« le songe d'une nuit d'été. »
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« le songe d'une nuit d'été. » | Mer 12 Aoû - 0:01 Citer EditerSupprimer
Et il croyait que derrière ce beau visage se cachait forcément une belle âme. Elle semblait une illusion qui était repartie, aussi vite qu'elle était venue. Une seconde plus tôt, elle n'existait pas, et soudain, elle était devant lui. Et elle lui paraissait belle, comme une âme-soeur dans sa noirceur. — Il était tard, si tard, et la nuit avait tout recouvert de son nuage noir. Ses gestes se faisaient lascifs, tandis que sur son visage était peint la promesse de milles et un délices luxurieux. Et sa peau brûlante et palpitante présageait une douce et sensuelle allégresse. Dans ses yeux de poudre bleutés, si envoûtant, si ensorcelant, brûlaient les flammes noires du désir. Elle se mordillait la lèvre, tandis que des mains pour la plupart crasseuses touchaient sa peau de porcelaine, glissant quelques billets au niveau de ses fesses ou de sa poitrine. D'un geste habile et pourtant si érotique, elle fit glisser la branche de laurier en verre maintenant ses long cheveux diurnes. Ceux-ci s'écoulèrent, inondant alors sa peau blanche et la chute de ses reins déjà embrasés, et fleurant un doux parfum d'aurore. Comme si le jour venait de se lever. Et à cet instant, la courbure de ses yeux bleus tombèrent dans un océan noir, l'embaumant dans une exquise noirceur. Il lui semblait alors une évidence, un élan, une alchimie. Et elle sentait cette émotion primitive et vertigineuse, remontant aux peurs et aux espoirs de l'enfance, lui arracher l'âme et le cœur, les emportant dans une effroyable et pourtant si délicieuse torpeur. Ses lèvres se courbèrent alors de désir et d'infortune. Elle descendit de l'estrade, la démarche féline, faisant s'émettre l'insatisfaction. Mais tout ce qu'elle voulait, c'était sa peau palpitante contre la sienne, ses seins contre sa poitrine, et la chaleur de ses mains sur ses hanches. Et elle semblait une déesse venant des Enfers, fleurant le plaisir, la luxure et la douleur. Et à présent, elle était toute à lui, avec sa beauté d'ange et ses douces faiblesses, livrée à sa puissance ; telle que le ciel la fit dans sa miséricorde pour enchanter son cœur d'homme. Elle n'esquissa aucun geste. — Elle a le visage de l'innocence, elle a la beauté dans ses yeux, et il lui semble si simple, si simple de séduire, et par l'infini bleu de ses yeux, elle t'enchaîne.
Et il croyait que derrière ce beau visage se cachait forcément une belle âme. Elle semblait une illusion qui était repartie, aussi vite qu'elle était venue. Une seconde plus tôt, elle n'existait pas, et soudain, elle était devant lui. Et elle lui paraissait belle, comme une âme-soeur dans sa noirceur. — Il était tard, si tard, et la nuit avait tout recouvert de son nuage noir. Ses gestes se faisaient lascifs, tandis que sur son visage était peint la promesse de milles et un délices luxurieux. Et sa peau brûlante et palpitante présageait une douce et sensuelle allégresse. Dans ses yeux de poudre bleutés, si envoûtant, si ensorcelant, brûlaient les flammes noires du désir. Elle se mordillait la lèvre, tandis que des mains pour la plupart crasseuses touchaient sa peau de porcelaine, glissant quelques billets au niveau de ses fesses ou de sa poitrine. D'un geste habile et pourtant si érotique, elle fit glisser la branche de laurier en verre maintenant ses long cheveux diurnes. Ceux-ci s'écoulèrent, inondant alors sa peau blanche et la chute de ses reins déjà embrasés, et fleurant un doux parfum d'aurore. Comme si le jour venait de se lever. Et à cet instant, la courbure de ses yeux bleus tombèrent dans un océan noir, l'embaumant dans une exquise noirceur. Il lui semblait alors une évidence, un élan, une alchimie. Et elle sentait cette émotion primitive et vertigineuse, remontant aux peurs et aux espoirs de l'enfance, lui arracher l'âme et le cœur, les emportant dans une effroyable et pourtant si délicieuse torpeur. Ses lèvres se courbèrent alors de désir et d'infortune. Elle descendit de l'estrade, la démarche féline, faisant s'émettre l'insatisfaction. Mais tout ce qu'elle voulait, c'était sa peau palpitante contre la sienne, ses seins contre sa poitrine, et la chaleur de ses mains sur ses hanches. Et elle semblait une déesse venant des Enfers, fleurant le plaisir, la luxure et la douleur. Et à présent, elle était toute à lui, avec sa beauté d'ange et ses douces faiblesses, livrée à sa puissance ; telle que le ciel la fit dans sa miséricorde pour enchanter son cœur d'homme. Elle n'esquissa aucun geste. — Elle a le visage de l'innocence, elle a la beauté dans ses yeux, et il lui semble si simple, si simple de séduire, et par l'infini bleu de ses yeux, elle t'enchaîne.
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Re: « le songe d'une nuit d'été. » | Sam 15 Aoû - 15:15 Citer EditerSupprimer
Le monde de la nuit est plein de surprises. Les rencontres qu’on y fait peuvent changer une vie. C’était un univers que Joshua connaissait bien et qu’il côtoyait dans tous les pays où il posait le pied. Les nuits coréennes, selon lui, n’étaient pas les plus effervescentes et il se lassait bien vite de toute cette foule surfaite qui se déhanchait en recherchant l’attention. Et puis, le fait de travailler dans ce milieu tous les weekends ne lui donnait aucune envie de le faire durant ses congés. C’est pour cela qu’accompagné de trois amis, il prit un chemin différent en cette fraîche nuit d’été. Il s’enfonça dans les ruelles sombres de Séoul, grimpant ses pentes vers des sommets peu exploités et passa les portes d’un club de striptease réputé de la capitale. Ce n’était pas la première fois qu’il se rendait dans ce genre d’endroits, il en avait déjà fréquenté pas mal lorsqu’il vivait au Brésil et il ne s’attendait donc pas à rencontrer des concurrentes en Corée. Le physique des brésiliennes, encore plus dans ce genre de profession, valait bien plus que les plus délicieuses des coréennes selon Joshua. Pénétrant dans la grande pièce plongée dans la pénombre, il aperçut directement les filles se déhanchant de ci-et de là autour des grandes barres de métal, mises en valeur par des néons rouges, entourées par des hommes d’affaires aux langues trainant jusqu’au sol. Le métisse prit place sur un confortable fauteuil et attendit, comme ses amis, qu’une d’entre elles viennent les rejoindre. Il fallut peu de temps avant qu’une longue paire de jambes à la peau laiteuse, perchées sur des talons vertigineux, s’avance jusqu’à eux. Le regard de Josh suivit la courbe de son corps, ses hanches bien dessinées et marqua une longue pause en observant son visage. Ses cheveux blonds glissaient de ses épaules, dégageant sa nuque lorsqu’elle se penchait en arrière, ses yeux bleus semblaient imprimer chaque visages sans pour autant y montrer le moindre intérêt jusqu’à ce que… Sans qu’il ait le temps de comprendre ce qu’il se passait, la demoiselle pour le moins charmante descendit de son estrade et vint mouvoir son corps contre le brésilien. Par des mouvements dociles, il détaillait la cambrure de ses reins sans quitter une seule fois son regard. Il était électrisant, hypnotisant et surtout aguichant. Un ensorcèlement qui pouvait durer des heures si tel était son désir. Il était à sa merci.
Le monde de la nuit est plein de surprises. Les rencontres qu’on y fait peuvent changer une vie. C’était un univers que Joshua connaissait bien et qu’il côtoyait dans tous les pays où il posait le pied. Les nuits coréennes, selon lui, n’étaient pas les plus effervescentes et il se lassait bien vite de toute cette foule surfaite qui se déhanchait en recherchant l’attention. Et puis, le fait de travailler dans ce milieu tous les weekends ne lui donnait aucune envie de le faire durant ses congés. C’est pour cela qu’accompagné de trois amis, il prit un chemin différent en cette fraîche nuit d’été. Il s’enfonça dans les ruelles sombres de Séoul, grimpant ses pentes vers des sommets peu exploités et passa les portes d’un club de striptease réputé de la capitale. Ce n’était pas la première fois qu’il se rendait dans ce genre d’endroits, il en avait déjà fréquenté pas mal lorsqu’il vivait au Brésil et il ne s’attendait donc pas à rencontrer des concurrentes en Corée. Le physique des brésiliennes, encore plus dans ce genre de profession, valait bien plus que les plus délicieuses des coréennes selon Joshua. Pénétrant dans la grande pièce plongée dans la pénombre, il aperçut directement les filles se déhanchant de ci-et de là autour des grandes barres de métal, mises en valeur par des néons rouges, entourées par des hommes d’affaires aux langues trainant jusqu’au sol. Le métisse prit place sur un confortable fauteuil et attendit, comme ses amis, qu’une d’entre elles viennent les rejoindre. Il fallut peu de temps avant qu’une longue paire de jambes à la peau laiteuse, perchées sur des talons vertigineux, s’avance jusqu’à eux. Le regard de Josh suivit la courbe de son corps, ses hanches bien dessinées et marqua une longue pause en observant son visage. Ses cheveux blonds glissaient de ses épaules, dégageant sa nuque lorsqu’elle se penchait en arrière, ses yeux bleus semblaient imprimer chaque visages sans pour autant y montrer le moindre intérêt jusqu’à ce que… Sans qu’il ait le temps de comprendre ce qu’il se passait, la demoiselle pour le moins charmante descendit de son estrade et vint mouvoir son corps contre le brésilien. Par des mouvements dociles, il détaillait la cambrure de ses reins sans quitter une seule fois son regard. Il était électrisant, hypnotisant et surtout aguichant. Un ensorcèlement qui pouvait durer des heures si tel était son désir. Il était à sa merci.
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Re: « le songe d'une nuit d'été. » | Sam 29 Aoû - 22:05 Citer EditerSupprimer
Elle veut te brûler d'amour, sentir ton corps et ton souffle. Elle veut percevoir une douceur trouble et dangereuse dans ton regard noir, l'irradiant alors des flammes noires d'un immortel désir, alors que tu glisses tes doigts en elle, sur elle. – D'un geste délicat et voluptueux, elle posait sa main sur sa nuque, rapprochant leur visages. Et de son souffle, elle retraça les contours désirables de son doux visage, si doux, et pourtant si noir, comme son âme. Sa main descendit sur son épaule, alors qu'elle dansait lascivement contre lui, se faisant aimer, désirer, dans toute sa splendeur, dans toute sa noirceur. Elle n'était que luxure, débauche et plaisir, comme le plus parfait des péchés que le Diable ait pu créer. Ses orbes glacés reflétaient l'immoralité à l'excès. Et son cœur palpitait dans cette vertigineuse certitude d'être face à une personne capable de faire taire les cauchemards et les peurs. De son incandescent regard, il lui écorchait le cœur et l'âme. Elle avait le corps en miette, emportée par une vague de mélancolie évanescente, elle savait déjà qu'elle n'oublierait rien de lui, ni la forme de ses mains, ni le goût de sa peau, ni l'intensité de son regard, ni la brûlure de son souffle qui se mêle au sien. Ses lèvres rosées se posèrent alors sur le coin sa bouche, telle la caresse d'un papillon. Et son cœur battait dans une agréable douleur, il battait tellement qu'elle le sentait dans tous ses membres, tous ses organes, son cœur tambourinait. Sa tête palpitait, elle se sentait enivrée par tant de chaleur, celle de son corps contre le sien. C'était l'évidence et la confusion, la foudre et l'anéantissement. Et elle savait, il était cet infime frisson, et pourtant si bouleversant, d'une sublime délicatesse et pourtant d'une atroce violence. Son cœur battait plus fort, et pour la première depuis la perte de son enfant, elle se sentait vivante. Enivrée, enivrant, grisée, grisant. De ses lèvres, elle retraçait le long de sa mâchoire avant de s'arrêter sur le lobe de son oreille, libérant un souffle court, haletant et chaud. « Viens, je te montrerai l'infini, je t'apprendrai à voler et à tout oublier. » susurra-t-elle. Et dans une caresse sensuelle et délicate, elle porta sa main à joue, l'effleurant du bout des doigts, avant de s'éloigner doucement, balançant ses cheveux diurnes dans un lascif et luxurieux battement hanche, promettant alors monts et merveilles d'une débauche sans pareille. Il n'avait qu'à la suivre, et elle était sienne. – Elle se fait fascination, elle se fait le mal, elle se fait l'inoubliable, et elle te marque dans la chair et dans le sang, te dépouillant de ton âme, te laissant alors vainement espérer le goût du miel et le parfum de l'été.
Elle veut te brûler d'amour, sentir ton corps et ton souffle. Elle veut percevoir une douceur trouble et dangereuse dans ton regard noir, l'irradiant alors des flammes noires d'un immortel désir, alors que tu glisses tes doigts en elle, sur elle. – D'un geste délicat et voluptueux, elle posait sa main sur sa nuque, rapprochant leur visages. Et de son souffle, elle retraça les contours désirables de son doux visage, si doux, et pourtant si noir, comme son âme. Sa main descendit sur son épaule, alors qu'elle dansait lascivement contre lui, se faisant aimer, désirer, dans toute sa splendeur, dans toute sa noirceur. Elle n'était que luxure, débauche et plaisir, comme le plus parfait des péchés que le Diable ait pu créer. Ses orbes glacés reflétaient l'immoralité à l'excès. Et son cœur palpitait dans cette vertigineuse certitude d'être face à une personne capable de faire taire les cauchemards et les peurs. De son incandescent regard, il lui écorchait le cœur et l'âme. Elle avait le corps en miette, emportée par une vague de mélancolie évanescente, elle savait déjà qu'elle n'oublierait rien de lui, ni la forme de ses mains, ni le goût de sa peau, ni l'intensité de son regard, ni la brûlure de son souffle qui se mêle au sien. Ses lèvres rosées se posèrent alors sur le coin sa bouche, telle la caresse d'un papillon. Et son cœur battait dans une agréable douleur, il battait tellement qu'elle le sentait dans tous ses membres, tous ses organes, son cœur tambourinait. Sa tête palpitait, elle se sentait enivrée par tant de chaleur, celle de son corps contre le sien. C'était l'évidence et la confusion, la foudre et l'anéantissement. Et elle savait, il était cet infime frisson, et pourtant si bouleversant, d'une sublime délicatesse et pourtant d'une atroce violence. Son cœur battait plus fort, et pour la première depuis la perte de son enfant, elle se sentait vivante. Enivrée, enivrant, grisée, grisant. De ses lèvres, elle retraçait le long de sa mâchoire avant de s'arrêter sur le lobe de son oreille, libérant un souffle court, haletant et chaud. « Viens, je te montrerai l'infini, je t'apprendrai à voler et à tout oublier. » susurra-t-elle. Et dans une caresse sensuelle et délicate, elle porta sa main à joue, l'effleurant du bout des doigts, avant de s'éloigner doucement, balançant ses cheveux diurnes dans un lascif et luxurieux battement hanche, promettant alors monts et merveilles d'une débauche sans pareille. Il n'avait qu'à la suivre, et elle était sienne. – Elle se fait fascination, elle se fait le mal, elle se fait l'inoubliable, et elle te marque dans la chair et dans le sang, te dépouillant de ton âme, te laissant alors vainement espérer le goût du miel et le parfum de l'été.
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Re: « le songe d'une nuit d'été. » | Sam 5 Sep - 12:02 Citer EditerSupprimer
Elle était penchée au dessus de lui, ses lèvres charnues légèrement entrouvertes laissant passer un souffle chaud que Joshua sentait s’écraser sur une partie de son visage. Il la détaillait attentivement ; ses yeux emprisonnaient un ciel d’été, ses longs cheveux couleur des blés semblaient si soyeux et ses joues, rosies par les contorsions passées, donnaient la soudaine envie au brésilien de les embrasser. Alors qu’elle déposait des baisers sur son visage, le jeune homme s’accordait le droit de parcourir la jolie courbe de ses reins. Il glissa une d’entre elles jusqu’à son derrière, légèrement rebondi, tandis que l’autre restait posée sur sa hanche. Il n’avait encore jamais vu ça… D’habitude, les filles qu’il côtoyait dans ce genre d’endroits se contentaient juste de frotter leurs corps à lui, espérant recevoir plusieurs billets dans leurs sous-vêtements. Mais cette fois-ci, la demoiselle prenait les devants. Joshua entendait ses amis siffler, sentait leurs mains tapoter son épaule mais il ne détachait pas son regard de celui de la jeune femme. Un regard électrisant et envoutant qui lui promettait monts et merveilles, qui l’invitait à plus qu’un simple contact charnel. Malheureusement, lorsque celle-ci lui fit entendre sa voix suave, le brésilien ne comprit presque rien. L’esprit encore embrumé, concentré sur ce décolleté qu’elle agitait sous son nez. Il ne saisit son message que lorsqu’elle prit possession de sa main et l’attira vers elle, le forçant à se lever pour le mener il ne savait où. Mais peu lui importait, il savait exactement comment tout cela se finirait. Il était même prêt à lui attribuer sa paie du mois si elle continuait de repousser ses limites et qu’elle lui offrait un moment encore plus délicieux, un mélange entre décadence et plaisir sensuel qui pouvait durer autant de temps qu’il le désirait. Après tout, le client est roi.
Elle était penchée au dessus de lui, ses lèvres charnues légèrement entrouvertes laissant passer un souffle chaud que Joshua sentait s’écraser sur une partie de son visage. Il la détaillait attentivement ; ses yeux emprisonnaient un ciel d’été, ses longs cheveux couleur des blés semblaient si soyeux et ses joues, rosies par les contorsions passées, donnaient la soudaine envie au brésilien de les embrasser. Alors qu’elle déposait des baisers sur son visage, le jeune homme s’accordait le droit de parcourir la jolie courbe de ses reins. Il glissa une d’entre elles jusqu’à son derrière, légèrement rebondi, tandis que l’autre restait posée sur sa hanche. Il n’avait encore jamais vu ça… D’habitude, les filles qu’il côtoyait dans ce genre d’endroits se contentaient juste de frotter leurs corps à lui, espérant recevoir plusieurs billets dans leurs sous-vêtements. Mais cette fois-ci, la demoiselle prenait les devants. Joshua entendait ses amis siffler, sentait leurs mains tapoter son épaule mais il ne détachait pas son regard de celui de la jeune femme. Un regard électrisant et envoutant qui lui promettait monts et merveilles, qui l’invitait à plus qu’un simple contact charnel. Malheureusement, lorsque celle-ci lui fit entendre sa voix suave, le brésilien ne comprit presque rien. L’esprit encore embrumé, concentré sur ce décolleté qu’elle agitait sous son nez. Il ne saisit son message que lorsqu’elle prit possession de sa main et l’attira vers elle, le forçant à se lever pour le mener il ne savait où. Mais peu lui importait, il savait exactement comment tout cela se finirait. Il était même prêt à lui attribuer sa paie du mois si elle continuait de repousser ses limites et qu’elle lui offrait un moment encore plus délicieux, un mélange entre décadence et plaisir sensuel qui pouvait durer autant de temps qu’il le désirait. Après tout, le client est roi.
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