Alors je ne sais vraiment pas comment je m'étais retrouvé dans cette histoire. Tout ce don je savais, c'était que je m'étais encore laissé embarquer dans une histoire à dormir debout de Lexy. Sauf que cette fois-ci, c'était à l'échelle nationale et non plus à celle de l'université. Des caméras nous filmaient et tout le pays avait les yeux rivé sur nous. J'étais parvenu à éclipser dés mon arrivée au point que mon entrée était passé inaperçue. Apres tout, le visage de PDG de Vogue dans un tel jeu, ferait parler les mauvaises langues. Je m'étais donc réfugier dans la seule pièce de la maison dépourvue d'appareil électronique : les toilettes. Je pissais tranquillement quand ma fiancé se jetait sur moi, m’ordonnant de la rejoindre à la love room. Gosh ! A peine arrivée, et déjà, elle voulait passer à l'action. Il fallait dire que depuis qu'on avait sauté le pas, j'étais vite devenu accro. Elle était presque devenu une drogue pour moi et je n'arrivais à résister aussi longtemps à l'appel de son corps de rêve. Comment avais-je pu tenir 5 ans sans la toucher ? J'achevais de me secouer ptit biscuit pour venir la rejoindre sans plus tarder dans la dite chambre. J'entrais dans la pièce et déjà, madame s"était débarrassé de ses vêtements. Je souris de toutes mes dents, carnassier à l'idée du moment de plaisir qui m'attendant. Je déboutonnais ma chemise alors que je m'approchais de ma promise. Je fis glisser mon haut sur le sol, dévoilant mon torse musclé, marrant au pied du lit tout en la regardant, mon jeans toujours en place. "Alors Blondydoll ! Tu fais déjà la gourmande ?" Les autres pouvaient bien attendre. Il nous fallait une bonne partie de jambe en l'air pour nous donner du courage pour les affronter.

Gourmande. L’adjectif qui la qualifiait le mieux. Depuis que j’avais fini par craquer, que je lui avais succombé, elle en redemandait encore et encore. Ce que je pouvais comprendre. Elle avait du se retenir pendant cinq longues d’années. Elle avait de quoi rattraper. Je n’étais même pas certains d’avoir pu tenir aussi longtemps qu’elle. Même si elle avait réussi à obtenir mon corps, j’avais du mal à lui laisser mon cœur. Et pourtant, je savais qu’elle y avait déjà fait sa place. Je la laissais me tirer à elle alors qu’elle me roulait la pelle du siècle. Je la suivais en marchant à quatre pattes sur le lit, par-dessus elle, alors qu’elle s’allongeait. « J’ai cru comprendre… » Commençais-je, mais ma voix se fit étouffer par un nouveau baiser qui me dévorait la bouche. Je pris appuis sur une main alors que je passais l’autre sous sa tête pour intensifier notre union. Je vins forcer le passage de ses lèvres avec ma langue pour taquiner la sienne. Ce n’est que de longues minutes plus tard que je me séparais d’elle à bout de souffle. « Et si on l’inaugurait cette love room ? » On avait passé le stade de prendre des pincettes entre nous. C’était simple. La plupart du temps, quand on se voyait, ca finissait dans un placard, un lit ou n’importe qu’elle endroit qui pouvait faire l’affaire.