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InLoup x Hey babydoll, let me stand by you
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InLoup x Hey babydoll, let me stand by you | Sam 18 Juil - 23:43 
I CANT SAY I WONT BE PROUD BUT WHEN YOU ARE BLUSHING I CANT HELP, I SMILE.
Retour aux sources, retour chez les Pyos, j’aurais parfois du mal à l’avouer mais ils me manquent. J’aimais ca en fait je crois, vivre en communauté. Oh bien sûr il m’arrivait de gueuler parce que les gens gaspillaient l’eau chaude de la douche, et qu’ils n’avaient aucun scrupule à manger dans ma bouffe bio, mais dans le fond c’était vraiment sympa. Ces soirées à se disputer la télécommande, ces matins où on courait tous pour éviter d’être à la bourre, ou encore ces plans diaboliques qu’on montait pour attaquer les autres frats. Et puis le tremblement de terre. Un moment qui nous à tous rapproché, assez pour que chacun se sentent responsable et rebâtisse du mieux qu’on a pu notre dortoir. Alors ouais, même s’ils étaient les premiers à se foutre de ma gueule pour ma bouffe et qu’ en même temps ils ne disaient jamais non pour des repas sain, je me suis attaché à eux. Certains plus que d’autre c’est sûr. Perché sur mon skate comme à mon habitude je déambulais dans les couloirs des pyos pour aller plus vite. Je suis même fière de pouvoir dire que c’était grace à moi que la moquette du couloir qui mène au dortoir arbore fièrement deux jolies cicatrices, deux tranchés creusé par les roues de mes skates qui passent et trépassent toujours au même endroit. Donnant un nouvel élan avec mon pied en frappant le sol je continuais de glisser en direction des douches. Mon lait fraise collé au lèvre je balançais ma tête en arrière pour le finir. Et parce que ça me plait, je fais un détour dans la salle commune des pyos où je m’arrête en faisant un dérapage contrôlé avant d’atterrir sur le sofa à côté d’un pyo que je ne connais pas beaucoup. Croisant les bras sous la tête je les regarde jouer à la console en posant une multitude de questions, juste pour les déconcentrer parce que ça m’amuse de les voir froncés les sourcils pour tenter de se concentrer et d’ignorer ma voix. Ah que ca fait du bien de rentrer à la maison ! Si le doyen était là il criserait surement en me foutant à la porte mais Pyo un jour Pyo toujours. Et je savais que les pyo restaient accueillant pour les anciens. Me redressant j’ébouriffais au passage les cheveux du pyo qui se mis à grogner « Putain In Su ! Dégage tu saoules ! » Oh oui que c’était bon de revenir à la maison. Ma serviette sur l’épaule et ma bonne humeur retrouvé je glissais jusqu’à la salle de bain, en manquant de renverser au passage une pyo que je ne reconnu pas tout de suite. « Désolé ! » lâchais-je sans me retourner en levant seulement une main. Je m’engouffrais dans la salle d’eau commune en laissant mon skate comme à mon habitude à la porte et pris rapidement une douche. Avec cette chaleur c’était presque inhumain de devoir sortir et bosser. L’eau fraiche sur mon corps me fit un bien fou et je poussais un râle de bien être. Il faut dire qu’avec la clim en panne, c’était bien notre chance. Je finis rapidement et pris la direction de la cuisine, une sucette en bouche comme à mon habitude. Perché sur mon skate à nouveau j’avançais dans le couloir, le t-shirt coincé dans al poche arrière de mon jeans.
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