J'avais passé la nuit à bosser sur des croquis histoire de refaire une beauté à mes petites voitures toujours entreposé dans le garage où je bossais. Impossible de dormir pour moi, Yibo bossait toute la nuit, à poser pour une nouvelle marque de vêtement apparemment, en soi, j'acceptais difficilement son travail, et depuis notre dispute, ça devenait plus compliquer d'avoir un moment à nous deux, cependant, je n'avais pas le choix, je devais encaisser, jusqu'à quand, je ne sais pas, mais nous verrons bien où mes limites s'arrêteront. Quoi qu'il en soit, je me suis retrouvé à dormir tôt le matin, sans savoir l'heure exacte, je n'étais pas fan de dormir dans mon pieu sans Yibo, du coup, j'ai dormis comme un véritable somalien, assis sur la chaise de mon bureau et la tête contre ce dernier. Alors que je me croyais en plein rêve, une voix bien familière vient à me tirer de ce monde si merveilleux. Je laisse mes yeux s'ouvrir difficilement, pour ne pas dire douloureusement face au manque de sommeil avant de me redresser en lâchant un soupir de mécontentement. Après deux étirements, je viens à lever mes fesses de la chaise et me tourne face à mon compagnon du jour. « Ferme-la blondinet... Y en a qui bosse la nuit. Puis il est quelle heure pour que tu débarques ici comme ça sans prévenir ? » Un ton légèrement froid, étant à deux de tension, je venais à retirer avec lenteur les multiples vêtements présents sur le lit, invitant mon invité s'assoir sur ce dernier, avant de finalement bailler grossièrement. « Je suppose que t'as pas apporter de quoi manger ? Non. Évidemment. Qu'est-ce qui t’emmène ici ? J'espère que t'as pas besoin que je te fasse encore l'amour parce que je suis plus sur le marché mon chou, faudra demander à un autre. » Il avait peut-être un joli cul et une belle gueule, mais malheureusement, je ne pouvais me résoudre à en faire mon déjeuner aujourd'hui, ni même un autre jour. Étant actuellement au régime sexuel et sous une alimentation sentimentale, je ne pouvais plus me permettre d'aller visiter un fessier autre que celui de mon petit ami, qui lui n'est toujours pas passer à l'acte soit dit en passant.