KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die
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KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Jeu 25 Juin - 17:03 Citer EditerSupprimer
don't make me sad,
don't make me cry, love me unless we die
don't make me cry, love me unless we die
#keji
C’est évident, ma vie ne tourne qu’autour de kelea. C’est évident, ma vie ne se résume qu’à son bonheur, son sourire, nos rires et la chaleur bienfaisante de son souffle sur ma peau et ses yeux dans les miens. Mon amour, la seule femme de ma vie, de mon univers entier. J’ai fait l’erreur de lui faire croire qu’elle n’était pas la seule, j’ai fait l’erreur de la laisser croire que j’avais besoin d’autre chose que d’elle dans ma vie. Mais mon amour, je ne vis que pour et par toi, j’te le jure. J’ai été trop aveugle pour m’en rendre compte. J’ai eu besoin de temps pour m’en rendre compte, et ça m’as baffé comme une évidence. Bien sur que je n’ai besoin que d’elle, bien que je ne vis que pour elle. Ai-je été assez stupide pour en douter ? oh, je suis tellement désolé.
C’est évident, ma vie ne tourne qu’autour de kelea. C’est évident, ma vie ne se résume qu’à son bonheur, son sourire, nos rires et la chaleur bienfaisante de son souffle sur ma peau et ses yeux dans les miens. Mon amour, la seule femme de ma vie, de mon univers entier. J’ai fait l’erreur de lui faire croire qu’elle n’était pas la seule, j’ai fait l’erreur de la laisser croire que j’avais besoin d’autre chose que d’elle dans ma vie. Mais mon amour, je ne vis que pour et par toi, j’te le jure. J’ai été trop aveugle pour m’en rendre compte. J’ai eu besoin de temps pour m’en rendre compte, et ça m’as baffé comme une évidence. Bien sur que je n’ai besoin que d’elle, bien que je ne vis que pour elle. Ai-je été assez stupide pour en douter ? oh, je suis tellement désolé.
Chaque jour, chaque minute, chaque seconde avec toi me fait l’effet d’un aphrodisiaque, chaque sourire se grave dans ma mémoire, chaque son de ta voix déclenche les millions de papillons dans mon ventre. Putain, mieux que n’importe quelle drogue, mieux que n’importe quoi, mieux que tout l’univers, c’est kelea. C’est ce genre de pensées qui me hantent pendant que la dernière heure de cours de la journée ne passe. Pendant que moi qui ai séché mon dernier cours, me dirige vers la sale de classe de la femme de ma vie, et c’est moi aussi qui accroche au mur en face de la porte un très joli dessin à l’aquarelle d’un tournesol que kelea avait dessiné une fois, quand on était partis juste tout les deux pour la journée. Puis j’accroche un tournesol à droite, sur le mur (sans la tige), puis j’en pose à distance raisonnable sur le sol. Et mon chemin suis son cours dans les couloirs jusqu’à monter dans l’escalier de secours qui monte sur le toit. Puis sur le toit après, juste un tapis à poil long, comme ceux qu’elle aime pour s’y coucher et regarder des vidéos à la con. Et en parlant de vidéo, je sors mon ordi portable du sac, l’allume et met ma vidéo en plein écran. Tout est planifié. Une application super pratique me permettra de l’allumer en tant voulu, mais ce n’est pas finis non, moi, avec un petit sourire mais surtout avec le cœur qui bas beaucoup, je finis d’installer mes bêtises. Rien de plus sur le toit, rien que ça. Nous ne sommes pas des plus romantiques, pas des plus niais. Moi, je l’aime simplement. Simplement si fortement. Simplement à en crever. Simplement d’amour.
Quelques jours se sont écoulés depuis que kelea à pleurer. Quelques jours se sont écoulés pour que je comprenne enfin ou j’avais merdé. Et aujourd’hui ma princesse fête son anniversaire. Ma princesse doit être super en colère que je ne l’ai pas appelé, pas surprise ce matin au dortoir des pyobeoms, pas envoyé un sms au moins en lui promettant mille merveilles. Rien. J’ai fait le mort toute la journée, pardonne moi d’avance mon amour, c’était pour ton bonheur. Pour notre bonheur. Pour nous, pour toi. Pour ton cœur, qu’il ne pleure plus. Je me redresse et vérifie une dernière fois le toit avant d’inspirer grandement. Je vérifie l’heure et descend à nouveau les escaliers en prenant soin de ne pas faire tomber les tournesols, ou quoi que se soit. Et je me dirige vers mon complice qui m’attendait près de la salle de classe de Kelea, qui elle, ne se doute de rien du tout. Mon amour, j’espère que tu souriras. Un peu au moins ? Je le remercie encore une fois et remonte quatre à quatre les escaliers jusqu’au toit pendant que le surveillant en question toque à la porte. « Mlle hwang kelea, le proviseur vous demande. Prenez vos affaires et suivez-moi. » Oh, j’aurais adoré voir ta tête, mon amour, j’aurais adoré voir ta réaction à ton dessin accroché dans le couloir, aux tournesols par terre. Oh mon amour, j’aurais adoré voir ta tête quand le surveillant à refermé la porte, t’as montré le mur et t’as dit « suivez le chemin… » Avec son petit sourire coquin. Et moi j’attend, patiemment que tu ne montes jusqu’au toit, que tu regarde autour de toi.
Et moi, enfin, quand je te vois, je ne peux pas empêcher mon cœur de battre plus fort, mon sourire de s’afficher avec un air niais. Mais moi, je suis tout caché, alors tu ne me vois pas. Tu es tellement belle, mon amour. J’ai envie de te le crier, encore et encore, mais la vidéo s’en chargera pour moi. Je la lance avec un peu d’appréhension, dévorant mon amoureuse du regard. /la vidéo commence, on y voit kouji (jusqu’au buste) et son petit sourire d’amoureux transit/ « bébé, coucou » dit ma voix à la vidéo, faisant coucou à la caméra avant de rire. « bon, mh… voilà. T’es surement en colère contre moi parce que je t’ai pas appelé ce matin, que je suis pas venu te voir mais… j’ai pas arrêté de penser à toi aujourd’hui. Tu hantes mes pensées, comme d’habitude, toute la journée, tout le temps. T’es un peu chiante d’ailleurs, j’ai carrément raté mon contrôle d’anglais parce que je pensais trop à aujourd’hui, j’pensais trop à toi… » ça fait bizarre de me regarder lui parler en étant là, caché. Je retiens ma respiration alors que le moi virtuel inspire un petit peu, sourit à la caméra et reprend. « tu t’es assise mon bébé ? Je sais que tu voulais pas que j’en parle mais… j’suis obligé. Tu sais mon cœur, ça me fait vraiment trop mal au cœur de te savoir pas bien, à cause de moi en plus, c’est genre le pire des supplices… si je passe par la caméra c’est que tu peux pas couper en fait, genre, même si tu fermes l’ordi t’entendras toujours ma voix… » Il rit un peu, fier de sa bêtise et en même temps nerveux. « mais t’en vas pas hein !!! je sais pas si tu t’es levée ou quoi mais, reste je t’en prie. Je voulais te le dire, encore et encore et encore ces derniers jours mais j’ai jamais réussis à trouver le bon ton. Je savais pas comment t’aborder. T’es un vrai mystère pour moi des fois kelea, j’te connais par cœur et pourtant j’arrivais pas à te le dire. T’es la seule chose importante dans ma vie, bébé. J’ai besoin que de toi. J’ai besoin de rien d’autre, de personne d’autre. J’ai besoin que de toi. Je veux que toi. J’laisserais tout tomber pour toi. Tout. Si tu me redemande de choisir entre le monde et toi, j’te choisis toi sans hésiter. Je n’hésiterais plus jamais. » Et mon moi virtuel parle pendant que moi je m’approche en silence du tapis, de mon bébé devant la video. Et je m’assois silencieusement derrière elle pendant qu’elle me regarde, là sur l’ordinateur. « Je t’aime. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. J’le dirais jamais assez. Donc si tu veux bien mon cœur… si tu veux bien, laisse moi me faire pardonner, tourne toi, prend ma main et suis moi… tu veux bien ? me suivre ? Juste toi, moi, et un week-end pour nous. » Dis oui mon amour. Dis oui à ma niaiserie et mon amour. Moi, c'est comme la première fois que t'as dis oui pour sortir avec moi, j'explose de l'intérieur, et j'ai juste tellement hâte de croiser ton regard, mon amour. tu me manques tellement que j'en crève. Retourne toi...
C’est évident, ma vie ne tourne qu’autour de kelea. C’est évident, ma vie ne se résume qu’à son bonheur, son sourire, nos rires et la chaleur bienfaisante de son souffle sur ma peau et ses yeux dans les miens. Mon amour, la seule femme de ma vie, de mon univers entier. J’ai fait l’erreur de lui faire croire qu’elle n’était pas la seule, j’ai fait l’erreur de la laisser croire que j’avais besoin d’autre chose que d’elle dans ma vie. Mais mon amour, je ne vis que pour et par toi, j’te le jure. J’ai été trop aveugle pour m’en rendre compte. J’ai eu besoin de temps pour m’en rendre compte, et ça m’as baffé comme une évidence. Bien sur que je n’ai besoin que d’elle, bien que je ne vis que pour elle. Ai-je été assez stupide pour en douter ? oh, je suis tellement désolé.
Chaque jour, chaque minute, chaque seconde avec toi me fait l’effet d’un aphrodisiaque, chaque sourire se grave dans ma mémoire, chaque son de ta voix déclenche les millions de papillons dans mon ventre. Putain, mieux que n’importe quelle drogue, mieux que n’importe quoi, mieux que tout l’univers, c’est kelea. C’est ce genre de pensées qui me hantent pendant que la dernière heure de cours de la journée ne passe. Pendant que moi qui ai séché mon dernier cours, me dirige vers la sale de classe de la femme de ma vie, et c’est moi aussi qui accroche au mur en face de la porte un très joli dessin à l’aquarelle d’un tournesol que kelea avait dessiné une fois, quand on était partis juste tout les deux pour la journée. Puis j’accroche un tournesol à droite, sur le mur (sans la tige), puis j’en pose à distance raisonnable sur le sol. Et mon chemin suis son cours dans les couloirs jusqu’à monter dans l’escalier de secours qui monte sur le toit. Puis sur le toit après, juste un tapis à poil long, comme ceux qu’elle aime pour s’y coucher et regarder des vidéos à la con. Et en parlant de vidéo, je sors mon ordi portable du sac, l’allume et met ma vidéo en plein écran. Tout est planifié. Une application super pratique me permettra de l’allumer en tant voulu, mais ce n’est pas finis non, moi, avec un petit sourire mais surtout avec le cœur qui bas beaucoup, je finis d’installer mes bêtises. Rien de plus sur le toit, rien que ça. Nous ne sommes pas des plus romantiques, pas des plus niais. Moi, je l’aime simplement. Simplement si fortement. Simplement à en crever. Simplement d’amour.
Quelques jours se sont écoulés depuis que kelea à pleurer. Quelques jours se sont écoulés pour que je comprenne enfin ou j’avais merdé. Et aujourd’hui ma princesse fête son anniversaire. Ma princesse doit être super en colère que je ne l’ai pas appelé, pas surprise ce matin au dortoir des pyobeoms, pas envoyé un sms au moins en lui promettant mille merveilles. Rien. J’ai fait le mort toute la journée, pardonne moi d’avance mon amour, c’était pour ton bonheur. Pour notre bonheur. Pour nous, pour toi. Pour ton cœur, qu’il ne pleure plus. Je me redresse et vérifie une dernière fois le toit avant d’inspirer grandement. Je vérifie l’heure et descend à nouveau les escaliers en prenant soin de ne pas faire tomber les tournesols, ou quoi que se soit. Et je me dirige vers mon complice qui m’attendait près de la salle de classe de Kelea, qui elle, ne se doute de rien du tout. Mon amour, j’espère que tu souriras. Un peu au moins ? Je le remercie encore une fois et remonte quatre à quatre les escaliers jusqu’au toit pendant que le surveillant en question toque à la porte. « Mlle hwang kelea, le proviseur vous demande. Prenez vos affaires et suivez-moi. » Oh, j’aurais adoré voir ta tête, mon amour, j’aurais adoré voir ta réaction à ton dessin accroché dans le couloir, aux tournesols par terre. Oh mon amour, j’aurais adoré voir ta tête quand le surveillant à refermé la porte, t’as montré le mur et t’as dit « suivez le chemin… » Avec son petit sourire coquin. Et moi j’attend, patiemment que tu ne montes jusqu’au toit, que tu regarde autour de toi.
Et moi, enfin, quand je te vois, je ne peux pas empêcher mon cœur de battre plus fort, mon sourire de s’afficher avec un air niais. Mais moi, je suis tout caché, alors tu ne me vois pas. Tu es tellement belle, mon amour. J’ai envie de te le crier, encore et encore, mais la vidéo s’en chargera pour moi. Je la lance avec un peu d’appréhension, dévorant mon amoureuse du regard. /la vidéo commence, on y voit kouji (jusqu’au buste) et son petit sourire d’amoureux transit/ « bébé, coucou » dit ma voix à la vidéo, faisant coucou à la caméra avant de rire. « bon, mh… voilà. T’es surement en colère contre moi parce que je t’ai pas appelé ce matin, que je suis pas venu te voir mais… j’ai pas arrêté de penser à toi aujourd’hui. Tu hantes mes pensées, comme d’habitude, toute la journée, tout le temps. T’es un peu chiante d’ailleurs, j’ai carrément raté mon contrôle d’anglais parce que je pensais trop à aujourd’hui, j’pensais trop à toi… » ça fait bizarre de me regarder lui parler en étant là, caché. Je retiens ma respiration alors que le moi virtuel inspire un petit peu, sourit à la caméra et reprend. « tu t’es assise mon bébé ? Je sais que tu voulais pas que j’en parle mais… j’suis obligé. Tu sais mon cœur, ça me fait vraiment trop mal au cœur de te savoir pas bien, à cause de moi en plus, c’est genre le pire des supplices… si je passe par la caméra c’est que tu peux pas couper en fait, genre, même si tu fermes l’ordi t’entendras toujours ma voix… » Il rit un peu, fier de sa bêtise et en même temps nerveux. « mais t’en vas pas hein !!! je sais pas si tu t’es levée ou quoi mais, reste je t’en prie. Je voulais te le dire, encore et encore et encore ces derniers jours mais j’ai jamais réussis à trouver le bon ton. Je savais pas comment t’aborder. T’es un vrai mystère pour moi des fois kelea, j’te connais par cœur et pourtant j’arrivais pas à te le dire. T’es la seule chose importante dans ma vie, bébé. J’ai besoin que de toi. J’ai besoin de rien d’autre, de personne d’autre. J’ai besoin que de toi. Je veux que toi. J’laisserais tout tomber pour toi. Tout. Si tu me redemande de choisir entre le monde et toi, j’te choisis toi sans hésiter. Je n’hésiterais plus jamais. » Et mon moi virtuel parle pendant que moi je m’approche en silence du tapis, de mon bébé devant la video. Et je m’assois silencieusement derrière elle pendant qu’elle me regarde, là sur l’ordinateur. « Je t’aime. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. J’le dirais jamais assez. Donc si tu veux bien mon cœur… si tu veux bien, laisse moi me faire pardonner, tourne toi, prend ma main et suis moi… tu veux bien ? me suivre ? Juste toi, moi, et un week-end pour nous. » Dis oui mon amour. Dis oui à ma niaiserie et mon amour. Moi, c'est comme la première fois que t'as dis oui pour sortir avec moi, j'explose de l'intérieur, et j'ai juste tellement hâte de croiser ton regard, mon amour. tu me manques tellement que j'en crève. Retourne toi...
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Re: KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Jeu 25 Juin - 18:20 Citer EditerSupprimer
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#keji
"Kelea psst !" je relevais la tête distraitement en direction de mon amie. Elle m'envoi un morceau de papier avec le dernier potin en cours. D'ordinaire je me serais jeté dessus et j'aurais dévoré l'information comme une hyiène sur un morceau de viande, mais là, le cœur n'y était pas. Je ne pouvais pas dire que j'étais triste, mais disons que je n'avais pas trop le moral. Pourtant aujourd'hui est un jour particulier. C'est mon anniversaire. Un de plus, une bougie de plus. Et dieu sait à quel point je peux aimer mon anniversaire. Parce que la reine de la journée c'est moi, parce que cette date est spécialement pour moi, ce jour m'est consacré. C'est la Saint Kelea. Et c'est surtout le premier anniversaire que je passe depuis que j'ai quitté l'hôpital. Depuis que je suis guéri. Et je me serais attendu à quelques choses de plus ... fou ? A une surprise, à un mot, un simple sms même ... mais autre chose que ce vide. Alors oui je lui en veux, à ce crétin tatoué qui fait battre mon cœur. Je lui en veux de ne pas y avoir pensé. D'être trop occupé à faire je ne sais quoi pour ce souvenir qu'aujourd'hui c'est MON jour. Alors je boude, dans mon coin, prête à l'incendier quand je le croiserais enfin. Je suis sûre qu'il est sur le campus et j'attends la fin de mon cours avec impatience pour aller lui botter le train. Rageusement je raille son nom sur ma feuille de cours en allant même jusqu'à la trouer. Espèce d'idiot japonais va. Je rage dans mon coin en croisant les bras sur mon ventre. Même mes amies m'ont offert une gâteau à midi avec une jolie paire de boucle d'oreille et un bracelet. Et monsieur ? Il fait quoi monsieur ? Rien, monsieur va en cours comme si c'était un jour comme les autres. Tssss. Et moi comme une idiote j'ai mis la robe qu'il m'a acheté, voulais lui faire plaisir. J'ai juste l'air ridicule maintenant. "Hwang Kelea, le proviseur vous demande. Prenez vos affaires et suivez-moi." Buh ?! Je relève la tête à l'entente de mon nom mais ne réalise pas tout de suite qu'il s'agit de moi. Plusieurs personnes tournent la tête vers moi et ce n'est que lorsque que ma voisine de table enfonce son coude dans mes côtes que je réalise. Maladroitement je commence à ranger mes affaires avant d'afficher un air arrogant sur le visage. J'ai rien fait de mal et ce murmure qui me fixe commence à m'agacer. Rassemblant rapidement mes affaires sans un regard pour la salle je suis le surveillant, prête à lui demander, un peu sur la défensive, ce que me voulait cette convocation. Mais dans le couloir je tombais nez à nez avec un tournesol. Mon tournesol. il ne m'en fallut pas plus pour penser à Kouji. Regardant ma robe un instant, un sourire se dessine sur mes lèvres. Suivant les indications du surveillant je grimpe les étages en suivant les dessins et sourit à la fois intriguée et impatiente. C'est idiot mais pendant une seconde j'ai cru qu'il m'en voulait. Pour lui avoir dit que je détestais sa meilleure amie, que je détestais le fait qu'elle soit proche de lui ... Qui j'étais, au final, pour juger ça ? Alors oui, bêtement j'ai cru qu'il voulait me le faire payer ... Mais j'avais tort, comme toujours. Poussant la porte du toit avec une certaine appréhension, j'avançais vers un tapis et ce qui semblait être un ordinateur. Soudain, il s'allume. Je sursaute en entendant la voix de mon homme. Je regarde autour de moi mais je ne vois personne. Je m'approche et le message commence. Je ne peux m'empêcher de rire à ses premiers mots. Oui je suis en colère, enfin tout du moins je l'étais, et oui je suis chiante mais ça ... C'est parce qu'il m'aime trop. Je zieute entour de moi sans voir personne, et un fin sourire ourle toujours mes lèvres alors que je l'écoute. Tu t'es assise mon bébé ? Oh ... Non, j'aurais du ?! Sous la surprise, de peur que ce ne soit pas comme il l'avait prévu, je m'assois subitement au sol, en tailleur, calant mon sac entre mes cuisses. Ca m'amuse, mais pas ses mots. Je perds mon sourire et détourne le regard. "Kouji fait pas ça ... " Lançais-je d'une voix plus forte que d'habitude. Je ne sais pas où il est mais j sais qu'il est là, quelque part. Alors je lui demande ... de ne pas me prendre en traite pour qu'il me parle d'elle le jour de mon anniversaire ... Mais je lui laisse sa chance. Je ne peux pas lui refuser, pas quand il se donne tout ce mal. Détournant le regard de l'écran je fixe mes doigts qui se mettent à triturer la hanse de mon sac. Je suis nerveuse, surement autant que lui qui parle à l'écran. Lentement mon regard se relève vers le pc et je l'écoute. Je le fixe comme s'il était là. Et j'ai le cœur qui bat à tout rompre. Et le monde entier pourrait se moquer de tant de niaiserie, mais j'aime ça. J'aime le voir m'assurer son amour pour moi. Et je peux le croire ...? Je peux le croire quand il dit que face au monde c'est moi qu'il choisirait ? Ramenant mes genoux contre moi, mon regard se mouille un peu, rien qu'un peu, alors que je cache mon sourire dans ma paume que je mordille. Et a sa dernière phrase je me retourne, pas certaine de ce que je vais trouver, mais il est là, si soudainement que je sursaute à nouveau avant de lâcher un rire. "Tu m'as fait peur idiot !" m'écriais-je doucement en passant un main sur mon cœur. Et je le fixe, soudain sérieuse. Mordillant ma lèvre avant de croiser son regard. "Tu le penses vraiment bébé ?" Cette fois ci, tu le penses vraiment ..? Je déglutis avant de venir l'embrasser tendrement, le renversant un peu en arrière. De toute on s'en fou, y a ce tapis qui est là pour ca. Je l'écrase surement mais j'ai besoin de ses lèvres. Je l'embrasse avec une douceur infime. J'ai juste besoin de ça moi. De lui.
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Re: KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Sam 4 Juil - 23:06 Citer EditerSupprimer
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Entendre sa voix qui s’élève, qui à peur (ça s’entend), ça me fait douter de mes mots, mais finalement, une fois que la vidéo avance et que je recommence à respirer, je me rends compte que c’est exactement ce que j’aurais du faire. C’est bien que j’en parle, c’est bien qu’elle sache, qu’elle l’entende, encore et encore. Mon seul joyau, ma seule obsession. Mon monde. Et quand elle se retourne et sursaute un peu, je ne peux pas m’empêcher de sourire, rire un petit peu, mon cœur si follement amoureux d’elle et de ses yeux, d’elle et de son regard si amoureusement lié au miens. Ses dents mordillent sa lèvre, et moi je la fixe, cette lèvre, que j’ai envie de mordiller moi aussi, et je la fixe quelques secondes avant de relever les yeux vers elle, un petit sourire collés aux lèvres. Amoureux transis, je suis. « tu le penses vraiment bébé ? » Et à ses mots mon cœur rate un battement, et mon corps tout entier pourrait s’effondrer, qu’elle doute. Elle doute de mon amour, de ma sincérité. Je m’apprête à lui dire avec tout l’amour que j’ai que oui, je le pense vraiment, que oui, je ne vis que pour elle, mais ses lèvres viennent avec plaisir toucher les miennes. Oh, que c’est bon, oh que tout le monde devrait être animé de ses émotions, de cette joie intense, de ce plaisir sans autre pareil. Oh, que j’aime la sentir contre moi, se pressent un peu, avec douceur et plaisir. Mes mains remontent dans le bas de son dos avec plaisir, peut-être un peu précipiter comme geste. Et je la serre contre moi, la faisant glisser avec moi, pour qu’elle se retrouve tout contre moi, tout au dessus de son amour. « bien sur, mon amour. » mes paroles contre ses lèvres que je refuse de quitter, soufflant dessus, mon regard intensément lié au siens. « y’as que toi qui compte autant dans ma vie. T’es ma vie. » mes mains remontent le long de son dos, viennent caresser ses joues alors que je me perd dans l’océan de ses yeux, dans l’amour infini qu’on se porte. « je t’aime tellement, kelea… » lis le dans mes yeux, dans mon cœur, dans mes tripes putain, tellement je t’aime. Un sourire mystérieux et transit d’amour viens se fixer sur mes lèvres alors que je l’embrasse encore, avec douceur. « Alors, tu me suis pour le week-end ? dis oui mon amour… » Avec délicatesse, mes dents viennent mordiller cette lèvre qui me fait tant envie, mon regard refusant de quitter ses yeux. Une main vient replacer une mèche derrière son oreille alors que l’autre redescend se perdre en mille caresses sur son corps, se donnant le droit de glisser sous sa robe, caressant sa cuisse du bout des doigts. « on y va ? » que je lui chuchote contre les lèvres. Ecartant un peu mes jambes, je me redresse, mes mains glissant sur son corps à mesure que l’on se redresse pour ne pas lui faire mal. Elle se retrouve sur ses genoux alors que mes jambes à moi l’entourent. Un immense sourire se peint sur mon visage alors que je la dévisage, encore. J’embrasse son nez avec douceur. « t’es tellement belle. Elle te va bien cette petite robe dis-donc. » Un sourire en coin viens se peindre sur mon visage. Oui, c’est moi, oui c’est moi ton amour qui te l’as trouvée. Je repasse mes grandes mains sur ses joues avec la douceur d’une plume, l’embrasse encore, inlassablement. « je t’aime. » Jamais je ne m’en lasserais. Je finis par me relever, lui prenant la main pour l’aider à se lever, la regardant avec ce regard protecteur et fou amoureux, comme d’habitude. Kelea est la femme de ma vie. De MA vie. J'accepte de la lâcher le temps d'attraper mon ordinateur que je ferme, le glisser dans mon sac, et dire en rigolant « attend... je range juste.. le tapis, et j'arrive... » en l'e roulant sur lui-même, le soulevant pour aller le cacher dans un coin du toit. Ce même coin ou j'attendais, a m'en ronger les tripes, que kelea m'écoute. Je reviens vers elle avec ma démarche de rigolo, secouant les épaules. « c'est partis ! » Ma bonne humeur habituelle (avant qu'on ai cette dispute, tu sais, toujours quand ça va) reviens au galop et je la prend dans mes bras, la soulevant sous les fesses en la faisant tourner un peu en rond avant de la laisser doucement glisser vers le sol, la gardant tout prêt de moi. Je sourit avec amour avant de l'embrasser encore une fois et glisse ma main dans la sienne, l'entraînant dans les couloirs comme un enfant. On descend le chemin de tournesol, on finis notre course dans les couloirs et je l'entraîne avec douceur jusqu'au parking ou... je m'arrête devant une très jolie cadillac ancienne, sortant les clés de ma poche. « c'est qui qui conduit ? » lançait-je innocemment, un sourire en coin aux lèvres.
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Re: KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Dim 5 Juil - 4:06 Citer EditerSupprimer
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#keji
Si on me laissait le droit de rêver ma vie comme une comédie romantique Hollywoodienne, je crois que je le refuserais. parce que je sais qu'aucune comédie, qu'importe sa tête d'affiche, qu'importe l'investissement, qu'importe si elle explose le box office et qu'elle fait baver d'envie la terre entière, moi, je sais qu'aucune comédie romantique ne pourra égaler la vie que me fait vivre Kouji. La passion, la jalousie, l'amour, l'envie d'être près de lui, l'envie d'être avec lui, l'envie d'être dans sa vie, l'envie d'être sa vie. Ca, tout ça, je sais qu'aucun film ne pourrait l'égaler. Aussi parfaite que pourrait être notre vie, je l'aime encore plus dans ses imperfections. je l'aime dans sa façon qu'il a de juré quand il se cogne contre la porte de la chambre, mal réveillé. Je l'aime quand il fait tomber la confiture sur la table et quand il la récupère avec ses doigts le sourire gourmand. Je l'aime quand il fait pipi la porte ouverte et qu'il continue de me raconter sa journée alors que je l'écoute, appuyée contre le chambranle de la porte des toilettes, un bol de céréales à la main. je l'aime quand il fait disparaitre nos tabous,e t quand il me fait croire qu'il y a encore un milliard de choses que je peux découvrir chez lui. Parce que mon homme est comme ça, il se réinvente chaque jours. Il est pleins de surprises, pleins d'idées plus folles les unes que les autres, il est tout autant de folie que d'amour. Il pourra me sourire quand son coeur pleure, et il saura contenir ma tristesse si le soleil brille. Parce qu'il me donne sa vie. Il me la donne autant qu'il le peu. Et s'il y a une seule chose que je déteste plus que ma maladie sur cette terre, c'est bien le regard de Kouji quand il comprend qu'il n'est pas compatible avec mon corps. C'est bien ce regard d'impuissance, de colère et de frustration quand l'homme que j'aime me regarde mourir sans pouvoir rien faire. Je l'aime quand je le vois pleurer parce qu'il est mort de trouille à l'idée de me perdre et je l'aime quand il fait le roc, quand il encaisse tous les coups pour moi. Et même si c'est mielleux, et même si c'est pleins de niaiserie, et même si tous ces élans d'amour subissaient ma moquerie il y a quelques années, aujourd'hui ils font de moi une femme comblée. Souriant tendrement à ses je t'aime, à ses promesses je me blottit contre lui. Évidemment que je le suis pour le weekend. Levant un regard amoureux vers lui j'acquiesce " Je suis toute à toi. " murmurais-je d'une voix taquine. Cette robe me va bien, il me trouve jolie avec, et moi je rougi comme une idiote. Je pourrais le remercier, pour le compliment, pour me l'avoir acheté, mais ça ne serait pas moi. Je me redresse en souriant avec tout l'aplomb qu'il me connait et lui lance " Je sais ! " Avec une voix faussement suffisante. Je le taquine et je ris. Il m'aide à me relever, et moi je manque de tomber à son je t'aime; Encore, inlassablement je pourrais l'entendre me le dire, moi qui suis tant radine sur ces mots ... Je n'oublierais jamais l'expression de son regard la première fois que je lui ai murmuré. Et je n'oublierais jamais cette sensation, celle de rendre quelqu'un heureux ... Une fois debout je lisse ma jupe et le haut de ma robe que je rajuste sur mon corps. Par surprise il me soulève du sol et nous fait tourner sur nous même. Ce garçon est fou et sa folie me séduit. Je ris avant de toucher le sol soudainement. Je trébuche de quelques pas en me tenant à lui. Mais bien vite il m'attire à lui pour m'entrainer vers la sortie. Je me presse contre lui, l'embrassant sur une partie du corps chaque fois que nous dépassions un tournesol. Sa joue, ses lèvres, son nez, ses mains, chacun de ses doigts. je ne lassais pas du goût de sa peau. Arrivé au parking il agite les clés sous mon nez et il connait déjà la question rien qu'en croisant mon regard. " Oh man ... you know. " Je me saisie des clés en lui sautant au cou pour l'embrasser avec cette pointe d'indécence que j'aimais mettre dans nos baisers quand nous étions en public. Me détachant de lui avec un rire cristallin charmeur j'accours à la voiture. Si pour beaucoup c'est un vieux tacot qui n'a pas de valeur, ou pour d'autre encore, une futur voiture de collection, elle est pour moi un trésor que je chéris. Je m'engouffre dans l'habitacle avec un sourire impatient et allume le moteur avec un sourire fier. J'attends que Kouji me rejoigne et vérifie mon maquillage par réflexe. Dieu que cette banquette arrière a pu nous accueillir dans notre plus simple appareil. Je sors rapidement de l'école et prends une direction au hasard. " On va où ? " finissais-je quand même par demander " Je commence et tu finis bébé okay ? " Je lui lançais un regard en coin en m'imaginant déjà cheveux aux vents blottit contre lui alors qu'il conduit. Vous ai-je mentionné combien il pouvait être sexy qaund il conduit ...? Allumant la radio je me trémoussais sur le rythme de la musique en chantant, surement faux, mais de très bonne humeur.
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Re: KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Ven 31 Juil - 15:21 Citer EditerSupprimer
don't make me sad,
don't make me cry, love me unless we die
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#keji
Et merde, je pourrait tout plaquer pour son sourire. Et merde, le monde pourrait crever que je ne regarderais qu'elle, elle et sa lumière, elle et son amour, elle et moi. Pour certains trop fusionnels, pour d'autres obsessionnels, nous nous aimons simplement de la plus pur des façons. a cent pour cent. Chacun de ses baisers me transporte au paradis et nous rigolons avec plaisir dans les couloirs. Et on s'en fou de vous, le monde, et on s'en fou des cours. On veux juste s'aimer. On veux juste vivre. Simplement. Les rêves de bohèmes ne m'ont jamais quitter, et j'ai trouver en cette femme la présence nécessaire pour les accomplir. Le courage de vivre chaque jour comme si c'était le dernier. Ne jamais tomber. être son roc, sa vie, son souffle. Et son rire est le plus beau des chants, comme celui d'une sirène, mais en mieux. comme dans un rêve, mais réveillé.
Et ma belle m'embrasse avec fougue devant la cadillac, et je ne peux m'empêcher de rire en la tenant fort contre moi, mes cheveux, et les siens, volant un peu sous le mouvement. un grand sourire s'affiche sur mon visage alors que je saute par dessus la portière de la voiture pour me glisser sur le siège avant. J'enlève alors mes chaussures dans la foulée, mes chaussettes alors que ma belle démarre la voiture. Et moi, j'ai pas honte de laisser mon amoureuse conduire, j'ai pas de limites machistes, pas d'envies de se la péter au volant de la belle voiture. Moi, j'laisse ça à ma chérie, qui le sourire ravie, quitte le parking. Fière, comme une lionne. Sa voix résonne dans mes oreilles et je me penche vers elle avec un petit sourire malicieux, gardant sous silence le lieu que je voulais visiter. Et je l'embrasse dans le cou, venant passer une main sur son ventre en mordillant sa peau satinée avec plaisir, grognant doucement contre sa peau. De plaisir, de joie, de sourire. Je remonte mes bisous jusqu'à son oreille, puis sa joue que j'embrasse furtivement. Je tourne la tête pour regarder la route, qui est assez droite pour que je mette ma tête devant celle de kelea pour lui voler un baiser pendant trois secondes. Je rigole doucement en lui enlevant une mèche de cheveux barrant son visage, m'asseyant enfin normalement sur mon siège. " ou tu veux mon bébé. Et si tu prenais toujours à droite ? "
M'enfonçant dans le siège, je pose les pieds sur l'airbag devant moi tout en gardant ma main gauche dans la nuque de kelea, lui faisant des papouilles discrètes jusqu'à ce qu'elle ne décide de s'exciter sur la musique, ce qui me fait rire. Je la regarde (comme d'hab, tellement amoureusement qu'un autre en aurait été gêné) en souriant " tu me laisseras faire le beau gosse sur le coucher de soleil avec une jolie fille contre moi ? " lançais-je avec un grand sourire de gamin avant de rire doucement et de regarder au loin le paysage qui approchait de nous. La ville sera bientôt derrière nous, mais avant ça... " oh, arrête toi, arrête toi !" dit-je soudainement, la faisant freiner un peu brusquement pour se garer sur le côté, devant une boutique. Cette fois-ci, j'ouvre la portière pour sortir, fouillant dans ma poche arrière pour trouver mon porte feuille, entrant dans la boutique sans répondre aux questions de kelea, tout sourire. J'en ressort quelques minutes plus tard avec une poche pleines de bouffe, allant des sucreries, aux tomates et autres fruits délicieusement juteux en cette saison. Je laisse le tout derrière mon siège, gardant avec moi une bouteille de thé froid parfumé en grimpant à nouveau sur mon siège, tournant la tête vers kelea tout sourire, venant l'embrasser avant qu'elle ne puisse râler. " j'ai pris ton parfum préféré. " je sourit malicieusement en ouvrant la bouteille, buvant une gorgée en me poussant de kelea pour pas qu'elle ne me pique la bouteille, avant de finalement la lui tendre en rigolant. " au fait, si t'as froid je t'ai pris d'autres fringues, genre, un jean et un t-shirt, et puis j'ai pris d'autres trucs genre des plaids et tout..." mon regard s'adoucit en la regardant, venant à nouveau caresser du bout des doigts son cou. " on y va ? "
Et ma belle m'embrasse avec fougue devant la cadillac, et je ne peux m'empêcher de rire en la tenant fort contre moi, mes cheveux, et les siens, volant un peu sous le mouvement. un grand sourire s'affiche sur mon visage alors que je saute par dessus la portière de la voiture pour me glisser sur le siège avant. J'enlève alors mes chaussures dans la foulée, mes chaussettes alors que ma belle démarre la voiture. Et moi, j'ai pas honte de laisser mon amoureuse conduire, j'ai pas de limites machistes, pas d'envies de se la péter au volant de la belle voiture. Moi, j'laisse ça à ma chérie, qui le sourire ravie, quitte le parking. Fière, comme une lionne. Sa voix résonne dans mes oreilles et je me penche vers elle avec un petit sourire malicieux, gardant sous silence le lieu que je voulais visiter. Et je l'embrasse dans le cou, venant passer une main sur son ventre en mordillant sa peau satinée avec plaisir, grognant doucement contre sa peau. De plaisir, de joie, de sourire. Je remonte mes bisous jusqu'à son oreille, puis sa joue que j'embrasse furtivement. Je tourne la tête pour regarder la route, qui est assez droite pour que je mette ma tête devant celle de kelea pour lui voler un baiser pendant trois secondes. Je rigole doucement en lui enlevant une mèche de cheveux barrant son visage, m'asseyant enfin normalement sur mon siège. " ou tu veux mon bébé. Et si tu prenais toujours à droite ? "
M'enfonçant dans le siège, je pose les pieds sur l'airbag devant moi tout en gardant ma main gauche dans la nuque de kelea, lui faisant des papouilles discrètes jusqu'à ce qu'elle ne décide de s'exciter sur la musique, ce qui me fait rire. Je la regarde (comme d'hab, tellement amoureusement qu'un autre en aurait été gêné) en souriant " tu me laisseras faire le beau gosse sur le coucher de soleil avec une jolie fille contre moi ? " lançais-je avec un grand sourire de gamin avant de rire doucement et de regarder au loin le paysage qui approchait de nous. La ville sera bientôt derrière nous, mais avant ça... " oh, arrête toi, arrête toi !" dit-je soudainement, la faisant freiner un peu brusquement pour se garer sur le côté, devant une boutique. Cette fois-ci, j'ouvre la portière pour sortir, fouillant dans ma poche arrière pour trouver mon porte feuille, entrant dans la boutique sans répondre aux questions de kelea, tout sourire. J'en ressort quelques minutes plus tard avec une poche pleines de bouffe, allant des sucreries, aux tomates et autres fruits délicieusement juteux en cette saison. Je laisse le tout derrière mon siège, gardant avec moi une bouteille de thé froid parfumé en grimpant à nouveau sur mon siège, tournant la tête vers kelea tout sourire, venant l'embrasser avant qu'elle ne puisse râler. " j'ai pris ton parfum préféré. " je sourit malicieusement en ouvrant la bouteille, buvant une gorgée en me poussant de kelea pour pas qu'elle ne me pique la bouteille, avant de finalement la lui tendre en rigolant. " au fait, si t'as froid je t'ai pris d'autres fringues, genre, un jean et un t-shirt, et puis j'ai pris d'autres trucs genre des plaids et tout..." mon regard s'adoucit en la regardant, venant à nouveau caresser du bout des doigts son cou. " on y va ? "
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Re: KeJi ❥ don't make me sad, don't make me cry, love me unless we die | Jeu 27 Aoû - 14:20 Citer EditerSupprimer
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Et je prends toujours à droite alors. Tournant à gauche quand je ne peux plus le faire, quand il y a trop de monde, ou quand je le décide juste. Je suis mon instinct. Ignore les panneaux. Je conduis et on atterrira là où on atterrira. Je suis détendue et j’en oublie notre dispute. J’en oublie même la raison, le motif, le sujet. Il m’aime, il est là. Il fête mon anniversaire et il fait les choses en grands. Comme toujours. Je suis heureuse avec lui, je le suis à 90%. Les 10% restant sont la connerie qui me pousse à faire que de la merde avec lui … et il a la patience, la patience de m’aimer, de rester avec moi, de supporter mes caprices, mes envies. Je suis une princesse, une de celle qui a toujours le mauvais rôle. Celle qui n’a pas de limite et qui pense que tous lui est du. J’ai un caractère de merde, une fierté qui prend de la place et surement un ego surdimensionné, mais je l’aime, autant que je peux être chiante, et ça prouve bien que je tiens à lui … J’éclate de rire à sa remarque et acquiesce « Bien sûr bébé. » le beau gosse au couché de soleil … quel cliché. Mais ça lui va bien ! Vraiment bien. Je caresse sa nuque d’une main distraite en redémarrant du feu rouge. Mais j’ai à peine eu le temps de m’engager dans une nouvelle rue que le voilà à me hurler de freiner et de m’arrêter là. Stressée en une seconde je pile sans faire attention aux voitures derrières nous et le regarde surprise « Qu’est-ce qu’il y a ?! » un brin de panique me serre la voix et je le regarde les yeux écarquillés. Il ne me répond pas mais arbore son grand sourire habituel avant d’entrer dans une petite boutique style combini. Je ne peux m’empêcher de rire avant de m’avachir sur la banquette. « Espèce d’idiot » murmurais-je pour moi-même en fixant la photo porte clé qu’il avait attaché aux clés de la voiture. Je caresse du bout des doigts cette photo que nous avions pris dans notre lit, le visage souriant, enfoui dans son cou. C’était ca notre amour. C’était simple et compliqué. Mais c’était nous. Souriant je me redressais avant de le voir arriver quelques minutes plus tard. Je soupire, affichant une mine faussement boudeuse quand je le vois me taquiner comme il le fait. Tss. J’en veux pas de sa bouteille. Ou peut-être que si. Quand il finit par me la tendre, je le fixe les yeux plissés avant de rire doucement, chatouillée par ses doigts dans le creux de mon cou, et je me penche vers lui pour l’embrasser. Un baiser fruité comme j’aimais. « Je préfère le boire sur tes lèvres. » murmurais-je avant de venir m’assoir à califourchon sur lui, baissant la tête vers lui. Je l’embrassais à nouveau, liant nos langues avec une lenteur torturante. Je finis par me reculer. « Conduis. J’ai plus envie. » Ponctua notre baiser après un sourire doux. Je le poussais déjà vers le volant et me laissa tomber sur la banquette les pieds sur l’habitacle. Et mon envie vient de changer. Et je préfère le regarder conduire. Et moi je me détends sur la banquette, fermant les yeux et savourant le soleil. Ca n’a rien d’un ordre, j’ai même un sourire malicieux sur les lèvres. Mais j’aime le taquiner comme ca. Et il ferait tout pour sa princesse.
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