Ça m'avait pris comme une envie de pisser. Une envie soudaine d'aller faire quelques longueurs dans une piscine, chose que je n'avais pas fait depuis un baille et qui me manquait… J'allais bien évidemment partir à la piscine de l'université même si je sais qu'aucun étudiant ne doit être dans l'université la nuit, mais les règlements et moi ça fait deux. C'est donc avec hâte que je pars mettre un short et un débardeur. J'attrape le sac-à-dos qui est sur la chaise et je mets une serviette, des affaires de rechange, car je ne veux pas tremper ma voiture. Je sors de la chambre en évitant de réveiller mes colocataires qui dormaient paisiblement puis je me dirige vers ma voiture qui est sur le parking. J'ouvre le coffre, et je pose mon sac-à-dos puis je vois qu'il y a toujours le pied de biche. Ça m'arrange, au moins, je pourrais forcer la porte pour pouvoir rentrer dans la piscine.
Je conduis tranquillement puis lorsque j'arrive à destination, je fais en sorte de garer la voiture un peu plus loin de l'université comme ça, si on capte que quelqu'un a forcé la porte, ils ne m'accuseront pas. J'ouvre le coffre, et j'enfile mon sac-à-dos puis j'attrape le pied de biche avant de tout refermer. Je me dirige vers la piscine avec un sourire, et dès que j'arrive, je force la porte avec le pied de biche sans aucune pitié. Une fois la serrure défoncée, je m'introduis à l'intérieur et j'arrive devant le disjoncteur pour allumer les lumières qui sont dans la piscine. Au moins, ça sera éclairé. Je pose mon sac-à-dos et le pied de biche sur un banc puis j'envoie un message à Noriko pour savoir si elle voulait venir avant de courir et de sauter dans l'eau. Je remonte à la surface, et je m'amuse à faire quelques longueurs tout en espérant que la japonaise vienne me rejoindre.

Sortie du taf, je fumais une clope devant le Nymphéa. Seule. J'aimais bien être seule entre deux trucs. Surtout après des moments aussi effervescents et aussi bruyant. C'est fou ce que ça peut crier une fille quand ça doit se changer, se recoiffer et remaquiller rapidement. Elles sont casse-pieds parfois. Cigarette finie, je l'écrasais contre le mur et la lançais dans une poubelle. Puis je me décollais du mur, et glissai doucement vers la zone ouest de la Digital City. Pour rentrer à la fraté quoi. En roller, ça sera vite fait. Roulant tranquillement dans des rues encore très vivantes, je m'arrêtai me prendre une part de pizza. C'était l'avantage de vivre dans des villes étudiantes. Elles ne dormaient quasiment jamais. Il y avait toujours n truc ouvert quelque part. Dans tous les cas, à cette heure-ci il était encore vachement tôt en fait. Je continuai ma route, engloutissant ma pizza. Et puis je reçus un sms qui me fit rire. Qu'est-ce qu'il fichait à la piscine à cette heure-ci lui? Bah c'était bien son genre. Le mien aussi btw. Je tirai sur mon débardeur et sur ma jupe pour voir les sous-vêtements que j'avais sur moi. Bon, ils étaient roses fluo, mais anyway, ils étaient surtout opaques. Et ce n'était pas un string. Je changeai donc de cape. Oué, j'y allais comme ça. Pas de change, pas de serviette. Je sécherai et je remettrai pas mes sous-vêt', et puis c'est tout. J'arrivais à la piscine en moins de dix minutes. Je pouffai de rire en voyant la porte de la piscine mal en point. Ça aussi c'était son genre. Un barbare. J'entrai dans le bâtiment, toujours en roulant, jusqu'au bassin. - Hey!! Je fis n signe de la main à ax avant d'aller poser mes fesses sur un banc pour enlever rollers veste, jupe, débardeur et les divers breloques ornant mon cou et mes poignets. Je rejoins bassin et restai debout au bord. - Alors, elle est bonne?!

La piscine est un refuge pour moi, car je pouvais respirer, penser, me détendre sans qu'on vienne m'embêter pour des conneries. Dans mon groupe, il y avait eu quelques changements. Je suis guitariste, mais je suis devenu le chanteur principal tout en restant guitariste, et Heather est devenu chanteuse secondaire et bassiste. Quant à Memphis, il reste guitariste. C'est le deuxième guitariste du groupe et je le vois comme leader, mais celui-ci refuse, car il me voit plus comme le leader. Nous avons créé les black dragon à deux et je préfère qu'on décide tous ensemble de ce qu'on va faire plus tard. Je ne veux pas être leader même si j'ai les compétences pour l'être. J'arrête de faire des longueurs et j'observe vers l'entrée de la piscine, car j'ai entendu un bruit. On ne voit rien, je crois qu'on peut voir la piscine qui est éclairée, mais le reste était dans les ténèbres. Je pouvais voir une silhouette se diriger vers moi, alors j'espère que ce n'est pas un personnel de l'université parce que je risque de me faire virer et je ne veux pas me faire renvoyer maintenant. Bon, je prendrais mes responsabilités et je risquerais de me battre avec le mec pour bien qu'il soit amoché et pour qu'il oublie ma tronche comme ça je n'aurais pas de problème, mais lorsque je remarque c'est la japonaise qui été arrivée, je n'ai pu m'empêcher de sourire. « Yo ! » dis-je en faisant un peace de la main avant de couler comme un poisson puis je reviens à la surface en m'approchant du bord. « Elle est ... » J'attrape la main de la jeune femme et la tire dans l'eau. « Très bonne. » lançai-je en éclatant de rire et en venant lui faire un bisou sur la joue. « Je suis content que tu sois venue ! Tu vas bien ? » demandai-je en l'éclaboussant légèrement. Oui, je pouvais être gamin de temps en temps, mais je n'allais pas être méchant avec une personne que j'adore.

Le sal… ! Ma pensée fut coupée par le contact un peu brusque de l’eau avec ma peau. Choc thermique. Ou pas. Elle n’était pas très froide, mais j’étais frileuse. Je me laissai couler un peu, parce que j’aimais bien cette sensation. J’ouvris les yeux pour localiser Jax, et ne pas foncer dedans,  et je me débattis enfin pour remonter en face de lui. Je pris une grande inspiration en arrivant à l’air libre, avant d’assener un petit coup de poing, déjà pas bien violent mais là encore plus ralentis par l’eau, dans les côtes de mon ami. - Saleté. Protestai-je avec un sourire affectueux, plaquant mes cheveux en arrière avec mes mains. Je le laissai m’embrasser, mais répondis doucement à ses attaques aqueuses. Non mais oh ! - Ca va, ça va ! Mais moi aussi j’suis contente de te voir ! Qu’est-ce que tu as fait de beau ses temps-ci ? A part attirer des jeunes filles à la piscine tard la nuit pour abuser d’elles? Je savais qu’il était comme moi – non, pire que moi, d’ailleurs nous figurions chacun sur le tableau de chasse de l’autre – et donc que depuis la dernière fois que je l’avais vu, il avait dû cumuler encore quelques conquêtes à son actif. Donc oui, je me permettais largement de le taquiner sur ce sujet, et même de le traiter de psychopathe pourquoi pas. Objectivement, il l’était presque by the way, mais moi aussi, alors ça ne posait pas vraiment de problème. On avait formé un drôle de duo à l’époque. Je frissonnais. L’eau était froide. Un peu oui.  Je me déplaçai sur sa gauche et passai les bras autour de lui. – Azy elle est froide en fait.  Je me collai à lui, histoire de me réchauffer. J’étais un animal à sens froid. Il si je gelais trop, je me crispais et entrais en hibernation. Et dans l’eau, ce n’était pas la meilleure idée du monde.

Faire des longueurs dans une piscine m'avaient manqués. J'avais l'habitude d'en faire dans celle de mon père adoptif avec ma demi-soeur et mon demi-frère. Bon, je n'avais pas besoin de forcer la porte avec un pied de biche pour pouvoir aller nager comme un poisson, mais là j'étais obligé de le faire puisque le concierge ferme toujours la porte à clef pour qu'aucuns élèves entrent le soir. Il y a un règlement et c'est bien marqué qu'aucunes personne ne doit errer dans l'université le soir sous peine de sanction, mais à force vous me connaissez pour savoir que j'en ai rien à foutre du règlement de l'université. D'ailleurs, je suis en bonne compagnie. Ouais, j'adore Noriko et visiblement elle est contente de me voir. « Qu'est-ce que j'ai fait ces temps-ci... ? » Il y avait tellement de choses que j'avais fait ces derniers temps. Il y a eu beaucoup de changement positif dans ma vie, alors je crois que je vais raccourcir pour éviter de lui faire une encyclopédie. « Je suis devenu le chanteur principal de mon groupe tout en restant guitariste et je pense arrêter les études pour travailler et pour me consacrer un peu plus avec le groupe. » lançai-je en faisant un sourire. C'était rare de voir un sourire se dessiner sur mon visage, car d'habitude, je ne montre aucun signe de "gentillesse", si je peux me permettre de le dire ainsi. « Et je n'attire pas les filles, ce sont elles qui viennent à moi. » Je baise partout, car on me kiff et ne vous en faites pas. Je me protège comme il faut surtout si je suis complètement bourré. Quand je suis ivre, je risque de ramener un thon et mon esprit en profite pour enfiler une capote, et de rajouter énormément de lubrifiant. Je peux baiser Susan Boyle en étant complètement défoncé, alors heureusement que mon esprit est là pour m'enfiler la couverture sur mon membre. La japonaise en profite pour se coller à moi, car elle trouvait que l'eau était froide. Généralement, au début, elle est froide, mais après elle devient très bonne. « Bah, alors on a froid ? » demandai-je en venant l'enlacer pour la réchauffer. « C'est bizarre, d'habitude les filles ont très chaud quand elles me voient, mais toi c'est l'inverse » Le son de ma voix est taquin et si ça se trouve, elle allait me balancer un " troll " en pleine tronche, mais je l'aurais cherché puisqu'elle peut attraper la perche à tout moment.

Hé hé... Jax et son groupe. Une grande histoire d'amour. Et une histoire familiale surtout. Il était à watt dedans, alors ça me semblait être une suite logique dans sa vie. Moi... avec mon groupe de cas sociaux, je ne risquais pas de passer pro'. Il faudrait déjà que le chanteur soigne son espèce d'agoraphobie et que le guitariste n'est pas autant de problèmes de santé. On était presque digne de la team Soul Eater. Enfin ce qu'il me disait ne m'étonnait pas vraiment, même si bien sur, ça ne m'empêchai pas de me réjouir pour lui. - Ah c'est cool! bah... si en plus tu deviens une rock star tu les auras toutes à tes pieds. Le rêve de ma vie tu sais. Avoir une bande de fans hystériques qui me balance leurs soutifs en plein concert. Oué j'avais des rêves chelous. Dieu, pourquoi l'univers, et les groupies. Voilà, voilà. Une fille totalement saine et équilibrée. Sa remarque me fis partir dans un fou rire. Je du le lâcher pour tenter de surnager avec mes bras, sinon on allait couler comme des cailloux. Je me calmai vite, parce que rire dans ne piscine c'est vraiment pas une bonne idée, et repassai mes bras et et jambes autour de Jax. - Ah bah qu'est-ce que tu veux. J'ai trop l'habitude moi. On n'est plus de jeunes tourtereaux enamourés. Ce que nous n'avions strictement jamais été btw. Je lui fis un clin d’œil. Il le savait aussi parfaitement, mais je savais que ce genre de remarques le faisaient toujours réagir. Et il devait savoir que je le savais. De toute façon je le cherchai assez souvent, parce que ça me faisait marrer (à mes risques et périls oui, oui).

Je suis très proche de Noriko et elle est au courant que la musique est importante pour moi. Nous voulons passer professionnel, mais en gardant notre musique punk - rock. Nous ne voulons pas ressembler aux autres groupes qui existent en Corée. Pourquoi ? Parce que notre style, nous correspond. On ne veut pas être censuré par une agence, alors je peux vous dire qu'il va y avoir plusieurs choses à mettre en place si nous passons professionnel. C'est dommage que la japonaise ne soit pas dans le groupe puisqu'elle dégage quelque chose de très puissant. J'avoue que son groupe a beaucoup de chance de l'avoir. « Espérons que j'arrive à devenir une rockstar, alors ! » dis-je en souriant. C'est quand même très difficile de percer dans la musique, mais j'ai cette détermination qui fait que je n'abandonnerai pas quoiqu'il arrive. Je regarde Noriko d'un air assez froid lorsqu'elle me fit une remarque. « Je ne vais rien dire » dis-je en toussant. Mon oreille entendit un bruit venant de la porte bousillée à cause de mon entrée. J'étais rentré par effraction et je suppose que ça devait être le concierge ou un élève qui venait s'aventurer par ici. Je sors très vite de l'eau avec mon amie puis je prends mes affaires et les siennes. « On va se cacher » murmurai-je en la prenant par le bras et en la tirant vers les vestiaires des filles. Je pose les affaires au-dessus des casiers et j'enroule la serviette autour de la japonaise et je me mets contre elle. « Faisons-nous tout petit pendant quelques minutes. Sinon on va être dans la merde et je ne veux pas qu'on te punisse à cause de moi. » dis-je en regardant vers la porte. Visiblement, c'était bien le concierge qui était venu. Aish ! Il faut qu'on soit discret.

Ah ah, je nous l'avais presque énervé! Bon, d'un côté, j'étais bien contente qu'il n'est pas non plus mal réagit. Genre dans une piscine, ce n'était pas vraiment le lieu le plus sécur' pour énerver Pyo Jaxson. Depuis l'intérieur d'un abri antinucléaire, avec lui à l'extérieur bien sur, dans ce cas oui, c'était envisageable. Mais je n'eus pas franchement le temps de me réjouir d'avoir encore la tête hors de l'eau, ni de planifier un autre truc pour l'embêter. Mon ouïe, qui était le seul truc qui marchait parfaitement bien chez moi, avait aussi repéré le truc. J'eus tout juste le temps de soupirer avant de me retrouver planquée dans les vestiaires féminins. Contente d'être dans une serviette en tout cas. Sinon mes dents s’entrechoquant auraient finies par alerter tout le quartier. Sisi j'étais frileuse à ce point. Je me retiens de rire. - Ptn la dernière fois que je me suis planquée comme ça c’était… quand je m’étais tapée le meilleur ami de mon père. je terminai ma phrase à voix encore plus basse que je ne l’avais commencé. Jax ne m’aurait pas entendu s’il n’était pas si prêt. Je fus secouée d’une autre vague de rire, que je maitrisai comme je pus, mordant à pleine dents dans la serviette. Ce n’était franchement pas le moment de se souvenir de ça. J’essayai tant bien que de mal à retrouver mon sérieux, fronçant les sourcils, comme si pouvait aider. Finalement des pas se firent entendre dans le couloir. J’ouvris de grands yeux. Ptn, il ne fallait pas qu’il vienne par là. Enfin, théoriquement, je m’en fichai un peu, mais c’était plus drôle de ne pas s’en foutre justement. Il y avait plus d’enjeux et de suspens. - Qu’est-ce qu’on fait ? On lui fait peur ? articulai-je en faisant sortir le moins de son possible de ma gorge. Juste assez pour être comprise. Mais oué, oué, lui faire peur pouvait toujours être une idée. J’étais souple, je pouvais me la jouer « exorciste » dans le couloir.

Pourquoi ce connard de concierge n'est pas en train de dormir dans son lit actuellement ? Sa femme l'a privée de sexe ou l'a envoyée dormir sur le canapé ? Putain ! Je n'aime pas ça, je devais rester discret avec la jeune femme. Vous imaginez s'il arrive à nous chopper ? On aura de très gros soucis sauf si je prends le pied de biche et que je lui cogne un bon coup dans le crâne.. Mais il risque de mourir, alors on va éviter de lui mettre un coup même si ça me donne envie. J'entends la jeune femme dire qu'elle avait couchée avec le meilleur ami de son père. Je regarde la japonaise avec des gros yeux. « Quoi !? » hurlai-je en oubliant le concierge qui était en train de nous chercher. Et merde... Niveau discrétion : zéro. Je me gratte la tête tout en entendant les bruits de pas qui se rapprochent de nous. « Je sais que vous êtes ici ! Sortez immédiatement ! » J'attache la serviette pour qu'elle ne se retrouve pas à moitié à poil si on sortait dehors. « Je crois que c'est mort pour lui faire peur. » lançai-je tout en attrapant mes affaires et les affaires de Noriko. Je prends la main de la jeune femme et je défonce la porte qui menait vers l'extérieur. Une fois dehors, je l'entraînai dans le hall d'entrée. Bon, il y avait des caméras de surveillance, mais je savais comment faire pour les esquiver. Je faisais en sorte qu'on se dirige vers une salle de cours. Je tente d'ouvrir la salle de chimie et elle s'ouvre comme par magie. Ils ont oublié de fermer la porte ou ils l'ont fait exprès ? « On va rester là quelques instants. Il risque de revenir de toute façon. » Je referme la porte derrière nous. « T'es sérieuse ? T'as vraiment couchée avec le meilleur ami de ton père ? » demandai-je en m'appuyant contre la porte. Putain, j'avais froid, mais on va faire comme-ci que je ne sentais rien.

Je sursautai, poussant un cri de souris. Nan mais pourquoi il gueulait comme ça lui !! Je faillis faire une attaque. Et puis c’était vachement discret. Ptn on allait passer au rôtissoire à ce train-là. Je me mise à marmonner des jurons en japonais en suivant Jax dans sa course. J’avais vaguement envie de rire. Ça se voyait qu’il avait l’habitude de faire ce genre de trucs. Blra la porte ! Je pouffai. J’entrai dans la salle de chimie et m’adossai au mur à côté de la porte. Je commençai à m’essuyer rapidement, j’allais geler sur place sinon. J’essuyai mes cheveux trempés et les attachai en chignon avec un des éternels élastiques squattant mon poignet. T'es sérieuse ? T'as vraiment couchée avec le meilleur ami de ton père ? J’eus un sourire en coin et lui lançai sa serviette. - A ton avis d’où me vient ma passion pour la basse ? Bon ça n’avait pas vraiment de rapport en fait. Mais le bassiste de mon père était un canon. Et les vibes de la basses c’était tellement stimulant. Je me dirigeai vers les seules fenêtres de la salle donnant sur le couloir. Je baissai doucement les rideaux et pis je rejoins un poste de chimie. Je me lançai quand même dans de vagues explications. Je ne parlais jamais de ma vie avec mon père. Je ne savais pas vraiment pourquoi. Tous mes potes étaient aux faits de mes conflits avec ma mère, mais quasi aucun ne savaient de mon père était une rockstar. - Mon père a un groupe de rock, son meilleur ami est le bassiste, et je squattai souvent le bus en tournée quand j’étais en vacances. Et puis tu sais hein, drug, alcohol, sex & rock’n roll. Sur ce je craquai une allumette et allumai le bec Bunsen de la table. Ce n’était pas terrible mais je n’allais pas non plus allumer tout ceux de la salle non plus. Je m’assise sur la chaise haute, toisant Jax par-dessus la flamme. Je lui fis signe d’approcher. Mine de rien, ça chauffait ces conneries. Vive les cours de chimie ou tu finis presque à poil sous ta blouse au bout de 4h de tp. - Approche si tu veux pas chopper la mort.