pince ma peau et je fronce les sourcils, essayant de l'intimider en vain bien évidemment. J'abandonne bien vite ce combat de regards et le masse doucement en espérant détendre ses muscles tendus à cause de la fatigue et du stress. Je ne suis pas très doué mais je fais de mon mieux et m'applique à bien reproduire les gestes que l'on m'a appris, ne détachant pas mon regard de ses épaules. Sa remarque m'interpelle et je relève la tête vers lui, l'interrogeant du regard. « Hein ? Tu as faim ? » Je n'ai rien compris de ce qu'il m'a dit et reste un instant silencieux avant de me pencher, l'embrassant tout aussi passionnément que tout à l'heure, décollant à contre coeur mes lèvres des siennes en laissant ma langue les caresser à peine et glisse mon bras sous le lit pour en sortir un paquet de biscuits que je laisse toujours ici en cas de petite faim. J'ouvre ladite boite et lui tend l'un des cookies d'une main pendant que l'autre se balade sur son torse, redessinant sans m'en rendre compte ses muscles. « Prends ça, les autres doivent être en train de manger à la cafétéria, tu veux y aller ? »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mer 1 Juil - 17:57 Citer EditerSupprimer
i'm looking right at the other half of me
#NAYI
Il est vrai que sa capacité à comprendre le coréen n'était pas énorme, mais il se défendait très bien, mieux que moi à son âge en tout cas. L'espagnol et le coréen sont deux langues opposées, mon apprentissage à moi c'est faite par obligation lorsque mon père et moi sommes venu dans ce pays après le décès de ma mère. Lui connaissait déjà la langue de ce pays contrairement à moi, cependant, j'ai su rattraper mon retard et voir Yibo dans la même situation que moi il y a quelques années était plutôt amusant. Je ne me moquais pas de lui, loin de là, j'étais juste admiratif face à sa rapidité d'apprentissage, car même si il possédait quelques lacunes, il se débrouille toujours mieux que moi. Il portait toujours son petit accent chinois lors de son parler, tout comme je gardais mon accent espagnol en fond de gorge, au fond, on est tous les deux des colons, envahissant le pays, mais surtout la ville, de nos racines lointaines. On s'est vraiment bien trouvé, peut-être même trop bien trouvés. Différents mais semblables à la fois, on était plutôt contradictoire envers nous-même, ça rendait la relation plus drôle me direz-vous. Au final, il n'avait pas réellement compris le sens de ma phrase et au fond, c'est pas plus mal, ça évite le traumatisme et la gêne pour le reste de la soirée.
La discussion revient alors sur sa forme de politesse qu'il emploie constamment avec moi. Je n'apprécie pas, bien que je comprenne le fait qu'il veuille se montré polis et respectueux, je n'aime pas. Me dire hyung, c'est comme me dire maître et je ne veux pas. Je saisis donc son visage entre mes mains et l'approche du miens avant de lui voler un rapide baiser. « Je vais vraiment me fâcher si tu continues à dire hyung, donc arrête ça s'il te plait. » Je le laisse reprendre son activité, bien que c'était plutôt reposant pour moi, sa réaction face à mon annonce plutôt déplacé quelques secondes plus tôt, était assez amusante. Comme à son habitude, mais surtout sans réellement comprendre mes mots, ou plutôt, en les comprenant, mais pas de la bonne façon, il venait à me proposer à manger. Je n'avais pas réellement faim de nourriture, mais plutôt de sa peau à lui, cependant, ça, c'est une autre affaire. « Non... Je n'ai pas faim.. » Mes yeux suivant toujours ses gestes, je le vis sortir une boite de gâteau qu'il avait pris soin de caché sous le lit, mauvais garçon, je sais où venir pioché en cas de petite faim nocturne maintenant. Je le vois me tendre sa petite nourriture et souris légèrement avant de le saisir et le gober d'une traite dans ma bouche, mâchant ainsi rapidement le contenu de cette dernière. Il était vraiment mignon. S'occuper de ma petite personne de cette façon était quelque chose de tout aussi mignon. Tout ce qui venait de lui était forcément mignon dans tous les cas. « Je veux pas mangé bébé, j'ai pas faim dans ce sens-là, mais laisse tomber, oublie. » Large sourire aux lèvres, je viens à saisir ses bras avec délicatesse avant de rouler sur le côté pour ainsi inversé nos positions. Mon bassin désormais présent sur le sien, mes mains présentent et prenant appuies de part et d'autre de sa tête, je venais à le fixé longuement tout en me rapprochant dangereusement de ses lèvres avant de finalement y gouter pour la énième fois. Oublions les baisers doux et chastes, offrons lui un baiser fougueux. C'était plutôt par gourmandise, mais aussi par amour que j'effectuais cet échange passionné, cependant, je n'avais pas vraiment d'autre choix que d'y mettre rapidement fin avant que cela n'aille réellement trop loin, ce qui pourrait être plutôt dramatique d'une certaine manière. Les yeux fermés, mes lèvres effleurant les siennes, je laissai quelques mots passés la barrière de mes lèvres dans un fin chuchotement. « Tu vas me rendre fou et gourmand, trop gourmand. »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mer 1 Juil - 22:38 Citer EditerSupprimer
J'
ai encore bien souvent du mal à comprendre ce que les gens me disent. Parfois c'est parce qu'ils parlent trop vite et n'articulent pas, ou alors ils utilisent tout simplement des expressions que je ne connais pas. Par exemple Chung Su, je l'adore vraiment mais j'avoue que plus de la moitié du temps je ne comprend absolument pas ce qu'il me raconte. Il faut dire aussi que je n'apprend le coréen que depuis un an, et mine de rien ce n'est aussi aussi simple que ce que j'imaginais. Les prononciations et intonations sont totalement différentes du chinois sans compter qu'en plus d'apprendre la langue, j'ai également dû m'instruire sur le mode de vie d'une personne normale en plus de pleins d'autres choses. En bref, je suis encore loin d'être un parfait petit nouveau coréen et je dois bien trop souvent demander aux gens de répéter ce qu'ils ont dit. Heureusement Nathys lui au moins fait la plupart du temps des phrases simples pour que je puisse comprendre sans problèmes, mais là j'avoue que la seule chose que j'ai réussi à décoder, c'est que ça parle de manger. Il doit probablement avoir faim et c'est la raison pour laquelle je lui tend un biscuit avant de lui proposer d'aller prendre de la vraie nourriture à la cafétéria.Je n'ai pas envie qu'il soit affamé par ma faute ! Finalement il me dit qu'il ne veut pas manger et je penche la tête, le fixant sans comprendre. Comment ça, "pas dans ce sens là" ? On peut avoir faim de plusieurs façons possibles ? Je n'ai pas le temps de réfléchir à la questions puisqu'en un instant, je me retrouve allongé sur le matelas, mon aîné penché au dessus de moi. Mon regard se perd dans le sien avant de dériver vers ses lèvres et je répond sans attendre à son baiser, laissant une fois de plus mes instincts agir.
Mes phalanges courent sur ses clavicules pour remonter jusqu'à ses épaules dévêtues que je caresse lentement et je grogne légèrement lorsqu'il met un terme à cet échange pourtant si plaisant. Mes doigts dessinent des petits cercles sur sa nuque et mes yeux s'ouvrent pour détailler son visage si parfait que je pourrais passer des heures à l'observer. Une fois de plus ses paroles me plongent dans l'incompréhension la plus totale et je ne sais pas vraiment quoi répondre. Il a dit qu'il n'avait pas faim, pourquoi parle-t-il d'être gourmand alors ? Même en réfléchissant bien je ne vois pas où il veut en venir. Je laisse alors mes mains caresser son dos nu en souriant très légèrement sans jamais le quitter des yeux. « J'aime quand tu m'embrasse comme ça, même si ça me donne vraiment chaud.. » Je ne sais pas comment expliquer cette sensation d'étouffement, je sais juste que je sens bien souvent mon corps bouillonner quand je suis avec lui, c'est vraiment bizarre mais pas désagréable. En fait, ça me donne juste envie de rester contre lui pour pouvoir profiter du parfum de sa peau et du goût de ses lèvres. Et tout ça me fait repenser à ce qu'il a dit un peu plus tôt, et me donne envie de savoir ce qu'il voulait dire alors j'ose demander, mes doigts revenant vers son torse. « J'aimerais vraiment te comprendre tu sais, qu'est-ce que ça veut dire ça ? Comment ça tu as pas faim dans ce sens là ? Est-ce que.. Je fais mal les choses ? » J'ai vraiment envie de bien faire, mais seul je n'y arriverais pas et il faut qu'il me dise ce qu'il attend de moi, ou du moins que je comprenne ses mots. Et je dois aussi me retenir de l'embrasser une fois de plus, au passage. Parce que j'ignore pourquoi, mais aujourd'hui plus que jamais ses lèvres m'attirent et mes mains me supplient de les laisser au contact de sa peau chaude.
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• N A Y I •
J'
ai encore bien souvent du mal à comprendre ce que les gens me disent. Parfois c'est parce qu'ils parlent trop vite et n'articulent pas, ou alors ils utilisent tout simplement des expressions que je ne connais pas. Par exemple Chung Su, je l'adore vraiment mais j'avoue que plus de la moitié du temps je ne comprend absolument pas ce qu'il me raconte. Il faut dire aussi que je n'apprend le coréen que depuis un an, et mine de rien ce n'est aussi aussi simple que ce que j'imaginais. Les prononciations et intonations sont totalement différentes du chinois sans compter qu'en plus d'apprendre la langue, j'ai également dû m'instruire sur le mode de vie d'une personne normale en plus de pleins d'autres choses. En bref, je suis encore loin d'être un parfait petit nouveau coréen et je dois bien trop souvent demander aux gens de répéter ce qu'ils ont dit. Heureusement Nathys lui au moins fait la plupart du temps des phrases simples pour que je puisse comprendre sans problèmes, mais là j'avoue que la seule chose que j'ai réussi à décoder, c'est que ça parle de manger. Il doit probablement avoir faim et c'est la raison pour laquelle je lui tend un biscuit avant de lui proposer d'aller prendre de la vraie nourriture à la cafétéria.Je n'ai pas envie qu'il soit affamé par ma faute ! Finalement il me dit qu'il ne veut pas manger et je penche la tête, le fixant sans comprendre. Comment ça, "pas dans ce sens là" ? On peut avoir faim de plusieurs façons possibles ? Je n'ai pas le temps de réfléchir à la questions puisqu'en un instant, je me retrouve allongé sur le matelas, mon aîné penché au dessus de moi. Mon regard se perd dans le sien avant de dériver vers ses lèvres et je répond sans attendre à son baiser, laissant une fois de plus mes instincts agir.
Mes phalanges courent sur ses clavicules pour remonter jusqu'à ses épaules dévêtues que je caresse lentement et je grogne légèrement lorsqu'il met un terme à cet échange pourtant si plaisant. Mes doigts dessinent des petits cercles sur sa nuque et mes yeux s'ouvrent pour détailler son visage si parfait que je pourrais passer des heures à l'observer. Une fois de plus ses paroles me plongent dans l'incompréhension la plus totale et je ne sais pas vraiment quoi répondre. Il a dit qu'il n'avait pas faim, pourquoi parle-t-il d'être gourmand alors ? Même en réfléchissant bien je ne vois pas où il veut en venir. Je laisse alors mes mains caresser son dos nu en souriant très légèrement sans jamais le quitter des yeux. « J'aime quand tu m'embrasse comme ça, même si ça me donne vraiment chaud.. » Je ne sais pas comment expliquer cette sensation d'étouffement, je sais juste que je sens bien souvent mon corps bouillonner quand je suis avec lui, c'est vraiment bizarre mais pas désagréable. En fait, ça me donne juste envie de rester contre lui pour pouvoir profiter du parfum de sa peau et du goût de ses lèvres. Et tout ça me fait repenser à ce qu'il a dit un peu plus tôt, et me donne envie de savoir ce qu'il voulait dire alors j'ose demander, mes doigts revenant vers son torse. « J'aimerais vraiment te comprendre tu sais, qu'est-ce que ça veut dire ça ? Comment ça tu as pas faim dans ce sens là ? Est-ce que.. Je fais mal les choses ? » J'ai vraiment envie de bien faire, mais seul je n'y arriverais pas et il faut qu'il me dise ce qu'il attend de moi, ou du moins que je comprenne ses mots. Et je dois aussi me retenir de l'embrasser une fois de plus, au passage. Parce que j'ignore pourquoi, mais aujourd'hui plus que jamais ses lèvres m'attirent et mes mains me supplient de les laisser au contact de sa peau chaude.
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Mer 1 Juil - 23:16 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Son innocence était certainement la plus grande obstacle face à mon envie de le dévoré, se mêle à ça le respect que j'ai pour lui, sans ces deux choses, il y aurait longtemps que je l'aurais forcé à céder, cependant, pour la première fois de ma vie, j'ai envie de faire les choses de bien, de les faire bien pour lui surtout. il ne mérite pas d'être traité ainsi alors autant le couvrir de toute l'affection du monde. Tout était bien nouveau pour lui, j'en avais conscience, mais j'essayais tant bien que mal de lui faire comprendre certaines choses à ma façon, bien que ça ne soit pas très direct, je dois l'avoué. Autant usé des petits chemins pour lui plutôt que les voies rapides comme on dit. Le brusqué n'aidera en rien donc autant prendre le temps. Je me devais d'être patient, après tout je n'étais pas du genre à violé quelqu'un. Un autre garçon aussi pur et innocent que lui aurait certainement eu droit à multiples tortures avant de le sentir céder entre mes doigts, sublime image cela dit, mais certainement pas aussi parfaite que celle de mon cadet à ce moment-là lorsqu'il sera décidé à sauter le pas. Encore une fois, ne brusquons pas les choses, ça ne serait que mauvais. Je pouvais très bien garder ça en moi pour longtemps encore, là n'est pas le problème, cependant j'avais peut être peur qu'un autre profite un peu trop de lui durant mon absence, le faisant ainsi perdre pied, tout est possible, bien que j'ai énormément confiance en lui, ma confiance aux autres n'existe pas encore.
Je chasse donc ces mauvaises pensées de ma tête et le regarde, souriant tendrement après l'écoute de ses mots. Il aimait donc ça ? C'était un début, cela dit, la fin de sa phrase était plutôt surprenante venant de lui, bien que je suppose qu'une fois encore, il n'a pas vraiment conscience de ce que cela signifie. « Monsieur a chaud pendant un baiser.. Intéressant ! » Un faible rire m'échappe alors que l'une de mes mains vient délicatement tiré ses cheveux vers l'arrières pour dégagé son visage. Un visage d'enfant qui ne collait pas forcément à la morphologie de son corps plutôt musclé, cela dit, ça n'avait rien de bien choquant, c'était surtout plaisant à voir sur lui. Mon regard se perdant dans le sien, j'étais devenu à cet instant muet, laissant ma main jouée avec quelques mèches de cheveux, je ne fus tirer de ma rêverie qu'après l'entente de ses derniers mots. « Mal ? Non. Tu fais ça très bien, parfois trop bien même, mais c'est plaisant, vraiment. » J'offrais un sourire plus ou moins rassurant avant de laisser mes lippes rencontré les siennes une nouvelle fois, mes mains venant par la suite saisir les siennes, mes doigts s'entremêlant en suite aux siens. « Je vais te montrer comment je veux te manger, bouge pas d'accord ? » Large sourire. Trop large même pour que mon idée soit chaste cette fois-ci. Tout en restant doux dans mes gestes, je vais à glisser mes lèvres sur sa joue, déposant un baiser sur cette dernière, descendant par la suite jusqu'à son cou pour que là aussi, j'y laisse une légère marque de passage. Relâchant ses mains, je laissais le bout de mes doigts glissés le long de ses bras alors que je continuai mon exploration sur le haut de son torse, descendant toujours aussi dangereusement, effleurant cette fois-ci de mes lippes l'un de ses boutons de chair avant de finalement dévié sur le centre de son torse. Je ne voulais pas vraiment croiser son regard durant ce moment, imaginé sa réaction me suffisait pour être fier de moi, cela dit, bien que j'imaginai facile la gêne qu'il pouvait ressentir, je ne voulais pas m'arrêter là. Une fois de plus, mes lèvres effleurent à nouveau sa peau laiteuse, descendant dangereusement jusqu'au niveau de la ceinture. A ce moment précis, je me doutais bien qu'il allait surement me détesté pour mon geste à venir, mais l'envie était bien plus forte. Mon muscle chaud et humide venait à glisser entre mes lèvres avant de rencontrer sa peau pour la première fois. Lentement mais surement, je remontai ainsi jusqu'à ton nombril avant de finalement me redresser, fier comme un coq et posant instinctivement mes fesses sur son bassin tout en le fixant. « Et voilà ! Compris ou pas monsieur ? »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Jeu 2 Juil - 17:48 Citer EditerSupprimer
J
Je suis incapable d'expliquer tout ce qui se passe dans ma tête quand je suis avec lui. C'est nouveau, encore inconnu et je découvre un peu plus chaque jour tout ce que cela signifie. Au début ce n'était vraiment pas facile, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, surtout que notre relation avant ce fameux soir était totalement à l'opposé de ce que nous vivons maintenant. À l'époque, je devais le regarder se rapprocher d'autres hommes qu'il draguait ouvertement, j'étais convaincu que je n'avais aucune valeur à ses yeux et que je n'étais qu'un gamin qui lui servait d'alibi, jamais je n'aurais pu imaginer une telle fin. Les choses ont tellement changé depuis ce jour-là, c'est presque surréel et si c'était à refaire, je recommencerais sans hésiter une seule seconde. J'ignore où tout ça va nous mener et je ne cherche pas non plus forcément à trouver la réponse, en fait je préfère laisser les choses arriver d'elles-mêmes, et advienne que pourra. J'ai simplement de plus en plus de mal à devoir rester éloigné de lui, j'étais peut-être un peu distant au début mais maintenant c'est l'inverse, un vrai pot de colle. Cependant je ne sais pas vraiment si c'est le bon comportement à adopter, et c'est pour cette raison que j'ai préféré directement lui demander. Sa réponse me rassure et je serre légèrement ses mains dans les miennes en l'écoutant reprendre la parole. Me montrer ? Comment ça me montrer ? Je l'interroge du regard avant de finalement hocher la tête sans bouger plus. Je m'attend à ce qu'il me sorte son téléphone pour me montrer quel plat il voudrait manger, mais à la place je sens ses lèvres se poser d'abord sur ma joue, puis dans mon cou. Je souris à ce contact qui me chatouille légèrement et repose mes mains sur ses épaules, observant le moindre de ses gestes sans comprendre ce qu'il est en train de faire.
Ses lippes glissant sur mon torse me font frissonner et je sens mon coeur battre à une vitesse folle, accélérant à chaque fois qu'il descendait d'un centimètre. Progressivement, la pression que mes doigts exerçaient sur ses épaules se renforce et je sens que je commence à paniquer. Ça me rend tout bizarre ce qu'il est en train de faire et je ne sais pas comment réagir. « Mais qu'est-ce que tu f- » J'arrête bien rapidement de parler et emprisonne ma lèvre inférieure entre mes dents lorsque sa langue parcourt la peau de mon bas-ventre qui se creuse à son passage. Un léger soupir m'échappe, je sens mes joues virer au rouge et j'ai l'impression que tout mon corps est en train de brûler. Finalement il se redresse et met fin à ce qui ressemblait presque à de la torture et je n'ose pas le regarder dans les yeux. Je reste alors quelques secondes silencieux, me mordillant toujours la lèvre avant d'enfin oser parler. « Qu'est ce que.. C'était ça que, enfin.. » Mon cerveau bouillonne et je n'arrive même pas à m'exprimer normalement alors je décide une fois de plus d'arrêter de réfléchir et de laisser mes instincts agir à ma place. Je plonge enfin mon regard dans le sien et laisse mes mains se poser sur sa nuque pour l'attirer vers moi sans chercher à comprendre. « Compris » Je l'embrasse une fois de plus, laissant ma langue jouer avec sa jumelle en gardant mes doigts appuyés sur sa nuque de peur qu'il ne recule trop rapidement. En réalité je n'ai pas vraiment compris mais qu'importe, pour une fois je n'ai pas envie de vouloir absolument tout savoir et je me contente de laisser les choses se faire, au diable la prudence, de toute façon je n'ai pas peur, j'ai totalement confiance en Nathys alors je ne m'inquiète pas. Je finis par mettre un terme à cet échange pour pouvoir respirer plus ou moins normalement et je me perd dans son regard encore une fois. Souriant légèrement, je laisse mes mains se balader dans son dos alors que mes yeux scannent le moindre détail de son visage tellement près du mien que mon coeur refuse de calmer son rythme fou. « Si "me manger" ça veut dire ça, alors je te laisserais me dévorer avec plaisir »
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Je suis incapable d'expliquer tout ce qui se passe dans ma tête quand je suis avec lui. C'est nouveau, encore inconnu et je découvre un peu plus chaque jour tout ce que cela signifie. Au début ce n'était vraiment pas facile, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, surtout que notre relation avant ce fameux soir était totalement à l'opposé de ce que nous vivons maintenant. À l'époque, je devais le regarder se rapprocher d'autres hommes qu'il draguait ouvertement, j'étais convaincu que je n'avais aucune valeur à ses yeux et que je n'étais qu'un gamin qui lui servait d'alibi, jamais je n'aurais pu imaginer une telle fin. Les choses ont tellement changé depuis ce jour-là, c'est presque surréel et si c'était à refaire, je recommencerais sans hésiter une seule seconde. J'ignore où tout ça va nous mener et je ne cherche pas non plus forcément à trouver la réponse, en fait je préfère laisser les choses arriver d'elles-mêmes, et advienne que pourra. J'ai simplement de plus en plus de mal à devoir rester éloigné de lui, j'étais peut-être un peu distant au début mais maintenant c'est l'inverse, un vrai pot de colle. Cependant je ne sais pas vraiment si c'est le bon comportement à adopter, et c'est pour cette raison que j'ai préféré directement lui demander. Sa réponse me rassure et je serre légèrement ses mains dans les miennes en l'écoutant reprendre la parole. Me montrer ? Comment ça me montrer ? Je l'interroge du regard avant de finalement hocher la tête sans bouger plus. Je m'attend à ce qu'il me sorte son téléphone pour me montrer quel plat il voudrait manger, mais à la place je sens ses lèvres se poser d'abord sur ma joue, puis dans mon cou. Je souris à ce contact qui me chatouille légèrement et repose mes mains sur ses épaules, observant le moindre de ses gestes sans comprendre ce qu'il est en train de faire.
Ses lippes glissant sur mon torse me font frissonner et je sens mon coeur battre à une vitesse folle, accélérant à chaque fois qu'il descendait d'un centimètre. Progressivement, la pression que mes doigts exerçaient sur ses épaules se renforce et je sens que je commence à paniquer. Ça me rend tout bizarre ce qu'il est en train de faire et je ne sais pas comment réagir. « Mais qu'est-ce que tu f- » J'arrête bien rapidement de parler et emprisonne ma lèvre inférieure entre mes dents lorsque sa langue parcourt la peau de mon bas-ventre qui se creuse à son passage. Un léger soupir m'échappe, je sens mes joues virer au rouge et j'ai l'impression que tout mon corps est en train de brûler. Finalement il se redresse et met fin à ce qui ressemblait presque à de la torture et je n'ose pas le regarder dans les yeux. Je reste alors quelques secondes silencieux, me mordillant toujours la lèvre avant d'enfin oser parler. « Qu'est ce que.. C'était ça que, enfin.. » Mon cerveau bouillonne et je n'arrive même pas à m'exprimer normalement alors je décide une fois de plus d'arrêter de réfléchir et de laisser mes instincts agir à ma place. Je plonge enfin mon regard dans le sien et laisse mes mains se poser sur sa nuque pour l'attirer vers moi sans chercher à comprendre. « Compris » Je l'embrasse une fois de plus, laissant ma langue jouer avec sa jumelle en gardant mes doigts appuyés sur sa nuque de peur qu'il ne recule trop rapidement. En réalité je n'ai pas vraiment compris mais qu'importe, pour une fois je n'ai pas envie de vouloir absolument tout savoir et je me contente de laisser les choses se faire, au diable la prudence, de toute façon je n'ai pas peur, j'ai totalement confiance en Nathys alors je ne m'inquiète pas. Je finis par mettre un terme à cet échange pour pouvoir respirer plus ou moins normalement et je me perd dans son regard encore une fois. Souriant légèrement, je laisse mes mains se balader dans son dos alors que mes yeux scannent le moindre détail de son visage tellement près du mien que mon coeur refuse de calmer son rythme fou. « Si "me manger" ça veut dire ça, alors je te laisserais me dévorer avec plaisir »
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Re: I'm looking right at the other half of me » #Nayi | Ven 3 Juil - 12:54 Citer EditerSupprimer
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#NAYI
Je voyais et ressentais son incompréhension, cependant, bien que j'aurais pu continuer mes gestes jusqu'à le voir céder complètement, j'ai préféré m'arrêter là, redevenant soudainement froid. Je ne savais pas comment aborder un certains sujet avec lui, je ne savais pas si il était réellement fautif ou non et de ce fait, autant aborder délicatement le sujet dans un premier temps avant de voir comment les choses allaient se terminées. Je venais à quitté son bassin, m'allongeant à côté de lui, ignorant ces derniers mots sans même m'en rendre compte. Au final, c'était peut être moi qui n'était pas prêt à sauter le pas avec lui. Cette rumeur qui circulait à son sujet était venue me hantée à nouveau sans que je ne le demande, brisant ainsi ce merveilleux moment. Je venais à tourné ma tête vers lui, souriant faiblement avant de saisir sa main dans la mienne. A ce moment là, j'avais peur de ce qui allait se passer, peur de savoir la réponse à cette question qui prenait tant de place dans mon esprit, peur d'ouvrir une énième dispute et de lui faire du mal.
Au fond de moi, je savais que le premier à vriller serait moi si la réponse s’avère être mauvaise, cependant, le connaissant, il aurait certainement plus mal que moi et surement à cause de moi. J'étais partagé entre ce sentiment de curiosité et cette peur. Ma main serra fortement la sienne avant que je ne l'attire dans mes bras, déposant un baiser sur son front. « J'ai besoin de savoir quelque chose et.. J'aimerai que tu me dises la vérité s'il te plait. » La bombe était lancée, difficile de retourné en arrière désormais. Je me voulais être rassurant, mais à quoi bon ? Je n'étais moi même pas rassurer donc cela ne servait à rien. « Je me suis servis de toi comme petit chien durant énormément de temps et j'aimerai que tu me dises si aujourd'hui encore, tu fais ça avec d'autre personnes.. » J'avais peur, énormément peur pour la première fois de ma vie. J'avais pour habitude d'avoir le contrôle sur tout, mais aujourd'hui je voyais bien que quelques choses venait à m'échapper. « Dis-moi la vérité. » Je me redresse doucement, restant en position assise sur le lit tout en l'observant et cherchant la réponse dans son regard. J'étais perdu et je ne savais pas quoi faire. Une partie de moi voulait entendre la réponse, mais une autre partie voulait fuir cette chambre car elle connaissait déjà cette dite réponse. « Quoi que tu dises, quoi que tu fasses, je continuerai de t'aimer.. j'ai juste besoin de savoir la vérité, toute la vérité. »
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