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Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Mar 28 Juil - 14:08 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
Oh girls love girls and boys
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Elle aurait pu faire ce qu’elle voulait de moi. Sincèrement j’étais à sa merci. La façon qu’elle avait de s’essuyer son corps couvert de sueur, la façon qu’elle avait de passer de l’eau sur sa peau si fine. Je la dévore du regard et je sais dans le fond que je ne devrais pas mais qui est là pour m’en interdire. Pas elle en tout cas, surtout pas elle. Elle s’approche de moi et j’aurais dû savoir que c’était le moment de fuir. Je me suis fait prendre à mon propre jeu. Je déglutis en souriant envoûtée. Comme un spectacle qu’on aime voir. Mon regard fouille son corps avec un délice que je ne peux cacher et sagement je lui obéis. Je reste sagement à la laisser faire. Dos à elle, j’aurais pu en profiter pour reprendre mes esprits mais c’est loin d’être aussi facile. Même cette façon qu’elle a eu de m’appeler petite garce m’a rendu fière et m’a fait frissonner. Quel genre de nana je devenais face à elle ? C’est comme si je pouvais deviner certains de mes … travers ressortir. Bordel faut qu’elle arrête … C’est loin de l’idée que je me faisais. Ou peut-être qu’au contraire, c’est exactement ce que je cherchais. Ce que je voulais. Je mordille ma lèvre inférieure qui rougie sous mes coups de dents et je la laisse caresser mon corps comme s’il lui appartenait. Mes doigts se crispent sur le sceau d’eau et je mentirais si je disais ne rien ressentir. J’ai un feu qui née dans mon bas ventre et je serre les cuisses imperceptiblement. Son souffle sur ma peau, ses lèvres qui y glissent me font frissonner. Ses mains si taquine remonte jusqu’à mes seins et c’est mon souffle qui se coupe. Je déglutis difficilement en grimaçant de ne pouvoir céder à la tentation. Elle s’éloigne de moi et j’ai le corps embrasé. Il faut que je me calme, mais bordel elle me fait tellement d’effet. Je ne suis pas ce genre de nana, pas de celle qui couche avec des filles comme ça, juste pour le plaisir. Mais putain Noriko c’est l’exception de ma règle. Et j’ai déjà goûté à son corps alors ça à quelque chose, alors les souvenirs reviennent, un à un, et moi mon corps réagit. Je peux sentir le tissu de mon soutient gorge frotter sur le bout de mes seins durcis. Et je vous assure, jamais mon bas ventre n’a eu aussi chaud. Je déglutis à nouveau en me détournant. « Je laverais cette voiture plus tard. » bafouillais-je en passant une main dans mes cheveux mouillés. Soudain je l’attrape et je la plaque à la voiture en pressant mon bassin contre le sien. « C’est dans ce genre de moment que la Japon me manque. » murmurais-je en faisant allusion à ce que nous vivions là-bas. A ce qu’elle était aussi. Cette mode que je voyais comme un déguisement mais qui lui allait si bien. Sa peau bronzé que je faisais glisser sous mes doigts. Je déposais un baiser sur le bout de son nez à défaut de pouvoir l’embrasser et me redressa « J’ai faim. » d’elle je l’avoue. « On va manger ? » sagement je me décolle d’elle seulement pour remarquer la présence d’un pyo de première année, style intello, qui nous fixait bouche bée. « Oui ? » Il détala rapidement en rougissant et secoua la tête. Au moins, il pourra se vanter que dans sa fraternité ses noona n’ont pas froid aux yeux. Mon but maintenant était de reprendre mes esprits. Assez pour la fuir. Assez pour me fuir.
Elle aurait pu faire ce qu’elle voulait de moi. Sincèrement j’étais à sa merci. La façon qu’elle avait de s’essuyer son corps couvert de sueur, la façon qu’elle avait de passer de l’eau sur sa peau si fine. Je la dévore du regard et je sais dans le fond que je ne devrais pas mais qui est là pour m’en interdire. Pas elle en tout cas, surtout pas elle. Elle s’approche de moi et j’aurais dû savoir que c’était le moment de fuir. Je me suis fait prendre à mon propre jeu. Je déglutis en souriant envoûtée. Comme un spectacle qu’on aime voir. Mon regard fouille son corps avec un délice que je ne peux cacher et sagement je lui obéis. Je reste sagement à la laisser faire. Dos à elle, j’aurais pu en profiter pour reprendre mes esprits mais c’est loin d’être aussi facile. Même cette façon qu’elle a eu de m’appeler petite garce m’a rendu fière et m’a fait frissonner. Quel genre de nana je devenais face à elle ? C’est comme si je pouvais deviner certains de mes … travers ressortir. Bordel faut qu’elle arrête … C’est loin de l’idée que je me faisais. Ou peut-être qu’au contraire, c’est exactement ce que je cherchais. Ce que je voulais. Je mordille ma lèvre inférieure qui rougie sous mes coups de dents et je la laisse caresser mon corps comme s’il lui appartenait. Mes doigts se crispent sur le sceau d’eau et je mentirais si je disais ne rien ressentir. J’ai un feu qui née dans mon bas ventre et je serre les cuisses imperceptiblement. Son souffle sur ma peau, ses lèvres qui y glissent me font frissonner. Ses mains si taquine remonte jusqu’à mes seins et c’est mon souffle qui se coupe. Je déglutis difficilement en grimaçant de ne pouvoir céder à la tentation. Elle s’éloigne de moi et j’ai le corps embrasé. Il faut que je me calme, mais bordel elle me fait tellement d’effet. Je ne suis pas ce genre de nana, pas de celle qui couche avec des filles comme ça, juste pour le plaisir. Mais putain Noriko c’est l’exception de ma règle. Et j’ai déjà goûté à son corps alors ça à quelque chose, alors les souvenirs reviennent, un à un, et moi mon corps réagit. Je peux sentir le tissu de mon soutient gorge frotter sur le bout de mes seins durcis. Et je vous assure, jamais mon bas ventre n’a eu aussi chaud. Je déglutis à nouveau en me détournant. « Je laverais cette voiture plus tard. » bafouillais-je en passant une main dans mes cheveux mouillés. Soudain je l’attrape et je la plaque à la voiture en pressant mon bassin contre le sien. « C’est dans ce genre de moment que la Japon me manque. » murmurais-je en faisant allusion à ce que nous vivions là-bas. A ce qu’elle était aussi. Cette mode que je voyais comme un déguisement mais qui lui allait si bien. Sa peau bronzé que je faisais glisser sous mes doigts. Je déposais un baiser sur le bout de son nez à défaut de pouvoir l’embrasser et me redressa « J’ai faim. » d’elle je l’avoue. « On va manger ? » sagement je me décolle d’elle seulement pour remarquer la présence d’un pyo de première année, style intello, qui nous fixait bouche bée. « Oui ? » Il détala rapidement en rougissant et secoua la tête. Au moins, il pourra se vanter que dans sa fraternité ses noona n’ont pas froid aux yeux. Mon but maintenant était de reprendre mes esprits. Assez pour la fuir. Assez pour me fuir.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Mer 29 Juil - 14:28 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
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Je le sentais défaillir. Elle n'a allait pas tarder à passer le point de non retour si elle ne faisait rien. Je ne savais pas si c'était une bonne ou une mauvaise nouvelle. Je n'en pensais plus grand chose à ce moment là. J'étais passé en mode Saïyen. Ou en état d'avatar selon le genre de dessins animés que l'on regarde. Bref, je me concentrais juste sur ma taché soit allumer Sunah, sans défaillir moi-même. Si j'avais la sensation d'avoir un mur de plomb protecteur me pesant sur l'arrière du crâne, je sentais que c'était Bagdad dans les bas fonds de mon anatomie. Donc, oué j'étais assez concentrée. Suffisamment en tout cas pour être surprise quand elle me plaqua contre la voiture. Je levai les yeux vers elle, la regardant à moitié surprise et à moitié.... Oui bon dieu moi aussi j'avais envie d'elle. Alors oui, j'avais envie qu'elle lâche prise. A nouveau. Qu'elle m'embrasse. Juste ça, et je me serais occupée du reste. Comme au Japon, oui. Ces souvenirs resurgirent dans ma mémoire. C'était bien. C'était bon. Mais ce n'était pas pour participer à mon self-control. A mon grand étonnement, c'est Sunah qui le fit. Avec un baiser sur le nez. J'arcquai un sourcil interrogateur. Elle avait faim? Elle fuiyait, oui. Mmh. Quelque chose me disait que l'endroit y était un peu pour quelques choses. Malgré ses provocations. Mon regard se posa sur le petit Pyobeom. Était-ce lui, et les autres, le problème? Peut-être, meute-être pas. Connaissant Su Nah, je savais qu'elle pouvait me réserver des surprises à ce sujet. Je me décollai de la voiture, jetant un regard à sa banquette arrière. J'avais presque des regrets. Mais oui. Je connaissais Sunah. Alors inutile d'avoir des regrets tant que ce petit jeu n'était pas vraiment terminé. - Faim? Tu sais a qui tu parles ma belle? J'ai toujours faim moi. Je me rendis compte du double sens quand les mots franchirent mes lèvres. Je souris et lui fis un clin d'œil avant de m'éloigner d'elle, lui assénant une claque sur les fesses au passage. Je récupérerai juste toute mes affaires que je fourrai dans mon sac, y compris ma planche à roulette. Je me redressai, toujours en soutif. Je n'avais pas la foi de me rhabiller vu la chaleur externe et ma chaleur interne. - Tu proposes quoi ? demandai-je bien innocemment. Elle m'avait parlé de bouffe alors pour l'instant je me concentrai là-dessus. Histoire de... Détendre mon bas ventre. Mais maintenant oui, je réalisais qu'elle avait trouvé un prétexte pour qu'on bouge d'ici. Et que, si elle était comme moi, sa chambre était déjà bien fournie en nourriture. Serait-ce un piégé jeune fille?
Je le sentais défaillir. Elle n'a allait pas tarder à passer le point de non retour si elle ne faisait rien. Je ne savais pas si c'était une bonne ou une mauvaise nouvelle. Je n'en pensais plus grand chose à ce moment là. J'étais passé en mode Saïyen. Ou en état d'avatar selon le genre de dessins animés que l'on regarde. Bref, je me concentrais juste sur ma taché soit allumer Sunah, sans défaillir moi-même. Si j'avais la sensation d'avoir un mur de plomb protecteur me pesant sur l'arrière du crâne, je sentais que c'était Bagdad dans les bas fonds de mon anatomie. Donc, oué j'étais assez concentrée. Suffisamment en tout cas pour être surprise quand elle me plaqua contre la voiture. Je levai les yeux vers elle, la regardant à moitié surprise et à moitié.... Oui bon dieu moi aussi j'avais envie d'elle. Alors oui, j'avais envie qu'elle lâche prise. A nouveau. Qu'elle m'embrasse. Juste ça, et je me serais occupée du reste. Comme au Japon, oui. Ces souvenirs resurgirent dans ma mémoire. C'était bien. C'était bon. Mais ce n'était pas pour participer à mon self-control. A mon grand étonnement, c'est Sunah qui le fit. Avec un baiser sur le nez. J'arcquai un sourcil interrogateur. Elle avait faim? Elle fuiyait, oui. Mmh. Quelque chose me disait que l'endroit y était un peu pour quelques choses. Malgré ses provocations. Mon regard se posa sur le petit Pyobeom. Était-ce lui, et les autres, le problème? Peut-être, meute-être pas. Connaissant Su Nah, je savais qu'elle pouvait me réserver des surprises à ce sujet. Je me décollai de la voiture, jetant un regard à sa banquette arrière. J'avais presque des regrets. Mais oui. Je connaissais Sunah. Alors inutile d'avoir des regrets tant que ce petit jeu n'était pas vraiment terminé. - Faim? Tu sais a qui tu parles ma belle? J'ai toujours faim moi. Je me rendis compte du double sens quand les mots franchirent mes lèvres. Je souris et lui fis un clin d'œil avant de m'éloigner d'elle, lui assénant une claque sur les fesses au passage. Je récupérerai juste toute mes affaires que je fourrai dans mon sac, y compris ma planche à roulette. Je me redressai, toujours en soutif. Je n'avais pas la foi de me rhabiller vu la chaleur externe et ma chaleur interne. - Tu proposes quoi ? demandai-je bien innocemment. Elle m'avait parlé de bouffe alors pour l'instant je me concentrai là-dessus. Histoire de... Détendre mon bas ventre. Mais maintenant oui, je réalisais qu'elle avait trouvé un prétexte pour qu'on bouge d'ici. Et que, si elle était comme moi, sa chambre était déjà bien fournie en nourriture. Serait-ce un piégé jeune fille?
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Jeu 30 Juil - 15:41 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
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- Faim? Tu sais à qui tu parles ma belle? J'ai toujours faim moi. Mais je compte bien là-dessus. Mon sourire en coin en dit long alors que je refermais le capot de ma voiture. Je donnais un dernier coup de chiffon sur la carrosserie. La tentation était tellement forte que ça en devenait frustrant. Pourquoi fallait-il toujours que je me laisse aller à ce genre de jeu avec elle. Il m’arrivait souvent de lui jeter une œillade avec plein de sous-entendu ou de laisser mes mains trainer un peu trop sur son corps quand je passais à côté d’elle. Et même dans la salle de bain commune, je n’avais aucune gêne à me mettre nu devant elle, comme si je voulais lui rappeler que ce corps, elle l’avait possédé. Et c’était toujours fugace, c’était toujours sur un coup de tête. Là le moment durait, bien plus que je ne pouvais le supporter. Je lâchais un long soupir et me tournait vers elle pour profiter de la vue. Elle n’avait pas une poitrine des plus grosses, mais leur galbe était suffisamment formé pour attirer mon regard. Et puis merde j’adorais ces petits seins. D’ailleurs valait mieux pour moi détourner le regard plutôt que de continuer à la mater en tentant de lui retirer son soutient gorge télépathiquement. J’attrapais mes affaires et lui attrapa le poignet pour la faire me suivre. « J’ai planqué une multitude de bouffe dans ma chambre on pourra se la faire réchauffer dans la cuisine et manger tranquille dans ma chambre. » Je tentais de prendre l’air le plus naturel du monde, mais je savais que dans un sens Noriko ne sera pas aussi dupe que ça … Lui claquant une fesse je la fait passer devant moi pour entrer dans le bâtiment. « T’as rien acheté au centre commercial ? T’as juste cherché un coin où survivre ? » Plaisantais-je en tentant de reprendre le cours normal d’une conversation entre deux amis. Mais avec le feu dans mon bas ventre et avec mon imagination débordante j’avais franchement du mal à me concentrer. Mais c’est bon Su Nah passe à autre chose … Bien entendu quand nous montions les marches je ne pus que lorgner sur son mini short. J’ai envie de lui bouffer. Arriver au premier étage je l’entrainais naturellement vers le couloir qui menait à ma chambre. « Ca va t’as pas trop chaud ? » lui lançais-je presque innocemment avant de saluer deux Pyobeom qui semblait prête à aller à la piscine. Je leur fis mon sourire le plus hypocrite qui soit car j’avais en tête bien plus que de simple formule de politesse. Jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule pour constater qu’elles disparaissaient dans les escaliers. Attrapant le bras de Noriko je la plaquais au mur pour venir lui attraper les lèvres sans douceur. L’impatience rendait mes gestes brusques et maladroits. Mais à l’instant où mon corps qui se pressa contre le sien, je retrouvai rapidement mes marques, comme un réflexe qu’on n’oublie jamais. Ma main vient soutenir sa joue pour approfondir notre baiser. Je me fis plus douce, moins pressante, et je viens jouer avec sa langue sans me soucier du lieu. Bon sang j’en avais envie depuis une éternité. Sa peau sous mes doigts est toujours aussi lisse et je frissonne en sentant ses lèvres si délicieusement fruitées. Ma main libre vient presser sa hanche alors que je viens mordiller sa lèvre inférieure en la tirant doucement vers moi. « Putain … » grognais-je en frissonnant. « C’est pas bien de sauter sur les gens comme ça Noriko … » plaisantais-je en riant doucement, encore trop sous le charme pour vouloir me décoller.
- Faim? Tu sais à qui tu parles ma belle? J'ai toujours faim moi. Mais je compte bien là-dessus. Mon sourire en coin en dit long alors que je refermais le capot de ma voiture. Je donnais un dernier coup de chiffon sur la carrosserie. La tentation était tellement forte que ça en devenait frustrant. Pourquoi fallait-il toujours que je me laisse aller à ce genre de jeu avec elle. Il m’arrivait souvent de lui jeter une œillade avec plein de sous-entendu ou de laisser mes mains trainer un peu trop sur son corps quand je passais à côté d’elle. Et même dans la salle de bain commune, je n’avais aucune gêne à me mettre nu devant elle, comme si je voulais lui rappeler que ce corps, elle l’avait possédé. Et c’était toujours fugace, c’était toujours sur un coup de tête. Là le moment durait, bien plus que je ne pouvais le supporter. Je lâchais un long soupir et me tournait vers elle pour profiter de la vue. Elle n’avait pas une poitrine des plus grosses, mais leur galbe était suffisamment formé pour attirer mon regard. Et puis merde j’adorais ces petits seins. D’ailleurs valait mieux pour moi détourner le regard plutôt que de continuer à la mater en tentant de lui retirer son soutient gorge télépathiquement. J’attrapais mes affaires et lui attrapa le poignet pour la faire me suivre. « J’ai planqué une multitude de bouffe dans ma chambre on pourra se la faire réchauffer dans la cuisine et manger tranquille dans ma chambre. » Je tentais de prendre l’air le plus naturel du monde, mais je savais que dans un sens Noriko ne sera pas aussi dupe que ça … Lui claquant une fesse je la fait passer devant moi pour entrer dans le bâtiment. « T’as rien acheté au centre commercial ? T’as juste cherché un coin où survivre ? » Plaisantais-je en tentant de reprendre le cours normal d’une conversation entre deux amis. Mais avec le feu dans mon bas ventre et avec mon imagination débordante j’avais franchement du mal à me concentrer. Mais c’est bon Su Nah passe à autre chose … Bien entendu quand nous montions les marches je ne pus que lorgner sur son mini short. J’ai envie de lui bouffer. Arriver au premier étage je l’entrainais naturellement vers le couloir qui menait à ma chambre. « Ca va t’as pas trop chaud ? » lui lançais-je presque innocemment avant de saluer deux Pyobeom qui semblait prête à aller à la piscine. Je leur fis mon sourire le plus hypocrite qui soit car j’avais en tête bien plus que de simple formule de politesse. Jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule pour constater qu’elles disparaissaient dans les escaliers. Attrapant le bras de Noriko je la plaquais au mur pour venir lui attraper les lèvres sans douceur. L’impatience rendait mes gestes brusques et maladroits. Mais à l’instant où mon corps qui se pressa contre le sien, je retrouvai rapidement mes marques, comme un réflexe qu’on n’oublie jamais. Ma main vient soutenir sa joue pour approfondir notre baiser. Je me fis plus douce, moins pressante, et je viens jouer avec sa langue sans me soucier du lieu. Bon sang j’en avais envie depuis une éternité. Sa peau sous mes doigts est toujours aussi lisse et je frissonne en sentant ses lèvres si délicieusement fruitées. Ma main libre vient presser sa hanche alors que je viens mordiller sa lèvre inférieure en la tirant doucement vers moi. « Putain … » grognais-je en frissonnant. « C’est pas bien de sauter sur les gens comme ça Noriko … » plaisantais-je en riant doucement, encore trop sous le charme pour vouloir me décoller.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Ven 7 Aoû - 17:31 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
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La chambre, hein. Bah tiens, j'avais donc vu clair dans son petit jeu à la belle Sunah. En même temps, c'était devenue une technique ancestrale depuis le temps. Que ce soit dans un appartement ou un dortoir, que ce soit pour un dernier verre ou pour manger un bout. Et puis ça aurait été fort étrange qu'elle m'emmène dans la cuisine après ça. Et surtout fort dommage à vrai dire. J'avais un poids dans le ventre qui refusait cette éventualité. Enfin, ça aurait montré qu'elle fuyait bel et bien. Alors que là, tout prouvait le contraire. Parce qu'elle ne pouvait pas être naïve au point de penser que si on continuait ce jeu en privé, on allait en rester aux mêmes limites. Ce n'était vraiment pas possible. Je souris à sa question, et refermai machinalement une main sur une hanse de mon sac. - J'ai acheté quelques conneries, des trucs pour mes basses et des sous-vêtement. Mais je suis surtout passée voir Marie Jeanne en fait. Oué, oui, je me baladais avec un kilos d'herbe sur moi depuis tout à a l'heure. Oui, j'étais une inconsciente. Je jetais un regard amusé à Su Nah. J'espérais, plus ou moins, que ça ne lui donne pas d'idées. Elle n'était déjà pas tout à fait dans son état normal... Si elle rajoutait l'herbe par dessus, elle allait faire l'amour à Su Ah après. Celle-ci risquerait d'être surprise. Après si les sous-vêtements lui donnaient d'autres idées, pourquoi pas. Mais je doute qu'on se laisse le temps de passer par cette étape. Si j'avais chaud? J'haussai un sourcil. C'était quoi cette question inutile? Pauvre Su Nah. Elle essayait de faire diversion auprès de qui? De moi ou d'elle-même? Elle était mignonne. Je répondis par la négative, ignorant royalement nos consœurs pour ma part. Je m'en fichais déjà pas mal en temps normal, alors là, elles auraient pût passer déguisées en poulets et à dos de zèbres, j'y aurais prêté aussi peu d'attention. Je les guettai partir du coin de l'œil, suspectant ce qui allait arriver juste après. Su Nah était une rapide. Je la haï mon sac. Je n'avais même pas eu le temps de reporter mon attention sur elle qu'elle était déjà passée à l'attaque. Dans les couloirs. Tu m'étonnes Nanah. Je n'aurais pas cru ça d'elle. Je la laissai faire, lui rendant doucement son baiser. J'aimais bien me laisser faire. C'était agréable. Je sentis toute son envie contre mon ventre quand elle vint se coller à moi. Je fis mon possible pour contrôler la mienne, pendant que ma main droite vint lui attraper le dessous de la fesse, mes doigts glissant sous son short. Elle a la peau douce Su Nah. Elle m'accusa. Je ris doucement. - Non mais... saleté va. Je levai mon autre main pour lui saisir les cheveux. Ils étaient encore mouillés. C'était tellement sexy. Je basculai sur le côté pour que Sunah prenne ma place contre le mur. Je lui tirai doucement les cheveux, pour qu'elle bascule la tête en arrière. Je me penchai pour lui embrasser le cou, ma main remontant de ses fesses sur son ventre jusqu'à sa poitrine. Mes doigts soulevèrent son soutient gorge, passant par dessous. J'attrapai son sein avec fermeté, et récupérai ses lèvres des miennes. Mon index glissa sur le bout durcit de son sein. Je me contractai, prise d'une brusque envie de lui mordiller. Mon pouce rejoins mon index pour le pincer avec douceur. Je décollai mon visage de celui de la belle pour lui adresser un sourire et un regard interrogateur, ma main toujours dans son soutien gorge. - Alors, qu'est-ce qu'il y a à manger chez toi? Si j'étais la reine du double sens inconscient et innocent, celui-ci ne l'était pas vraiment. Mais le but ici, était plus de laisser une derrière échappatoire à Su Nah, si elle voulait continuer ça en privé. Parce que non, elle n'aurait plus vraiment d'autre choix que celui-ci.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Jeu 13 Aoû - 17:24 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
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Je ne cherchais à tromper personne, j’étais bien trop perdue entre mon envie et la réalité pour avoir le temps de me trouver des excuses. J’avais envie d’elle, c’était indéniable et je n’avais jamais eu de problème de conscience sur ça. Je n’étais pas du genre à être bisexuel, ou encore moins lesbienne, parce que je ne me voyais pas construire une relation amoureuse avec une fille, mais ce qui était sûre ce que le corps de Noriko et son charme me rendait dingue. Et ce qui était sûre, c’était qu’elle me faisait tomber sous son charme sans que je puisse protester. Et pourquoi le ferais-je ? J’étais à ses genoux. A ses pieds. J’étais esclave de ce que je voulais, de ce que j’aimais, et ce que j’aimais c’était son corps. Et on s’en fou des mœurs, et on s’en fou des bonnes conduites. J’avais envie d’elle. Putain, j’avais envie de retrouver la sensation entre ses bras. Celle qui me rendait dingue, celle qui me donnait envie de prendre mon pied. Je voulais partir à l’exploration de son corps que je connaissais déjà mais pour lequel j’avais pris soin de tout oublié pour mieux savourer la découverte. Sa peau si fine, et si bronzé à l’époque. Et ses petits seins que j’adorais torturer de mes dents. Et ses hanches que je pouvais passer des heures à caresser et son bassin, qui savait si bien onduler contre le mien pour me donner du plaisir. Et c’était mal ? Mal d’avoir envie de profiter de la vie ? Sans un souffle je la laissais torturer mes seins avec une grimace de plaisir. Putain, je devrais fuir ce couloir, fuir le regard des gens, mais la seule chose que je voulais c’était qu’elle continue son petit jeu. Qu’elle aille plus loin. Qu’elle pince plus fort. Et putain mon entrejambe devenait dingue. Mon bas ventre s’embrasait au rythme de ses doigts. Mes seins durcis criaient au supplice et mon sourire gourmand ne quittait pas mes lèvres. Mes yeux mi-clos la fixaient avec une telle indécence qu’elle devrait se méfier. Déglutissant longuement en pressant mon ventre d’avantage contre le sien j’hoquetais de supplice sous ses doigts. J’avais envie qu’elle me touche en bas. Qu’elle se glisse en moi de n’importe quelle façon. Je voulais qu’elle assouvisse ce feu brulant entre mes cuisses mais ce que je voulais par-dessus tout c’est qu’elle continue sans s’arrêter. Et qu’elle me torture. Et qu’elle me fasse gémir contre ses lèvres. Et putain, j’aurais beau vouloir mentir, le corps d’une femme me manque. Je frissonne encore plus en venant lui attraper les lèvres de plaisir à la fin de sa phrase. Et elle le sent que je suis à bout, et elle le sent que je vais craquer. Je vais céder, parce que je suis comme ça, faible face au sexe. Faible face à elle. Pinçant mes doigts par-dessus les siens, la seule barrière du tissu de mon t-shirt nous séparant, j’appuyais un peu plus sur son emprise pour lui faire comprendre que j’en voulais plus. Et que dans cette fine douleur je trouvais mon plaisir. Et je pouvais bien lui rendre. Etouffant un gémissement dans le creux de son cou que je venais dévorer, je passais sous son bandeau que je baissais d’un coup sec pour venir lui attraper le sein entre mes lèvres. Je tirais dessus, me moquant bien qu’on puisse nous voir. Ma langue dessinant des arabesques tortueuses sur le bout de son sein durci. Je balayais mon souffle chaud pour la rendre encore plus dingue et levant un regard lubrique vers elle je la décollais brusquement du mur en lui remontant son bandeau pour l’attirer vers ma chambre. « Moi. » Y a moi à manger. La poussant dans ma chambre avec impatience je la plaquais contre la porte en cédant à tous mes caprices. Ma langue jouant avec la sienne je me reculais brusquement avant de chercher un vêtement de couleur rouge, le code couleur pour indiquer qu’il ne valait mieux pas entrer dans la chambre. Attrapant un vieux t-shirt à moi, je rouvris la porte pour caler le vêtement sur la poignée et la referma rapidement, et à clé cette fois-ci. Faisant tomber mon haut je me tournais vers Noriko avec un sourire enjôleur. « T’as faim maintenant ? » fini la sunah timide, je faisais place à la sunah avide de plaisir qui savait parfaitement que Noriko serait la meilleure pour ça …
Je ne cherchais à tromper personne, j’étais bien trop perdue entre mon envie et la réalité pour avoir le temps de me trouver des excuses. J’avais envie d’elle, c’était indéniable et je n’avais jamais eu de problème de conscience sur ça. Je n’étais pas du genre à être bisexuel, ou encore moins lesbienne, parce que je ne me voyais pas construire une relation amoureuse avec une fille, mais ce qui était sûre ce que le corps de Noriko et son charme me rendait dingue. Et ce qui était sûre, c’était qu’elle me faisait tomber sous son charme sans que je puisse protester. Et pourquoi le ferais-je ? J’étais à ses genoux. A ses pieds. J’étais esclave de ce que je voulais, de ce que j’aimais, et ce que j’aimais c’était son corps. Et on s’en fou des mœurs, et on s’en fou des bonnes conduites. J’avais envie d’elle. Putain, j’avais envie de retrouver la sensation entre ses bras. Celle qui me rendait dingue, celle qui me donnait envie de prendre mon pied. Je voulais partir à l’exploration de son corps que je connaissais déjà mais pour lequel j’avais pris soin de tout oublié pour mieux savourer la découverte. Sa peau si fine, et si bronzé à l’époque. Et ses petits seins que j’adorais torturer de mes dents. Et ses hanches que je pouvais passer des heures à caresser et son bassin, qui savait si bien onduler contre le mien pour me donner du plaisir. Et c’était mal ? Mal d’avoir envie de profiter de la vie ? Sans un souffle je la laissais torturer mes seins avec une grimace de plaisir. Putain, je devrais fuir ce couloir, fuir le regard des gens, mais la seule chose que je voulais c’était qu’elle continue son petit jeu. Qu’elle aille plus loin. Qu’elle pince plus fort. Et putain mon entrejambe devenait dingue. Mon bas ventre s’embrasait au rythme de ses doigts. Mes seins durcis criaient au supplice et mon sourire gourmand ne quittait pas mes lèvres. Mes yeux mi-clos la fixaient avec une telle indécence qu’elle devrait se méfier. Déglutissant longuement en pressant mon ventre d’avantage contre le sien j’hoquetais de supplice sous ses doigts. J’avais envie qu’elle me touche en bas. Qu’elle se glisse en moi de n’importe quelle façon. Je voulais qu’elle assouvisse ce feu brulant entre mes cuisses mais ce que je voulais par-dessus tout c’est qu’elle continue sans s’arrêter. Et qu’elle me torture. Et qu’elle me fasse gémir contre ses lèvres. Et putain, j’aurais beau vouloir mentir, le corps d’une femme me manque. Je frissonne encore plus en venant lui attraper les lèvres de plaisir à la fin de sa phrase. Et elle le sent que je suis à bout, et elle le sent que je vais craquer. Je vais céder, parce que je suis comme ça, faible face au sexe. Faible face à elle. Pinçant mes doigts par-dessus les siens, la seule barrière du tissu de mon t-shirt nous séparant, j’appuyais un peu plus sur son emprise pour lui faire comprendre que j’en voulais plus. Et que dans cette fine douleur je trouvais mon plaisir. Et je pouvais bien lui rendre. Etouffant un gémissement dans le creux de son cou que je venais dévorer, je passais sous son bandeau que je baissais d’un coup sec pour venir lui attraper le sein entre mes lèvres. Je tirais dessus, me moquant bien qu’on puisse nous voir. Ma langue dessinant des arabesques tortueuses sur le bout de son sein durci. Je balayais mon souffle chaud pour la rendre encore plus dingue et levant un regard lubrique vers elle je la décollais brusquement du mur en lui remontant son bandeau pour l’attirer vers ma chambre. « Moi. » Y a moi à manger. La poussant dans ma chambre avec impatience je la plaquais contre la porte en cédant à tous mes caprices. Ma langue jouant avec la sienne je me reculais brusquement avant de chercher un vêtement de couleur rouge, le code couleur pour indiquer qu’il ne valait mieux pas entrer dans la chambre. Attrapant un vieux t-shirt à moi, je rouvris la porte pour caler le vêtement sur la poignée et la referma rapidement, et à clé cette fois-ci. Faisant tomber mon haut je me tournais vers Noriko avec un sourire enjôleur. « T’as faim maintenant ? » fini la sunah timide, je faisais place à la sunah avide de plaisir qui savait parfaitement que Noriko serait la meilleure pour ça …
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Lun 17 Aoû - 13:51 Citer EditerSupprimer
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C’était bon. Et c’était mal. Mais c’était surtout ça qui était bon. Je gardais une infime part de moralité pour ce genre de situation, où se savoir dans l’indécence rend les choses encore plus excitantes. Bien que Sunah soit suffisamment excitante à elle seule. Elle était belle ma Su Nah. Surtout quand elle avait envie de moi oui. Comme à l’époque. La belle et grande époque. Oui, je connaissais ses seins par cœur et les retrouvai avec délice. Je la connaissais par cœur. Je savais qu’elle en voulait plus, mais je n’allais pas tout lui donner tout de suite. Ce serait bête d’aller trop vite. Mon sein accueillit ses lèvres avec délices. Comme une vieille habitude que l’on n’oublie jamais. Je jetai un coup d’œil dans le couloir, espérant presque voir un pyo poindre le bout de son nez. C’était mal. Mais oh que oui c’était bon. Je basculai la tête en arrière, brièvement soumise à sa langue. Mes doigts glissèrent lentement dans ses cheveux. Ma belle Sunah nous arracha soudain du couloir pour un lieu plus propice. Oh que oui j'allais la manger. Toute crue. Me débarrassant moi-même de mes affaires dans un coin de sa chambre, je la regardai réaliser le petit manège propre à notre fraternité. Je lui aurais bien croqué les fesses le temps qu’elle accroche son « drapeau » rouge, mais j’avais presque mieux à faire. Pieds nus, je m’approchai de Su Nah, le regard avide et lui attrapai le visage et les lèvres. Les douces lèvres de Sunah. Ma langue glissa dessus, comme pour demander un droit de passager, avant de les franchir à nouveau. Je tirai doucement Sunah vers moi, reculant, et m’assise sur son lit. Mes mains passèrent derrière ses cuisses et remontèrent sur ses fesses pour les pousser vers moi. Je me penchai sur son entre-jambe que je mordis doucement, à travers son short. Mes bras furent parcourus de frissons. C’était tellement dur de ne pas aller trop vite. Je dû me faire violence. Ma peau brulante à son contact et mon bas ventre hurlant grâce. Je relevai le visage vers Sunah avec un sourire rêveur et un regard affamé. J’avais tant d’envies qui se bousculaient dans ma tête. Je laissai mes doigts courir sur son ventre quelques secondes, et mes bras se refermèrent soudain sur sa taille. Je la tirai sur moi, faisant passer ses cuisses de part et d’autres de mes hanches. Je lui mordillai les lèvres, juste le temps de retirer son soutien-gorge et mon propre haut. Ses seins enfin libre de toute autres emprise que la mienne, ma main gauche se referma sur l’un pendant que ma langue glissa sur l’autre. Elle avait si bon goût Su Nah. Mes lèvres se refermèrent sur le bout de son sein, pinçant de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle arrache un gémissement à Su Nah. Enfin satisfaites, elles tirèrent farouchement avant de relâcher. J’embrassai furtivement son autre sein, que ma main pétrissait. Et puis je me penchai en arrière m’appuyant sur un de mes avant-bras attirant Sunah contre moi, une main derrière sa nuque.
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C’était bon. Et c’était mal. Mais c’était surtout ça qui était bon. Je gardais une infime part de moralité pour ce genre de situation, où se savoir dans l’indécence rend les choses encore plus excitantes. Bien que Sunah soit suffisamment excitante à elle seule. Elle était belle ma Su Nah. Surtout quand elle avait envie de moi oui. Comme à l’époque. La belle et grande époque. Oui, je connaissais ses seins par cœur et les retrouvai avec délice. Je la connaissais par cœur. Je savais qu’elle en voulait plus, mais je n’allais pas tout lui donner tout de suite. Ce serait bête d’aller trop vite. Mon sein accueillit ses lèvres avec délices. Comme une vieille habitude que l’on n’oublie jamais. Je jetai un coup d’œil dans le couloir, espérant presque voir un pyo poindre le bout de son nez. C’était mal. Mais oh que oui c’était bon. Je basculai la tête en arrière, brièvement soumise à sa langue. Mes doigts glissèrent lentement dans ses cheveux. Ma belle Sunah nous arracha soudain du couloir pour un lieu plus propice. Oh que oui j'allais la manger. Toute crue. Me débarrassant moi-même de mes affaires dans un coin de sa chambre, je la regardai réaliser le petit manège propre à notre fraternité. Je lui aurais bien croqué les fesses le temps qu’elle accroche son « drapeau » rouge, mais j’avais presque mieux à faire. Pieds nus, je m’approchai de Su Nah, le regard avide et lui attrapai le visage et les lèvres. Les douces lèvres de Sunah. Ma langue glissa dessus, comme pour demander un droit de passager, avant de les franchir à nouveau. Je tirai doucement Sunah vers moi, reculant, et m’assise sur son lit. Mes mains passèrent derrière ses cuisses et remontèrent sur ses fesses pour les pousser vers moi. Je me penchai sur son entre-jambe que je mordis doucement, à travers son short. Mes bras furent parcourus de frissons. C’était tellement dur de ne pas aller trop vite. Je dû me faire violence. Ma peau brulante à son contact et mon bas ventre hurlant grâce. Je relevai le visage vers Sunah avec un sourire rêveur et un regard affamé. J’avais tant d’envies qui se bousculaient dans ma tête. Je laissai mes doigts courir sur son ventre quelques secondes, et mes bras se refermèrent soudain sur sa taille. Je la tirai sur moi, faisant passer ses cuisses de part et d’autres de mes hanches. Je lui mordillai les lèvres, juste le temps de retirer son soutien-gorge et mon propre haut. Ses seins enfin libre de toute autres emprise que la mienne, ma main gauche se referma sur l’un pendant que ma langue glissa sur l’autre. Elle avait si bon goût Su Nah. Mes lèvres se refermèrent sur le bout de son sein, pinçant de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’elle arrache un gémissement à Su Nah. Enfin satisfaites, elles tirèrent farouchement avant de relâcher. J’embrassai furtivement son autre sein, que ma main pétrissait. Et puis je me penchai en arrière m’appuyant sur un de mes avant-bras attirant Sunah contre moi, une main derrière sa nuque.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Mar 25 Aoû - 16:29 Citer EditerSupprimer
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J’avais découvert son corps au Japon, la déshabillant lentement, parcourant sa peau de baiser humide, timide. Oh oui j’étais timide. Je me laissais aller pour la première fois dans les bras d’une femme. L’embrasser m’avait déjà paru si fou. Alors la voir se mettre nue devant moi ça avait été une explosion de saveurs. Ça m’avait rendu tellement dingue. Jamais je n’avais ressenti une telle impatience. J’en avais l’eau à la bouche, littéralement, je bavais devant son corps. Et je l’avais laissé faire ce qu’elle voulait de moi sans oser prendre les devants. J’avais bien tenté quelques approches mais l’experte c’était elle, oui c’était elle, celle qui savait comment me donner plusieurs orgasmes, celle qui savait comment me faire gémir, celle qui savait me faire crier de plaisir. Je n’étais pas restée longtemps timide entre ses bras mais je n’avais pas la même flamme qui m’habite aujourd’hui. Plus sûre de moi, plus avide aussi … J’ai envie d’elle putain. Ses lèvres me manquent et le plaisir qu’elle sait me procurer aussi. Elle est belle Noriko, avec son regard qui me consume et ses lèvres si attirantes. Elle sait ce qu’elle veut et cette assurance me met à genoux devant elle. Je frissonne rien que de l’imaginer se perdre contre ma peau. Putain. Elle m’attire à elle et je la suis, docile, fébrile. Ce n’est plus un feu que j’ai entre les jambes, c’est une torture. J’ai envie qu’elle assouvisse ce que je ressens, mais la façon qu’elle a de prendre son temps et bien plus délicieux. J’ai le souffle court. Je suffoque et j’ai envie de me jeter sur ses lèvres bordel. La façon qu’elle a de mordre sur mon short je fais pousser un râle d’impatience. Elle joue avec moi, elle attise chacun de mes sens. Et je suis esclave de ses moindres gestes. Sa peau glisse sous mes doigts et je ferme les yeux quand je la sens caresser mon ventre. Il se creuse, par spasmes, de plaisir. J’inspire longuement en rejetant la tête en arrière, mes doigts se perdent dans ses cheveux. Si lisse, si fin. Et quand elle m’attire sur le lit avec elle je ne me fais pas prier. Je frissonne en perdant mes lèvres sur les siennes, liant nos langues avec une sensualité indécente. Pardon Su Ah d’utiliser ton lit mais le mien me parait beaucoup trop haut à atteindre. Et ce petit interdit de plus me grise. Ce n’est pas grand-chose, juste assez pour me faire sourire dans notre baiser. La plaquant au matelas je me redresse, la dominant avec un plaisir non feint. Je lui souris, reprenant mon souffle, savourant cette vision qu’elle m’offrait. Un de mes doigts vint taquiner le bout de ses seins. Si dur sous mes doigts. Elle me rend dingue à torturer mes seins comme elle l’a fait. Et déjà j’avais envie qu’elle vienne s’occuper de ce qui se passe entre mes cuisses. Lâchant un soupir rauque je m’empare à nouveau de ses lèvres avidement avant de glisser dans le creux de son cou pour y laisser quelques traces de dents atténué par mes soupires. Je glisse sur sa peau pour attraper ses seins que je frotte aux miens. Délicieusement. En prenant mon temps. Je frotte, doucement, je frotte, encore un peu, cambrant mon dos et creusant mes reins pour sentir son ventre sous le mien. Elle est parfaite Noriko. Mon fantasme à moi. Glissant ma langue sur ses seins que je dévore avec envie, voilà mes deux mains qui se perdent sur son short que je veux retirer sans plus attendre, ne la laissant qu’en culotte. Culotte que je fais claquer sur ses fesses. « J’aurais presque oublié à quel point je pouvais aimer ton corps … » murmurais-je contre sa peau en embrassant l’intérieure de ses cuisses. Je griffais doucement sa peau en remontant vers son intimité. J’en avais pris de l’audace et je comptais bien lui en faire profiter. Attrapant le bord de sa culotte entre mes dents je la fis glisser le long de ses jambes en ancrant mon regard au sien. Remontant jusqu’à elle, avec un sourire complice et plein de désir je viens murmurer contre ses lèvres en lui volant un baiser « je ne savais pas que je te faisais autant d’effet » glissant un doigt sur son intimité je souris davantage en la sentant aussi excitée et mouillée. Sans perdre de temps je me laissais tomber à genoux devant elle et tira sur ses cuisses pour la ramener brusquement sur le bord du lit. Lui soulevant les jambes légèrement, je vins perdre mes lèvres et ma langue sur sa petite perle de chair que je m’amusais à torturer à coup de langue et d’arabesques hasardeux. La seule chose que je voulais entendre était ses gémissements. Et son ventre que je caressais et que je griffais, je voulais le sentir se creuser de plaisir.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Ven 4 Sep - 14:33 Citer EditerSupprimer
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Tout son corps me paraissait extrêmement familier. Ses formes, ses cheveux, sa peau, son odeur, son goût. Tout Su Nah était gravé quelque part en moi. Mais pourtant tout cela avait un air étranger. Un goût d’exotisme sur ses lèvres, quelque chose de totalement inconnu dans ses gestes. Je découvrais avec délice une Sunah décomplexée, à la fois si proche et si différente de ce que j’avais pu connaître d’elle. C’était brusque et sauvage. Dans une sorte de faille dans l’espace-temps, d’inversion des rôles, je me retrouvai presque à devoir lutter pour pouvoir la dominer. Comme à l’époque. Mais en réalité, je n’en avais absolument pas envie. Alors je me tordais de plaisir sans aucune pudeur sur le lit de la pauvre absente. Je la laissais grimper sur moi, frotter sa peau à la mienne, mes mains se perdant sur ses fesses. - Oh si belle Su Nah… Elle faisait tout pour en même temps. Et le réussirait à la perfection. Mais même si elle n’avait pas été si douée sa nouvelle sauvagerie la rendait extrêmement sexy. Je lâchai un sourire dans un soupire quand descendit vers mon entrejambe. Je ne m’y attendais pas non plus, et cela m’excita encore plus, si c’était encore possible. La bouche ouverte, le souffle rauque je sentais mes muscles se tendre et mes cuisses tressaillir. Des hormones, dont mon cerveau embué ne pouvait pas se souvenir, semblaient fuser à travers ma colonne vertébrale et se répandre avec chaleur dans mes hanches et mes cuisses. Mes doigts se refermèrent sur les draps et un premier faible franchit mes lèvres. C’était tellement bon. Mes hanches ondulèrent, soutenant le mouvement de la langue de Su Nah. Mon ventre se contractait aussi. Je ne comptais plus mes gémissements, et mes doigts se perdirent dans ses cheveux pendant que ma tête perdit la notion du temps. Je finis par me redresser, en sueur et toisai Sunah. A mon tour. Je l’attirai un peu brusquement sur le lit, et l’allongeai sur le matelas. J’attrapai ses poignets d’une main, coinçant ses bras au-dessus de sa tête, et l’autre passait dans sa culotte, pour caresser son intimité. Je reprenais un peu de contrôle. Cette espèce de furie avait failli m’avoir. Mais non, c’était à mon tour de la soumettre à tout le plaisir que je pouvais lui procurer. Je la caressai, embrassai ses lèvres, ses seins, tirai sur ses bouts tout durs. Je ne lui laissais surtout le temps de rien. Je savais que je perdrai mon tour sinon. Je la lâchai, descendis sur ses jambes et achevai de la déshabiller. Je la regardai un instant, reprenant mon souffle, et puis mes mains glissèrent sur ses cuisses, mes ongles griffèrent ses fesses et je me penchai sur son entrejambe avec un sourire. Je lui mordis l’aine et ma langue glissa vers son intimité. Je fis pénétrer un doigt en elle le bougeant lentement, soutenant mes coups de langue. J’avais envie de la mordre. Mon autre main se tendit sur son ventre, et alla attraper le bout d’un de ses seins pour le tordre doucement. J’espérai, au fond, être à la hauteur des espérances qu’elle avait mis en moi, quand elle avait décidé d’arrêté de s’occuper de sa voiture.
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SuNah & Noriko
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Tout son corps me paraissait extrêmement familier. Ses formes, ses cheveux, sa peau, son odeur, son goût. Tout Su Nah était gravé quelque part en moi. Mais pourtant tout cela avait un air étranger. Un goût d’exotisme sur ses lèvres, quelque chose de totalement inconnu dans ses gestes. Je découvrais avec délice une Sunah décomplexée, à la fois si proche et si différente de ce que j’avais pu connaître d’elle. C’était brusque et sauvage. Dans une sorte de faille dans l’espace-temps, d’inversion des rôles, je me retrouvai presque à devoir lutter pour pouvoir la dominer. Comme à l’époque. Mais en réalité, je n’en avais absolument pas envie. Alors je me tordais de plaisir sans aucune pudeur sur le lit de la pauvre absente. Je la laissais grimper sur moi, frotter sa peau à la mienne, mes mains se perdant sur ses fesses. - Oh si belle Su Nah… Elle faisait tout pour en même temps. Et le réussirait à la perfection. Mais même si elle n’avait pas été si douée sa nouvelle sauvagerie la rendait extrêmement sexy. Je lâchai un sourire dans un soupire quand descendit vers mon entrejambe. Je ne m’y attendais pas non plus, et cela m’excita encore plus, si c’était encore possible. La bouche ouverte, le souffle rauque je sentais mes muscles se tendre et mes cuisses tressaillir. Des hormones, dont mon cerveau embué ne pouvait pas se souvenir, semblaient fuser à travers ma colonne vertébrale et se répandre avec chaleur dans mes hanches et mes cuisses. Mes doigts se refermèrent sur les draps et un premier faible franchit mes lèvres. C’était tellement bon. Mes hanches ondulèrent, soutenant le mouvement de la langue de Su Nah. Mon ventre se contractait aussi. Je ne comptais plus mes gémissements, et mes doigts se perdirent dans ses cheveux pendant que ma tête perdit la notion du temps. Je finis par me redresser, en sueur et toisai Sunah. A mon tour. Je l’attirai un peu brusquement sur le lit, et l’allongeai sur le matelas. J’attrapai ses poignets d’une main, coinçant ses bras au-dessus de sa tête, et l’autre passait dans sa culotte, pour caresser son intimité. Je reprenais un peu de contrôle. Cette espèce de furie avait failli m’avoir. Mais non, c’était à mon tour de la soumettre à tout le plaisir que je pouvais lui procurer. Je la caressai, embrassai ses lèvres, ses seins, tirai sur ses bouts tout durs. Je ne lui laissais surtout le temps de rien. Je savais que je perdrai mon tour sinon. Je la lâchai, descendis sur ses jambes et achevai de la déshabiller. Je la regardai un instant, reprenant mon souffle, et puis mes mains glissèrent sur ses cuisses, mes ongles griffèrent ses fesses et je me penchai sur son entrejambe avec un sourire. Je lui mordis l’aine et ma langue glissa vers son intimité. Je fis pénétrer un doigt en elle le bougeant lentement, soutenant mes coups de langue. J’avais envie de la mordre. Mon autre main se tendit sur son ventre, et alla attraper le bout d’un de ses seins pour le tordre doucement. J’espérai, au fond, être à la hauteur des espérances qu’elle avait mis en moi, quand elle avait décidé d’arrêté de s’occuper de sa voiture.
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Re: Nono&Nanah ✖ Trouble is our destiny -18 | Dim 6 Sep - 17:01 Citer EditerSupprimer
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SuNah & Noriko
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Je la sens se crisper sous mes caresses, je la sens se cambrer pour aller chercher ce plaisir qu’elle crève d’envie de ressentir. Ses hanches ondulent contre mes lèvres et je tente de me faire la meilleure possible pour la satisfaire. J’ai envie de lui donner au centuple ce plaisir qu’elle m’a fait découvrir. Au japon, quand il n’y avait que nous deux, je n’étais qu’une hétéro inexpérimenté qui se laissait aller. Aujourd’hui j’ai appris. J’ai découvert mon corps, assez pour savoir comment lui donner du plaisir. Je mordille, j’aspire. Je taquine de mes lèvres et je griffe son ventre et ses cuisses avec un désir pressant. Elle me trouve belle, elle me l’a dit, et mon égo se sent gonflé et putain j’ai envie d’elle. Ça devient dur de résister. J’ai envie de la sentir contre moi, de sentir nos bassins rouler l’un contre l’autre à m’en rendre dingue. Cette simple pensée me fait frémir et je balaye mon souffle chaud et froid sur son intimité ravagé de plaisir. Elle est délicieuse et je la dévorais toute la nuit avec plaisir si je le pouvais. J’aimais sentir ses doigts se perdre dans mes cheveux, ça m’encourageais, ça m’encourageais tellement. J’aurais pu continuer ainsi encore longtemps mais la voilà qui reprends le contrôle. Elle m’attire à elle brusquement et m’allonge sur le lit. Je lâche un couinement de surprise mais me laisse faire, docile, soumise, prête à recevoir ce plaisir qu’elle me promet d’un sourire. Elle dévore mes lèvres d’un baiser que je lui rends avec la même passion. Elle est si délicieuse, le goût de son corps sur mes lèvres me rend dingue. Et alors qu’elle glisse sur mon corps à m’en arracher des gémissements et que ses doigts se perdent sur mes seins qu’elle torture délicieusement, je lèche mes lèvres, regrettant presque de m’être fait arracher à sa douce intimité. Je frémis d’impatience parce que je sais, je sais ce qu’elle me réserve, mais je semble découvrir chacune de ses caresses. Comme une nouvelle sensation qui me submergeait sans que je ne puisse lutter contre elle. Je frissonne. Je la regarde glisser sur mon corps le souffle court. Un peu honteuse, rien qu’un instant qu’elle me mette à nue. J’ai envie de caresser sa joue, mais la voilà déjà partir à l’assaut de mon intimité. Je lâche un couinement de surprise. Et je me cambre, je gémis, je la laisse me dévorer. Je la fixe, le visage crispé dans une grimace de plaisir. J’ai le souffle rauque et j’ai la peau moite. Tout comme elle. Nos corps en sueur réchauffent la pièce et ça me monte à la tête. A l’instant où je sens son doigt se glisser en moi je me laisse retomber sur le matelas en gémissant. « Putain Nor.. » je n’arrive même pas à prononcer son prénom en entier que déjà elle m’arrache un nouveau gémissement. Je me moque bien qu’on peut nous entendre. Je me moque bien d’être surprise. Putain j’ai envie d’elle. C’est tout un feu qui prend possession de moi et dans chacun de mes gestes je lui cri d’aller plus vite. Qu’elle glisse un deuxième doigt je vous en prie. J’étais prête à la supplier. A la supplier qu’elle me fasse prendre mon pied. « Putain Noriko. » couinais-je en bougeant mon bassin plus vite contre elle. Ses doigts me rendaient dingue et sa main qui taquinait le reste de mon corps tout autant. Je me cambrais, sombrant dans le plaisir que le sexe me procurait. Putain j’aimais tellement ça. J’avais parfois l’impression d’en être accroc, mais c’était normal pour une femme de mon âge d’aimer ça pas vrai … ? Mon visage baissé vers Noriko je la regardais faire et la laissa faire pendant de longues minutes. Si longues que j’avais l’impression que je pouvais jouir d’un moment à l’autre. Frissonnant je caressais sa joue, frôlant de mon pouce le coin de ses lèvres. Elle était si belle ma japonaise. Je lui souris, fiévreuse. Je finis par l’attirer à moi. « Viens là, approche. » lui murmurais-je incapable de tenir plus longtemps. « Prenons notre temps … » susurrais-je contre sa bouche alors que je la faisais s’allonger sur moi. Je caressais ses hanches, ses fesses que je pressais dans le creux de mes paumes moites. « J’aime tellement ton corps … » murmurais-je en glissant des baisers dans le creux de son cou. Je suivais la ligne de se mâchoire, remontant sur sa joue jusqu’à ses lèvres. Je la serrais contre moi, profitant de sa chaleur et de la sensation si fine de son corps contre le mien. Je perdais mes mains dans le creux de ses reins, dans ses cheveux que je tirais doucement en arrière pour pouvoir venir embrasser son menton. Elle a la peau si douce … innocemment je glisse ma main entre nos deux corps et m’arrête au niveau de son entre jambe qui frôle le mien. Je soulève légèrement mon bassin pour être à sa hauteur et relève mes cuisses pour mieux la toucher. J’appui d’une main sur ses fesses pour la presser contre moi doucement. Et sans pudeur j’écarte doucement son intimité pour que nos deux perles de chair soient en contact direct. J’en ai le souffle coupé. Je la presse encore plus contre moi, des frissons sur tout le corps. « Oh putain … » elle me paraît si fraiche, si froide, ainsi collée à moi, dans l’indécence la plus total. Est-ce parce qu’elle a mis le feu à mon entrejambe que je trouve le sien délicieusement frais ? Je pousse un soupir de bien être contre ses lèvres et lui intime de ne pas bouger. « Reste comme ça. » susurrais-je contre lèvre alors que je commençais à peine à donner des coups de bassin langoureux. Lents et sensuels. Juste assez pour bouger contre elle, pour la taquiner de la plus délicieuse des façons. Mes va et vient lascifs me firent fermer les yeux alors que je glissais une main tendrement dans sa nuque pour l’attirer à moi et l’embrasser avec douceur. Que ca pouvait être bon de la tenir dans mes bras comme ca.
Je la sens se crisper sous mes caresses, je la sens se cambrer pour aller chercher ce plaisir qu’elle crève d’envie de ressentir. Ses hanches ondulent contre mes lèvres et je tente de me faire la meilleure possible pour la satisfaire. J’ai envie de lui donner au centuple ce plaisir qu’elle m’a fait découvrir. Au japon, quand il n’y avait que nous deux, je n’étais qu’une hétéro inexpérimenté qui se laissait aller. Aujourd’hui j’ai appris. J’ai découvert mon corps, assez pour savoir comment lui donner du plaisir. Je mordille, j’aspire. Je taquine de mes lèvres et je griffe son ventre et ses cuisses avec un désir pressant. Elle me trouve belle, elle me l’a dit, et mon égo se sent gonflé et putain j’ai envie d’elle. Ça devient dur de résister. J’ai envie de la sentir contre moi, de sentir nos bassins rouler l’un contre l’autre à m’en rendre dingue. Cette simple pensée me fait frémir et je balaye mon souffle chaud et froid sur son intimité ravagé de plaisir. Elle est délicieuse et je la dévorais toute la nuit avec plaisir si je le pouvais. J’aimais sentir ses doigts se perdre dans mes cheveux, ça m’encourageais, ça m’encourageais tellement. J’aurais pu continuer ainsi encore longtemps mais la voilà qui reprends le contrôle. Elle m’attire à elle brusquement et m’allonge sur le lit. Je lâche un couinement de surprise mais me laisse faire, docile, soumise, prête à recevoir ce plaisir qu’elle me promet d’un sourire. Elle dévore mes lèvres d’un baiser que je lui rends avec la même passion. Elle est si délicieuse, le goût de son corps sur mes lèvres me rend dingue. Et alors qu’elle glisse sur mon corps à m’en arracher des gémissements et que ses doigts se perdent sur mes seins qu’elle torture délicieusement, je lèche mes lèvres, regrettant presque de m’être fait arracher à sa douce intimité. Je frémis d’impatience parce que je sais, je sais ce qu’elle me réserve, mais je semble découvrir chacune de ses caresses. Comme une nouvelle sensation qui me submergeait sans que je ne puisse lutter contre elle. Je frissonne. Je la regarde glisser sur mon corps le souffle court. Un peu honteuse, rien qu’un instant qu’elle me mette à nue. J’ai envie de caresser sa joue, mais la voilà déjà partir à l’assaut de mon intimité. Je lâche un couinement de surprise. Et je me cambre, je gémis, je la laisse me dévorer. Je la fixe, le visage crispé dans une grimace de plaisir. J’ai le souffle rauque et j’ai la peau moite. Tout comme elle. Nos corps en sueur réchauffent la pièce et ça me monte à la tête. A l’instant où je sens son doigt se glisser en moi je me laisse retomber sur le matelas en gémissant. « Putain Nor.. » je n’arrive même pas à prononcer son prénom en entier que déjà elle m’arrache un nouveau gémissement. Je me moque bien qu’on peut nous entendre. Je me moque bien d’être surprise. Putain j’ai envie d’elle. C’est tout un feu qui prend possession de moi et dans chacun de mes gestes je lui cri d’aller plus vite. Qu’elle glisse un deuxième doigt je vous en prie. J’étais prête à la supplier. A la supplier qu’elle me fasse prendre mon pied. « Putain Noriko. » couinais-je en bougeant mon bassin plus vite contre elle. Ses doigts me rendaient dingue et sa main qui taquinait le reste de mon corps tout autant. Je me cambrais, sombrant dans le plaisir que le sexe me procurait. Putain j’aimais tellement ça. J’avais parfois l’impression d’en être accroc, mais c’était normal pour une femme de mon âge d’aimer ça pas vrai … ? Mon visage baissé vers Noriko je la regardais faire et la laissa faire pendant de longues minutes. Si longues que j’avais l’impression que je pouvais jouir d’un moment à l’autre. Frissonnant je caressais sa joue, frôlant de mon pouce le coin de ses lèvres. Elle était si belle ma japonaise. Je lui souris, fiévreuse. Je finis par l’attirer à moi. « Viens là, approche. » lui murmurais-je incapable de tenir plus longtemps. « Prenons notre temps … » susurrais-je contre sa bouche alors que je la faisais s’allonger sur moi. Je caressais ses hanches, ses fesses que je pressais dans le creux de mes paumes moites. « J’aime tellement ton corps … » murmurais-je en glissant des baisers dans le creux de son cou. Je suivais la ligne de se mâchoire, remontant sur sa joue jusqu’à ses lèvres. Je la serrais contre moi, profitant de sa chaleur et de la sensation si fine de son corps contre le mien. Je perdais mes mains dans le creux de ses reins, dans ses cheveux que je tirais doucement en arrière pour pouvoir venir embrasser son menton. Elle a la peau si douce … innocemment je glisse ma main entre nos deux corps et m’arrête au niveau de son entre jambe qui frôle le mien. Je soulève légèrement mon bassin pour être à sa hauteur et relève mes cuisses pour mieux la toucher. J’appui d’une main sur ses fesses pour la presser contre moi doucement. Et sans pudeur j’écarte doucement son intimité pour que nos deux perles de chair soient en contact direct. J’en ai le souffle coupé. Je la presse encore plus contre moi, des frissons sur tout le corps. « Oh putain … » elle me paraît si fraiche, si froide, ainsi collée à moi, dans l’indécence la plus total. Est-ce parce qu’elle a mis le feu à mon entrejambe que je trouve le sien délicieusement frais ? Je pousse un soupir de bien être contre ses lèvres et lui intime de ne pas bouger. « Reste comme ça. » susurrais-je contre lèvre alors que je commençais à peine à donner des coups de bassin langoureux. Lents et sensuels. Juste assez pour bouger contre elle, pour la taquiner de la plus délicieuse des façons. Mes va et vient lascifs me firent fermer les yeux alors que je glissais une main tendrement dans sa nuque pour l’attirer à moi et l’embrasser avec douceur. Que ca pouvait être bon de la tenir dans mes bras comme ca.
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