Enfant de crapeau, tu pues des pieds ;; Kwang Ho (enfin ='D)
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Enfant de crapeau, tu pues des pieds ;; Kwang Ho (enfin ='D) | Mer 24 Juin - 1:23 Citer EditerSupprimer
❝Enfant de crapeau, tu pues des pieds❞ Kwang Ho & Jae Sun J'étais livide, le regard qui s’horrifiait un peu plus à mesure que j'entendais ce qu'on voulait bien m'avouer sur les agissements de Kwang Ho. Je sentais la colère me monter mais je restais de glace comme si j'attendais le moment propice pour pouvoir déverser toute ma rage. Ça ne faisait même pas une semaine que j'étais de retour, que j'apprenais par ci par là les monstrueuses péripéties de mon jumeau. Ses conneries allaient me rendre fous, et je n'avais qu'une envie, l'étaler par terre et piétiner sa face avec mes chaussures pleines de merde et pourquoi pas lui arracher les couilles afin qu'il ne recommence plus jamais l'acte odieux qu'il avait commis sur cette pauvre Rahel. Je ne la connaissais pas mais apparemment, elle aurait été violé par Kwang Ho, rien que ça... Putain, mais quel enfant de salaud !! Je devais le retrouver, c'était une question de vie ou de mort. Non parce que sinon je vais tuer ses espèces de monstres à poils, oui je parle bien sûr de ses horribles chats. J'avais questionné avec une extrême froideur les gens qui seraient susceptibles de savoir où ce fils de pute pouvaient bien se trouver. Autant je suis quelqu'un d'assez jovial en temps normal, autant là, je n'avais aucune envie de rigoler ou de jouer le gars sympa... J'étais aveuglé par la colère et je n'avais en « target » que Kwang Ho. Y aurait eut une nana à poil prête à se donner à moi là maintenant, que je ne l'aurais même pas vu. Après avoir interrogé plusieurs personnes, on m'avoua à demi mots que Kwang Ho aimait bien s'isoler dans les égouts donc qu'il faudrait que j'aille voir là-bas... LES EGOUTS ??? Mais ils se foutent de moi ou quoi ?! Je n'arrivais pas à croire qu'il serait capable de penser que les égouts étaient un endroit confortable, j'avais demandé à d'autres personnes où il pouvait se trouver mais la réponse était toujours la même.... oui, les égouts........ Là, je devais respirer bien profondément et me battre contre moi-même pour ne pas enfoncer la tête de la gentille personne qui venait de m'aider dans le mur. Je ne vais pas simplement le tuer, je vais aussi faire cuire ses intestins et les donner à manger aux lions. C'est tout ce qu'il mérite de toute manière ! A contre-coeur – mais alors VRAIMENT a contre-coeur – je me résigna à tenter le coup des égouts... On m'avait donner l'endroit exact et comment il fallait s'y rendre, heureusement. J'y étais... dans ces égouts de malheur, j'avais nouer un foulard Hermès autour de mon visage pour tenter de couvrir l'épouvantable odeur mais c'était quand même abusé. Le gars kiffait être dans un tel environnement... abusé. Ce mec faisait vraiment parti de ma famille ou bien ?! Muni d'une lampe poche, j'avançais deux de tensions et je flippait à chaque instant de croiser des rats ou des conneries du genre. Mais tout de même, ma colère et l'envie de retrouver Kwang Ho était plus forte. Alors d'une voix forte je lança : « HEY KWANG HO, t'es où ? Je sais que t'es pas loin, n'essaye pas de te cacher, je te connais par cœur... » |
© Pando |
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Re: Enfant de crapeau, tu pues des pieds ;; Kwang Ho (enfin ='D) | Dim 28 Juin - 16:42 Citer EditerSupprimer
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Jae Sun & Kwang Ho
Enfant de crapeau, tu pues des pieds
Viser, tirer….viser, tirer….
« Et bingo ! » Encore et toujours, la cible fut atteinte par mes soins, et la fléchette, aussi petite soit-elle, dans la puanteur de cette partie d’égout duquel, j’avais trouvé refuge. Depuis des heures interminables, allongé dans ce hamac que j’avais accroché, de part en part des tuyaux capables de le retenir, mes poumons s’imprégnaient de l’air insipide qui régnait en ces lieux.
Viser, tirer…viser, tirer…
Tel un mantra, un besoin au commencement sans juste fin dont le son du centre de la cible atteinte, faisait écho dans mon esprit. Un écho qui savait me rassurer tandis que j’étais là, caché, attendant qu’il me trouve pour m’infliger n’importe quelle punition qu’il inventera afin de me faire payer, me punir de toutes ces choses que j’avais faites alors qu’il était parti. Quelle ironie, lorsque l’on vient à y songer. Moi, le Roi, inspirant la crainte, la jalousie, le désir, et bien d’autres sentiments aussi attrayants qu’insignifiants, tremblant comme l’aurait fait une vulgaire fillette à l’entente de l’histoire du croque-mitaine, ici, mon propre frère.
Viser, tirer…Viser, tirer…
Et, cette crainte allait de pair avec les rumeurs s’élevant, enlassants les esprits, divulguants de fausses vérités, des révélations détournée. Viol, passages à tabac, escroqueries, vente de drogues, certes, pour ma part, celles me concernant sont bien plus que véridiques. Des rumeurs qu’il avait aisément entendues, j’en avais la cruelle certitude. De ma main, je souille notre nom. Je souille ce que j’étais, jadis, autant que le lien qui nous unissait, lui et moi. Solitude, défaillance, tombant dans le gouffre, rien n’a changé, tout a empiré. Et parce que je ne sais manier les mots, j’ai une préférence pour la violence, me battant avec fierté pour mon empire. Celui pour lequel je dois rester fier chaque jour, immonde chaque nuit. Bestial, sauvage, je ne peux me dérober à mon rôle de leader, abandonnant ce que j’ai su durement gagner au fil de ces longues années. Alors depuis qu’il est rentré, je m’emploi à faire quelque chose de vraiment con pour garder la tête haute, mon honneur aux yeux de tous intacte, à tel point que je qualifierais cela de lâche et d’immature : l’éviter à n’importe quel prix car, lui seul sait ébrécher le monstre que je suis.
Viser, tirer…Viser, tirer…
Et s’rater lamentablement alors que sa voix, mon nom crié, m’appelant, vint percer mes tympans. Il va m’tuer. C’est, la peur contractant mes tripes que je me relève de mon hamac dans la hâte, tournant sur moi-même, au milieu de ce que l’on pourrait nommer, une pièce, à la recherche d’une cachette adéquate. Peut-être devrais-je me frapper la tête contre un mur en espérant finir inconscient avant qu’il n’arrive ? Mnh. Des caisses d’alcool, de couvertures, une table et un hamac comme seules planques. Pas à pas, je l’entends se rapprocher alors qu’il doit grogner de marcher dans cette puanteur, lui qui semble toujours vouloir une présentation impeccable. Ses fringues vont être salopées, et il va m’tuer. Tch. Qu’est-ce que j’pouvais être pathétique ! C’est finalement, tout en déglutissant avec difficulté que je m’réinstalle dans mon hamac, avant-bras cachant mes yeux, espérant qu’avec un peu de chance -Non, enfaite, beaucoup de chance-, en faisant semblant de dormir, il finira par partir. Humpf. Ô oui, vraiment pathétique.
« Et bingo ! » Encore et toujours, la cible fut atteinte par mes soins, et la fléchette, aussi petite soit-elle, dans la puanteur de cette partie d’égout duquel, j’avais trouvé refuge. Depuis des heures interminables, allongé dans ce hamac que j’avais accroché, de part en part des tuyaux capables de le retenir, mes poumons s’imprégnaient de l’air insipide qui régnait en ces lieux.
Viser, tirer…viser, tirer…
Tel un mantra, un besoin au commencement sans juste fin dont le son du centre de la cible atteinte, faisait écho dans mon esprit. Un écho qui savait me rassurer tandis que j’étais là, caché, attendant qu’il me trouve pour m’infliger n’importe quelle punition qu’il inventera afin de me faire payer, me punir de toutes ces choses que j’avais faites alors qu’il était parti. Quelle ironie, lorsque l’on vient à y songer. Moi, le Roi, inspirant la crainte, la jalousie, le désir, et bien d’autres sentiments aussi attrayants qu’insignifiants, tremblant comme l’aurait fait une vulgaire fillette à l’entente de l’histoire du croque-mitaine, ici, mon propre frère.
Viser, tirer…Viser, tirer…
Et, cette crainte allait de pair avec les rumeurs s’élevant, enlassants les esprits, divulguants de fausses vérités, des révélations détournée. Viol, passages à tabac, escroqueries, vente de drogues, certes, pour ma part, celles me concernant sont bien plus que véridiques. Des rumeurs qu’il avait aisément entendues, j’en avais la cruelle certitude. De ma main, je souille notre nom. Je souille ce que j’étais, jadis, autant que le lien qui nous unissait, lui et moi. Solitude, défaillance, tombant dans le gouffre, rien n’a changé, tout a empiré. Et parce que je ne sais manier les mots, j’ai une préférence pour la violence, me battant avec fierté pour mon empire. Celui pour lequel je dois rester fier chaque jour, immonde chaque nuit. Bestial, sauvage, je ne peux me dérober à mon rôle de leader, abandonnant ce que j’ai su durement gagner au fil de ces longues années. Alors depuis qu’il est rentré, je m’emploi à faire quelque chose de vraiment con pour garder la tête haute, mon honneur aux yeux de tous intacte, à tel point que je qualifierais cela de lâche et d’immature : l’éviter à n’importe quel prix car, lui seul sait ébrécher le monstre que je suis.
Viser, tirer…Viser, tirer…
Et s’rater lamentablement alors que sa voix, mon nom crié, m’appelant, vint percer mes tympans. Il va m’tuer. C’est, la peur contractant mes tripes que je me relève de mon hamac dans la hâte, tournant sur moi-même, au milieu de ce que l’on pourrait nommer, une pièce, à la recherche d’une cachette adéquate. Peut-être devrais-je me frapper la tête contre un mur en espérant finir inconscient avant qu’il n’arrive ? Mnh. Des caisses d’alcool, de couvertures, une table et un hamac comme seules planques. Pas à pas, je l’entends se rapprocher alors qu’il doit grogner de marcher dans cette puanteur, lui qui semble toujours vouloir une présentation impeccable. Ses fringues vont être salopées, et il va m’tuer. Tch. Qu’est-ce que j’pouvais être pathétique ! C’est finalement, tout en déglutissant avec difficulté que je m’réinstalle dans mon hamac, avant-bras cachant mes yeux, espérant qu’avec un peu de chance -Non, enfaite, beaucoup de chance-, en faisant semblant de dormir, il finira par partir. Humpf. Ô oui, vraiment pathétique.
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Re: Enfant de crapeau, tu pues des pieds ;; Kwang Ho (enfin ='D) | Ven 3 Juil - 23:33 Citer EditerSupprimer
❝Enfant de crapeau, tu pues des pieds❞ Kwang Ho & Jae Sun J'aurais aspergé mon carré Hermès dans une bassine remplie de parfum que ça n'aurait rien changé à la terrible odeur qui emplissait sérieusement mon nez délicat. A chaque pas que je faisais, j'imaginais une nouvelle façon de torturer mon frère pour ce qu'il m'obligeait à faire. J'étais parti quelques années à peine, je l'avais laissé seul pensant qu'il était assez grand pour se prendre en charge lui-même et je me retrouve avec un véritable monstre sur les bras... Nos pauvres parents devaient être en train de pleurer de honte là où ils sont... Non mais c'est certain, dès que je le retrouve, je le noies dans ces eaux pleines de merde et de pisse, c'est tout ce qu'il mérite ! Même si en vrai, je ne ferais rien de tout ça, même si en vrai je me languissais chaque jour de revoir Kwang Ho, même si en vrai il m'avait terriblement manqué ce bâtard, je me montrerais intraitable dès que je le retrouverais. Ouais, j'avais décidé ça et ça ne changera pas. Enfin, j'arrivais dans un genre de squat dans lequel je m'attendais à rencontrer un SDF mais c'est allongé sur un hamac, les yeux cachés de ses mains que je le revoyais enfin, mon double maléfique. Alors à l'intérieur, de moi c'était le soulagement bien entendu. J'étais heureux de le voir en vie, voir qu'il se portait bien manifestement puisqu'il avait la conscience assez tranquille pour pouvoir dormir ! Comment ça il faisait semblant ? Dans une autre vie, j'aurais couru vers lui et n'aurait pas eut peur de dégueulasser mes fringues en l'étreignant même s'il puait l'urine. Je lui aurais dit à quel point il m'avait manqué et que j'en venait carrément à compter les jours qui me restait avant de revenir en Corée et qu'il n'y avait pas un jour où je ne m'inquiétais pas pour lui. Mais la réalité était tout autre.. J'avais verrouillé ma cible du regard, impact dans 3,2,1. Sans ménagement, je retourna le hamac dans lequel il était en train de « dormir » et lui asséna un bon coup de pied dans les burnes de mon cher frère. Homme à terre ou pas, il doit souffrir, c'est écrit Je me pencha alors pour pouvoir bien lui crier dans les oreilles, dans un écho qui faisait prestige avec du recul. Je n'avais pas du tout envie de prendre pitié de lui, il me dégouttait... « Alors comme ça on force les filles à faire plaisir à ton zguègue ? Mais t'as quoi dans ta tête au juste ? Un singe qui fait des timbales ? » Ouais, il me dégouttait... Mais peut-être était-ce parce que Kwang Ho n'avait pas encore eut l'occasion d'être le Kwang Ho qui me fait craquer tellement il arrive à être cute... Aalalala, s'il savait qu'il pouvait être mon talon d'Achille, ma kryptonite à moi... je pense que je n'arriverais sûrement pas à lui rouler dessus comme je le fais en ce moment héhé. |
© Pando |
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Re: Enfant de crapeau, tu pues des pieds ;; Kwang Ho (enfin ='D) | Mar 14 Juil - 4:17 Citer EditerSupprimer
Sa question semblait rester en suspens dans l’air, ne pouvant se dissiper, tel un nuage noir tourbillonnant dans mon esprit alors que je me retrouvais à terre tout comme une vulgaire merde, les mains sur mes burnes qu’il venait de cogner avec un peu trop de brutalité pour je que puisse le supporter sans broncher. Je couine, grogne, chouine et tousse. « Il y a d’autres manières pour saluer son frère » Gémissais-je piteusement avant de tenter de me redresser, assis, le dos contre la paroi des égouts, derrière moi « Et, je t’assure, chou, que je n’ai rien fait. C’est pas moi ! ». Pourtant, sans oser le regarder dans les yeux, je tente à mentir afin de, lâchement, sauver ma peau, car il est clair que j’vais en baver si je n’trouve pas une excuse, aussi con soit-t-elle.
Un sourire narquois vint fleurir à mes lèvres tandis que je me redressais, cette fois debout, le défiant de ma dignité retrouvé, de part, toute ma royauté « Et sinon, qu’est-ce que tu viens branler ici, p’tit frère ? Qu’est-ce que fait un jeune Bourgeois de ton espèce dans ces égouts ? Dans mes égouts » Accentuant d’autant plus sur l’adjectif possessif afin de lui signifier, subtilement, qu’il se trouvait être sur mon territoire. « Mise à part, bien sûr, dégueulasser tes fringues hors de prix. Tch. Tu es bien trop superficiel pour jouer au pseudo-clodo, mon chaton ». Mon ton se fait dur, les mots qui sortent de mes lèvres, froids, contrastant avec mes iris noirs transpirants la crainte de te revoir face à moi et, je désire que mes paroles t’interpellent, te prouvant à quel point ta place n’est pas ici, dans cette puanteur, entre ces murs souillés de déchets.
Déglutissant lentement, c’est avec appréhension que je me redresse et avance plus proche encore de toi, comme un condamné fasse à son bourreau, comme un Lion fasse à sa Gazelle, prêt à te séduire, à baisser ta garde, mais jamais à me repentir afin de ne pas perdre la face. « Qui t’as raconté toutes ces conneries ? Tu préfères croire de parfaits étrangers plutôt que moi, ton propre frère ? » Une moue aussi bien outrée que vexée vint griffer les traits de mon visage avant de poursuivre sur un timbre de voix des plus sardonique, « Ou bien, peut-être que tout ce temps passé loin de moi, t’aurais transformé en une sorte de super justicier naïf et hyper émotionnel ? Et tu n’as toujours pas de costume ? Allons donc, mon cher, il faut te trouver une copie du déguisement de Catwoman, version mâle ! Tu seras si beau en gros chat. »
Lâchant un rire cristallin à ma propre connerie et parce que je désirais te sentir près de moi, toucher ta chair longtemps trop loin de la mienne, humer ton doux parfum qui n’avait jamais quitté mes sens, j’encercle ton cou de mes mains « Tu crois vraiment que j’aurais été capable de violer cette Rahel ? ». Et, à l’instant, mes bras se crispent devant cette erreur de débutant. Règle numéro un : Ne jamais prononcer le nom de sa victime devant une personne qui vous accuse, dans le cas duquel, celle-ci, ne l’a pas encore révélé.
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Jae Sun & Kwang Ho
Enfant de crapeau, tu pues des pieds
Sa question semblait rester en suspens dans l’air, ne pouvant se dissiper, tel un nuage noir tourbillonnant dans mon esprit alors que je me retrouvais à terre tout comme une vulgaire merde, les mains sur mes burnes qu’il venait de cogner avec un peu trop de brutalité pour je que puisse le supporter sans broncher. Je couine, grogne, chouine et tousse. « Il y a d’autres manières pour saluer son frère » Gémissais-je piteusement avant de tenter de me redresser, assis, le dos contre la paroi des égouts, derrière moi « Et, je t’assure, chou, que je n’ai rien fait. C’est pas moi ! ». Pourtant, sans oser le regarder dans les yeux, je tente à mentir afin de, lâchement, sauver ma peau, car il est clair que j’vais en baver si je n’trouve pas une excuse, aussi con soit-t-elle.
Un sourire narquois vint fleurir à mes lèvres tandis que je me redressais, cette fois debout, le défiant de ma dignité retrouvé, de part, toute ma royauté « Et sinon, qu’est-ce que tu viens branler ici, p’tit frère ? Qu’est-ce que fait un jeune Bourgeois de ton espèce dans ces égouts ? Dans mes égouts » Accentuant d’autant plus sur l’adjectif possessif afin de lui signifier, subtilement, qu’il se trouvait être sur mon territoire. « Mise à part, bien sûr, dégueulasser tes fringues hors de prix. Tch. Tu es bien trop superficiel pour jouer au pseudo-clodo, mon chaton ». Mon ton se fait dur, les mots qui sortent de mes lèvres, froids, contrastant avec mes iris noirs transpirants la crainte de te revoir face à moi et, je désire que mes paroles t’interpellent, te prouvant à quel point ta place n’est pas ici, dans cette puanteur, entre ces murs souillés de déchets.
Déglutissant lentement, c’est avec appréhension que je me redresse et avance plus proche encore de toi, comme un condamné fasse à son bourreau, comme un Lion fasse à sa Gazelle, prêt à te séduire, à baisser ta garde, mais jamais à me repentir afin de ne pas perdre la face. « Qui t’as raconté toutes ces conneries ? Tu préfères croire de parfaits étrangers plutôt que moi, ton propre frère ? » Une moue aussi bien outrée que vexée vint griffer les traits de mon visage avant de poursuivre sur un timbre de voix des plus sardonique, « Ou bien, peut-être que tout ce temps passé loin de moi, t’aurais transformé en une sorte de super justicier naïf et hyper émotionnel ? Et tu n’as toujours pas de costume ? Allons donc, mon cher, il faut te trouver une copie du déguisement de Catwoman, version mâle ! Tu seras si beau en gros chat. »
Lâchant un rire cristallin à ma propre connerie et parce que je désirais te sentir près de moi, toucher ta chair longtemps trop loin de la mienne, humer ton doux parfum qui n’avait jamais quitté mes sens, j’encercle ton cou de mes mains « Tu crois vraiment que j’aurais été capable de violer cette Rahel ? ». Et, à l’instant, mes bras se crispent devant cette erreur de débutant. Règle numéro un : Ne jamais prononcer le nom de sa victime devant une personne qui vous accuse, dans le cas duquel, celle-ci, ne l’a pas encore révélé.
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