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Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua
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Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Dim 5 Juil - 1:21 Citer EditerSupprimer
A lors ca, j’avouais que c’était une première pour moi. J’étais dans cette voiture de police, les menottes au poignet, en route pour le commissariat. J’avais été arrêté suite à une bagarre générale qui s’était déclaré dans un bar. Bien entendu, je n’avais rien avoir avec cela. Enfin, presque. Je sirotais gentiment au bar mon cosmopolitain, papotant avec le barman, alors qu’un mec m’avait mis la main au cul l’air de rien. Noooooormal ! Instinctivement, je m’étais retourné pour lui dire ma façon de penser avec mon franc parlé. Il semblerait qu’il n’était pas seul, et qu’une jeune femme l’accompagnait. Ma révélation la choqua et elle le gifla aussitôt, le laissant en plan. A partir de là, tout s’enchaina très vite. Le mec me regarda avec un regard de tueur, prêt à m’encastrer dans un mur pour la simple raison que j’avais fait foirer son plan cul de la soirée. Il empestait l’alcool à un kilomètre à la ronde. Une proie plutôt minable face à une jeune femme et ses cinq ans d’apprentissage dans la boxe. J’aurais très bien pu me défendre seule, mais pourtant, un étranger voulut jouer les héros et frappa mon agresseur en plein visage. Un de ses amis vint le défendre et de fil en aiguille une bagarre générale éclata. La plupart des protagonistes ne savaient même pas la raison pour laquelle ils se battaient. Ils avaient juste une occasion de le faire, alors il le faisait pour le plaisir, se défouler. J’aurais volontiers participé, mais je préférais m’éclipser. Je mis un temps fou pour arriver à la sortir avec ces fous furieux qui se ruait de coups. Quelqu’un m’interpela alors que je m’apprêtais à sortir. Je n’entendis pas ce qu’il me dit, mais par reflexe, je lui infligeais un coup de coude pile sur le nez. Reflexe d’auto-défense. Avec un coup pareil, il allait surement avoir le nez cassé une semaine. Le seul hic, c’était qu’il s’agissait d’un policier. Quelqu’un avait appelé la police pour tapage nocturne. Il ne lui fallut pas longtemps pour me passer les menottes malgré mes excuses et mes protestations, il me qualifiait de dangereuse. D’où la présence des petites chaines métalliques qui entravait mes mains. Une fois sur place, on m’enferma dans une cellule sans plus tarder, m’avertissant que je passais le reste de la nuit ici et que l’on prendrait ma déposition le lendemain matin. Je demandais à ce qu’on m’enlève mon entrave, mais le gendarme m’envoya chier, me disant que ca me fera les pieds. Je soupirais et entrais dans la cellule, saluant de la tête le jeune homme avec qui j’allais partager cette minuscule pièce. Sans attendre, j’allais m’assoir sur mon lit, attendant qu’on m’accorde le pardon. « Saleté de flic ! » pestais-je tout haut.
Qui s'y frotte s'y pique.
ft. Joshua
« Je lui avais dis de ne pas me toucher !»
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Sam 11 Juil - 23:57 Citer EditerSupprimer
Joshua riait. Jusqu’à en avoir un fou rire même. Il était dans une voiture de police qui se dirigeait tout droit en direction du poste, les mains attachées dans le dos, entouré de deux policiers aux visages impénétrables qui l’avaient violemment plaqué contre le capot de la voiture quelques minutes plus tôt, mais il riait. C’était tellement idiot pour lui d’être arrêté parce qu’il se brûlait une substance illicite qu’il en était mort de rire. Et la substance illicite en elle-même n’aidait en rien à calmer cette crise qui durait depuis qu’on lui avait joint les deux mains. Au Brésil, les policiers ne s’arrêtait plus à des petits rouleaux de cannabis fumés derrière les clôtures, ils avaient bien plus importants à faire. Et même lorsque c’était important, ils ne le géraient pas comme il aurait fallu. Tout s’était passé en moins de cinq minutes, il était en train de prendre sa pause à l’extérieur et fumait tranquillement son petit joint dans un coin reculé lorsqu’il entendit des agitations autour du bar. Passant sa tête par la porte, il mit un bout de temps à comprendre ce qui était réellement en train de se passer et sans même prendre le temps d’ôter le rouleau d’herbe d’entre ses lèvres, il vint s’immiscer au milieu –parce que eh, oh, pas de conneries les soirs où il est de service-. Sans vraiment savoir le pourquoi du comment, il se retrouva à séparer deux hommes alors qu’une demoiselle prenait la fuite de l’autre côté. Il eut à peine le temps de la poursuivre pour lui demander ce qu’il venait de se passer qu’il la vit asséner un énorme coup de poing à un policier. Ce même policier qui l’entraîna dehors et ordonna à son collègue de gérer le reste. C'est-à-dire, Joshua. Comme s’il n’y avait pas plus important à cet instant même qu’un mec qui grillait son petit bédo sans faire d’histoires. Ainsi et pour la première fois depuis qu’il vivait dans un pays étranger, il finissait par se retrouver dans une cellule de prison où sa nouvelle voisine n’était autre que l’hystérique qui avait envoyé un peu plus tôt son coup de poing en plein dans la face du flic. Il n’avait strictement rien compris à ce qu’il s’était passé depuis qu’il était arrivé là, il savait juste qu’il était coincé là pour la nuit et que personne ne pouvait l’y sortir. Après la soirée qu’il venait de passer et les récents événements, il avait du mal à comprendre tout ce qu’on pouvait bien lui raconter en coréen. Il ne captait qu’un mot sur deux, il ne savait même pas qui il pouvait bien appeler. Sûrement pas sa sœur, en tout cas. Il était en train de songer à contacter ses amis une fois qu’il remettrait la main sur son portable, allongé sur la banquette qui lui servait de lit pour la nuit lorsqu’on fit entrer quelqu’un dans sa cellule. Haussant les sourcils, il l’observa faire les cent pas dans la petite pièce avant de cracher son venin contre les grilles. « C’est pas en criant ça que tu vas sortir plus vite de là… » réussit-il à lui répondre, toujours un peu dans son monde. Demain matin au réveil, cette histoire allait faire bien plus mal.
Joshua riait. Jusqu’à en avoir un fou rire même. Il était dans une voiture de police qui se dirigeait tout droit en direction du poste, les mains attachées dans le dos, entouré de deux policiers aux visages impénétrables qui l’avaient violemment plaqué contre le capot de la voiture quelques minutes plus tôt, mais il riait. C’était tellement idiot pour lui d’être arrêté parce qu’il se brûlait une substance illicite qu’il en était mort de rire. Et la substance illicite en elle-même n’aidait en rien à calmer cette crise qui durait depuis qu’on lui avait joint les deux mains. Au Brésil, les policiers ne s’arrêtait plus à des petits rouleaux de cannabis fumés derrière les clôtures, ils avaient bien plus importants à faire. Et même lorsque c’était important, ils ne le géraient pas comme il aurait fallu. Tout s’était passé en moins de cinq minutes, il était en train de prendre sa pause à l’extérieur et fumait tranquillement son petit joint dans un coin reculé lorsqu’il entendit des agitations autour du bar. Passant sa tête par la porte, il mit un bout de temps à comprendre ce qui était réellement en train de se passer et sans même prendre le temps d’ôter le rouleau d’herbe d’entre ses lèvres, il vint s’immiscer au milieu –parce que eh, oh, pas de conneries les soirs où il est de service-. Sans vraiment savoir le pourquoi du comment, il se retrouva à séparer deux hommes alors qu’une demoiselle prenait la fuite de l’autre côté. Il eut à peine le temps de la poursuivre pour lui demander ce qu’il venait de se passer qu’il la vit asséner un énorme coup de poing à un policier. Ce même policier qui l’entraîna dehors et ordonna à son collègue de gérer le reste. C'est-à-dire, Joshua. Comme s’il n’y avait pas plus important à cet instant même qu’un mec qui grillait son petit bédo sans faire d’histoires. Ainsi et pour la première fois depuis qu’il vivait dans un pays étranger, il finissait par se retrouver dans une cellule de prison où sa nouvelle voisine n’était autre que l’hystérique qui avait envoyé un peu plus tôt son coup de poing en plein dans la face du flic. Il n’avait strictement rien compris à ce qu’il s’était passé depuis qu’il était arrivé là, il savait juste qu’il était coincé là pour la nuit et que personne ne pouvait l’y sortir. Après la soirée qu’il venait de passer et les récents événements, il avait du mal à comprendre tout ce qu’on pouvait bien lui raconter en coréen. Il ne captait qu’un mot sur deux, il ne savait même pas qui il pouvait bien appeler. Sûrement pas sa sœur, en tout cas. Il était en train de songer à contacter ses amis une fois qu’il remettrait la main sur son portable, allongé sur la banquette qui lui servait de lit pour la nuit lorsqu’on fit entrer quelqu’un dans sa cellule. Haussant les sourcils, il l’observa faire les cent pas dans la petite pièce avant de cracher son venin contre les grilles. « C’est pas en criant ça que tu vas sortir plus vite de là… » réussit-il à lui répondre, toujours un peu dans son monde. Demain matin au réveil, cette histoire allait faire bien plus mal.
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Ven 24 Juil - 22:28 Citer EditerSupprimer
A cause d’un petit con qui ne savait prendre ses responsabilités et frustré que j’ai pu lui faire raté son petit coup d’un soir, je me retrouvais dans une cellule le temps d’une nuit. Assisse sur la banquette qui servait de lit, je fixais les menottes qui entravaient mes poignets. Ca allait laisser des traces demain. J’en connaissais d’ailleurs un qui aimerait l’idée de me voir attacher… mais ce n’était franchement pas le moment pour ce genre de pensées. Je devais rester entraver pour le reste de la nuit à cause d’un policier qui n’avait guère apprécié mon coup de poing. Ok, je n’aurais pas du le frapper, mais j’avais cru que c’était un autre de ces lourdauds puant l’alcool. Et puis, de là à me définir comme dangereuse au point de me laisser attacher, c’était plus qu’exagérer. Et je ne me fis pas prier pour faire entendre mon mécontentement à travers les barreaux. C’est à ce moment précis que j’entendis une voix masculine s’élever dans le fond de la pièce. Tournant la tête dans sa direction un peu surprise de constater que je n’étais pas seule. Ils mélangeaient hommes et femmes dans les prisons maintenant ? c’était nouveau cela ? Ok. C’était qu’une cellule de garde à vue, alors n’exagérons rien. « Non, mais au moins ca me détend. » répondis-je un peu a cran, ne sachant à qui j’avais à faire. Apres tout, je cohabitais peut-être avec un meurtrier. Qui sait ? On trouve de tous chez les flics… mais c’était loin de me faire peur. J’étais loin de ces femmes sans défense. Je ne faisais pas de la boxe depuis cinq ans pour rien. Je fis craquer ma nuque, penchant la tête de chaque côté pour me détendre un peu. « t’es là pourquoi, toi ? » lâchais-je de but en blanc, le fixant de mes grands yeux de chat. Je me reculais en arrière pour m’assoir plus confortablement sur le banc, les jambes ramenées en tailleur, mes mains liées par-dessus. « Perso j’ai frappé un flic par erreur suite à une bagarre générale dans un bar… » Continuais-je en riant en reposant au nez de l’homme en question complètement explosé par mon coup. Observant l’homme en face de moi, je le détaillais. Je ne connaissais rien de lui, mais il était plutôt bel homme, on ne pouvait pas le nier. Et vu son air un peu paumé, il devait s’être fumé un joint ou deux avant de se retrouver ici. Alors le meurtrier en série, on peut le ranger au placard selon moi.
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Mer 5 Aoû - 23:03 Citer EditerSupprimer
Étendu sur son lit miteux, les bras croisés, Joshua avait l'impression de tanguer comme s'il se trouvait dans une barque au milieu d'une mer agitée. Il fermait les yeux, basculait la tête en arrière pour essayer de reprendre un peu ses esprits mais il fallait dire qu'il avait mis la dose dans le joint qu'il s'était roulé. Au départ, il avait uniquement fait ça pour être totalement détendu au boulot et finir la soirée tranquillement mais vu la tournure qu'avait prit la soirée, il aurait mieux fallu éviter. Si on décidait tout à coup de lui faire une prise de sang ou bien simplement de se plonger un peu trop dans son regard, il risquait très gros. La demoiselle avec qui il partageait sa cellule prit alors place face à lui et se mit à l'observer alors qu'il comatait en fixant le plafond. Elle le questionna alors sur la raison de son enfermement mais il n'eut pas le temps de formuler sa réponse que déjà, elle lui donnait la raison du sien. Joshua tourna doucement la tête vers elle, arquant un sourcil. Alors c'était elle la Mohamed Ali de tout à l'heure ? C'était à cause d'elle qu'il se retrouvait là ? Un bref petit sourire naquit sur ses lèvres avant de disparaître aussitôt. « Moi ? Je suis là parce qu'une certaine demoiselle s'est prise pour une catcheuse et que... je ne sais comment à vrai dire, j'ai fini par être mêlé à l'histoire alors que je devais retourner bosser. » Il fit une pause d'un instant, l'air toujours aussi imperturbable. « Merde. Y a plus personne pour tenir le bar. » Et ça aussi, ça allait lui retomber dessus. Sur le moment, ça lui semblait assez lointain. Mais ça le serait beaucoup moins lorsque le jour venu, il recevrait un coup de fil de son patron lui demandant des explications. « Tu sais que tu vas devoir te racheter pour ça ? Et je veux pas d'excuses, c'est rien que du vent. Par contre si t'as de quoi manger, je veux bien. Je crève la dalle. » fit-il en se tenant le ventre alors qu'au même moment, un gargouillement lui remuait l'estomac.
Étendu sur son lit miteux, les bras croisés, Joshua avait l'impression de tanguer comme s'il se trouvait dans une barque au milieu d'une mer agitée. Il fermait les yeux, basculait la tête en arrière pour essayer de reprendre un peu ses esprits mais il fallait dire qu'il avait mis la dose dans le joint qu'il s'était roulé. Au départ, il avait uniquement fait ça pour être totalement détendu au boulot et finir la soirée tranquillement mais vu la tournure qu'avait prit la soirée, il aurait mieux fallu éviter. Si on décidait tout à coup de lui faire une prise de sang ou bien simplement de se plonger un peu trop dans son regard, il risquait très gros. La demoiselle avec qui il partageait sa cellule prit alors place face à lui et se mit à l'observer alors qu'il comatait en fixant le plafond. Elle le questionna alors sur la raison de son enfermement mais il n'eut pas le temps de formuler sa réponse que déjà, elle lui donnait la raison du sien. Joshua tourna doucement la tête vers elle, arquant un sourcil. Alors c'était elle la Mohamed Ali de tout à l'heure ? C'était à cause d'elle qu'il se retrouvait là ? Un bref petit sourire naquit sur ses lèvres avant de disparaître aussitôt. « Moi ? Je suis là parce qu'une certaine demoiselle s'est prise pour une catcheuse et que... je ne sais comment à vrai dire, j'ai fini par être mêlé à l'histoire alors que je devais retourner bosser. » Il fit une pause d'un instant, l'air toujours aussi imperturbable. « Merde. Y a plus personne pour tenir le bar. » Et ça aussi, ça allait lui retomber dessus. Sur le moment, ça lui semblait assez lointain. Mais ça le serait beaucoup moins lorsque le jour venu, il recevrait un coup de fil de son patron lui demandant des explications. « Tu sais que tu vas devoir te racheter pour ça ? Et je veux pas d'excuses, c'est rien que du vent. Par contre si t'as de quoi manger, je veux bien. Je crève la dalle. » fit-il en se tenant le ventre alors qu'au même moment, un gargouillement lui remuait l'estomac.
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Jeu 6 Aoû - 21:41 Citer EditerSupprimer
I l était vrai que je me retrouvais ici par une ribambelle de circonstance qui avait commencé à cause d’un pauvre con. C’était une première la garde à vue, pour moi. Je ne savais pas trop comment cela se passait, mais une chose était certaine : on n’était pas censé me laisser des menottes autour des poignets. C’était bien trop inconfortable. Je ne savais comment me mettre pour ne pas qu’elles me gênent et je ne pouvais même pas me gratter le royal fessier sans aide. Par curiosité, j’avais demandé au jeune homme comatant devant moi le pourquoi du comment il se trouvait là, lui révélant le mienne, de raison. Je vis le sourire qui naissait sur ses lèvres avant de disparaitre comme il était apparu. Je me souvenais m’être dit qu’il devrait sourire plus souvent, car ca lui allait plutôt bien. L’entendant parler, et vu la façon dont il m’avait regardé en disant cela, j’avais compris qu’il parlait de moi. C’était moi la jeune femme qui se prenait pour une catcheuse, bien que la désignation boxeuse fût plus correcte. Je ris un peu nerveux. Je n’avais pas pensé un instant que quelqu’un d’autre que moi aurait pu se faire emprisonner. Et par ma faute qui plus est. J’allais m’excuser mille fois quand il me coupa, m’expliquant que j’allais devoir me racheter pour ma sottise, et que les excuses ne valaient rien. Je n’étais pas tout à fait d’accord avec lui, mais c’était moi la fautive, alors je me plierais cette fois à sa demande. Un sourire élargit mes lèvres quand un gargouillement retentit, émanant du jeune homme. Je hochais la tête. Avec mon hyperactivité, il m’arrivait d’avoir vite faim. Et je grignotais souvent entre les repas. De ce fait, il y avait toujours un paquet de biscuit qui trainant dans mes poches. « Par chance, le flic qui m’a amené ici était tellement énervé par mon coup de boule que je lui avais donné et impatient de me mettre derrière les barreaux qu’il a oublié de me fouiller. » Je me levais pour essayer d’atteindre le petit paquet dans ma poche de mon gilet. Celle-ci était trop étroite pour que je puisse y entrer avec mes liens. Je touchais mon trésor du bout des doigts sans pouvoir le sortir de là. Tout ce que j’arrivais à faire était de l’enfoncer un peu plus loin, comme si il prenait un malin plaisir de me narguer. « Merde. » pestais-je avant de me diriger vers le garçon. « Regarde dans la poche droite, il y a un paquet de biscuit, mais je n’arrive pas à l’attendre avec ca. » Je lui montrais mon entrave d’un air boudeur, avant de m’approcher assez prêt pour qu’il se saisisse de l’objet de sa convoitise, seul.
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Mer 12 Aoû - 0:08 Citer EditerSupprimer
Elle était marrante, cette petite. Elle devait faire la moitié de sa taille, la moitié de son poids (enfin quoi que, Josh n’était pas bien épais lui-même) mais elle avait ce caractère qui vous faisait penser que c’était une dure à cuire qui ne se laissait rien dire et surtout pas toucher. Il fallait voir le pif qu’il se trimballait après le coup qu’elle lui avait asséné. Quand il y repensait, Joshua se mettait à rire silencieusement. Un peu aussi parce que tout était sujet à la rigolade avec de la marie-jeanne dans le sang. En tout cas, c’était une compagne de cellule plutôt agréable qui avait même de quoi manger dans ses poches. En espérant pour qu’elle ne s’en aille pas de si tôt, il n’avait pas fini de quémander ses services. Qui sait ce qui lui ferait encore plaisir en plein milieu de la nuit ? Il regardait la jeune demoiselle se tortiller dans tous les sens pour parvenir à récupérer ce qu’elle cachait dans sa poche. C’était amusant, bien plus que de regarder le gros policier se fourrer le doigt dans le nombril pour partir à la pêche aux trésors. Un sourcil arqué, l’air intéressé et en même temps amusé par la situation, il l’observait attentivement attendant qu’elle vienne lui demander de l’aide. Et c’est ce qu’elle fit peu de temps après, sans grande surprise. Lâchant un petit rire, Joshua se redressa sur sa couche et glissa ses deux mains liées dans la poche de la jeune femme pour en retirer un paquet de gâteau, frôlant au passage ce qui ressemblait à son derrière. « Pardon. » répondit-il, pas vraiment désolé en réalité. Bah quoi ? Il était dans une prison jusqu’à Dieu savait quand, autant profiter pour tâter un peu avant d’être coupé du monde féminin. « T’en veux un ? » demanda le métisse en ouvrant le paquet, fourrant un biscuit entier dans sa bouche avant d’en tendre un autre à la demoiselle. « Et chinon… » commença-t-il, la bouche pleine. « Tu fais quoi dans la vie à part être boxeuse professionnelle ? »
Elle était marrante, cette petite. Elle devait faire la moitié de sa taille, la moitié de son poids (enfin quoi que, Josh n’était pas bien épais lui-même) mais elle avait ce caractère qui vous faisait penser que c’était une dure à cuire qui ne se laissait rien dire et surtout pas toucher. Il fallait voir le pif qu’il se trimballait après le coup qu’elle lui avait asséné. Quand il y repensait, Joshua se mettait à rire silencieusement. Un peu aussi parce que tout était sujet à la rigolade avec de la marie-jeanne dans le sang. En tout cas, c’était une compagne de cellule plutôt agréable qui avait même de quoi manger dans ses poches. En espérant pour qu’elle ne s’en aille pas de si tôt, il n’avait pas fini de quémander ses services. Qui sait ce qui lui ferait encore plaisir en plein milieu de la nuit ? Il regardait la jeune demoiselle se tortiller dans tous les sens pour parvenir à récupérer ce qu’elle cachait dans sa poche. C’était amusant, bien plus que de regarder le gros policier se fourrer le doigt dans le nombril pour partir à la pêche aux trésors. Un sourcil arqué, l’air intéressé et en même temps amusé par la situation, il l’observait attentivement attendant qu’elle vienne lui demander de l’aide. Et c’est ce qu’elle fit peu de temps après, sans grande surprise. Lâchant un petit rire, Joshua se redressa sur sa couche et glissa ses deux mains liées dans la poche de la jeune femme pour en retirer un paquet de gâteau, frôlant au passage ce qui ressemblait à son derrière. « Pardon. » répondit-il, pas vraiment désolé en réalité. Bah quoi ? Il était dans une prison jusqu’à Dieu savait quand, autant profiter pour tâter un peu avant d’être coupé du monde féminin. « T’en veux un ? » demanda le métisse en ouvrant le paquet, fourrant un biscuit entier dans sa bouche avant d’en tendre un autre à la demoiselle. « Et chinon… » commença-t-il, la bouche pleine. « Tu fais quoi dans la vie à part être boxeuse professionnelle ? »
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Mer 12 Aoû - 14:19 Citer EditerSupprimer
H eureusement pour lui, les policiers, tellement furax, avait omis de me fouiller, j’avais donc gardé tout ce que j’avais dans les poches depuis le début de soirée. C’est-à-dire, pas grand-chose. Un peu d’argent, mon téléphone, un ouvre bouteille –oui ca sert toujours en soirée. -, et mon paquet de biscuits. Sans oublier deux sucettes que j’avais piqué dans la réserve secrète de mon meilleur ami pour les planquer dans mes chaussures. Ne sachant pas attraper mon paquet de biscuits de mes poches avec ces fichus menottes, je demandais de l’aide à mon colocataire de cellule. Alors qu’il plongeait pour attraper la nourriture, il frôlait mon derrière. Je lui fis les gros yeux. Sans doute que si je n’avais pas eu les mains liées, je lui aurais donné une petite tape sur la main comme à un enfant qui piquait un gâteau avant l’heure du diner. Je le soupçonnais de l’avoir fait exprès, mais vu qu’il s’excusait, je lui laissais le bénéfice du doute. Je secouais la tête. « Non, merci. Je préfère d’autres sucreries." Je me baissais pour atteindre ma chaussure et en sortit une sucette au pomme. Je défis le papier et la fourrait dans ma bouche, prenant place sur la couche du jeune homme sans même lui demander la permission. Assis en tailleur, je le regardais alors qu’il entamait la discussion. « Je suis photographe professionnel aussi, je travaille par si par-là, mais principalement dans une boite de mannequinant d’un ami qui vient de se lancer et je suis également étudiante en langue étrangère. » Commençais-je en faisant tourner le bâton de la sucette dans ma bouche avec ma langue. « Et toi, si j’ai bien compris, tu es barman c’est ca ? Encore désolé d’avoir mis le souque dans ton bar… » C’est fou comme on pouvait parler aussi facilement avec un étranger dans une cellule. En même temps, on n’avait pas grand-chose à faire pour passer le temps. Alors autant s’apprendre à se connaitre. Surtout qu’on était enfermé là jusqu’au petit matin.
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ft. Joshua
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Lun 17 Aoû - 20:47 Citer EditerSupprimer
Un par un, en un temps record, Joshua engloutissait les gâteaux de la demoiselle. Et à dire vrai, c’était loin d’être assez pour lui. Q’est-ce que quatre pauvres biscuits ? Il y avait juste de quoi nourrir une portée de pigeons. Mais au moins c’était déjà ça et le monstre qui abritait son estomac s’était arrêté de grogner pour le moment. Il se fit une petite place sur sa couchette, bientôt rejoint par la jeune femme sans qu’elle ne lui demande rien. Eh bien… Plus que quelques minutes et il réaliserait sûrement un de ses fantasmes. Il l’écouta attentivement parler de son métier et de ses études en hochant la tête, soudainement distrait par le bâton de la sucette qu’elle tournait entre ses lèvres. Il lui vint rapidement l’idée de la lui retirer pour s’approprier la sucrerie mais il se passait bien d’un œil au beurre noir, là tout de suite. Lorsqu’elle évoqua alors son métier et ce qu’il s’était passé un peu plus tôt dans la soirée, Josh lâcha un petit grognement pour dénier ses dires. Il avait connu des situations bien pires que ça, ce n’était pas ça qui allait l’achever. « Rien de bien grave. L’happy hour a juste commencé avec une heure d’avance… » En réalité, ça l’était. A l’heure qu’il était, les videurs avaient déjà téléphoné au patron qui n’était pas ravi d’apprendre que son employé avait déserté le bar pour aller se la jouer Prison Break au commissariat de la ville, mais le brésilien ignorait tout de ça. Pourtant, cela risquait d’être compliqué, d’autant plus qu’il venait tout juste de demander une augmentation de salaire pour se faire des vacances dans le sud de la France. « Faudra quand même que tu m’expliques comment t’en es arrivée à foutre ton poing dans la gueule d’un flic… » dit-il en riant, se rappelant alors la scène. D’un geste rapide et imprévisible, Joshua se pencha rapidement vers l’avant, attrapa la sucette que la jeune femme tenait dans sa bouche et la glissa dans la sienne en se calant à nouveau contre son coussin. « Si t’as un autre paquet de gâteaux coincé dans ton soutif, je suis preneur. »
Un par un, en un temps record, Joshua engloutissait les gâteaux de la demoiselle. Et à dire vrai, c’était loin d’être assez pour lui. Q’est-ce que quatre pauvres biscuits ? Il y avait juste de quoi nourrir une portée de pigeons. Mais au moins c’était déjà ça et le monstre qui abritait son estomac s’était arrêté de grogner pour le moment. Il se fit une petite place sur sa couchette, bientôt rejoint par la jeune femme sans qu’elle ne lui demande rien. Eh bien… Plus que quelques minutes et il réaliserait sûrement un de ses fantasmes. Il l’écouta attentivement parler de son métier et de ses études en hochant la tête, soudainement distrait par le bâton de la sucette qu’elle tournait entre ses lèvres. Il lui vint rapidement l’idée de la lui retirer pour s’approprier la sucrerie mais il se passait bien d’un œil au beurre noir, là tout de suite. Lorsqu’elle évoqua alors son métier et ce qu’il s’était passé un peu plus tôt dans la soirée, Josh lâcha un petit grognement pour dénier ses dires. Il avait connu des situations bien pires que ça, ce n’était pas ça qui allait l’achever. « Rien de bien grave. L’happy hour a juste commencé avec une heure d’avance… » En réalité, ça l’était. A l’heure qu’il était, les videurs avaient déjà téléphoné au patron qui n’était pas ravi d’apprendre que son employé avait déserté le bar pour aller se la jouer Prison Break au commissariat de la ville, mais le brésilien ignorait tout de ça. Pourtant, cela risquait d’être compliqué, d’autant plus qu’il venait tout juste de demander une augmentation de salaire pour se faire des vacances dans le sud de la France. « Faudra quand même que tu m’expliques comment t’en es arrivée à foutre ton poing dans la gueule d’un flic… » dit-il en riant, se rappelant alors la scène. D’un geste rapide et imprévisible, Joshua se pencha rapidement vers l’avant, attrapa la sucette que la jeune femme tenait dans sa bouche et la glissa dans la sienne en se calant à nouveau contre son coussin. « Si t’as un autre paquet de gâteaux coincé dans ton soutif, je suis preneur. »
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Sam 22 Aoû - 23:15 Citer EditerSupprimer
I l engloutit mon paquet de biscuits en un temps record. Il avait du même battre le mien. Si j’étais gourmande, lui était un goinfre. Je l’observais s’empiffrer alors que je prenais place à ses côtés. « Tu avais faim dis donc ! » Je prenais moi-même une sucette planqué dans ma chaussure alors que je lui racontais ce qui occupait ma vie, m’excusant au passage, une nouvelle fois, de la pagaille que j’avais causée. Je souris en l’entendant parler de l’happy hour. Il était vrai que les bagarres étaient fréquentes à cette heure-ci. « Je me rachèterais quand même d’une façon ou d’une autre ! » Cette situation me déplaisait, me mettant mal à l’aise par rapport au jeune homme. Je détestais faire du mal à autrui si ce n’était pas mérité. Je haussais les épaules en faisant une moue faussement boudeuse. « J’ai cru que c’était encore un de ces lourdauds qui essayaient de me ploter. » La vérité vraie. J’avais senti une main sur mes fesses et instinctivement, je m’étais retourné pour lui en retourner une en plein sur son énorme pif avant de me rendre compte qu’il s’agissait d’un agent de police, me paralysant sur place. Sans doute que son geste était inconscient et qu’il avait voulu attraper mon épaule pour me stopper et m’avait frôlé le derrière par inadvertance. Hypothèse en laquelle je ne croyais pas. « Il n’a eu que ce qu’il méritait. » Alors que je riais encore aux éclats, je me fis voler ma sucette telle une petite fille. « AISH ! » m’écriais-je soudain frustrée. Il avait osé me piquer ma sucette. MA SUCETTE. Ma marque de fabrique. « Je t’ai donné un paquet de biscuit. La sucette, elle est à moi. » Mon parfum préféré en plus. La dernière. Je me jetais sur lui pour essayer de récupérer mon trésor. « Rends-la-moi ! MECREANT ! » Les poignets liés je me débattis pour essayer d’attraper le baton, me retrouvant presque à califourchon sur mon adversaire. Je repris la sucrerie, victorieuse et le sourire aux lèvres, la remettant en bouche. A moi.
Qui s'y frotte s'y pique.
ft. Joshua
« Je lui avais dis de ne pas me toucher !»
code by ORICYA.
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Re: Qui s'y frotte s'y pique ~ ft. Joshua | Mer 2 Sep - 22:17 Citer EditerSupprimer
D’un mouvement de jambe bien dirigé, Joshua réussit à asseoir la demoiselle sur lui lorsqu’elle vint quémander sa sucette. Il arque alors un sourcil d’un air vicieux en la détaillant de bas en haut. C’est qu’elle avait une jolie petite poitrine… Et elle ne la mettait pas du tout en valeur. Quel gâchis. « Dis-donc, c’est que tu as vraiment envie d’une sucette toi. » lance-t-il en esquissant un sourire pervers. Ils avaient du temps à perdre, Josh risquait même de pourrir en prison alors pourquoi devait-il faire semblant de lui montrer un désintérêt total ? Elle était mignonne. Et si elle devait être sa dernière fois avant qu’il ne se contente que de sa main droite, soit. Il serait le dernier à s’en plaindre. « Tout à l’heure, je t’ai dis que tu devrais te faire pardonner. » commença le jeune homme, jouant avec les pans du long gilet de la demoiselle. « Vu que je risque de rester ici pendant un très long moment, j’ai une idée de la façon dont tu pourrais te faire pardonner. » Bien sûr, tout cela n’était que plaisanterie. Au moment-même où il l’avait installé sur lui, il savait qu’elle finirait par se dégager en lui en décrochant une et en l’insultant de tous les noms d’oiseaux. Par simple précaution, il attrapa une de ses deux mains et poussa le bouchon un peu plus loin en entrelaçant ses doigts aux siens sans se départir de son regard charmeur. Ca passe ou ça casse, dans tous les cas il se sera bien amusé de la situation. Il fallait dire aussi que le fait qu’il ait fumé et un peu bu avant rend les choses beaucoup plus faciles. Plus de gêne, aucune réflexion, seulement de l’action. Retenant un rire, non sans difficulté, il vint glisser sa main libre dans ses longs cheveux et les lui plaça derrière l’oreille. « Je ne t’ai même pas demandé ton prénom d’ailleurs… Tu t’appelles comment ? »
D’un mouvement de jambe bien dirigé, Joshua réussit à asseoir la demoiselle sur lui lorsqu’elle vint quémander sa sucette. Il arque alors un sourcil d’un air vicieux en la détaillant de bas en haut. C’est qu’elle avait une jolie petite poitrine… Et elle ne la mettait pas du tout en valeur. Quel gâchis. « Dis-donc, c’est que tu as vraiment envie d’une sucette toi. » lance-t-il en esquissant un sourire pervers. Ils avaient du temps à perdre, Josh risquait même de pourrir en prison alors pourquoi devait-il faire semblant de lui montrer un désintérêt total ? Elle était mignonne. Et si elle devait être sa dernière fois avant qu’il ne se contente que de sa main droite, soit. Il serait le dernier à s’en plaindre. « Tout à l’heure, je t’ai dis que tu devrais te faire pardonner. » commença le jeune homme, jouant avec les pans du long gilet de la demoiselle. « Vu que je risque de rester ici pendant un très long moment, j’ai une idée de la façon dont tu pourrais te faire pardonner. » Bien sûr, tout cela n’était que plaisanterie. Au moment-même où il l’avait installé sur lui, il savait qu’elle finirait par se dégager en lui en décrochant une et en l’insultant de tous les noms d’oiseaux. Par simple précaution, il attrapa une de ses deux mains et poussa le bouchon un peu plus loin en entrelaçant ses doigts aux siens sans se départir de son regard charmeur. Ca passe ou ça casse, dans tous les cas il se sera bien amusé de la situation. Il fallait dire aussi que le fait qu’il ait fumé et un peu bu avant rend les choses beaucoup plus faciles. Plus de gêne, aucune réflexion, seulement de l’action. Retenant un rire, non sans difficulté, il vint glisser sa main libre dans ses longs cheveux et les lui plaça derrière l’oreille. « Je ne t’ai même pas demandé ton prénom d’ailleurs… Tu t’appelles comment ? »
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