craquage de slip quantique [Parker]
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craquage de slip quantique [Parker] | Lun 13 Juil - 16:48 Citer EditerSupprimer
Physical burn out
Parker & Noriko
B-b-baby, here, boy. Are you crazy? Down boy. Look at your crass face. Why you so serious?? You’re so intense maybe why I’m so curious. ▬ die antwoord
C'était un de mes "mauvais jours" si on peut dire. Ceux où je suis assez... à fleur de peau. Sans doute pour la raison la plus improbable au monde. Le mr de Planck, bitch! J'avais plusieurs raisons pour me mettre dans cet état en fait. Très peu, et toutes aussi improbables. Genre, Dieu aussi me mettait à bout de nerfs. Mais ça, je le faisais dans un salon, ou à la bibliothèque. quand j'étais en salle de classe, c'était sur l'astrophysique que je m'excitais. Bon, bah sur le mur de Planck en vrai, hein. Je n'avais pas encore le niveau. Loin de là. Donc je m'excitais sur l'astrophysique en générale. Vu que c'était largement au-dessus de mon niveau scolaire, et que, trop orgueilleuse, je voulais m'avancer toute seule, j'en chiais des ronds de chapeaux. Sudouée ne veut pas dire omnisciente.
Je lâchai un long râle de mécontentement et laissai ma main étaler la craie d'une formule mathématique qui me dépassait encore sur le tableau noir. Je lançai la craie, rageuse, de l'autre côté de la pièce et le bouquin que j'avais dans la main sur la table la plus proche. Je m'avançai vers la porte et récupérai un des fusils à pompe à eau que j'avais calés contre le mur. Je retournai m'asseoir sur une chaise près de la porte et me mise à tirer avec désinvolture sur le tableau pour effacer toutes les formules déjà raturées, rayées et à moitié effacées qui le recouvrait. Je soupirai et laissai mes bras pendre et ma tête basculer en arrière. Je fermai les yeux, réfléchissant à mon problème.
Dans le silence de la pièce, j'entendis la poignée de la porte tourner. Je me redressai, et armai mon fusil. La porte s'ouvrit sur un étudiant, qui sembla ne pas tout de suite comprendre la situation. Normal. Je souris. Non. Si. Allé c'est que de l'eau. Je visai le jeune homme et lui tirai dessus, en me mettant à rire. Je baissai un peu le canon, secouée de spasmes, riant de plus belle en en voyant sa frimousse mouillée. Je pinçai mes lèvres, essayant de reprendre mon sérieux, et levai la main pour pointer les armes à côté de la porte du doigt. Allé, allé! Joue avec moi!
Je lâchai un long râle de mécontentement et laissai ma main étaler la craie d'une formule mathématique qui me dépassait encore sur le tableau noir. Je lançai la craie, rageuse, de l'autre côté de la pièce et le bouquin que j'avais dans la main sur la table la plus proche. Je m'avançai vers la porte et récupérai un des fusils à pompe à eau que j'avais calés contre le mur. Je retournai m'asseoir sur une chaise près de la porte et me mise à tirer avec désinvolture sur le tableau pour effacer toutes les formules déjà raturées, rayées et à moitié effacées qui le recouvrait. Je soupirai et laissai mes bras pendre et ma tête basculer en arrière. Je fermai les yeux, réfléchissant à mon problème.
Dans le silence de la pièce, j'entendis la poignée de la porte tourner. Je me redressai, et armai mon fusil. La porte s'ouvrit sur un étudiant, qui sembla ne pas tout de suite comprendre la situation. Normal. Je souris. Non. Si. Allé c'est que de l'eau. Je visai le jeune homme et lui tirai dessus, en me mettant à rire. Je baissai un peu le canon, secouée de spasmes, riant de plus belle en en voyant sa frimousse mouillée. Je pinçai mes lèvres, essayant de reprendre mon sérieux, et levai la main pour pointer les armes à côté de la porte du doigt. Allé, allé! Joue avec moi!
© Gasmask
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Re: craquage de slip quantique [Parker] | Mar 14 Juil - 21:28 Citer EditerSupprimer
Par delà les montagnes, existe un homme dénommé Parker. Si le vent lui murmure à l'oreille, difficile est pour lui de comprendre ce que la brise tente de lui dire. Ce sifflement, ce n'est autre que son cerveau, agacé par son "élève" qui vient de lui poser un lapin pour la leçon habituelle. Comme s'il n'avait que ça à faire. Le temps c'est de l'argent, et l'argent c'est son gagne pain ici : rares sont les fois ou Parker s'agace autant devant le manque de savoir vivre dont on vient de lui faire preuve... Si en plus on ajoute la semaine bien has been qu'il a passé en tentant de démontrer par A + B sur C au carré que non, ce n'est pas ainsi qu'il faut gérer tel ou tel problème au sein d'une entreprise pour ce fichu mémoire... Autant dire que le doux Parker pourtant si calme et neutre fronce légèrement les sourcils. Légèrement.
Bon dieu, s'il rentre voir les Gumiho maintenant, le jeune homme risque de ne pas passer la nuit : le chinois sait pertinemment qu'avec les nerfs à vif, mieux vaux éviter le dortoir. Même s'ils sont adorable, dans un état comme l'actuel, il ne veut pas pourrir le temps passé en leur compagnie. Peut-être que lire dans une salle, en s'isolant tranquillement, loin du passage et du bruit l'aiderait. Probablement. En général, les salles dont les portes sont fermées sont libre, c'est pourquoi il choisit la première venue après avoir quitté le "lieu de rendez-vous" ou il avait été sujet d'un piteux lapin. Une main sur la poignée, une autre tenant son livre à la bonne page... Et puis.
C'est l'incompréhension totale. La porte s'entrouvre, doucement, grandement, et puis. Une fille sur une chaise face à lui, le regard presque sauvage, comme quelque chose qui ne prévois rien de bien. Parker à souvent ce regard en affaire, celui qui prouve que tu viens d'atterrir dans les griffes du loup. Pourquoi cette fille est là et qu'est-ce qu'elle peut bien tenir... En fait non, pas besoin de se questionner, la réponse est aussi instantanée que le jet d'eau qu'il reçoit en pleine figure, déviant ses lunettes.
La scène est plutôt comique sur l'instant. Si le rire est plus qu'insupportable, le visage décomposé de Parker en dit long. S'il ne cesse de fixer la jeune demoiselle, c'est ce rire qui résonne doucement et qui vient titiller ses tympans. Les mots, des mots, que dire ? Lorsqu'il baisse les yeux vers son lire, il constate le piteux état de ce dernier qui a reçu la retombée des chute du Niagara qu'il a reçu à l'instant.
Trempé. C'est exactement le comportement de sa petite soeur qui a tendance à le rendre dingue... Il aimerait garder son sang froid, alors il ne répond pas tout de suite à l'invitation. Non mais, ce n'est pas lui qui va faire le fou ainsi ... Bravo, quel savoir vivre. Dit-il en lâchant son livre dégoulinant, dégoûté. Dans une salle de classe, innovant. On pourrait presque croire que Parker est un pion avec sa notion de règlement et respect des règles, mais non. Ce n'est qu'un étudiant. Pose cette arme veux-tu... Tu vas blesser quelqu'un. Oui ce n'est qu'un pistolet à eau mais on ne sait jamais, on peut toujours... choper une otite ou un rhume
Bon dieu, s'il rentre voir les Gumiho maintenant, le jeune homme risque de ne pas passer la nuit : le chinois sait pertinemment qu'avec les nerfs à vif, mieux vaux éviter le dortoir. Même s'ils sont adorable, dans un état comme l'actuel, il ne veut pas pourrir le temps passé en leur compagnie. Peut-être que lire dans une salle, en s'isolant tranquillement, loin du passage et du bruit l'aiderait. Probablement. En général, les salles dont les portes sont fermées sont libre, c'est pourquoi il choisit la première venue après avoir quitté le "lieu de rendez-vous" ou il avait été sujet d'un piteux lapin. Une main sur la poignée, une autre tenant son livre à la bonne page... Et puis.
C'est l'incompréhension totale. La porte s'entrouvre, doucement, grandement, et puis. Une fille sur une chaise face à lui, le regard presque sauvage, comme quelque chose qui ne prévois rien de bien. Parker à souvent ce regard en affaire, celui qui prouve que tu viens d'atterrir dans les griffes du loup. Pourquoi cette fille est là et qu'est-ce qu'elle peut bien tenir... En fait non, pas besoin de se questionner, la réponse est aussi instantanée que le jet d'eau qu'il reçoit en pleine figure, déviant ses lunettes.
La scène est plutôt comique sur l'instant. Si le rire est plus qu'insupportable, le visage décomposé de Parker en dit long. S'il ne cesse de fixer la jeune demoiselle, c'est ce rire qui résonne doucement et qui vient titiller ses tympans. Les mots, des mots, que dire ? Lorsqu'il baisse les yeux vers son lire, il constate le piteux état de ce dernier qui a reçu la retombée des chute du Niagara qu'il a reçu à l'instant.
Trempé. C'est exactement le comportement de sa petite soeur qui a tendance à le rendre dingue... Il aimerait garder son sang froid, alors il ne répond pas tout de suite à l'invitation. Non mais, ce n'est pas lui qui va faire le fou ainsi ... Bravo, quel savoir vivre. Dit-il en lâchant son livre dégoulinant, dégoûté. Dans une salle de classe, innovant. On pourrait presque croire que Parker est un pion avec sa notion de règlement et respect des règles, mais non. Ce n'est qu'un étudiant. Pose cette arme veux-tu... Tu vas blesser quelqu'un. Oui ce n'est qu'un pistolet à eau mais on ne sait jamais, on peut toujours... choper une otite ou un rhume
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Re: craquage de slip quantique [Parker] | Mer 15 Juil - 16:35 Citer EditerSupprimer
Physical burn out
Parker & Noriko
B-b-baby, here, boy. Are you crazy? Down boy. Look at your crass face. Why you so serious?? You’re so intense maybe why I’m so curious. ▬ die antwoord
Je balançai ma tête de droite à gauche, comme une gamine, en attendant sa réponse. Ooow, il n'était pas très drôle. Je faillis me mettre à bouder, enfin pour de faux, hein. plus ou moins. Mais sa dernière phrase me fis rire de plus belle. Blesser quelqu'un! A moins qu'il soit en papier, ou en sucre, je ne risquais pas de lui faire grand chose avec un peu d'eau. Je m'essuyai les coins des yeux de ma main de libre. Mon cerveau était en surfusion. Ça me faisait du bien de rire. Lui visiblement, tout cela ne l'amusait pas. - Allé, allé... Je soupirai, levai les bras en l'air et posai mon arme sur ma tête. Je fermai les yeux, oubliant quelques secondes la présence de l'étudiant. Je les rouvris pour guetter le tableau du coin de l’œil. Au cas où j'aurais une illumination subite, maintenant que j'étais plus "calme". Il ne fallait pas croire. C'était extrêmement compliqué ce qu'il pouvait se passer dans la tête d'une surdouée hyperactive. C'était pour ça que j'étais impossible à vivre. AAHHH!!! Mes yeux s'agrandirent d'une brève colère quand je constatai que je bloquais toujours autant sur le petit bout de formule de crotte là, qui avait en plus échappé à mes tirs. Je fronçai les sourcils, repris mon arme en bonne main et supprimai cette équation résistante.
Je me levai finalement, le fusil sur l'épaule. Je traversai la salle vers le jeune homme et le regardai avec un sourire. Cela faisait des siècles que je n'avais pas vu un type comme ça. Sérieux, austère et tout ça. Je n'avais jamais vraiment fréquenté ce genre de types. Même toute petite. Mais depuis que j'étais arrivée en Corée, je les fuyais comme la peste. Déjà que j'avais eu du mal avec ce pays. Il me rappelait quelqu'un...
Je me baissai pour regarder le titre de son bouquin. - Mon dieu... ça a l'air... fun. Je me redressai le toisais un instant. Il y avait quelque chose de vraiment austère chez lui. Voir même coincé. Il était coincé. Vraiment. Ce n'était pas une expression. Il y avait un truc qui le bloquait dans ses réactions. Comme j'étais ne chieuse de renommée intergalactique, j'avais connu un GRAND nombre de réactions différentes face à mes... fantaisies. Mais ce genre là, très peu. Et je les trouvaient inquiètante. C'était bien plus inquiétant de rester aussi calme que d'en coller une au chieur. Enfin à mon avis. Alors je pris une nouvelle initiative. J'attrapai vivement son bouquin, et un autre fusil, plein, parmi ceux posés près de la porte. Je reculai un peu, et tendis les deux bras. L'un avec l'arme, l'autre avec le livre. Un grand sourire s'étala à nouveau sur mon visage. - Allé allé! Soit innovant toi aussi!
Je me levai finalement, le fusil sur l'épaule. Je traversai la salle vers le jeune homme et le regardai avec un sourire. Cela faisait des siècles que je n'avais pas vu un type comme ça. Sérieux, austère et tout ça. Je n'avais jamais vraiment fréquenté ce genre de types. Même toute petite. Mais depuis que j'étais arrivée en Corée, je les fuyais comme la peste. Déjà que j'avais eu du mal avec ce pays. Il me rappelait quelqu'un...
Je me baissai pour regarder le titre de son bouquin. - Mon dieu... ça a l'air... fun. Je me redressai le toisais un instant. Il y avait quelque chose de vraiment austère chez lui. Voir même coincé. Il était coincé. Vraiment. Ce n'était pas une expression. Il y avait un truc qui le bloquait dans ses réactions. Comme j'étais ne chieuse de renommée intergalactique, j'avais connu un GRAND nombre de réactions différentes face à mes... fantaisies. Mais ce genre là, très peu. Et je les trouvaient inquiètante. C'était bien plus inquiétant de rester aussi calme que d'en coller une au chieur. Enfin à mon avis. Alors je pris une nouvelle initiative. J'attrapai vivement son bouquin, et un autre fusil, plein, parmi ceux posés près de la porte. Je reculai un peu, et tendis les deux bras. L'un avec l'arme, l'autre avec le livre. Un grand sourire s'étala à nouveau sur mon visage. - Allé allé! Soit innovant toi aussi!
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Re: craquage de slip quantique [Parker] | Ven 17 Juil - 20:41 Citer EditerSupprimer
Totale désinvolture. Le genre d'attitude caractérisant l'insubordination de base d'un salarié au sein d'une entreprise. Dans ces cas là, c'est la loi du plus fort, n'est-ce pas ? Même s'ils ne sont pas dans un lieu de "travail" comme on l’entendrait, le chinois réfléchi la situation et cherche à en tirer les avantages : après tout cette fille a ruiné un de ses ouvrages de Karl Marx, " Le Capital " et il est totalement hors de question qu'il se laisse faire. Avec un peu de tendresse, peut-être que cette hystérique aurait fait de Parker un chou à la créé : maintenant c'est raté... Elle n'a fait que raviver la flamme au fond de ses yeux. Un défis comme il les aime.
Le grand brun ne la quitte plus des yeux. C'est ainsi que Parker est attentif à la situation, pour prévoir un geste traître ou autre. Avec le temps il s'est habitué, comme le professeur de Lie to Me. Un petit moment d’inattention pour qu'il observe a son tour le tableau. Des Maths..? C’est une blague ? demande t-il dans un rire nerveux avant d'enfouir son visage dans sa main libre. C'est quoi le problème avec cette université ? Personne ne sait faire des bases en Mathématiques ? Et cette fois c'est lui qui baisse sa garde, si bien qu'il sursaute en relevant les yeux à l'instant ou cette folle furieuse efface les equations au tableau au jet d'eau. Sa mâchoire se décroche doucement, si bien qu'il peut désormais gober une ou deux mouches.
What the....
dire qu'il pensait avoir tout vu chez les gumiho avec Bok... Alor sil y a bien des gens bizarre ailleurs mh ? Dans un sens, il est rassuré, mais ne sourit pas pour autant. Pourquoi lui faire preuve de civilité alors que depuis tout à l'heure, cette inconnue s'en prend à lui pour une raison qu'il ignore... Et pour couronner le tout, madame joue les Yankee et le toise. Bon dieu, il ne supporte pas cette attitude désinvolte, d'ailleurs, lui qui est si implacable d'habite laisse percevoir ce léger agacement sur son visage. en plus elle a le culot de se moquer de son bouquin la bougre. Mh... Je vois là qu'on a pas du tout les même centres d'intérêts pour ce qui est de l'apprentissage et de la culture. Monsieur sort les grands mots. après tout si elle le prend de haut, il peut faire pareil mh ? Nonnnn, ne vous méprenez pas, il n'est pas mauvais ni méchant. Dans une autre situation, il aurait même put rigoler et n'en tiendra pas rigueur à l'avenir, mais à cet instant précis, cette fille lui est insupportable. C'est exactement ce genre de personne imprévisible qu'il souhaite éviter car en temps normal, elle n’apportent jamais rien de bon. La preuve aujourd'hui.
Il soupir, grimace lorsqu'elle lui arrache son livre des mains. est-ce qu'elle est en train de le prendre en otage ? Sur la défensive le Parker. Ne pas gaspiller sa salive. Il détourne les yeux pour repérer les fusils que la petite demoiselle avait montré plus tôt, puis il va en saisir un en peu de temps pour tenir en joue cette inconnue. J'aime pas trop les menaces, alors laisse mon livre en dehors de ça. Il n'a probablement pas bien compris ce qu'elle voulait dire... Et puis, d’ailleurs, pourquoi tu me laisserait un avantage avec un pistolet à eau chargé ? Je parie qu'il est vide comme tous les autres là bas ! dit-il sur un ton accusateur avant de tirer et d'asperger la teroriste. Punaise, il ... Oui, le visage de Parker se décompose à cet instant précis, car cette fille va probablement prendre ça pour une déclaration de guerre. Je suis désolé !
Le grand brun ne la quitte plus des yeux. C'est ainsi que Parker est attentif à la situation, pour prévoir un geste traître ou autre. Avec le temps il s'est habitué, comme le professeur de Lie to Me. Un petit moment d’inattention pour qu'il observe a son tour le tableau. Des Maths..? C’est une blague ? demande t-il dans un rire nerveux avant d'enfouir son visage dans sa main libre. C'est quoi le problème avec cette université ? Personne ne sait faire des bases en Mathématiques ? Et cette fois c'est lui qui baisse sa garde, si bien qu'il sursaute en relevant les yeux à l'instant ou cette folle furieuse efface les equations au tableau au jet d'eau. Sa mâchoire se décroche doucement, si bien qu'il peut désormais gober une ou deux mouches.
What the....
dire qu'il pensait avoir tout vu chez les gumiho avec Bok... Alor sil y a bien des gens bizarre ailleurs mh ? Dans un sens, il est rassuré, mais ne sourit pas pour autant. Pourquoi lui faire preuve de civilité alors que depuis tout à l'heure, cette inconnue s'en prend à lui pour une raison qu'il ignore... Et pour couronner le tout, madame joue les Yankee et le toise. Bon dieu, il ne supporte pas cette attitude désinvolte, d'ailleurs, lui qui est si implacable d'habite laisse percevoir ce léger agacement sur son visage. en plus elle a le culot de se moquer de son bouquin la bougre. Mh... Je vois là qu'on a pas du tout les même centres d'intérêts pour ce qui est de l'apprentissage et de la culture. Monsieur sort les grands mots. après tout si elle le prend de haut, il peut faire pareil mh ? Nonnnn, ne vous méprenez pas, il n'est pas mauvais ni méchant. Dans une autre situation, il aurait même put rigoler et n'en tiendra pas rigueur à l'avenir, mais à cet instant précis, cette fille lui est insupportable. C'est exactement ce genre de personne imprévisible qu'il souhaite éviter car en temps normal, elle n’apportent jamais rien de bon. La preuve aujourd'hui.
Il soupir, grimace lorsqu'elle lui arrache son livre des mains. est-ce qu'elle est en train de le prendre en otage ? Sur la défensive le Parker. Ne pas gaspiller sa salive. Il détourne les yeux pour repérer les fusils que la petite demoiselle avait montré plus tôt, puis il va en saisir un en peu de temps pour tenir en joue cette inconnue. J'aime pas trop les menaces, alors laisse mon livre en dehors de ça. Il n'a probablement pas bien compris ce qu'elle voulait dire... Et puis, d’ailleurs, pourquoi tu me laisserait un avantage avec un pistolet à eau chargé ? Je parie qu'il est vide comme tous les autres là bas ! dit-il sur un ton accusateur avant de tirer et d'asperger la teroriste. Punaise, il ... Oui, le visage de Parker se décompose à cet instant précis, car cette fille va probablement prendre ça pour une déclaration de guerre. Je suis désolé !
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Re: craquage de slip quantique [Parker] | Mar 21 Juil - 15:34 Citer EditerSupprimer
Physical burn out
Parker & Noriko
B-b-baby, here, boy. Are you crazy? Down boy. Look at your crass face. Why you so serious?? You’re so intense maybe why I’m so curious. ▬ die antwoord
J'inclinai la tête sur le côté avec un sourire en coin. Ça ne me vexais presque plus. Après tout, je connaissais ma réalité. Je savais que j'étais une bimbo blonde casse-pied. Alors peu de gens pouvaient se douter de se qui se cachait sous cette tignasse décolorée et derrière mon étrange comportement. Je commençai à m'habituer à se qu'on pouvait penser de l'image que je renvoyais. En même temps, je préférai la mienne à la sienne. Je faisais sourire, il faisait bailler. Je reculai en sautillant et posai son livre à côté de mon bouquin d'astrophysique, et de prendre celui-ci pour l'agiter ostensiblement en la direction de l'étudiant, mine de rien tu sais. A vu de nez, son bouquin était d'un niveau supérieur à celui de mon bouquin. Sauf que mon bouquin était déjà supérieur à mon niveau de licence. Mais ça, il ne pouvait pas le savoir. Je le reposai. Je me retournai vers le jeune homme. Il regardai dubitativement son arme en plastique. Je souris. Il était presque mignon. Pourquoi je lui laisserais l'avantage? Il n'y avait aucun avantage. On était à égalité. Ou pas. Parce que moi je n'avais pas peur de dévaster la salle de cours.
- Tu crois ç... Une projection d'eau vint brusquement me clouer le bec. J'ouvris deux yeux ronds comme des soucoupes, sous le choc. Je ne m'attendais vraiment pas à ce qu'il tire après... après le comportement qu'il avait. Visiblement, lui non plus. L'expression de visage me fit rire. Vraiment et de bon cœur. Je m'essuyai le visage, secouée de spasmes. Je m'essuyai ensuite le coin des yeux, et soupirai reprenant mon souffle. Je baissai mon arme et regardai l'étudiant avec un peu plus de sérieux, mais pas trop non plus. J'inclinai à nouveau la tête sur le côté. - Né salary man... why so serious? lui demandai-je avec une malicieuse douceur. "Salary man". Ça lui allait bien. Il était de ce genre-là. Je lui souris à nouveau. Je relevai mon arme, plissai les yeux et tirai à côté de sa tête, projetant un jet d'eau dans le couloir. Anyway, j'épongerais plus tard. J'avais la salle à faire, je n'étais pas à ça près. - Allé futur chaebol. Vient combattre le feu par le feu! Bon, l'eau par l'eau en l’occurrence, mais ça rendait moins bien à l'oreille. Je baissai un tout petit pe mon arme et et reculai vers les fenêtres. On ne sait jamais. Si jamais il arrivait à se décoincer. Ce qui lui ferait drôlement du bien, à mon humble avis.
- Tu crois ç... Une projection d'eau vint brusquement me clouer le bec. J'ouvris deux yeux ronds comme des soucoupes, sous le choc. Je ne m'attendais vraiment pas à ce qu'il tire après... après le comportement qu'il avait. Visiblement, lui non plus. L'expression de visage me fit rire. Vraiment et de bon cœur. Je m'essuyai le visage, secouée de spasmes. Je m'essuyai ensuite le coin des yeux, et soupirai reprenant mon souffle. Je baissai mon arme et regardai l'étudiant avec un peu plus de sérieux, mais pas trop non plus. J'inclinai à nouveau la tête sur le côté. - Né salary man... why so serious? lui demandai-je avec une malicieuse douceur. "Salary man". Ça lui allait bien. Il était de ce genre-là. Je lui souris à nouveau. Je relevai mon arme, plissai les yeux et tirai à côté de sa tête, projetant un jet d'eau dans le couloir. Anyway, j'épongerais plus tard. J'avais la salle à faire, je n'étais pas à ça près. - Allé futur chaebol. Vient combattre le feu par le feu! Bon, l'eau par l'eau en l’occurrence, mais ça rendait moins bien à l'oreille. Je baissai un tout petit pe mon arme et et reculai vers les fenêtres. On ne sait jamais. Si jamais il arrivait à se décoincer. Ce qui lui ferait drôlement du bien, à mon humble avis.
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