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1, 2, 3, 4, 5 Décadence × Perkyu
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Re: Décadence × Perkyu | Mer 9 Sep - 22:19
épuisé. tel était le mot fait pour décrire mon sentiment actuel. émotionnellement épuisé. je n'avais plus à m'énerver ou à essayer de lui faire entendre raison, après tout à quoi bon ? je savais bien au fond de moi que mes mots ne faisaient que entrer d'un coté pour ressortir aussi tôt de l'autre. le plus jeune possédait une personnalité aussi complexe que la mienne, il avait le don de me pousser à le détester quand il le voulait, peut être même inconsciemment et je n'aimais pas ça. je n'aimais pas ça du tout. j'avais horreur de détester quelqu'un pour aucune raison apparente, mais avec lui, c'est une sorte d'obligation. je ne pouvais aller contre ses gestes. me laisser pousser en arrière, me faisant tomber sur le lit tout en écoutant ses ordres, ce n'était pas moi. je n'étais plus moi même dès l'instant où l'aiguille a commencé à tatouer sa peau. je le regardai attentivement, faisant les cents pas à travers la chambre tout en rangeant mon matériel. j'observais, ne disant rien, bien qu'au fond de moi, je criais à m'en tuer. je le vois en suite revenir vers moi, me glissant une bière sous le nez avant que je ne la repousse. malgré sa remarque, ou plutôt sa question, je reste durant un court instant silencieux, m'allongeant sur le lit tout en lui tournant le dos. « Si t'es là, c'est que j'ai personne à défoncer ce soir, pauvre con. » question inutile. si j'avais vraiment quelqu'un à avoir ce soir, pourquoi aurais-je accepté de le tatouer et mieux encore, pourquoi aurais-je accepté qu'il dorme ici. toujours si peu d'intelligence. je soupire longuement avant de fermer mes yeux, glissant mes mains sous l'oreiller avant de m'exprimer froidement. « Si t'es là pour dormir, lève ton cul, éteins la lumière et viens dormir, sinon casses-toi. » en d'autres circonstances, j'aurais pu profiter de cette situation pour coucher avec lui, mais l'envie n'y était pas du tout. la colère que je pouvais avoir à son égard actuellement était bien trop forte pour penser à autre chose.
Décadence.
ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
épuisé. tel était le mot fait pour décrire mon sentiment actuel. émotionnellement épuisé. je n'avais plus à m'énerver ou à essayer de lui faire entendre raison, après tout à quoi bon ? je savais bien au fond de moi que mes mots ne faisaient que entrer d'un coté pour ressortir aussi tôt de l'autre. le plus jeune possédait une personnalité aussi complexe que la mienne, il avait le don de me pousser à le détester quand il le voulait, peut être même inconsciemment et je n'aimais pas ça. je n'aimais pas ça du tout. j'avais horreur de détester quelqu'un pour aucune raison apparente, mais avec lui, c'est une sorte d'obligation. je ne pouvais aller contre ses gestes. me laisser pousser en arrière, me faisant tomber sur le lit tout en écoutant ses ordres, ce n'était pas moi. je n'étais plus moi même dès l'instant où l'aiguille a commencé à tatouer sa peau. je le regardai attentivement, faisant les cents pas à travers la chambre tout en rangeant mon matériel. j'observais, ne disant rien, bien qu'au fond de moi, je criais à m'en tuer. je le vois en suite revenir vers moi, me glissant une bière sous le nez avant que je ne la repousse. malgré sa remarque, ou plutôt sa question, je reste durant un court instant silencieux, m'allongeant sur le lit tout en lui tournant le dos. « Si t'es là, c'est que j'ai personne à défoncer ce soir, pauvre con. » question inutile. si j'avais vraiment quelqu'un à avoir ce soir, pourquoi aurais-je accepté de le tatouer et mieux encore, pourquoi aurais-je accepté qu'il dorme ici. toujours si peu d'intelligence. je soupire longuement avant de fermer mes yeux, glissant mes mains sous l'oreiller avant de m'exprimer froidement. « Si t'es là pour dormir, lève ton cul, éteins la lumière et viens dormir, sinon casses-toi. » en d'autres circonstances, j'aurais pu profiter de cette situation pour coucher avec lui, mais l'envie n'y était pas du tout. la colère que je pouvais avoir à son égard actuellement était bien trop forte pour penser à autre chose.
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Re: Décadence × Perkyu | Jeu 10 Sep - 15:41
le silence devenait de plus en plus pesant. son corps contre le miens était quelque peu perturbant, cependant, je ne dis rien, évitant de répondre à sa question. je le laisse cependant faire à sa guise, laissant la lumière de la lune éclairer ne serait-ce qu'un quart de la chambre, je repousse délicatement sa main et soupire faiblement avant de lui faire face. tout en distinguant faiblement les traits de son visage, je me met à réfléchir, longuement et toujours silencieusement. au bout de quelques minutes, ma main vient pincer sa joue, délicatement, la lui tirant alors que mon regard est surement planté dans le sien. tordant sa peau dans tous les sens, je souris légèrement avant de relâcher sa joue, soupirant à nouveau comme un véritable boeuf. je venais à remuer mon nez, pour cause de flemme de le gratter, avant de me glisser à califourchon sur le plus jeune, mes mains se posant sur le haut de son torse. « Comment tu fais ? Pour prendre ton pied avec un enfoiré je veux dire. » évidemment, je parlais bel et bien de la chose qui lui servait de mec, malgré qu'il soit cocu actuellement. c'était plutôt curieux de ma part, peut être même irrespectueux, mais j'étais connu pour mon manque de respect de toute façon, donc ce n'était qu'habituel lorsque l'on connait ma petite personne. « Je pourrais pas prendre mon pied avec un mec pareil. Ou plutôt si, mais pas dans un pieux. Je prendrais plus mon pied à l'égorger ou ce genre de connerie tu vois ? » toujours autant de romance et de douceur dans mes mots. je me laisse finalement tomber sur le plus jeune, lui volant un baiser avant de rire légèrement de mon acte qui avait surement dû le mettre dans un état de gêne, ou que sais-je.
Décadence.
ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
le silence devenait de plus en plus pesant. son corps contre le miens était quelque peu perturbant, cependant, je ne dis rien, évitant de répondre à sa question. je le laisse cependant faire à sa guise, laissant la lumière de la lune éclairer ne serait-ce qu'un quart de la chambre, je repousse délicatement sa main et soupire faiblement avant de lui faire face. tout en distinguant faiblement les traits de son visage, je me met à réfléchir, longuement et toujours silencieusement. au bout de quelques minutes, ma main vient pincer sa joue, délicatement, la lui tirant alors que mon regard est surement planté dans le sien. tordant sa peau dans tous les sens, je souris légèrement avant de relâcher sa joue, soupirant à nouveau comme un véritable boeuf. je venais à remuer mon nez, pour cause de flemme de le gratter, avant de me glisser à califourchon sur le plus jeune, mes mains se posant sur le haut de son torse. « Comment tu fais ? Pour prendre ton pied avec un enfoiré je veux dire. » évidemment, je parlais bel et bien de la chose qui lui servait de mec, malgré qu'il soit cocu actuellement. c'était plutôt curieux de ma part, peut être même irrespectueux, mais j'étais connu pour mon manque de respect de toute façon, donc ce n'était qu'habituel lorsque l'on connait ma petite personne. « Je pourrais pas prendre mon pied avec un mec pareil. Ou plutôt si, mais pas dans un pieux. Je prendrais plus mon pied à l'égorger ou ce genre de connerie tu vois ? » toujours autant de romance et de douceur dans mes mots. je me laisse finalement tomber sur le plus jeune, lui volant un baiser avant de rire légèrement de mon acte qui avait surement dû le mettre dans un état de gêne, ou que sais-je.
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Re: Décadence × Perkyu | Ven 11 Sep - 11:14
je me fichais pas mal de ce qu'il pouvait bien faire de son derrière et de sa vie sentimentale en général, si il aimait souffrir c'était clairement son problème, cependant, cela ne me réjouissait en rien de le voir souffrir comme un pauvre abruti et tout ça à cause d'un pauvre type comme inguk. au final, le jeune décoloré me rappelait souvent la personne que je suis devenu peu après ma rupture avec l'autre gamin. minable, lamentable, épave. rien de bien glorieux, c'était surement pour ça que je m'inquiétai silencieusement pour lui, sans compter mon attirance pour lui, mais ça, ça n'avait rien d'un secret, c'était presque comme si tout l'établissement était au courant de cette anecdote et en même temps, qui ne voudrait pas de lui, bien qu'il possède un caractère aussi merdique que le mien, il reste très attirant, c'est un fait. quoiqu'il en soit, l'écouter parler de l'autre con, comme étant celui qui l'aime me file clairement des frissons, je trouvais ça presque répugnant au final, j'en venais même à me demander pourquoi j'avais poser cette question. « Si tu voulais avoir mal, fallait venir me voir pauv'con. » ses caresses au niveau de ma nuque avait le don de me rappeler certaines choses passés, mais je ne dis rien, le laissant faire, écoutant simplement chacun de ses mots avec attention. je finis par réagir à sa dernière question. relevant ma tête, sourire aux lèvres, je le fixe longuement avant de prendre doucement la parole. « Tu veux savoir si je prends mon pied avec toi hm ? Alors ferme les yeux et laisse tes sens parler d'eux même. » sans perdre une minute, toujours souriant, je glisse ma main sur son entre jambes pour la caresser tout en venant embrasser sa mâchoire, remontant lentement jusqu'à son oreille pour chuchoter contre elle. « Tu ressens quoi actuellement ptit con ? »
Décadence.
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je me fichais pas mal de ce qu'il pouvait bien faire de son derrière et de sa vie sentimentale en général, si il aimait souffrir c'était clairement son problème, cependant, cela ne me réjouissait en rien de le voir souffrir comme un pauvre abruti et tout ça à cause d'un pauvre type comme inguk. au final, le jeune décoloré me rappelait souvent la personne que je suis devenu peu après ma rupture avec l'autre gamin. minable, lamentable, épave. rien de bien glorieux, c'était surement pour ça que je m'inquiétai silencieusement pour lui, sans compter mon attirance pour lui, mais ça, ça n'avait rien d'un secret, c'était presque comme si tout l'établissement était au courant de cette anecdote et en même temps, qui ne voudrait pas de lui, bien qu'il possède un caractère aussi merdique que le mien, il reste très attirant, c'est un fait. quoiqu'il en soit, l'écouter parler de l'autre con, comme étant celui qui l'aime me file clairement des frissons, je trouvais ça presque répugnant au final, j'en venais même à me demander pourquoi j'avais poser cette question. « Si tu voulais avoir mal, fallait venir me voir pauv'con. » ses caresses au niveau de ma nuque avait le don de me rappeler certaines choses passés, mais je ne dis rien, le laissant faire, écoutant simplement chacun de ses mots avec attention. je finis par réagir à sa dernière question. relevant ma tête, sourire aux lèvres, je le fixe longuement avant de prendre doucement la parole. « Tu veux savoir si je prends mon pied avec toi hm ? Alors ferme les yeux et laisse tes sens parler d'eux même. » sans perdre une minute, toujours souriant, je glisse ma main sur son entre jambes pour la caresser tout en venant embrasser sa mâchoire, remontant lentement jusqu'à son oreille pour chuchoter contre elle. « Tu ressens quoi actuellement ptit con ? »
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Re: Décadence × Perkyu | Ven 11 Sep - 19:02
si j'aurais vraiment voulu être un véritable salopard avec lui, j'aurais peut être tout fait pour l'éloigner de lui dès la minute même où j'ai posé mes mains sur le jeune décoloré, mais au final, j'avais certainement plus de respect pour lui que pour un autre. bien que j'étais loin d'approuver ses choix, j'encaissais silencieusement, le regardant souffrir de mes yeux et le récupérant après multiples blessures aillant été faite par celui que je rêve d'éventrer chaque nuit. les yeux légèrement plissés, mes mains sur ses hanches, je le fixe longuement avant de recevoir son baiser avec gourmandise, y répondant tant bien que mal. la rupture de ce genre vient de lui, me faisant ainsi sourire une nouvelle fois tout en repensant à ses mots précédents. un simple geste d'une courte durée avait eu le don de lui donner chaud donc ? intéressant. sa question m'interpelle, mais je n'y réponds pas de suite, préférant inverser nos positions une nouvelle fois, reprenant ma place de dominant. « T'as eu la réponse à ta question au moment même où t'as poussé un souffle chaud et plutôt long d'ailleurs. » je n'étais pas vraiment du genre à exposer clairement mes sentiments, ou même mes ressenti au sujet de ces choses là, à tel point que je n'avais d'autre solution que de tourner autour du pot, le laissant user de ses neurones pour trouver réponse à sa question. laissant inconsciemment mes doigts se balader sur son torse, je l'observe longuement, affichant une légère moue au visage avant de me pencher à nouveau vers lui, frôlant mes lèvres contre les siennes. « Et toi ? Pourquoi ce baiser si soudain en sachant que tu refuses tout contact entre nos lèvres habituellement ? »
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si j'aurais vraiment voulu être un véritable salopard avec lui, j'aurais peut être tout fait pour l'éloigner de lui dès la minute même où j'ai posé mes mains sur le jeune décoloré, mais au final, j'avais certainement plus de respect pour lui que pour un autre. bien que j'étais loin d'approuver ses choix, j'encaissais silencieusement, le regardant souffrir de mes yeux et le récupérant après multiples blessures aillant été faite par celui que je rêve d'éventrer chaque nuit. les yeux légèrement plissés, mes mains sur ses hanches, je le fixe longuement avant de recevoir son baiser avec gourmandise, y répondant tant bien que mal. la rupture de ce genre vient de lui, me faisant ainsi sourire une nouvelle fois tout en repensant à ses mots précédents. un simple geste d'une courte durée avait eu le don de lui donner chaud donc ? intéressant. sa question m'interpelle, mais je n'y réponds pas de suite, préférant inverser nos positions une nouvelle fois, reprenant ma place de dominant. « T'as eu la réponse à ta question au moment même où t'as poussé un souffle chaud et plutôt long d'ailleurs. » je n'étais pas vraiment du genre à exposer clairement mes sentiments, ou même mes ressenti au sujet de ces choses là, à tel point que je n'avais d'autre solution que de tourner autour du pot, le laissant user de ses neurones pour trouver réponse à sa question. laissant inconsciemment mes doigts se balader sur son torse, je l'observe longuement, affichant une légère moue au visage avant de me pencher à nouveau vers lui, frôlant mes lèvres contre les siennes. « Et toi ? Pourquoi ce baiser si soudain en sachant que tu refuses tout contact entre nos lèvres habituellement ? »
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Re: Décadence × Perkyu | Ven 11 Sep - 20:41
si seulement tout pouvais être simple et sans prise de tête. pourquoi toujours devoir réfléchir, souffrir et encaisser en silence lorsque quelque chose déplait, mais qu'on ne peut rien dire ? pourquoi aimer et souffrir ? à quoi bon ? trop de questions sans réponses. depuis ma rupture avec celui qui aujourd'hui, agit comme une véritable catin, ma vie n'a plus aucun sens, ou presque. je me rattache à la seule personne pouvant me comprendre, bien que cette dernière n'est pas très futé, je parle bien là de mon cadet. encore une fois, je n'arrive à comprendre comment peut il aimer une ordure pareille, je ne veux pas comprendre au final, ça ne me servirait à rien, encore une fois. je ne le comprends vraiment pas. pour son précédent baiser, c'est la même chose, il ne sait même pas lui même pourquoi il a fait ça. un soupire m'échappe alors qu'il finit par reprendre mes lèvres entre les siennes. une fois encore, bien que je reste neutre extérieurement, intérieurement, je suis comme perdu et excité à la fois. je réponds à son baiser, profitant de ce contact un maximum avant d'entendre ses derniers mots, me forçant à rompre ce contact tout en grognant. « Attends. C'est quoi ça ? Make me forget him ? Sérieusement ? Tu me prends pour un jouet ? Ou mieux, pour un con ? » certainement blessé au fond de moi, je refusais d'être un bouche trou. j'avais accepté le fait d'être son sujet de vengeance, mais en aucun cas j'avais accepté le fait d'être pris pour un con. « Tu te fou de moi putain ! Tu sais aussi bien que moi que tu pourras pas l'oublier cet enfoiré alors pourquoi tu me demande ça ? » je me relève brusquement et passe mes mains sur mon visage avant de me lever pour allumer la lumière de la chambre. restant debout face au lit, je soupire d'énervement, mais aussi de frustration avant de m'adresser à nouveau à mon cadet. « Je suis pas un putain d'objet que tu peux prendre pour te vider avant de me laisser comme un con pour en suite aller le retrouver ! T'as un sérieux problème putain. »
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si seulement tout pouvais être simple et sans prise de tête. pourquoi toujours devoir réfléchir, souffrir et encaisser en silence lorsque quelque chose déplait, mais qu'on ne peut rien dire ? pourquoi aimer et souffrir ? à quoi bon ? trop de questions sans réponses. depuis ma rupture avec celui qui aujourd'hui, agit comme une véritable catin, ma vie n'a plus aucun sens, ou presque. je me rattache à la seule personne pouvant me comprendre, bien que cette dernière n'est pas très futé, je parle bien là de mon cadet. encore une fois, je n'arrive à comprendre comment peut il aimer une ordure pareille, je ne veux pas comprendre au final, ça ne me servirait à rien, encore une fois. je ne le comprends vraiment pas. pour son précédent baiser, c'est la même chose, il ne sait même pas lui même pourquoi il a fait ça. un soupire m'échappe alors qu'il finit par reprendre mes lèvres entre les siennes. une fois encore, bien que je reste neutre extérieurement, intérieurement, je suis comme perdu et excité à la fois. je réponds à son baiser, profitant de ce contact un maximum avant d'entendre ses derniers mots, me forçant à rompre ce contact tout en grognant. « Attends. C'est quoi ça ? Make me forget him ? Sérieusement ? Tu me prends pour un jouet ? Ou mieux, pour un con ? » certainement blessé au fond de moi, je refusais d'être un bouche trou. j'avais accepté le fait d'être son sujet de vengeance, mais en aucun cas j'avais accepté le fait d'être pris pour un con. « Tu te fou de moi putain ! Tu sais aussi bien que moi que tu pourras pas l'oublier cet enfoiré alors pourquoi tu me demande ça ? » je me relève brusquement et passe mes mains sur mon visage avant de me lever pour allumer la lumière de la chambre. restant debout face au lit, je soupire d'énervement, mais aussi de frustration avant de m'adresser à nouveau à mon cadet. « Je suis pas un putain d'objet que tu peux prendre pour te vider avant de me laisser comme un con pour en suite aller le retrouver ! T'as un sérieux problème putain. »
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