La brebis et l'odieux connard. Hum. Qu'il est bon d'être mauvais
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La brebis et l'odieux connard. Hum. Qu'il est bon d'être mauvais | Lun 29 Juin - 23:57 Citer EditerSupprimer
Mauvais Karma
feat. Takanosushi huhuh
Humpf. Quelle journée merdique à souhait. Chevilles croisées, le cul assis sur une chaise trop peu confortable, à moitié étalé dirais-je, l’envie de prétexter une bronchite afin de m’éclipser m’avais traversé l’esprit depuis, six bonnes heures. Une bronchite. Plutôt pas mauvaise comme idée. Bonne, au contraire. Très. Trop. Si bien que le sourire venant effleurer mes lèvres alerta rapidement mon grand-père, sur ma gauche, qui comprit ce que je voulais tenter, à mon grand regret. Shit. Le jour duquel, on m’avait clairement annoncé que je reprendrais les rênes de l’entreprise familiale et mafieuse de surcroit, personne n’a eu l’amabilité de me prévenir que je devrais rester durant des heures, cloitré dans la même pièce à attendre les jérémiades d’employés pas foutus de faire leurs jobs.
Une réunion. Une réunion. Moi, venir à une foutue réunion pour mourir d’ennuie. Une soi-disante réunion courte pour parler affaire. Affaire = les trafics illégaux auxquels s’abandonnés la famille Park. Une réunion afin de discuter (Etant donné que je n’ai pratiquement pas ouvert la bouche depuis le début, je me demande en quoi ma présence peut servir…..) de choses fichtrement barbantes et tel un condamné marchant vers sa dernière heure, un soupire des plus bruyant franchit la barrière de mes lèvres, faisant se retourner toutes personnes présentes dans la pièce. Pour sûr que j’aimais attirer l’attention, pourtant, présentement, ça devenait particulièrement gênant. Néanmoins, aussi étonnant que cela puisse paraître, la tournure que tout ceci prit, me plut plus que de raison. Mon geste, agissant comme s’il était question d’une cloche d’école sonnant la fin des classes, le responsable de toute cette perte de temps, qui n’était autre que mon grand-père paternel et patriarche de notre famille, annonça la fin de cette, je cite « petite réunion ». Tandis que tous prirent peu à peu congé, j’arque un sourcil. Petite ?! « Nous reprendrons tout ça demain. Soyez tous ici à 9h pétante ! » What the fucking that ?!?! Mon regard suppliant, suivit machinalement mon vieux papy jusqu’à la sortie, et dans le maigre espoir que je conservais, je priais intérieurement pour qu’il se retourne, m’annonçant un joyeux : C’était une blague. Hum, rêve illusoire, je vais devoir me pointer dans cette salle demain, ou essayer d’attraper la grippe.
Fort peu désireux d’me prendre deux claques par l’autre vieux, c’est dans une fuite des plus effrénées qu’il ne me fallut à peine dix minutes pour sortir du haut building et atteindre l’arrêt de bus le plus proche, préférant troquer la classe et le confort de sa belle Rolls Royce pour un trajet en commun auprès d’étrangers. Et par pur arrogance, par simple narcissisme, dans toute la certitude que j’avais d’être supérieur, c’est capuche sur la tête et clope au bec que, d’un œil professionnel et critiqueur, j’observe avec une attention toute particulière, les gens. Certains petites, d’autres maigres. Par là, de ceux qui mangent gras. Par ici, des têtes à claques. De vulgaires vermines, en somme. Tch. Je n’aime pas les gens, et ce qui est d’autant plus étonnant, c’est le nombre qui s’accroit chaque jours de ceux à qui, j’fouttrais bien des baffes.
Le silence se fit brisé par un soupire de ma personne, témoin de mon présent agacement pour cet ennuis qui venait s’pointer. Tirant une latte, le bus arrive à ma hauteur. Un sourire s’éprend de mes lèvres alors que je paye le conducteur pour ma destination : Centre-ville. Plus précisément, pour rejoindre la chambre de ma nouvelle brebis. Tirant mon Iphone de l’une de mes poches, je lui laisse un message vocal puisque l’pignouf n’a pas prit la peine de répondre à mon appelle, ce qui, j’dois l’avouer, est loin de me plaire
Dix minutes s’écoulèrent, peut-être quinze ou encore vingt, je n’savais plus. Le regard rivé sur le paysage Séoulite qui défilé sous mes yeux, compter le temps qu’il me restait avant d’arriver enfin à ma destination, n’était pas ma priorité. Et, enfin son immeuble en vue. Allumant une nouvelle malboro sous le regard presque choqué du concierge, c’est quatre à quatre que je grimpe les escaliers, me retrouvant rapidement face à la porte de bois me séparant de son intimité. Faisant craquer mes doigts, je le siffle, le prévenant de ma présence avant de frapper la porte de bois de mon poing afin qu’il m’ouvre de ce pas. « Oi Sushis ! Bouge ton cul ! Y en a qui sont morts comme ça ! »
Une réunion. Une réunion. Moi, venir à une foutue réunion pour mourir d’ennuie. Une soi-disante réunion courte pour parler affaire. Affaire = les trafics illégaux auxquels s’abandonnés la famille Park. Une réunion afin de discuter (Etant donné que je n’ai pratiquement pas ouvert la bouche depuis le début, je me demande en quoi ma présence peut servir…..) de choses fichtrement barbantes et tel un condamné marchant vers sa dernière heure, un soupire des plus bruyant franchit la barrière de mes lèvres, faisant se retourner toutes personnes présentes dans la pièce. Pour sûr que j’aimais attirer l’attention, pourtant, présentement, ça devenait particulièrement gênant. Néanmoins, aussi étonnant que cela puisse paraître, la tournure que tout ceci prit, me plut plus que de raison. Mon geste, agissant comme s’il était question d’une cloche d’école sonnant la fin des classes, le responsable de toute cette perte de temps, qui n’était autre que mon grand-père paternel et patriarche de notre famille, annonça la fin de cette, je cite « petite réunion ». Tandis que tous prirent peu à peu congé, j’arque un sourcil. Petite ?! « Nous reprendrons tout ça demain. Soyez tous ici à 9h pétante ! » What the fucking that ?!?! Mon regard suppliant, suivit machinalement mon vieux papy jusqu’à la sortie, et dans le maigre espoir que je conservais, je priais intérieurement pour qu’il se retourne, m’annonçant un joyeux : C’était une blague. Hum, rêve illusoire, je vais devoir me pointer dans cette salle demain, ou essayer d’attraper la grippe.
Fort peu désireux d’me prendre deux claques par l’autre vieux, c’est dans une fuite des plus effrénées qu’il ne me fallut à peine dix minutes pour sortir du haut building et atteindre l’arrêt de bus le plus proche, préférant troquer la classe et le confort de sa belle Rolls Royce pour un trajet en commun auprès d’étrangers. Et par pur arrogance, par simple narcissisme, dans toute la certitude que j’avais d’être supérieur, c’est capuche sur la tête et clope au bec que, d’un œil professionnel et critiqueur, j’observe avec une attention toute particulière, les gens. Certains petites, d’autres maigres. Par là, de ceux qui mangent gras. Par ici, des têtes à claques. De vulgaires vermines, en somme. Tch. Je n’aime pas les gens, et ce qui est d’autant plus étonnant, c’est le nombre qui s’accroit chaque jours de ceux à qui, j’fouttrais bien des baffes.
Le silence se fit brisé par un soupire de ma personne, témoin de mon présent agacement pour cet ennuis qui venait s’pointer. Tirant une latte, le bus arrive à ma hauteur. Un sourire s’éprend de mes lèvres alors que je paye le conducteur pour ma destination : Centre-ville. Plus précisément, pour rejoindre la chambre de ma nouvelle brebis. Tirant mon Iphone de l’une de mes poches, je lui laisse un message vocal puisque l’pignouf n’a pas prit la peine de répondre à mon appelle, ce qui, j’dois l’avouer, est loin de me plaire
« Bah alors, mon ange, on répond plus à celui qui t’permet d’avoir encore un toit sur ta pauv’ tête ? Je m’ennuyais du coup, j’ai pensé à toi et justement, j’ai très envie de voir comment se porte ma petite brebis égarée. Je suis dans l’bus, je vais bientôt arriver chez toi alors ne t’enfuis pas, je ne suis pas d’humeur à jouer à cache-cache et je sais de sources sûres que tu es chez toi, en ce moment même. A de-suite, mon Takasushis.»
. Mnh. Quel manque de chance d’avoir croisé ma route, car aujourd’hui, il me doit un sacré paquet d’oseille. Fils d’Hermes, je ne refuse jamais un contrat, mais ne relâche jamais ma proie. Posséder les couilles de me demander de l’argent, c’est aussi, devoir posséder les couilles pour affronter ma mauvaise humeur, mon taux d’intérêt ainsi que la pression que j’exerce afin que les contractants me rembourses jusqu’au dernier centime, sinon davantage.Ϟ ○ Ϟ ○ Ϟ
Dix minutes s’écoulèrent, peut-être quinze ou encore vingt, je n’savais plus. Le regard rivé sur le paysage Séoulite qui défilé sous mes yeux, compter le temps qu’il me restait avant d’arriver enfin à ma destination, n’était pas ma priorité. Et, enfin son immeuble en vue. Allumant une nouvelle malboro sous le regard presque choqué du concierge, c’est quatre à quatre que je grimpe les escaliers, me retrouvant rapidement face à la porte de bois me séparant de son intimité. Faisant craquer mes doigts, je le siffle, le prévenant de ma présence avant de frapper la porte de bois de mon poing afin qu’il m’ouvre de ce pas. « Oi Sushis ! Bouge ton cul ! Y en a qui sont morts comme ça ! »
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Re: La brebis et l'odieux connard. Hum. Qu'il est bon d'être mauvais | Ven 3 Juil - 18:36 Citer EditerSupprimer
Le blond se redressa alors pour se saisir de son téléphone et discuter avec son boss lui expliquant ainsi la situation. Heureusement qu’il était étudiant en même temps parce que son patron n’aurait jamais accepté de lui laisser une soirée de repos. Il posa son téléphone dans un coin de sa chambre et récupéra sa guitare pour pouvoir faire quelques accords et en profiter pour composer. Une de ses occupations favorites et ainsi ça lui permettait de décompresser. Cependant il n’entendit pas son téléphone sonner et poursuivit son occupation jusqu’à ce que l’envie de fumer se fasse ressentir. Le tatoueur posa sa guitare dans un coin de la pièce et attrapa son paquet de cigarette. Il prit soin d’ouvrir la fenêtre détestant laisser de la fumée stagnante dans son appartement. Il attrapa son téléphone portable et une fois la cigarette allumer il s’accouda à la fenêtre. Il remarqua qu’il avait raté un appel et en voyant le nom s’afficher il avait un peu peur des sentences. Il n’avait pas de quoi le rembourser tout de suite … Même pas un début de la grosse somme qu’il avait emprunté … Dans quelles emmerdes il s’était fourré ? Il espérait juste que son prêteur sera compréhensif. Il ne le connaissait pas tant que ça et ne savait pas vraiment de quoi il était capable.
Il colla le combiner à son oreille afin d’écouter le message vocal que lui avait laissé Kwang Ho sur son téléphone. A mesure qu’il écoutait le message son sang se glaça, il voulait sans doute parler de l’argent qu’il lui avait prêté et le blond ne savait même pas comment il allait lui avoué qu’il n’avait même pas le quart de la somme qu’il lui devait … Il s’était fourré dans les emmerdes et même s’il n’avait pas le choix pour payer son loyer il fallait avouer qu’il aurait dû réfléchir avant au lieu d’accepter une telle somme d’argent. Jamais ça ne serait venu à l’idée du blond de demander de l’argent à une personne mais puisqu’on lui avait proposé gentiment le temps qu’il se dépatouille de cette histoire de loyer, il n’avait pas pu refuser. Mais en y repensant il y avait certainement anguille sous roche et tout porte à croire qu’il s’était peut être fait roulé. Le tatoueur écarquilla légèrement les yeux lorsque son prêteur lui annonça qu’il comptait passer chez lui. Il finit par verrouiller son téléphone se disant que ce n’était pas le genre de gars à plaisanter avec l’argent …
C’est alors que le chanteur entendit un sifflement puis quelques coups à sa porte. Il ne pensait pas qu’il serait aussi rapide … Ou alors il avait mis du temps à voir le message aussi ce qui était fortement possible. Le tatoueur ne bougea pas maintenant son téléphone dans ses mains et sa cigarette coincée au coin des lèvres. Mais rapidement le Coréen se mit à le menacer le prévenant que s’il n’ouvrait pas la porte il allait lui arriver des bricoles. Il aurait préféré faire le mort mais comme il l’a dit dans son message il avait des sources l’ayant informé de sa présence dans son appartement. C’est donc par obligation qu’il éteignit sa cigarette dans le cendrier et se dirigea vers la porte. Il prit une inspiration et attrapa la poignée pour ouvrir au nouveau venu. Il se doutait parfaitement de qui il s’agissait et en le revoyant il se contenta de paraitre calme malgré que ce n’était pas le cas. Essayer de négocier et de ne pas faire de choses stupides. Peut-être le Coréen accepterait-il de parler. Même si à en voir son regard Takanori pensait le contraire …
« Kwang Ho, qu’est-ce qui t’amène ici ? » Demanda le Japonais un peu désorienté. Il s’écarta pour le laisser entrer et ferma la porte derrière lui. Il prit une grande inspiration et s’avança en direction du garçon espérant pouvoir discuter calmement de la situation et surtout lui expliquer qu’il n’avait pas encore l’argent … « Installe-toi, on peut un peu discuter si tu le souhaite. » Proposa Takanori espérant que ça allait passer. Il désigna l’un des canapés pour l’inviter à s’installer pour lui expliquer la situation posément. « Pourquoi ne pas en parler calmement je suis sûr qu’on pourra trouver un terrain d’entente … »
La brebis et l'odieux connard.
Hum. Qu'il est bon d'être
mauvais
Avec Park Kwang Ho
Le blond se redressa alors pour se saisir de son téléphone et discuter avec son boss lui expliquant ainsi la situation. Heureusement qu’il était étudiant en même temps parce que son patron n’aurait jamais accepté de lui laisser une soirée de repos. Il posa son téléphone dans un coin de sa chambre et récupéra sa guitare pour pouvoir faire quelques accords et en profiter pour composer. Une de ses occupations favorites et ainsi ça lui permettait de décompresser. Cependant il n’entendit pas son téléphone sonner et poursuivit son occupation jusqu’à ce que l’envie de fumer se fasse ressentir. Le tatoueur posa sa guitare dans un coin de la pièce et attrapa son paquet de cigarette. Il prit soin d’ouvrir la fenêtre détestant laisser de la fumée stagnante dans son appartement. Il attrapa son téléphone portable et une fois la cigarette allumer il s’accouda à la fenêtre. Il remarqua qu’il avait raté un appel et en voyant le nom s’afficher il avait un peu peur des sentences. Il n’avait pas de quoi le rembourser tout de suite … Même pas un début de la grosse somme qu’il avait emprunté … Dans quelles emmerdes il s’était fourré ? Il espérait juste que son prêteur sera compréhensif. Il ne le connaissait pas tant que ça et ne savait pas vraiment de quoi il était capable.
Il colla le combiner à son oreille afin d’écouter le message vocal que lui avait laissé Kwang Ho sur son téléphone. A mesure qu’il écoutait le message son sang se glaça, il voulait sans doute parler de l’argent qu’il lui avait prêté et le blond ne savait même pas comment il allait lui avoué qu’il n’avait même pas le quart de la somme qu’il lui devait … Il s’était fourré dans les emmerdes et même s’il n’avait pas le choix pour payer son loyer il fallait avouer qu’il aurait dû réfléchir avant au lieu d’accepter une telle somme d’argent. Jamais ça ne serait venu à l’idée du blond de demander de l’argent à une personne mais puisqu’on lui avait proposé gentiment le temps qu’il se dépatouille de cette histoire de loyer, il n’avait pas pu refuser. Mais en y repensant il y avait certainement anguille sous roche et tout porte à croire qu’il s’était peut être fait roulé. Le tatoueur écarquilla légèrement les yeux lorsque son prêteur lui annonça qu’il comptait passer chez lui. Il finit par verrouiller son téléphone se disant que ce n’était pas le genre de gars à plaisanter avec l’argent …
C’est alors que le chanteur entendit un sifflement puis quelques coups à sa porte. Il ne pensait pas qu’il serait aussi rapide … Ou alors il avait mis du temps à voir le message aussi ce qui était fortement possible. Le tatoueur ne bougea pas maintenant son téléphone dans ses mains et sa cigarette coincée au coin des lèvres. Mais rapidement le Coréen se mit à le menacer le prévenant que s’il n’ouvrait pas la porte il allait lui arriver des bricoles. Il aurait préféré faire le mort mais comme il l’a dit dans son message il avait des sources l’ayant informé de sa présence dans son appartement. C’est donc par obligation qu’il éteignit sa cigarette dans le cendrier et se dirigea vers la porte. Il prit une inspiration et attrapa la poignée pour ouvrir au nouveau venu. Il se doutait parfaitement de qui il s’agissait et en le revoyant il se contenta de paraitre calme malgré que ce n’était pas le cas. Essayer de négocier et de ne pas faire de choses stupides. Peut-être le Coréen accepterait-il de parler. Même si à en voir son regard Takanori pensait le contraire …
« Kwang Ho, qu’est-ce qui t’amène ici ? » Demanda le Japonais un peu désorienté. Il s’écarta pour le laisser entrer et ferma la porte derrière lui. Il prit une grande inspiration et s’avança en direction du garçon espérant pouvoir discuter calmement de la situation et surtout lui expliquer qu’il n’avait pas encore l’argent … « Installe-toi, on peut un peu discuter si tu le souhaite. » Proposa Takanori espérant que ça allait passer. Il désigna l’un des canapés pour l’inviter à s’installer pour lui expliquer la situation posément. « Pourquoi ne pas en parler calmement je suis sûr qu’on pourra trouver un terrain d’entente … »
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Re: La brebis et l'odieux connard. Hum. Qu'il est bon d'être mauvais | Jeu 16 Juil - 23:32 Citer EditerSupprimer
File-moi mon fric, Sushi ♫
feat. Takanosushi huhuh
Son regard parle de lui, il craint ma présence, ne l’appréciant pas et sans doute, ressent une irrésistible envie de me ferme la porte au nez. Mes lèvres s’étirent dans une sourire presqu’amical alors que j’accepte son invitation et entre dans son modique appartement tout en m’allumant une clope. L’observant à la dérobée, je prends un air théâtrale avant de l’imiter avec exagération « Oh ! Nous pouvons en discuter calmement ! Kwaaang Ho ! Par bleu ! Qu’est-ce qui t’amène, ici !? Nous trouverons un arrangement ! », Avant de lâcher un rire mesquin et tirant une taffe, crachant la fumée de nicotine sur son visage « Oh oui, parlons donc dans le calme et la courtoisie, mon ami »
Coinçant ma clope entre mes molaires, j’enfourne mes mains dans les poches de mon pantalon « Sert-moi quelque chose à boire, peu m’importe ce que ça sera ! », et lentement, faisant le tour de la pièce afin d’observer sa tanière des plus dégueulassements petites, j’arque un sourcil « Tch. Ça ne valait pas la peine que tu t’endette, franchement. Regarde-moi ça, tu vis dans un véritable taudis. » Détournant les yeux des siens, je passe mon index sur un des meubles légèrement encrassé, murmurant, assez bas cependant, ne voulant pas de-suite lever la voix pour le vexer « Petit taudis crasseux pour un petit rat crasseux ». Ceci fait, c’est avec nonchalance que je m’installe sur son canapé, les pieds sur sa table basse sans ressentir le moindre respect pour ce que je pourrais salir de mes godasses hors de prix
et encore moins, si cette attitude de ma personne pourrait lui déplaire, car, en fin de compte, ça doit être le cas ? Et, c’est d’un jouissif. « Et un cendrier, aussi, j’te prie ».
Les Hommes, au sens large du terme, et pour une majorité d’entres eux, ont la foudroyante capacité de se montrer profondément stupides. Il n’en fait aucunement l’exception à mon plus grand plaisir. Naïveté oblige, je suppose. Aussi subtilement lâche et incroyablement simplet, ce pauvre écervelé me faisait rire « Alors qu’as-tu donc à m’expliquer ? Tu veux trouver un terrain d’entente, tu m’as dit, c’est bien ça ? » Croisant les mains derrière ma tête, je laisse aller un soupire satisfait tout en m’enfonçant davantage dans le canapé « Alors, qu’as-tu à me proposer, mnh ? Parle donc à ton Roi p’tit sushis qu’on s’marre un peu ». Ce n’est que mon humble pensée, mais j’ai comme le sentiment que c’est un comique. Piètre, certes, mais on va s’fendre la poire ! Et, en bon spectateur que je suis, mais par ailleurs, étant bien loin d’être un bon samaritain, c’est avec délice et sadisme que mes habitudes reviennes : aider pour ensuite, arracher, pour finir à observer, juger du haut de mon piédestal.
« Tu ne peux pas payer, c’est ça ? » Une moue affligée contrastant avec le sourire froid qui émané de mes lèvres « Ou tu refuses de me donner ce qui m’appartiens, peut-être ? ». Râlant un instant contre ma veste, je la retire, (maudissant ce tissu de luxe fait sur-mesure mais pourtant, pas fouttu d’être confortable), avant de la jeter sur l’accoudoir « Tu sais, sushis, lorsque tu demandes quelque chose, tu dois forcément le rendre à un moment donné. A la petite école, tu demandais sans doute un crayon à ton camarade de gauche ? Ou de droite, si tu préfères mais là, n’est pas le sujet. Quoi qu’il en soit, tu devais lui rendre ce fameux crayon. Autre exemple. Au lycée, en soirée, lorsqu’un de tes potes avait trouvé une fille plutôt sympathique à baiser, tu te devais lui rendre la pareille. T’as compris le principe, je pense et ça porte un nom. La responsabilité, mon ami. Ou si tu préfères l’échange de coup de main ou l’échange équivalent. En l’occurrence, tu ne sembles pas comprendre ce terme, non ? Dans la vie, tu dois assumer tes actes et tes choix, c’est ça, être un Homme ». Je souris, fier de mon monologue, espérant qu’il y eu un impact dans son cerveau, n’importe lequel car excepté l’indifférence, je suis preneur. «Tu as quoi comme excuse ? Et qu’est-ce que tu attends précisément de moi ? Parle. Dis ce que tu veux. Je suis tout ouïe »
Coinçant ma clope entre mes molaires, j’enfourne mes mains dans les poches de mon pantalon « Sert-moi quelque chose à boire, peu m’importe ce que ça sera ! », et lentement, faisant le tour de la pièce afin d’observer sa tanière des plus dégueulassements petites, j’arque un sourcil « Tch. Ça ne valait pas la peine que tu t’endette, franchement. Regarde-moi ça, tu vis dans un véritable taudis. » Détournant les yeux des siens, je passe mon index sur un des meubles légèrement encrassé, murmurant, assez bas cependant, ne voulant pas de-suite lever la voix pour le vexer « Petit taudis crasseux pour un petit rat crasseux ». Ceci fait, c’est avec nonchalance que je m’installe sur son canapé, les pieds sur sa table basse sans ressentir le moindre respect pour ce que je pourrais salir de mes godasses hors de prix
et encore moins, si cette attitude de ma personne pourrait lui déplaire, car, en fin de compte, ça doit être le cas ? Et, c’est d’un jouissif. « Et un cendrier, aussi, j’te prie ».
Les Hommes, au sens large du terme, et pour une majorité d’entres eux, ont la foudroyante capacité de se montrer profondément stupides. Il n’en fait aucunement l’exception à mon plus grand plaisir. Naïveté oblige, je suppose. Aussi subtilement lâche et incroyablement simplet, ce pauvre écervelé me faisait rire « Alors qu’as-tu donc à m’expliquer ? Tu veux trouver un terrain d’entente, tu m’as dit, c’est bien ça ? » Croisant les mains derrière ma tête, je laisse aller un soupire satisfait tout en m’enfonçant davantage dans le canapé « Alors, qu’as-tu à me proposer, mnh ? Parle donc à ton Roi p’tit sushis qu’on s’marre un peu ». Ce n’est que mon humble pensée, mais j’ai comme le sentiment que c’est un comique. Piètre, certes, mais on va s’fendre la poire ! Et, en bon spectateur que je suis, mais par ailleurs, étant bien loin d’être un bon samaritain, c’est avec délice et sadisme que mes habitudes reviennes : aider pour ensuite, arracher, pour finir à observer, juger du haut de mon piédestal.
« Tu ne peux pas payer, c’est ça ? » Une moue affligée contrastant avec le sourire froid qui émané de mes lèvres « Ou tu refuses de me donner ce qui m’appartiens, peut-être ? ». Râlant un instant contre ma veste, je la retire, (maudissant ce tissu de luxe fait sur-mesure mais pourtant, pas fouttu d’être confortable), avant de la jeter sur l’accoudoir « Tu sais, sushis, lorsque tu demandes quelque chose, tu dois forcément le rendre à un moment donné. A la petite école, tu demandais sans doute un crayon à ton camarade de gauche ? Ou de droite, si tu préfères mais là, n’est pas le sujet. Quoi qu’il en soit, tu devais lui rendre ce fameux crayon. Autre exemple. Au lycée, en soirée, lorsqu’un de tes potes avait trouvé une fille plutôt sympathique à baiser, tu te devais lui rendre la pareille. T’as compris le principe, je pense et ça porte un nom. La responsabilité, mon ami. Ou si tu préfères l’échange de coup de main ou l’échange équivalent. En l’occurrence, tu ne sembles pas comprendre ce terme, non ? Dans la vie, tu dois assumer tes actes et tes choix, c’est ça, être un Homme ». Je souris, fier de mon monologue, espérant qu’il y eu un impact dans son cerveau, n’importe lequel car excepté l’indifférence, je suis preneur. «Tu as quoi comme excuse ? Et qu’est-ce que tu attends précisément de moi ? Parle. Dis ce que tu veux. Je suis tout ouïe »
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Re: La brebis et l'odieux connard. Hum. Qu'il est bon d'être mauvais | Sam 1 Aoû - 15:36 Citer EditerSupprimer
« Est-ce qu’un Coca ça t’irais ? » Demanda le tatoueur sans savoir vraiment ce qu’il allait pouvoir lui offrir. Parce que les boissons de qualités supérieur, il n’avait pas les moyens de se les acheter. « Je vais t’amener un verre, installe toi en attendant, fais comme chez toi … » Ironique quand on sait que c’est lui qui l’a aidé à financer une petite partie.
Le chanteur alla en cuisine pour servir ce verre, il était à la fois concentré sur ce qu’il faisait et à la fois sur ce que disait son hôte. A l’entendre il y a fort à parier que l’appartement est loin d’être à son goût … Mais quand on n’a pas le choix comme Takanori, on ne choisis pas le luxe ou la grandeur, mais plutôt un toit au-dessus de la tête. Qu’importe le lieu où il se situe ou même la taille … Cependant le blond n’ajouta rien à cela et revint de la cuisine un verre remplis en main. C’est alors qu’il vit son hôte vérifié la poussière des objets et murmuré ce qui semblait être des commentaires sur les lieux que Takanori ne put entendre. Son hôte s’installa et se mit à son aise sur le canapé, pieds sur la table basse en face … Le tatoueur était quelque peu agacé de ce comportement, et lui qui est d’habitude très impulsif ne savait pas comment il faisait pour ne rien dire. Sans doute qu’il ne voulait pas avoir de problème avec son prêteur … Le jeune homme déposa le verre sur la table et à peine il l’eut déposé que son invité lui demanda un cendrier. On pouvait voir l’énervement dans ses yeux mais jamais, au grand jamais il ne craquera …
« Oui … » Se contenta le blond malgré l’agacement. Il revint avec un cendrier en écoutant les paroles du brun assis sur son canapé. Takanori s’installa sur un autre fauteuil réfléchissant à ce qu’il pourrait dire. « Eh bien en fait … » Commença le tatoueur en ne sachant pas vraiment par quoi débuter. Kwang poursuivit à son tour dans une demande impétueuse. Takanori laissait fort à parier qu’il allait rire en entendant qu’il n’aurait jamais de quoi le rembourser dans l’année … « Tu sais, je me disais qu’on pourrait s’arranger différemment … » Son hôte le coupa presque immédiatement en visant juste sur le sujet de la conversation. Il venait de mettre le doigt sur la chose qui dérangeait le tatoueur, son incapacité à le rembourser. La phrase qui suivit ainsi que le sourire froid de son hôte fit un peu paniquer l’étudiant. « Non pas du tout ! Je compte bien te rembourser pour ce que tu m’as prêté je t’assure ! » Lui expliqua le blond. « D’une manière ou d’une autre je te rendrais ce que je t’ai emprunté ! »
Le tatoueur se tut lorsque Kwang retira sa veste pour la jeter plus loin. Takanori se fit silencieux, il écouta les paroles de son hôte sans jamais lui couper la parole. Il était en train de lui faire la morale sur l’emprunt, c’est une blague ? Le chanteur se pinça les lèvres à mesure que Kwang déversait son flot de parole. Le plus petit le fixa un long moment jusqu’à ce qu’il termine. Cela n’avait rien à voir avec le fait de ne pas assumer les conséquences de ses actes. Il comptait le rembourser, mais pas tout de suite … Après le discours de son invité, le tatoueur baissa les yeux un instant. Il réfléchissait à ce qu’il pourrait faire pour que sa demande passe mieux, afin qu’il n’est pas la mafia au fesses après ça … Il savait qu’il n’aurait jamais dût accepter … Les yeux du blond se relevèrent vers le Coréen lorsque celui-ci poursuivit. Il lui céda la parole et le silence s’installa directement après. Le Japonais se mordit la lèvre ne trouvant pas les mots plus détournés pour expliquer sa situation.
« Eh bien, je te remercie de ce que tu as fait pour moi. Je te rembourserais bien évidement, mais il va falloir pas mal de temps avant que je te rende la somme que tu m’as prêté … » Annonça enfin le tatoueur sans oser regarder son prêteur dans les yeux. « Je te rendrais tout jusqu’à la dernière pièce, mais je ne pourrais pas tout te rendre avant un voir deux ans … » Expliqua Takanori en levant enfin les yeux dans sa direction. Il fallait avouer que ce gars lui faisait un peu peur. Puis à voir sa tête en ce moment, le tatoueur devait proposer quelque chose s’il ne voulait pas s’en prendre une … « Ce que je te propose, c’est que je te verse une petite somme chaque mois jusqu’à ce que je t’ai entièrement remboursé, et … Si un jour tu as besoin d’un service, je pourrais te filer un coup de main. » Tenta le blond en espérant que ça passe …
Le chanteur était un peu tendus et il sortit rapidement une cigarette de son paquet pour la coincé entre ses lèvres. Très rapidement il l’alluma et aspira une bouffée de fumée. Il savait que tout cela n’annonçait rien de bon et il espérait que Kwang soit indulgent et lui laisse le temps nécessaire … Mais à croire que lorsqu’il prête de l’argent il tient à le récupérer et surveille de près les finances des personnes à qui il prête de l’argent. Un léger silence s’installa dans lequel l’angoisse de l’étudiant augmentait. Il n’avait aucun parents sur qui compter, il avait préféré fuir sa famille plutôt que continuer de subir leur tortures. Le silence était trop pesant et Takanori essaya de changer un peu l’ambiance, espérant que cela marche.
« Tu veux que je te serve du café peut être ? A moins que tu n’aimes pas ça, ou du thé sinon ? » Tenta le tatoueur en ramenant une nouvelle fois la cigarette à ses lèvres. Il faisait de son mieux pour que son hôte digère un peu mieux la nouvelle … Sachant qu’il allait certainement en baver par la suite …
La brebis et l'odieux
connard.
Avec Park Kwang Ho
« Est-ce qu’un Coca ça t’irais ? » Demanda le tatoueur sans savoir vraiment ce qu’il allait pouvoir lui offrir. Parce que les boissons de qualités supérieur, il n’avait pas les moyens de se les acheter. « Je vais t’amener un verre, installe toi en attendant, fais comme chez toi … » Ironique quand on sait que c’est lui qui l’a aidé à financer une petite partie.
Le chanteur alla en cuisine pour servir ce verre, il était à la fois concentré sur ce qu’il faisait et à la fois sur ce que disait son hôte. A l’entendre il y a fort à parier que l’appartement est loin d’être à son goût … Mais quand on n’a pas le choix comme Takanori, on ne choisis pas le luxe ou la grandeur, mais plutôt un toit au-dessus de la tête. Qu’importe le lieu où il se situe ou même la taille … Cependant le blond n’ajouta rien à cela et revint de la cuisine un verre remplis en main. C’est alors qu’il vit son hôte vérifié la poussière des objets et murmuré ce qui semblait être des commentaires sur les lieux que Takanori ne put entendre. Son hôte s’installa et se mit à son aise sur le canapé, pieds sur la table basse en face … Le tatoueur était quelque peu agacé de ce comportement, et lui qui est d’habitude très impulsif ne savait pas comment il faisait pour ne rien dire. Sans doute qu’il ne voulait pas avoir de problème avec son prêteur … Le jeune homme déposa le verre sur la table et à peine il l’eut déposé que son invité lui demanda un cendrier. On pouvait voir l’énervement dans ses yeux mais jamais, au grand jamais il ne craquera …
« Oui … » Se contenta le blond malgré l’agacement. Il revint avec un cendrier en écoutant les paroles du brun assis sur son canapé. Takanori s’installa sur un autre fauteuil réfléchissant à ce qu’il pourrait dire. « Eh bien en fait … » Commença le tatoueur en ne sachant pas vraiment par quoi débuter. Kwang poursuivit à son tour dans une demande impétueuse. Takanori laissait fort à parier qu’il allait rire en entendant qu’il n’aurait jamais de quoi le rembourser dans l’année … « Tu sais, je me disais qu’on pourrait s’arranger différemment … » Son hôte le coupa presque immédiatement en visant juste sur le sujet de la conversation. Il venait de mettre le doigt sur la chose qui dérangeait le tatoueur, son incapacité à le rembourser. La phrase qui suivit ainsi que le sourire froid de son hôte fit un peu paniquer l’étudiant. « Non pas du tout ! Je compte bien te rembourser pour ce que tu m’as prêté je t’assure ! » Lui expliqua le blond. « D’une manière ou d’une autre je te rendrais ce que je t’ai emprunté ! »
Le tatoueur se tut lorsque Kwang retira sa veste pour la jeter plus loin. Takanori se fit silencieux, il écouta les paroles de son hôte sans jamais lui couper la parole. Il était en train de lui faire la morale sur l’emprunt, c’est une blague ? Le chanteur se pinça les lèvres à mesure que Kwang déversait son flot de parole. Le plus petit le fixa un long moment jusqu’à ce qu’il termine. Cela n’avait rien à voir avec le fait de ne pas assumer les conséquences de ses actes. Il comptait le rembourser, mais pas tout de suite … Après le discours de son invité, le tatoueur baissa les yeux un instant. Il réfléchissait à ce qu’il pourrait faire pour que sa demande passe mieux, afin qu’il n’est pas la mafia au fesses après ça … Il savait qu’il n’aurait jamais dût accepter … Les yeux du blond se relevèrent vers le Coréen lorsque celui-ci poursuivit. Il lui céda la parole et le silence s’installa directement après. Le Japonais se mordit la lèvre ne trouvant pas les mots plus détournés pour expliquer sa situation.
« Eh bien, je te remercie de ce que tu as fait pour moi. Je te rembourserais bien évidement, mais il va falloir pas mal de temps avant que je te rende la somme que tu m’as prêté … » Annonça enfin le tatoueur sans oser regarder son prêteur dans les yeux. « Je te rendrais tout jusqu’à la dernière pièce, mais je ne pourrais pas tout te rendre avant un voir deux ans … » Expliqua Takanori en levant enfin les yeux dans sa direction. Il fallait avouer que ce gars lui faisait un peu peur. Puis à voir sa tête en ce moment, le tatoueur devait proposer quelque chose s’il ne voulait pas s’en prendre une … « Ce que je te propose, c’est que je te verse une petite somme chaque mois jusqu’à ce que je t’ai entièrement remboursé, et … Si un jour tu as besoin d’un service, je pourrais te filer un coup de main. » Tenta le blond en espérant que ça passe …
Le chanteur était un peu tendus et il sortit rapidement une cigarette de son paquet pour la coincé entre ses lèvres. Très rapidement il l’alluma et aspira une bouffée de fumée. Il savait que tout cela n’annonçait rien de bon et il espérait que Kwang soit indulgent et lui laisse le temps nécessaire … Mais à croire que lorsqu’il prête de l’argent il tient à le récupérer et surveille de près les finances des personnes à qui il prête de l’argent. Un léger silence s’installa dans lequel l’angoisse de l’étudiant augmentait. Il n’avait aucun parents sur qui compter, il avait préféré fuir sa famille plutôt que continuer de subir leur tortures. Le silence était trop pesant et Takanori essaya de changer un peu l’ambiance, espérant que cela marche.
« Tu veux que je te serve du café peut être ? A moins que tu n’aimes pas ça, ou du thé sinon ? » Tenta le tatoueur en ramenant une nouvelle fois la cigarette à ses lèvres. Il faisait de son mieux pour que son hôte digère un peu mieux la nouvelle … Sachant qu’il allait certainement en baver par la suite …
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